Mon Esther troisième partie

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Mon Esther troisième partie
Mon Esther troisième partie
Nico pelota à suffisance les nichons de la jeune fille; son
dessein inavoué était de se donner assez de temps pour que les
effets du produit dont il s’était enduit l’anaconda, se
fassent sentir avant de partir à l’assaut de ce cul d’enfer
obtenu sans sou déboursé. Ce n’est qu’après une heure
d’horloge qu’ils se sont enfermés, que les premiers
picotements indiquèrent au bonhomme que le moment tant attendu
était arrivé pour consommer l’« agneau sacrificiel ».
Il amena sans mot dire, la go vers le lit et lui fit
comprendre par le regard, de lui enlever le pantalon. Parce
que le gars était assis sur le lit, la jeune fille eut toutes
les peines du monde à sortir le « bangala » de sa tanière,
tellement il s’était durci et raidi et était parcouru de
veines gorgées de sang. Pour ceux qui ont suivi le film
« Anaconda », l’organe donnait l’aspect de ce gros serpent à
la recherche d’une grotte mielleuse dans laquelle il irait se
ficher. Mais, mystère de la gent féminine, la vue de cet
énorme épieu n’avait rien d’ahurissant pour Esther, bien au
contraire. Elle l’avala d’un trait et dans son excitation de
recevoir en elle ce pilon, remuait dans le vide la croupe en
signe d’impatience. La nature ayant horreur du vide, Nico
tournoya la croupe de la gonzesse de manière à ce qu’ils
soient tête-bêche. « Sais-tu comment s’appelle cette posi… ?
», s’enquit le gars. Il n’eut pas le temps de terminer la
question. « Le 69 », coupa la go. Mais lorsqu’il capta le
clito et fit faire une sarabande à sa langue sur le bouton et
à l’intérieur des grandes lèvres, il comprit qu’Esther, sous
ses airs de fille sélective, était une véritable bombe
sexuelle. Mais alors, il lui ferait comprendre qu’en matière
de jouissance, elle ne détenait pas la paternité de
l’expertise. La langue foutue dans son minou, Nico osa un
index dans « l’astérisque » de la fille qui ne s’y attendait
point. Elle mordit violemment le membre du gars et projeta sa
croupe sur son visage, sous elle. Par jets saccadés, elle prit
son pied, se triturant les seins et mimant une femme en
transe.
Nico se sortit de sous la fille et, calé derrière elle tout en
relevant la croupe de façon à ce qu’elle soit à hauteur de son
pénis raide comme une barre de fer, il s’enfonça d’un trait en
elle, le minou étant déjà mouillé à suffisance. Le principe
actif de l’élixir étant de désensibiliser la peau du membre,
il se mit à pilonner le postérieur de cette fille qu’il veut
soumettre à tout prix. Tantôt comprimant les deux fesses afin
que la pénétration soit plus sensitive, tantôt les écartant à
les fendre pour mieux se plonger au plus profond d’elle.
Lorsqu’elle osa passer sa main sous elle pour tenir les
couilles de Nico dans leurs mouvements, elle le regretta
aussitôt car celui-ci lui mit le feu à ses fesses. Le
pilonnage fut si intensif que très tôt, l’humidité vaginale
disparut sous l’effet combiné des coups de boutoir et du
ventilo. C’est en suppliant Nico que la go pût reprendre son
souffle mais au finish, le gars fit des dégâts dans son
entrecuisse qui prit congé tard dans la nuit, vaincue et
amochée. Depuis ce jour, elle ne lui adressa plus la parole et
prévint toutes ses copines de se méfier du nouveau venu dans
la bourgade.
Fin.
Godson K.

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