Bassens, Cenon, Floirac, Lormont: Quelle évolution socio

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Bassens, Cenon, Floirac, Lormont: Quelle évolution socio
Bassens, Cenon, Floirac, Lormont:
Quelle évolution socio-démographique suite aux différentes
politiques de la ville menées?
Problématisation
Depuis le début des années 2000, à Bassens, Cenon, Floirac et Lormont, les quatre
communes du Grand Projet des Villes, des politiques de la ville ont été menées:
renouvellement urbain, développement économique, social etc. Après 10 ans de
travaux, il est nécessaire d'en dresser un bilan. L'étude aura pour principal objectif de
mesurer l'évolution socio-démographique de la population du Grand Projet des Villes,
pour compléter l'étude sociologique de Daniel Mandouze sur le changement social et
l'opinion publique. Voici les principales questions auxquelles elle doit répondre.
CONTEXTE
Situation des quatre communes du GPV
66 008 habitants sont sur le territoire du Grand Projet des Villes (GPV) en 2009. Ils se
répartissent sur quatre communes: un tiers sont à Cenon (soit 22 550 personnes), 30% à
Lormont (20 375 personnes), un quart à Floirac (16 130) et 10% à Bassens (6 953). Le GPV
représente alors 9,3% de la population de la communauté urbaine de Bordeaux (CUB) en 2009.
Depuis 1999, voire 1990, ces communes connaissent une baisse plus ou moins marquée de
leur population (de -0,8%/an à -0,1%/an). A l'exception de Cenon avec ses 0,6% de croissance
par an sur la période 1999-2008, évolution comparable à celle de la CUB (0,8%/an sur 19992008).
Le territoire du GPV se distingue avec une sur-représentation de sa population aux âges
extrêmes. Avec presque un quart de la population âgée de moins de 20 ans et entre 17% et
20% de plus de 65 ans, le GPV a à la fois relativement plus de jeunes et plus de personnes
âgées que la CUB (respectivement 23% et 15%).
La population du GPV connaît une situation vis-à-vis de l'emploi moins favorable que dans la
CUB. Le taux de chômage1 dans la CUB est de 9% tandis qu'il atteint 11% à Cenon et Bassens
et 13,7% à Lormont et Floirac. La population diplômée au maximum d'un brevet des collèges
est 1,5 fois plus présente que dans l'ensemble de l'agglomération (autour de 43% dans
chacune des communes et 28,6% dans la CUB). Induisant, une sur-représentation des ouvriers
et des employés, et un niveau de revenu inférieur à celui de la CUB.
Les ménages du territoire du GPV se différencient de l'agglomération par leur taille: 2,3
personnes par ménage à Cenon, 2,4 à Foirac et Lormont et 2,5 à Bassens, contre 2,1 personnes
par ménage dans la CUB. Il s'agit plus fréquemment de familles monoparentales.
Cette concentration de populations plus fragiles que dans l'agglomération est liée à l'important
parc de logements sociaux (51% dans le GPV et 21% dans la CUB).
Il existe une grande hétérogénéité au sein de chacune des communes. Les quartiers les plus en
difficulté sont Le Bousquet et Meignan à Bassens, 8 mai 1945, Palmer et bas Cenon à Cenon,
Libération et Dravemont à Floirac, Carriet, Génicart et Grand Tressan à Lormont.
Politiques de la ville mises en place
La politique de la ville consiste à réinsérer le territoire du GPV dans l'agglomération, en cassant
la dynamique de ségrégation et de dégradation des quartiers. Elle agit par discrimination
positive en concentrant les moyens d'actions géographiquement. En premier lieu, elle agit sur
le parc immobilier. Sur l'ensemble du GPV 2 645 logements auront été détruits et 5 200
construits dont 1 600 logements sociaux. Les démolitions concernent principalement les
1taux de chômage au sens du recensement (définition à la fin du document page 7)
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quartiers Bassens-Bousquet, Lormont-Carriet, Lormont-Génicart, Cenon-8 mai et FloiracLibération. Le nombre de logements restera identique à Lormont et en augmentation de 44% à
Cenon. Le parc immobilier de Floirac sera multiplié par presque quatre. Dans le but de
promouvoir la mixité sociale, la concentration des logements sociaux a été évitée. Une autre
visée est de modifier la conception collective du territoire. La politique de la ville s'est appuyée
sur la mise en valeur de la diversité de la richesse culturelle, historique et paysagère,
notamment par la création de la coulée verte (regroupement de plusieurs parcs). Le
désenclavement de la Rive droite est porté par l'amélioration des voies de transport (bouclage
de la rocade, arrivée du tramway, gare inter-modale à Cenon, construction de nouveaux ponts).
Le développement social s'est concrétisé par la modernisation et la création d’équipements
scolaires, de centres de loisirs, de gymnases, et par la mise en place d'une maison des savoirs
et de la culture, de médiathèques, d’une maison des associations, et de la salle de spectacle
du Rocher. La création de la zone franche urbaine, du plan local pour l'insertion et l'emploi
(PLIE), de la charte pour l'insertion économique ont été les leviers du développement
économique.
Politique de la ville: premiers résultats
Une population globalement satisfaite du renouvellement urbain
Daniel Mandouze, sociologue du cabinet Arcus, a conduit une enquête pour analyser et suivre
le changement social et l'opinion publique dans les communes du GPV. Son étude repose sur
des entretiens semi-directifs, des questionnaires fermés et sur un panel "de situation
habitante" de 633 personnes. Ce panel a été interrogé trois fois: de janvier à juin 2008, de mai
à octobre 2009 et de juin à octobre 2010.
D'après les résultats, la population, surtout à Cenon et Lormont, a perçu la cohérence du projet.
Elle juge positivement le renouvellement urbain, mais un désenchantement est aussi
perceptible. Il y a des interrogations sur la légitimité de certaines démolitions, sur la solidité du
bâtit, ou la longueur du projet urbain. Les opinions évoluent au cours du processus mais aussi
selon le moment d'arrivée sur le territoire. Les nouveaux habitants sont bien plus satisfaits que
les anciens. Face au relogement, les vécues sont très différents, variant d'un sentiment de
"déracinement anxiogène" pour les plus fragiles à la perception du relogement s’inscrivant
dans une trajectoire résidentielle ascendante.
Trois-quarts des personnes relogées sont restées dans une commune du GPV
Une crainte suscitée par le renouvellement urbain était le déplacement de la population dont
les logements sont démolis vers d'autres communes. D'après les premiers résultats, 77% des
personnes ont été relogées dans une commune du GPV. Au sein de ce groupe, un tiers vit sur le
même site que leur ancien logement et 63% dans la même commune. Parmi les 23% de
personnes relogées en dehors du GPV, seul 4% se sont installées en dehors de la CUB.
80 000 habitants sur le territoire du GPV en 2025
L'offre de logements d'une commune conditionne l'effectif de sa population. A partir
d'hypothèses sur la baisse de la taille moyenne des ménages et en tenant compte de
l'évolution du parc immobilier, le GPV prévoit une population de 22 000 habitants pour Floirac.
Cenon et Lormont resteraient les deux villes les plus peuplées avec 26 000 habitants vers
2025. Bassens maintiendrait sa population à 7 000 habitants, accroissant son écart avec les
autres communes.
PROBLÉMATIQUE
L'étude aura en charge d'apporter un point de vue quantitatif sur l'évolution des quatre villes
du GPV, et plus particulièrement sur les caractéristiques socio-démographiques, suite à la
politique de la ville qui y a été menée.
Quelle est la population du GPV? Comment a-t-elle évolué? sont les deux questions
importantes auxquelles doit répondre cette étude. Les principales caractéristiques retenues
pour définir la population sont l'âge, le sexe, la nationalité, les catégories socioprofessionnelles, le niveau de revenu, les diplômes, la situation vis-à-vis de l'emploi (taux de
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chômage, d'activité etc.). L'analyse s'attardera sur les jeunes, les femmes, les personnes âgées
et les familles en raison de difficultés qui leur sont spécifiques comme la réussite scolaire pour
les 0-18 ans. Les ménages seront étudiés en fonction de leur nombre, de leur taille, et de leur
composition familiale.
L'analyse de cette évolution reposera sur deux dates. 1999, date du dernier recensement
avant le projet de renouvellement urbain, est le point de départ. En raison du recensement
d'une partie de la population chaque année, en mars 2012, les données détaillées sont
disponibles pour l'année 2008, date qui cloturera la période d'étude. Lorsque d'autres sources
seront mobilisées, il sera possible d'obtenir des données plus récentes. Dans ce cas, il pourra
être envisageable d'étudier deux périodes: 1999-2007 et 2007-2011. 2007 sert de point de miparcours et correspond au début des programmes européens et de l'ANRU.
L'étude prendra en compte les caractéristiques socio-démographiques et socio-économique à
l'échelle des quartiers, grâce aux données carroyées. L'idée serait de savoir si la géographie
des quartiers prioritaires a changée. L'objectif est également d'obtenir une vue d'ensemble de
la ville, et du territoire du GPV. Chacun des quartiers sera analysé en perspective des résultats
de la commune. Puis les communes du GPV seront comparées et étudiées ensemble pour
situer leur comportement démographique au sein de l'agglomération. L'analyse portera sur
tous les quartiers du GPV, y compris ceux ayant connu un renouvellement urbain. En effet, tous
ont été au moins indirectement concernés par la politique de la ville. Il sera possible de mettre
en exergue leurs différences selon les politiques qu'ils ont connu. Le but sera aussi de
déterminer si certains espaces, oubliés de la première vague de renouvellement, ne devraient
pas être les premiers bénéficiaires des projets futurs.
Les politiques de la ville ont été menées dans des buts précis: favoriser la mixité urbaine,
l'accès à l'emploi, désenclaver la rive droite, maintenir au maximum les personnes relogées sur
place etc. A ce titre, l'étude portera plus spécifiquement sur les conséquences de ces projets.
Croissance de la population
Dans les communes du GPV, le nombre de logements entre 2000 et 2011 a varié selon les
vagues de démolitions et de reconstructions. Comme il détermine l'effectif de la population, il
convient de mesurer l'impact du renouvellement urbain sur l'effectif des quartiers, des
communes et de l'ensemble du GPV. La croissance démographique pourra être comparée à
celle de l'agglomération et d'autres communes connaissant des politiques de renouvellement
urbain. L'étude pourra approfondir les résultats des projections de population à l'horizon 2025
calculées par le GPV, en s'intéressant à l'échelle des quartiers.
Mouvements migratoires
Dans les ZUS françaises, environ un tiers de la population ne résidaient pas dans le même
logement cinq ans auparavant. La population du GPV est-elle aussi mobile? L'étude s'attachera
à comparer les caractéristiques socio-démographiques et socio-économiques de quatre
populations. Elles seront déterminées en fonction de leur vécu sur le territoire:
➢être resté dans le même logement
➢avoir connu un relogement et habiter dans la même commune
➢ être un ancien habitant de la commune (en raison de la rénovation urbaine ou non)
➢être un nouvel arrivant
Le but est de déterminer qui arrive, qui reste et qui part de la commune. Quelle est la
population attirée par le territoire du GPV? Les communes du GPV servent-elles de tremplin
pour accéder à d'autres communes de résidence? Est-ce que les anciens habitants sont dans
une situation plus favorable, en termes d'emploi ou de revenu, que la population restée ou
arrivée?
Ces populations peuvent de la même manière être définies à l'échelle de l'ensemble du GPV
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Mixité sociale
Compte-tenu des politiques mises en œuvre pour favoriser la mixité sociale, il s'agira dans un
premier temps de définir les indicateurs qui permettent de la mesurer. Il serait, par exemple,
intéressant de regarder la spatialisation des différentes catégories socio-professionnelles au
sein des communes depuis 1999. La mixité sociale peut-être appréhendée dans les écoles.
Dans quelles écoles vont les enfants selon la catégorie sociale de leurs parents? Observe-t-on
des stratégies d'évitement de la carte scolaire pour contourner les groupes scolaires les plus
difficiles?
Revenu
Sur l'ensemble de la ZUS de grandes disparités de revenu existent: 25% des ménages les plus
pauvres ont un revenu maximal de 528 euros par mois et les 25% les plus riches ont un revenu
supérieur à 1390 euros. L'étude portera alors sur l'évolution du niveau de revenu dans les
communes du GPV et sur leurs disparités au sein du GPV, des communes ou des quartiers.
D'après l'Observatoire national des zones urbaines sensibles (ONZUS), les inégalités de
ressource sont d'autant plus prononcées que la zone urbaine sensible (ZUS) présente un faible
niveau de ressources. Cette observation à l'échelle de l'ensemble des ZUS françaises
s'applique-t-elle au territoire du GPV?
Emploi
Les connaissances sur la population de ce territoire révèlent un problème lié à l'emploi: des
taux de chômage et d'inactivité très élevés, des emplois précaires plus répandus qu'ailleurs. Il
a ainsi été créé une zone franche urbaine qui a généré 9 000 emplois. Est-ce que ces emplois
ont bénéficié à la population du GPV? Il se pose la question de l'adéquation entre l'offre et la
demande d'emplois. A quel profil s'adresse les emplois sur la commune? Quel est le profil de la
population? Il s'agira d'étudier les communes de travail des habitants du GPV, et
particulièrement la population qui travaille et vit sur le GPV. Plus largement, il serait utile de
considérer toutes les mesures prises pour favoriser l'insertion professionnelle (PLIE, charte pour
l'insertion professionnelle, lutte contre les discriminations) et la conjoncture économique dans
l’analyse de l'évolution de l'emploi. L'étude analysera les différentes contributions au chômage
au cours du temps, en fonction de l'âge, du sexe, de la nationalité, du niveau de diplôme, et de
la catégorie socio-professionnelle.
Mixité fonctionnelle
De nombreux travaux permettant le désenclavement de la rive droite ont été mis en œuvre:
bouclage de la rocade, tramway etc. Cette amélioration des moyens de déplacement a t-elle eu
un impact sur l'accès à l'emploi de la population? Inversement, les emplois du GPV sont-ils plus
attractifs pour les autres habitants de la CUB? L'étude travaillera ainsi sur les migrations
pendulaires sur différentes périodes.
Des commerces, des services, des équipements administratifs ont été créés pour assurer à
tous les habitants les fonctions nécessaires à la vie en ville. Observe-t-on encore des espaces
éloignés des services de proximité? L'étude s'appuira sur la densité de services par personne.
Elle ne pourra pas mesurer l'accès à ces services en raison d'une méconnaissance de leur prix.
Précarité
Les politiques de la ville ont pour objectif d'améliorer la situation de la population. Après avoir
défini la "précarité" et les indicateurs permettant de l'évaluer, il serait utile d'identifier les
poches de précarité et de regarder leur évolution au cours du temps. La question serait de
savoir si ces poches sont dues à des déplacements de population ou bien à des quartiers qui
n'ont pas connu une politique de relogement. Les nouveaux logements sociaux sont
globalement légèrement plus chers que les anciens. Où la population au niveau de revenu le
plus limité s'est-elle installée? Est-elle restée dans des constructions anciennes? Un indicateur
de précarité pourra être analyser en fonction du temps et de l'espace.
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Logement
L'analyse définira les logements selon leur catégorie (logements vacants, résidences
principales), et leur type (maisons ou appartements). Les résidences principales seront
étudiées à partir de leur date d'achèvement, de leur statut d'occupation (locataire,
propriétaire), de leur taille, de leur prix, et de leur confort. L'objectif serait d’étudier quelle
population les différentes catégories de logements accueillent-ils. Est-ce que les nouveaux et
les anciens logements accueillent la même population? Où s'installent en priorité les nouveaux
habitants du GPV?
Attractivité
L'une des missions du GPV était de changer l'image de la rive droite. Un des moyens pour
évaluer si cet objectif a été rempli ou non est d'étudier l'attractivité du territoire. Est-ce-que le
nombre de nouveaux habitants a augmenté au cours du temps? Est-ce une attractivité plutôt
résidentielle ou bien une attractivité liée aux emplois créés? Quelle population est attirée pour
habiter sur la Rive droite?
Comparaison
Ces différents résultats pourront être comparés à d'autres quartiers ayant aussi connu des
politiques de la ville. Il s'agira de savoir si l'évolution socio-démographique du GPV est similaire
à celle des autres quartiers politiques de la ville et d'identifier ses spécificités.
MISE
EN ŒUVRE
La première étape de l’étude consiste à rassembler les différentes connaissances sur ces
territoires. Pour répondre à chacune des questions, des indicateurs seront sélectionnés en
fonction de leur pertinence et des données disponibles. Un dense travail de collecte des
données est à prévoir en raison des multiples sources. Une analyse critique de chaque
indicateur et des données devra être faite pour connaître leurs limites. Le traitement
statistique se fera par l'intermédiaire de Excel et SAS selon les besoins. Les cartes seront
réalisées avec les logiciels Philcarto ou Mapinfo.
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ANNEXE
Définition
Le taux de chômage au sens du recensement est la proportion du nombre de dans la population
active.
Les chômeurs au sens du r ecensement de la population sont les personnes (de 15 ans ou plus) qui
se sont déclarées chômeurs (inscrits ou non à Pôle Emploi) sauf si elles ont, en outre, déclaré
explicitement ne pas rechercher de travail ; et d’autre part les personnes (âgées de 15 ans ou plus) qui ne
se sont déclarées spontanément ni en emploi, ni en chômage, mais qui ont néanmoins déclaré
rechercher un emploi.
La population active au sens du recensement de la population comprend les personnes qui
déclarent exercer une profession (salariée ou non) même à temps partiel, aider une personne dans son
travail (même sans rémunération), être apprenti, stagiaire rémunéré, être chômeur à la recherche d'un
emploi ou exerçant une activité réduite, être étudiant ou retraité mais occupant un emploi, être militaire
du contingent..
Sources
Données
Recensement rénové de la population au 1 janvier 2008 et les populations légales au 1 janvier
2009, INSEE
Bibliographie
ATELIER PARISIEN D'URBANISME, Observatoire des quartiers parisiens rapport 2007: La
nouvelle géographie des quartiers prioritaires, 2007. 77 p.
A'URBA, Atlas de la politique de la ville de l'agglomération bordelaise, 2003, 193 p.
BERNARD, Olivier, Rapport de l'observatoire social local: Repères statistiques par quartiers sur
trois thématiques prioritaires de la politique de la ville. 2010. 50 p.
DIV, FNAU, Observation locale et politique de la ville:
méthodologique. Cahiers pratiques, hors série. 2008. 162 p.
Note
stratégique
et
guide
GPV, Dossier de Presse: Habiter la Rive droite, Enjeux sociologiques, démographiques et
urbains. décembre 2011, 23 p.
IREV Nord-Pas-de-Calais, Les impacts sociaux des projets de rénovation urbaine. Repères pour
Agir n°3, décembre 2010. 97 p.
MANDOUZE, Daniel, Analyse et suivie du changement social et de l'opinion publique dans les
communes du Grand projet des Villes. 2007, 2009, 2011
ONZUS, Observatoires national des zones urbaines sensibles rapport 2011: Les éditions du CIV,
2011. 303 p.
ORIV Alsace, Des outils en mouvement ... des outils pour observer, Guide de l'observation
sociale territorialisée, 102 p
SGAR Aquitaine, PQA, INSEE Aquitaine, Quartiers prioritaires en Aquitaine: des quartiers
fragiles, en situations diverses, 2011, 191 p.
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