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Ecole Nationale Supérieure
des Sciences de l'Information
et des Bibliothèques
Université Claude Bernard Lyon 1
43, boulevard du 11 Novembre 1918
69622 VILLEURBANNE CEDEX
DESS en Ingénierie Documentaire
Rapport de Recherche Bibliographique
Rayonnement 2,73 K et Théorie Standard
ABDEL ADIM Leïla
Sous la direction de :
Monsieur TAUTH Théodore
Ingénieur - Chercheur
Institut de Physique Nucléaire
Université Claude Bernard
Lyon 1
Année 1999-2000
SOMMAIRE
RÉSUMÉ -------------------------------------------------------------------------------------------------- 4
MÉTHODOLOGIE--------------------------------------------------------------------------------------- 5
1.
Etude préliminaire du sujet ---------------------------------------------------------------------- 5
2.
Etude de la 1ère partie ----------------------------------------------------------------------------- 5
3.
2.1.
Choix des mots clefs--------------------------------------------------------------------------- 7
2.2.
Interrogation des bases de données ---------------------------------------------------------- 8
2.3.
Recherche dans les bases de données gratuites sur Internet----------------------------- 13
2.4.
Recherche sur Internet------------------------------------------------------------------------ 16
2.5.
Bilan des références obtenues. -------------------------------------------------------------- 18
Evaluation des coûts et du temps de recherche ---------------------------------------------- 20
SYNTHÈSE ----------------------------------------------------------------------------------------------21
1.
Introduction [1] ----------------------------------------------------------------------------------- 21
2.
Historique [13,14]--------------------------------------------------------------------------------- 22
3.
Le fond diffus cosmologique [18] -------------------------------------------------------------- 22
4.
MESURES [20-21] ---------------------------------------------------------------------------------- 24
5.
Caractéristiques et conséquences [27] --------------------------------------------------------- 24
6.
Conclusion [36]------------------------------------------------------------------------------------ 28
BIBLIOGRAPHIE UTILISÉE DANS LA SYNTHÈSE ------------------------------------------29
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES------------------------------------------------------------34
1.
Articles de journaux ------------------------------------------------------------------------------ 34
1.1.
Satellites --------------------------------------------------------------------------------------- 34
1.2.
Ballons ----------------------------------------------------------------------------------------- 35
1.3.
Expériences terrestres ------------------------------------------------------------------------ 36
2
1.4.
2.
3.
Mesures et Observations générales --------------------------------------------------------- 38
Conférences et rapports de congrès------------------------------------------------------------ 39
2.1.
Satellites --------------------------------------------------------------------------------------- 39
2.2.
Ballons ----------------------------------------------------------------------------------------- 40
2.3.
Expériences terrestres ------------------------------------------------------------------------ 40
2.4.
Mesures et observations en général --------------------------------------------------------- 41
Thèses ----------------------------------------------------------------------------------------------- 42
3
Résumé
Rayonnement à 2,73 K et Théorie Standard
Résumé
:
Le fond diffus cosmologique est l’une des preuves majeures de la Théorie
Standard. Plusieurs expériences sont en cours, qui permettront une détermination
plus précise des fluctuations du rayonnement fossile, fournissant ainsi des
informations précieuses sur un nombre important de paramètres cosmologiques.
Descripteurs :
Fond diffus cosmologique, rayonnement fossile, Théorie Standard, expériences,
mesures, observations
Cosmic microwave background and Standard Theory
Abstract
:
Ethical problematics is relevant because it is part of the original bases of
journalists’professionnal identity. The semiotic analysis of SNJ’speeches as
historical marks of journalists’professionnal identity building, is a good help for
understanding of endogenous reasons of the identical crisis and leads to the
question of new identification frame generated by the general tendancy of
deregulation.
Keywords : Cosmic microwave background, Standard Theory, experience, results,
measurements, observations
4
Méthodologie
1.
Etude préliminaire du sujet
La culture scientifique acquise lors de mon cursus m’a permis de me remémorer
les principes de base des principales théories de la cosmologie moderne. Ainsi, je
n’ai pas eu de mal à comprendre le sujet et la majorité des documents qui s’y
rapportaient. La littérature sur ce sujet étant abondante, il a fallu limiter la
recherche suivant les thèmes abordés.
Le sujet se décompose en réalité en deux parties :
1ère partie : une vue d’ensemble sur l’état des connaissances sur le fond diffus
cosmologique : comment a-y-il était dé couvert, qu’est-ce qu’il représente, à quoi
est-il du.
2ème partie : un aperçu sur les expériences – passées, présentes et à venir effectuées sur le rayonnement fossile et les résultats obtenus et escomptés.
Suivant les parties, la méthodologie de recherche n’est pas identique car les
besoins ne sont pas les mêmes.
2.
Etude de la 1ère partie
Pour cette partie, M. Tauth m’a recommandé des monographies et des articles de
journaux scientifiques. Il m’a indiqué une bibliographie de base comportant des
articles originaux des scientifiques qui ont contribué de près ou de loin à la l’étude
du rayonnement fossile. Il m’a aussi suggéré la consultation de certains ouvrages
scientifiques d’un assez haut niveau.
5
Le sujet relevant de l’astrophysique et de la physique, les mots clefs furent assez
faciles à trouver au départ.
Théorie Standard
cosmic microwave background
isotropie
homogénéité
Une première interrogation a montré que le sujet ainsi formulé donnait des
résultats médiocres. Les termes Théorie Standard, isotropie et homogénéité
introduisaient beaucoup de bruit alors qu’une recherche uniquement basée sur
l’expression « cosmic microwave » background donnait des milliers de réponses.
De plus, cette expression n’était pas la seule utilisée. En effet, outre les initiales
CMB, les expressions « cosmic background radiation », «background radiation»,
« microwave radiation » et « radiofrequency cosmic background ». En français
aussi, plusieurs mots sont utilisés dans la littérature : « rayonnement fossile »,
« fond
diffus
cosmologique »,
« rayonnement
à
3
K »,
« corps
noir
cosmologique », « corps noir fossile ».
Donc, après la 1ère interrogation sur Internet et sur Dialog, il est apparu que le
nombre de références était très nombreux. Consulter les milliers de pages Web
trouvées avec les mots « cosmic microwave background » était impossible. De
même, l’interrogation de Pascal a donné plus de 200 références, ce qui était
ingérable. Aussi, il a été décidé de se limiter aux monographies et à quelques
articles scientifiques.
En dehors des quelques références fournies par mon commanditaire , j’ai essayé
de trouver des ouvrages de vulgarisation scientifique. Ma connaissance de cette
littérature m’a beaucoup aidée au départ. Après, la bibliographie contenue dans
ces ouvrages m’a permis d’aiguiller mes recherches.
L’accès à ces documents s’est fait de deux manières :
6
M. TAUTH m’a fourni certains documents, notamment ceux qui étaient
relativement plus anciens pour que je puisse me les procurer facilement par moimême
la bibliothèque universitaire de Lyon 1 et la bibliothèque municipale de La
Pardieu possédaient les autres ouvrages, que j’ai pu les emprunter sans difficulté.
Le plus long ne fut pas la recherche et la localisation de ces ouvrages mais leur
consultation.
1.3 E TUDE DE LA 2 ÈME PARTIE
La 2ème partie étant plus ciblée, il a été possible de trouver des articles
scientifiques et des pages web intéressants sans être noyée sous une trop grande
masse d’information. De plus, cela permet de voir l’évolution des recherches
quasiment en temps réel, du fait que les chercheurs mettent presque tous leurs
travaux sur le Net sous forme de preprint.
2.1.
Choix des mots clefs
Devant la multitude des réponses, le sujet fut précisé. Le côté expérimental de la
recherche i.e. les résultats des expériences passées et à venir fut approfondi.
Les nouveaux mots clefs ainsi définis étaient :
COBE or cosmic background explorer
experience or experiment
result
measurement
7
2.2.
2.2.1.
Interrogation des bases de données
Choix des bases de données
Pour savoir quelles bases étaient adaptées à mon sujets parmi celles proposées par
DIALOG, j’ai sélectionné la fonction Dialindex en précisant le domaine allphys.
Le domaine se limitait pour l’occasion à :
S cosmic microwave background
Elle était volontairement imprécise de manière à avoir une bonne présentation des bases
susceptibles d’être interrogées. 14 bases ont été sélectionnées par DIALOG. Après avoir lu
leurs descriptifs, j’en ai choisi 5.
De plus, suite au cours de M. Lardy sur Internet, j’ai recherché des bases de
données gratuites sur Internet Pour cela, j’ai utilisé 2 sites : le site de l’URFIST
(http://urfist.univ-lyon1.fr/gratuits/) et la gateway de l’université Calvin
(http://www.calvin.edu ). 3 bases se sont révélées intéressantes.
En dernier, j’ai consulté la, base d’articles de l’INIST, qui est gratuite et
accessible sur Internet.
2.2.2.
Présentation des bases retenues sur Dialog
INSPEC
Numéro sur le serveur DIALOG : 2
Producteur : Institution of Electrical Engineers
Domaines : physique, électronique, ingénierie nucléaire, ingénierie électrique,
informatique, IA, technologie de l’information…
8
Sources : 4300 revues, 2000 actes de conférences, rapports, thèses
Volume : 5.8 millions en 1998
Mise à jour : hebdomadaire
Période couverte : depuis 1969
SciSearch
Numéro sur le serveur DIALOG : 434
Producteur : Institute for Scientific Information
Domaines : tous les domaines des sciences, de la technologie et de la biomédecine
Sources : 4500 journaux dans les principaux domaines scientifiques et techniques
Volume : 16.1 millions en 1998
Mise à jour : hebdomadaire
Période couverte : depuis 1974
SPIN
Numéro sur le serveur DIALOG : 62
Producteur : American Institut of Physics
Domaines : géophysique, astronomie, astrophysique,
physique appliquée,
physique nucléaire
Sources : journaux dans les domaines scientifiques et compte-rendus de
conférences.
Volume : 765000 en 1998
Mise à jour : bimensuelle
Période couverte : depuis 1975
9
Aerospace Database :
Numéro sur le serveur DIALOG : 108
Producteur : the American Institute of Aeronautics and Astronautics et la NASA
Domaines: recherche appliquée en aéronautique, astronautique et sciences
spatiales et les applications en chimie, géosciences, physique, communication et
électronique.
Sources : livres, rapports, compte-rendus de conférences de 40 pays.
Volume : 2.17 millions en 1998
Mise à jour : mensuelle
Période couverte : depuis 1962
PASCAL
Numéro sur le serveur DIALOG : 144
Producteur : INIST-CNRS
Domaines : physique, chimie, sciences de la vie, sciences appliquées et
technologie, sciences de la Terre, sciences de l’information
Sources : articles de journaux (93 %), thèses, actes de congrès, rapports
techniques, monographies, brevets
Volume : 11.83 en 1998
Mise à jour : mensuelle
Période couverte : depuis 1973
10
2.2.3.
Présentation des bases retenues sur Internet
ARIBIB ARI Bibliographical Database for Astronomical References
<URL : http://www.ari.uni-heidelberg.de/cgi-bin/aribib/aribib >
Producteur : Astronomisches Rechen-Institut Heidelberg et Institut of Electrical
Engineers
Domaines : astrophysique et astronomie
Source : toutes la littérature en astrophysique et astronomie et dans les domaines
voisins
Date de dernière mise à jour : décembre 1999
Période couverte : depuis 1969
Astrophysics Data System (ADS) Article Service alimentée par la NASA
<URL : http://cdsads.u-strasbg.fr/ads_articles.html >
Cette base propose 4 services :
des journaux en lignes
des compte-rendus de conférences
une revue de sommaire
des abstracts d’articles
Cet dernier permet l’accès à 4 bases qui contiennent plus d’un million
d’articles en
astronomie, astrophysique, instrumentation, physique et géophysique
Department of Energie Reports Bibliographic Database
<URL : http://apollo.osti.gov/waisgate/gpo.html >
Contient des notices de rapports scientifiques et techniques de janvier
1994 à aujourd’hui. La mise à jour est hebdomadaire.
11
Les principales sources sont le National Technical Information Service et le
Government Printing Office.
article@inist : Le catalogue des Articles et Monographies du Fonds INIST
<URL : http://services.inist.fr/public/fre/conslt.htm >
Plus de 5 millions de notices bibliographiques référencées : d'articles, de
monographies, de rapports, de congrès...avec une mise à jour uoti
quotidienne.
2.2.4.
Recherche sur CD-ROM
Le cd-rom Myriade
Les données de ce cd-rom proviennent du Catalogue Collectif National des Publications en
Séries et comportent 289000 titres de périodiques. Il permet de
localiser des périodiques dans les bibliothèques universitaires françaises. Ainsi, la plupart des
périodiques dont les articles étaient les plus intéressants se
trouvent à Lyon ( à la BU de Lyon 1, à la bibliothèque de l’Institut de Physique Nucléaire, à la
bibliothèque de l’Observatoire de Lyon) ou service inter établissement de coopération
documentaire section science à Grenoble.
Doc thèse
Les données de ce CD-rom sont tirées de la base de données en ligne Téléthèse qui
comporte 340000 notices. Il contient toutes les thèses françaises et les localise. La
recherche s’est effectuée sur le champ mots clefs anglais avec l’expression
« cosmic microwave background ».
NB : Je voulais consulter le cd-rom SIBIL qui est un catalogue partagé par 25
bibliothèques universitaires et qui permet de trouver les ouvrages relatif à un
12
thème disponibles dans les BU françaises. La bibliothèque de l’ENSSIB ne l’ayant
plus car il doit être remplacé par le S.U ( Système Universitaire qui doit regrouper
BNOPAL, Sibil et OCLC),
je suis allée sur le site du catalogue SIBIL
http://www.rsf.cnusc.fr:8021
2.3.
Recherche dans les bases de données gratuites sur
Internet
Internet étant en libre service à l’ENSSIB, on peut l’utiliser sans compter. Aussi
ai-je
commencé à interroger les bases avec l’expression « cosmic microwave background » ou le
mot « COBE ». En lisant les abstracts de quelques articles, j’ai découvert d’autres descripteurs
utilisés dans la littérature scientifique. Cette interrogation m’a permis de gagner du temps lors
de l’interrogation de DIALOG car j’ai pu définir tous les mots clés à utiliser.
1 ère interrogation :
Bases
1ère équation
interrogées
ARIBIB
Cosmic
Nb
de 2ème équation Nb
références
références
trouvées
trouvées
527
COBE
429
1429
COBE
840
81
COBE
4
38
COBE
19
de
microwave
background
ADS
Cosmic
microwave
background
DOE
Cosmic
microwave
background
article@inist
Cosmic
13
microwave
background
Il est clair au vue de ces résultats qu’il faut préciser la recherche surtout pour les
deux premières bases.
Dans ARIBIB, l’interrogation ne se fait que sur les mots du titre. De plus, il n’y a
pas de résumé de l’article, ce qui limite son intérêt. Mais bien que les informations
ne sont pas très développées, cela peut être intéressant de regarder les titres pour
voir quels sont les thèmes abordés.
Dans ADS ainsi que dans DOE, l’interrogation se fait sur tout le texte. De plus, on
peut consulter le résumé de chaque article.
14
2ème interrogation :
Bases
1ère équation
interrogées
ARIBIB
CMB
Nombre
de 2ème équation Nombres
références
références
trouvées
trouvées
and 20
COBE
de
CMB and ( 47
measurements
or
observations))
ADS
CMB
and 119
COBE
CMB and ( 103
measurements
or
observations)
DOE
CMB
and 4
COBE
CMB and ( 83
measurements
or
observations))
Article@inist COBE
19
CMB
38
A la lecture de quelques résumés d’articles, il est apparu que les 2 dernières
équations n’étaient pas vraiment pertinentes. En effet, elles introduisent du bruit.
Ce que je recherche, ce sont les résultats de COBE et les mesures du rayonnement
fossile. Or l’équation measurement and CMB peut tout aussi bien donné les
mesures du rayonnement fossile que les mesures d’autres paramètres grâce au
rayonnement fossile. De même, result and COBE peuvent donner les résultats de
COBE comme les résultats de mesures d’une autre expérience.
15
J’ai donc revu mes équations de recherche et compris qu’il fallait utiliser des
opérateurs de proximité. Malheureusement, les bases de données gratuites n’en
utilisent pas.
Toutefois, vu le nombre de références trouvées dans ARIBIB, DOE et
article@inist, je les ai consultées et j’ai gardé les plus intéressantes. Après, j’ai du
les comparer à celles trouvées dans les bases de données
Pour conclure, l’interrogation de ces bases a été fructueuses pour ma recherche car
elle a permis d’améliorer mes équations et de mieux cibler le sujet. De plus, j’ai
obtenu un ordre de grandeur du nombre de références qui existaient sur le sujet,
même si la fourchette est assez large.
2.4.
Recherche sur Internet
2.4.1.
Recherche à partir d’URL connus
De part mon intérêt pour la physique, je connaissais plusieurs sites intéressants et
incontournables pour toute recherche. On peut citer :
le site du CERN
URL : http://www.cern.ch
le site du CEA
URL : http://www.cea.fr
Le site de l’IN2P3
URL : http://institut.in2p3.fr
le site de la NASA URL : http://www.nasa.gov
Les deux derniers sites se sont révélés les plus intéressants.
2.4.2.
Requêtes à partir des moteurs de recherche
J’ai d’abord utilisé Webcrawler qui est un méta-moteur permettant d’interroger
plusieurs moteurs de recherche simultanément. C ‘est Altavista qui semble avoir le
plus de références.
16
J’ai donc utilisé l’option advanced web search sur ce serveur :
(COBE or cosmic background exporer or experience* or experiment*) and
((cosmic microwave background or CMB or cosmic background radiation or
radiofrequency cosmic radiation) near(measurement* or observation*)).
J’ai obtenu beaucoup de pages. Je n’ai consulté que les 100 premières. Dans un
premier temps, je n’ai sélectionné que les sites d’organismes publics et officiels.
Puis, j’ai regardé la date de dernière mise à jour. Si elle est inférieure à 1997,
j’éliminais le site.
Lorsqu’un titre me semblait intéressant, je consultais la page pour voir si elle était
pertinente. Parfois, les liens hypertextes qui se trouvaient dans la page étaient
intéressants mais il faut faire attention de ne pas se laisser entraîner trop loin Il
arrive qu’on se perde et qu’on s’éloigne de la recherche principale.
J’ai également interrogé un moteur de recherche français Voilà. La recherche s’est
faite avec les mots clef « fond diffus cosmologique », « rayonnement fossile »,
« COBE »et « expériences ». Le nombre de réponses était de l’ordre de 30 dont un
certain nombre était intéressante. Mais je trouvais que le nombre de référence était
faible aussi ai-je décidé d’interroger un autre moteur de recherche, Nomade. Avec
les mêmes descripteurs, j’ai trouvé 13 pages Web. J’en ai donc conclu que les
documents en français sur ce thème était peu nombreux, ce qui est logique car la
plupart des scientifiques français mettent sur le web des documents en anglais.
17
2.5.
Bilan des références obtenues.
L’équation de recherche fut la suivante :
S ( COBE or experience? or experiment? ) AND ((cosmic microwave background
or CMB OR cosmic background radiation OR radiofrequency cosmic radiation)
(N) ( measurement? OR observation?))
J’ai obtenu les résultats suivants, en ne sélectionnant que les articles dont la date de publication
supérieure à 1993:
Nom de la base
Nb de notices
Nb
de
notices Nb de doublons
pertinentes
SciSearch
22
8
3
INSPEC
17
7
3
PASCAL
11
6
3
SPIN
11
3
3
Aerospace
4
1
0
Database
Internet
Plusieurs milliers Une
bonne Difficile à estimer
centaine
Vu le nombre de références récupérées sur DIALOG, elles se sont toutes révélées
pertinentes. Mais il est clair que le silence est important. Aussi ai-je du
compléter mes réponses avec les références trouvées dans les bases de données
gratuites.
Nom de la base
Nb
de
références Nb de doublons
pertinentes
ARIBIB
29
4
ADS
12
1
article@inist
9
4
18
On peut noter que le tiers des articles proviennent de rapports ou de comptesrendus de conférences.
Une grande partie de références trouvées sur DIALOG était également disponible
sur Internet à travers les bases de données gratuites. Le problème de ces bases est
que généralement les résultats trouvés ne suivent aucune norme. De même, sur les
sites, il n’est pas facile de trouver un nom d’auteur ou la date de dernière
modification. Certains scientifiques mettent directement leurs articles en ligne
mais ces articles ne sont généralement pas soumis à un comité scientifique. Le
nombre d’articles publiés dans une revue scientifique qui sont accessibles en ligne
est limité. Toutefois, Internet reste un outil de recherche puissant si on sait bien
l’utiliser.
Les pourcentages de références trouvées en fonction de l’outil utilisé se présentent
comme suit :
Dialog
18%
Autres
22%
Internet
Bdd internet
44%
16%
19
Nombre de références trouvées par base :
INSPEC
7%
SPIN
3%
ADS
22%
ARIBIB
48%
Aerospace
2%
Pascal
9%
3.
SciSearch
9%
Evaluation des coûts et du temps de recherche
La recherche sur Internet m’a pris environ 15h heures. Le temps consacré à DIALOG (
préparation des questions plus interrogation ) est de 8 heures. La recherche des diverses
monographies a duré 15 heures à peu près. Le travail de recherche seul est donc au total 38
heures.
Pour la consultation du serveur DIALOG, je suis passée par Internet. On ne paye
donc que le coût d’une communication locale. De plus, l’ENSSIB a des tarifs
préférentiels. Donc seul le temps de connexion est compté, le téléchargement des
notices étant gratuit. Le coût total de la session DIALOG est estimé à 25.81$. Il
faut multiplier par 10 environ pour avoir le coût réel.
20
Synthèse
1.
Introduction [1]
La théorie du Big Bang connue sous le nom de Théorie Standard FRW (Friedmann- Robertson
- Walker ) vérifiée par l’astronomie observationnelle, les mesures d’astrophysique
et la
physique des particules paraît aujourd’hui la plus cohérente pour expliquer l’origine de
l’Univers. Les arguments et les preuves majeures attestant de sa validité sont :
le ciel noir de la nuit ( le paradoxe d’Olbers) [2]
la relativité et la métrique de l’espace-temps [3,4]
l’homogénéité et l’isotropie à grande échelle [ 5]
l’expansion de l’Univers ( redshift) [6]
le rayonnement fossile [7,8,9]
l’abondance et la composition des éléments dans l’Univers primordial (
nucléosynthèse avant les 3 premières minutes ) [10]
la densité croissante des radiogalaxies dans le passé ( Ryle 1950) [11]
la répartition et la dynamique des objets lointains ( supernovae, quasars…) [12].
Bien que de nombreuses questions ne trouvent
pas de réponses et que le
déroulement de l’histoire primordiale s’appuie sur trop d’hypothèses ( la
singularité primordiale, la(les) phase(s ) inflationnaire(s),
la formation des
grandes structures et ruptures de symétrie, la première génération d’étoiles…), la
Théorie Standard est unanimement acceptée par la communauté scientifique.
Parmi les piliers de base sur lesquels s’appuie la théorie FRW, la présence du rayonnement
fossile est d’une importance majeure.
21
2.
Historique [13,14]
En 1913, Slipher met en évidence un mouvement d’expansion des objets célestes,
confirmé par les observations rigoureuses de Hubble en 1929 [15]. Ces
découvertes corrélées avec d’autres – notamment la nucléosynthèse primordiale
suggérèrent l’idée d’un ‘départ’ et d’un âge de notre univers à partir d’une entité
hautement condensée et chaude. Notre univers évoluant avec le temps s’est
refroidi et a conduit à notre environnement connu, devenu après ~15 milliards
d’années énorme – à l’échelle de nos observations environ 1028 cm et froid. Mais
l’Univers doit baigner dans un fond de rayonnement, un écho du Big Bang, à une
température d’environ 5 K ( Gamow, Alpher, Bethe 1948) [16]. En 1946, Dicke
inventa un radiomètre différentiel et conclut d’un éventuel fond de rayonnement
ne devait pas dépasser 20 K.
En 1964, deux chercheurs du laboratoire Bell A. Penzias et R.E Wilson [17] enregistrent par
hasard avec leur antenne un bruit de fond radio persistant à 3 K,
identique dans toutes les directions. Après avoir contacté Peebles et Dicke de l’Université de
Princeton, il s’est révélé que ce rayonnement était bien le fond diffus cosmologique prévu
quelques années plus tôt par Gamow.
3.
Le fond diffus cosmologique [18]
Selon la théorie du Big Bang, l’Univers était à l’origine dans un état de température et de
densité si élevées que le rayonnement était hautement prépondérant sur la matière. Celle-ci à
l’état de nucléons n’a pas pu se former que par la suite, lorsque la température fut devenue
suffisamment basse, de l’ordre de 10 13 K. Puis, vers 10 11 K, se constituaient les noyaux .A cette
époque les échanges ont contribué à maintenir un équilibre entre rayonnement et matière.
22
Enfin, au bout de quelques centaines de milliers d’années, se produisit un événement qui est
l’origine du rayonnement diffus : le milieu universel ne cessant sous l’effet de l’expansion de
se refroidir et de se diluer dans un volume de plus en plus vaste a favorisé l’emprisonnement
des électrons dans des structures neutres ( atomiques, surtout hydrogène H 1 1 et hélium He2 4 ).
Les photons pouvaient dorénavant se propager librement et …« la lumière fut ».
Lors du découplage entre matière et rayonnement, la température commune de ces deux
constituants était d’environ 4500 Kelvin. C’est dans ces conditions que fut émis le
rayonnement que nous pouvons qualifier de « primordial ». Mais en 14 milliards d’années il a
changé d’aspect.
Il ne faut pas oublier que la longueur d’onde d’un rayonnement suit fidèlement l’étirement de
l’espace. Par conséquent, les différentes radiations constituant la lumière fossile ont vu leur
longueur d’onde augmenter en accompagnant l’espace dans son expansion. Plus précisément,
l’Univers aurait grossi dans ses dimensions linéaires d’un facteur 1500 ( auquel correspond un
facteur 1500*1500*1500 soit plus de 3 milliard en volume) entre l’époque où le rayonnement a
été émis et celle où nous le recevons. Les longueurs d’onde sont donc toutes 1500 fois plus
grande qu’à l’origine : au départ exprimées en microns, elles appartiennent aujourd’hui au
domaine millimétrique.
Corrélativement - car qui dit longueur d’onde plus grande dit énergie plus petite et donc aussi
température plus petite, dans les mêmes proportions -, le rayonnement observé correspond à
une température de 2,7 Kelvin. Ce nombre provient de la réduction par le facteur 1500 des
4500 K de départ. [19]
23
4.
MESURES [20-21]
Le satellite COBE ( Cosmic Background Explorer ) a été développé par la NASA pour mesurer
l’infrarouge diffus et le rayonnement micro-onde de l’Univers primordial. Envoyé en novembre
1989, il est constitué de trois instruments :
FIRAS ( Far Infrared Absolute Spectrophotometer ) qui compara le spectre du rayonnement
fossile avec celui du corps noir [22]
DMR ( Differential Microwave radiometer ) qui cartographia le rayonnement fossile de
manière précise avec une précision de 0.005 % [23]
DIRBE ( Diffuse Infrared Background Experiment ) qui rechercha le rayonnement diffus
infrarouge [24]
Le fond a des anisotropies intrinsèques, à un niveau de 1 pour 100000. Les fluctuations qui
apparaissent sont très faibles puisqu’elles sont de l’ordre de ∆T/T=10-5 .[25]
Les mesures précises faites par COBE ont déterminé que le spectre du fond diffus
cosmologique a exactement les caractéristiques d’un corps noir à 2.735 K. La vitesse du
satellite par rapport à la Terre, de la Terre par rapport au Soleil, du Soleil par rapport à la
Galaxie, de la Galaxie par rapport à l’Univers fait qu’en réalité la température semble
légèrement plus chaude ( de l’ordre de 1 pour 1000 ) dans la direction du mouvement.
L’ampleur de cet effet - appelé anisotropie dipolaire - a permis aux astronomes de déterminer
que le Groupe Local de galaxies se déplace à une vitesse de 600 km/s dans une direction qui se
trouve à 45° dans le plan la réunissant avec l’amas de la Vierge et celui de l’Hydre et du
Centaure. Un tel mouvement s’effectue dans un cadre local de référence dans lequel le fond
diffus cosmologique apparaît comme un spectre de Planck parfait.[26]
5.
Caractéristiques et conséquences [27]
La première caractéristique du fond diffus cosmologique est l’extrême degré de précision avec
laquelle la répartition de son intensité lumineuse en fonction de la longueur d’onde suit la loi
théorique du « corps noir » ou loi de Planck. Son spectre montre que les conditions nécessaires
à la réalisation de cet équilibre thermique régnaient dans le fluide cosmique de la source qui
24
l’a émis. Dans un état d’équilibre thermodynamique, le rayonnement est entièrement défini par
un seul grandeur, à savoir sa température, ici de 2.7 Kelvin .[19]
Le deuxième trait exceptionnel du rayonnement fossile est son haut degré d’isotropie. Cela était
incompréhensible dans le cadre de la théorie initiale du Big Bang.
En effet, « l’explosion » de l’Entité Primordiale ( immédiatement après le temps de Planck soit
10
–43
s) a pu conduire à une structure extrêmement inhomogène et anisotrope des densités
locales ρl ≥ ρcritique , valeur qui ne correspond pas avec la réalité observée aujourd’hui, ainsi
qu’à une forte courbure d’espace. Afin de surmonter ces difficultés, donc celles liées la
platitude de l’espace ( il a fallu ajuster | 1/Ω -1 | à 10-57 près ! ), A. H. Guth a proposé un
modèle inflationnaire [28]. Selon ce scénario, notre univers est caractérisé par une métrique
spatio-temporelle courbe ayant sa composante spatiale euclidienne (en fonction toutefois de la
valeur actuelle de Ω=Ω m+Ω Λ avec m pour matière et Λ pour la constante cosmologique i.e.
l‘énergie ).
Quand l’Univers était âgé de 10-35 s , une période d’expansion exponentielle de l’espace-temps
commence, provoquée par une brisure de symétrie. Pendant
10-32 s la distance augmente d’un facteur d’approximativement 1050 .
A la fin de la période inflationnaire, l ‘ensemble de l’Univers se trouvait dans une «sphère » de
10 cm de diamètre. L’Univers actuel a environ 15 milliard d’année-lumière et la matière qu’il
contient est d’a peu près 1023 masses solaires. Donc, dans les 15 milliards d’années suivant
l’inflation, l’expansion fut de 1027 .
2.6 AVENIR
[29]
Les deux instruments de COBE ( FIAS et DMR) ne pouvaient discerner des détails d’une taille
angulaire inférieur à 7°, ce qui veut dire qu’ils ne peuvent voir des structures qui ont un
diamètre supérieur à 14 fois le diamètre apparent de la Lune dans le ciel. Or, les dimensions
des anisotropies dont la résolution est supérieure à 1° proviennent soit de fluctuations
quantiques de l’époque inflationnaire soit des défauts
topologiques apparus lors des
changements de phase à 10-32 s.
Il est donc difficile de lier les dispersions mesurées avec celle des structures actuelles. En effet,
quand on regarde avec une taille angulaire de 7° une source à la distance de l’époque du
découplage, cela correspond à une taille supérieure aux plus grandes structures que nous
voyons actuellement dans l’Univers. L’échelle des structures que nous connaissons aujourd’hui
25
correspond à des parties de seulement ½° de l’époque du découplage. Ainsi, dans le but de lier
les anisotropies observées du fond diffus cosmologique aux structures actuelles, il serait
pratique d’avoir des dimensions de taille angulaire inférieure à celle de COBE .[30]
Plusieurs groupes et collaborations ont vu le jour et travaillent :
-sur des ballons :
*MAX (Millimeter Anisotropy eXperiment) a exploré les anisotropies du FDC avec une
résolution angulaire de 0.5 degrés.
L’équipe de MAX a présenté les mesures du FDC de 9 régions du ciel entre 1989 et 1994. [31]
*MAXIMA (MAX Imaging Array)
résolution angulaire de 1/5°. Il
a produit des images de sections du ciel avec une
a amélioré ainsi la sensibilité de MAX en mesurant les
anisotropies du FDC avec une résolution d’environ ½°.[31]
*BOOMERANG (Balloon Observations Of Millimetric Extragalactic Radiation ANd
Geophysics ) va compléter les mesures actuelles du FDC par intervalles situés dans une
ouverture angulaire de 12’- 10°. Un vol de longue durée près de l’Antarctique, région
particulièrement favorable aux mesures de ce genre, a déjà été effectué avec succès en janvier
1999. L’analyse et la publication des résultats prendra des mois.[32]
-à partir des stations terrestres
SASKATOON ( SK , d’après le site d’observation dans Saskatchewan, Canada ). Il s’agit d’un
télescope terrestre pouvant explorer des échelles angulaires 0.5°- 3° ( correspondant aux
multipoles l=60 et l=360). Les mesures effectuées pendant les hivers 1993-1995 ont permis
l’étude d’une zone céleste d’environ 15°, dans plusieurs gammes d’onde ( bande KA et Q,
subdivisées elles aussi ) et l’obtention de certains renseignements sur la polarisation du
FDC.[33]
Comme nous l’avons déjà signalé, la cartographie du FDC par les satellites dans les années
1989-1993 a soulevé une vague d’espoir et d’enthousiasme parmi les astrophysiciens. Les
valeurs des dispersions ainsi que leur homogénéité, la distribution de Planck de la puissance
du rayonnement cadraient parfaitement avec les prévision de la Théorie Standard. Il persistait,
cependant présente, une difficulté majeure : la définition spatiale extrêmement faible ( 7°, voir
plus haut ) ne permettait pas de tirer des conclusions valables pour la plupart des questions
majeures pouvant éclaircir l’âge inflationnaire de notre univers.
26
Il a donc fallu penser à des moyens et à des campagnes de mesures plus perfectionnés. Nous
avons cités plus haut quelques expériences, mais pour aller jusqu’au bout de la technologie et
de nos moyens, une orientation vers l’espace est devenu absolument nécessaire. En effet, il est
difficilement envisageable d’améliorer la précision de mesure des températures, dont
l’incertitude vient des limites fondamentales intrinsèques ( le corps noir de référence). Par
contre, grâce à l’affranchissement de lourds problèmes technologiques ( dimension du
télescope, refroidissement des détecteurs à ~0.1K et amélioration de leur performance, etc.), on
peut espérer, malgré une énergie collectée 5000 plus faible, obtenir une sensibilité de 105 fois
supérieure. Et, ce qui est capital, avoir une résolution angulaire 470 fois supérieure, et
descendre de 7° à 6’.
Ainsi sont apparues deux projets de satellites:
MAP ( Microwave Anisotropie Probe) doit mesurer les fluctuations de températures du FDC à
travers le ciel entier avec une résolution angulaire de 0,3°. Il mesurera aussi le degré de
polarisation du FDC. Cette dernière n’a pas encore été détecté mais les modèles théoriques
prévoient qu’elle devrait exister avec une amplitude détectable par MAP. Il sera envoyé au fin
2000-début 2001. [34]
COBRAS/SAMBA dont les principales caractéristiques répondent aux besoins ci-dessus. Son
lancement est prévu pour 2007 par l’Agence spatiale européenne. [35]
27
6.
Conclusion [36]
L’étude du fond diffus cosmologique est entrée dans une nouvelle phase. Les théoriciens ont
compris que la détermination plus précise des fluctuations du rayonnement fossile peut fournir
des informations précieuses sur un nombre
important de paramètres cosmologiques cruciaux et la résolution angulaire très élevée,
vraisemblablement à la limite de notre technologie, permettra de calculer la puissances des
fluctuations primordiales jusqu’aux multipôles de l’ordre de l=2100. Les dispositifs munies des
canaux de polarimètriques seront capables de mesurer la polarisation du rayonnement de fond,
grandeur sur laquelle nous n’avons que de très faibles indications. Pourtant cette information
est d’une extrême importance puisqu’elle pourra renseigner les astrophysiciens sur l’éventuelle
période de réionisation ( donc la formation de la première génération d’étoiles lourdes ) ainsi
que sur les détails sur l’effet Saniaev-Zeldovich [37] ayant trait à la formation des grandes
structures. On verra un peu plus claire l’hypothèse des défauts topologiques et leur rôle joué
dans l’histoire primitive ( et peut-être aussi plus tardive ) et on aura une idée sur les ondes
gravitationnelles primordiales, générant des fluctuations de la métrique. Bref, pour conclure
d’une manière plus concise, on peut affirmer que la connaissance –avec une meilleure
exactitude – de la géométrie de l’univers, de Ω m et Ω Λ
(donc de la densité de matière baryonique ou non et de la constante cosmologique) et enfin la
constante de Hubble ( et peut-être son évolution ) résultées de ces mesures détermineront
l’avenir de la Théorie Standard. Si elles ne correspondent pas à ce que prévoient les
théoriciens, une remise en cause du modèle FRW et
de la théorie de l’inflation sera à
envisager.
28
Bibliographie utilisée dans la synthèse
Format des références : en ce qui concerne les pages Internet, du fait qu’il n’est pas toujours
possible d’avoir une référence complète, j’ai donné à chaque fois :
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suivantes :
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structure" de décembre 1987 qui elle-même reproduit intégralement la norme
internationale ISO 690-1987.
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