26 Novembre - Tude et Dronne
Transcription
26 Novembre - Tude et Dronne
Compte rendu du Conseil Communautaire du 26 Novembre 2015 L’an deux mille quinze, le Vingt Six du mois de Novembre, à dix-neuf heures trente, le Conseil Communautaire de la COMMUNAUTE de COMMUNES TUDE et DRONNE, dûment convoqué par Monsieur le Président s’est assemblé dans la salle des Fêtes d’ YVIERS, sous la Présidence de Monsieur Joël PAPILLAUD. Présents (50) : Mr Jean Yves AMBAUD, Mr Michel ANDREU, Mr Prith APPASAWMY, Mr Stéphane BEGUERIE, Mme Josiane BODET, Mme Josiane BOIZOT, Mr Jean Michel BOLVIN, Mr Joël BONIFACE, Mr Philippe ROUMEGIERAS, Mr Jean Claude CHAUMET, Mr Jean Paul CROCHET, Mr Alain DESERT, Mr François DI VIRGILIO, Mr Jean Michel DROILLARD, Mme Martine GALLAIS, Mr Patrick GALLES, Mr Eric GENDRON, Mr Vincent GUGLIELMINI, Mr Roland GUICHON, Mr Bernard HERBRETEAU, Mme Christine LABROUSSE, Mr Jean Claude LAFAYE, Mme Florence LAGOURDETTE, Mr Jean Paul LAPORTE, Mr Roland LEZIN, Mr Christian LUCAS, Mme France MARTIN, Mme Carole MARTY, Mr Jean Claude MAURY, Mr Christian MAUSSION, Mr Jacques MERCIER, Mr Jacki Philippe MICHELET, Mr Alain MIKLASZEWSKI, Mr François MONGET, Mr Jean Clément MOREAU, Mme Mireille NEESER, Mr Gaël PANNETIER, Mr Joël PAPILLAUD, Mr Philippe PELISSIER, Mr Dany POIRIER, Mr Jean Jacques PUYDOYEUX, Mr William RICHARD, Mr Eric ROCHER, Mme Muriel SAINT LOUPT, Mme Monique SEBILLAUD, Mr Jean Luc TACHET, Mme Lucette TERRACOL, Mr Michel TOUZEAU, Mme Nicole TUGAL, Mr Daniel VINET. Absents (4) : Mr Jean Claude CAILLON, Mr Jean Claude CHEVALIER, Mme Jocelyne COUGNAUD, Mr Michel DUBREUIL. Pouvoirs(4) : Mr Alain DELAUNAY à Mr Daniel VINET Mr Alain RIVIERE à Mr Jean Clément MOREAU Mr Joël MOTY à Mme Muriel SAINT LOUPT Mr Christophe DAMOUR à Mr Jean Michel DROILLARD Secrétaire de séance : Monsieur Patrick GALLES. I. Equipements sportifs 1. Point sur le dojo de Montmoreau Monsieur le Président rappelle que lors de la dernière réunion de Conseil Communautaire en date du 05 novembre 2015 avait été évoqué l’enlèvement les tapis du dojo de Montmoreau par la section judo de l’AJM, sans aucune autorisation. Or, ces tapis avaient fait l’objet d’une acquisition par la « grande » AJM qui en est propriétaire. Madame Myriam HUGUET, Présidente de la « grande » AJM a donc porté plainte auprès de la Gendarmerie Nationale. Présente lors de la réunion du Conseil Communautaire, Madame HUGUET indique qu’une procédure d’abus de confiance a été engagée contre les représentants de la section judo de l’AJM. Les représentants concernés ont été mis en demeure de restituer les tapis. 1 L’absence de tapis et celle corrélative de la section judo de l’AJM ne permettent plus aux habitants et jeunes du territoire de pratiquer ce sport. C’est pourquoi afin de permettre le déroulement et la pérennité de cette activité sur le « Montmorélien », Monsieur le Président indique que Monsieur Jean-Michel BOLVIN a proposé d’inviter en séance les représentants du Club de Judo du Grand Angoulême afin de présenter leur proposition d’une reprise d’activité du Judo sur le Montmorélien. Monsieur BOLVIN précise au Conseil Communautaire avoir rencontré de manière fortuite et lors d’une réunion organisée par la Fédération Française du Bâtiment, Monsieur Bernard MEZILLE, Viceprésident du Club de Judo La Couronne- Grand Angoulême. A cette occasion, Monsieur BOLVIN lui a fait part des difficultés rencontrées sur le territoire de Montmoreau pour l’organisation d’une activité judo Monsieur MEZILLE lui a proposé d’aider à la reprise de l’activité de judo sur Montmoreau. C’est pourquoi Monsieur BOLVIN lui a alors proposé de présenter son projet en Conseil Communautaire. Monsieur le Président et Monsieur BOLVIN invitent donc Monsieur MEZILLE et le Directeur Technique du Club La Couronne- Grand Angoulême, Monsieur Guillaume AVRIL, à présenter leur projet. Ce club compte 450 licenciés de nombreux entraineurs et encadrants diplômés et de qualité assurant un encadrement qualitatif et sécurisé. Monsieur MEZILLE présente les encadrants du club. Le club est disposé à apporter son soutien pour une reprise de l’activé sur Montmoreau. Le club La Couronne- Grand Angoulême a déjà « repris » (ouverture de sections) de nombreux clubs qui ont tous connu par la suite un important essor et une hausse de leur fréquentation. Monsieur AVRIL présente le projet sportif du club et précise que l’objectif du club de La CouronneGrand Angoulême est de faire du judo de proximité en respectant les entités locales et en participant à la vie de la Collectivités (fêtes locales) Monsieur le Président et Monsieur BOLVIN remercient Messieurs MEZILLE et AVRIL pour leur intervention et expriment le vœu d’une reprise de l’activité judo à Montmoreau au sein du dojo communautaire. Le projet d’ouverture d’une section judo à Montmoreau par le club de La Couronne- Grand Angoulême peut répondre à ce vœu et pourra être présenté à l’AJM. 2 .Contrat Local de Santé par le Syndicat mixte du Pays Sud Charente: 1. Présentation du bilan à mi-parcours du Contrat Locale de Santé Monsieur le Président indique que le syndicat mixte du Pays Sud Charente a été invité à présenter le bilan à mi-parcours du Contrat Local de Santé (C.L.S.) qui a été mis en place. Madame Aurélie MENARD, Animateur Santé au sein du syndicat mixte du Pays Sud Charente et Monsieur Prith APSAWNY, élu référent Santé au sein de ce Syndicat, présentent le bilan à miparcours du C.L.S. Le diaporama correspondant à cette présentation a été communautaires et est joint en annexe du présent Compte rendu. 2 transmis aux conseillers II. Réforme territoriale 1.Proposition d’aménagement au Schéma Départemental de Coopération Intercommunale concernant la création d’un Syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente : Monsieur le Président rappelle que, lors de sa réunion en date du 29 octobre 2015, le Conseil Communautaire s’était prononcé sur le Schéma Départemental de Coopération Intercommunale (S.D.C.I.) présenté par Monsieur le Préfet. Pour rappel, concernant la CdC Tude et Dronne, le S.D.C.I. prévoit les mesures suivantes. a. l’impact du SDCI au niveau du périmètre de la CdC Tude et Dronne Le SDCI prévoit une fusion des CDC Tude et Dronne et Horte et Lavalette. b. les Syndicats les dissolutions de Syndicat en matière d’assainissement A compter du 1er janvier 2018, la compétence « tout ou partie de l’assainissement » devient « assainissement ». A compter de cette date, les CdC ne pourront exercer la seule compétence SPANC (Service Public d’Assainissement Non Collectif) mais devront également assurer l’exercice de la compétence « assainissement collectif ». Pour les CdC créées après le vote de la loi NOTRe (Nouvelle Organisation du Territoire de la République) du 07 août 2015, la « compétence assainissement collectif » devra être exercée dès le 1er janvier 2017. Dans l’hypothèse d’une fusion de la CdC Tude et Dronne avec une autre CdC au 1 er janvier 2017, la nouvelle CdC créée devra donc exercer dès le 1er janvier 2017 la compétence assainissement collectif. Concernant le CdC Tude et Dronne, Il en résultera la suppression (à compter du 1 er janvier 2018 ou 2017 si le territoire Tude Dronne est fusionné avec une autre CdC), du syndicat d’assainissement collectif des communes de Montmoreau Saint Cybard, Saint Amant de Montmoreau et Saint Laurent de Belzagot (Syndicat d’Assainissement de la Haute Tude). Le périmètre de ce syndicat est en effet compris dans sa totalité sur le territoire de la CdC Tude et Dronne. les dissolutions de Syndicat en matière d’alimentation en eau potable (AEP) Le SDCI propose une « réorganisation « sans étape intermédiaire » par les mesures suivantes : extension du Syndicat AEP existant du Grand Angoulême au territoire du SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) de l’Angoumois la fusion de l’ensemble des services AEP en un syndicat unique à l’échelle du Département (hors périmètre du SCOT de l’Angoumois). A compter du 1er janvier 2020, conformément à la loi NOTRe en date du 07 août 2015, la compétence eau potable sera transférée à la Communauté de Communes. Le S.D.C.I. prévoit donc que la CdC adhère à un Syndicat dont le périmètre serait celui du Département, à l’exception de celui du secteur du SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) de l’Angoumois. 3 Concernant le territoire de la CdC Tude et Dronne et dans l’attente du transfert de la compétence eau potable à la Communauté de Communes au 1 er janvier 2020, Il en résultera la suppression des Syndicats suivants, à compter du 1er janvier 2017: SAEP de la Font du Gour SIAEP de la Font des Abîmes SIAEP des Essards SIAEP de Chalais SIAEP des Collines du Montmorélien SIAEP de Salles Lavalette Conformément aux instructions et à la circulaire de Monsieur le Préfet, le vote du Conseil Communautaire du 29 octobre 2015 a porté sur la globalité du SDCI. Par 34 voix pour, 14 voix contre et 4 absentions, le Conseil Communautaire avait approuvé le Schéma Départemental de Coopération Intercommunale proposé par Monsieur le Préfet. Si le Conseil Communautaire et certaines Communes se sont déjà prononcées sur le SDCI, lors de sa réunion en date du 29 octobre 2015, le Conseil Communautaire avait toutefois proposé que soit adopté un projet d’amendement à présenter à la CDCI (Commission Départementale de Coopération Intercommunale) afin de proposer une autre architecture institutionnelle que celle proposée par le SDCI en ce qui concerne les syndicats d’eau potable. Cet amendement porte sur la constitution d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente, la création d’un syndicat unique à l’échelle du Département (hors périmètre du SCOT de l’Angoumois) ne semblant pas adaptée à la gestion d’un service public de qualité pour la production, l’adduction et l’alimentation en eau potable. Les éléments relatifs à la création de ce syndicat ont été présentés ors du Conseil Communautaire du 05 novembre 2015. Le projet du Syndicat AEP Sud Charente porterait sur la fusion de dix Syndicats auxquels s’adjoindrait la ville de Barbezieux : SIAEP de LA FONT CHAUDE SIAEP de BAIGNES SIAEP du BROSSACAIS SIAEP de LA FONT DES ABIMES SIAEP de RONSENAC-EDON SIAEP de LA FONT DU GOUR SIAEP de CHALAIS SIAEP des COLLINES DU MONTMORELIEN SIAEP de SALLES LAVALETTE SIAEP des ESSARDS COMMUNE de BARBEZIEUX-SAINT-HILAIRE Les chiffres clefs de ce futur Syndicat sont les suivants : 107 Communes 45 823 Habitants 21 167 Abonnés 2,570 Millions de M3 vendus Linéaire du réseau : 2 437 Km Le diaporama relatif à ce projet de ce syndicat a été présenté lors de la réunion du 05 novembre 2015 et a été transmis à l’ensemble des communes. Plusieurs raisons motivent la création de ce syndicat. Des motivations d’ordre légal La création d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente respecte les disposions de la loi NOTRe (Nouvelle Organisation du Territoire de la République) dès lors que son périmètre recouvrira pour partie le périmètre de trois Communautés de Communes. 4 Par ailleurs, la création de ce syndicat soulèvera moins de difficultés techniques et juridiques que celle relative à un syndicat départemental (hors SCOT de l’Angoumois) tel que prévu par le SDCI. Des motivations relatives à la qualité et au maintien d’un service de proximité A contrario d’un syndicat départemental (hors SCOT de l’Angoumois) tel que prévu par le SDCI, la création d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente permettra de conserver un service public de proximité et donc de qualité (grâce notamment à une réactivité du service par rapport aux besoins des usagers). De manière plus générale, la création d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente représente un échelon local qui favorisera le lien social avec les usagers et habitants. Des motivations en termes de gouvernance : A contrario d’un SDCI, la création gouvernance de mesure où : - syndicat départemental (hors SCOT de l’Angoumois) tel que prévu par le d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente permettra une proximité et de conserver un pouvoir décisionnel à l’échelon local dans la L’ensemble des communes, notamment rurales, y seront mieux représentées et les élus locaux y seront impliqués, Le Service Public de l’eau potable sera confié à des élus de proximité connaissant les problématiques locales et géographiques du service. La création d’un tel syndicat permettra en outre aux élus locaux de véritablement maîtriser : • les choix d’investissement (renouvellement réseaux…) et de gestion du service d’eau potable • le prix de l’eau des motivations liées à une mutualisation des moyens tout en conservant un pouvoir décisionnel à l’échelon local : Tout en conservant une gestion de proximité (à contrario d’un syndicat départemental hors SCOT de l’Angoumois tel que prévu par le SDCI), la création d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente permettra de mutualiser les moyens financiers et les compétences nécessaires au maintien d’un service d’eau potable de qualité ( à titre d’exemple, cette mutualisation favorisera les interconnexions de réseau et sécurisera donc l’ approvisionnement d’une eau potable de qualité sur l’ensemble du Sud Charente). des motivations techniques : La création d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente s’appuie également sur des raisons techniques : • la présence d’une eau de qualité liée aux sources turoniennes (qualité démontrée par l’ARS) • Des capacités de stockage des Châteaux d’eau Vu le projet de SDCI présenté par Monsieur le Préfet, Vu le projet de création d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente Vu l’exposé de Monsieur le Président, Considérant l’ensemble des éléments motivant la création d’un syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente, Considérant la nécessité de créer syndicat d’eau potable à l’échelle du Sud Charente, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité : 5 émet un avis favorable à la création d’un Syndicat d’eau à l’échelle du Sud Charente regroupant les collectivités suivantes : SIAEP de LA FONT CHAUDE SIAEP de BAIGNES SIAEP du BROSSACAIS SIAEP de LA FONT DES ABIMES SIAEP de RONSENAC-EDON SIAEP de LA FONT DU GOUR SIAEP de CHALAIS SIAEP des COLLINES DU MONTMORELIEN SIAEP de SALLES LAVALETTE SIAEP des ESSARDS COMMUNE de BARBEZIEUX-SAINT-HILAIRE demande à la CDCI de bien vouloir amender le SDCI afin d’y inscrire la création de ce Syndicat III. Finances 1. Projection du Compte Administratif 2015 Conformément à la Charte de fonctionnement de la Communauté de Communes, Madame Christine LABROUSSE, Vice-Présidente en charge des Finances, présente la projection de Compte Administratif 2015 de la Communauté de Communes. Il s’agit d’une protection synthétique et macro- économique du Compte administratif f 2015 et du fonds de roulement dont pourrait disposer la Communauté de Communes à l’issue de l’exercice budgétaire 2015. Cette présentation est assurée sous forme de diaporama. Le diaporama de présentation transmis à l’ensemble des communes et annexé au présent Compte- rendu. sera Lord du prochain Conseil Communautaire, Madame LABROUSSE indique qu’elle pourrait présenter le plan financier moyen terme de la Communauté de Communes (2015-2017). 2. Demande de fonds de concours de la Commune de Montmoreau Madame Christine LABROUSSE, Vice-présidente en charge des Finances, informe les membres de l’assemblée délibérante que la Commune de Montmoreau Saint Cybard doit procéder au remplacement de la toile écran, de la fourniture d’un transmetteur audio/vidéo et d’un serveur NAS pour la salle de cinéma communale. Le devis qu’elle a sollicité auprès de la société Ciné Service s’élève à 5 556, 24 € TTC. Aussi, par délibération en date du 28 octobre 2015, le Conseil Municipal de cette commune a sollicité l’octroi d’un fonds de concours égal à 50 % de la dépense. Pour rappel, le cadre légal des fonds de concours est le suivant. Conformément à la loi n° 2004-809 du 13 août 2014 et à l’article L 5214-16-V du Code Général des Collectivités Territoriales (C.G.C.T.), le fonds de concours ne peut excéder 50% du reste à charge HT supporté par le bénéficiaire, En l’espèce et conformément à la loi n° 2004-809 du 13 août 2014 et à l’article L 5214-16-V du Code Général des Collectivités Territoriales (C.G.C.T.), aucune subvention n’étant accordée pour cette opération, le fonds de concours que la Communauté de Communes peut accorder à la Commune de Montmoreau Saint Cybard s’élève à 50 % d’une dépense de 4 632, 20 € HT, soit un fonds de concours maximal de 2 315, 10 €, selon le plan de financement ci-après : 6 Fonds de concours Equipment cinéma Montmoreau Saint Cybard Remplacement Toile écran et fourniture d'un transmetteur audio-vidéo Fourniture et installatation d'un serveur NAS TOTAL € HT Montant Fonds de concours Maxi 50 % du Total € HT Total € TTC 2 524,20 2 106,00 4 630,20 2 315,10 5 556,24 Les crédits nécessaires sont à prélever sur les crédits inscrits pour les dépenses relatives à l’enseigne de l’Espace Arc en Ciel (4 500 € prévus au Budget Primitif 2015). Vu l’exposé de Madame LABROUSSE, Vu la loi n° 2004-809 du 13 août 2014, Vu l’article L 5214-16-V du Code Général des Collectivités Territoriales, Vu le plan de financement de l’opération, Considérant qu’en application de ce plan de financement, le montant du fonds de concours n’excède pas la part du financement assurée, hors subvention, par le bénéficiaire du fonds de concours, Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité : Décide de verser à la commune de Montmoreau Saint Cybard un fonds de concours de 2 315, 10 € pour le remplacement de la toile écran, de la fourniture d’un transmetteur audio/vidéo et d’un serveur NAS pour la salle de cinéma communale, soit un fonds de concours correspondant à 50 % d’une dépense soit 4 630, 20 € HT (5 526, 54 € TTC). Autorise Monsieur le Président ou son représentant à signer la convention correspondante. 3. Décisions Budgétaires Modificatives Madame Christine LABROUSSE, Vice-présidente en charge des Finances, invite le Conseil Communautaire à adopter les Décisions Budgétaires Modificatives suivantes concernant le Budget Principal 2015 : DM n°11 Afin d’ajuster les crédits en dépenses d’investissement aux contrats signés, il est nécessaire de faire les DM suivantes : Investissement Opération 241 – Halte garderie Mille pattes 254 - fonds de concours cinéma Montmoreau Dépenses Article Libellé et objet Montant TTC 205 Logiciel 2041412 Total Opération 14,40 240 - Coccinelle 2 315,10 200 - réha du théâtre 2 329,50 Dépenses Article Libellé et objet Montant TTC installations 2181 -14,40 générales Autres installations, 2158 -2 315,10 matériels -2 329,50 DM n°12 Afin d’ajuster les charges de personnel, il est nécessaire de faire les ouvertures de crédit suivantes : 7 fonctionnement Article 64131 Dépenses Libellé et objet remunerations Recettes Montant TTC Article 19 744,99 70872 6419 6459 Total Libellé et objet Montant TTC remboursement Bp écoles 19 457,00 remboursementsur rémunération personnel remboursementsur charges personnel 19 744,99 96,44 191,55 19 744,99 Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, approuve les propostions De Madame LABROUSSE. IV. Développement Economique : 1. Dépôt d’un dossier FISAC (Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce) Monsieur Jean-Michel BOLVIN, Vice-président en charge du Développement Economique, rappelle les éléments suivants concernant le dispositif ADEL (Aide au Développement Economique Local) Il s’agit d’une opération collective de soutien aux artisans et commerçants locaux dans leur projet d’installation, de développement ou de modernisation de leurs locaux ou de leurs outils de production (achat de nouvelles machines, travaux d’aménagement intérieur, etc.) La Communauté de communes Tude et Dronne, en partenariat avec la Communauté de communes des 4B Sud Charente, le Pays Sud Charente et le Département de la Charente s’est engagée dans la mise en œuvre de ce dispositif ADEL sur la période 2014-2016. Ce dispositif permet d’aider les porteurs de projet d’entreprise : - en création (non éligible à la Bourse Régionale Désir d’Entreprendre) - en développement, (non éligible ou en complément de la subvention Coup de Pouce Régional et ainsi d’augmenter l’effet levier de l’aide publique dès lors que l’investissement éligible est supérieur à 25 000 € HT). La dotation financière du dispositif ADEL TPE Sud Charente se chiffre à 120 000€. Elle a été établie sur la base d’un partenariat à part égale : - 60 000 € du Sud Charente via les deux CdC Tude et Dronne et CdC 4B Sud Charente 60 000 € du Département de la Charente. Le Conseil Communautaire est informé qu’une opportunité de financement complémentaire pour abonder le dispositif ADEL est possible via un appel à projets FISAC de l’Etat qui permettrait de mobiliser 75 600 € au titre du : - FISAC investissement, à parité avec le Département et le Pays, 60 000 € FISAC animation, sur la base d’un « équivalent mi-temps » d’ingénierie et des frais de communication et promotion du dispositif, 15 600 € La mobilisation des crédits FISAC animation prévu à hauteur de 15600€ n’est pas validée; elle est en cours d’établissement et sera accompagnée d’une convention de partenariat technique et financière entre le Pays Sud Charente, la Communauté de Communes 4 B Sud Charentes et la communauté de communes Tude et Dronne. 8 Sous réserve de l’obtention des crédits FISAC sollicités, la dotation financière ADEL se chiffrait alors à 198 065 €, selon la répartition ci-après. Finacement du dispostif ADEL Département de la Charente CDC Tude et Dronne et 4 B Reliquat crétit CORDEE TPE FI SAC TOTAL = (1) Montant moyen des aides/dossier = (2) Nombre Total estimatif des dossiers aidés sur 2 ans = (1)/(2) 60 000 60 000 18 065 60 000 198 065 5 007 40 La mobilisation de l’enveloppe FISAC permettrait potentiellement une aide pour 40 dossiers au titre d’ADEL, sur la période 2015/2016, à raison de 5 000€ en moyenne par bénéficiaire (cumulable avec d’autres aides publiques comme la BRDE ou le Coup de Pouce) Afin de mobiliser l’aide FISAC complémentaire permettant d’abonder le dispositif ADEL, un dossier de demande de subvention « Opération Rurale Collective » est à constituer par les deux Communautés de Communes et le Pays. Il devra être déposé par le Pays auprès des services de la DIRECCTE avant le 29/01/2016. L’animation de l’opération collective ADEL, pour sa mise en place, sa gestion, son suivi et son évaluation sera assurée, en concertation, par le Pays Sud Charente et les deux communautés de communes du territoire. Une convention entre ces trois structures précisera le rôle de chaque partenaire. Aussi, Monsieur BOLVIN propose au Conseil communautaire : D’approuver la candidature à cet appel à projet FISAC, faisant l’objet d’un dépôt de dossier par le Pays Sud Charente auprès de la Direction Régionale des Entreprises de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE), D’Autoriser le Président à signer les conventions avec ses partenaires techniques et financiers D’Autoriser le Président à effectuer les démarches afférentes à la poursuite de la mise en œuvre de ce dispositif ADEL. Vu l’exposé de Monsieur BOLVIN, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, approuve les propositions de Monsieur BOLVIN. En réponse à Monsieur MAURY, Monsieur BOLVIN indique qu’il présentera un bilan des aides économiques lors du prochain Conseil Communautaire. 9 V. Services à la population 1. Autorisation de demande de subvention auprès de la CAF au titre du « Fonds Prestation de Service Unique » (PSU) pour l’aménagement de cuisine et l’acquisition d’un logiciel de gestion à la maison de la petite-enfance « Millepatte » de Chalais Madame Mireille NEESER, Vice-présidente en charge des Services à la Population, expose la situation suivante. La Communauté de communes est compétente en matière de petite-enfance (0-3 ans) pour la gestion de la maison de la petite-enfance « Coccinelle » à Montmoreau. Par délibération en date du 9 juillet 2015, la Communauté de communes a décidé l’intégration des structures petite-enfance de Chalais et de Saint-Séverin à compter du 1er janvier 2016, actuellement gérées respectivement par le centre socioculturel de Chalais et l’association Temps Jeunes. Ces trois structures petite-enfance bénéficient d’une aide au fonctionnement versée par la CAF, dénommée « Prestation de Service Unique » (PSU). Le financement des modes de garde repose sur une participation des familles en fonction de leurs revenus, calculé selon un barème national fixé par la CNAF. Plus les revenus sont faibles, moins la participation de la famille est importante. Toutefois, afin de sécuriser les recettes pour le gestionnaire, la CAF verse la PSU en complément de la participation familiale pour atteindre le barème national. Ainsi, chaque heure facturée aux familles est financée par la CAF. Néanmoins, la CNAF constate que les niveaux de services rendus par les structures ne sont pas homogènes, alors même que le système de financement par la PSU est identique : certaines structures fournissent les repas aux enfants, certaines fournissent les couches, d’autres délivrent les repas et les couches aux enfants. Ce système engendre une iniquité entre toutes les familles. De cette analyse, la CNAF a décidé de moduler le montant de la prestation de service unique en fonction du service rendu, à compter de 2014. Une dérogation avait été obtenue pour les trois structures petite-enfance du territoire, permettant de délivrer les couches et les repas aux enfants au plus tard au 1er janvier 2017. Actuellement, les services rendus sont les suivants : - Halte-garderie « Coccinelle » à Montmoreau : délivrance des couches mais pas des repas - Multi accueil « Babibulle » à Chalais : délivrance des couches mais pas des repas - Micro crèche « Babibulle » à Saint-Séverin : délivrance des couches mais pas des repas La problématique pour la communauté de communes est donc d’organiser pour le 1 er janvier 2017 la délivrance des repas dans les trois structures du territoire. Afin d’accompagner la mise en œuvre de ce nouveau service, la CAF peut octroyer au titre du « Fonds PSU » des aides à l’investissement destinées à construire ou aménager des cuisines, à acheter du matériel de conservation / réchauffage de repas à hauteur maximum de 3700€ par place et dans la limite de 80% maximum des dépenses subventionnables. Les locaux existants donnent capacité à aménager soit une cuisine autonome (les repas sont fabriqués sur place), soit une cuisine satellite (les repas sont livrés en liaison chaude depuis une cuisine centrale). Ces deux options nécessitent des aménagements et l’acquisition d’équipements de cuisine. 10 La commission « Services à la population » étudie les avantages et les inconvénients de ces deux options, au regard de la qualité de service rendu, de l’efficacité de gestion et des coûts de fonctionnement induits. Aucune décision quant aux modalités de délivrance des repas n’a pour le moment été prise. Les coûts d’investissements étant semblables dans les deux scénarii, la commission « Services à la population » propose de déposer une demande de subvention auprès de la CAF pour les investissements à réaliser en 2016 et de continuer sa réflexion sur le choix des modalités de gestion. Par ailleurs, la seconde problématique que rencontre la Communauté de Communes concerne l’harmonisation des modes de gestion des trois structures petite-enfance. En effet, la décision d’intégration des structures de Chalais et de Saint-Séverin implique de disposer des mêmes procédures de gestion, en particulier pour le pointage des heures réalisées par les familles et les déclarations de données auprès de la CAF et de la MSA. Cette gestion nécessite le recours à un système informatisé prenant en compte notamment le pointage et le décompte du nombre d’heures réalisées par enfant, le quotient familial des parents et la gestion de la facturation. Actuellement, cette gestion informatisée s’effectue par un logiciel identique pour les structures de Montmoreau et de Saint-Séverin, mais différent de celui de la structure de Chalais. Afin de disposer d’un même système pour l’ensemble des structures, Madame NEESER propose au Conseil Communautaire de doter la maison de la petite-enfance « Millepatte » de Chalais du même logiciel que celui de « Coccinelle » et « Babibulle ». Cette acquisition bénéficierait également d’un soutien financier au titre du « Fonds PSU » dans la limite de 80% des dépenses subventionnables. Considérant la problématique de délivrance des repas d’une part, et considérant la nécessité de doter la maison de la petite-enfance « Millepatte » de Chalais du même logiciel de gestion que les deux autres structures du territoire, Madame NEESER propose au Conseil Communautaire : d’autoriser le dépôt d’un dossier de demande de subvention au titre du fonds PSU pour la Maison de la petite-enfance « Millepatte » selon le plan de financement suivant : Dépenses Montant HT I nv estissement pour la fourniture des repas (équipement et aménagements) Acquisition du logiciel de gestion et de pointage Total dépenses 13 334 1 317 14 650 Recettes CAF Autofinancement Total recettes Montant 11 720 2 930 14 650 d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à engager toutes démarches concernant cette opération. Les crédits nécessaires à l’acquisition du logiciel sur l’exercice 2 015 sont à prélever sur l’opération « Coccinelle » pour laquelle des crédits à hauteur de 3 000 € avaient été inscrits pour des travaux de terrassement (à la demande de la PMI). Le montant des travaux réalisés ne s’élève finalement qu’à hauteur de 840 € et permet donc le virement nécessaire de crédits pour l’acquisition logiciel Vu l’exposé de Madame NEESER, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, approuve les propositions de Madame NEESER. 11 2. Autorisation de demande de subvention auprès de la CAF au titre du « Fonds Prestation de Service Unique » (PSU) pour l’aménagement d’une cuisine à la maison de la petiteenfance « Coccinelle » de Montmoreau Madame Mireille NEESER, Vice-présidente en charge des Services à la Population, expose la situation suivante. La Communauté de communes est compétente en matière de petite-enfance (0-3 ans) pour la gestion de la maison de la petite-enfance « Coccinelle » à Montmoreau. Par délibération en date du 9 juillet 2015, la Communauté de communes a décidé l’intégration des structures petite-enfance de Chalais et de Saint-Séverin à compter du 1er janvier 2016, actuellement gérées respectivement par le centre socioculturel de Chalais et l’association Temps Jeunes. Ces trois structures petite-enfance bénéficient d’une aide au fonctionnement versée par la CAF, dénommée « Prestation de Service Unique » (PSU). Le financement des modes de garde repose sur une participation des familles en fonction de leurs revenus, calculé selon un barème national fixé par la CNAF. Plus les revenus sont faibles, moins la participation de la famille est importante. Toutefois, afin de sécuriser les recettes pour le gestionnaire, la CAF verse la PSU en complément de la participation familiale pour atteindre le barème national. Ainsi, chaque heure facturée aux familles est financée par la CAF. Néanmoins, la CNAF constate que les niveaux de services rendus par les structures ne sont pas homogènes, alors même que le système de financement par la PSU est identique : certaines structures fournissent les repas aux enfants, certaines fournissent les couches, d’autres délivrent les repas et les couches aux enfants. Ce système engendre une iniquité entre toutes les familles. De cette analyse, la CNAF a décidé de moduler le montant de la prestation de service unique en fonction du service rendu, à compter de 2014. Une dérogation avait été obtenue pour les trois structures petite-enfance du territoire, permettant de délivrer les couches et les repas aux enfants au plus tard au 1er janvier 2017. Actuellement, les services rendus sont les suivants : - Halte-garderie « Coccinelle » à Montmoreau : délivrance des couches mais pas des repas Multi accueil « Babibulle » à Chalais : délivrance des couches mais pas des repas Micro crèche « Babibulle » à Saint-Séverin : délivrance des couches mais pas des repas La problématique pour la communauté de communes est donc d’organiser pour le 1 er janvier 2017 la délivrance des repas dans les trois structures du territoire. Afin d’accompagner la mise en œuvre de ce nouveau service, la CAF peut octroyer au titre du « Fonds PSU » des aides à l’investissement destinées à construire ou aménager des cuisines, à acheter du matériel de conservation / réchauffage de repas à hauteur maximum de 3700€ par place et dans la limite de 80% maximum des dépenses subventionnables. Les locaux existants donnent capacité à aménager soit une cuisine autonome (les repas sont fabriqués sur place), soit une cuisine satellite (les repas sont livrés en liaison chaude depuis une cuisine centrale). Ces deux options nécessitent des aménagements et l’acquisition d’équipements de cuisine. La commission « Services à la population » étudie les avantages et les inconvénients de ces deux options, au regard de la qualité de service rendu, de l’efficacité de gestion et des coûts de fonctionnement induits. Aucune décision quant aux modalités de délivrance des repas n’a pour le moment été prise. 12 Les coûts d’investissements étant semblables dans les deux scénarii, la commission « Services à la population » propose de déposer une demande de subvention auprès de la CAF pour les investissements à réaliser en 2016 et de continuer sa réflexion sur le choix des modalités de gestion. Madame NEESER propose donc au Conseil Communautaire : d’autoriser le dépôt d’un dossier de demande de subvention au titre du fonds PSU pour la Maison de la petite-enfance « Coccinelle » selon le plan de financement suivant : Dépenses Montant HT I nv estissement pour la fourniture 17 161 des repas (équipements et aménagements) Total dépenses 17 161 Recettes Montant CAF 13 729 Autofinancement Total recettes 3 432 17 161 d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à engager toutes démarches concernant cette opération. Vu l’exposé de Madame NEESER, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, approuve les propositions de Madame NEESER. 3. Autorisation de demande de subvention auprès de la CAF au titre du « Fonds Prestation de Service Unique » (PSU) pour l’aménagement d’une cuisine à la micro-crèche « Babibulle » de Saint-Séverin Madame Mireille NEESER, Vice-présidente en charge des Services à la Population, expose la situation suivante. La Communauté de communes est compétente en matière de petite-enfance (0-3 ans) pour la gestion de la maison de la petite-enfance « Coccinelle » à Montmoreau. Par délibération en date du 9 juillet 2015, la Communauté de communes a décidé l’intégration des structures petite-enfance de Chalais et de Saint-Séverin à compter du 1er janvier 2016, actuellement gérées respectivement par le centre socioculturel de Chalais et l’association Temps Jeunes. Ces trois structures petite-enfance bénéficient d’une aide au fonctionnement versée par la CAF, dénommée « Prestation de Service Unique » (PSU). Le financement des modes de garde repose sur une participation des familles en fonction de leurs revenus, calculé selon un barème national fixé par la CNAF. Plus les revenus sont faibles, moins la participation de la famille est importante. Toutefois, afin de sécuriser les recettes pour le gestionnaire, la CAF verse la PSU en complément de la participation familiale pour atteindre le barème national. Ainsi, chaque heure facturée aux familles est financée par la CAF. Néanmoins, la CNAF constate que les niveaux de services rendus par les structures ne sont pas homogènes, alors même que le système de financement par la PSU est identique : certaines structures fournissent les repas aux enfants, certaines fournissent les couches, d’autres délivrent les repas et les couches aux enfants. Ce système engendre une iniquité entre toutes les familles. De cette analyse, la CNAF a décidé de moduler le montant de la prestation de service unique en fonction du service rendu, à compter de 2014. Une dérogation avait été obtenue pour les trois structures petite-enfance du territoire, permettant de délivrer les couches et les repas aux enfants au plus tard au 1er janvier 2017. 13 Actuellement, les services rendus sont les suivants : - Halte-garderie « Coccinelle » à Montmoreau : délivrance des couches mais pas des repas - Multi accueil « Babibulle » à Chalais : délivrance des couches mais pas des repas - Micro crèche « Babibulle » à Saint-Séverin : délivrance des couches mais pas des repas La problématique pour la communauté de communes est donc d’organiser pour le 1 er janvier 2017 la délivrance des repas dans les trois structures du territoire. Afin d’accompagner la mise en œuvre de ce nouveau service, la CAF peut octroyer au titre du « Fonds PSU » des aides à l’investissement destinées à construire ou aménager des cuisines, à acheter du matériel de conservation / réchauffage de repas à hauteur maximum de 3700€ par place et dans la limite de 80% maximum des dépenses subventionnables. Les locaux existants imposent l’aménagement et l’équipement d’une cuisine satellite (les repas sont livrés en liaison chaude depuis une cuisine centrale). La commission « Services à la population » étudie les possibilités de livraison, au regard de la qualité de service rendu, de l’efficacité de gestion et des coûts de fonctionnement induits. Aucune décision quant à la cuisine centrale partenaire n’a pour le moment été prise. Ce choix pourrait impliquer l’acquisition d’un véhicule. La commission « Services à la population » propose de déposer une demande de subvention auprès de la CAF pour les investissements à réaliser en 2016 et de continuer sa réflexion sur le choix de la cuisine centrale partenaire. Madame NEESER propose donc au Conseil Communautaire : d’autoriser le dépôt d’un dossier de demande de subvention au titre du fonds PSU pour la micro-crèche « Babibulle » selon le plan de financement suivant : Dépenses Montant HT I nv estissement pour la fourniture 5 829 des repas (équipements et aménagements) Total dépenses 5 829 Recettes Montant CAF 4 663 Autofinancement Total recettes 1 166 5 829 d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à engager toutes démarches concernant cette opération. Vu l’exposé de Madame NEESER, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, approuve les propositions de Madame NEESER. VI. Aménagement et Environnement 1. Rapport d’activités 2014 du Syndicat CALITOM Le Conseil Communautaire est invité à se prononcer sur le rapport d’activités 2014 du Syndicat CALITOM. Ce document, contenant les indicateurs financiers et techniques relatifs à l’activité 2014 du Syndicat, a été transmis à l’ensemble des Conseillers Communautaires. Vu le rapport d’activités 2014 du Syndicat CALITOM. Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, approuve le rapport d’activités 2014 du Syndicat CALITOM. 14 VII. Affaires Scolaires 1. Reversement du fonds d’amorçage à l’association l’Oison Monsieur Jacques MERCIER Vice-président en charge des Affaires Scolaires, rappelle que l’organisation et l’animation des TAP (Temps d’Activités Périscolaires) étaient confiées par le SIVOS de Saint Amant de Montmoreau à l’association l’Oison. Dans ce cadre et afin de permettre le financement et l’organisation des TAP, le SIVOS de Saint Amant de Montmoreau reversait à l’association l’Oison la totalité du fonds d’amorçage perçu par les Communes de Montmoreau Saint Cybard et de Saint Amant de Montmoreau et reversé par ces dernières au SIVOS. La Communauté de Communes étant compétente dans le domaine scolaire sur l’ensemble du territoire communautaire depuis le 1er août 2015, Monsieur MERCIER propose au Conseil : De poursuivre le partenariat noué avec l’association l’Oison pour l’organisation et le financement des TAP au sein des écoles de Montmoreau Saint Cybard et de Saint Amant de Montmoreau, D’approuver et d’autoriser la signature de la convention permettant l’organisation et le financement des TAP, D’autoriser le reversement à l’association l’Oison le fonds d’amorçage correspdanat à l’année scolaires 2015/2015 Pour l’année scolaire 2015-2016 le versement est le suivant : Versement d’un premier acompte de 2 716.67 € avant le 31 décembre 2015, Versement du solde égal au montant définitif du fonds d’amorçage perçu par la communauté de communes moins l’acompte déjà versé. Le versement du solde interviendra avant le 31 juillet 2016. d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer tout document se rapportant à cette affaire. Monsieur MERCIER précise que le montant du fonds d’amorçage s’élève à 50 €/élève inscrit à l’école (et non par élève inscrit aux TAP). Ce fonds est majoré de 40 € pour les communes éligibles à la fraction cible de la DSR. Pour l’année scolaire 2014/2015, la Commune de Montmoreau Saint Cybard a bénéficié d’un fonds d’amorçage de 90 €/élève. Pour l’année 2015/2016, ce fonds sera d’un montant de 50 €/élève, la Commune de Montmoreau n’étant plus éligible à la DSR cible. Vu l’exposé de Monsieur MERCIER, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, approuve les propositions de Monsieur MERCIER. 2. Retour sur la réunion organisée avec le DASEN le 06 novembre 2015 Monsieur Jacques MERCIER Vice-président en charge des Affaires Scolaires, rappelle que, suite à la réunion organisée avec le DASEN le 05 novembre 2015 sur la carte scolaire, celui-ci s’est engagé à fournir les projections d’effectifs scolaires en décembre 2015. Ces projections permettront à la Communauté de Communes d’organiser, début 2015, une réunion de Conseil Communautaire intégralement dédiée au débat sur la carte scolaire. 15 IX. Ressources Humaines 1. Création d’un emploi permanent d’auxiliaire de soin En l’absence de Monsieur Alain RIVIERE, Vice-président en charge des Ressources Humaines, Monsieur le Président rappelle que, par délibération en date du 09 juillet 2015, le Conseil Communautaire avait donné son accord pour que la Communauté de Communes (CdC) reprenne en régie, à compter du 1er janvier 2016, les activités petite-enfance du centre socioculturel de Chalais (multi accueil, RAM, LAEP) et de l’association Temps Jeunes (micro crèche, RAM, LAEP). Les procédures administratives relatives à la reprise des agents sont engagées et en cours. Dans le cadre de la procédure juridique de reprise des agents des deux structures par la CdC, les agents concernés « transférés » seront recrutés sous un statut contractuel. Les postes correspondant seront créés lors du Conseil Communautaire du 17 décembre 2015. Toutefois, l’association Temps Jeunes compte parmi ses effectifs une auxiliaire de puériculture, qui dispose du diplôme correspondant. Cet agent (Madame Cécile LACAMBRA) est titulaire de la fonction publique territoriale dans le grade d’auxiliaire de soin de 1ère classe. Elle est employée par l’EHPAD de Villebois-Lavalette et a sollicité une disponibilité pour convenance personnelle. Aussi, le recrutement de cet agent ne pourra s’effectuer que via une procédure de mutation. Afin de respecter la notion de « délai raisonnable » (1 mois) pour un recrutement par voie de mutation à compter du 1er janvier 2016, Monsieur le Président indique qu’il s’avère nécessaire de créer dès maintenant l’emploi permanent d’auxiliaire de soin de 1ère class. Le poste sera à pourvoir à compter du 1er janvier 2016. Vu l’exposé de Monsieur le Président, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, décidé de créer un emploi permanent d’auxiliaire de soin de 1ère classe à temps complet à compter du 1er janvier 2016. 2. CONTRAT CDD Isabelle LANDRODIE En l’absence de Monsieur Alain RIVIERE, Vice-président en charge des Ressources Humaines, Monsieur le Président expose la situation suivante. Madame Isabelle LANDRODIE (cantinière à l’école Aubeterre sur le grade d’adjoint technique territorial de 2ème classe) a été recrutée par la CDC TUDE ET DRONNE (suite à la fermeture du Centre de Découverte d’Aubeterre) à compter du 02 janvier 2015, sur un temps de travail de 24.3 heures hebdomadaires. Cet agent effectue également des heures de ménage à la crèche BABIBULE à ST SEVERIN et à la salle des fêtes de NABINAUD pour le RAM LAEP. Ces heures sont remboursées par l’Association temps Jeune. Deux contrats ont été établis pour cet agent : - du 02/01/2015 au 01/07/2015 - du 02/07/2015 au 01/01/2016. Il n’y a pas la possibilité légale de renouveler ces contrats au-delà d’1 an. Si la collectivité souhaite conserver l’agent pour assurer le service de la cantine scolaire d’Aubeterre, une procédure de stagiairisation devra être lancée. Madame Isabelle LANDRODIE donne satisfaction dans son travail. Elle est expérimentée et connait les protocoles d’hygiène et sécurité à mettre en place dans le cadre des missions qui lui 16 sont confiées. Son expérience antérieure en cuisine centrale est un atout non-négligeable pour la Communauté de Communes. Aussi, afin de permettre la poursuite de l’exercice des missions de Madame Isabelle LANDRODIE, Monsieur le Président propose au Conseil Communautaire de créer un emploi permanent d’Adjoint Technique Territorial de 2nde classe à temps non complet (24, 30 /35ème). Vu l’exposé de Monsieur le Président, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, décide de créer un emploi permanent d’Adjoint Technique Territorial de 2nde classe à temps non complet (24, 30 /35ème) à compter du 02 janvier 2016. 3. CONTRAT CDI et CDD Laurence DESAIX En l’absence de Monsieur Alain RIVIERE, Vice-président en charge des Ressources Humaines, Monsieur le Président expose la situation suivante. Madame Laurence DESAIX a été transférée du SIVOS de SALLES-LAVALETTE à la CDC TUDE ET DRONNE le 01/08/2015. Elle bénéficie : - - d’un CDI sur lequel elle est nommée sur le grade d’Adjoint d'Animation 2nde Classe, à raison de 17,61 heures hebdomadaires (Salles Lavalette : garderie et TAP : Temps d’Activités Périscolaires). d’un CDD arrivant à échéance le 31/12/2015 sur le grade d’adjoint technique territorial de 2ème classe, à raison de 3.94 heures hebdomadaires (surveillances de la cantine et de la cour de Palluaud). Le SIVOS de SALLES-LAVALETTE avait pris l’engagement de stagiairiser Madame Laurence DESAIX sur son contrat CDI d’adjoint d’animation, dès lors qu’elle obtiendrait son BAFA, diplôme qu’elle a obtenu le 09/06/2015. Cette décision avait été approuvée par Monsieur Jacques MERCIER, Vice-président en charge des Affaires Scolaires, lors de la séance du comité syndical de SALLES-LAVALETTE du 29 juin 2015. Madame DESAIX donne satisfaction dans ses différentes fonctions et sait se rendre disponible dans le cadre de remplacements divers. Aussi, Monsieur le Président propose de respecter l’engagement pris par le SIVOS de SALLESLAVALETTE et de stagiairiser Madame DESAIX sur le grade d’Adjoint d’animation Territorial de 2nde classe à temps non complet (17, 61 /35ème) à compter du 1er janvier 2016. Par ailleurs, Monsieur le Président propose également de prolonger le CDD arrivant à échéance le 31/12/2015 sur le grade d’adjoint technique territorial de 2 ème classe, à raison de 3.94 heures hebdomadaires (surveillances de la cantine et de la cour de Palluaud). A cette fin, Monsieur le Président propose de créer un emploi pour faire face à un accroissement temporaire d’activité Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, notamment les articles 3 et 34, Vu l’exposé de Monsieur le Président, 17 Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité : - accepte de stagiairiser Madame Laurence DESAIX en lieu et place du CDI sur lequel elle est nommée dans le grade d’Adjoint d'Animation de 2nde Classe, à raison de 17.61 heures hebdomadaires, autorise Monsieur le Président, ou son représentant, à signer tout document concernant cette opération. décide : 1) De créer, à compter du 1er janvier 2016 et jusqu’au 31 décembre 2016, un poste non permanent pour faire face à un besoin lié à un accroissement temporaire d’activité sur le grade d’adjoint Technique Territorial de 2 nde classe à temps non complet à hauteur de 3,94 /35ème par semaine et d’autoriser Monsieur le Président à recruter un agent contractuel pour pourvoir cet emploi et à signer le contrat de recrutement 2) De fixer la rémunération de l’agent recruté au titre d’un accroissement temporaire d’activité comme suit : la rémunération de cet agent est fixée sur la base du 1er échelon du grade d’Adjoint Technique Territorial de 2 nde classe. X. Questions diverses 1. Programme Leader 2014-2020 Monsieur le Président indique que, par courrier en date du 29 octobre 2015, Monsieur le Président du Syndicat Mixte du Pays Sud Charente a bien voulu informer la Communauté de Communes que la candidature du Pays Sud Charente a été retenue dans la cadre de l’appel à projet Leader 2014-2020 autour des la priorité ciblée suivante « conquérir le marché urbain de proximité ». Cette stratégie s’articule autour de trois enjeux principaux : - - Promouvoir le territoire Sud Charente afin d’attirer de nouveaux résidents, professionnels de santé, touristes… développer les échanges entre le Sud Charente et les agglomérations voisines améliorer les services du territoire afin de rendre ce dernier plus attractif Il s’avère aujourd’hui nécessaire de mettre en place le comité de programmation permettant de préparer le conventionnement du dispositif avec l’autorité de gestion et pouvoir commencer à valider les opérations. Dans cette optique, Monsieur le Président du Syndicat mixte du Pays Sud Charente propose que la CdC désigne deux membres titulaires et deux membres suppléants pour siéger au sein du Groupe d’Action LEADER(GAL). Le Bureau Communautaire propose de désigner les représentants suivants : Membres titulaires : Monsieur Joël PAPILLAUD Monsieur Jean-Michel BOLVIN Membres suppléants Madame Christine LABROUSSE Madame Murielle SAINT LOUPT Monsieur le Président lance un appel à candidature auprès des membres de l’assemblée délibérante pour siéger au sein du Groupe d’Action LEADER (GAL). 18 Aucun conseiller communautaire ne répond à cet appel à candidature. Vu l’exposé de Monsieur le Président, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, désigne les élus suivants pour siéger au sein du Groupe d’Action LEADER (GAL) : Membres titulaires : Monsieur Joël PAPILLAUD Monsieur Jean-Michel BOLVIN Membres suppléants Madame Christine LABROUSSE Madame Murielle SAINT LOUPT Dates des prochaines réunions : o o 10 décembre 2015 à18h30 : CLECT dédiée à la voirie. 17 décembre 2015 à 18h30 : Conseil Communautaire à Nonac suivi d’un repas de fin d’année à 20 h30 au restaurant de Nonac. L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 21h56. Le Président Joël PAPILLAUD 19