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ZZZYROPRWHXUIU 08/7,$;(63(1'8/$,5(6+e/,&26/e*(56$872*,5(6 0$*$=,1('83,/27(8/0 *XpSDUG6* $ 7(67 8QQRXYHDXIpOLQ $YDQWSUHPLqUH 6$/21$(52 XWp QRXYHD ,1-(&7,21 527$; U L R Y D V W 7RX +pOLFRFODVVHF·HVWRIILFLHO 8/0%/2,6 /HSRLQWDYHF -HDQ0DULH&DUUp 7(67 M 03295 - 314 - F: 6,50 E $872*,5( !25,210 0DJQL*\UR 7(&+1,48( $9(1785( !6XUYROGH !(),6(06 ,26$QGURLG /·(WQDHQ8/0 3:HIKNMJ=ZU[ZUW:?a@d@b@o@k; Q!$YULO!€ ,PSULPpHQ)UDQFH3ULQWHGLQ)UDQFH $QG€%HOJ€3RUWFRQW€0DURFPDG&DQFDQ720[SI'20€0DUWLQLTXH€]RQH&)$&)$ 7HVW 6*$ GX02,16SRXU GHV0,(8; 7H[WH3KLOLSSH7LVVHUDQWSKRWRVGHO·DXWHXU (QPRQWDQWXQHDLOHUHFWDQJXODLUHSOXVFRXUWHVXUOH6XSHU *XpSDUG6*$YRXVREWHQH]OH6*$/DUpGXFWLRQ G·HQYHUJXUHHVWQDWXUHOOHPHQWDSSUpFLpHGDQVOHVKDQJDUV VXUSHXSOpVRXH[LJXV0DLVFHWWHPRGLILFDWLRQGHYDLW pJDOHPHQWUHQGUHO·DSSDUHLOSOXVSODFLGHHWSOXVIDFLOHj JOLVVHUVXUOHVSHWLWVWHUUDLQV8/0W\SLTXHV1RXVDYRQV WHVWpFHWWHQRXYHOOHYHUVLRQSRXUVDYRLUVLF·pWDLWOHFDVHWOH SUL[TX·LOIDOODLWSD\HUHQWHUPHVGHSHUIRUPDQFHSRXU\SDUYHQLU 35(648(72873$5(,/ 6$8)/·$,/( Nous avions évoqué les détails de la conception dans le nº 281 lors de l’essai du SG 10 à aile trapézoïdale en 2009, je n’y reviens donc pas et j’ai préféré interroger Jean-Daniel Roman sur la philosophie qui a présidé à cette nouvelle évolution du Guépard. Le SG 10 A me paraissait très réus /HOpJHUFRQWUH MRXUGHFHFOLFKp IDLWDSSDUDvWUH FODLUHPHQWOHV IDPHX[WXUEX ODWHXUVSODFpV jO·H[WUDGRVGX ERUGG·DWWDTXH si pourtant beaucoup d’instructeurs et de pilotes, plus orientés baroude que voyage, lui reprochaient une trop grande finesse qui conduisait à des difficultés à poser sur des terrains courts et encastrés. Attention quand on dit court chez Aéro Services Guépard c’est vraiment court. Disons moins de 200 m, le genre de terrain que les hauts de gamme préfèrent éviter ! 7HVW 6*$ Voici deux ans la mode des VG* faisait rage dans l’hexagone. Cette solution fut testée avec succès sur le SG 10. Si elle améliorait le contrôle à très basse vitesse, elle ne réglait pas totalement la difficulté : le SG 10 avait toujours du mal à prendre des plans d’approche de Weedhopper et continuait de flotter trop longtemps au-dessus de la piste quand on aurait voulu le voir par terre ! Diminuer l’envergure et augmenter la surface permettait de régler les deux difficultés. L’aile rectangulaire tubes et toiles qui équipait les versions précédentes aurait fait l’affaire mais JeanDaniel espérait récupérer un peu de performance en choisissant une aile en structure classique rivetée et dotée du même profil que le SG 10. Pour le reste, le SG 12 A est strictement identique au 10. Avantage non négligeable, comme tous ses compagnons d’écurie, il peut être configuré au goût de l’acheteur. JeanDaniel ronchonne toujours, mais refuse très rarement et certaines adaptations intelligentes passent à la série. Ainsi le client est satisfait et se prend même quelquefois pour le créateur en perdant de vue que les qualités intrinsèques de l’appareil tiennent plus à sa conception et à ses réglages, qu’à la position des accessoires ! Contrairement à ce que j’imaginais, le SG 12 n’est pas plus cher que le 10. En fait, la construction de l’aile demande autant de travail au sous-traitant et comme nous venons de voir que c’est la seule différence entre les deux appareils, le prix est resté le même. * Turbulateurs de bord d’attaque. 72873285/(&2175Ñ/( (7/$3257$1&( %$66(9,7(66( La conception de cette nouvelle aile, hormis sa forme en plan, est exactement semblable à la précédente. Les flexions et torsions sont reprises par le bord d’attaque en D. Le longeron est constitué d’une tôle pliée en C sur laquelle viennent se prendre les ferrures d’emplanture et de hauban. Des renforts sont ajoutés dans la partie la plus contrainte correspondant à l’attache de ce dernier. Les nervures de bord d’attaque, au nombre de 10, sont formées à la presse caoutchouc. Elles sont naturellement ajourées pour gagner quelques précieux grammes. Le revêtement, lui aussi en tôle, assure la tenue en torsion de toute l’aile. Il a fallu rajouter une lisse pour éviter de voir des plis inesthétiques apparaître lorsque l’on tirait des G. Les nervures arrière sont construites de la même manière que les avants. Elles supportent le longeronnet sur lequel s’articulent volets et ailerons. Pour gagner encore du poids, cette partie est entoilée Dacron 1 500 kg. Les volets d’une taille respectable, deux tiers de l’envergure, sont entièrement revêtus en tôle. Dommage qu’ils soient simplement articulés sur des charnières d’intrados. Avec un système de fentes, on aurait gagné quelques kilomètres par heure en vitesse minimum. Mais cela a un prix aussi bien en masse qu’en euros et on comprend ce choix d’autant mieux que dans le domaine des basses vitesses, le SG 12 est déjà fort bien loti. Ses volets sont commandés par des tubes sortant du fuselage. L’esthétique comme l’aérodynamique en prennent un coup, mais encore une fois la simplicité a primé. /HYDVWHWDEOHDXGHERUGSHUPHWG·DFFXHLOOLUWRXWH O·LQVWUXPHQWDWLRQQpFHVVDLUH5HPDUTXH]OHFRXSHFRQWDFW JpQpUDOSODFpVXUODFRQVROHFHQWUDOHXQH©PRGLIFOLHQWª Les ailerons occupent le reste de l’espace jusqu’au bord marginal. Nous verrons plus loin que cette relative petite taille a une influence sur le comportement en vol. Ils sont commandés par tubes et renvois d’angle dans l’aile et par des câbles dans le fuselage. Tout cela est monté sur butées et roulement à billes ce qui rend la commande très fluide. Le bord d’attaque s’orne d’une ligne de turbulateurs qui occupent toute l’envergure. Ils sont naturellement de fabrication maison, réalisés en tôle pliée. 48$75(75$,16$8&+2,; Tous les fuselages peuvent être livrés en train classique ou tricycle. La première solution utilise des jambes coniques en Zicral. C’est le choix le plus léger et celui qui minore le mieux la traînée. Mais c’est évidemment la seconde qui est la plus populaire. Dans ce cas, la roue avant est conjuguée directement aux palonniers par l’intermédiaire de biellettes. Hélas, cette liaison augmente notablement les frottements dans la commande de lacet comme nous le verrons plus loin. Pour le train principal, on a le choix entre les mêmes jambes que pour la version classique ou, à la demande des écoles dont les instructeurs ne sont pas trop vigilants, les anciennes lames en composite ou en dural. La traînée est plus importante, mais elles semblent mieux résister aux atterrissages approximatifs. ),1,7,216 En ce domaine, les productions de Jean-Daniel Roman et de son équipe sont en continuelle amélioration. Je ne parle pas ici du cosmétique, mais /HGRXEOHDUFHQWXEHVTXLVXUSORPEHOHPRWHXUHVWGHVWLQp jUHSUHQGUHOHVHIIRUWVGHWUDFWLRQG·KpOLFH ³ ´ /¶DSSDUHLODJDUGpWRXVOHVDYDQWDJHVGH SUR[LPLWpHWG¶HI¿FDFLWpG¶XQVHUYLFHDSUqVYHQWH TXLIDLWXQHSDUWLHGXVXFFqVGHO¶HQWUHSULVH 7HVW /HEkWLEHUFHDX HVWWUqV ODUJHPHQW GLPHQVLRQQp 6*$ de la qualité générale du travail et des conceptions. Les soudures sont de très belle qualité et la réalisation des composites très correcte compte tenu des techniques employées. En ce domaine, juste une petite critique sur les bords marginaux rapportés qui mériteraient un ajustage plus précis pour éviter quelques festons au raccordement avec la voilure. La fabrication de cette dernière par un sous-traitant ne souffre d’aucun reproche. C’est de la belle ouvrage digne des meilleures réalisations industrielles. Les aménagements intérieurs progressent également. Pour preuve la jolie casquette de tableau de bord en composite carbone et le petit plancher derrière les sièges pour protéger les commandes et poser des bagages sans risquer de les bloquer. 0216,(853/86 L’évaluation s’est déroulée sur l’aérodrome de Villefranche-de-Rouergue, sous un soleil et une température d’autant plus incroyable que quelques jours auparavant le mercure culminait à – 8° en plein midi ! J’y retrouve une paire de copains du tour de France ULM dont l’un vient prendre livraison d’un SG 12 A après avoir baroudé pendant plusieurs années à bord d’un Skyranger en compagnie de sa compagne et de leur inséparable petit chien blanc. C’est un client exigeant, un de ceux qui font bougonner Jean-Daniel ! Son exemplaire a donc hérité de nombreux raffinements dont, pour les plus visibles, des roues Beringer et totalement caché, une batterie LiFe4 pesant moins de 1,5 kg et capable de cracher 450 A. Le 912 S ne risque pas de faire des manières avec une telle intensité ! Le gain de poids ainsi réalisé à prix d’or, a permis d’ajouter des accessoires « parfaitement indispensables » tels que de magnifiques strobes à LED Aveo plus quelques autres babioles qui ont fait « un peu » remonter la masse. Ne parlons pas du prix puisqu’il s’oublie alors que la qualité reste ! Pour ne pas dénaturer l’essai, ce n’est donc pas cet exemplaire que j’ai testé malgré l’offre sympathique de son propriétaire, mais un tout à fait standard en terme d’équipements. 92/ Concernant l’installation à bord, les petits reproches faits lors de l’essai de l’aile trapézoïdale sont toujours valables. Le seuil avant remontant des portes gêne le passage des jambes et bien entendu comme sur toutes les ailes hautes le double manche ne facilite pas les choses. Au risque de sombrer dans un gâtisme qui de toute façon me guette, je me permets de redire que le manche central est l’idéal pour cette configuration de voilure à moins de recourir à la complexité mécanique donc au poids de volants à la Cessna. Pour le reste, c’est parfait avec des sièges réglables au sol et un tableau de bord accessible pour la manipulation des instruments de vol et de navigation. Le 912 S démarre comme tous ses collègues, je n’insiste donc pas. Le roulage /HVDLOHVHQILQG·HQWRLODJH2QGLVWLQJXHELHQOHVOLVVHV WUDQVYHUVDOHVTXLUHQIRUFHQWODW{OHGHUHYrWHPHQWDYDQW ne présente aucune difficulté grâce à la conjugaison directe de la roue avant aux palonniers ainsi qu’aux freins commandés au manche. Le vent au sol est légèrement nord et impose la piste 31 en légère montée. Le décollage avec un peu de volets - ils sont réglables dans toutes les positions est donc un peu plus long que prévu. J’étrenne mon nouvel enregistreur de vol en provenance du modèle réduit. Il enregistre l’altitude et la température tous les 1/10e de seconde, et cela pendant trois heures. Il pèse 4,5 g et est alimenté par un petit accu lipo de 6 g. Comparé aux baro enregistreurs de mes débuts en planeur c’est sidérant. La difficulté est maintenant de ne pas le perdre dans ma valise d’essai ! Débarrassé du souci de mesure, je me consacre à l’optimisation de la vitesse de montée pour obtenir le meilleur vario sur mon instrument de cuisse. Au dépouillement, les deux concourent et donnent 5,8 m/s pour une vitesse indiquée de 120 km/h. C’est 1 m de moins que le SG 10. L’allongement inférieur handicape l’aile rectangulaire. À 4 000 pieds, l’air est suffisamment calme pour poursuivre les mesures. La vitesse de manœuvre indiquée est de 190 km/h, mais je décide de me limiter à 170 km/h avec 4 600 tr/min pour les tests de maniabilité. Bien que l’aile soit plus courte, le taux de roulis est sensiblement plus faible que son aîné, 2,5 secondes à gauche et 2 secondes à droite pour 90° d’inclinaison. Les ailerons nettement plus petits en sont sans doute la cause. Au demeurant, c’est une valeur largement suffisante pour la destination de l’appareil. Le lacet inverse est modéré avec une bille de décalage en bloquant les palonniers. L’appareil est stable en roulis jusqu’à 40° d’inclinaison sur les deux bords. 9RLOjGHX[UpVHUYRLUVGHOjXQSUL[LPEDWWDEOHHWTXLSHUPHW WHQWGHVHSDVVHUGHVMDXJHVpOHFWULTXHVWRXMRXUVLPSUpFLVHV En tangage, il l’est également avec une oscillation de 20 secondes amortie en une seule période. En lacet, ce n’est pas aussi bon car, comme son grand frère, le SG 12 est instable et reste en dérapage après une sollicitation aux palonniers. C’est encore amplifié par le frottement important dans le palier du train avant. J’attendais naturellement les performances aux différents décrochages et je ne suis pas déçu. En lisse, il salue à peine à une vitesse indiquée de 40 km/h. Si l’indication est très fantaisiste en raison du placement du tube Pitot au ras du bord d’attaque, le comportement est excellent avec un contrôle impeccable même aux ailerons alors que l’assiette très cabrée aurait de quoi inquiéter. Volets complètement sortis, l’assiette est moins impressionnante, mais la vitesse indiquée tombe à 30 km/h. En le poussant dans ses derniers retranchements avec deux billes de dissymétrie, il part sèchement de l’autre côté, mais reprend immédiatement un vol normal en relâchant légèrement la pression arrière sur le manche. L’inclinaison n’a pas dépassé 30°. Les VG sont décidément très efficaces dans ces situations ! La vitesse mini de contrôle avec la puissance pour assurer le palier est, comme je m’en doutais, nettement moins impressionnante que ce qu’indique le badin. Toutes corrections faites y compris de masse j’obtiens 61,7 km/h ce qui est déjà très bien compte tenu de la surface de l’appareil. En revanche, la vitesse maxi en palier est sensiblement plus faible que celle du SG 10 A. Avec 198 km/h, il perd 20 km/h. Il faut dire que cet exemplaire a presque 2 m² de surface alaire en plus et qu’il est dépourvu des petits carénages de haubans et de train. Moteur coupé, le taux de chute s’établit à 3,20 m/s à 115 km/h indiqués. Là encore, la perte est sensible. L’approche est, en revanche, plus aisée. L’appareil perd plus facilement sa vitesse en vent arrière et on peut prendre des pentes importantes en finale sans emboutir la vitesse limite des volets. Ceci, associé à la faible vitesse de décrochage et à l’excellent contrôle dans cette configuration, permet des touchés très lents. Sans habileté particulière, vous roulerez moins de 100 m en utilisant les freins bien entendu. %,/$1 Cette dernière version de Super Guépard remplit donc bien le cahier des charges que s’était fixé son concepteur. La plage de vitesse est décalée vers le bas, les pentes de descente sont augmentées et le contrôle aux basses vitesses rendues nettement plus facile et plus sûr : exactement ce que recherchait une partie de la clientèle. Cela se paye par des pertes de performances en montée, en vitesse et donc en allonge ce qui ne gênera que les pilotes au long cours. L’appareil a gardé tous les avantages de proximité et d’efficacité d’un service après-vente qui fait une partie du succès de l’entreprise. Le carnet de commandes est plein jusqu’à l’automne. Les occasions sont rares, un signe que les Guépard sont très appréciés de leurs propriétaires. C’est aussi mon sentiment et il est bien dommage que l’entreprise ne souhaite pas augmenter sa capacité de production même si je comprends la prudence de son patron en cette période incertaine. Vos réactions : redaction@flying-pages.com 0DOJUpODGpIRUPDWLRQGXJUDQGDQJOHRQFRQVWDWHODWDLOOHLPSRUWDQWHGHVYROHWV HWFRUROODLUHPHQWODUpGXFWLRQGHFHOOHGHVDLOHURQV 6*$$e526(59,&(6*8e3$5' 8/0ELSODFHF{WHjF{WHjDLOHVKDXWHVGHFRQVWUXFWLRQPpWDOOLTXH 'LPHQVLRQV (QYHUJXUH P 6XUIDFH Pò 0DVVHjYLGH NJ 0PD[ NJ 3ODFHV 5pVHUYRLU [O 0RWHXU 5RWD[6 3XLVVDQFH FK 5pGXFWHXU +pOLFH 'XF6ZLUO7ULSDOHFRPSRVLWH GLDPP &RQVRPPDWLRQ OK 3UL[YHUVLRQGHEDVH5RWD[ HXURV+7 8/ 3UL[GXPRGqOHHVVD\pYHU HXURV+7 VLRQHVVD\pH5RWD[8/6 &RQIRUW /DUJHXU P +DXWHXU 5$6 /RQJXHXU P 6LqJHV UpJODEOHV 3DORQQLHUV IL[HV 9LVLELOLWp $YDQW ERQQH /DWpUDOH ([FHOOHQWH 6XSpULHXUH PR\HQQH ,QIpULHXUH ERQQH $UULqUH ERQQH 6pFXULWp $WWDFKHSLORWH SRLQWV 3WVGDQJHUHX[ 5$6 'pEFRPPDQGHV 5$6 5pJODJHLQVWUXPHQWV 5$6 3DUDFKXWH 1RQ 7DEOHDXGHERUG &RPSDVEDGLQDOWLPqWUHFRPSWHWRXUVPRWHXUFRPSWHWRXUV URWRUSUHVVLRQG·KXLOHWHPSpUDWXUHKXLOHWHPSpUDWXUHHDX FXODVVHSUHVVLRQG·HVVHQFHSUHVVLRQG·DLUYROWPqWUHKRUDPqWUH eTXLSHPHQW )UHLQV GLVTXHVURXHVSULQFLSDOHVFRP PDQGHK\GUDXOLTXHOHYLHUJDXFKH )UHLQVGHSDUF RXL $pUDWLRQ 7% 5DGLR )LOVHU 7UDQVSRQGHXU )LOVHU *36 *DUPLQSLORW,,, 3HUIRUPDQFHVUHOHYpHVSHQGDQWO·HVVDL 0DVVHDXGpFROODJHNJ7HPSpUDWXUHVRO3UHVVLRQ 41+K3D3LVWH9HQWNPK$OWLWXGHGH WUDYDLOIW41+ 0DVVHDXGpFROODJH NJ 7HPSpUDWXUHVRO 3UHVVLRQ41+ K3D 3LVWH 9HQW NPK $OWLWXGHGHWUDYDLO IW41+ 3HUIRUPDQFHV 7HPSVGHGpFROODJH VHFRQGHV 9] PV#NPK# WUPLQ 9PD[ NPK9LWHVVHHQSDOLHU SXLVVDQFHPD[LYRLUQRWD 9PF*36 NPK9LWHVVHPLQLHQSDOLHU SOHLQHSXLVVDQFH 9] PV 1RWD 9L 9LWHVVH LQGLTXpH SDU O·LQVWUXPHQWDWLRQ GH ERUG 9PD[ 9LWHVVHPHVXUpHjSOHLQHDGPLVVLRQDX*36VXUWURLVEUDQFKHVj 9PFYLWHVVHPLQLPXPHQSDOLHUjSOHLQHSXLVVDQFH9PD[HVWFRUULJpH GHODGHQVLWpGHODWHPSpUDWXUHHWGXUpJLPHPRWHXU7DX[GHURXOLV PHVXUp G·XQH LQFOLQDLVRQ VWDELOLVpH j DX SDVVDJH VRXV VXU O·DXWUHERUGHQXWLOLVDQWFRPPDQGHVGHODFHWHWURXOLVjO·RSWLPXP9] 9LWHVVHGHPRQWpHPHVXUpHjO·DOWLFKURQR/HUpJLPHHVWFHOXLLQGLTXp SDUO·LQVWUXPHQWDWLRQGHYRO/DPDVVHG·HVVDLHVWFDOFXOpHjSDUWLUGH ODPDVVHjYLGHLQGLTXpHGDQVOHSDUDJUDSKH©'LPHQVLRQVª $e526(59,&(6*8e3$5'-HDQ'DQLHO520$1 7RXORQMDF)D[ FRQWDFW#DHURVHUYLFHVIUZZZDHURVHUYLFHVIU