Dossier de presse Filière meuble

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Dossier de presse Filière meuble
Dossier de presse Filière meuble
2 septembre 2015
Contacts presse :
Manon Desjardins - Cohn & Wolfe
37, rue de Bellefond - 75009 Paris
Tél : + 33 1 49 70 43 11
Email : [email protected]
SOMMAIRE
I – La relance du mobilier domestique en France : initiatives et défis
1. Les initiatives des professionnels pour soutenir le marché et ses entreprises
P.2
2. Le soutien à la consommation par déblocage de l’épargne logement plus que
jamais justifié
P.3
3. Les autres défis environnementaux et économiques de la filière meuble
P.5
II – Résultats du marché de l’ameublement domestique au 30/06/2015 et
ses perspectives
P6
III – FNAEM, UNIFA et IPEA : fiches d’identité
1. FNAEM : accompagner le secteur de la distribution et veiller à mener des
actions et des politiques favorables au consommateur
P.8
2. UNIFA : assurer la représentation et la défense des fabricants d’ameublement
P.9
3. IPEA : source statistique reconnue des marchés de l’ameublement et de
l’habitat
P.10
Annexes :
 Rappel - Chiffres clés sociaux de la filière
 Les enseignes adhérentes de la FNAEM
 Quelques marques adhérentes de l’UNIFA
1
I – La relance du mobilier domestique en France :
initiatives et défis
Le très léger redressement d’activité constaté en début d’année en France, dans la
consommation de meubles par les ménages, n’a finalement constitué qu’une éphémère
embellie, dont la fugacité et la très faible ampleur n’auront pas permis de corriger, ne serait-ce
que partiellement, le recul significatif du marché enregistré depuis presque quatre ans. La
valeur du marché français du mobilier domestique demeure toujours inférieure à son niveau
de… 1990, tandis qu’aucun des paramètres susceptibles d’anticiper une reprise durable et
significative de l’activité à court et moyen terme, n’est détectable. Face à cette situation,
fabricants et distributeurs de meubles multiplient les initiatives pour relancer la consommation
de meubles en France et soutenir leurs entreprises et leurs 125 000 salariés.
1. Les initiatives des professionnels pour soutenir le marché et
ses entreprises
Face à une situation économique française durablement dégradée, fabricants et distributeurs
de meubles ont décidé de faire leur l’adage « aide toi et le ciel t’aidera », sans attendre des
mesures de soutien, par ailleurs sollicitées auprès des pouvoirs publics, toujours en réflexion au
sein du gouvernement.
La FNAEM vient ainsi d’annoncer le financement sur ses fonds propres au profit de ses 3300
magasins adhérents d’une campagne nationale de dynamisation collective du marché
de l’ameublement et de l’équipement de la maison, sous le thème de la
« Meublothérapie » ou « l’art de se faire du bien avec le meuble et sa décoration ».
Lancée sur le web dans le cadre d’un dispositif digital ambitieux le 7 décembre prochain à
l’occasion du salon Esprit Meubles, cette campagne nationale a pour objectif de s’adresser
pendant un an à plus d’un million de Français intéressés par leur intérieur. Elle permettra
aux consommateurs internautes, blogueurs et utilisateurs des réseaux sociaux de bénéficier
des conseils d’aménagement et de décoration de la part de professionnels connus et reconnus
(décorateurs, journalistes spécialisés), tous indépendants des enseignes de distribution.
Rythmée par des informations saisonnières sur les nouveautés du marché, elle vise à inspirer
et donner envie, mais aussi à rassurer les consommateurs sur les conditions et la nature de
leur prochain achat, pour mieux le réussir. Ces derniers pourront également gagner des
séances de coaching déco, des bons d’achats, des abonnements à des revues de décoration et
aussi des ouvrages traitant de l’ameublement.
Côté fabrication, l’UNIFA vient d’annoncer sa participation financière, au fonds de soutien à
la filière bois-ameublement ouvert par Bpifrance pour aider à la consolidation et à la
modernisation du secteur. L'UNIFA apporte un million d’euros au capital du fonds de
soutien, ouvert en octobre et déjà doté de 25 millions d'euros. Ce fonds de soutien
interviendra sur des projets de financement, d'investissement, d'alliances ou de transmissions
d'entreprises. Il permettra de faciliter le développement des industriels français de
l’ameublement notamment à l’international et de les accompagner dans leur mutation.
Cet investissement s’inscrit dans un contexte d’une croissance mondiale soutenue. En effet, la
production mondiale de meubles, de 327 milliards d’euros, progresse de +7,3% par an depuis
2009. L’Ameublement français doit s’inscrire dans cette dynamique positive.
2
La recherche de compétitivité passera également par des efforts accrus en termes de
formation et de qualification ; les salariés devant notamment s’adapter rapidement aux
défis de la révolution digitale, tant dans l’industrie que dans la distribution.
Ces multiples actions confirment le volontarisme des professionnels français de l’ameublement
et leur détermination à surmonter les défis auxquels ils sont confrontés. Dans ce contexte, un
soutien des pouvoirs publics ne pourra que renforcer cette dynamique.
2. Le soutien à la consommation de meubles par déblocage de
l’épargne logement plus que jamais justifié !
Depuis plusieurs mois, un nombre croissant de parlementaires de toute opinion politique
pensent que la filière meuble française mérite d’être efficacement soutenue par une mesure
simple : accorder aux ménages français l’autorisation temporaire et plafonnée de
débloquer pour l’achat de meubles domestiques neufs une partie des 201 milliards
d’euros actuellement bloqués sur leur plan d’épargne logement.
Lors des débats sur la loi Macron, une majorité de sénateurs, dépassant les clivages partisans
habituels, ont adopté cette mesure. Alors qu’un grand nombre de députés de gauche comme
de droite soutenaient un amendement similaire, le Gouvernement y est resté défavorable.
A ce jour, le gouvernement continue de s’y opposer, avec pour seul argument celui des
banques, historiquement opposées à cette mesure, au motif qu’elle conduirait « à mobiliser de
l’épargne longue pour des dépenses de court terme ».
Déjà adoptée dans le passé, une telle mesure constituerait pourtant un appui aussi simple
qu’intelligent à la relance de la filière meuble française, pour trois raisons principales :
1- Cette mesure n’aurait aucun coût pour les finances publiques, l’Etat n’ayant pas à
verser la prime dans la mesure où les PEL concernés demeurent ouverts. Elle pourrait en
outre engendrer des recettes fiscales supplémentaires, de TVA notamment.
2- Cette mesure préservera l’épargne longue des banques.
Toutes les simulations de ce dispositif limité en durée (deux ans) et en montant (10K€)
confirment sa très faible incidence (0,5% maximum) sur les 201 milliards d’euros déposés
sur 13 millions de PEL actuels. Le précédent du milieu des années 1980 au profit de la
cuisine confirme lui aussi l’absence de risque de déstabilisation de l’épargne longue.
La longue durée de vie initiale des meubles supérieure à celle de bien d’autres produits
(15 ans en moyenne, 10 ans pour la literie, 23 ans pour une cuisine)1, leur faible fréquence
d’achat et leur valeur nominale élevée confèrent plus aux meubles un statut de bien
d’équipement que de bien de consommation courante. Leur financement par recours à une
fraction infime de l’épargne longue se trouve donc pleinement justifié, d’autant plus que
les dizaines de milliers de titulaires d’un PEL déjà propriétaires de leur logement ne
peuvent de toute façon pas utiliser cette épargne dormante pour d’autres dépenses.
L’étroite, et systématique, corrélation observée sur le long terme entre l’évolution du
marché de l’immobilier et celle du marché de l’ameublement légitime également le recours
à un produit d’épargne logement pour la relance du marché corrélé français de
l’ameublement.
Enfin, ces nombreuses spécificités des biens d’ameublement par rapport à tous les autres
produits de consommation plus courante écartent les risques d’autre revendication
sectorielle similaire.
1
Enquête consommateurs IPEA 2010
3
3- Cette mesure n’aggravera pas le déficit extérieur de la France
Le choix du support PEL limite les risques de dégradation du poste « ameublement » du
déficit commercial français. Parmi les titulaires d’un PEL, ceux possédant déjà leurs
résidence principale sont en effet très majoritairement les clients de la distribution
traditionnelle d’ameublement dite « milieu/haut de gamme » ; laquelle se fournit
principalement auprès de fabricants français (à environ 80%).
Les achats de la grande distribution spécialisée continuent quant à eux d’être réalisés en
moyenne à 50% auprès de fabricants français, dont ils constituent le débouché principal et
parfois exclusif. Soutenir leur activité reviendra donc à soutenir directement celle de leurs
fournisseurs français. Les effets positifs de la mesure envisagée pour les fabricants français
seront d’autant plus importants que ces derniers sont en position de leaders peu contestés
pour des familles complètes et importantes de produits (literie 15% du marché, cuisine
25% du marché, mobilier haut de gamme et sur mesure, fabricants français de mobilier
maîtrisant complètement la distribution de leur marque en concession ou franchise etc…)
Adopté alors que le poste « ameublement » de la balance commerciale française était déjà
déficitaire, le précédent du milieu des années 1980 confirme qu’une mesure en tous points
similaire a permis le décollage du marché de la cuisine, sans conséquence sur le poste
« meubles de cuisine » de la balance commerciale française.
De son côté, la récente autorisation accordée aux OPCI (résidences hôtelières, étudiantes et
seniors) d’acquérir des meubles pour leurs logements locatifs n’aura dans le meilleur des cas
que des effets très limités au seul mobilier collectif ou professionnel (marché de 637 millions
d’euros), alors que les ménages demeurent de loin les principaux consommateurs de meubles
(9,12 milliards d’euros en 2014 pour le mobilier domestique).
4
3. Les autres défis environnementaux et économiques
Les professionnels de l’Ameublement français soutiennent activement la politique de
développement durable du gouvernement, dans la perspective de la prochaine conférence sur
le climat. A ce titre, depuis mi-2013, fabricants et distributeurs de meubles contribuent
financièrement à la collecte, au tri et au recyclage des déchets d’ameublement, au bénéfice de
l’environnement et des collectivités locales françaises.
Depuis lors, 200 millions d’euros d’éco-taxe ameublement ont déjà été investis par la filière,
pour mettre en place des solutions de collecte dédiée, de recyclage et/ou de réutilisation.
Néanmoins, 28% des tonnes collectées de déchets d’ameublement sont encore enfouies
chaque année !
Les objectifs environnementaux sont encore perfectibles et impliquent à horizon 2017, le
prélèvement annuel de 300 millions d’euros d’éco-taxe ameublement, soit 4,10% en moyenne
du marché français HT de l’ameublement (7,29 milliards d’euros) !
Pour faire face à ces obligations, fabricants et distributeurs de meubles doivent donc
impérativement :
‐
Bénéficier d’un cadre réglementaire donnant des pouvoirs effectifs aux écoorganismes et à l’administration française pour contrôler, recouvrer et
sanctionner les défauts de déclaration et de paiement des éco-taxes par les
metteurs sur le marché d’origine étrangère. A cet effet, l’adoption de la
proposition de loi numéro 2076 du 2 juillet 2014 et/ou sa reprise sous forme
d’amendements sont urgentes. A défaut, les collectivités locales devront financer la
collecte et le traitement de déchets issus de meubles vendus depuis l’étranger et pour
lesquels aucune éco-taxe n’aura pu être collectée, ce notamment dans les zones
frontalières.
‐
Bénéficier automatiquement de l’exonération de taxe d’enlèvement des
ordures ménagères prévue à l’article 1521 du CGI, des lors qu’ils sont assujettis
aux différentes éco-taxes existantes pour la quasi-totalité de leurs déchets. A défaut, il
faudrait publiquement admettre la double ou triple facturation de la collecte et du tri
aux assujettis concernés.
‐
Conserver le plus longtemps possible le droit d’afficher en sus du prix de
vente le montant de l’éco-taxe ameublement, afin de pouvoir répercuter celui-ci
sans difficultés d’aval en amont de la filière. Cette prolongation suppose un large
soutien parlementaire dans les prochaines années, à l’instar de celui apporté à plusieurs
reprises, à l’éco-filière électro-ménager.
5
II – Résultats du marché de l’ameublement
domestique premier semestre 2015 et
perspectives
L’activité en juin sur le marché du meuble reprend fortement. Les ventes progressent en valeur
de 6,9%. Si le marché avait plongé de 9,1% en juin 2014, il avait aussi reculé de 4,1% en
2013 et de 4,4% en 2012. Cette croissance apparaît donc principalement comme la
conséquence directe des contre-performances des années précédentes, même si certaines
enseignes ont attaqué fort dès les premiers jours de soldes afin de ne pas renouveler la
déconvenue de 2014. A noter aussi que le mois de juin aura bénéficié d’une journée de soldes
supplémentaire par rapport à 2014.
Entre 2011 et 2014, les reculs d’activité successifs en juin se sont traduits par une destruction
de valeur de l’ordre de 120 millions d’euros rien que pour ce mois. La croissance de cette
année permet juste d’en compenser le tiers. Le retour aux performances de 2011 est encore
loin ! A la fin du premier semestre, le marché du meuble progresse néanmoins en valeur de
2,1%. Les résultats de juillet nous le confirmeront, mais les soldes d’été devraient encore être
la principale source de croissance du marché en 2015.
Malgré une légère embellie en juin, le marché immobilier ne pourra pas jouer son rôle de
moteur sur le secteur du meuble sur le second semestre 2015, compte tenu du faible nombre
de permis de construire attribués ces derniers mois. Il est même fort probable que cela soit
encore le cas au cours du premier semestre 2016.
6
Les éléments positifs sont plutôt à aller chercher du côté du moral des ménages, en hausse
depuis de nombreux mois, et à une volonté plus grande de leur part à s’impliquer dans des
achats importants. Le fait que la baisse des taux du livret A ne soutiendra pas la volonté
d’épargne des ménages dans les mois à venir constitue aussi une bonne nouvelle pour la
consommation même si cette dernière recommence à stagner en avril-mai après un bon
premier trimestre.
Au vu des résultats du premier semestre, l’exercice 2015 du marché du meuble devrait pouvoir
se terminer sur une note positive pour la première fois depuis 4 ans. Attention toutefois aux
résultats des soldes de juillet et des offres de rentrée qui seront déterminants pour
l’atterrissage final du marché.
Sur le premier semestre 2015, le segment cuisine est celui qui enregistre la plus forte
croissance de ses ventes en valeur. Le segment parvient maintenant à se détacher des aléas
du secteur de l’immobilier sur son produit phare, la cuisine intégrée.
Les ventes de literie progressent encore sur le premier semestre malgré une pression
promotionnelle sur le produit toujours soutenue.
Le segment du meuble rembourré continue au premier semestre la reprise entamée en 2014.
Le segment est en progression grâce à de bons résultats sur les canapés et fauteuils. Et ce
malgré une chute d’activité sur le produit banquette au deuxième trimestre après plusieurs
mois de croissance.
Statu quo par rapport aux exercices précédents en ce qui concerne le meuble de salle de bains.
Le segment recule fortement sur les premiers mois. Le produit n’apparaît pas comme
stratégique pour les spécialistes cuisine ou les enseignes de la grande distribution.
Les ventes de meubles meublants sont également en recul sur le premier semestre 2015 pour
les meubles de salon/séjour comme pour les meubles de chambre à coucher. En ce qui
concerne le salon, le consommateur semble donner priorité au canapé. Pour la chambre à
coucher, seuls les meubles de chambre bébé, soutenus par un fort taux de natalité, sont en
croissance.
7
III - Filière Meuble, fiches d’identité des
acteurs
1. FNAEM
Dans un contexte de vive concurrence, d’internationalisation croissante des réseaux de
distribution et de concentration des acteurs, la FNAEM accompagne la profession et ses
entreprises en veillant également à mener des actions et des politiques favorables au
consommateur.
Une organisation professionnelle nationale unique à forte représentativité
La Fédération française du négoce de l'ameublement et de l'équipement de la maison est
depuis 2002 l’unique organisation professionnelle représentant au niveau national la branche
du négoce de l'ameublement.
La FNAEM représente 3 300 points de vente répartis sur l’ensemble du territoire national, soit
environ 80% du marché national.
Fort de cette représentativité couvrant tous les types de distribution (du négoce indépendant à
la grande distribution succursaliste), la FNAEM constitue l’organisation de référence des
distributeurs de meubles et de produits d’équipement de la maison.
Sous l’autorité de son Conseil d’Administration, elle représente et coordonne les intérêts de ses
adhérents auprès des pouvoirs publics et des consommateurs aux échelons régionaux,
nationaux et européens. Elle agit dans trois domaines précis.
Trois missions
L'animation économique et l'information
- Via sa publication mensuelle « La Lettre de la FNAEM » et l’extranet de son site
www.fnaem.fr, la FNAEM tient ses adhérents en permanence informés des évolutions
des réglementations fiscales, commerciales et économiques.
- Par un cycle régulier de réunions, elle informe ses adhérents sur les principaux sujets
économico-juridiques qui les intéressent (publicité à la télévision, développement
durable…).
L'activité sociale et juridique
- La Fédération négocie avec les partenaires sociaux la convention collective, les accords
salariaux, la politique de formation et tous les accords de branches nécessaires.
- Ses adhérents disposent en outre de l'appui permanent d'un service juridique spécialisé
en droit social.
La représentation de la profession auprès de ses interlocuteurs principaux
- Au plan local : la FNAEM encourage ses 32 Chambres régionales et départementales,
qui maillent la totalité du territoire national, à entretenir des relations régulières avec
les représentants de l'Administration (DGCCRF…), des collectivités locales et avec tous
les partenaires économiques, politiques et sociaux de la profession.
- Au plan national : la FNAEM entretient des relations constantes avec les ministères
compétents (en matière d’économie, de finances, de consommation, d’entreprise, de
développement durable, d’emploi) et l'ensemble des administrations centrales ayant à
connaître la profession.
8
2. UNIFA
Organisation représentative de l’industrie de l’Ameublement français, l’UNIFA fédère tous les
acteurs de l’aménagement et de l’ameublement des espaces de vie, avec un taux de
représentativité de plus de 70%. L’UNIFA vient d’engager, sur la base d’une étude stratégique
confiée à Monitor Deloitte, un plan de transformation reposant sur 3 axes :
-
Retrouver la compétitivité par l’accompagnement de la restructuration du secteur et le
renforcement des compétences, pour gagner en agilité et en efficacité ;
-
Reconquérir la demande par l’innovation, l’internationalisation, la montée en gamme, en
s’appuyant sur l’image de marque de l’Ameublement français, en France comme à
l’international ;
-
Transformer les « business models » par l’intégration de toutes les étapes de la chaîne de
valeur et des offres de service.
Cela signifie d'abord pour notre organisation :
-
d’exceller dans la défense des intérêts de ses adhérents et la promotion de la fabrication de
l’Ameublement français;
-
d’être le porte-parole efficace, reconnu et écouté de notre industrie ;
-
d’apporter à chacun de ses membres, des services performants, là où une organisation
professionnelle a vocation à agir ;
-
d’avoir une vision prospective de son secteur d’activité qui l’amène à élargir son propre
champ de vision et d’action à d’autres secteurs.
L’UNIFA au cœur d’un écosystème puissant, est membre, en France du
MEDEF : Mouvement des Entreprises de France
GFI : Groupe des Fédérations Industrielles
‐ CLIMO : Comité de Liaison des Industries de Main d’œuvre ;
‐ FBIE : France Bois Industrie et Entreprises ;
Et au niveau européen, est membre de :
‐ L’EFIC - European Furniture Industries Confederation ;
‐ la FEMB - Fédération Européenne du Mobilier de Bureau ;
‐ l’ EBIA - European Bedding Industries' Association.
Pour en savoir plus : www.ameublement.com
9
3. L’IPEA
L’IPEA, Institut de Prospective et d’Etudes de l’Ameublement, est une association 1901. Sa
mission est :
-
De réaliser, publier et commercialiser toute statistique, étude quantitative et prospective
sur les marchés de l’ameublement, de l’équipement de la maison et de l’habitat,
-
D’étudier et d’engager toute action concourant à une meilleure connaissance de
l’évolution de ces marchés et de leurs perspectives.
En 2014, l’IPEA a réalisé plus de 20.000 enquêtes consommateurs sur leurs achats et leurs
attitudes et a suivi les ventes de tous les acteurs du marché grâce à ses panels.
En 2015, l’IPEA poursuit ses développements :
-
En publiant MEUBLOSCOPE 2015 et HABITATSCOPE 2014 ;
En publiant des études sur les 6 grands marchés (meubles meublants, cuisine, canapés
et fauteuils, salle de bains et jardin) ainsi que sur les principaux circuits de distribution ;
En organisant la journée d’études HOME ATTITUDES en mai et son colloque annuel de
conjoncture le 16 décembre 2014 ;
En développant son suivi des ventes d’ameublement et de produits « maison » au sein
du E-commerce.
Parmi les acteurs qui fournissent le déclaratif détaillé mensuel de leurs ventes à l’IPEA, on
compte : Alinea, Atlas, But, Captain Oliver, Casino, Castorama, Conforama, Crozatier, Cuisine
Plus, Cuisinella, Fly, Géant du meuble, Grand Litier, Hygena, Ikea, Ixina, La Redoute,
L'Ameublier, Mobalpa, Mon lit et moi, Schmidt, Sésame, Socco'c, Sweelit, 3 Suisses.
Pour en savoir plus : www.ipea.fr
10
CHIFFRES CLES SOCIAUX DE LA FILIERE MEUBLE
Au plan national, la filière meuble française emploie 125 000 salariés dans 20 803
établissements.
L’industrie emploie 37432 personnes dans 470 usines de plus de vingt salariés.
L’artisanat emploie 25 504 salariés dans 11583 ateliers.
La distribution emploie 59750 salariés dans 8750 établissements.
Une prédominance de TPE et PME caractérise donc la filière meuble avec en moyenne 16
salariés par atelier et 6,5 par magasins.
2
3
Distribution2
Fabrication3
55.5% d’hommes, 44.5% de femmes
93.5% des salariés employés sous CDI
86% des salariés à temps complet
38,5 ans d’âge moyen
72% d’hommes, 28% de femmes
97,3% des salariés employés sous CDI
90% des salariés à temps complet
41 ans d’âge moyen
Source ACOSS 2013
Source INSEE (DADS 2010)
11
ENSEIGNES ADHERENTES FNAEM
12
QUELQUES MARQUES ADHERENTES DE L’UNIFA
13

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