RENCONTRE DU 3eme type ile Bouchard
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RENCONTRE DU 3eme type ile Bouchard
RENCONTRE DU TROISIEME TYPE A L’ILE BOUCHARD par Raymond TERRASSE Ce troisième type est votre serviteur. J’avais en projet de me rendre à l’Ile Bouchard au mois de mars ou avril. Mais les impondérables en ont décidé autrement. J’avais dans l’esprit d’y associer notre dévoué secrétaire, et monsieur Armand Rozenblum. Celui-ci voulait m’entretenir de certains aspects touchant mes «connaissances»( guillemets indispensables). Les voix du seigneur téléphone fixe étant impénétrables aux ondes visuelles, François et moi étions curieux de nous jauger enfin du regard, après quelques années de conversations à distance. Cette rencontre devait avoir lieu le 22 juin, mais des évènements imprévus la repoussèrent au 29. Intervention mariale nous évitant la grosse chaleur de 33 ° sévissant en Touraine ? en tout cas, une semaine plus tard, la température était descendue à 25 °, agréable, avec parfois un ciel obscurci, donc bienfaisant. Ce furent quatre heures d’intenses échanges, d’apports mutuels, d’objections, de supputations, de réfutations, d’approbations ; et aussi de nombreuses questions non résolues. Le troisième type regagna son sud-ouest, fort satisfait de cette rencontre, ayant engrangé quelques connaissances supplémentaires. Quant aux deux franciliens, ils vous livreront leurs pensées sur cette visite, et le résultat de leur étude radiesthésique. L’Ile Bouchard, c’est l’histoire d’une série d’apparitions de la Sainte Vierge, du lundi 8 décembre 1947, au dimanche 14. Cette commune d’Indre et Loire, située à 42 kilomètres au sud de Tours, abritait 1255 personnes en 1947. Présentement, il y en a un peu moins de 1800 ; c’est dire si la démographie n’a pas explosée en un bon demi-siècle. Cependant, la reconnaissance partielle, le 8 décembre 2001 de l’apparition virginale, va peut-être changer la donne La particularité de la visite de la Vierge à L’Ile Bouchard, est de s’être déroulée à l’intérieur de la modeste église Saint-Gilles ( qui signifie protection ), contrairement à bien d’autres, qui ont eu lieu en plein air . Mais en prime, la Noble Dame vint accompagnée d’un ange, qui déclara être Gabriel. Les deux personnages apparurent à l’intérieur d’une grotte comme décors, sur une pierre qui ne touchait pas le sol. Image donc peu banale d’une grotte dans une église. Alors que la grotte, et peut-être l’ange, semblaient n’être que virtuels, la Sainte Vierge était parfaitement tangible, comme le démontrèrent les baisers qu’elle déposa sur la main des quatre petites voyantes ; et un autre jour son chapelet qu’elles embrassèrent. On peut s’interroger sur le choix de cette pauvre église de cette non moins modeste agglomération. Il s’avère, que voulu ou non par la Sainte Vierge, L’Ile Bouchard est en rapport direct avec plusieurs autres lieux d’apparitions mariales, ainsi que le montrent mes travaux sur l’orthogéométrie, qui associe les posés d’OVNI, les apparitions mariales, et les Hauts Lieux géographiques. Nous avons un triangle rectangle avec Celles près de Foix, à angle droit, apparition de1686, très particulière, mais que je ne peux détailler ici, et Cotignac, où la Vierge vint le 10 août 1519. Dans un second triangle rectangle, L’Ile Bouchard est cette fois l’angle droit avec La Salette ( 19 septembre 1846 ), et Tournai, en Belgique. Cette ville n’est rien moins que celle qui abrita le tombeau de Childéric 1er, fils de Mérovée, géniteur de la prestigieuse dynastie mérovingienne. Le croquis suivant, Lourdes la bien connue, reliée à L’Ile Bouchard, dessine une parallèle rigoureuse à la droite sur laquelle se placent Gisors, le fief templier, le château de Chambord, et la célèbre grotte de Lascaux, comme terminus. C’est l’inattendue de cette ligne que j’ai appelée primordiale.