PACBASE aux États-Unis, Le témoignage d`un acteur majeur

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PACBASE aux États-Unis, Le témoignage d`un acteur majeur
PACBASE aux États-Unis,
Le témoignage d'un acteur majeur,
Gianfranco Moi
Pour compléter l'histoire de PACBASE, il était essentiel de publier le témoignage d'un des
acteurs majeurs de l'AGL aux États-Unis, Gianfranco Moi.
Au service des clients durant toute sa carrière, Gianfranco lève le voile sur l'aventure
américaine de PACBASE.
Merci à lui pour ce témoignage indispensable pour comprendre comment l'outil a été
perçu et utilisé de l'autre coté de l' Atlantique, mais aussi en Europe, en Suisse et en
Italie..
Témoignage de Gianfranco Moi (Mai 2012).
Nous sommes en mars 1982, je viens de finir mes études à l’École Polytechnique de
Lausanne en Suisse.
A la recherche d’un premier emploi en informatique, je réponds à une annonce de CGI qui
vient d’ouvrir sa filiale à Genève et cherche des jeunes ingénieurs pour travailler comme
analyste programmeur sur le marché local avec les premiers clients PACBASE.
Après une interview avec Vito Lorenzetti, fondateur de la succursale Suisse de CGI, je
suis embauché et part immédiatement à Paris pour un stage de formation de 2 mois.
Je n’avais pas conscience alors que cette décision allait conditionner une grande partie de
ma carrière professionnelle et de ma vie.
Après ma formation, j’ai travaillé pendant 7 ans avec PACBASE et participé au
développement de la filiale Suisse qui s’est rapidement imposée sur le marché Romand
mais n’a jamais pu franchir la barrière linguistique de la Suisse Alémanique.
La filiale suisse s’est alors tournée pour son expansion vers le Tessin puis naturellement
vers l’Italie, il y a avait plusieurs Italiens, des immigrants de deuxième génération, dans
l’équipe CGI Suisse.
La filiale italienne de CGI existait alors déjà depuis plusieurs années mais ne
commercialisait pas PACBASE.
J’ai alors commencé à travailler plus directement avec la CGI à Paris où j’ai fait la
connaissance de Fernand Bonaguidi et de toute l’équipe de développement PACBASE du
Château des Rentiers, pour fournir le support technico-commercial au lancement de cette
activité en Italie.
Je venais régulièrement me former à Paris sur les dernières nouveautés du produit avant
leur sortie officielle.
Je récupérais des versions Beta, parfois même Alpha, du produit pour faire des
démonstrations en Italien avec des écrans en Anglais et les manuels de référence en
français … un vrai « challenge », mais passionnant!
A cette époque j’ai beaucoup voyagé pour faire des présentations et du support avant et
après vente pour PACBASE dans toute l’Italie où le produit commençait à remporter un
certain succès.
Pendant les années 80 la CGI a continué son expansion internationale en créant des
filiales ou en rachetant des sociétés en Europe et en Amérique du Nord.
En 1989, PACBASE avait déjà été vendu à plus d’une cinquantaine de clients renommés
en Amérique du Nord et la prospection au Mexique venait de commencer.
Aux États-Unis, après un succès initial foudroyant, les ventes de PACBASE ont
brutalement chuté car le produit avait, tout aussi rapidement, acquis la réputation d’être
difficile à utiliser.
En fait, les clients américains et canadiens ne trouvaient pas de support pour leurs projets
PACBASE car ni CGI Systems, qui commercialisait et assurait la hotline, ni aucune SSII
ne fournissaient des prestations de service autour du produit.
Les clients, livrés à eux-mêmes après la formation initiale, rencontraient des difficultés et,
ne trouvant pas de support, se décourageaient.
Ils n’étaient pas disposés dans ces conditions à fournir de bonnes références qui sont
essentielles pour acquérir de nouveaux prospects.
Il y avait là un « bug » dans le business model mais aussi une opportunité à saisir sur le
marché Nord Américain.
Constatant le problème, la direction de CGI à Paris décida en 1989 de remédier à la
situation en rachetant Matrix Inc., une société de services basée à Philadelphie, qui était
en quête d’un acquéreur.
D’autres acquisitions similaires ont rapidement suivi mais les tentatives pour « booster »
l’ingénierie PACBASE aux États-Unis restèrent infructueuses ; la « greffe » PACBASE ne
prenait pas bien sur les SSII américaines.
Devant ce constat d’échec, la direction à Paris, qui tenait à établir et à maintenir une forte
présence aux États-Unis en raison du marché mais aussi pour des questions de prestige,
proposa à certains employés européens de tenter l’aventure américaine pour renforcer les
équipes locales, diffuser la culture d’entreprise et le savoir-faire autour de PACBASE.
En Juillet 1989, je mets donc le cap sur Philadelphie, en Pennsylvanie avec armes,
bagages et ma petite famille pour rejoindre Matrix.
Je ne savais pas alors que je nous passerions 16 ans outre Atlantique.
Après une très courte période d’adaptation je me rends vite compte du problème: les
employés de Matrix, comme ses clients d’ailleurs, utilisaient PACBASE pour générer du
COBOL.
Le résultat n’était pas mieux que rien mais pire que tout!
Les programmes étaient illisibles et la productivité abyssale.
En caricaturant, mais à peine, pour un programmeur, l’écriture d’un programme PACBASE
consistait en un exercice tortueux destiné à contrecarrer la logique générée par le produit
pour y faire prévaloir la sienne.
Les analystes programmeurs de Matrix n’avaient pas adhéré à l’idée d’une
industrialisation de l’informatique de gestion.
Ils avaient non seulement un certain retard dans ce domaine mais étaient culturellement
opposés à une approche structurée du génie logiciel conduisant selon eux au syndrome
« Analysis Paralysis ».
Ils ne s’attardaient pas dans les phases d’analyse mais se plongeaient rapidement dans la
programmation.
Les problèmes de design dans les applications n’étaient pas résolus en agissant sur les
éléments du référentiel PACBASE mais solutionnés au cas par cas dans les programmes
eux-mêmes.
Beaucoup d’analystes programmeurs avaient d’ailleurs un statut d’indépendant et Matrix
ne leur avait donné qu’un vernis minimal pour travailler avec PACBASE.
En général, ils ne maîtrisaient pas bien les concepts.
A ma stupeur, je découvris qu’aux États-Unis PACBASE était en avance sur son temps!
Christian Neau qui encadrait l’équipe des moniteurs de GCI Systems Inc. m’avait envoyé
du renfort en la personne d’Emmanuel Hausseguy, un transfuge Français bilingue et
expérimenté basé à Pearl River, New York qui s’attela avec moi à l’écriture en anglais
d’exemples et des standards pour faciliter l’usage de PACBASE pour les nuls.
Ce complément de documentation sera ensuite connu dans la communauté PACBASE
aux États-Unis comme « Z book » (clin d’œil à la prononciation à la française de « The
book »).
« Z book » contenait les « best practices » PACBASE ainsi qu’une collection de
macrostructures et de normes, prêtes à l’emploi, pour bien structurer le « repository »
PACBASE et son contenu.
Le temps et une démarche systématique auprès des clients nous permit de pérenniser
l’utilisation du produit auprès des clients avec qui de très gros projets d’ingénierie
PACBASE furent réalisés dans les années 90.
Dans le secteur financier et bancaire pendant la période de consolidation de cette
industrie aux Etats-Unis, PACBASE fut utilisé intensivement par des clients prestigieux
comme American Express Financial Advisors, BanK One, Norwest et d’autres.
Dans le secteur public, notamment au niveau fédéral au Department of Defense incluant la
Navy et l’Air Force, PACBASE fut utilisé pour écrire une très grande partie leurs
applications logistiques de back office.
PACBASE fut aussi été utilisé par AAMVANet pour l’application de recensement et
d’harmonisation au niveau fédéral des immatriculations de tous les véhicules à moteur des
États-Unis.
Toujours dans le domaine public mais cette fois au niveau des états, PACBASE fut utilisé
par le Department of Transportation de l’Ohio pour la réécriture de l’ensemble de ses
applications, le département du personnel du Commonwealth of Pennsylvania pour la paie
de tous ses fonctionnaires, le State Compensation Fund of Arizona pour l’ensemble de ses
applications pour la gestion du fond de prévoyance des employeurs.
Dans les gouvernements locaux des grands contés et des grandes villes comme Phœnix,
Chicago, New York, Shelby County, Galveston County et bien d’autres villes et contés,
PACBASE fut mis en œuvre pour des développements spécifiques du « core business» et
de « mission critical systems ».
Le produit fut aussi vendu à des groupes industriels, a des sociétés de service dont
principalement EDS, des assurances, des HMO comme Health Alliance Plan à Detroit qui
était l’assurance Maladie de l’Hôpital Ford, etc …
Pendant ce temps j’étais aussi impliqué avec l’équipe de Philadelphie dans la promotion
du produit et le support à la vente au Canada avec des clients comme Canada Héritage
au Ministère de la Culture, la Police Montée Royale au Canada en collaboration avec
Jean-Claude Moïse, le commercial PACBASE canadien, et Banamex, Telmex, et d’autres
clients mexicains en collaboration avec Bruno Van Helmerick, le commercial PACBASE
mexicain, d’origine française qui parle espagnol comme son nom ne l’indique pas.
A l’an 2000, la mise à niveau des applications PACBASE pour corriger le « millenium
bug » se fait en un temps record, 10 fois plus vite que pour les applications traditionnelles
COBOL!
Ce qui fait dire à Mike Pachis, alors président du NAPUG (North American PACBASE User
Group):
« PACBASE’s repository was the right idea !!!».
Je travaillais à cette époque en collaboration avec le centre de compétences Y2K d’IBM à
Chicago pour traiter les applications COBOL avec PacReverse pour les des clients qui
n’avaient pas encore réécrit toutes leurs applications en PACBASE.
C’était aussi ma première expérience d’outsourcing en Inde avec PACBASE.
Pendant ce temps d’autres produits tels que IEF et IEW s’implantent fortement sur le
marché sous le label CASE (Computer Assisted Sofware Engineering) et concurrencent
PACBASE.
Avec une approche marketing plus agressive, une interface utilisateur graphique et moins
contraignants sur le plan méthodologique, ces produits s’imposent sur le marché au
dépend de PACBASE dont l’interface utilisateur commence vraiment à dater.
Le produit ne se vend quasiment plus aux États-Unis et de moins en mois aussi en
Europe. Ayant de fréquents contacts avec le lab IBM Paris, je réalise que DIVA, qui sera
rebaptisé plus tard PAC/CS, ne sera peut-être jamais commercialisé et que nous risquions
à moyen terme de perdre nos clients Américains qui insistaient de plus en plus fort pour
pouvoir exploiter le contenu du « repository » PACBASE pour générer des applications de
type Client / Serveur et des applications pour le Web.
Des produits comme Visual Basic, Powerbuilder, puis plus tard VisualAge, mais aussi des
suites IDE complètes comme Websphere AD et Eclipse (sa version Opens Source) autour
de Java et Visual Studio autour de C# ainsi que d’autres langages font progressivement
leur apparition sur le marché et sont rapidement adoptés par les clients.
Nous décidons, avec des moyens très réduits, de faire une preuve de concept (POC) à
Philadelphie pour répondre à la demande des clients PACBASE.
L’idée était simple, faire des développements GUI avec ces nouveaux produits en utilisant
le repository et les générateurs de PACBASE pour générer des proxys client et serveur
des programmes PACBASE et les faire communiquer par des appels à des middleware du
marché comme CPI-C, ECI, Tuxedo, etc. le tout réalisé avec des macrostructures
paramétrables.
Finalement réinjecter le code exogène du GUI dans le « repository » sous forme de blob
pour bénéficier du versioning (Pac Open) … le POC fonctionnait comme prévu fut
démontré à la conférence NAPUG en 1992 à Memphis, Tennessee, puis pour Pac Open à
La Nouvelle Orléans en 1994..
Le ToolKit permettait de générer des applications modernes avec GUI ou même
moderniser les programmes TP de PACBASE avec du GUI ou une interface Web (Pac
Web) en utilisant des outils populaires sur le marché. Nous demandons alors au lab IBM
de Paris d’industrialiser cette solution appelée provisoirement « ToolKits et PacWeb».
Mon ami Fernand Bonaguidi vient me rendre visite à Philadelphie et nous travaillons
ensemble pour transférer le savoir faire de Philadelphie à Paris.
Un des développeurs des « ToolKits », Jamie Allen est envoyé à St-Nazaire pour effectuer
un stage de quelques mois et faciliter leur industrialisation dans PACBASE, et en même
temps se former à Pac/CS.
Malheureusement, bien que reconnue comme originale et pragmatique cette initiative
contrecarrait les plans de développement en cours du Lab et ne sera pas soutenue par
IBM.
Bien plus tard, un concept similaire sera repris par le Lab avec la génération par
PACBASE d’un proxy pour VisualAge Generator … malheureusement cela était « too little
too late ! »
En 1999 je crée ma propre société, e-ASG www.e-asg.com , spécialisée dans la fourniture
de prestations et d’édition de progiciels avec PACBASE.
e-ASG, qui a un statut de partenaire IBM, propose des prestations de services, de la
formation à PACBASE ainsi qu’une suite complète ERP pour le secteur public livrée dans
le repository de PACBASE avec possibilité de génération automatique des écrans sur le
Web et une génération des « reports » en XML.
Le produit Envision Series avait originalement été développé en LINC, un 4GL de Unisys,
par SCI, un éditeur de logiciel basé de St-Louis dans le Missouri.
Nous avions converti Envision Series automatiquement dans PACBASE avec un
convertisseur de code très abouti, lui-même écrit en PACBASE, qui prenait en entrée du
code LINC et le convertissait automatiquement en entités PACBASE dans le repository.
Ce convertisseur de code avait été développé par mon groupe à Philadelphie dans les
années 90 pour les besoins de Lutheran Church Board of Pensions basé à Minneapolis
qui voulait migrer ses applications Unisys LINC sur un IBM AS/400.
L’offre de conversion LINC a PACBASE, baptisée « Lateral Engineering », fut aussi utilisé
par Fisher Price, dans le cadre du rachat par Mattel, pour convertir leurs applications
Unisys LINC sur une plateforme IBM mainframe.
D’autres clients Uniys LINC désirant migrer sur d’autres plateformes nous ont approché et
nous avons fini par créer un centre de re-engineering LINC à PACBASE à Bangalore, en
Inde pour répondre à la demande.
En 2000 IBM discerne à e-ASG l’excellence solution award « born on the web » pour
Envision Series qui à été mis en œuvre dans plus de 160 gouvernements locaux et
districts scolaires aux États-Unis (voir document annexe : IBM Solution Excellence Award
earned by e-ASG for the Envision Series).
Les conférences PACBASE organisées par CGI Systems en collaboration avec le NAPUG
réunissaient une fois tous les deux ans, en alternance avec les conférences Européennes,
tous les clients en Amérique du Nord, le management de CGI Systems et les équipes de
développement PACBASE du Lab à Paris.
Très fréquentées dans les années 80, ces conférences perdaient rapidement de leur
intérêt pour les clients dès lors que les annonces de l’arrivée de PAC/CS puis de
VisualAge PACBASE se répétaient sans que les produits ne soient jamais livrés.
Les clients d’abord patients, puis impatients avaient finalement perdu patience.
J’ai repris progressivement la responsabilité de la coordination des conférences
PACBASE aux USA en collaboration avec le NAPUG, le GUEPARD et le Lab IBM Paris en
mettant d’avantage l’accent sur les aspects d’utilisation, les offres de services et les
témoignages des clients basés sur leurs propres expériences avec le produit.
Le rapprochement avec VisuaAge Generator à un moment donné a permis d’organiser la
conférence PACBASE dans le cadre de la conférence GUIDE d’IBM.
L’idée était de donner une plus grande visibilité à PACBASE en dehors de la communauté
restreinte des clients existants.
Cependant, comme le message d’IBM sur le futur de PACBASE était loin d’être clair, l’effet
escompté ne fut pas atteint.
A l’occasion de la conférence PACBASE 2002 organisée a St-Augustin, Floride en
collaboration avec Mike Pachis, président du NAPUG et Claude Clarisse, président du
GUEPARD, nous décidons de faire un recensement mondial des clients et des
applications PACBASE ainsi qu’un sondage sur leur attentes afin de communiquer à IBM
les priorités des clients et essayer de réorienter les développements PACBASE dans ce
sens (voir documents annexes PACBASE Statistics et Lettre conjointe GUEPARD –
NAPUG).
Les orientations données par les clients encore nombreux (environ 400 dont 10% en
Amérique du Nord) et actifs (globalement 40'000 utilisateurs) étaient claires.
Ils avaient un investissement colossal dans le repository PACBASE avec des millions
d’entités PACBASE qui étaient réutilisés en moyenne plus de 3 fois chacune!
Ils souhaitent utiliser PACBASE comme un référentiel unique basé sur un protocole
d’échange ouvert utilisant XML, intégré à Eclipse pour tous leurs développements et
améliorer l’interface utilisateur du produit pour augmenter la productivité des
programmeurs.
Une lettre conjointe du GUEPARD et du NAPUG à IBM précisant ces points, statistiques à
l’appui, aboutit à organiser une rencontre de tous les acteurs impliqués qui se tiendra
finalement deux ans plus tard à Paris le 29 mars 2005 à la FNCA au cours de l’assemblée
Générale du GUEPARD (voir document annexe Assemblée Générale du GUEPARD du 29
mars 2005).
A cette réunion, IBM confirme sa stratégie de convergence VisualAge PACBASE avec
Websphere AD, ignore les demandes des clients et annonce la fin des développements
PACBASE avec la release 3.5 du produit qui sera maintenue sur le long terme mais sans
évolutions majeures !
Pour moi l’aventure PACBASE s’est arrêtée en 2005 (où presque) quand, pour des
raisons familiales nous décidons de rentrer en Suisse où l’on me propose la position de
CIO à la Ville à Lausanne.
Poursuivant ma carrière en Suisse, en mars 2012 je suis entré en fonction comme CIO à
l’Etat de Genève, succédant à Jean-Marie Leclerc, lui aussi un adepte de la première
heure de PACBASE puisqu’il était le premier client Suisse et, pendant de nombreuses
années, le président du GUEPARD.
Quelle ne fut pas ma surprise de retrouver à l’État de Genève en 2012 des applications
encore en production écrites par CGI en PACBASE il y a environ 30 ans pour une plateforme Bull !
« Interrogez le passé, il répondra présent !».
PACBASE à été, pour moi, un produit extraordinaire sur lequel j’ai bâti une grande partie
de ma carrière professionnelle et qui m’a permis de vivre une belle aventure
internationale. Cet aussi grâce à ce produit que j’ai pu côtoyer des individus, eux aussi
extraordinaires, comme Robert Mallet, Bernard Chapeau, Didier Roque, Pascal Garrigue,
John Swainson, Ian Simpson, Lee Nackman, Pierre Granier, Phlippe Bauquel et bien
d’autres que je n’ai pas oubliés mais dont la liste serait bien longue pour la publier ici, sans
oublier non plus mon ami Fernand Bonaguidi dont je salue l’initiative d’avoir pensé à écrire
ce livre.

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