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DER
ROSENKAVALIER
LE CHEVALIER À LA ROSE
Richard Strauss
COMÉDIE EN MUSIQUE EN
TROIS ACTES 1911
DIRECTION MUSICALE
Philippe Jordan
MUSIQUE
Richard Strauss (1864-1949)
LIVRET
Hugo von Hofmannsthal
MISE EN SCÈNE, DÉCORS ET
COSTUMES
Herbert Wernicke
En langue allemande
Surtitrage en français
et en anglais
coproduction avec le festival
de salzbourg
LUMIÈRES
Werner
Breitenfelder
CHEF DES CHŒURS
José Luis Basso
Orchestre et Chœurs
de l’Opéra national de Paris
DIE FELDMARSCHALLIN
Michaela Kaune
DER BARON OCHS Peter Rose
OCTAVIAN
Daniela Sindram (9 > 28 mai)
Stéphanie Houtzeel (31 mai)
HERR VON FANINAL
Martin Gantner
SOPHIE Erin Morley
MARIANNE LEITMETZERIN
Irmgard Vilsmaier
VALZACCHI
Dietmar Kerschbaum
ANNINA Eve-Maud Hubeaux
EIN SÄNGER Francesco
Demuro
EIN POLIZEIKOMMISSAR
Jan Štáva
DER HAUSHOFMEISTER BEI
DER FELDMARSCHALLIN
Charles Reid
DER HAUSHOFMEISTER BEI
FANINAL Peter Galliard
EIN NOTAR Martin Snell
EIN WIRT Robert Wörle
EINE MODISTIN
Ruzan Mantashyan
DREI ADELIGE WAISEN
Caroline Colineau, Laetitia
Jeanson, Olga Oussova
EIN TIERHÄNDLER
Emanuel Mendes
VIER LAKAIEN DER
MARSCHALLIN Chae Hoon
Baek, Jian-Hong Zhao,
Olivier Fillon, Lucio Prete
VIER KELLNER Hyoung-Min
Oh, Christian-Rodrigue
Moungoungou, Julien Joguet,
Frédéric Guieu
DER HAUSKNECHT
Laurent Labardesque
Maîtrise des Hauts-deSeine / Chœur d’enfants
de l’Opéra national de Paris
La création
L'œuvre à l'Opéra de Paris
Le Chevalier à la rose a été créé le 26 janvier Le Chevalier à la rose a été représenté pour
1911, à l'Opéra Royal de Dresde.
la première fois au Palais Garnier le 8 février
1927. Trois ans plus tard, le 29 octobre
L’œuvre
1930, Richard Strauss y dirigea lui-même
Après les fureurs de Salomé et d'Elektra, son opéra. Parmi les grands interprètes de
Le Chevalier à la rose revient à la tradition cette œuvre dans ce théâtre, on peut citer
viennoise de l'opéra de caractère, ce que les Lotte Lehmann, Germaine Lubin, Régine
partisans de la musique « progressiste », qui Crespin, Elisabeth Schwarzkopf, (la Maréavaient fait de Strauss un de leurs cham- chale), Risë Stevens, Suzanne Sarroca, Rita
pions, interprétèrent comme une régres- Gorr (Octavian), Janine Micheau, Lisa Della
sion. En le concevant, le compositeur et Casa, Liliane Berton (Sophie). En 1976, Rolf
son librettiste, Hugo von Hofmannsthal­
, Liebermann confiait à Horst Stein (direcentendaient revenir à l'esprit de Mozart tion musicale), Rudolf Steinboeck (mise
et le pensèrent comme une sorte de pro- en scène) et Ezio Frigerio (décors et coslongement aux Noces de Figaro. Au départ, tumes) une nouvelle production qui voyait
l'action était centrée sur la rivalité entre le les débuts de Christa Ludvig dans le rôle de
baron Ochs et Oetavian, Le chevalier à la la Maréchale. Dans cette production, reprise
rose, et sur la manière dont le jeune homme jusqu'en 1984, se sont succédé, entre
parvenait à « souffler » la jeune Sophie au autres : Arlene Saunders, Kiri Te Kanawa
grossier barbon. Le personnage de la Maré- et Elisabeth Soderström (la Maréchale),
chale, qu'Octavian­délaisse pour Sophie, n'y Yvonne Minton, Tatiana Troyanos, Brigitte
jouait qu'un rôle secondaire, mais, petit à Fassbaender et Frederica von Stade (Octapetit, il prit une telle importance que, non vian), Hans Sotin, Karl Ridderbusch et Kurt
seulement il est présent d'un bout à l'autre Moll (Ochs), Lucia Popp, Judith Blegen et
du premier acte, mais qu'il domine, même Helen Donath (Sophie).
absent, l'opéra tout entier. Du coup, la tona- L’œuvre, enfin, a fait son entrée à l'Opéra
lité de l'œuvre en a été modifiée : on est Bastille en novembre 1997, avec Renée
passé d'une allègre comédie de mœurs (où Fleming, Susan Graham, Franz Hawlata et
l'on découvre aussi l'influence des pièces Barbara Bonney, sous la direction de Edo
de Molière) à une réflexion sur le temps qui de Waart. C'est cette production qui est
passe, sur les amours qui s'éloignent, sur le proposée de nouveau aujourd'hui.
caractère éphémère des choses...
Musicalement, Le Chevalier à la rose revient
aux formes traditionnelles (comme les
valses du deuxième acte) serties dans les
dissonances de la musique de ce début
de siècle. En confiant le rôle d'Octavian à
une femme mezzo-soprano, Strauss et
Hofmannsthal ont voulu rendre hommage
aux rôles travestis du XVIIIe siècle. Le trio
final, dans lequel se mêlent les trois voix de
femmes, est une des plus belles illustrations
de l'amour que le compositeur portait à ce
type de voix.
Synopsis
qu'elle l'a laissé partir sans un baiser, elle
veut le faire rappeler par ses gens, mais il
ACTE I
est déjà loin. Elle charge son laquais de lui
La chambre de la Maréchale au petit jour
La Maréchale et son jeune amant Octavian­ porter l'écrin de la rose d'argent.
échangent des mots tendres. On apporte le
petit déjeuner. Un bruit dans l'antichambre ACTE II
fait craindre le retour de l'époux de la Chez Monsieur de Faninal
Maréchale. Mais c'est un cousin, le baron C'est l'heure de la réception du chevalier à
Ochs Von Lerchenau, qui cherche à entrer. la rose. Monsieur de Faninal se réjouit de
Octavian, n'ayant pas le temps de sortir, l'honneur qui lui est fait. Le comte Octavian­
revêt la robe de la soubrette. Le baron, Rofrano présente la rose d'argent à Sophie
séduit par ses charmes, l'empêche de de Faninal. Le dialogue s'engage entre les
partir. Ochs est venu parler de son proche deux jeunes gens qui sont aussitôt attirés
mariage avec la fille unique de Monsieur l'un par l'autre. Le comportement grossier
de Faninal, riche commerçant récemment du baron Ochs à son arrivée choque proanobli. Il demande à la Maréchale de dési- fondément Sophie. Les gens de la suite
gner l'homme digne de présenter à sa du baron ne se conduisent guère mieux.
fiancée une rose d'argent, comme le veut Quand Faninal emmène le baron pour la
une vieille coutume. La Maréchale, amusée signature du contrat de mariage, Sophie,
de voir le baron courtiser Octavian déguisé, restée seule avec Octavian, lui demande
lui propose le jeune comte Octavian­ de la protéger. Elle est bien décidée à ne
Rofrano. Elle lui montre un médaillon. Ochs pas épouser son prétendant. La converest frappé par la ressemblance du comte sation de plus en plus tendre des deux
avec la soubrette Mariandel et se montre jeunes gens est épiée par Valzacchi et
Annina, qui préviennent le baron. Octavian
d'autant plus satisfait de ce choix.
L'entretien est interrompu par l'entrée des somme le baron de renoncer à Sophie. Le
gens de la Maréchale : le notaire, le chef de ton monte. Ochs refuse tout d'abord de
cuisine, une modiste, un couple d'intrigants, prendre les provocations d'Octavian au
le coiffeur, des musiciens, etc. Trois orphe- sérieux, mais il est finalement obligé de
lines nobles présentent une requête, un dégainer son épée et Octavian le blesse
marchand d'animaux vante ses oiseaux, un au bras. Le baron hurle et tout le monde
ténor se met à chanter. Pendant ce temps, crie au scandale. Faninal renvoie Octavian
le baron Ochs et le notaire discutent avec et menace Sophie de l'envoyer au couvent
véhémence le contrat de mariage. La si elle s'oppose au mariage avec Ochs. Le
Maréchale fait sortir tout le monde. Les baron reçoit un billet doux de Mariandel,
intrigants Valzacchi et Annina offrent leurs et la perspective d'un rendez-vous lui fait
services à Ochs qui pense les utiliser pour oublier sa mésaventure.
obtenir un rendez-­vous avec Mariandel.
Restée seule, la Maréchale est prise de ACTE III
mélancolie. Elle sent venir le déclin de sa Une chambre dans une auberge.
jeunesse et pressent que son jeune amant la Valzacchi et Annina, furieux de n'avoir pas
quittera bientôt. Octavian, revenu habillé en été récompensés par le baron, sont passés
homme, proteste et l'assure de son amour. au service d'Octavian. Ils introduisent des
Elle lui demande de la laisser seule. Il sort, gens qui se cachent un peu partout pour
un peu vexé. Lorsqu'elle se rend compte surprendre le baron en compagnie de la
soi-disant soubrette. Ochs et Mariandel,
se mettent à table. Le baron, troublé par
la ressemblance avec Octavian, se sent
mal à l'aise et agite la sonnette. Annina,
dissimulée sous des vêtements de deuil,
se présente et prétend être sa femme
abandonnée. Des enfants font irruption
en criant « Papa ! Papa ! », Tout le personnel accourt. Octavian envoie chercher
Faninal. Un commissaire de police entre
et interroge le baron. Ochs prétend qu'il
est simplement en train de souper avec sa
fiancée mais Faninal et Sophie surviennent
et le scandale est complet. La Maréchale,
avertie de la situation, arrive et devine tout.
Elle fait comprendre au baron Ochs qu'il
conviendrait pour sa dignité de disparaître
promptement et il se voit contraint d'obéir.
Son départ provoque une grande agitation
parmi le personnel qui cherche à être payé.
Une fois le calme revenu, la Maréchale
reste seule avec Sophie et Octavian. Le
jeune homme ne sait que dire mais la
Maréchale a déjà compris que le jour
qu'elle redoutait était arrivé. Elle conduit
Sophie vers Octavian et se retire. Les
deux jeunes gens, restés seuls, chantent
leur bonheur.
Herbert
Wernicke
MISE EN SCÈNE, DÉCORS
ET COSTUMES
Né à Auggen (Allemagne) en 1946,
Herbert Wernicke s'est éteint le
16 avril 2002 à Bâle. Après des
études de musique et de décoration
théâtrale, il fit ses débuts en tant
que décorateur et costumier et
réalisa en 1978 sa première mise
en scène d'opéra. Très éclectique,
son travail embrassait tous les répertoires. Il travailla sur les plus
grandes scènes lyriques : Judas Maccabeus de Haendel et
Le Vaisseau fantôme au Boyerische Staatsoper, Hippolyte et Aricie,
Montezuma de Graun et Oberon au Deutsche Oper de Berlin, Der
Kreidekreis de Zemlinsky, Les Maîtres chanteurs, Le Cinesi et Echo et
Narcisse de Gluck à l'Opéra de Hambourg, un cycle baroque à
Kassel (avec, entre autres, Phaéton de Lully et Orfeo ed Euridiœ),
Les Contes d'Hoffmann et Elektra à l'Opéra de Francfort, Moïse et
Aaron au Théâtre du Châtelet, Le Château de Barbe-Bleue à
Amsterdam, la Tétralogie, La Calisto de Cavalli, Orphée aux Enfers à
La Monnaie à Bruxelles, Les Maîtres chanteurs de Nuremberg à
l'Opéra national de Paris, Orfeo de Monteverdi, Boris Godounov, Le
Chevalier à la rose, Fidelio, Don Carlos, Les Troyens au Festival de
Salzbourg, La Belle Hélène et Falstaff au Festival d'Aix­-en-Provence,
Elektra et L'Or du Rhin à Munich, Les Vêpres siciliennes et Palestrina
au Staatsoper de Vienne, Tristan et Isolde au Covent Garden de
Londres, La Femme sons ombre au Metropolitan Opera de New
York. Sa production des Troyens a été présentée à l'Opéra national
de Paris en octobre 2006. L’essentiel de l'activité artistique
d'Herbert Wernicke s'est toutefois concentrée à Bâle où, à partir
de 1984, il a mis en scène un nombre important
d'ouvrages lyriques.
RICHARD
STRAUSS
(1864-1949)
Richard Strauss est né à Munich en 1864
et mort à Garmisch-Partenkirchen en 1949.
Fils d'un célèbre corniste munichois,
Richard Strauss établit d'abord sa
réputation comme compositeur de
musique symphonique. En 1894, il dirige Tannhäuser à Bayreuth et ses
premiers opéras, Guntram et Feuersnot, sont très influencés par la
musique de Wagner. Salomé, en 1905, d’après la pièce d’Oscar Wilde, lui
apporte une célébrité autant due au caractère novateur de la musique
qu’à l’aspect sulfureux du sujet. Elektra, en 1909, marque le début d'une
longue collaboration avec le poète autrichien Hugo von Hofmannsthal et
témoigne d'une violence rarement atteinte dans le domaine de l'opéra.
Avec Le Chevalier à la rose (1911), Strauss semble s'assagir en revenant à
la tradition viennoise de l'opéra de caractère. Suivent Ariane à Naxos
(1912), La Femme sans ombre (1919), Intermezzo (1924), Hélène d'Égypte
(1928), Arabella (1933), La Femme silencieuse (1935), Friedenstag (1938),
Daphné (1938), L'Amour de Danaé (1938-1940), Capriccio (1942). Quelques
mois avant sa mort, il compose les Quatre derniers Lieder pour soprano et
orchestre.
Directeur artistique de l'Opéra de Vienne de 1919 à 1925, Richard Strauss
fut aussi un des chefs d'orchestre les plus fameux de son temps, éminent
interprète de ses propres œuvres, mais aussi des opéras de Mozart et de
Wagner. S'il ne fut pas un novateur à proprement parler, son importance,
du point de vue du style et de l'esthétique, fut cependant considérable.
STEPHANE
LISSNER
DIRECTEUR DE L'OPÉRA NATIONAL DE PARIS
Né le 23 janvier 1953 à Paris, Stéphane
Lissner a dirigé durant toute sa carrière
des théâtres, des festivals et des maisons
d’opéras en France et en Europe.
Il monte sa première pièce de théâtre à
l'âge de seize ans puis crée, à dix-huit
ans, son propre théâtre dans une salle
du 7e arrondissement de Paris, le Théâtre
Mécanique, où il travaille notamment
avec Alain Françon et Bernard Sobel
entre 1972 et 1975. Il y exerce tous les
métiers : régisseur, électricien, auteur ou
encore metteur en scène.
Il est ensuite nommé secrétaire général du
Centre dramatique national d'Aubervilliers
(1977-1978) puis codirige le Centre dramatique national de Nice jusqu'en 1983.
En 1984-1985, il enseigne la gestion des
institutions culturelles à l'université ParisDauphine. De 1984 à 1987, il dirige le festival parisien Printemps du théâtre.
Il est administrateur du Théâtre du Châtelet (Théâtre musical de Paris) dès 1983
puis en est nommé directeur général en
1988. Il le restera dix ans, tout en assumant en parallèle la direction générale de
l'Orchestre de Paris (1993-1995).
De 1998 à 2006, il prend la direction du
Festival international d'art lyrique d'Aix-enProvence. Il y crée l'Académie européenne
de Musique, conçue comme un prolongement du festival vers la pédagogie et la
promotion de jeunes talents.
Parallèlement, il co-dirige avec Peter Brook
le Théâtre des Bouffes du Nord entre 1998
et 2005. En 2002, il s'associe avec Frédéric Franck pour reprendre le Théâtre de la
Madeleine, qu'il quittera en 2011.
De 2005 à 2014, il devient surintendant et
directeur artistique du Teatro della Scala
de Milan. Il en est le premier directeur
non Italien. De 2005 à 2013, il est également directeur de la musique des Wiener
Festwochen en Autriche.
Au cours de sa carrière, il a travaillé avec
les plus grands chefs d’orchestre, metteurs
en scène ou chorégraphes parmi lesquels :
Daniel Barenboim, Pierre Boulez, William
Christie, Simon Rattle, Esa-Pekka Salonen… ;
Luc Bondy, Stéphane Braunschweig, Patrice
Chéreau, Klaus-Michael Grüber, Claus Guth,
Mario Martone, Peter Sellars, Peter Stein,
Dmitri Tcherniakov, Robert Wilson… ; Pina
Bausch, William Forsythe…
Nommé directeur délégué de l’Opéra
national de Paris en octobre 2012, il a pris
ses fonctions le 1er août 2014.
Stéphane Lissner est chevalier de la
Légion d'honneur, officier de l'Ordre National du mérite et de l'Ordre du Mérite de la
République italienne. PHILIPPE
JORDAN
DIRECTEUR MUSICAL
Directeur Musical de l’Opéra national de
Paris et Directeur Musical des Wiener Symphoniker depuis de la saison 2014-2015,
Philippe Jordan est déjà reconnu comme
l’un des chefs d’orchestre les plus doués et
les plus passionnants de sa génération. Il
prend à 6 ans sa première leçon de piano.
À 8 ans, il rejoint les Zürcher Sängerknaben et à 11 ans commence le violon. En
1994, à l’âge de 16 ans, il entre au conservatoire de Zurich où il obtient le diplôme
de professeur de piano avec mention. Il
étudie parallèlement avec le compositeur
suisse Hans Ulrich Lehmann et continue
ses études de piano auprès de Karl Engel.
Dans la même période, il travaille comme
assistant de Jeffrey Tate sur le Ring de
Wagner présenté au Théâtre du Châtelet.
Philippe Jordan commence sa carrière
comme Kapellmeister au Stadttheater
d’Ulm en 1994-1995. De 1998 à 2001, il est
assistant de Daniel Barenboim à la Deutsche
Staatsoper de Berlin. De 2001 à 2004, il est
Directeur musical de l’Opéra de Graz et de
l’Orchestre Philharmonique de Graz, puis de
2006 à 2010 principal chef invité à la Staatsoper Unter den Linden Berlin.
Pendant ce temps, il fait ses débuts dans les
plus importants opéras et festivals internationaux comme le Semperoper de Dresde, le
Royal Opera House Covent Garden, l'Opéra
de Zurich, la Wiener Staatsoper, le Metropolitan Opera New York, le Théâtre royal de La
Monnaie de Bruxelles, le Teatro alla Scala de
Milan, la Bayerische Staatsoper de Munich,
le Festival de Bayreuth, le Festival de Glyndebourne, le Salzburger Festspiele et le Festival d’Aix-en-Provence.
En concert, Philippe Jordan a dirigé les Berliner Philharmoniker, le Philharmonia Orchestra de Londres, l'Orchestre de Chicago,
l'Orchestre de Cleveland, l’Orchestre de Philadelphie, le National Symphony de Washington, l'Orchestre Philharmonique de New
York, les Wiener Philharmoniker, la Staatskapelle de Berlin, le NDR Hamburg, le DSO
Berlin, le Filarmonica della Scala, l’Accademia Nazionale di Santa Cecilia de Rome,
l’Orchestre Philharmonique de Radio France,
l’Orchestre Gustav Mahler des Jeunes et
le Tonhalle de Zurich. Il se produit régulièrement en tant que pianiste en récitals et
musique de chambre.
Au cours de la saison 2014/15, Philippe
Jordan se consacre entre autres, avec les
Wiener Symphoniker, à un cycle intégral des
symphonies de Schubert, à des compositions contemporaines et aux grands oratorios de Bach. À l’Opéra national de Paris, il
dirige les nouvelles productions de L’Enlèvement au sérail et du Roi Arthus, la reprise de
Pelléas et Mélisande ainsi que l’intégrale des
symphonies de Beethoven. Il sera présent au
Bayerische Staatsoper de Munich avec une
nouvelle production d’Arabella et une reprise
de Tristan et Isolde.
Philippe Jordan a enregistré en DVD Werther
(Wiener Staatsoper), Doktor Faust (Opernhaus Zurich), Salomé (Covent Garden), Les
Noces de Figaro (Opéra national de Paris).
Il a également enregistré l’intégrale des
concertos pour piano de Beethoven avec
François-Frédéric Guy et l’Orchestre Philharmonique de Radio France ainsi que
Pelléas et Mélisande avec l’Orchestre
de l’Opéra national de Paris (Naïve), le
Requiem de Verdi et des extraits symphoniques du Ring des Nibelungen (Erato/
Warner Classics). Pour ces trois derniers
enregistrements, il a été nommé « Artiste
de l’année – Classica 2013 ».
En septembre 2014 il a enregistré en CD la
symphonie Pathétique de Tchaïkovski avec
les Wiener Symphoniker.
Durée des spectacles *
OPÉRA
MADAMA BUTTERFLY
PLATÉE
DON GIOVANNI
MOSES UND ARON
L’ELISIR D’AMORE
LE CHÂTEAU DE BARBEBLEUE / LA VOIX HUMAINE
LA DAMNATION DE FAUST
WERTHER
CAPRICCIO
IL TROVATORE
IL BARBIERE DI SIVIGLIA
DIE MEISTERSINGER VON
NÜRNBERG
IOLANTA / CASSE-NOISETTE
RIGOLETTO
DER ROSENKAVALIER
LEAR
LA TRAVIATA
AIDA
BALLET
BALANCHINE / MILLEPIED /
ROBBINS
ANNE TERESA DE
KEERSMAEKER
LA BAYADÈRE
WHEELDON / MCGREGOR /
BAUSCH
BATSHEVA DANCE COMPANY
BEL / MILLEPIED / ROBBINS
IOLANTA / CASSE-NOISETTE
ROMÉO ET JULIETTE
RATMANSKY / BALANCHINE /
ROBBINS / PECK
SPECTACLE DE L'ÉCOLE DE
DANSE
LES APPLAUDISSEMENTS
NE SE MANGENT PAS
GISELLE
ENGLISH NATIONAL BALLET
PECK / BALANCHINE
FORSYTHE
1re PARTIE
ENTRACTE
2e PARTIE
19.30 - 20.25
19.30 - 20.45
19.30 - 21.05
19.30 - 21.15
19.30 - 20.45
30'
30'
35'
20.55 - 22.25
21.15 - 22.20
21.40 - 23.10
30'
21.15 - 22.15
ENTRACTE
3e PARTIE
TOTAL
2h55
2h50
3h40
1h45
2h45
1h55
19.30 - 21.25
19.30 - 20.40
19.30 - 20.15
19.30 - 22.00
19.30 - 20.45
19.30 - 21.05
30'
20'
21.10 - 22.20
20.35 - 21.10
30'
30'
21.15 - 22.25
21.35 - 22.35
17.30 - 18.55
45'
19.00 - 20.10
19.30 - 20.30
19.00 - 20.15
19.30 - 20.55
19.30 - 20.05
19.30 - 20.45
30'
30'
30'
30'
30'
30'
1re PARTIE
2h50
3h05
2h30
2h55
3h05
25'
21.35 - 22.35
19.40 - 20.40
30'
21.10 - 23.15
5h45
20.40 - 21.55
21.00 - 22.05
20.45 - 21.40
21.25 - 22.30
20.35 - 21.40
21.15 - 22.20
20'
22.15 - 23.05
25'
22.05 - 23.05
25'
22.05 - 22.40
4h05
2h35
4h05
3h00
3h10
2h50
ENTRACTE
2e PARTIE
ENTRACTE
3e PARTIE
20.30 - 21.00
25'
21.25 - 22.20
1h50
19.30 - 20.25
20'
20.45 - 21.15
1h45
19.30 - 20.20
20'
20.40 - 21.20
20'
21.40 - 22.20
2h50
19.30 - 20.00
20'
20.20 - 20.50
20'
21.10 - 21.40
2h10
19.30 - 20.30
19.30 - 20.00
19.00 - 20.10
19.30 - 20.30
20'
30'
20'
20.20 - 20.50
20.40 - 21.55
20.50 - 21.20
20'
20'
20'
21.10 - 22.30
22.15 - 23.05
21.40 - 22.30
1h00
3h00
4h05
3h00
19.30 - 20.20
20'
20.40 - 21.15
1h45
19.30 - 20.25
20'
20.45 - 21.30
2h00
20'
20'
20'
20'
20.40 - 21.35
20.30 - 21.00
20.15 - 21.00
20.15 - 20.40
1h05
19.30 - 20.35
19.30 - 20.20
19.30 - 20.10
19.30 - 19.55
19.30 - 19.55
TOTAL
20'
21.20 - 21.50
20'
21.00 - 21.25
Minutages sans applaudissement - *Horaires susceptibles d'être modifiés. Les nouveaux spectacles
Attention : L'heure de début de certains spectacles varie en fonction des jours de la semaine. Veuillez vous référer à l'heure de vos billets
2h05
2h20
1h30
1h55

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