Guide de rédaction des rapports techniques et de laboratoire Le

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Guide de rédaction des rapports techniques et de laboratoire Le
 Guide de rédaction des rapports techniques et de laboratoire
Le présent document fournit des lignes directrices sur la façon de rédiger les rapports techniques en
général et les rapports de laboratoire officiels pour le cours MCG 4340 en particulier.
1. Exigences générales
Le rapport doit être tapé d’un seul côté d’une feuille 21,5 cm x 28 cm (8 ½ po x 11 po) en utilisant une
police lisible de 12 points pouvant se terminer par des empattements (comme la police romaine). Il faut
utiliser un interligne de 1,5 ou double. Les marges supérieure, inférieure et de droite doivent être de
1 pouce (25 mm) et la marge de gauche de 1 ½ po (33 mm) pour la reliure. Il faut mettre les titres en
évidence en utilisant une police plus grosse et les caractères gras. Une page de titre doit faire partie du
rapport qui doit être relié (et non agrafé). Le rapport peut être rédigé en anglais ou en français.
2. Organisation
Le rapport dont les différentes sections doivent être présentées selon l’ordre établi devrait être organisé
comme suit. Les chapitres et les sous-sections doivent être numérotés : par exemple, 1. correspondrait à
un chapitre, 1.1 à une section principale au sein du chapitre et 1.1.1 à une sous-section de la section.
Page de titre
Résumé – un sommaire concis d’environ un ou deux paragraphes du rapport.
Remerciements (s’il y a lieu – ne font habituellement pas partie d’un rapport de laboratoire)
Table des matières
Liste des graphiques
Liste des tableaux
Nomenclature – tous les symboles mathématiques doivent être définis, sauf les plus connus. Si
seulement quelques variables sont utilisées, elles peuvent être expliquées la première fois qu’elles
sont présentées dans le texte. Cependant, si plus d’une dizaine de symboles sont requis, ils
doivent être définis dans une section Nomenclature distincte. Les symboles doivent être présentés
dans l’ordre suivant : lettres latines, lettres grecques (en ordre alphabétique dans les deux cas),
autres symboles puis les indices inférieurs et supérieurs, de nouveau en ordre alphabétique. Les
unités doivent être fournies pour toutes les variables de dimension; elles le seront normalement
dans le système métrique sauf si des raisons particulières exigent d’utiliser le système anglais. Si
vous utilisez de nombreux acronymes ou termes spécialisés, veuillez en fournir une définition
dans un glossaire.
Corps du rapport – comprendra plusieurs sections principales, habituellement les suivantes :
1. Introduction – bref aperçu des objectifs, de la raison du projet.
2. Contexte, théorie et recherche bibliographique – renseignements généraux qui
permettront de comprendre le projet, y compris la théorie requise pour interpréter les
résultats ultérieurement. Dans le cas d’un projet de recherche, cette section consistera
principalement en un examen des travaux menés auparavant dans le champ d’études.
3. Appareils et méthodes utilisés dans le cadre de l’expérience – cette section
comprend des énoncés sur la précision des mesures prises à l’aide des instruments (se
reporter au paragraphe 5 ci-dessous). Pour le cours MCG 4340, veuillez noter les
changements que vous avez apportés aux directives fournies dans le manuel.
4. Résultats et discussion – assurez-vous de répondre à toutes les questions figurant dans
le manuel de laboratoire. Dans la mesure du possible, faites des affirmations quantitatives
plutôt que qualitatives.
5. Conclusions et recommandations – uniquement les principales constatations. Ne
résumez pas le rapport en entier puisque cela a déjà été fait dans le résumé. Les
conclusions doivent être clairement justifiées à l’aide de données ou de la théorie
présentée; elles ne devraient pas reposer sur des hypothèses non fondées.
Références – de plus amples renseignements sont fournis ci-après. Tous les ouvrages énumérés
dans les Références doivent avoir été mentionnés dans le rapport. Les ouvrages qui, selon vous,
sont utiles, mais qui n’ont pas été cités dans le texte devraient être mentionnés séparément dans la
Bibliographie.
Annexes – contiennent des détails qui ne sont pas suffisamment importants pour être inclus dans
le rapport, mais qui permettront au lecteur de suivre vos travaux, comme les fonctions dérivées ou
les méthodes de calcul détaillées, les analyses détaillées des erreurs, les mises en tableau des
données et les programmes d’ordinateur. Pour économiser de l’espace, vous pouvez disposer les
programmes et les listes différemment, c'est-à-dire que contrairement au rapport principal, vous
pouvez utiliser un interligne simple et des caractères de 10 points. Chaque annexe doit être
désignée à l’aide d’une lettre (A, B, etc.) et d’un titre et énoncée dans la Table des matières. Le
rapport devrait comprendre les renvois aux annexes.
Les pages doivent être numérotées en chiffres arabes à compter de la première page du corps du rapport.
Toutes les pages précédant le corps du rapport sont numérotées en chiffres romains minuscules (par
exemple, vi) et la numérotation commence avec le Résumé à la page i.
Étant donné que le Canada a officiellement adopté le système métrique de mesure, les résultats doivent
être présentés en unités internationales. Il existe quelques exceptions à cette règle, comme dans le cas du
système en pouce pour les filets de vis.
3. Figures et diagrammes
Toutes les figures doivent être lisibles. Les lettres doivent avoir une taille d’au moins 10 points et la
largeur des lignes doit être suffisante pour permettre une bonne reproduction (0,020" (0,5 mm) est la
largeur recommandée). Toutes les figures doivent être mentionnées dans le texte. Elles peuvent faire
partie du texte se trouvant près du paragraphe où elles sont mentionnées ou elles peuvent être regroupées
à la fin d’une section. Chaque figure doit s’accompagner d’une légende fournissant suffisamment de
renseignements pour que le lecteur puisse la comprendre sans devoir se rapporter au texte principal. Les
figures doivent être numérotées séparément dans chaque section, par exemple, les figures 2.1, 2.2, etc. se
trouvent dans la Section 2 du rapport.
4. Présentation des données – des graphiques
La meilleure façon de présenter des données et des calculs consiste à utiliser des graphiques, même si
parfois le recours à des tableaux conviendra peut-être mieux. Vous ne devriez pas présenter à la fois des
graphiques et des tableaux pour la même série de données dans le corps du rapport. Par contre, vous
pourriez ajouter les tableaux de données brutes à une annexe. Les graphiques doivent être conformes aux
normes suivantes :
Les mesures individuelles doivent être représentées par des points. Il ne faut pas utiliser le
petit point, mais des symboles clairement visibles comme ", G, O, L, � ou �. Ces symboles
peuvent en outre être utilisés en tant que légendes des différentes séries de données.
Plusieurs mesures prises à une période donnée peuvent être présentées comme la valeur
moyenne à l’aide d’intervalles d’erreurs plus ou moins l’écart-type de la moyenne pour indiquer
la plage de dispersion.
Il ne faut pas joindre les points expérimentaux à l’aide de lignes ou de courbes à moins
que ce ne soit absolument nécessaire pour relier des données très dispersées. En effet, il est très
facile de donner une fausse impression lorsque l’on trace une ligne, car les lecteurs ont tendance à
croire que la ligne a été adaptée ou qu’elle représente le véritable comportement du système. Ce
genre de lignes ne doit présenter que la tendance générale des données et ne doit pas relier chaque
point. Habituellement, les feuilles de calcul joignent tous les points par des lignes; ces dernières
doivent en général être supprimées.
En règle générale, les seules données expérimentales représentées au moyen de courbes
plutôt que de points sont celles provenant d’instruments enregistrant les données continuellement,
comme une courbe de tension-effort d’un essai de tension ou un enregistrement au fil du temps
d’un thermocouple.
Les quantités calculées issues d’une courbe adaptée aux données ou à un modèle
théorique sont toujours représentées au moyen de lignes, jamais à l’aide de points. Les points
servent uniquement à représenter les données expérimentales. Dans ce cas également, il faut
supprimer les lignes créées automatiquement par les feuilles de calcul pour représenter les points.
Il faut utiliser différents genres de lignes, par exemple, traitillées, pointillées, etc. si vous
devez représenter différentes courbes.
Tous les axes doivent être identifiés clairement avec la variable représentée et ses unités
de mesure, par exemple, Pression (kPa).
Il faut éviter de représenter un trop grand nombre de séries de données et de courbes sur
le même graphique.
Les échelles logarithmiques sont utilisées lorsque l’éventail de données est trop grand pour être
représenté sur une échelle linéaire. Si la plus grande valeur représentée est dix fois plus grande que la plus
petite, une échelle logarithmique permettra bien souvent de rendre les valeurs faibles plus visibles. Les
échelles logarithmiques servent également lorsque l’on s’attend à ce que les données suivent certaines
formes mathématiques. Par exemple, la représentation semi-logarithmique (une échelle logarithmique,
une échelle linéaire) sert à représenter les vitesses de réaction parce qu’elles suivent habituellement la loi
d’Arrhenius,
qui consiste en une droite lorsqu’elle est tracée sur un graphique formé d’une échelle logarithmique (1/T)
et d’une échelle linéaire. On a recours bien souvent à un graphique log-log pour déduire la loi de
puissance entre des quantités. L’équation
y axb
devient une équation linéaire avec le point d’interception (log a) et la pente b si on la représente sur des
coordonnées log-log. Ainsi, on obtient l’équation suivante si l’on prend les logarithmes de chaque côté :
log y = log a + b log x
Les feuilles de calcul standards permettent de créer des graphiques semi-logarithmiques et des graphiques
log-log. Les échelles logarithmiques ne comportent pas de zéro puisque log(0) n’est pas défini. Il convient
de préciser que les échelles logarithmiques ne sont qu’une manière de transformer les coordonnées, c’est
la variable en soi, et non pas son logarithme, qui est présentée sur l’échelle.
Vous trouverez en annexe quelques exemples de graphiques.
5. Présentation des données – Erreurs
Toute présentation de mesures doit être accompagnée d’un énoncé honnête au sujet de leur exactitude.
Voici les deux genres d’erreurs qui se produisent dans la plupart des mesures :
- l’erreur systématique est causée par l’instrument de mesure, par exemple, calibration erronée, dérive
du point zéro, perturbations causées par les sondes (par exemple, dans la circulation des fluides), inertie
mécanique ou thermique (défaut de suivre correctement les changements ou les fluctuations rapides) ou
influences externes (par exemple, transmission de la chaleur des environs à un thermomètre). Il est
souvent possible d’évaluer ces erreurs et de les compenser en calibrant selon une norme connue ou en
élaborant une théorie simple pour la réponse de l’instrument. L’erreur systématique peut en outre se
produire si une personne prend continuellement des mesures en utilisant une technique déficiente (par
exemple, elle regarde une échelle en inclinant la tête).
-l’erreur aléatoire est causée par une erreur humaine au moment des observations, par un bruit
électronique ou par des fluctuations aléatoires de la quantité mesurée. Ces erreurs produisent une
dispersion de mesures concernant une valeur moyenne et peuvent être évaluées en prenant des mesures
répétées de la même quantité ou en répétant l’expérience. L’erreur aléatoire au moment de la lecture
d’une échelle sera de ± (la moitié de la plus petite mesure qu’une personne puisse lire ou interpoler de
l’échelle). Par exemple, si une personne peut lire une échelle graduée en mm entiers au 0,5 mm près,
l’erreur sera donc de ±0,25 mm.
- propagation d’erreur – Des quantités calculées d’après plusieurs valeurs mesurées comporteront une
erreur aléatoire qui dépend des erreurs des mesures combinées. Si une quantité P représente une fonction
des valeurs mesurées x, y, z...., ayant chacune une erreur ЄX, ЄY, ЄZ ....., alors l’erreur dans P est
Cela produit des résultats simples pour certaines formes de P.
Si P = x + y, alors
Si P = xy, alors
Si P = Axn, alors
Les Є sont des erreurs absolues en unités de la quantité mesurée; les erreurs relatives ou en pourcentage
correspondantes seraient ЄP/P, ЄX/x, etc.
On considère acceptable de rejeter une, et une seule, mesure qui dévie clairement beaucoup plus de la
moyenne que les autres données. Cette façon de procéder est acceptée parce qu’il est possible de faire une
erreur au moment de lire une valeur, mais de nombreuses mesures « aberrantes » laissent entendre soit
que l’équipement est défectueux ou soit qu’il faut examiner les causes du comportement imprévu du
système.
Le nombre de chiffres significatifs que comportent les données expérimentales doit indiquer la précision
de la mesure. Ce principe doit être suivi pour toute quantité calculée à partir de ces mesures. Au moment
de multiplier ou de diviser des nombres, la réponse doit avoir le même nombre de chiffres significatifs
que le nombre le moins précis utilisé dans l’opération. Dans le cas des additions et des soustractions, la
réponse doit avoir le même nombre de décimales (et non de chiffres significatifs) que la donnée la moins
précise. Pour les calculs plus complexes, le nombre de chiffres significatifs peut être déterminé au moyen
de l’équation de la propagation d’erreur. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce sujet, veuillez
consulter le guide Marks’ Standard Handbook for Mechanical Engineers, p. 2-4.
6. Équations
Les équations devraient être préparées à l’aide de l’éditeur d’équations de WordPerfect ou de Word. À
l’exception des équations très simples, il est difficile d’insérer une équation qui se lit bien dans du texte
ordinaire. Il ne convient pas de rédiger une équation comme vous le feriez dans une feuille de calcul, par
exemple, y = 3*x^2 pour y = 3x2. La plupart des équations devraient être décalées du texte comme nous
l’avons fait dans la section précédente, mais les équations très courtes peuvent être écrites sur une même
ligne, comme
.
Seules les équations que vous comptez mentionner plus tard dans le texte doivent être numérotées. Vous
pouvez utiliser simplement les chiffres 1, 2, 3.... etc., mais vous pouvez également les numéroter en
fonction du chapitre dans lequel elles figurent, comme 1.1, 1.2, 1.3, etc. Tous les symboles utilisés dans
une équation doivent être définis dans le rapport, soit dans le texte où chaque symbole est présenté la
première fois ou soit dans une nomenclature au début du rapport, après la table des matières. Vous
devriez toujours créer une nomenclature si vous utilisez un grand nombre de symboles ou si votre rapport
est très long. N’obligez pas vos pauvres lecteurs à fouiller dans les pages précédentes pour trouver la
définition du symbole! Vous pouvez fournir à la fois une nomenclature et les définitions des symboles
dans le texte si vous croyez que vos lecteurs pourront ainsi plus facilement suivre le texte.
Une équation fait partie d’une phrase et le texte qui précède et qui suit l’équation doit être ponctué comme
si vous deviez lire l’équation ou l’écrire en mots. Voici un exemple :
La composition du combustible est décrite par la distribution f(I), donnée par
(1) où ", $ et ( représentent les paramètres de la distribution.
Certains éditeurs de texte (comme Word) mettraient automatiquement la première lettre de « où » en
majuscule dans cet exemple. Du point de vue de la grammaire, cela constitue une erreur puisque ce mot
ne commence pas une nouvelle phrase. Vous devez changer la majuscule pour la minuscule si cela se
produit. À vrai dire, il devrait y avoir une virgule après l’équation, mais celle-ci est habituellement omise.
7. Références
Les références visent à permettre au lecteur de déterminer la source originale de tous les renseignements
importants fournis dans le rapport. La source de tout élément d’information tiré d’un autre ouvrage qui est
reproduit dans le rapport, qu’il s’agisse de passages, de données, de graphiques ou de diagrammes, doit
être dûment citée. Dans le cas des passages, il faut les mettre entre guillemets et ajouter leur référence;
pour les autres types d’éléments d’information, il faut inscrire (Tiré de … ) dans la légende. La
reproduction d’éléments d’information tirés d’ouvrages d’autres auteurs sans les citer en référence
constitue du plagiat et peut donner lieu à des sanctions pour fraude scolaire.
Il existe deux systèmes acceptés en génie pour citer les références à des publications :
- le système numérique (le plus commun) : l’ouvrage est cité dans le texte accompagné d’un
numéro entre crochets [4]. Les nombres sont assignés dans l’ordre dans lequel les ouvrages sont
cités dans le texte et les ouvrages sont énumérés dans cet ordre dans la liste des références. Si un
ouvrage est cité plus d’une fois, le même numéro est utilisé pour chaque citation. Les citations
demandent moins d’espace dans le texte avec ce système. Par contre, si vous révisez le manuscrit
et y ajoutez des références, vous devrez numéroter à nouveau les références à partir de la
première nouvelle référence.
- le système auteur-date : l’ouvrage est cité dans le texte ainsi : Smith et Jones (1975), ou, s’il y
a plus de deux auteurs, il faut inscrire Smith et autres (1975). Dans la liste des références, les
ouvrages sont énoncés en ordre alphabétique selon le nom du premier auteur.
Dans les deux cas, toutes les références sont fournies ensemble dans une liste figurant à la fin du rapport.
Les références ne doivent pas être fournies dans les notes en bas de page : cette façon de présenter les
citations n’est pas acceptable en génie, même s’il s’agit de la pratique courante en sciences humaines.
Dans la liste des références, chaque ouvrage est cité avec le nom de tous les auteurs, le titre et l’année de
publication. Pour les revues spécialisées, il faut fournir le nom de la revue, le numéro du volume et les
numéros de page; pour les documents de conférence, il faut inscrire le titre et l’endroit de la conférence et
les numéros de page dans les actes; et pour les livres et les rapports : l’éditeur et la ville. Les références
aux éléments d’information tirés du Web doivent comprendre l’adresse URL et la date à laquelle
l’information a été affichée. Veuillez éviter d’utiliser un très grand nombre de citations provenant du Web
puisque les sites Web changent fréquemment et que les éléments d’information mentionnés pourraient
éventuellement ne plus être accessibles. Voici des formulations types de références :
à une revue spécialisée : Smith, A., Jones, B. et Bloggs, W. (1993), Décomposition à
haute température des rapports de laboratoire, Canadian Journal of Chemical Engineering,
volume no, page xx.
à un document de conférence : Souffle, J. et Neige, M. (1996), Émissions toxiques issues
de l’incinération des rapports de laboratoire, Conférence sur l’incinération, Toronto, page xx.
à un livre : Étudiante, A. et Schueler, M. (2001), Guide de recyclage des rapports de
laboratoire, Presse de l’Université d’Ottawa, Ottawa. Si vous voulez renvoyer le lecteur à une
page précise du livre, ajoutez la citation dans le texte : « Smith [25, p. 345] fait ressortir que... »
ou « Smith (1983, p. 345) met en évidence que... ». Si le livre n’a pas d’auteur, comme dans le
cas d’un guide d’utilisateur d’un appareil, inscrivez le nom de l’entreprise comme auteur.
à des renseignements verbaux : Chrétien, J. (2002), communication personnelle.
Si vous avez des doutes sur la façon de formuler les références, suivez la disposition adoptée dans les
revues de génie réputées. Ce qui compte le plus dans le cas des références, c’est de donner suffisamment
de renseignements à vos lecteurs pour qu’ils puissent trouver l’ouvrage à la bibliothèque.
Préparé par W. Hallett
MCG 4340 – Exemples de graphiques
(En haut à gauche) Le graphique a été tracé par une feuille de calcul; (à droite) le même graphique « nettoyé » et disposé pour la
présentation. Ci-dessous : deux graphiques dont les courbes sont correctement identifiées. Comparativement à la légende,
l’identification des courbes et des points facilite grandement la lecture du graphique.
(Ci-dessus) Les mêmes données tracées sur une échelle linéaire (gauche) et sur une échelle log-log (droite).
(En haut à gauche) points mesurés reliés à l’aide d’une ligne. (À droite) échelles logarithmiques. (Ci-dessous) les mêmes données
tracées sur une échelle linéaire (gauche) et sur une échelle semi-logarithmique (droite).
Préparé par W. Hallett