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Dan Flavin, untitled (to Donna) 5a, 1971. Tubes fluorescents, métal peint, 244 x 244 x 139 cm. Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris.
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Philippe Migeat © ADAGP, Paris 2014
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Responsable du pôle
Communication et Développement
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Chargée de communication et presse
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Claudine Colin Communication
Diane Junqua
+33 (0)1 42 72 60 01
[email protected]
PHARES
DOSSIER DE PRESSE
14.02.14 > 2016
centrepompidou-metz.fr
Phares
Sommaire
1. Présentation Générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02
2. Parcours .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 04
3. Liste des artistes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
4. Générique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
5. Les partenaires.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
6. Visuels Presse.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
7. Chiffres clé du Centre pompidou-Metz. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
1
Phares
1.
Présentation générale
Phares
Du 14 février 2014 à 2016
Grande Nef
« Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes,
Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum,
Sont un écho redit par mille labyrinthes ;
C'est pour les cœurs mortels un divin opium !
C'est un cri répété par mille sentinelles,
Un ordre renvoyé par mille porte-voix ;
C'est un phare allumé sur mille citadelles,
Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois ! »
Charles Baudelaire, « Les Phares » (extrait), Les Fleurs du Mal, 1857
Entièrement fondée sur des prêts de la collection du
Centre Pompidou/Musée national d’art moderne, l'exposition
Phares met en valeur une sélection de chefs-d’œuvre
rarement montrés au public en raison de leur format
monumental.
Affranchi de toute chronologie, le parcours permet de
redécouvrir des mouvements artistiques majeurs de
l’histoire de l’art depuis le début du xxe siècle, de Pablo
Picasso à Anish Kapoor en passant par Sam Francis, Joseph
Beuys et Dan Flavin.
Une publication accompagnera l’exposition (parution été
2014).
Commissaires :
Claire Garnier, commissaire d’expositions, chargée de
mission auprès du Directeur, Centre Pompidou-Metz.
Elle a été co-commissaire de l'exposition 1917 et
commissaire de l'exposition Parade (Centre PompidouMetz, 2012).
Élodie Stroecken, commissaire d’expositions, chargée
de coordination du pôle programmation, Centre
Pompidou-Metz.
Elle sera co-commissaire de l’exposition Tania Mouraud
(Centre Pompidou-Metz, 2015).
2
Phares
Des cycles thématiques rythmeront les deux années de
présentation de l’exposition. Différents thèmes seront ainsi
successivement abordés en 2014 : le geste, l’ombre et la
lumière, la figuration et l’abstraction.
La mÉDIATION
LE SPECTACLE VIVANT
Des cartels enfants
Le dispositif de médiation entrera en résonance avec les
spectacles et manifestations qui se joueront dans l’espace
monumental de la Grande Nef à partir de l’automne 2014.
Un dispositif de médiation accompagne l’exposition, avec,
outre la mise en place de cartels développés pour chaque
œuvre, la réalisation de cartels spécifiques à destination des
jeunes publics. Facilement repérables et lisibles, employant
une forme et un ton adaptés, ils permettent aux enfants de
participer activement à la visite de Phares en découvrant les
œuvres de manière sensible, didactique et ludique, à travers
des anecdotes, des questionnaires, des devinettes ou la
réalisation de petites expériences.
Les cycles thématiques épouseront la saisonnalité du
spectacle vivant. Des temps forts – créations, rendez-vous –
en lien étroit avec les thèmes abordés se tiendront au sein
même de l’espace d’exposition : conférences, performances,
spectacles de danse…
Les artistes seront invités à se produire au cœur de la
Grande Nef, créant ainsi la surprise en allant à la rencontre
du public.
Des visites thématiques
Suivant le principe des « visites régulières » du Centre
Pompidou-Metz, qui ont lieu chaque samedi, des visites
guidées d’une durée d’une heure sont consacrées à
l’exposition Phares, adoptant la forme d’un parcours
thématique commenté par un médiateur conférencier.
Un corpus documentaire
À partir de juin 2014, un riche corpus documentaire,
constitué de photographies, de vidéos d’archives, de
témoignages et de citations d’artistes viendra se substituer
aux cartels développés afin de permettre aux visiteurs
d'approfondir la découverte des œuvres et de leur contexte
de création.
3
Phares
2.
parcours de l'exposition
Phares
Plan de la Grande Nef
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4
Phares
Les cartels d'œuvres qui suivent sont présentés dans
l'ordre du parcours de l'exposition.
Joan Miró (1893-1983)
Personnages et oiseaux dans la nuit, 1974
Huile sur toile, 274,5 × 637 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de l'artiste, 1977
AM 1977-223
Joseph Beuys (1921-1986)
Infiltration homogen für Konzertflügel [Infiltration
homogène pour piano à queue], 1966
Piano, feutre, tissu, 100 × 152 × 240 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1976
AM 1976-7
Cette œuvre monumentale est présentée pour la première
fois lors d’une rétrospective consacrée à Joan Miró au
Grand Palais à Paris en 1974, année de sa création.
Le peintre catalan choisit de montrer, pour cette
exposition, ses œuvres les plus récentes en écho à ses
toiles historiques. Artiste accompli, il s’expose alors
véritablement au public, dans la plénitude de son art.
Son vocabulaire pictural se déploie majestueusement
dans Personnages et oiseaux dans la nuit. À partir de son
univers, Miró crée des compositions inédites en combinant
à l’infini des signes, qui se transforment au gré de leurs
rencontres imprévisibles. Dans un souci d’équilibre,
ses œuvres sont imaginées de manière compensatoire,
couleurs et signes se répondant harmonieusement.
Élément caractéristique de la composition du tableau, le
noir envahit l’espace pictural et confère à l’œuvre une
atmosphère énigmatique. La couleur, déposée dans un
second temps, épouse quant à elle le rythme du dessin
sombre.
La Peau, 1984
Feutre, tissu
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1985
AM 1985-23
En 1962, alors qu’il exerce en tant que professeur de
sculpture monumentale à l’Académie des Beaux-Arts de
Düsseldorf, Joseph Beuys se rapproche des protagonistes
du mouvement Fluxus avec lesquels il réalise plusieurs
performances. Infiltration homogène pour piano à queue
résulte de l’une d’entre elles. Beuys la réalise en juillet
1966 après avoir interrompu un concert de Nam June
Paik et Charlotte Moorman. Il fait entrer dans la salle un
imposant piano à queue, intégralement recouvert de feutre,
matériau isolant à la charge symbolique extrêmement
forte dans sa vie et sa pratique artistique. Le sous-titre
de l’œuvre, Le plus grand compositeur contemporain est
l’enfant thalidomide, fait référence à l’un des scandales
pharmaceutiques majeurs de la seconde moitié du xxe
siècle et constitue à cet égard un exemple éloquent de
la notion de « sculpture sociale » telle que Beuys la
développera plus tard. La thalidomide était un médicament
prescrit aux femmes enceintes à partir des années 1950
qui a donné lieu à un grand nombre de malformations
chez les nouveau-nés. Ce piano, flanqué de deux croix
rouges, symboles d’urgence, et dont l’apparence ainsi que
le fonctionnement normal sont entravés par cette épaisse
peau grise, devient le symbole de ces enfants sacrifiés et
de leurs familles, condamnées au silence.
L’œuvre a fait l’objet de deux interventions de l’artiste afin
de réparer sa fragile enveloppe, en 1976 et 1984. C’est à
l’issue de cette seconde restauration qu’il décide d’exposer
La Peau à proximité du piano, assumant l’idée du temps
qui passe et de son impact sur la vie des œuvres.
Yan Pei-Ming (né en 1960)
Survivants, 2000
Huile sur toile
Polyptyque (7 panneaux, 230 × 390 cm chaque)
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 2003
AM 2003-209
L’artiste franco-chinois Yan Pei-Ming obtient la
reconnaissance internationale grâce à son renouvellement
du portrait, ne répondant pas aux critères de ressemblance
et d’identification généralement attribués à ce genre.
Hérité de ses premières œuvres monumentales respectant
l’esthétique de la propagande maoïste, ce format inhabituel
propose au regardeur de pénétrer dans les visages
comme dans un paysage. Afin de traduire l’universalité de
l’humanité, son médium de prédilection est la peinture,
qui requiert le « minimum de moyens pour un maximum
d’effet ». Son geste vif et spontané ainsi que la bichromie
intensifiant les traits contrastent avec le rendu nuancé
réaliste. Les césures entrecoupant cette série ouvrent
quant à elles un espace de liberté à l’imaginaire de
l’observateur. Ces sept panneaux ont été commandés en
2000 lors de l’exposition Épiphanies au centre d’art sacré à
Évry, le titre évoquant les réflexions de l’artiste sur la vie
après la mort.
5
Phares
Simon Hantaï (1922-2008)
Tabula, 1974
Peinture acrylique sur toile, 300 × 574 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de Jean Fournier, 1978
AM 1978-231
Robert Delaunay (1885-1941)
Entrée du Hall des réseaux du palais des Chemins de fer,
1937
4 reliefs peints sur bois, 800 × 400 cm chaque
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Donation Sonia Delaunay et Charles Delaunay, 1964
AM 1364 S (1 à 4)
À partir de 1960, Simon Hantaï expérimente une nouvelle
méthode de travail, en froissant la toile et en la recouvrant
de couleur avant de la déplier. Le peintre hongrois, installé
à Paris depuis 1948, introduit ainsi dans sa démarche la
notion de hasard et crée « les yeux fermés ». Son geste ne
se révèle désormais qu’au moment du dépliage, la peinture
participant à sa propre création. L’abstraction pure et
minimaliste de Tabula, issue de l’ultime série d’œuvres de
Hantaï, est équilibrée par l’obsession géométrique inspirée
du souvenir d’enfance des carreaux du tablier de sa mère.
La technique employée révèle également un motif poétique
que l’artiste qualifiera lui-même d’« étoilement », plus
ou moins apparent selon la délicatesse ou la vigueur avec
laquelle il réalise son œuvre. Symbolisant le pliage, la
rencontre des angles de chaque carré insuffle un véritable
rythme chorégraphique à la toile, scandée par la présence
d’intervalles blancs dont la luminosité contraste avec les
zones peintes.
Cette œuvre a été réalisée à l’occasion de l’Exposition
internationale de 1937 à Paris. Après avoir fait l’expérience
des limites de la peinture de chevalet, Robert Delaunay
explore le format monumental offert par les fresques
murales. Leurs dimensions imposantes ainsi que leur lieu
d’exposition ouvert au public offrent une large visibilité,
épousant l’ambition sociale que le peintre vouait à l’art.
Ces quatre panneaux décoratifs illustrent également la
volonté de Delaunay d’unir les inspirations créatrices
de l’architecture et de la peinture en une synthèse
harmonieuse des arts, afin de contribuer à une œuvre
totale. L’iconographie synthétique du transport ferroviaire
apparaît au cœur de cet ensemble en relief, qui déploie
les disques colorés et les rythmes abstraits propres aux
compositions de l’artiste. Le mouvement hélicoïdal suggéré
par les formes géométriques constitue par ailleurs un
hommage au progrès technologique incarné alors par Paris,
cité historique et ville de toutes les modernités.
Pablo Picasso (1881-1973)
Rideau de scène pour le ballet Mercure, 1924
Peinture à la colle sur toile, 392 × 501 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1955
AM 3377 P
Louise Nevelson (1899-1988)
Reflexions of a Waterfall I [Reflets d'une chute d'eau I],
1982
Bois peint, miroirs, 280 × 447 × 42 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de M. Arnold Glimcher, 1985
AM 1985-504
En 1924, après avoir travaillé pour les Ballets russes de
Serge de Diaghilev, et notamment pour Parade (1917),
Picasso réalise les décors et costumes du ballet Mercure,
dont la musique est conçue par Erik Satie, le thème et
la chorégraphie par Léonide Massine, alors séparé de
Diaghilev. Mercure est créé le 15 juin 1924 au théâtre de
la Cigale dans le cadre des « Soirées de Paris », série
d’événements privés organisés par le comte Étienne de
Beaumont.
Mercure consiste en une suite de scènes burlesques
regroupées en trois tableaux qui tiennent plus de la
pantomime que de la danse ; le ballet était d’ailleurs
sous-titré Poses plastiques. Les aventures parodiques
du dieu Mercure confronté aux hommes ont été conçues
par Massine dans un esprit proche du style forain et il
s’agissait avant tout d’une fantaisie. Selon les critiques
de l’époque, l’intervention de Picasso prévalait sur les
créations de Satie et Massine. Pour le rideau de scène,
Picasso a choisi de représenter Arlequin et Pierrot, deux
personnages de la commedia dell’arte récurrents dans son
œuvre.
Originaire de Russie, Louise Nevelson émigre aux ÉtatsUnis en 1905. Cet empilement évoque à la fois les volumes
cubistes étudiés dans sa jeunesse et la verticalité de
l’architecture de sa ville d’adoption, New York. À la
suite d’un voyage à Mexico en 1950 au cours duquel elle
découvre les façades géométriques des temples ainsi
que les fresques murales, l’artiste entame une série de
sculptures monumentales juxtaposant verticalement
des boîtes rectangulaires. Ses œuvres sont composées
d’assemblages de morceaux de bois récupérés peints en
noir qui « contient toutes les couleurs » et masque ainsi
l’origine des différents fragments. Le noir unifie l’ensemble
au sein d’un environnement architectural, créant une
atmosphère enveloppant le visiteur. Les miroirs qui
parsèment l’œuvre permettent par ailleurs de jouer sur les
ombres et reflets et intensifient l’illusion d’une chute d’eau.
6
Phares
Fernand Léger (1881-1955)
Composition aux deux perroquets, 1935-1939
Huile sur toile, 400 × 480 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de l'artiste, 1950
AM 3026 P
Frank Stella (né en 1936)
Polombe, 1994
Acrylique sur toile, 335 × 960 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1996
AM 1996-395
Lors des études préparatoires pour la Composition aux
deux perroquets, Fernand Léger cherche à ajouter entre
les mains de ses personnages un élément qui équilibrerait
la composition. La loi des contrastes, qu’il tente alors
de déployer, est illustrée par le choix de ces oiseaux
bariolés qui forment un îlot chromatique en rupture avec
les tons plus sombres dominant la composition. De la
même manière, les personnages représentés frontalement
s’opposent aux formes géométriques ou organiques et les
figures humaines imposantes dénotent avec la légèreté
paradoxale qui règne sur la toile. Les éléments constitutifs
du tableau – les personnages, les perroquets comme les
nuages – sont combinés selon leurs qualités visuelles.
Les aplats de couleurs pures sont ainsi délimités par les
lignes noires et les formes visiblement soulignées par
le dessin. Par ailleurs, cette œuvre immense reprend le
format monumental privilégié par Léger, qui souhaitait que
son « tableau commande la pièce ». La Composition aux
deux perroquets a été présentée dans plusieurs villes des
États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, avant
d’être offerte par l’artiste au Musée national d’art moderne
en 1950.
Artiste du minimalisme américain, Frank Stella prône dans
les années 1960 une grande radicalité dans le traitement
de la peinture. Il réalise alors des œuvres de grand
format, les shaped canvases (toiles découpées), où le motif
géométrique déployé détermine la forme du tableau. Sa
pratique connaît un bouleversement décisif dans les années
1970, lorsqu’il introduit des formes courbes et en relief
métallique dans sa peinture, frôlant alors la sculpture.
Dans les années 1990, il amorce une étape supplémentaire
avec la série des Imaginary Places (Lieux imaginaires)
dont Polombe fait partie. Témoin de la complexification de
son répertoire, cette œuvre présente un enchevêtrement
de formes issues de références personnelles, retravaillées
par l’outil informatique dont on devine l’usage par la
vectorisation de certaines d’entre elles, qui paraissent
encore au stade de l’ébauche. Beaucoup de ses œuvres
trouvent leur inspiration dans la littérature classique
ou l’histoire. Ainsi, le titre Polombe évoque une cité
imaginaire issue d'un célèbre récit du xive siècle, le Livre
des Voyages de Jean de Mandeville.
Claude Viallat (né en 1936)
Orangé, formes bleu clair, 1970
Colorants et résine acrylique sur toile, 1233 × 200 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat de l'État, 1971 ; attribution au Musée national
d'art moderne, 2008
AM 2009-487
Pierre Soulages (né en 1919)
Peinture 202 x 453 cm, 29 juin 1979, 1979
Huile sur toile (diptyque), 202 × 453 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1980
AM 1980-45
Enfant, Pierre Soulages dessina un paysage enneigé à
l’encre de Chine, contrastant avec le blanc du papier. Il
restera dès lors fidèle au noir, tentant inlassablement
d’en révéler les infinies variations et intensités. Chaque
création s’inscrit dans une unité dont la temporalité
est soulignée par son titre, dévoilant son format et sa
date d’achèvement. Appréhendées comme des objets,
ces peintures explorent la matérialité du médium, sans
se soucier d’exprimer les états d’âme de l’artiste et en
évacuant toute interprétation du geste. C’est en 1979, à
l’occasion de l’exposition Soulages, peintures récentes au
Centre Pompidou, qu’il dévoile au public ses premières
toiles « outrenoires », terme employé par l’artiste luimême à partir de 1990 et désignant « un espace ‘’autre’’,
devant la toile même ». Peinture 202 x 453 cm, 29 juin 1979
fait partie de cet ensemble qui incarne une réinvention
dans son œuvre. « Couleur de lumière » selon Soulages, le
noir est sublimé par l’observation active du regardeur qui
modifie la perception du pigment à mesure qu’il se déplace
en contemplant la toile.
Claude Viallat fut l’un des protagonistes du groupe
Supports/Surfaces, mouvement majeur de l’avant-garde
française des années 1970. À partir de 1966, il systématise
une pratique qui constitue désormais sa « marque de
fabrique ». Alors que la scène artistique française est
dominée par l’École de Paris, les Nouveaux Réalistes et la
Figuration Narrative, Viallat entreprend de s’inscrire dans
une logique à contre-courant de la peinture classique.
C’est alors qu’il la déconstruit en remettant en question ses
éléments les plus fondamentaux : la couleur, le pinceau, le
châssis, le chevalet ou encore la toile tendue. Une forme
de désapprentissage s’amorce ainsi qu’une remise en
question totale de sa pratique. Il trouve dans le principe
du système une contrainte salvatrice et crée ensuite cette
forme caractéristique qu’il applique sur la toile à l’aide
d’une plaque de mousse dans un premier temps puis d’un
pochoir en carton. Elle n’est « ni figurative, ni organique,
ni géométrique, ni symbolique » et en cela, elle interdit
tout écart vers l’imaginaire.
7
Phares
Sam Francis (1923-1994)
In Lovely Blueness (No. 1) [En bleu adorable (n° 1)],
1955-1957
Huile sur toile, 300 × 700 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de la Scaler Foundation avec la contribution d’Éric
et Sylvie Boissonnas, 1977
AM 1977-207
Jean Degottex (1918-1988)
Aware II, 28.3.1961, 1961
Huile sur toile, 202 × 350 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat de l'État, 1972 ; attribution au Musée national
d’art moderne, 1975
AM 1975-262
Au cours d’un séjour à Portsall dans le Finistère lors de
l’été 1954, Jean Degottex peint sur le motif le littoral
breton. L’artiste autodidacte abandonne alors toute
volonté de représentation au profit d’une interprétation du
paysage comme support de méditation. André Breton lui
transmet sa passion pour la culture orientale à la même
époque. Influencé par la calligraphie japonaise et chinoise,
Degottex délie son écriture d’un trait vif et assuré, que
l’observateur peut retracer en suivant la courbe des
signes. Pour la première fois, l’artiste peint sur une toile
de taille monumentale, qui traduit l’engagement absolu
de son corps et de son esprit. Le titre de l’œuvre fait
d’ailleurs référence au « Furyu », un ensemble de principes
d’élégance, de finesse et de beauté définissant l’état
d’esprit Zen. Parmi les quatre états fondamentaux de cette
doctrine philosophique, Aware évoque la conscience du
caractère éphémère des choses.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, des bourses
d'études destinées aux anciens GI américains sont mises
en place et permettent à de nombreux jeunes de traverser
l’Atlantique afin de se former auprès d’artistes français.
C’est par ce biais que Sam Francis arrive à Paris en
1950 alors que l’abstraction lyrique et l’art informel sont
omniprésents. Au cours des années 1950, un groupe se
forme autour du critique Georges Duthuit, gendre de
Matisse, et compte parmi ses rangs Francis. Il développe
dans un premier temps une série de peintures blanches,
résultant de sa découverte de la lumière méditerranéenne
dans le sud de la France. Dès lors, la couleur est au cœur
de ses préoccupations. In Lovely Blueness est traversée
par l’influence des voyages qu’il effectue au cours de
ses années parisiennes. La décomposition en cellules
colorées de sa peinture lui est inspirée par les mosaïques
byzantines vues en Italie et son intérêt tout particulier
pour le blanc est éveillé au Japon. Prélude de ses toiles
bleues des années 1960 ainsi que de l’apparition de très
grands formats, cette œuvre inspirée par le poème de
Friedrich Hölderlin In lieblicher Bläue…, clôt le séjour en
France de Francis.
Pierre Alechinsky (né en 1927)
Le Monde perdu, 1959
Huile sur toile, 204 × 308 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1990
AM 1990-321
Joan Mitchell (1926-1992)
La Grande Vallée XIV (For a Little While) [La Grande
Vallée XIV (Pendant un petit moment)], 1983
Huile sur toile (triptyque), 280 × 600 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Dation, 1995
AM 1995-172
Membre actif du mouvement CoBrA (acronyme de
Copenhague, Bruxelles, Amsterdam) entre 1949 et 1951,
Pierre Alechinsky s’initie par la suite à l’art chinois de la
peinture. Abandonnant son chevalet, l’artiste pose la toile
à plat, à même le sol. Sa position nouvelle, en surplomb,
invite son corps à se déployer, libérant le pinceau. Lors de
son unique voyage au Japon en 1955, Alechinsky découvre
la philosophie Zen et la discipline calligraphique. Dès
lors, il transpose cette maîtrise picturale dans ses travaux
à l’encre de Chine comme à l’acrylique, d’éclaboussures
en traits cursifs. La technique employée dans cette huile
sur toile, dont la texture rappelle la finesse du papier,
adopte la souplesse, l’amplitude et la rapidité du geste
propres à la calligraphie. Des arabesques peuplent ainsi la
composition, construite autour de la fenêtre centrale. Enfin,
l’influence littéraire de ce « peintre écrivant » est illustrée
par le choix du titre de l’œuvre, inspiré du célèbre roman
d’aventures d’Arthur Conan Doyle Le Monde perdu.
Joan Mitchell étudie à l'Art Institute de Chicago et y
découvre la peinture de Paul Cézanne, Édouard Manet
et Pablo Picasso, dont l'influence se révèlera sur sa
pratique. Rattachée à la seconde génération des peintres
expressionnistes abstraits de l'École de New York,
elle n’est à proprement parler ni peintre abstraite, ni
paysagiste et privilégie l'expression de sentiments et de
souvenirs personnels dans sa peinture. À la recherche
d’une distance salvatrice vis-à-vis de l’agitation de la
scène artistique américaine de l’époque, elle s'installe en
France en 1959, pour ne jamais la quitter. Elle se retire en
1968 à Vétheuil dans le berceau des impressionnistes où
elle achète une maison qui domine la vallée de la Seine
et consacre tout son temps à la peinture. Le triptyque
intitulé La Grande Vallée XIV est issu d'une série de
toiles du même nom que l'artiste réalise entre l'automne
1983 et l'été 1984, et fait référence au deuil de sa sœur
décédée peu de temps auparavant. Mitchell veut peindre le
« sentiment d'un espace », celui de l’enfance partagée avec
cet être cher, offrant une traduction colorée et gestuelle
d'expériences sensorielles et émotionnelles.
8
Phares
Robert Irwin (né en 1928)
Sans titre, 1967-1968
Peinture acrylique sur disque en Plexiglas, 4 lampes,
diamètre du disque 137,5 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1981
AM 1981-254
Anish Kapoor (né en 1954)
Sans titre, 2008
Fibre de verre, résine et peinture, profondeur 150 cm,
diamètre 302 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de la Société des Amis du Musée national d'art
moderne, 2008
AM 2008-149
À la suite des Dots Paintings, ensemble de toiles aux bords
recourbés, Robert Irwin s’interroge sur la nécessité en
peinture de s’exprimer dans les limites d'un cadre. La série
des Discs, dont fait partie l'œuvre présentée ici, joue sur
l'illusion de la dissolution d'un cercle de plexiglas convexe
sur son mur d'accroche. Robert Irwin réussit à éliminer
une nouvelle fois les quatre angles de sa « peinture », qui
irradie en son centre et forme une rosace lumineuse aux
contours flous. Le regardeur, plongé dans une expérience
sensorielle inattendue, ne peut déterminer si cette forme
ronde originelle est concave, convexe ou plane, ni à
quelle distance elle se situe exactement. Cette œuvre
évanescente, dont le matériau premier est la lumière,
répond à l’ambition du mouvement californien Light and
Space, qui éclot à la fin des années 1960 et tend vers la
dématérialisation de l’œuvre d’art. L'ensemble des Discs
(1966-1969) constitue la dernière entreprise picturale
de l'artiste avant qu'il ne s'engage dans la création
d'environnements perceptifs et d'installations contextuelles
(site specific), basés sur l’expérience du public.
Anish Kapoor, artiste britannique d’origine indienne
qui se considère autant sculpteur que peintre, a acquis
la reconnaissance internationale grâce à ses œuvres
composées de formes géométriques recouvertes de
pigments purs. La dimension spirituelle de son œuvre
réside dans sa quête d’un monde poétique infini audelà du visible, qui émergerait au cœur de notre espace
matériel. Cette œuvre réfléchissante, minutieusement polie,
participe à cette réflexion en renversant littéralement
l’espace environnant. L’expérience sensorielle résultant de
l’utilisation du miroir concave bouleverse profondément
notre perception et parvient à rendre visible le vide. Ces
miroirs non narcissiques, au lieu de renvoyer une image
mimétique de la réalité, exaltent les distorsions et les
illusions, en jouant sur les rapports entre vide et plein,
intérieur et extérieur, matériel et immatériel. L’artiste
souligne également les propriétés réfléchissantes de
l’œuvre en employant un rouge profond, permettant
simultanément d’absorber et de refléter la lumière.
Dan Flavin (1933-1996)
untitled (to Donna) 5a, 1971
Tubes fluorescents, métal peint, 244 × 244 × 139 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de Leo Castelli par l'intermédiaire de la Georges
Pompidou Art and Culture Foundation, 1977
AM 1977-210
Figure de l'art minimal américain, Dan Flavin développe un
nouveau langage plastique qui contribuera à sa renommée
à partir de 1963, en réalisant des œuvres exclusivement
à partir de tubes fluorescents. Il atteint alors un degré
d’épure inédit en faisant appel à un matériau industriel. À
la frontière entre peinture et sculpture, ses compositions
lumineuses s’intègrent dans des espaces spécifiques et
parfois inhabituels. Exemple de cet art « situationnel »,
untitled (to Donna) 5a est issue d'une série d’œuvres
disposées dans l'angle formé par deux murs, doublant ainsi
les surfaces de réflexion de la lumière. Les deux sens de
diffusion (vers le mur et vers le spectateur) aplatissent le
volume en creux du coin de murs d’un côté et remodèlent
l’espace d’exposition de l’autre. Depuis ses débuts, Flavin
a coutume de dédier ses œuvres à des poètes, des artistes
ou encore aux personnes qui œuvrent dans les coulisses
du monde de l’art. Donna, à qui cette œuvre fait référence,
serait une jeune femme qui travaillait au sein de sa galerie
new-yorkaise au moment de la création de l’œuvre. « 5a »
constitue le numéro de cette œuvre précise dans la série
dont elle est issue.
9
Phares
3.
Liste des artistes
Pierre ALECHINSKY (né en 1927)
Joseph BEUYS (1921-1986)
Jean DEGOTTEX (1918-1988)
Robert DELAUNAY (1885-1941)
Dan FLAVIN (1933-1996)
Sam FRANCIS (1923-1994)
Simon HANTAÏ (1922-2008)
Robert IRWIN (né en 1928)
Anish KAPOOR (né en 1954)
Fernand LÉGER (1881-1955)
Joan MIRÓ (1893-1983)
Joan MITCHELL (1926-1992)
Louise NEVELSON (1899-1988)
Pablo PICASSO (1881-1973)
Pierre SOULAGES (né en 1919)
Frank STELLA (né en 1936)
Claude VIALLAT (né en 1936)
yan PEI-MING (né en 1960)
10
Phares
4.
Générique
L'exposition Phares est fondée uniquement sur des prêts des collections
du Centre Pompidou/Musée national d’art moderne.
Commissaires
Claire Garnier
Élodie Stroecken
Chef de projet
Julie Schweitzer
Recherches documentaires
Mélissa Hiebler
Scénographie
Studiolada Architectes : Christophe Aubertin
assisté de Simon Perdereau
La scénographie a été réalisée à partir
d’éléments originaux conçus par Nicolas Groult
et Sylvain Roca pour l’exposition Vues d’en haut.
Conception lumière
Julia Kravtsova et Vyara Stefanova
Conception graphique
Nicolas Hubert et Amélina Bouchez
Centre pompidou-Metz
L'exposition Phares est une production du
Centre Pompidou-Metz, première décentralisation
d'un établissement public culturel national, le
Centre Pompidou, réalisée en partenariat avec
une collectivité territoriale, la Communauté
d'agglomération de Metz Métropole. La maîtrise
d'ouvrage a été assurée par Metz Métropole,
principal financeur de l'équipement associé à la
Ville de Metz (mandataire) et au Centre Pompidou.
La construction du Centre Pompidou-Metz a
également bénéficié du soutien financier du
Conseil général de la Moselle, du Conseil régional
de Lorraine, de l'état et de l'Union européenne
(Fonds européen de développement économique
régional, Feder).
Le Centre Pompidou-Metz est un établissement
public de coopération culturelle, dont les
membres fondateurs sont l'état, le Centre
Pompidou, la Région Lorraine, la Communauté
d'Agglomération de Metz Métropole et la Ville
de Metz.
CONSEIL D'ADMINISTRATION
Alain Seban
Président
Jean-Marie Rausch
Président d'honneur
Jean-Luc Bohl
Vice-président
Représentants de Metz Métropole
Jean-Luc Bohl
Président
Antoine Fonte
Vice-président
Pierre Gandar
Conseiller communautaire
Patrick Grivel
Conseiller communautaire
Thierry Hory
Vice-président
Pierre Muel
Conseiller délégué
William Schuman
Conseiller communautaire
Représentants du Centre Pompidou
Alain Seban
Président
Agnès Saal
Directrice générale
Jean-Marc Auvray
Directeur juridique et financier
Bernard Blistène
Directeur du Musée national d’art moderne
Catherine Guillou
Directrice des publics
Brigitte Leal
Directrice adjointe du Musée national d’art
moderne en charge des collections
Représentants de la Région Lorraine
Nathalie Colin-Oesterlé
Conseillère régionale
Josiane Madelaine
Vice-présidente
Jean-Pierre Moinaux
Vice-président
Rachel Thomas
Vice-président
Roger Tirlicien
Conseiller régional
Représentant de l’État
Nacer Meddah
Préfet de la Région Lorraine, préfet de la Zone
de Défense et de Sécurité Est, préfet de la
Moselle
Représentants de la Ville de Metz
Dominique Gros
Maire de Metz, ville siège de l'établissement
Thierry Jean
Adjoint au Maire
11
Personnalités qualifiées
Frédéric Lemoine
Président du directoire de Wendel
Patrick Weiten
Président du Conseil général de la Moselle
Représentants du personnel
Djamila Clary
Chargée des publics et du développement des
ventes
Élodie Stroecken
Chargée de coordination du pôle programmation
ÉQUIPE DU CENTRE POMPIDOU-METZ
Direction
Laurent Le Bon
Directeur
Claire Garnier
Chargée de mission auprès du Directeur
Secrétariat général
Pascal Keller
Secrétaire général par intérim
Hélène de Bisschop
Responsable juridique
Émilie Engler
Assistante de direction
Cécilia Zunt-Radot
Chargée de mission auprès du directeur et du
secrétariat général
Pôle administration et finances
Jérémy Fleur
Chef comptable
Mathieu Grenouillet
Assistant de gestion en comptabilité
Audrey Jeanront
Assistante de gestion ressources humaines
Alexandra Morizet
Responsable des marchés publics
Véronique Muller
Assistante de gestion en comptabilité
Pôle bâtiment et exploitation
Philippe Hubert
Directeur technique
Christian Bertaux
Responsable bâtiment
Sébastien Bertaux
Agent technique électricien
Vivien Cassar
Agent technique bâtiment
Jean-Philippe Currivant
Agent technique éclairage
Phares
Jean-Pierre Del Vecchio
Administrateur systèmes et réseaux
Christine Hall
Technicienne audiovisuel et informatique
Pierre Hequet
Technicien bâtiment
Christian Heschung
Responsable des systèmes d’information
Stéphane Leroy
Chargé d’exploitation
André Martinez
Responsable sécurité
Jean-David Puttini
Agent technique peintre
Pôle communication et développement
Annabelle Türkis
Responsable du pôle communication et
développement
Charline Burger
Chargée de communication et d’événementiel
Noémie Gotti
Chargée de communication et presse
Marie-Christine Haas
Chargée de communication multimédia
Anne-Laure Miller
Chargée de communication
Amélie Watiez
Chargée de communication et d’événementiel
Pôle production
Olivia Davidson
Responsable du pôle production
Charline Becker
Chef de projet
Alexandre Chevalier
Régisseur d’espaces
Jennifer Gies
Chef de projet
Thibault Leblanc
Régisseur spectacle vivant
Éléonore Mialonier
Chef de projet
Fanny Moinel
Chef de projet
Marie Pessiot
Chargée de production pour le spectacle vivant
Irène Pomar
Chef de projet
Marianne Pouille
Régisseur d’œuvres
Julie Schweitzer
Chef de projet
Jeanne Simoni
Chef de projet
Pôle programmation
Hélène Guenin
Responsable du pôle programmation
Claire Bonnevie
éditrice
Géraldine Celli
Chargée de programmation Auditorium Wendel
et Studio
Hélène Meisel
Chargée de recherches et d’exposition
Alexandra Müller
Chargée de recherches et d’exposition
Dominique Oukkal
Fabricant
Élodie Stroecken
Chargée de coordination du pôle programmation
Pôle publics
Aurélie Dablanc
Responsable du pôle publics
Fedoua Bayoudh
Chargée du développement des publics et du
tourisme
Djamila Clary
Chargée des publics et du développement des
ventes
Jules Coly
Chargé de l’accueil et de l’information des
publics
Anne-Marine Guiberteau
Chargée de la programmation jeunes publics et
des actions de médiation
Benjamin Milazzo
Chargé du développement des publics et de la
fidélisation
Anne Oster
Chargée des relations avec les établissements de
l’enseignement
Installation de l'audiovisuel
JCD Groupe : Fréderic Pernot et son équipe
Cottel : David Cottel et son équipe
Transport et emballage des œuvres
LP Art : Gwenaël Rimaud et son équipe
Accrochage des œuvres
Bovis : Philippe Bardel et son équipe
Constats d'état des œuvres
Élodie Aparicio-Bentz
Assurance des œuvres
Blackwall green : Robert Graham et son équipe
Relations presse
Claudine Colin Communication : Claudine Colin
et son équipe
Bureau de contrôle
Dekra Industrial : émilie Grandclaudon
Sûreté et sécurité
SGP Lorraine
Sécurité incendie
Service Départemental d’Incendie et de Secours
de la Moselle
Médiation
Phone Régie
Agent comptable
Jean-Eudes Bour
Nettoyage
Lustral
Stagiaires
Camille Bourguignon
Pierre Ligier
Aline Sainton
Les Amis du CENTRE POMPIDOU-METZ
Intervenants extérieurs
Traduction de la signalétique
David Wharry (anglais)
Nicola Denis (allemand)
Fabrication et pose de la signalétique
Graphik
Réalisation des aménagements muséographiques
SF Sans Frontière : Herman Schmitt
et son équipe
Peinture
De Carli-Givert : Jean-Yves Givert
et son équipe
Installation électrique et éclairage
Cofely Ineo GDF Suez : Christophe Lere
et son équipe
éclairage
MPM équipement : Laurent Capron
et son équipe
12
La vocation des Amis du Centre Pompidou-Metz,
association sans but lucratif, est d’accompagner
le Centre dans ses projets culturels, de fédérer
autour de lui le monde de l’entreprise ainsi que
les particuliers désireux de le soutenir.
Jean-Jacques Aillagon
Ancien ministre, président
Ernest-Antoine Seillière
Vice-président
Philippe Bard
Président de Demathieu & Bard, trésorier
Lotus Mahé
Secrétaire générale
Lisa Cartus
Assistante de la secrétaire générale
Phares
Centre Pompidou
Le Centre Pompidou-Metz est un établissement
public de coopération culturelle associé du Centre
national d'art et de culture Georges Pompidou,
établissement public national à caractère culturel
placé sous la tutelle du ministère de la Culture et
de la Communication
(loi n°75-1 du 3 janvier 1975).
Alain Seban
Président
Agnès Saal
Directrice générale
Jack Lang
Président de l’Association pour le
développement du Centre Pompidou
Jacques Boissonas
Président de la Société des Amis du Musée
national d’art moderne
Musée national d'art moderne –
Centre de création industrielle
Bernard Blistène
Directeur
Brigitte Leal
Directrice adjointe en charge des collections
Frédéric Migayrou
Directeur adjoint chargé de la création
industrielle
Didier Ottinger
Directeur adjoint chargé de la programmation
cuturelle
Catherine Perdrial
Administratrice
Olga Makhroff
Chargée des prêts et dépôts
Conservation des collections arts plastiques
Service des collections modernes
Jean-Michel Bouhours
Chef de service par intérim
Camille Morando
Documentaliste principale
Service des collections contemporaines
Sophie Duplaix
Chef de service
Service de la création contemporaine et
prospective
Christine Macel
Chef de service
Emma Lavigne
Conservatrice
Pamela Sticht
Attachée de conservation
Cabinet d’art graphique
Jonas Storsve
Chef de service
Cabinet de la photographie
Clément Chéroux
Chef de service
Service du cinéma expérimental
Philippe-Alain Michaud
Chef de service
Service de la restauration
Véronique Sorano-Stedman
Chef de service
Valérie Millot
Adjointe à la chef de service
Chantal Quirot
Restauratrice sculptures
Sophie Spalek
Restauratrice peintures
Service des collections
Ariane Coulondre
Chef de service
Aurélie Gavelle
Attachée de collection
Éric L’Hospitalier
Régisseur de réserves
Perrine Renaud
Documentaliste-iconographe
Création industrielle
Service architecture
Olivier Cinqualbre
Chef de service
Bibliothèque Kandinsky
Didier Schulmann
Chef de service
Direction de la production
Stéphane Guerreiro
Directeur
Anne Poperen
Directrice adjointe, chef du service administratif
et financier
Service de la régie des œuvres
Marjolaine Beuzard
Chef de service par intérim
Émilie Choffel
Régisseur d’œuvres
Service des manifestations
Yvon Figueras
Chef de service
13
Service des ateliers et moyens techniques
Gilles Carle
Chef de service
Jonathan Girault
Régisseur d’œuvres électromécaniques
Rémi Navarro
Régisseur d’œuvres électromécaniques
Pierre Paucton
Régisseur principal chargé des expositions
André Toutcheff
Régisseur principal chargé des collections
Département du développement culturel
Roger Rotmann
Directeur adjoint
Bakta Thirode
Administratrice
Jean-Pierre Criqui
Chef du service de la parole
Serge Laurent
Chef du service spectacles vivant
Sylvie Pras
Chef du service des cinémas
Direction de la communication et des partenariats
Benoît Parayre
Directeur
Marc-Antoine Chaumien
Directeur adjoint
Stéphanie Hussonnois-Bouhayati
Directeur adjoint
Alexandre Colliex
Délégué aux relations internationales
Délégation à l’action culturelle audiovisuelle
Mina Bellemou
Chargée de production
Isabelle Danto
Chargée de mission
Direction des éditions
Nicolas Roche
Directeur
Jean-Christophe Claude
Directeur adjoint
Direction des publics
Catherine Guillou
Directrice
Patrice Chazottes
Directeur adjoint
Phares
5.
Les partenaires
Le Centre Pompidou-Metz constitue le premier exemple de décentralisation d'une grande institution culturelle nationale,
le Centre Pompidou, en partenariat avec les collectivités territoriales. Institution autonome, le Centre Pompidou-Metz
bénéficie de l'expérience, du savoir-faire et de la renommée internationale du Centre Pompidou. Il partage avec son aîné
les valeurs d'innovation, de générosité, de pluridisciplinarité et d'ouverture à tous les publics.
Le Centre Pompidou-Metz réalise des expositions temporaires fondées sur des prêts issus de la collection du Centre
Pompidou, Musée national d'art moderne, qui est, avec plus de 100 000 œuvres, la plus importante collection d'art
moderne et contemporain en Europe et la deuxième au monde.
Il développe également des partenariats avec des institutions muséales du monde entier. En prolongement de ses
expositions, le Centre Pompidou-Metz propose des spectacles de danse, des concerts, du cinéma et des conférences.
Il bénéficie du soutien de Wendel, mécène fondateur.
G R A N D M E C E N E D E L A C U LT U R E
L'exposition Phares est réalisée grâce au soutien de l'EPMNL Aéroport Metz-Nancy-Lorraine
et de la Caisse d'épargne Lorraine Champagne-Ardenne.
En partenariat média avec
14
Phares
Mécène fondateur
G R A N D M E C E N E D E L A C U LT U R E
Wendel, Mécène fondateur du Centre Pompidou-Metz
"Le groupe Wendel est très fier de s'être engagé depuis 2010, pour une durée de cinq ans,
comme Mécène fondateur du Centre Pompidou-Metz, ce qui lui permet de soutenir un
projet phare pour la Lorraine, berceau du groupe et de ses familles fondatrices. Nous avons
voulu que ce partenariat s'appuie sur nos valeurs d'entreprise : le long terme, synonyme de
fidélité et d'engagement, l'innovation dont nous pensons qu'elle est au cœur de la création
de valeur économique mais aussi des activités humaines et artistiques et l'ambition de
rayonnement international dans une région française au cœur de l'Europe.", soulignent
Frédéric Lemoine, Président du Directoire de Wendel et Ernest Antoine Seillière, VicePrésident des Amis du Centre Pompidou-Metz.
Wendel est l'une des toutes premières sociétés d'invetissement cotées en Europe. Elle
exerce le métier d'investisseur et d'actionnaire professionnel en favorisant le développement
à long terme d'entreprises leaders mondiaux dans leur secteur : Bureau Veritas, Legrand,
Saint-Gobain, Materis, Stahl ou encore Mecatherm.
Créé en 1704 en Lorraine, le groupe Wendel s'est développé pendant 270 ans dans diverses
activités, notamment sidérurgiques, avant de se consacrer au métier d'investisseur de long
terme à la fin des années 1970.
Le Groupe est soutenu par son actionnaire familial de référence, composé de plus de
mille actionnaires de la famille Wendel réunis au sein de la société familiale Wendelparticipations, actionnaire à hauteur de 35% du groupe Wendel.
Contact journalistes :
Christine Anglade-Pirzadeh :
+ 33 (0) 1 42 85 63 24
[email protected]
Christèle Lion
+ 33 (0) 1 42 85 91 27
[email protected]
www.wendelgroup.com
15
Phares
L’aéroport Metz-Nancy-Lorraine
partenaire de l'exposition Phares
Pour cette première exposition d’envergure de par sa longévité, la qualité de ses œuvres
et la renommée de ses artistes, l’aéroport Metz-Nancy-Lorraine est heureux de s’associer
à l’exposition Phares et de devenir, par conséquent, partenaire du Centre Pompidou-Metz.
Cette institution culturelle a toujours réalisé des expositions modernes et variées qui ont
fait son succès et lui ont permis d’accueillir récemment son deux millionième visiteur.
L’engagement de l’aéroport est donc cohérent. En effet, grâce à ses nombreux passagers,
la zone aéroportuaire est une porte d’entrée pour le tourisme, pour la promotion de la
culture et du patrimoine lorrain. L’aéroport Metz-Nancy-Lorraine, établissement public
géré par la Région Lorraine, dessert plus de vingt destinations régulières nationales
et internationales (Casablanca, Nice, Lyon, Rome…) et propose aussi une vingtaine de
destinations vacances (Malaga, Olbia, Marrakech…). Au total, en 2013, plus de 240 000
touristes ou hommes d’affaires ont emprunté la plateforme régionale.
Dans l’objectif de pérenniser le partenariat avec le Centre Pompidou-Metz, l’aéroport
commercialisera également des billets d’entrée pour le musée au sein même de l’aérogare.
Les voyageurs pourront ainsi découvrir les œuvres du centre d’art messin.
Contact Presse :
Stéphanie Renaudin
[email protected]
03 87 56 70 13 / 06 74 44 72 05
www.metz-nancy-lorraine.aeroport.fr
Metz Nancy Lorraine, de loin l’aéroport le plus proche de vous !
16
Phares
La Caisse d’épargne Lorraine Champagne-Ardenne
Mécène du Centre Pompidou-Metz depuis 2010
Partenaire de l'exposition Phares
Metz – février 2014
1917
Banque régionale de référence, la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne-Ardenne
est fière de s'associer à l'exposition Phares, exposition temporaire de longue durée,
constituée d’un ensemble exceptionnel d’œuvres monumentales, qui s'annonce comme
un des événements culturels majeurs dans notre pays.
Mécène du Centre Pompidou-Metz, la Caisse d’Épargne Champagne-Ardenne poursuit
ainsi son partenariat initié dès 2010 avec ce lieu culturel et artistique au rayonnement
national et1917
international. Elle est notamment la mécène de l'Atelier des Adolescents
du Centre Pompidou-Metz, dont l'objectif est de diffuser la culture contemporaine et la
pratique artistique auprès du jeune public. Cet objectif rejoint la mission de mécénat culturel
que s'est donnée la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne-Ardenne sur son territoire,
spécifiquement via le Fonds de Dotation Écureuil et Solidarité. L'accompagnement de
l'exposition Phares s'inscrit également dans cette volonté de diffusion de la culture auprès
du plus grand nombre.
1917
« En tant que banque régionale de proximité, nous soutenons, via le mécénat, le Centre
Pompidou-Metz depuis son ouverture. Il permet de manière exceptionnelle au plus grand
«
nombre,
en particulier les jeunes publics, d'accéder à l'art contemporain et participe aussi au
rayonnement de notre territoire. Nous sommes donc heureux, en tant que banque citoyenne,
d'accompagner le Centre Pompidou-Metz sur l'exposition d'exception Phares », précise Benoît
Mercier, Président du Directoire.
à propos de la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne-Ardenne :
Banque coopérative, la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne-Ardenne compte 1 650
000 clients, particuliers, professionnels, entreprises, acteurs de l'économie sociale,
institutions et collectivités locales. Avec ses 2 200 collaborateurs, elle est un acteur
majeur de l'économie régionale. Les Caisses d’Épargne font partie du Groupe BPCE, issu
du rapprochement des Caisse d’Épargne et des Banques Populaires.
Contact presse Caisse d’Épargne Lorraine Champagne-Ardenne :
Stéphane GETTO – Directeur de la communication - +33 (0) 6.21.37.14.90
[email protected]
17
Phares
6.
Visuels disponibles
pour la Presse
Nom d'utilisateur : presse
Mot de passe : Pomp1d57
Les visuels d'œuvres ci-dessous sont téléchargeables en
ligne à l'adresse suivante :
centrepompidou-metz.fr/phototheque
Joseph Beuys, Infiltration homogen für Konzertflügel
[Infiltration homogène pour piano à queue], 1966
Piano, feutre, tissu, 100 x 152 x 240 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1976
AM 1976-7
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Philippe Migeat
© ADAGP, Paris 2014
La Peau, 1984
Feutre, tissu, 100 x 152 x 240 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1985
AM 1985-23
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / D.R.
© ADAGP, Paris 2014
Joan Miró, Personnages et oiseaux dans la nuit, 1974
Huile sur toile, 274,5 x 637 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de l'artiste, 1977
AM 1977-223
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Philippe Migeat
© Successió Miró / ADAGP, Paris, 2014
Dan Flavin, untitled (to Donna)
5a, 1971
Fernand Léger, Composition aux deux
perroquets, 1935-1939
Tubes fluorescents, métal peint, 244 x
244 x 139 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art
moderne, Paris
Don de Leo Castelli par l'intermédiaire
de la Georges Pompidou Art and Culture
Foundation, 1977
AM 1977-210
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist.
RMN-Grand Palais / Philippe Migeat
© ADAGP, Paris 2014
Huile sur toile, 400 x 480 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de l'artiste, 1950
AM 3026 P
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais /
Jacques Faujour
© ADAGP, Paris, 2013
Louise Nevelson, Reflexions of a waterfall I
[Reflets d'une chute d'eau 1], 1982
Pablo Picasso, Rideau pour le ballet
Mercure, 1924
Bois peint, miroirs, 280 x 447 x 42 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Don de M. Arnold Glimcher, 1985
AM 1985-504
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand
Palais / D.R.
© ADAGP, Paris, 2014
Peinture à la colle sur toile, 392 x 501 cm
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris
Achat, 1955
AM 3377 P
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais /
Jean-François Tomasian
© Succession Picasso 2014
18
Phares
7.
Chiffres clé
du centre Pompidou-Metz
Le Centre Pompidou-Metz a accueilli son 2 millionième visiteur le vendredi 27 décembre 2013. Il demeure ainsi l’un des
lieux d’expositions les plus fréquentés en France.
La programmation depuis l’ouverture :
- 16 expositions ;
- 20 ateliers jeunes publics ;
- plus de 230 spectacles montrés en 450 représentations, qui ont fait l’objet de plus de 90 partenariats avec des
équipements culturels locaux, régionaux, nationaux et internationaux.
Provenance du visiteur :
- trois visiteurs sur quatre résident en France ;
- près d’un visiteur sur deux (42%) réside en Lorraine ;
- un visiteur sur quatre réside à l’étranger ; parmi eux : 28% sont en provenance d’Allemagne, 23% de Belgique, 14% des
Pays-Bas, 13% du Luxembourg, 4% d’Amérique du Nord et 2% d’Asie.
Attractivité et fidélisation :
- plus d’un visiteur sur deux vient pour la première fois au Centre Pompidou-Metz ;
- près d’un visiteur sur deux effectue plus d’une heure de transport pour visiter les
expositions du Centre Pompidou-Metz ;
- plus d’un visiteur sur deux déclare se rendre à Metz dans l’objectif principal de
visiter le Centre Pompidou-Metz ;
- 95% des visiteurs comptent revenir au Centre Pompidou-Metz ;
Ouverture à tous les publics :
- plus de 170 000 scolaires accueillis depuis septembre 2010
- 25% des visiteurs appartenant à la catégorie socioprofessionnelle employé / ouvrier
Retombées économiques directes :
- depuis l’ouverture, les visiteurs du Centre Pompidou-Metz ont effectué des
dépenses sur le territoire de plus de 79 millions d'euros (hors transport).
19
Phares
Notes
20
Dan Flavin, untitled (to Donna) 5a, 1971. Tubes fluorescents, métal peint, 244 x 244 x 139 cm. Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris.
© Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Philippe Migeat © ADAGP, Paris 2014
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