ômega - Le bio naturel

Transcription

ômega - Le bio naturel
ÔMEGA
Les acides gras oméga-3, sont des acides gras polyinsaturés dénommés essentiels, car
l'organisme humain en a absolument besoin mais ne peut les produire lui-même
(principalement l'acide alpha-linolénique )
Actions :
1. Actions directes :
• au niveau des membranes cellulaires :
- accroît la souplesse des membranes
- indispensable au développement du cerveau et de la rétine
• au niveau des canaux ioniques : portes d’échanges au sein de la membrane cellulaire :
- favorisent les mouvements d’ions (qui dépendent du potentiel électrique de la
membrane)
- au niveau des cellules excitables (les neurones, cellules musculaires, dont le cœur)
- et au niveau de la fonction excrétrice des reins
- favorise la sensibilité de récepteurs sensoriels
- favorise la réceptivité aux neurotransmetteurs et aux hormones
2. Actions indirectes
• par intermédiaire de la cyclo-oxygénase et de la lipoxygénase
- prostaglandines , principalement anti-inflammatoires
- thromboxanes , leucotriènes
Acides gras dérivés de l'acide alpha-linolénique :
(et également assimilables en tant que tels)
• L'acide eicosapentaénoïque (AEP ou EPA) se transforme en prostaglandines de série 3,
- favorise la protection des artères et du cœur
- effets anti-inflammatoires et anti-allergiques (diminue le risque de maladies autoimmunes)
- diminue le surpoids
• L'acide docosahexaénoïque (ADH ou DHA)
- incontournable pour le développement du cerveau et de la rétine
- favorise la formation et la motilité des spermatozoïdes
- et l’activité des surrénales
Indications principales :
1° traitement d’équilibrage général :
L'AFFSA (devenu ANSES) a effectué un examen assez exhaustif des études scientifiques portant
sur le rapport Omega 6 / Omega 3: elle recommande un rapport de 5 Omega 6 pour 1 Omega 3.
Or ce rapport est de 10/1 à 30/1 dans les populations des pays développés. D’autres études
proposent un rapport idéal de 4 Omega 6 pour 1 Omega 3.
Ce qui signifie que la très grande majorité des Français est en déficit de ces acides gras. Fournir
un supplément d’Omega 3 permet à l’ensemble du corps de mieux fonctionner ; c’est pour cela
que les Omega 3 sont associés aux traitements antivieillissement.
La quantité totale habituellement proposée est entre 2 et 3 grammes par jour en moyenne pour
l’adulte ; soit une supplémentation de 1 à 2 grammes par jour (2 à 4 capsules de 500 mg).
2° la grossesse :
Le développement du futur bébé nécessite une énorme quantité d’ Omega 3, notamment pour le
développement de son cerveau et de ses yeux; si la nourriture de la maman n’est pas suffisante,
ce sont ses réserves qui sont mises à contribution.
Si la maman se trouve en déficit de ces acides gras, le risque de « blues de la grossesse » est
bien présent ! Et cela favorise également le « baby blues » après l’accouchement.
Pour le bébé, un apport suffisant pendant la grossesse s’accompagne de meilleures performances
intellectuelles et psychomotrices.
3° la dépression :
Le cerveau est le premier à souffrir du manque d’Omega 3 ; il semble que cette carence
s’accompagne d'une inflammation chronique qui entraîne une diminution de neurotransmetteurs,
notamment la sérotonine.
Cette inflammation est due à une augmentation des cytokines (interleukine-1b, l’interleukine-2,
l’interleukine-6, l’interféron-gamma, facteur de nécrose tumorale TNF-a). Elles sont augmentées
en cas de stress, d’infection, de chirurgie ou de traumatisme, après un accouchement, en cas
d’exposition à des polluants, en cas maladie cardiovasculaire, d’allergies, et de cancer.
Les acides gras Omega 3 font baisser les cytokines (tandis que les acides gras Omega 6 en excès
les font monter).
Il semble établi que la dépression sera d’autant plus importante que le niveau des cytokines est
élevé, car celles-ci provoquent un véritable cercle vicieux :
• elles diminuent les taux sanguins du tryptophane, qui est le précurseur de la sérotonine
(neurotransmetteur de la bonne humeur)
• elles contrarient également la fabrication de sérotonine par les neurones
• idem pour la dopamine (synthétisée à partir de la tyrosine)
• elles accélèrent la destruction de la sérotonine et de la dopamine (déjà moins
produites)
Les Omega 3 procurent un mieux-être et un meilleur moral, avec un avantage de l'EPA sur le
DHA. La supplémentation d’1 gramme par jour d’EPA paraît optimale pour l’adulte, et améliore
également le sommeil, la libido et l’anxiété (cela correspond à 4 capsules par jour).
Des études sérieuses mettent en évidence que, pour les dépressions légères à modérées, les
antidépresseurs ne font pas mieux qu’un placébo… Supplémenter en Omega 3 est certainement
la solution de bon sens, car elle n’entraîne aucune dépendance et améliore le corps dans son
ensemble.
4° troubles bipolaire :
Il semble réellement indiquer de supplémenter en Omega 3 cette affection particulière et
encore mal expliquée, dont les traitements sont souvent « lourds » car mis en place lors
d’épisodes d’urgences psychiatriques. Si la supplémentation seule n’est pas suffisante, elle
semble avoir un effet de stabilisation de l’humeur. Certains estiment que les Omega 3 sont le
seul traitement efficace sur le long terme.
5° troubles hyperactifs et déficit d’attention (THADA ou ADHD) :
La supplémentation en Omega 3 est incontournable (et elle doit être adaptée à l’âge et au
poids). Les enfants et les adolescents présentant ce syndrome ont des problèmes cérébraux
fonctionnels (troubles de l’attention, de concentration et de mémorisation). De plus, ils sont
considérablement stressés, ce qui n’arrange rien à l’état de leur cerveau (cfr supra) ; ce stress
s’accroît d’autant plus qu’ils se font gronder lorsqu’ils bougent trop, et cela génère un véritable
cercle vicieux…
Ces situations s’améliorent nettement sous traitement avec les Omega 3, quoique pas avec
tous… La vitamine E synthétique qui sert de conservateur pour les produits huileux a un effet
défavorable sur le métabolisme de ces enfants et ados. L’Ômega ne contient pas de vitamine E
synthétique.
6° cœur et vaisseaux :
Les Omega 3 procurent une véritable protection de la sphère cardiovasculaire. Par leur action
directe, elles améliorent la fonction des cellules musculaires, et optimisent les cellules
nerveuses du cœur ; c’est pour cela qu’elles optimisent le rythme cardiaque. Ils réduisent ainsi
les risques d'infarctus et d'accidents cardiovasculaires. Les vaisseaux sanguins sont également
plus souples, ce qui peut partiellement expliquer la baisse de pression sanguine chez les
hypertendus.
Par leur effet indirect (prostaglandines), elles ont un effet antiagrégant plaquettaire. Cet effet
est intéressant car , actuellement, la prise d’aspirine en prévention primaire a été remise en
question par de nombreux médecins, à cause des risques qu’elle entraîne (augmentation de 30%
du risque d’hémorragie) (Arch Intern Med 2012). Outre cette activité de fluidification du sang,
les Omega 3 diminue l’inflammation, et améliorent les autres structures du corps, ce qui
optimise également leur capacité d’utiliser l’oxygène.
L’effet sur la diminution des triglycérides est manifeste, celui sur le cholestérol est moins net ;
toutefois, le taux de cholestérol étant un reflet du stress que vit la personne, il doit être
amélioré par la prise d’Omega 3.
La consommation régulière d'Omega 3 est considérée comme un véritable geste de
prévention.
7° arthrite et rhumatisme :
C’est l’effet anti-inflammatoire qui est ici recherché ; les Omega 3 diminuent la raideur
matinale, améliorent la mobilité, réduisent la douleur et permettent souvent d’alléger le
traitement par les médicaments classiques (qui entraînent des effets secondaires qui peuvent
être importants). Ils diminuent également le risque de maladies auto-immunes.
En outre, par leur effet anti-inflammatoire, ils freinent la dégradation du cartilage.
La plupart des études ont été conduites sur des formes sévères d’inflammation (polyarthrite
rhumatoïde) mais les bénéfices peuvent être étendus aux rhumatismes moins inflammatoires
(arthrose).
8° obésité :
Chez l'humain, une plus grande consommation d' Omega 3 et un meilleur rapport Omega 6 /
Omega 3 pendant la grossesse est corrélé à une moindre prévalence de l'obésité chez les enfants.
Des expérimentations sur les souris vont encore plus loin ! Celles-ci ont été divisées en deux
groupes : l’un avec un régime utilisant un bon rapport Omega 6 / Omega 3, et l’autre avec un
régime déséquilibré en oméga (Omega 6 / Omega 3 = 28). Ces souris ont été reproduites entre
elles et les descendantes ont été soumises au même régime que leurs parents, et ce sur quatre
générations.
Les souris, nourries avec un bon rapport Omega 6 / Omega 3 ont maintenu un poids constant au
fil des générations ; par contre, celles nourries avec le régime riche en oméga-6 ont
progressivement augmenté leur masse adipeuse, de génération en génération. Cet accroissement
de la masse adipeuse se caractérise par une augmentation du nombre de cellules (hyperplasie) et
une augmentation de la taille des cellules (hypertrophie) des cellules graisseuses ; en outre, les
souris présentaient aussi une altération du niveau de l’adipokine (protéine de signalement
cellule à cellule) sécrétée par les tissus adipeux), une résistance à l’insuline (qui peut conduire
au diabète de type 2), une expression de gènes de nature inflammatoire (Journal of Lipid
Research).
Ce modèle animal montre des conséquences d'une alimentation basé sur un mauvais ratio Omega
6 / Omega 3 : l’obésité semble se transmettre de génération en génération (obésité
transgénérationnelle), ce qui correspondrait à des modifications épigénétiques.
9° autres :
• la supplémentation d’Omega 3 durant la grossesse améliore la protection des enfants
contre les allergies alimentaires
• un bon rapport Omega 6 / Omega 3 paraît être favorable aux nouvelles connections
entre neurones (neuroplasticité), alors que lorsqu’il est défavorable, c’est une diminution des
neurotransmetteurs dans les synapses qui est constatée ; l’utilisation de glucose par le cerveau
peut être diminuée jusqu’à 30%.
• chez les animaux carencés en Omega 3, c’est une chute de 40 à 60% de la dopamine
dans le cortex frontal qui peut être observée.
• une région très importante du cerveau. La dopamine restante, elle, est rendue très peu
disponible. Par contre, une supplémentation en Omega 3 y produit une augmentation de 40% de
la dopamine ; l’utilisation de la dopamine par les neurones est également accrue.(la dopamine
intervient notamment dans l’expérience du désir et du plaisir), une l’activité d’une enzyme
chargée de destruction de dopamine dans le cerveau est diminuée.
• ils assureraient une protection des neurones contre les dépôts amyloïdes
caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.
• certaines études récentes établissent que les Omega 3 pourraient prévenir le cancer
colo-rectal.
• Et qu’un rapport Omega 6 / Omega 3 défavorable correspondrait à un risque accru de
cancer du sein.
Composition de l’Ômega :
Capsules d’huiles de poisson sauvage de 500 milligrammes, rapport EPA/DHA 18/12
Posologie recommandée :
Pour un adulte : 2 capsules matin et 2 capsules le soir, au moment des repas
Effets indésirables :
Aux doses préconisées, il n’y a pas d’effets à craindre. Il y a lieu d’avertir le médecin en cas
d’intervention chirurgicale, mais cela ne devrait pas poser de problème : au contraire, la
cicatrisation est plus efficace.
Le surdosage d’Omega 3 peut donner des petits saignements de nez ; il suffit alors de suspendre
la prise pour quelques jours.
Pourquoi préférer l’Ômega :
1° c’est la seule spécialité préparée sans ajout de vitamine E
la vitamine E est ajoutée dans les préparations d’huile Omega 3 en tant que conservateur, de par
son caractère liposoluble
2° Problématique de la vitamine E :
• Soit elle est synthétique (DL-alpha-tocophérol) et contient 2 formes : la forme
dextrogyre (D-alpha-tocophérol) est la forme active, assimilable par le corps humain, et la forme
lévogyre (L-alpha-tocophérol) qui n’est pas utilisée par le corps ; cette forme, inactive, est
stockée dans les tissus graisseux. Elle peut être assimilée à une toxine.
• La forme naturelle est la forme dextrogyre (D-alpha-tocophérol) ; ici, pas de stockage
de toxine, mais cette vitamine a un effet ralentissant sur le métabolisme. C’est favorable si le
métabolisme est accéléré, mais cela pénalise la personne si son métabolisme est déjà trop lent
(ex : les enfants hyperactifs avec déficit d’attention).
• La forme lévogyre (L-alpha-tocophérol) qui n’est pas utilisée par le corps et qui est
stockée dans les tissus graisseux, produit également un effet de ralentissement sur le
métabolisme. Cet effet est en outre cumulatif au fur et à mesure des prises car la vitamine E est
une vitamine liposoluble, qui s’accumule dans la graisse.
3° pour produire une huile de poisson sans conservateur, il faut :
• un contrôle qualité très strict de la matière première
• un processus de production à l’abri de l’oxygène
l’Ômega remplit ces conditions.
Précaution de conservation : une fois ouverte, garder la boite au frais
Précautions : toute supplémentation est destinée à apporter une aide ponctuelle, mais ne
dispense pas d'une alimentation naturelle, équilibrée, de qualité et respectueuse de la vie. Elle
ne remplace pas un traitement médical ou l'avis d'un médecin ou thérapeute. Cette information
est réservée aux clients et consomactifs (LeBionaturel .com), et ne doit pas être distribuée sur la
voie publique.

Documents pareils