champagne drappier

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champagne drappier
Champagne Drappier
Une terre, une famille, un style
Michel Drappier est l’héritier d’une somme
de savoirs et de terres rassemblés depuis
deux cents ans par les membres d’une
même Famille.
La Maison Drappier a pour vocation
d’élaborer des vins de Champagne au plus
proche de ce qu’il est convenu d’appeler la
justesse.
Loin
du
battage
médiatique
qui
emprisonne parfois le vin dans son image,
Michel Drappier se refuse à réaliser le
« meilleur » de la Champagne, sachant
pertinemment que tout, en matière de vins,
est affaire de goût.
Plutôt que la prouesse technique, il
recherche le respect d’un style tout en
l’améliorant par ces petits détails qui font la
différence.
À l’excellence sophistiquée, il préfère le
naturel et l’authentique.
Il s’efforce de vinifier de vrais vins, tout
simplement.
Des vins sans artifice.
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Dossier de presse Champagne Drappier 2
Le pinot noir, cépage historique de la Maison Drappier
Jadis occupée par les moines cisterciens de Clairvaux, La Maison Drappier abrite de merveilleuses caves voûtées du XIIe siècle dans
lesquelles « grandissent » les champagnes Drappier.
Remontant à un passé plus proche, l’arbre généalogique de la famille Drappier prend ses racines au XVIIe siècle, à la naissance de Rémy
Drappier en 1604 qui devient, comme Nicolas Ruinart, marchand drapier à Reims. Son petit-fils, Nicolas (1669-1724) est procureur du roi
Louis XIV. Il faut attendre 1808 pour que l’un des ancêtres de la Maison, François, s’installe à Urville et commence à exploiter un vignoble
qui s’étend aujourd’hui sur 55 ha auxquels s’ajoutent une douzaine de contrats associations dans la Côte des Bar, la Montagne de Reims et
la Côte des Blancs.
À Urville, au début des années 1930, le vignoble soulève brusquement des discussions passionnées. Georges Collot, grand-père maternel de
Michel Drappier, décide, le premier, de planter du pinot noir dans le canton…
Sa décision fait sourire et on le surnomme le « Père Pinot ». Ce cépage représente désormais 70 % du vignoble familial et près des trois
quarts de l’encépagement du terroir communal… L’histoire a donné tort aux moqueurs.
En 1952, André Drappier et son épouse Micheline lancent la cuvée Carte d’Or habillée d’une étiquette jaune : une évocation de la gelée de
coing, arômes que l’on retrouve dans ce « brut classique ».
Après le gel historique de 1957 (récolte détruite à 95 %), André introduit le pinot meunier, plus résistant aux froids printaniers. Mais… C’est
un champagne 100 % pinot noir qui séduira le Général de Gaulle en 1965 pour sa consommation familiale à Colombey-les-deuxEglises.
En 1968, Micheline a l’idée d’un champagne rosé. Il sera 100 % pinot noir lui aussi et en bouteille blanche, une touche féminine encore très
rare à cette époque. 40 ans plus tard ce rosé fait son entrée à l’Elysée.
Depuis 1979, c’est Michel Drappier, fils unique d’André, qui assure la continuité du « goût Drappier » tout en apportant sa touche
personnelle. André, fort de ses 60 vendanges, garde un œil avisé sur le vignoble qui couvre aujourd’hui mille « hommées » (55 ha) en
propriété et 40 ha en contrats associés.
En 1988, de profondes caves creusées dans la craie de Reims sous Napoléon III rejoignent la propriété familiale pour abriter les grandes
cuvées.
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La terre, sans artifice
Pour enfanter un grand vin, sans pour autant lui imposer un surcroît d’interventions qui risquerait de le dénaturer, il va sans dire qu’il faut
une qualité de fruit irréprochable. Tout le monde le clame volontiers haut et fort, tous les experts de la planète sont en accord sur cette
évidence : le raisin est l’essence même du vin. Pour y arriver, une seule règle s’impose : le respect de l’intégrité de la terre dans sa
diversité.
Sans le terroir, sans cette terre sacrée sur laquelle les hommes se penchent avec passion de génération en génération, sans le labeur
rigoureux qu’elle a généré au fil des ans, la vigne, qu’elle soit de Champagne ou d’ailleurs, n’aurait aucune âme et son fruit n’aurait pas
l’importance qu’on lui accorde de nos jours. Ainsi, la terre à vigne est un trésor légué par les ancêtres, un joyau qui se résume en autant de
tranches de vies qu’il y a de parcelles à cultiver.
En Champagne, et précisément chez les Drappier, on considère la vigne non pas comme une « propriété » au sens de « possession » mais
plutôt comme un don familial transmis par des hommes soucieux du travail bien fait. Ce patrimoine, acquis non sans peine et avec
patience, permet au vigneron d’aller jusqu’à l’essentiel : le vin.
Les ancêtres de Michel et André Drappier se sont attachés à choisir des parcelles particulièrement bien exposées et puissamment calcaires les fameux sols kimméridgien que l’on trouve également en Bourgogne - pour produire des vins très expressifs.
Véritable socle de la Maison, le vignoble a la chance de s’appuyer sur plus de 90 hectares essentiellement situés sur la Côte des Bar, le
berceau de la famille où l’on ne compte plus les vignes anciennes, la Montagne de Reims, connue pour la puissance de son pinot noir, et la
Côte des Blancs, réputée pour la finesse de son chardonnay.
Ces terres diversifiées, du plus jeune des Drappier au plus âgé, on y tient comme à la prunelle de ses yeux. Amendées de composts
naturels, elles donnent des raisins aux caractères bien tranchés qui se retrouvent, bien entendu, au plus profond des champagnes
Drappier, là où les connaisseurs savent deviner l’âme du vin.
Sans les cépages légendaires de la Champagne implantés dans les meilleures terres, sans le blanc vrai (version champenoise du pinot
blanc), l’arbane et le petit meslier, cépages rarissimes pratiquement oubliés qui composent ce vignoble séculaire, le champagne Drappier,
serait comme un corps sans ossature.
Sans son vignoble d’exception qui voit son futur à travers ses racines, la Maison Drappier n’aurait pas atteint la notoriété qui est la
sienne.
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L’équilibre
L’équilibre est un maître mot dès lors qu’il s’agit d’élaborer un champagne digne de ce nom.
Pour tendre vers l’équilibre, il faut entrer dans un jeu subtil fait de savants dosages entre cépages appropriés,
plantés patiemment en différents lieux, sur des parcelles offrant de multiples expositions,
par des hommes aussi sages qu’audacieux et avisés.
Exclusivement des premières presses
De la vigne au pressoir, les raisins sont manipulés avec le plus grand respect.
Le moût s'écoule par gravité, donc sans pompage, pratique permettant de limiter l'apport de soufre. Seuls les vins de première presse, non
filtrés, composent les champagnes Drappier.
Le soufre en quantités infinitésimales
Farouchement opposé à l’utilisation excessive de soufre, Michel Drappier ne l’utilise qu’à doses homéopathiques, les plus faibles de toute la
Champagne. Les vins offrent ainsi le plus souvent des couleurs naturelles avec des ors riches, voire cuivrés, et des arômes plus épanouis.
Outre le respect du consommateur, cette pratique autorise une prise de mousse à basse température particulièrement lente, qui génère une
effervescence fine et subtile.
Dans l’intimité de la cave, la famille Drappier orchestre le champagne de demain
Une fois les raisins vinifiés, il appartient au vigneron de les unir avec précision, sagesse et harmonie, tout en respectant le style de chaque
cépage, l’esprit de chaque parcelle, presque en retenant jusqu’au souffle de chaque climat. C’est alors que les trois générations de Drappier
se réunissent en autant de conclaves qu’il sera nécessaire pour composer les différentes partitions. Délicate mission qui, chaque année,
conduit à l’assemblage le plus harmonieux. Ils se soucient non pas de la simple homogénéité du vin, mais recherchent plutôt l’expression
maximale de chaque cuvée telle qu’elle est née. Un travail qui tient du savoir-faire familial, mais aussi de la philosophie, de la sensibilité
vigneronne, de l’amour du travail bien fait.
Remuage et dégorgement individuels
La Maison Drappier est la seule à effectuer la prise de mousse, le remuage et le dégorgement individuels de chaque flacon, de la demibouteille au Melchisédech. Cette pratique traditionnelle assure au vin une fraîcheur et une finesse d’effervescence exceptionnelles.
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Des liqueurs d’expédition lentement mûries
Les liqueurs d’expédition séjournent en fût de chêne puis en dame-jeanne pendant plus de 15 ans, gagnant ainsi en concentration et en
noblesse. Au moment du dégorgement, elles sont ajoutées dans une moindre mesure, afin d’accentuer la longueur en bouche sans jamais
alourdir le palais. Grâce à ce travail, les champagnes Drappier sont plus complets, plus complexes, plus purs aussi car la forte concentration
de cette liqueur permet d’en utiliser très peu.
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Elevage dans les caves de Reims et d’Urville
Tandis que les millésimes s’affinent dans la fraîche obscurité des caves
de Reims creusées dans la craie en 1870, les gros flacons, tels le
Primat (27 l) sont sagement alignés dans les caves du XIIe siècle,
construites à Urville par les moines cisterciens de l’Abbaye de
Clairvaux, sous la maison familiale.
Le champagne favori du Général de Gaulle
Les inconditionnels des vins de Champagne ne s’en laissent jamais
conter. Ils apprécient la vinosité et la régularité d’un champagne bien
né. Le Général de Gaulle était de ceux qui aimaient le champagne
Drappier pour son caractère affirmé. En son temps, il fut le plus
célèbre client de la Maison. Son champagne favori était régulièrement
servi à Colombey-les-deux-Eglises, village proche d’Urville, fief de la
famille Drappier. En hommage à l’illustre personnage, la Maison
Drappier lui a dédié une de ses grandes cuvées.
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L’expression de chaque cuvée telle qu’elle est née
Les Classiques
Carte d’or
C’est le champagne le plus connu de la Maison. Celui qui représente le plus fort tirage et qui est très largement diffusé chez tous
les bons cavistes en France et à l’étranger. C’est aussi le champagne mini ou maxi puisqu’il existe en 11 versions différentes
allant de 0.20 l à 30 l pour le Melchisédech.
90 % pinot noir, 7 % chardonnay, 3 % pinot meunier, il exprime tous les arômes du fameux raisin noir à jus blanc. Il est
recherché non seulement pour sa structure mais aussi pour ses fines notes caractéristiques de fruits rouges agrémentées de
notes épicées.
Blanc de Blancs Cuvée Signature
100 % chardonnay, issu exclusivement de la première presse, il associe l’élégance du nez et la fraîcheur de la bouche. Ses
parfums de vanille et de fleurs sont agrémentés de notes grillées avec une belle persistance.
Rosé Brut
La vigne « Val des Demoiselles », exclusivement plantée de pinot noir, est réservée à la production de ce rosé de saignée,
toujours non filtré et élevé deux à trois ans sur lattes. Il offre une bouche gourmande aux arômes de fruits rouges (framboise,
mûre et cassis), de mandarine et de poivre, avec une belle acidité sobrement enrobée d’une liqueur longuement mûrie. Son
élégante robe est mise en valeur par la bouteille transparente.
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Les Originales
Brut Nature Zéro dosage
La nature s’exprime totalement et librement : 100 % première presse, 100 % pinot noir, 100 % zéro dosage, avec un tiers de
vins de réserve, ce champagne s’adresse aux connaisseurs. D’une pureté extrême, ses arômes de petits fruits rouges, de
pêche de vigne et de coing se prolongent lentement dans une bouche franche, fine et tendue.
Brut Nature Zéro dosage sans soufre
Le même mais sans soufre. Sans la garantie de rentrer des raisins irréprochables en qualité et sans un certain goût du risque,
ce champagne n’existerait pas. C’est le premier jus du pressoir qui donne le ton et seul subsiste le sucre résiduel naturel
inférieur à 2 g par bouteille. Les vins de réserve ajoutent un complément de complexité.
D'emblée, ce vin affiche une grande élégance au nez avec des touches d'épices et de raisin frais. La finesse d'ensemble se
confirme en bouche avec vivacité, netteté et persistance. En prime, on a une corbeille de fruits pulpeux et délicats : pêche de
vigne, coing, agrumes, fraise des bois...
Quattuor
Quattuor avec 2 T, non ce n’est pas une faute mais la traduction en latin du chiffre « quatre » qui a donné « quattro » en
italien, contrairement au « quatuor » musical qui a perdu un T au fil de l’histoire. Michel Drappier a choisi d’illustrer son
étiquette du chiffre IV en latin en référence au village d’Urville, fondé par les gallo-romains qui ont apporté la vigne dans la
région voilà 2000 ans et probablement, même s’il n’y en a aucune preuve, l’arbane.
D'ordinaire, le blanc de blancs champenois est élaboré à partir du seul cépage chardonnay. La cuvée Quattuor est un
assemblage unique en son genre puisqu'il rassemble en quatre parts égales l'arbane, le blanc vrai (pinot blanc), le petit
meslier et le chardonnay, les seuls cépages blancs autorisés en Champagne.
Le nez d’agrumes frais, de fleurs blanches et de thé vert précède une bouche minérale, épicée, ample, teintée d’exotisme. Le
vin se conduit sans brutalité, mais avec pureté et fraîcheur jusqu'à offrir une finale douce, particulièrement harmonieuse.
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Les millésimées
Millésime Exception
Choisi pour les caractéristiques particulières d’une saison climatique, le Millésime Exception est l’expression d’une année,
mariage harmonieux du pinot noir (60 %) et du chardonnay (40 %). Un tiers de la cuvée de base est élevée en foudres de
chêne et laissée sur lies fines pendant 6 mois avant la prise de mousse. Les vins sont ensuite assemblés et gardés sur lattes
durant 6 ans. Mûrie 24 ans en fûts de chêne, la liqueur de dosage, apporte sa touche personnelle à l'ensemble. La bulle fine,
délicate et aérienne, escorte des arômes de fruits blancs avec de légères notes grillées. Un vin complexe et épanoui qui se
fond en bouche avec générosité.
Le millésime, moulé dans le verre de la bouteille, garantit l’authenticité de l’année.
Grande Sendrée
La Cuvée Grande Sendrée doit son nom à un lieu-dit recouvert de cendres à la suite de l’incendie qui ravagea Urville en 1836.
Son nom est écrit avec un S, suite à la faute d’orthographe commise par l’employé chargé de consigner ladite parcelle dans le
cadastre. Exclusivement vinifié les grandes années, ce champagne assemble 55 % de pinot noir et 45 % de chardonnay.
L’élevage de 6 ans sur lattes lui permet de s’affiner pour offrir, avec élégance, ses arômes de pêche, d’abricot et de pain
d’épices dans une bouche où des notes de mandarine et de réglisse apportent encore plus de complexité. Il est présenté dans
un flacon originaire du XVIIIe siècle dont un modèle a été retrouvé dans les caves Drappier.
Cuvée Collection Charles de Gaulle
Dans les années soixante, quand il n’était pas au Palais de l’Elysée ou en voyage officiel, le Général de Gaulle séjournait dans
sa propriété de la Boisserie à Colombey-Les-Deux-Eglises. Il découvrit le champagne Drappier grâce à son aide de camp le
colonel de Bonneval, fidèle client de la Maison. A l’occasion du 50e anniversaire de l’appel du 18 juin en 1990, Michel et André
Drappier créent la Cuvée Collection Charles de Gaulle.
Toujours millésimé, composé de 80 % pinot noir et 20 % chardonnay, ce champagne s’exprime sur des notes de petits fruits
rouges, caractéristique du pinot, dans une bouche onctueuse et persistante.
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Mini flacons, bouteilles géantes ou en carafe, la distinction à table
Mini ou maxi ?
Un quart de champagne pour un tendre tête à tête ou une gigantesque bouteille de
30 litres pour 150 personnes…Champagne Drappier sait s’adapter à toutes les
situations : 11 tailles différentes allant de 0,20 litre à 30 litres pour son fameux
Carte d’Or !
Drappier est la seule maison à proposer une telle diversité. Déjà le Nabuchonodosor
(15 litres) est impressionnant et plutôt rare. Le Melchisédech (30 litres), création
exclusive de la Maison Drappier fait le double de sa contenance. C’est pour
répondre à la demande de certains clients que Michel Drappier fait fabriquer cette
immense bouteille (1 m 10 et 52 kg une fois remplie) tout spécialement en Italie. Il
a fallu construire un pupitre en chêne renforcé pour le manipuler car le remuage et
le dégorgement se font à la main.
Mathusalem, Balthazar, Nabuchodonosor, Salomon, Primat, Melchisédech
Personne ne connaît l’origine des noms bibliques donnés aux grandes bouteilles de
champagne. La version de la famille Drappier est la suivante : lors de la naissance
de Jésus, de somptueux cadeaux sont offerts au nouveau-né par les rois mages.
Parmi eux Balthazar, descendant des rois de Babylone.
Un gros flacon est un cadeau exceptionnel pour une occasion exceptionnelle. De là
à attribuer à chaque contenant le nom d’un roi de la Perse ancienne il n’y avait
qu’un pas, que les Champenois auraient franchi à la fin du siècle dernier.
En ce qui concerne le Primat, étant le seul élaborateur de ce contenant, la Maison
Drappier a choisi un nom gallo-romain plus proche de son terroir. Primat du latin
Primat : de premier ordre. Quant au Melchisédech, c’est un retour à la tradition de
Babylone.
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Une carafe pour faire respirer le champagne
Michel Drappier aime bien aérer ses champagnes afin de développer les arômes et le gras qui
les caractérisent. Il a donc demandé à la Cristallerie Royale de Champagne de créer une carafe
spécialement étudiée pour ses vins. Façonnée à l’unité, chaque pièce est unique, numérotée et
signée à la main. Placée sur un support en bois de frêne de la forêt de Champagne à l’effigie
de Drappier, elle permet au champagne de prendre l’oxygène en perdant le minimum de gaz
carbonique. La veine du vin descend à 45° sur une pente lisse et ne rencontre aucun obstacle.
Le fond de la carafe est parfaitement rond afin que le liquide ne se brise pas. Le champagne
glisse dans la sphère, la forme longue et haute de la carafe maintient le CO2 et concentre les
arômes. On peut ensuite la placer dans un seau à glace sans risque car l’épaisseur du cristal (4
mm) évite le choc thermique.
La distinction à table
Les champagnes Drappier se conduisent le mieux du monde à table pour peu que l’on respecte
leur température de service : 8 à 10° pour les vins d’apéritif, 10 à 14° pour les millésimés.
De l’apéritif au dessert, le champagne Drappier est plus qu’un vin de célébration : il devient un
compagnon incontournable, la distinction même, le vin de tous les instants gastronomiques.
La finesse et la fraîcheur du Brut Nature ou du Blanc de Blancs autorisent les fruits de mer.
Lorsque les langoustines tièdes et les coquilles Saint-Jacques aux truffes arrivent, le Millésime
Exception sait se conduire en gentleman. La Grande Sendrée pourra se mesurer aux currys
légers, aux gibiers et à certains fromages. Carte d’Or et Quattuor subliment les poissons les
plus nobles, de la truite au brochet, du bar à la daurade et les meilleures viandes blanches. Le
Rosé saura plaire au saumon et au rouget ainsi qu’aux desserts composés de fruits rouges.
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La signature Drappier a su se faire remarquer
...dans les plus grands restaurants
Les Crayères à Reims
L’Arpège à Paris
Le Carré des Feuillants à Paris
Michel Rostang à Paris
Le Pré Catelan à Paris
La Côte Saint Jacques à Joigny
Nicolas le Bec à Lyon
Le Crocodile à Strasbourg
El Bulli en Catalogne
Kiyomi Mykuni à Tokyo…
… Ailleurs, dans le monde
Royaume-Uni, Allemagne, Benelux, Italie, Japon, USA, Hong Kong, Brésil, Australie Nouvelle Zélande, Autriche, Afrique du Sud,
Canada, Chili, Liban, Dubaï…
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