Sylvie Gallien : Une professeure de danse exceptionnelle !

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Sylvie Gallien : Une professeure de danse exceptionnelle !
Sylvie Gallien : Une professeure de danse exceptionnelle !
Extrait du Classes Presse 2013
http://classes-presse-2013.ac-rennes.fr/spip.php?article1530
Sylvie Gallien : Une
professeure de danse
exceptionnelle !
- Morbihan - 0561598h - Collège Gilles Gahinet -
Date de mise en ligne : lundi 8 avril 2013
Classes Presse 2013
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Sylvie Gallien : Une professeure de danse exceptionnelle !
Sylvie Gallien, professeure de danse classique, jazz et claquettes à Vannes depuis 19 ans nous parle de sa
passion.
Sa formation
Cela fait 19 ans que Sylvie Gallien a son école de danse et enseigne à son propre compte. Auparavant, à Paris, elle
donnait déjà des cours. Dès son premier cours de danse, elle a su qu'elle l'enseignerait. Après 3 ans d'études, elle
obtient quatre diplômes et fait un an et demi de formation : Brevet d'état de G.R.S ( brevet de gymnastique rythmique
et sportive) , Brevet d'État d' E.G.D.A (Expression gymnique et disciplines associées, appelé maintenant métier de la
forme), le diplôme de l'école Irène Popard qui avant était le seul diplôme reconnu par l'État et enfin le DE de danse
Jazz.
Un métier créatif
« Ce que je préfère dans mon métier, c'est la créativité, l'échange, le partage entre moi et mes élèves », nous
a-t-elle confié. Ce métier est difficile car il faut de la patience et du courage. « Les coups bas ne sont pas des
légendes », nous dit elle. Les rivalités entre les écoles sont importantes et il faut faire sa place. Ce métier représente
beaucoup d'heures de travail pour la préparations de concours, le gala de fin d'année et les costumes à préparer...
Dans ce métier, on peut avoir de bons comme de mauvais souvenirs : des bons souvenirs comme les premiers prix
aux concours, des galas bien réussis , des cours pleins d'enthousiasme... « Des mauvais quand des élèves à qui tu
as tout donné abandonnent ou partent voir ailleurs. » Sylvie a une grande tendresse pour le classique et les
claquettes mais préfère le jazz.
Soutenue par sa famille
« J'ai été beaucoup aidée par mes parents et même maintenant je suis aidée par mon mari. » Ses parents l'ont
aidée, notamment financièrement, car à l'époque une formation coûtait l'équivalent d'une grande école d'aujourd'hui.
Elle a aussi eu besoin d'aide pour vaincre les incertitudes au moment de se lancer dans la vie professionnelle.
Maintenant Sylvie n'envisage pas d'arrêter son métier de si tôt.
Chloé et Manon B.
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