En Corps - Ville de Saint

Transcription

En Corps - Ville de Saint
«
En Corps »
Un spectacle de Laurent Dupont – Création mars 2012
En collaboration artistique avec Agnès Desfosses
Création tout public à partir de 4 ans
© Agnès Desfosses
Coproduction : ACTA, Compagnie conventionnée : Ministère de la Culture DRAC Ile-de-France,
Conseil Général du Val d'Oise, Ville de Villiers-le-Bel.
Avec le soutien de la Drac Ile-de-France au titre de l’aide à la production dramatique
Avec l’aide à la création de la Communauté de Communes Sud Pays Basque
ACTA est subventionnée par le Conseil Régional d’Ile-de-France dans le cadre d’une convention de permanence artistique.
Association pour la Création Théâtrale et Audiovisuelle
Artistes associés : Agnès Desfosses, Laurent Dupont
4 rue Léon Blum – 95400 Villiers-le-Bel
tél. : 01 39 92 46 81 - email : [email protected] - www.compagnie-acta.org
Compagnie ACTA-Artistes associés : Agnès Desfosses, Laurent Dupont
Spectacle EN CORPS – Dossier 2014-2015
Extraits de presse
« En Corps » évoque cette étape charnière où l’enfant éprouve la nécessité gourmande de renaître
autrement. « Encore ! « C’est le souhait qu’il invoque pour poursuivre son cheminement de vie vers d’autres
possibles. Pour donner à voir et à éprouver cette soif de renaissance, trois artistes, une chanteuse, un danseur
et un peintre composent en direct des paysages sonores et visuels qu’ils co-inventent en permanence. Entre
eux, il n’y a pas de hiérarchie, pas de clivage entre le féminin et le masculin, leur enjeu est de réussir à
répondre dans un apport réciproque au désir d’explorer l’ailleurs. Réunis dans un même atelier, où sont
tendus trois grandes toiles blanches, ils puisent dans une imprégnation commune de la vitalité de la culture
espagnole le geste, le rythme, la voix, les couleurs pour s’embarquer ensemble dans les plaisirs du cirque, de
la corrida, des arts forains. Tout s’écrit dans une interaction constante des propositions de chacun : la
peinture numérique projetée inspirée de Picasso ou de Vélasquez, les chants improvisés de traditions tziganes
et andalouses, l’écriture chorégraphique puissante du danseur. Le maillage de ces expressions, associé à
l’utilisation d’objets inspirés de Calder, mais aussi d’éventails ou de porte-voix, participe à la création
d’univers qui modifient les apparences et ouvrent de nouvelles représentations de ce qu’ils sont. Par tableaux
successifs, tout se crée puis tout s’efface dans une énergie partagée. « Encore ? » demande l’un, « oui,
encore », répond l’autre. Assis ensemble sur un même petit banc, ils reprennent leur souffle avant de se
lancer à nouveau dans des arènes de lumière qu’ils viennent habiter de leur appétit de découverte d’euxmêmes et de l’autre.
Dominique Duthuit, mars 2012.
« C’est en fait une sorte de tornade dont on sort le souffle coupé, galvanisé plutôt par une orgie de couleurs,
de musique et de mouvement sur fond de corrida et de jeux d’enfants. Un mot clé ici : intensité ! En
regroupant les trois comédiens de deux de ses derniers spectacles (Plis sons, Moi Seul), Laurent Dupont
pousse l’audace encore plus loin. En corps est une salve permanente dans laquelle les enfants (dès 4 ans !) se
voient proposer une histoire qu’ils doivent inventer eux-mêmes puisqu’on ne leur donne sur scène que des
points de repère récurrents. Tout se conjugue en termes d’énergie et d’intensité dans cette fresque
tourbillonnante reposant à chaque instant sur le brio des trois comédiens. »
Michel Bélair, Le Devoir, Montréal, 7 avril 2012.
« L'amour, toujours…
Entre danse, projections vidéo, marionnettes et jeux d'ombres chinoises, le spectacle raconte l'amour de deux
personnages, féminin et masculin… Rien de mièvre, ni d'empesé. Ludiques, charnels, leurs corps à corps sont
joyeux, illuminés de dessins flamboyants, impulsés par une musique emplie d'émotion. S'y enchevêtrent
tauromachie, jeux d'éventails, hip-hop et opérette… et chatouilles, sous le regard fripon de Picasso. Même la
Belle de Cadix s'en mêle.
Une œuvre extrêmement vivante, débridée, où on retrouve les jeux des petits comme les hésitations
amoureuses des plus grands : au fur et à mesure des répétitions, Laurent Dupont sollicitait le sentiment du
public, petit ou grand, pour intégrer à la pièce des morceaux choisis. »
Emmanuelle Debur, Sud-Ouest, 10 juin 2012
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