benjamin spark première monographie éditée par les éditions cercle
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benjamin spark première monographie éditée par les éditions cercle
BENJAMIN SPARK PREMIÈRE MONOGRAPHIE ÉDITÉE PAR LES ÉDITIONS CERCLE D’ART, PARIS Les éditions françaises Cercle d’Art présentent la première monographie consacrée à l’artiste francobelge Street Pop Benjamin Spark. Un regard rétrospectif sur son travail de 2008 à 2016, qui marque une transition entre deux périodes. Tous les textes du livre ont été écrits par Stéphane Corréard, critique, journaliste, commissaire d'expositions, collectionneur et Directeur du département art contemporain de l'Étude Cornette de Saint Cyr à Paris. La préface a été écrite par Erró, monument mondial du Pop Art et héros de la Figuration Narrative À paraître en septembre 2016 dans toutes les bonnes librairies de Belgique et de France ! Spark, ça sonne comme une onomatopée brillante, le son d'un uppercut, ou d'une collision brutale, à l’image de son travail ! Le pinceau en ébullition, il vit et travaille à Bruxelles depuis 10 ans. Le pedigree de Benjamin Spark saute à la figure : fils du Pop et du Street Art, il en incarne une inédite réconciliation, celle de ces deux cultures issues de la rue, rencontre improbable mais inéluctable de ces deux mouvements. Benjamin Spark se pose en héritier de cinquante ans de culture visuelle reprenant à la racine un projet pictural dont l'ampleur n'aura véritablement été envisagée que par son maître Erró qui, depuis la fin des années cinquante, a exploré systématiquement toutes les manières concevables de combiner les images, adoptant successivement, et parfois simultanément, tous les télescopages possibles. La particularité de Spark c’est de superposer à ces complexes combinaisons d'images des sortes de grilles, tracées comme à la hâte en noir ou en blanc, comme à la craie ou d'un trait de marker rageur, qui en plus d'ajouter une dimension clairement agressive à l'image, font s'entrechoquer « ligne claire » et « ligne crade », rajoutant une couche d'illisibilité, de brouillage, à la surface de tableau. Sur ces toiles, des slogans en forme d'injonctions, émergent des magmas d'images. Il est indéniablement un peintre de genre, s'attachant au pittoresque de la vie quotidienne, perçue à travers le regard d'une catégorie bien précise d'individus : les super-héros. Ceux-ci, ont le pouvoir suprême de frapper les esprits, et de pénétrer toutes les couches de la conscience. Spark rejette les grands thèmes signifiants, historiques ou religieux, les allégories savantes. Il les banalise délibérément dans un « big bang » pictural, où l’œil ne sait plus où donner de la tête, sur-sollicité, noyé dans un océan d'images et de signifiants dans lequel le peintre veut faire entrer le bouillonnement du monde sur la scène, sans en atténuer ni le bruit ni la fureur, mais en les plaçant au premier plan. Le processus pictural de Benjamin Spark s'achève inexorablement dans une sorte de dripping facial où s'entrelacent toutes les peurs mais aussi tous les espoirs d'aujourd'hui, sans qu'il soit clairement possible de démêler les unes des autres. Et si le choix des personnages et de leurs expressions ne sont pas le fruit du hasard, chacun y trouvera sa propre narration. A son style-synthèse entre Street Art européen et Pop Art américaine, Spark donne le nom de Street Pop. Benjamin Spark est un de ces rares artistes à révéler son processus créatif. Tout commence par une recherche documentaire fouillée - univers cartoons, dessins animés, pub et films, vieux journaux ou tout support où il a des personnages, des idées, des mots, des typos. La confrontation des univers préside à la sélection. Les personnages choisis sont ensuite dessinés au feutre sur la toile, peints de couleurs vives et tranchées en aplats à l’acrylique de manière lisse et soignée avant de voir leurs contours repassés au feutre. Arrive après le clash final, cette ultime phase cathartique où Spark tague à la bombe ses toiles avant de les lacérer au pastel de lignes verticales et horizontales. Ses super-héros à la ligne claire semblent ainsi prisonniers de leur identité et de leur culpabilité permanente, décontextualisés, empêtrés dans un chaos de tags, de mots et de coulées de peintures ; en quête de leur propre salut. Ainsi, il revisite le Pop Art à la lumière des grands enjeux de notre monde actuel. Ses images de la culture pop décontextualisées, ses slogans juxtaposés sur images invitent le spectateur à interpréter ses œuvres à l’aulne de ses propres références. Expositions Juillet 2016 « The Possibility of an Island » KAPOPOULOS GALLERY, Athènes Novembre 2015 « All the word’s a stage » GALERIE MARIE DEMANGE, Bruxelles Octobre 2015 « Fragmentations » GALERIE BERTH.AS-LES TOURNESOLS, Paris Décembre 2014 Exposition collective ZIMMERMANN & HEITMANN GALLERY, Dü sseldorf Octobre 2014 « It takes a lifetime to unlearn everything » MAZEL GALERIE, Bruxelles Avril 2014 « Looking for Spark » BCK GALLERY, Marrakech Novembre 2013 « L’affaire Spark aux Tournesols » GALERIE BERTH.AS-LES TOURNESOLS, Saint-Etienne Novembre 2012 Exposition collective POP INTERNATIONAL GALLERIES, New York Septembre 2010 « Bad Joke » L’ENTREP.T, Monaco Infos supplémentaires sur le livre Présenté dans certaines galeries à Paris en juin 2016 Sortie officielle en Belgique et en France prévue le 1er septembre 2016 Format : 21 x29 130 pages Editions Cercle d’Art, Paris. Préface de l’artiste islandais Erró. Textes de Stéphane Corréard, dénicheur de jeunes talents, critique, journaliste, commissaire d'expositions, collectionneur. Ancien directeur du Salon de Montrouge et fondateur du Salon Galeristes en 2016 www.benjaminspark.com Contact Presse +32 473 67 15 35 [email protected] www.claudialomma.com