Dossier Princes - Manufacture Atlantique

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Dossier Princes - Manufacture Atlantique
PRINCES
Librement inspiré de L’Idiot de Dostoïevski.
Par le collectif Les bâtards dorés.
Création mai 2014 Théâtre du Pavé,Toulouse
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.PRINCES.
Avec :
Romain Grard. Hippolyte
Lisa Hours. Nastassia Filippovna
Christophe Montenez. Le prince Mychkine
Jules Sagot. Lebedev
Manuel Severi. Rogojine
Texte:
Les bâtards dorés.
Librement inspiré de L’Idiot de Dostoïevski.
Conception: Les bâtards dorés.
Mise en scène: Les bâtards dorés.
Illustrations & graphisme :
Margaux Kervarec
du 20 au 28 mai au théâtre du Pavé, Toulouse
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.manifeste.
Nous ne savons pas ce que nous faisons.
Nous sommes à l’âge où plus rien ne semble possible.
Où l’on se cache derrière le mouvement obscur d’un monde qu’on ne peut contrôler.
Nous sommes issus d’une génération endormie.
La génération qui recycle les modèles en les édulcorant.
Alors, pour transformer le dégoût immobile en un mouvement d’espoir nous faisons ce Théâtre.
Nous rêvons d’unité, de communion.
Au-delà des pièces à raconter nous désirons montrer un groupe qui, fier de ses disparités, prend des risques car chacun en
l’autre a confiance.
Nous fonctionnons sous la loi de cette utopie, la possibilité des individus de se dépasser en toute sérénité grâce au groupe.
L’entraide semble pour nous un facteur évolutif de la société plus important que la compétitivité.
Nous sommes naïfs.
Notre Théâtre sera spectaculaire.
Nous sommes un collectif.
Nous croyons à cette utopie.
Notre Théâtre sera spectaculaire car nous revendiquons la prétention véritable :
La prétention de créer un objet qui touche.
Nous sommes maladroits et certains.
Nous avons dans notre prétention l’humilité de ne pas masquer notre bêtise.
On s’est dit qu’on n’écrirait pas le mot humilité dans le manifeste, ce mot utilisé pour tout pour rien et qui nous emmerde.
Merde. Raté.
Les textes s’écrivent à cinq.
Les pièces se jouent à cinq.
La hiérarchie qui se dessinera sera la nôtre.
Inqualifiable.
C’est notre monde, notre théâtre.
Nous refusons la dramaturgie mathématique qui feint de faire comprendre.
Notre théâtre sera celui de l’instant.
Le message que l’on désire dire sur l’instant.
Plus les fondements d’un cri sont insondables plus le cri retourne.
Toujours créer dans la nécessité.
Pas de compromis.
Nous voulons du sacré.
Faire du théâtre un temple bruyant.
Un lieu vivant et pas un endroit de délectation précieux où goûter “l’Art” en tranquillité.
Les bâtards dorés parce que tout le monde trouve cela ridicule.
Et que le monde nous envie cette bêtise de collégiens.
Ainsi nous nous nommons collectif.
Les bâtards dorés.
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.Le collectif.
« Les bâtards dorés » est un groupe de réflexion, un collectif réuni par un
travail de recherche théâtrale, dont les moteurs sont : Romain Grard, Lisa
Hours, Christophe Montenez, Jules Sagot et Manuel Severi.
Fondé en 2013, il accède officiellement au « statut d’association » régie par la
loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901.
Ses débuts
En 2011 un groupe provisoire est formé afin d’échanger ensemble. Son but,
s’il y en a un, est de nouer des liens entre les différents acteurs. De partager
et de créer ensemble pour ensuite, dans une même unité, se confronter à
une écriture scénique.
Mais ce n’est que l’année suivante, après quelques séances de réflexion, que
le groupe se forme définitivement.
Le collectif démarre réellement son travail autour du projet « Princes » avec
sa première résidence en octobre 2012.
D’abord de passage à l’ENSAD de Montpellier cette année-là, il est par la
suite accueilli à l’ESTBA de Bordeaux en 2013 à deux reprises.
Dans sa dernière ligne droite, il s’ancrera au Théâtre du Pavé de Toulouse en
mai 2014 pour terminer sa création et donner une dizaine de représentations
du 20 au 28 mai.
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.Avant-dire.
Nous travaillons ainsi: l’écriture est collective, la mise en scène est collective
et nous sommes tous acteurs.
Après de nombreuses recherches L’Idiot de Dostoïevski est apparu comme
une évidence.
Le propos du livre résonne profondément en nous, et la complexité de l’œuvre permet une grande marge d’interprétation.
En effet le but n’est pas de monter une adaptation de L’Idiot.
Le but est d’avoir un terreau si fertile qu’il sera plus aisé d’y faire pousser
notre parole.
Dans notre société où l’on semble s’appliquer à tuer le mystère en l’élucidant
ou en le raillant, nous sommes une jeunesse qui a soif de sacré.
Nous sentons un vide en nous. Une case qu’avec le Théâtre il nous semble
possible de remplir.
L’Idiot parle de ce vide. D’une génération qui crie une soif de vie au sein
d’une société morte.
La vieille Russie de Dostoïevski. La vieille France d’aujourd’hui au sein de
laquelle nous désirons nous réinventer.
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.La pièce – le projet.
Nous sommes cinq comédiens, nous avons choisi de n’extraire du roman
foisonnant que quelques Figures.
Les Figures ont des envies d’amour, de communion, qu’elles cherchent à
épancher dans une frénésie.
Tous savent - Hippolyte phtisique au dernier stade en parlera dans un long
monologue - qu’ils sont des condamnés à mort, ou déjà morts. Le temps
presse, il ne faut pas rater l’amour. La quête des personnages rejoint finalement la nôtre, acteurs sur un théâtre, dans le désir de rassemblement autour
d’un acte.
Nous avons fait le choix de démarrer post roman, après la mort de Nastassia
Filipovna. Nous entendons les différents tableaux comme des moments à
part entière, comme les morceaux d’un concert, bien qu’un fil souterrain les
relie les uns aux autres ils peuvent exister pour ce qu’ils sont. Chacun garde
son autonomie. Nous faisons également le pari de nous dégager de la fable
proprement dite afin de raconter non pas Dostoïevski, mais NOUS une fois
revenus de la lecture de L’Idiot.
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.Les Figures.
Nastassia Filippovna
Perçue comme une femme mystérieuse et violente. Elle est l’objet de toutes
les projections et fantasmes des protagonistes. Tous rêvent de dévoiler
cette beauté, qui, une fois démasquée, n’en devient que plus énigmatique. Le
meurtre à la fin du roman, nous l’interprétons comme une tentative d’élucidation de ce mystère, de cette femme. Qu’en est-il une fois l’acte accompli ?
Nastassia n’est pas présente au début de la pièce. Elle arrivera ensuite, convoquée par les autres. Elle revient de l’au-delà sans avoir vraiment changé. Au
fur et à mesure, de plus en plus vivante au contact des autres, elle sera davantage concernée par l’histoire qu’elle a eue et continue de vivre avec Rogojine
et le prince.
Le Prince Mychkine
Le Prince a la foi. Pourtant sa maladie l’empêche d’être « dans le monde »,
d’être acteur de sa destinée. Il est le Sauveur mais il ne peut se défendre de
lui-même ni de la fascination teintée de pitié qu’il éprouve pour Nastassia
Filippovna. Il ne peut être que « lui-même » dans sa vérité. De là naît sa part
tragique. Il ne peut composer ni mentir. Il n’est pas dans les mêmes rapports
sociaux que les autres. Il est toujours marginalisé, à part.
Après la mort de Nastassia il est parti en cure en Suisse. Il en revient, lessivé,
simplifié. A l’ouverture de la pièce qui débute par la fête organisée en l’honneur de son retour, c’est un imbécile heureux. Il est fan de tennis, raconte
des blagues. Il a renoncé à sa complexité douloureuse. Rapidement ses amis
vont faire surgir à nouveau ce qu’il était, ce qu’il est, un homme que l’envie
démesurée d’amour et de communion plonge dans un désarroi profond. Pour
lui, on fera revenir la défunte afin de le confronter à ce qu’il était.
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Rogojine
Pour Rogojine, à l’inverse il n’y a pas de sublimation possible. Il est chair et
sang tout entier. Terriblement humain dans ses lâchetés, ses bassesses mais
également beau dans ses luttes. Il est l’un des rares qui soit dans l’action. Sa
sauvagerie est la meilleure part de lui-même. Une soif inextinguible d’absolu
et un désespoir insondable. Pour lui le ciel est vide.
Rogojine est venu pour voir le prince, ce vieil ami. Il le retrouve changé et stupide. Dans cette déception, jointe à son aversion de toujours pour Lebedev,
il n’est pas heureux de la tournure que prend la fête. Il aimerait aller au cœur
des choses, aller à l’essentiel. Rogojine aime la vérité. Il a tué Nastassia et
l’assume .Même si le ciel est vide, Rogojine a foi en l’homme vrai, en l’homme
responsable de lui-même aux valeurs solides. Il défend sa conception du surhomme.
Lebedev
Lebedev est un petit homme. Un homme d’argent qui ramasse les miettes des
puissants. S’il a quelque envie d’étudier la théologie, ce qui nous a plu c’est son
rapport extrêmement bas et concret au monde. Il incarne les aspirations, les
désirs, les peurs et les bêtises de la « foule ». Il est une forme de médiocrité.
Avec une vision très lucide de tout cela.
Lebedev a organisé la fête. Il possède une S.A.R.L spécialisée dans l’événementiel. C’est lui donc qui l’organise pour le retour du Prince. Il sera durant
toute la pièce « l’ambianceur ». Lebedev veut du spectacle, que l’action avance,
que personne ne s’ennuie, que le spectateur reparte content. Il se démène
pour créer de l’action, relancer les temps morts.
Hippolyte
Hippolyte est malade, se sachant condamné à une mort très proche, il questionne l’idée du suicide. Si le temps est compté, à quoi bon se sociabiliser,
mais pourquoi ne pas le faire. Dans la structure même du roman il est à part.
Puis il s’invite dans la foule et devient un élément du tableau. Profondément
nihiliste, il pose mieux qu’aucun autre l’absurdité de l’existence et l’angoisse
viscérale de l’Homme face à la mort.
Hippolyte est un acteur de stand up. Il fait des blagues. A plat. Les raconte
merveilleusement bien. Elles sonnent comme des haïkus, des fables. Il est un
employé de Lebedev, son ami et sa bête de foire. Depuis le début il est taiseux
et distant. Il prendra enfin la parole vers la fin de la pièce.
Toutes nos figures sont des mondes, Hippolyte est ce monde qui, condamné à
mourir, se demande « à quoi bon ? » Au travers de lui nous posons la question
« Si dans une semaine tout allait s’éteindre et que nous fussions mis au courant, que ferions nous ? Quelles choses nous apparaîtraient-elles essentielles
à faire ? »
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Romain GRARD
Né le 31 Janvier 1990
Formation antérieure
Conservatoire de Toulouse, 2007-2009
Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier, 2009-2012
Expériences professionnelles
« Violet » et « Le Nom » de Jon Fosse, rôle du batteur et de Bjarne, mes Francis Azéma, théâtre du pavé, 2008
« Antigone » de Sophocle et d’Anouilh, rôle du Chœur et du Garde, mes Francis Azéma, théâtre du pavé, 2009
« Etat Civil » d’Antonio Lobo Antunes, mes Georges Lavaudant, Mc 93 de Bobigny, Printemps des comédiens,
2011
« Les Numéros, Cabaret » d’Hanokh Levin, mes Richard Mitou, Printemps de Comédiens, Festival de Figeac, 2012
« En/Vie 1.2 », du GK, mes Gabriella Cserhati, second assistant à la mes, Collectif 12, Festival « Jeunes Zé Jolie »,
Mantes la Jolie, 2012
« Labyrinthe Parallèle » du GK, Mains d’Œuvres, Festival Paris Face Cachée, 2013
« En/Vie 1.3 », du GK, mes Gabriella Cserhati, jeu et premier assistant à la mes, Théâtre Caché, Paris, 2013
« Princes » du collectif Les Bâtards Dorés, ecriture et mes, rôle d’Hippolyte, Théâtre du Pavé,
Toulouse, 2014
Cinéma
« Les Amants Diaboliques » de Bruno Geslin, rôle de Ian Brady, court métrage, 2012
« Park » de Cyril Teste, rôle du frère, long métrage, 2012
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Lisa HOURS
Née le 12 Février 1988
Formation antérieure
Conservatoire de Toulouse, 2007-2009
Ecole Professionnelle Supérieure d’Art Dramatique de Lille, 2009-2012
Expériences professionnelles
« Le Nom » de Jon Fosse, rôle de Beate, mes Francis Azéma, rôle de la fille, Théâtre du Pavé, Toulouse, 2009
« La Bonne Ame de Setchouan » de Brecht, rôle de Shen Te, de Shui Ta et du serveur, mes Stuart Seide, Lille, 2012
« La Supplication » de S. Alexievitch, rôle de La Tadjik, mes S. Loïck, Lille, 2012
« La Mélancolie des barbares » de K. Kwahulé, rôle de Baby Mo, mes S. Bournac, Toulouse, 2013
« Princes » du collectif Les Bâtards Dorés, ecriture et mes, rôle de Nastassia, Théâtre du Pavé, Toulouse, 2014
création « Et dans le trou de mon coeur il y a le monde entier » mes Bruno Bonjean , juillet 2014
Cinéma
« La malédiction des Juliette» Réa; A.Davrinche, photo: G.Duchemin, court métrage, Juillet 2013
« La page blanche » Cie MONIAC, court métrage, mars 2014
Lectures
Lectures dans le cadre du festival « Littérature etc» texte de F.Beaune et A.Dhée avril 2014
(région Nord)
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Christophe Montenez
Né le 8 Décembre 1988
Formation antérieure
Conservatoire de Toulouse, 2007-2009
Ecole Supérieure de Théâtre Bordeaux Aquitaine, 2010-2013
Expériences professionnelles
« Violet » et « Visites » de Jon Fosse, rôle du chanteur et de Leif, mes Francis Azema, théâtre du pavé, 2008
« Antigone » de Sophocle et d’Anouilh, rôle du Chœur et de Hémon, mes Francis Azema, théâtre du pavé, 2009
« Don Juan » de Molière, rôle de Don Juan, mes Francis Azema, théâtre du pavé, 2009
« C’est toujours quand tu dors » de Jules Sagot, 2013
« Poucet » de Christophe Montenez, jeu et co-mise en scène Manuel Severi, Collectif Les Bâtards Dorés, TNBA,
Bordeaux, 2013
« Liliom » de Ferenc Molnar, mes de Galin Stoev, Théâtre de liège, 2014
« Princes » du collectif Les Bâtards Dorés, ecriture et mes, rôle du Prince, Théâtre du Pavé, Toulouse, 2014
Lectures
« Encore un jour sans massacre » de Théo Diricq, Marathon des mots, Théâtre National de
Toulouse, 2008
« L’Apprenti » de Daniel Keene, mes Sébastien Bournac, Région Midi-Pyrénées, Salon des
Editions Théâtrales, 2009
lecture théâtralisée « elvis polyptique E.P » d’emmanuel Darley, mes Gilone brun et Emmanuel Darley, théâtre
Malakoff, octobre 2013
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Jules Sagot
Né le 21 Septembre 1989
Formation antérieure
Conservatoire municipal du 5ème arrdt, Paris, 2007-2010
Ecole Supérieure de Théâtre Bordeaux Aquitaine, 2010-2013
Expériences professionnelles
« Yvonne princesse de Bourgogne » de Witold Gombrovicz, mes Hugues de La Salle, rôle du Prince, MPAA, Paris,
2007
«L’Ordalie des petites gens » de Julien Guillomard, mes Bruno Wacrenier, MPAA, Paris, 2010
« Silence », écriture et mes, Théâtre La Bruyère, Paris, 2010
« C’est toujours quand tu dors », écriture et mes, 2012
« Le Misanthrope » de Molière du collectif Groupe Apache, mes Yacine Sif El Islam, Footsbarn theater, 2013
« M.Mou », écriture et jeu (co-mise en scène Yacine Sif El Islam), Tnba, 2013
« Mort d’un commis voyageur » de Arthur Miller mes Claudia Stavisky, rôle de
Happy, Théâtre des Céléstins,
Lyon.
« Princes » du collectif Les Bâtards Dorés, ecriture et mes, rôle de Lebedev, Théâtre du Pavé, Toulouse, 2014
Cinéma
Documentaire ONG « El Camino », co-réalisé avec Clara Bonnet, Production El Camino de
los altos, 2012
« Lichtees meer » de Stefan Butzmühlen, 1er rôle, Salzgeberg Production, 2013
« Tu seras un homme » de Benoît Cohen, « pré-nomination césar du meilleur espoir masculin 2014», 1er rôle et
co-écriture du scénario, Shadows Film, 2013
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Manuel Severi
Né le 13 Aout 1987
Formation antérieure
Conservatoire Jacques Thibaud, Bordeaux, 2008-2010
Ecole Supérieure de Théâtre Bordeaux Aquitaine, 2010-2013
Expériences professionnelles
Montage autour de Molière, mes Jürgen Genuit, rôle de Sganarelle et Tartuffe, Théâtre des Chartrons, Bordeaux,
2009
« Leena » de Boubacar Boris Diop, mes Guy Lenoir, rôle d’un politicien, Rocher de Palmer, Cenon, Palais des sports,
Bordeaux, 2010
« Poucet » de Christophe Montenez, co-mise en scène avec Christophe Montenez, Collectif Les Bâtards Dorés,
TNBA, Bordeaux, 2013
« Princes » du collectif Les Bâtards Dorés, ecriture et mes, rôle de Rogogine, Théâtre du Pavé, Toulouse, 2014
Cinéma
« C’est pour mieux te manger » de Jérôme Meynardie, rôle de Stan, Production Paradoxal, 2012
Talent Cannes 2014 avec le court métrage « Où elle est maman ? » réalisé par Olivia Ruiz, 2014
Télévision
« Famille d’Accueil », France 3, rôle de Gabriel, 2013
« La disparue du Pilat », France 3, rôle de Benoît Ringer, 2014
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.Fiche technique.
Durée par représentation
Environ 120 minutes sans entracte
Spectacles par jour
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Jauge
Pas de limite définie/représentation (= capacité maximale du théâtre)
Public
À partir de 14 ans
Equipe
5 comédiens
Espace scénique
8m de profondeur / 6 m d’ouverture minimum –
Obscurcissement total
Temps d’installation
48h (minimum) d’occupation des lieux avant la 1ère
Répétitions
Comprises dans le temps d’installation
Matériel
(Son + éclairage + console régie général) : installation sur place déjà existante
indispensable
Local technique
Fermé pour sécurité du matériel – Coulisses – 5 places de loge
Hébergement/repas
À négocier avec l’organisateur avant toutes démarches
Transport
1€ par km
Publicité
Préciser le niveau de prestation fournie concernant les affiches, programmes,
flyer ; la troupe est en mesure de communiquer les éléments nécessaires à leur
production (photos, affiches, textes etc.)
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Les bâtards dorés – Collectif Théâtral
159, rue Fernand Audeguil
33000 Bordeaux
SIRET : 799 294 673 00014
Mail : [email protected]
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