La Fonderie
Transcription
La Fonderie
La Fonderie 2 rue de La Fonderie - Le Mans rendez-vous automne 2014 TOUS LES 1ers SAMEDIS DU MOIS DE 11H À 12H LA FIÈVRE DU SAMEDI MATIN ----------------------------------------------------------------------------------------------------2-3 ENSEMBLE MUSICAL OFFRANDES [ENTRÉE LIBRE] JEUDI 23, VENDREDI 24, SAMEDI 25 OCTOBRE À 20H LE DIEU BONHEUR (+GREFFES) ------------------------------------------------------------------------------------------------4-5 COMPAGNIE LES ENDIMANCHÉS [ENTRÉE 5 EUROS] MARDI 18, MERCREDI 19 NOVEMBRE À 20H UTOPIA, TOUS DES BARBARES ---------------------------------------------------------------------------------------------------6-7 COMPAGNIE ÉMILE SAAR [ENTRÉE 5 EUROS] VENDREDI 21 NOVEMBRE LIVRE ET CINÉMA, AUTOUR DE SARAJEVO -------------------------------------------------------------------------------------------- 8-9 À 18H LIBRAIRIE L’HERBE ENTRE LES DALLES RENCONTRE AVEC MARIE FRERING ET SON ROMAN «L’OMBRE DES MONTAGNES» À 20H LES CINÉASTES PROJECTION «SARAJEVIENS» DE DAMIEN FRITSCH [EN PRÉSENCE DU RÉALISATEUR] La Fonderie 2 RUE DE LA FONDERIE 72000 LE MANS 02 43 24 93 60 [email protected] www.lafonderie.fr ENTRÉE PARKING RUE SAINT-PAVIN DES CHAMPS [OUVERTURE DES PORTES 30 MIN AVANT) LA FONDERIE EST SUBVENTIONNÉE PAR LA DIRECTION RÉGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES DE LA RÉGION PAYS DE LA LOIRE, LA VILLE DU MANS, LE CONSEIL RÉGIONAL DES PAYS DE LA LOIRE ET LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA SARTHE. LICENCES 1-1004663 / 2-1004664 / 3-1004665 MARDI 25, JEUDI 27,VENDREDI 28 À 20H00, MERCREDI 26 À 18H30, SAMEDI 29 NOVEMBRE À 17H00 PASSIM ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------10-13 THÉÂTRE DU RADEAU [ENTRÉE 10 EUROS] DU 25 AU 29 NOVEMBRE À PARTIR DE 15H BALANCE [INSTALLATION] --------------------------------------------------------------------------------------------------------- 14 ALEXANDRE CHANOINE, MARC SIMONART [ENTRÉE LIBRE] SAMEDI 6 DÉCEMBRE À 20H À L’INVITATION DE L’ENSEMBLE MUSICAL OFFRANDES LES SENTIERS BUISSONNIERS DE PIERRE-ADRIEN CHARPY -------------------------------------------------------------15 SOPRANO RAPHAËLE KENNEDY - PIANO ANNE ETIENVRE [ENTRÉE 5 EUROS] SOUTIENS/PRODUCTIONS/REMERCIEMENTS -------------------------------------------------------------------------------------------16 OÙ NOUS TROUVER ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------17 CHAQUE 1ER SAMEDI DU MOIS DE 11H À 12H La fièvre du samedi matin PROPOSITION DE L’ENSEMBLE MUSICAL OFFRANDES Un jour j’ai essayé beaucoup de moutarde sur un navet cru. J’ai aimé ça plus que tout ce que j’avais jamais entendu de Beethoven. La Monte Young, Conférence 1960 L’accueil de l’Ensemble Musical Offrandes en ces fins de matinées prend la forme d’ateliers d’écoute et de partage autour des répertoires musicaux des XXe et XXIe siècles. Face à la rigueur et à la légèreté mêlées des musiciens (instrumentistes, chanteurs, chefs, compositeurs…), la position du spectateur est alors activée : entendre ce que lors d’un concert, peut-être, on n’entendrait pas et qui pourtant est là, décomposer les mouvements, ouvrir le champ de perception - et découvrir peu à peu, joyeusement, comment l’écoute est une activité. Au programme de cette fin d’année En octobre (le 4), Attention, chantier Tom Johnson ! L’ensemble poursuit le travail dans l’œuvre minimaleradicale de ce compositeur atypique.... ©ERICMINETTE En novembre (le 1er), En collaboration avec Les Quinconces/L’Espal, Offrandes participera à la création du Temps du papillon dans la grande salle des Quinconces les 1er et 2 mai 2015. Pour cela, depuis quelques mois déjà, l’ensemble travaille à une relecture du cycle de Franz Schubert, Die schöne Müllerin, adaptation originale pour 10 musiciens et électroacoustique en temps réel. En décembre (le 6), Prélude au concert du soir, cette séance présente différents aspects de l’écriture du compositeur Pierre-Adrien Charpy, qui rejoint l’ensemble pour une nouvelle création. PAGE 2 PAGE 3 JEUDI 23, VENDREDI 24, SAMEDI 25 OCTOBRE À 20H Le dieu Bonheur (+greffes) COMPAGNIE LES ENDIMANCHÉS TEXTES HEINER MÜLLER, BERTOLT BRECHT MISE EN SCÈNE, SCÉNOGRAPHIE, MUSIQUE ORIGINALE ALEXIS FORESTIER INTERPRÉTATION ET ARRANGEMENTS AUDE ROMARY AVEC JEAN-FRANÇOIS FAVREAU, ALEXIS FORESTIER, BARNABÉ PERROTEY, AUDE ROMARY, CÉCILE SAINT-PAUL CRÉATION SONORE ALEXIS AUFFRAY ET JEAN-FRANÇOIS THOMELIN ©THOMAS GUILLOT La langue de Müller a une santé de fer si l’on peut dire au regard de ce qu’elle a traversé de ruines, désastres, déconvenues et pour avoir été le témoin infatigable de cette catastrophe ininterrompue de l’histoire dont elle est issue. Mais elle ne cherche pas à rassembler ce qui a été démembré, elle insiste au contraire et laisse entendre cette difficulté à ré-organiser une vision du monde. Elle continue inlassablement de chercher ce que commun veut dire, ce qu’est «le nouveau pour les oreilles et les yeux» et sans aucun doute ne fréquente les ruines que «par amour des chemins qui les traversent». Elle se maintient dans ce moment suspendu qu’est celui de l’attente de l’histoire. Elle ouvre les brèches par où l’histoire vient à la rencontre de celui qui la regarde. Sans pour autant affirmer qu’elle soit le signe anticipatif des catastrophes à venir, elle en présuppose la venue, en est en quelque sorte un point de vigie et par là même une sorte d’injonction à maintenir notre présent sur le qui-vive… « La musique qui lui convient est le cri de Marsyas qui fait sauter les cordes de la lyre sous les doigts du bourreau divin. » PAGE 4 Apparue dans un texte inachevé de Bertolt Brecht, explosée puis réanimée de ses débris par Heiner Müller, la figure du dieu bonheur est une figure hors d’âge, réveillée par un bruit inaccoutumé venant de la terre. Echoué parmi les vivants, le Dieu bonheur découvre une terre dévastée par la guerre et la misère. Ce dieu impuissant et déboussolé, ballotté par les événements, croise des paysans, des soldats morts, des travailleurs alliénés, des mendiants, des enfants, et tous interrogent sa présence, ses vertus ou qualités. Tous n’y voient qu’une forme vide, instable, inadéquate, les obligeant à se remettre en mouvement, à transformer leur propre regard, maintenus qu’ils sont dans l’illusion que «le vieux désir pourrait à nouveau mener la danse.». Les greffes Les endimanchés adjoignent à la pièce du Dieu Bonheur, telle qu’elle a été publiée aux éditions de minuit, trois antichambres ou «chambres du temps» composées de fragments des « Voyages d’un Dieu du Bonheur» de Bertolt Brecht et des divers brouillons de Heiner Müller. PAGE 5 MARDI 18, MERCREDI 19 NOVEMBRE À 20H « Je dois vous dire que je ne sais pas parler » Utopia, tous des barbares extrait de La langue vulgaire, P.P Pasolini Un spectacle sur la langue. Notre expérience de l’oralité, faire entendre le chant de l’être par le bruissement et les silences de sa parole. COMPAGNIE ÉMILE SAAR MISE EN SCÈNE ET COLLECTE DES ENTRETIENS MARIE LELARDOUX AVEC DANA AL HAJJI, AMÉLIE DE VAULTIBAULT, LAURENCE GROBET, SHARMILA NAUDOU SCHMITTER RÉGIE SON ET PLATEAU AUDREY RUZAFA CRÉATION LUMIÈRE JULIEN SOULATRE ACCOMPAGNEMENT ARTISTIQUE CAROLE PAIMPOL ET RACHEL RAJALU COSTUMES ELISA PÉNEL STAGIAIRE MISE EN SCÈNE MALVINA BOVAS ET AUDE « Utopia, tous des barbares » dresse un double portrait : celui de la langue et celui de l’individu qui l’émet et la porte. Le spectacle s’est écrit à partir du son qu’il fait ; quelque soit la langue parlée, les sonorités des voix, le comportement du corps parlant : la parole se révèle être le reflet de la personne. ©MALVINA BOVAS Utopia repose sur cinq comédiennes qui, en passeuses, transmettent au plus proche du réel des mots appris phonétiquement. A travers ces témoignages portant sur l’acquisition d’une langue étrangère, apparaissent les parcours et histoires de chacun ; le récit se reconstitue à partir de l’ensemble des fragments entendus. Utopia est une expérience d’écoute, une expérience de théâtre. Etre au cœur d’un ensemble sonore, où - sans pour autant jamais jouer un rôle - chaque comédienne prête sa voix – et dans le prolongement son corps- à d’autres figures. PAGE 6 « C’est une ambiance musicale : cinq espaces où des spectateurs regroupés entourent une comédienne aussi précise qu’attentive à leurs écoutes. Commence alors une sorte de concerto où, d’une source à l’autre, les voix tissent le texte comme des naissances simultanées et toutes autonomes cependant, par leurs légers écarts, par leurs singularités. C’est alors que s’animent le charme et la jubilation qui vont porter le spectacle jusqu’à ses fins. Me vient cette question : “ est-ce que “concerto” peut se traduire aussi par “solidarité” ?” » Les mots du « spectateur » Philippe Foulquié, Fondateur de la Friche La Belle de Mai et du Théâtre Massalia (Marseille). PAGE 7 VENDREDI 21 NOVEMBRE À 18H ET 20H Marie Frering, Damien Fritsch LIVRE ET CINÉMA, AUTOUR DE SARAJEVO EN AMITIÉ AVEC LA LIBRAIRIE L’HERBE ENTRE LES DALLES ET LE CINÉMA LES CINÉASTES À 18H LIBRAIRIE L’HERBE ENTRE LES DALLES 7, RUE DE LA BARILLERIE - LE MANS 02 43 28 74 61 www.lherbeentrelesdalles.fr RENCONTRE AVEC MARIE FRERING AUTOUR DE SARAJEVO AVEC SON ROMAN «L’OMBRE DES MONTAGNES» « Il y a peu de moments où nous vivons vraiment au présent, généralement nous y sommes projetés par des événements heureux ou malheureux, et pour une courte durée. Pendant la guerre, c’est un présent qui dure, amputé d’avenir et éloigné de son passé. Et ce présent rend fou ». Marie Frering est née en 1960. Elle a mené un programme humanitaire et social à Sarajevo de 1994 à 1997. L’ombre des montagnes est son deuxième roman. http://marie-frering.org À 20H LES CINÉASTES 42 PLACE DES COMTES DU MAINE, 72000 LE MANS 02 43 51 28 18 www.les-cineastes.fr PROJECTION «SARAJEVIENS» DE DAMIEN FRITSCH EN PRÉSENCE DU RÉALISATEUR Plus de vingt ans après le siège de Sarajevo en 1992, alors que toutes les caméras du monde ont détourné leurs objectifs, qui sont aujourd’hui les sarajéviens ? De rencontres en rencontres, en explorant la mémoire des habitants, nous cheminons entre passé, présent et avenir en évoquant leurs espoirs et leurs doutes. La projection sera suivie d’un échange avec le Réalisateur Damien Fritsch. Il interviendra sur l’origine de son film, la naissance du projet, ses rencontres avec les différents protagonistes qui interviennent dans son documentaire. PAGE 8 PAGE 9 DU 25 AU 29 NOVEMBRE Passim MARDI 25, JEUDI 27,VENDREDI 28 À 20H00 MERCREDI 26 À 18H30 THÉÂTRE DU RADEAU SAMEDI 29 À 17H00 Création 7 novembre 2013 au Théâtre National de Bretagne à Rennes (Festival Mettre en scène) « 2014, année du Théâtre du Radeau en Pays de la Loire » Mise en scène, scénographie François Tanguy Élaboration sonore François Tanguy / Eric Goudard Lumières François Tanguy / François Fauvel / Julienne Havlicek Rochereau Avec Laurence Chable, Patrick Condé, Fosco Corliano, Muriel Hélary, Vincent Joly, Carole Paimpol, Karine Pierre, Jean Rochereau et la participation d’Anne Baudoux Administration / intendance Pascal Bence, Nathalie Bernard, Leila Djedid, Annick Lefranc, Franck Lejuste, Martine Minette, Nathalie Quentin, Sonny Zouania, et l’accompagnement de Claudie Douet « Ici êtres et objets sont faits de la même matière que les songes, on ne sait plus qui déplace l’autre, des cadres ou des corps. Des voix disent Ovide, Le Tasse ou Pavese, les récits se tissent, les musiques aussi, et s’élève sur scène un des plus beaux poèmes dramatiques qu’il nous ait été de voir, si bricolé, si pauvre en ses moyens. On ne nous « raconte » rien, on nous dit tout du terrible bruissement du monde ». Odile Quirot Le Nouvel Observateur /Blog Théâtre et compagnies (extrait) PAGE 10 ©DESSIN DE FRANÇOIS TANGUY D’APRÈS PHOTO©BRIGITTE ENGUERAND Régie générale - Régie lumière François Fauvel Régie son Eric Goudard Construction, décor François Fauvel, Vincent Joly, Julienne Havlicek Rochereau, François Tanguy, Eric Goudard et l’équipe du Radeau PAGE 11 PASSIM PAROLES Fragments choisis dans les œuvres suivantes Penthésilée Heinrich Von Kleist traduction de Julien Gracq / José Corti Le massacre à Paris Christopher Marlowe traduction Jean Vauthier / NRF Gallimard Orlando Furioso Arioste version originale / Seuil Le roi Lear William Shakespeare traduction Françoise Morvan / Les Solitaires Intempestifs. ©DIDIERGRAPPE La tentation de Saint Antoine Gustave Flaubert La pléiade Il faut laisser surgir une mémoire involontaire, passive mais obsédante, qui devient lieu de jonction, pour le spectateur, un lieu où il aurait déjà été, un rappel, un instant qui se répète, se repropose à la mémoire. Quelle est cette mémoire qui fait des fragments passés un lieu du présent ? Comment se reconstruit-elle sur scène sous la pression inconsciente d’une attitude mentale qui suppose quelque chose de non formulé qui, justement-là, dans ce théâtre, prend forme ? Comment l’intellect qui rêve donne-t-il forme à ces pensées qui deviennent figures et dessins obsédants, pris dans des devenirs dessinés ? C’est dans cette consistance qu’il faut repérer la mise en forme et sa mise en scène : le texte de théâtre devient une digression sans fin et continue du penser la chose théâtrale. Attribuer alors aux matières une plasticité qui leur est accordée après-coup, quand l’imaginaire potentiellement réalisable a pris corps, qu’il s’est dit, qu’il s’est répété. […] Laisser ainsi apparaître quelque chose de têtu : l’acteur ouvrier de sa scène — geste constant, inlassablement répété, souligné par les bruitages des panneaux déplacés, transformés en de purs encadreurs-décadreurs dont l’intérieur vide ne surgit que pour organiser les limites optiques des divers moments de scène. Bruitage ouvrier d’un labeur insistant et redit, appuyé, jusqu’à l’épuisement de sa matière en elle-même, par elle-même. Ferraillements du quotidien de l’acteur, ferraillements cinglants de la scène agie qui encrasse la ligne musicale et la ligne de l’oralité en des endroits dispersés mais réguliers. Ce serait un théâtre des recoins dans lesquels furtivement il se passe quelque chose qui est simplement la préparation au mettre en scène de la mise en scène […] Jean-Paul Manganaro Texte élaboré à partir de « Ça qui n’est pas là » PAGE 12 ÉLABORATION SONORE Ludwig Von Beethoven Anton Bruckner John Cage Bernard Cavanna Paul Celan Marc-André Dalbavie Hanns Eisler Euripide Sonnets William Shakespeare traduction Pierre Jean Jouve / Poésie Gallimard Christoph Willibald Gluck Le misanthrope Molière Editions de Crémille Georg Friedrich Haendel Rimes et Plaintes (anthologie) Le Tasse traduction Michel Orcel / Fayard Jérusalem libérée ( Armide vaincue) Le Tasse traduction Jacques Audiberti / imprimerie nationale Dialogue avec Leuco Cesare Pavese traduction Mario Fusco / Quarto Gallimard La vie est un songe Pedro Calderón de la Barca version originale / G. Flammarion Les métamorphoses Ovide traduction Olivier Sers / Les Belles Lettres Le conte d'hiver William Shakespeare traduction Yves Bonnefoy / Folio Olivier Greif Jonathan Harvey Mauricio Kagel György Kurtág Francisco Lopez Viatcheslav Ovtchinnikov Krzysztof Penderecki Dimitra Podara Alberto Posadas Ezra Pound Sergueï Rachmaninov Jean-Philippe Rameau Hamlet William Shakespeare traduction André Markowicz / Babel Actes Sud Franz Schubert Les Bacchantes Euripide grec ancien / Les Belles lettres Iannis Xenakis Tiergarten Vassili Grossman traduction Luba Jurgenson / Robert Lafont Jean Sibelius Giuseppe Verdi Hans Zender PAGE 13 DU 25 AU 29 NOVEMBRE À PARTIR DE 15H SAMEDI 6 DÉCEMBRE À 20H Balance À L’INVITATION DE L’ENSEMBLE MUSICAL OFFRANDES INSTALLATION D’ALEXANDRE CHANOINE, MARC SIMONART Une machine parcourt 24 poses, garde la lumière et laisse s’échapper l’eau. Les sentiers buissonniers DE PIERRE-ADRIEN CHARPY SOPRANO RAPHAËLE KENNEDY PIANO ANNE ETIENVRE DIFFUSION ÉLECTROACOUSTIQUE PIERRE-ADRIEN CHARPY ET ROBERT PASCAL No hay caminos, hay que caminar... Antonio Machado [Il n’y a pas de chemins, il faut cheminer] Complice de longue date, le compositeur Pierre-Adrien Charpy rejoint Offrandes pour un travail de création avec les musiciens de l’ensemble. Pour fêter les débuts de ce compagnonnage, Pierre-Adrien propose aujourd’hui un programme comprenant, outre ses propres œuvres, des musiques des XXe et XXIe siècles, qui ont pu marquer, à un moment ou à un autre de son parcours, son propre chemin d’écriture. 24 heures passent, un film s’insole un sillon se creuse. Après un premier temps consacré à des pièces pour piano seul, Le cœur du poète, pour voix et piano (sur un texte de Benoît Richter) est donné ce soir en première audition. La seconde partie illustre un autre des chemins possibles qui s’offrent au compositeur d’aujourd’hui : l’écriture pour voix et électroacoustique en temps réel. POUR PIANO SEUL ©ALEXISFORESTIER 24 litres s’écoulent, la lumière change, un jour se trace. Faire face à la mesure d’un moment, les relevés sont liés au jour et au lieu de leur apparition. Ils constituent des marges, latitudes dont on dispose entre certaines limites. PAGE 14 CINQ PRÉLUDES OP.74 ALEXANDRE SCRIABINE SUITE OP.14 BÉLA BARTÓK ARC-EN-CIEL ET FANFARES DU PREMIER LIVRE D’ÉTUDES POUR PIANO GYÖRGY LIGETI SUITE CAFÉINÉE PIERRE-ADRIEN CHARPY POUR VOIX ET PIANO LE CŒUR DU POÈTE PIERRE-ADRIEN CHARPY (CRÉATION) POUR VOIX ET ÉLECTROACOUSTIQUE EN TEMPS RÉEL XI LING ROBERT PASCAL VIVANTE MORTE ÉBLOUIE PIERRE-ADRIEN CHARPY LONH KAIJA SAARIAHO PAGE 15 SOUTIENS-PRODUCTIONS-REMERCIEMENTS OÙ NOUS TROUVER ENSEMBLE MUSICAL OFFRANDES LES FIÈVRES DU SAMEDI MATIN L’ensemble Offrandes est soutenu par la Région des Pays de la Loire, le Conseil Général de la Sarthe, le Canton Le Mans Ouest et la Ville du Mans. Il est accueilli depuis sa création par la Fonderie (Le Mans). Les Fièvres du samedi matin font l’objet d’une aide au projet de la DRAC Pays de la Loire et de la Ville du Mans. COMPAGNIE LES ENDIMANCHÉS LE DIEU BONHEUR + GREFFES Coproduction Compagnie les endimanchés, CCAM de Vandœuvre-lès-Nancy avec le soutien de l’Adami. Accueil en résidence La Fonderie-Le Mans, La Quincaillerie - Les Laumes COMPAGNIE ÉMILE SAAR UTOPIA, TOUS DES BARBARES Production compagnie émile saar Coproduction : La Gare Franche/ Cosmos Kolej, Marseille (13) – le 3bisf, lieu d’arts contemporains, Aix-en- Provence (13) – Le Melkior Théâtre/ La Gare Mondiale, Bergerac (24. Avec le soutien de la Fondation Abbé Pierre, de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, de la Ville de Marseille et de la SPEDIDAM. Accueil en résidence aux Bancs Publics, lieu d’expérimentations artistiques à Marseille et à la Fonderie au Mans THEATRE DU RADEAU PASSIM Coproduction Théâtre du Radeau, Le Mans /Théâtre National de Bretagne - Centre Européen Théâtral et Chorégraphique / MC2, Maison de la Culture de Grenoble - Scène Nationale / Le Grand T, Théâtre de Loire-Atlantique Nantes / LU - le lieu unique, Scène Nationale de Nantes / Centre Dramatique National de Besançon - Franche-Comté Coréalisation T2G, Festival d’Automne à Paris. Le Théâtre du Radeau est subventionné par la Direction Régionale des Affaires Culturelles des Pays de la Loire, le Conseil Régional des Pays de la Loire, le Conseil Général de la Sarthe, la Ville du Mans. Il reçoit le soutien de Le Mans Métropole. « 2014, année du Théâtre du Radeau en Pays de la Loire » bénéficie d’un soutien dans le cadre des années thématiques du Conseil Régional des Pays de la Loire » Entrée publique Parking rue St Pavin des Champs Transports en commun Tram/Bus Ligne 6 (Arrêt Lafayette) Bus Lignes 2 ou 11 (Arrêt Chêne vert) La fonderie est partenaire de Cultures du coeur PAGE 16 PAGE 17 lafonderie©MartineMinette La Fonderie 02 43 24 93 60 [email protected] www.lafonderie.fr