Révision et Quiz Chapitre 3 : Les principes

Transcription

Révision et Quiz Chapitre 3 : Les principes
5e édition du manuel
Problèmes et solutions
Date : Octobre 2006
Révision et Quiz
Chapitre 3 : Les principes comptables généralement reconnus
Vrai ou faux sur les principes comptables1
Vrai
Faux
Pour être pertinente, une information comptable doit être
disponible en temps opportun.
Il est toujours préférable de disposer d’une information
comptable exacte avant de la présenter dans les états
financiers.
La permanence des conventions (méthodes) comptables
utilisées d’un exercice à l’autre contribue à améliorer la
comparabilité des états financiers d’une entreprise.
En vertu du principe du coût historique, les stocks doivent
être présentés au moindre du coût et de la valeur au marché.
L’utilisation du coût historique est fondée
l’entreprise ne poursuivra pas son exploitation.
lorsque
Les variations du pouvoir d’achat de la monnaie sont
reflétées dans les états financiers.
La spécialisation (indépendance) des exercices contribue à
améliorer la vérifiabilité des états financiers.
L’amortissement des immobilisations va à l’encontre du
principe de rapprochement des produits et des charges.
Les produits provenant de la vente de billets de saison d’une
équipe de hockey doivent être constatés au fur et à mesure
que les parties sont jouées.
La primauté de la substance économique sur la forme
juridique peut être illustrée par la comptabilisation d’un
contrat de location-acquisition.
1
Initialement produit par le Service de l’enseignement des sciences comptables – Adapté (2006) et révisé par Suzanne
Drouin. Toute reproduction ou traduction est interdite sans la permission écrite de HEC Montréal ou de l’auteur.
© 2006, Service des sciences comptables de HEC Montréal
1
Problèmes et solutions
5e édition du manuel
Solution – Exercice 3.5
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
Une information comptable qui n’est pas disponible assez rapidement n’est
pas utile à la prise de décisions.
En pratique, des compromis doivent être faits entre deux qualités de
l’information: son exactitude et sa pertinence; l’obtention d’une information
exacte peut en effet exiger plus de travail et de temps, rendant celle-ci moins
utile à la prise de décisions.
L’application des conventions comptables uniformes d’un exercice à l’autre
facilite notamment la comparaison d’une entreprise par rapport à elle-même
dans le temps.
Le principe de prudence nous oblige à reconnaître la perte de valeur d’un
élément d’actif avant que celle-ci ne se réalise, c'est-à-dire, avant que le stock
soit vendu.
Dans un contexte où l’hypothèse de la continuité de l’exploitation n’est plus
fondée, le principe du coût historique devient non pertinent; l’utilisation
d’autres bases de mesure peut alors être justifiée (ex.: la valeur de liquidation).
Les variations du pouvoir d’achat de la monnaie ne sont pas reflétées dans les
états financiers en vertu du principe de la stabilité de l’unité monétaire
(nominalisme).
L’indépendance des exercices contribue à accroître la comparabilité entre les
états financiers; en découpant la vie d’une entreprise, on ne rend pas
nécessairement son information comptable plus vérifiable.
La charge d’amortissement permet de répartir le coût d’une immobilisation sur
sa durée de vie utile estimative; elle permet ainsi un meilleur rapprochement
des produits et des charges.
À la date où les parties ont lieu, le service est rendu; les produits perçus
d’avance par la vente de billets de saison sont alors gagnés.
Lorsqu’un bail transfère au locataire presque tous les risques et avantages liés
à la détention d’un bien, le locataire comptabilise notamment un actif loué en
vertu d’un contrat de location-acquisition dans ses états financiers (ce, en dépit
du fait que sur le plan juridique, il n’en est pas le propriétaire).
© 2006, Service des sciences comptables de HEC Montréal
Vrai
Faux
Vrai
Faux
Faux
Faux
Faux
Faux
Vrai
Vrai
2