2015 06 02 P+R de Bouge - résumé CCATM

Projet de parc-relais à Bouge
Résumé en vue de la présentation à la CCATM du 9 juin
Service Mobilité
1. Rétroactes
Dans la foulée des recommandations émises dans le plan de mobilité de 1998, le
Ministère de l’Equipement et des Transports (D311) a commandé une étude de
faisabilité d’aménagement de parcs-relais autour de Namur. Celle-ci a débouché en
2009 sur un rapport sélectionnant 9 sites potentiels, dont 3 jugés prioritaires.
La déclaration de politique générale arrêtée pour la législature 2012–2018
renouvelle l’ambition de renforcer l’offre de stationnement, notamment en
réalisant « prioritairement les parc-relais de Bouge et d’Erpent, reliés au centreville par les lignes régulières renforcées par des navettes en heure de pointe ».
Parc-relais de Bouge
2. Avant-projet
La SRWT a mené les études nécessaires au projet car c’est elle qui réalisera
l’investissement. Le projet a été mené en pleine concertation avec les services de
la Ville et le TEC.
L’implantation du P+R est prévue à l’angle de la rue Hébar et de la Chaussée de
Louvain, à l’arrière du centre de formation de la CSC. L’accès actuel au parking de
la CSC serait aménagé en voirie publique desservant les accès au parc-relais, mais
aussi à la propriété de la CSC. Cette voirie serait aménagée pour les véhicules
particuliers, mais également pour les « navettes P+R ». Un cheminement piéton est
prévu le long de la propriété de la CSC afin de liaisonner le parking aux arrêts de
bus de la chaussée de Louvain.
2 juin 2015
Page 2
Parc-relais de Bouge
Afin de gérer au mieux le développement du parking, il est proposé d’introduire
une demande de permis en trois phases :
• une première phase pour la création de 356 emplacements ;
• une seconde phase qui sera mise en œuvre après quelques années pour 231
emplacements complémentaires. Le début de la phase 2 est prévu au plus
tôt en mars 2018 dans la demande de permis ;
• il est possible d’envisager une troisième phase en déplaçant une partie de
la haie et du pré fleuri à la limite sud-est pour créer à nouveau 104
emplacements. Compte-tenu de la charge de trafic en entrée de ville et de
l’urbanisation du quartier prévue au schéma de structure, il est prudent de
se réserver cette faculté de développement d’une troisième phase. Et en
attendant, la surface non aménagée reste exploitable pour l’agriculture.
Le projet rencontre les remarques formulées par les services de la Ville et de la
DGO4, notamment pour ce qui concerne :
• la gestion des eaux (infiltration complète des eaux de ruissellement dans le
sol en les traitant au préalable via un séparateur d’hydrocarbures) ;
• la verdurisation du site ;
• le déplacement du sentier vicinal n°27 ;
• l’organisation générale du parking et les cheminements internes ;
• les contraintes de relief naturel du terrain ;
• ...
Ces éléments seront détaillés lors de la séance de la CCATM. Certains aspects
seront encore précisés lors de l’élaboration du cahier spécial des charges.
2 juin 2015
Page 3