« En Corps (E)crits»

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En Corps (E)crits »
Un projet de Laurent Dupont – Création novembre 2013
En collaboration avec David Liver
Coproduction :
ACTA, Compagnie conventionnée : Ministère de la Culture DRAC Ile-de-France,
Conseil Général du Val d'Oise, Ville de Villiers-le-Bel,
Avec l’aide à la production dramatique de la DRAC Ile-de-France
le Conseil Régional d’Ile-de-France dans le cadre d’une convention de permanence artistique.
Projet accompagné par la Scène conventionnée Jeunes publics Très-tôt-Théâtre (Quimper),
le Centre Annantalo d’Helsinki (Finlande) et le Forum, scène conventionnée de Blanc-Mesnil.
Association pour la Création Théâtrale et Audiovisuelle
Artistes associés : Agnès Desfosses, Laurent Dupont
4 rue Léon Blum – 95400 Villiers-le-Bel
tél. : 01 39 92 46 81 - email : [email protected] - www.compagnie-acta.org
Compagnie ACTA-Artistes associés : Agnès Desfosses, Laurent Dupont
Spectacle EN CORPS (E)CRITS – Dossier 2014-2015
Introduction
PROJET ARTISTIQUE « A CORPS ET A CRIS » (2011-2013)
« Penser c’est dire Non !...Non à quoi ? Au monde, au tyran, au prêcheur ? Ce n’est que l’apparence. En tout cas
c’est à elle-même que la pensée dit non…Elle se sépare d’elle-même » Alain dans « L’homme sans apparence »
Un projet triennal qui s’élabore au cours de compagnonnages concertés entre une équipe artistique, des
partenaires et leur public pour la réalisation de trois volets :
1er volet : « EN CORPS » : création tout public à partir de 4 ans – Mars 2012
2ème volet : « A CORPS ET CRIS » : Actions-contextes construites avec un public adolescent sur 2012/13
3ème volet : « EN CORPS(E)CRITS » : création tout public à partir de 11 ans - Novembre 2013
Ce projet choisit de mettre en miroir l’enfance et l’adolescence, deux « passages » obligés et sensibles qui
s’ouvrent vers la construction d’une personne, une vie durant… Deux seuils à franchir :

Ces seuils évoquent une naissance et une renaissance, où des corps s’affirment aiguisés par la
gourmandise d’un ailleurs mais dans le désir d’être contenus…Encore !

Ces seuils s’énoncent avec force dans les actions d’éclats pris entre le « Non ! » et l’ « Encore ! » de ces
êtres en devenir, souvent « mal/entendus » malgré leurs clameurs …A corps et à cris !

Ces seuils interpellent par leurs transformations d’ « états » - du corps, de la voix, des mots - qui les
caractérisent … Corps en écriture, corps qui se gribouillent dans les tonalités sonores des phonèmes,
corps qui se raturent plongés dans l’univers sonore des écouteurs….Corps écrits !
Encore ! A corps et à cris ! Corps Ecrits !
Trois interjections où résonne la mise en tension de ces «états » de corps
Trois jeux de mots où résident les principes et les modes de jeux pour des formes à venir.
Trois lignes de force qui traversent des univers d’enfance, complémentaires et opposés.
Ce projet s’inscrit dans la continuité d’une pratique artistique qui privilégie des échanges avec des groupes
d’âges différents pour interpeller des enjeux d’écriture et leur adresse, intégrant plusieurs formes
d’expressions artistiques.
1
NOTE D’INTENTION
« L’altérité est quand on se regarde dans le miroir le matin et que nous ne nous reconnaissons plus » J.L
Borges
Présentation du Projet :
Le projet artistique est le fruit d’une collaboration entre le metteur en scène,
Laurent Dupont et le
plasticien/performer Y Liver. Une collaboration qui s’inscrit dans le temps des créations déjà réalisées en
2010 - « Moi Seul » et 2012 - « En Corps », intégrant les arts numériques (digital design live et
électroacoustique) à une écriture scénique chorégraphiée.
La singularité de ce projet réside dans la mise en miroir de deux univers de création : le théâtre et l’art
contemporain - mêlant arts plastiques et numériques - pour bousculer leurs processus et interroger leurs
conventions respectives.
Il naît des échanges entre une équipe d’artistes affirmés dans des expressions artistiques diversifiées pour la
réalisation d’un spectacle unissant la danse, des actions vidéo et musique live. Les phases de recherches et de
répétitions sont réalisées en collaboration avec le sound designer Léo Paoletti, le danseur Raymond
Siopathis, la performeuse et danseuse Wéléla Kindred.
Ce projet s’inscrit dans un partenariat avec des structures - séduites par les enjeux esthétiques et les réflexions
autour du public - impliquées et engagées dès le début de la démarche :
L’espace Marcel Pagnol de Villiers-le-bel, la Scène conventionnée Jeunes publics Très-tôt-Théâtre (Quimper),
le Centre d’Art Annantalo d’Helsinki (Finlande) et le Forum, scène conventionnée de Blanc-Mesnil.
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Processus d’écriture : Actions contextes
Ce projet s’est imposé au cours d’« Actions / Contextes » : des pratiques de type performatif capables
d’instaurer des modes particuliers mais ludiques de dialogues entre des artistes et des groupes d’adolescents.
Tout en soulignant les axes et les étapes d’une démarche artistique dont ils sont les initiateurs, elles
permettent d’interroger de nouvelles formes d’écritures scéniques. Pour leur réalisation, elles utilisent des
dispositifs simples mais efficaces, partagés entre l’équipe et les participants : captations et projection vidéo,
graphismes, écritures, enregistrements et élaborations électroacoustique.
Ces actions puisent dans les évocations imagées de « la Ballade du Minotaure » de Durrenmatt. Elles
s’inspirent d’artistes comme, Picasso, Andy Warhol, Bruce Nauman, Marina Abramovic, de certains courants
contemporains « Post Humain » des années 90 - Franco B, Stelarc, Valie Export- et aux formes graphiques des
« Street artists ».
Au terme de chaque résidence, les groupes sollicités sont invités pour une restitution en direct à partir de
propositions musicales et vidéo scénographiées élaborées par l’équipe artistique en fonction des choix opérés
dans les matériaux réalisés avec les participants.
Ces restitutions tout en valorisant leurs contributions, permettent de partager nos questionnements sur des
processus de créations et leur mécanismes, David Liver privilégiant la performance, Léo Paoletti l’espace
sonore, Laurent Dupont, l’écriture scénique.
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Le spectacle
« En corps(E)crits » unit la danse, des actions vidéos et musiques live au sein d’une dramaturgie de
sensations : Il naît de l’envie de s’ouvrir à ce nouveau public d’ adolescents, au plus près de leurs
interrogations et de cet univers fragile et impertinent. Le spectacle s'est élaboré au cours d'actions partagées
avec des groupes de jeunes et des pensées incandescentes qui les traversaient. Entraînés dans la ronde des
mots et des images de Durrenmatt dans la « Ballade du Minotaure », engagés dans sa quête animale de l’autre
et de soi-même, leurs images, leurs paroles vont rejaillir sur scène comme autant de fragments pris dans
l'écriture scénique, musicale et vidéo. La danse s'emparera à son tour de ces matériaux pour révéler les désirs
« inscrits » dans ces corps intimement pétris de ferveur, de crainte ou de solitude.
Finalités
Au travers de ses propositions , ce projet entend poursuivre et contribuer aux réflexions menées au sein du
théâtre Jeune Public affirmant l’importance d’une création contemporaine engagée, exigeante et sensible,
impliquée dans une dynamique de relation, attentive à l’évolution de ses publics - en particulier à
l’adolescence, et favorisant des rapports intergénérationnels. Une démarche inscrite dans la durée et qui les
place au cœur du processus de création, dans l’attention (et la défense ?) à l’imagination, la poésie et la
beauté, dans le dialogue intime de la « re-présentation ».
Elle revendique l’idée que l’Art et la culture sont indispensables au développement et à l’épanouissement de
l’adolescent et leur ouverture avec la création contemporaine, dans la construction de leur rapport au monde
et à l’autre, avec émotion et sensibilité.
Elle s’inscrit dans des partenariats avec l’intention d’ouvrir des passerelles entre différentes réalités culturelles
(Théâtres, Centres d’art, Lieux de culture électronique…), pour provoquer des réflexions en termes de
croisement, de circulation, de sensibilisation et d’élargissement des publics concernés.
Laurent DUPONT
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Un spectacle unissant la danse, des actions vidéos et musiques live au sein
d’une dramaturgie de sensations : « En corps(E)crits »
« Vous bougez vos lèvres et il en sort du langage ! Je bouge les miennes et il n’en sort que du bruit ! Cette injustice est insupportable !
Je gueulerai jusqu’à ce que ça se transforme en mots »
En Corps (E)crits questionne une écriture scénique privilégiant les arts visuels, la danse, la voix et la musique,
pour une « dramaturgie de sensations », en termes de polysémie et de composition, susceptible de s’adresser
à un public de préadolescents/adolescents mais capable aussi de «traverser» ceux qui les accompagnent.
En Corps (E)crits implique des artistes confirmés dans une recherche au long cours, choisis pour leurs
aptitudes à s’investir dans des formes originales de travail et nourrir ses différentes phases d’écriture au
travers des Actions /Contextes, ateliers menés avec des groupes d’adolescents sur les traces sensibles de leur
imaginaire, pour interroger avec eux une forme innovante et contemporaine susceptible de les «toucher».
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Les intentions d’écriture
« Lui est le monstre/ Elle en est le cri/ Lui est la fougue du masculin/Elle sa pensée, sa fragilité féminine/Lui et elle, corps dérivant,
corps adolescents/Feu d’amour et de lumière/petite et grande mort les guettent » Laurent Dupont
Nous avançons, nourris de ces fragments d’actions partagés avec les jeunes participants au cours des Actions
/Contextes, à l’écoute de leurs témoignages. Une écriture en devenir à partir des traces/matériaux élaborés
pour interroger nos trajectoires.
Nous avançons, interpellés par des images qui traversent l’univers de Picasso dans la période la plus inquiète
de son parcours, dominée par 3 ans de doute sur lui-même et son œuvre, consacrée seulement au langage du
trait, à la lutte incessante et obsédante de deux figures enlacées du masculin et du féminin, magnifiées par
l’image du Minotaure, leur double.
Nous avançons puisant dans la ronde des mots et des images engagés par Durrenmatt dans la « Ballade du
Minotaure » et de sa rencontre avec Thésée, dans sa quête animale de l’autre et de soi-même. Un jeu
implacable où le monstrueux devient beauté. Dans la danse tourbillonnante de ses reflets, émergent
imprévisibles, le désir et la destruction, jeu du double gémellaire maintes fois évoqué chez l’adolescent.
Nous avançons puisant les éclats d’images dans l’Antigone de Bauchau et questionnant le sens de son action.
Bouleversante, fougueuse, rebelle, vivante, femme, Antigone refuse. Elle ne veut pas créer un conflit. Elle veut
transmettre son cri qui est peut-être le cri d’Œdipe quand il s’est aveuglé. Ce cri doit trouver un espace où le
réel et l’imaginaire se confondent pour s’exprimer en paroles, en musique et en danse.
«-Les coquelicots me font penser à Antigone… Les coquelicots parlaient-ils la langue que tu entends encore, la modeste, la magnanime, naturelle du
rouge franc. Tu as peur du rouge. Affronte-le, c’est la couleur des coquelicots. » Bauchau- Journal d’Antigone
Nous avançons obstinément, au travers d’évocations imaginant un espace scénique traversé d’empreintes, de
traces sonores et visuelles… de paroles et de gestes raréfiés, de cris et de conflits , d’ébauches de dialogues ,
de luttes et d’obstinations irréductibles , comme des images solarisées par les intempéries agencées dans une
danse infatigable et sans cesse relancée. Une recherche en constante oscillation entre la mémoire et le
présent, sous pression. Une recherche sur ce monde des malentendus et des éprouvés… celui de
l’adolescence.
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Les intentions de mise en scène
« Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte... Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier, ou
alors je refuse! Je ne veux pas être modeste, moi, et de me contenter d'un petit morceau, si j'ai été bien sage ». Bauchau- Journal d’Antigone.
L’écriture scénique d’ En Corps (E)crits poursuit sa recherche engagée avec « EN CORPS » pour un métissage
de la danse avec les arts plastiques, la musique et la parole.
Elle fait appel à des performers, des artistes impliqués dans des formes d’art contemporain. Ils sont invités par
le metteur en scène à se familiariser en amont avec des univers sensibles puisés dans les œuvres de
Durrenmatt ou Bauchau mais aussi dans les univers d’A.Wharol, M.Abramovic, B. Nauman.
Une écriture, plastique et visuelle, exploitera les principes mis en place au cours des ateliers : un contexte
scénique constitué de 4 miroirs sans teint, au lointain, d’un écran blanc l’empiétant obliquement, côté cour.
Tour à tour éclairés ou plongés dans l’obscurité, Ils deviennent alors le support pour deux projections vidéo.
Un « ilot »technique » décentré est réservé aux actions live électroacoustiques du musicien.
Ce contexte visuel et sonore caractérise trois espaces de jeux :
- Au lointain, l’espace des miroirs, lieux des contrastes extrêmes. De l’extrême clarté et de la confusion la
plus totale, du passage au noir, à la solitude… Espace de l’intime, de l’intérieur, du dedans. Espace du non-dit.
- En avant-scène, sous une lumière blafarde, quasi hyperréaliste, l’espace de la déclaration, de l’être ou du
paraître. L’espace du corps qui se donne, qui se dit. Sans retenue. Tel quel.
- Entre les deux, l’indéfini de la pénombre, un espace où se croisent les trajectoires des danseurs en écho
avec la vidéo .L’espace du « devenir » ?
L’écriture se construit alors par étapes successives au sein d’improvisations structurées à partir des matériaux
inventés par une danseuse et un danseur, provoquées par les propositions d’un plasticien/ performer et d’un
sound designer pour partager l’espace /temps d’une « narration » traversée par deux corps, la musique et
l’image.
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Ces matériaux sont ainsi créés en interaction les uns avec les autres :
La danse
Dans la continuité des réflexions engagées sur la danse par Acta pour « MOI SEUL », « ENCORPS » et «DEBOUT
! », les deux danseurs Raymond Siopathis et Welela Kindred, imposent leur forte personnalité et leurs
recherches, mêlant une danse urbaine inspirée du hip hop à la danse contemporaine. Une danse à l’énergie
très intériorisée, capable de développer tous les états de corps, de l’horizontal à la verticale, une danse
impliquée aussi bien dans des formes ancrées au sol que pour des rebonds les plus inattendus. Ils explorent
des « états de corps » dans une évocation entre l’être et l’apparaître/ s’affirmer et se rétracter…dominés
par une tension extrême inspirés à la figure du Minotaure ou la quête d’Antigone. Corps qui « s’inscrivent »
dans leur histoire, aux prises avec leurs désirs et leurs solitudes, leurs violences et leurs fragilités.
Corps écrits …
La musique
Par sa présence affirmée, dans l’espace de jeu , le musicien Léo Paoletti sculpte la danse par ses propositions
électroacoustiques réalisées «en live » ,puisant dans l’évolution des couleurs , la décomposition et
recomposition des énoncés, ou les agrégats de phonèmes accompagnés d’une spatialisation sonore .Il
provoque une dynamique ou suspend l’action par un silence… Il progresse par évocations, guidant les
émotions, tenant en halène une tension pour la relâcher dans une pulsation envahissante…. Son action est en
contrepoint avec les propositions vidéos de David Liver.
Corps écrits, corps décrits…
La vidéo
David Liver pose des subterfuges. Sous sa houlette inventive, les images, issues des rencontres avec les
adolescents, évoquent des paysages habités de grains de beauté, de commissures de lèvres, de regards…
évocations de « corps en écriture », de corps « mis à nu » mais jamais révélés … Des images provoquant
l’imaginaire dont les deux performers s’emparent ou contredisent par leur danse.
D’autres séquences sont « soumises à un rythme antinaturel, Ophélien un flux, dans lequel elles donnent
l'impression de flotter .On y voit des corps d’amazones ou des postures de « minotaures » en dialogue avec
leurs miroirs » (D.L)…Au cours de ces césures qui rythme l’écriture, la musique s’associe alors à l’image par ses
compositions rythmiques pour l’évocation d’un chœur d’adolescents, pulsant de leurs voix enregistrées et de
leurs témoignages. Un temps poétique en contrepoint avec des bribes de texte projetées sur les miroirs. Un
temps suspendu qui se raconte que par évocations.
Corps écrits, corps décrits… corps inscrits dans l’espace des écrans.
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« EN CORPS (E)CRITS » est une écriture scénique, visuelle et sonore, inspirée de « La ballade du Minotaure »
de Durrenmatt. Elle associe la danse aux arts numériques et à la musique en cohérence avec le choix des
performers et de leur forme d’implication dans le jeu.
Cette écriture interroge par la même l’espace de la représentation pour favoriser une proximité avec le
spectateur, en l’impliquant dans le dispositif, par la place qu’il y occupe et par la prédisposition d’un espace
acoustique qui l’englobe. Il privilégie les plateaux aux gradins.
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Equipe de création
Equipe artistique de création :
Conception : Laurent Dupont et David Liver
Mise en scène : Laurent Dupont
Plasticien/performer : David Liver
Sound designer : Léo Paoletti
Scénographie : Patricia Lacoulonche
Danseurs : Weléla Kindred et Raymond Siopathis
Distribution :
Sound designer : Léo Paoletti
Danseurs : Weléla Kindred et Raymond Siopathis
Mentions obligatoires :
- Coproduction :
ACTA, Compagnie conventionnée : Ministère de la Culture DRAC Ile-de-France, Conseil Général du Val d'Oise,
Ville de Villiers-le-Bel, le Conseil Régional d’Ile-de-France dans le cadre d’une convention de permanence
artistique.
Avec le soutien de la Drac Ile-de-France au titre de l’aide à la production dramatique.
Projet accompagné par la Scène conventionnée Jeunes publics Très-tôt-Théâtre (Quimper), le Centre
Annantalo d’Helsinki (Finlande) et le Forum, scène conventionnée de Blanc-Mesnil.
-
Crédit photo : Arnaud Lévénès ©
Contact
Compagnie ACTA – Artistes associés : Agnès Desfosses, Laurent Dupont
4 rue Léon Blum – 95400 Villiers-le-Bel
Tél : 01 39 92 46 81 / Email : [email protected]
Site Internet : www.compagnie-acta.org
Contact diffusion :
Compagnie ACTA : Alexandra Glauser - Tél : 01 39 92 46 81 – [email protected]
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Le calendrier de tournée
Du 14 au 15 Novembre 2013 : Maison Jacques Brel - Villiers-le-Bel (95)
Jeudi 14 novembre 2013
14h PREMIERE
Vendredi 15 novembre 2013 14h et 20h30
Du 13 au 14 Février 2014 : Très Tôt Théâtre - Quimper (29)
Jeudi 13 Février 2014
10h et 14h30
Vendredi 14 Février 2014
10h
Du 12 au
Mercredi
Jeudi 13
Vendredi
14 Mars 2014 : Forum du Blanc Mesnil (93)
12 Mars 2014
10h
Mars 2014
10h et 14h15
14 Mars 2014
10h et 14h15
Entre le
Mardi 25
Jeudi 27
Vendredi
23 et le 30 Mars 2014: Festival Bravo – Helsinki (Finlande)
mars 2014
13h
Malmitalo
mars 2014
18h
Annantalo Center
28 mars 2014
9h et 10h30
Annantalo Center
Entre le 13 et le 18 juin 2014 : 4 représentations : hellwach – international
theatre festival for young audience – Hamm (Allemagne)
Association pour la Création Théâtrale et Audiovisuelle
Subventionnée par le Ministère de la Culture DRAC Ile de France,
le Conseil Général du Val d'Oise, le Conseil Régional d’Ile-de-France, la Ville de Villiers-le-Bel
4, rue Léon Blum – 95400 Villiers-le-Bel
tél. : 01 39 92 46 81 email : [email protected]
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