Nourrir les hommes » à l`école
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Nourrir les hommes » à l`école
« Nourrir les hommes » à l’école ! En classe de seconde au lycée, les élèves étudient un chapitre intitulé « Nourrir les hommes ». C’est dans ce cadre qu’Aveltis est intervenu à diverses reprises, dont la dernière fois, en janvier 2012, au lycée St-Pierre à St-Brieuc (22). Répondant à l’invitation des professeurs d’histoire géographie, Gaël Eouzan, éleveur à Pordic (22), Carole Bastien, directrice du Cochon de Bretagne et Philippe Le Goux d’Aveltis ont abordé le développement de l’agriculture en Bretagne et notamment de la filière porcine, depuis l’après seconde guerre mondiale jusqu’à nos jours. Comment nourrir tous les habitants de la terre ? A quel prix ? Comment est né le modèle breton ? Comment sont gérées les questions environnementales ? Que sont les critères qualité dans la production ? Ces sujets ont été parmi ceux abordés devant les élèves, curieux de comprendre les enjeux et les défis de l’agriculture dans une région rurale comme la Bretagne. Coup de chapeau aux enseignants qui viennent à la source chercher l’information pour leurs élèves ! Et encore mieux, les jeunes posent les vraies questions, les questions qui interpellent face aux défis qu’ils auront à relever demain. Rencontre avec… Jérôme LEFEUVRE, éleveur de porcs à Plénée-Jugon, administrateur Le Cochon de Bretagne Engagé pour la qualité Dès l’origine de la démarche Le Cochon de Bretagne, mise en place par les éleveurs euxmêmes, Jérôme Lefeuvre s’est inscrit dans ce mouvement qui répondait déjà aux enjeux de la qualité, de l’environnement et de la sécurité sanitaire. Eleveur à Plénée-Jugon (22), Jérôme Lefeuvre dit avoir ressenti un besoin de reconnaissance lorsqu’il a signé le cahier des charges Le Cochon de Bretagne. Il considère ce groupe de près de 600 éleveurs comme une « famille » dans laquelle il se reconnaît et avec laquelle il prend plaisir à partager. « Nous voulons proposer le meilleur du cochon et être en avance sur la demande du consommateur en termes de qualité de produit et de traçabilité. L’objectif atteint, nous n’avons alors aucun complexe à présenter notre métier et ouvrir les portes de nos élevages à qui le souhaite. » Jérôme ne se satisfait cependant pas du travail accompli. Il souhaite que les décideurs de la SAS le Cochon de Bretagne, lui compris, poursuivent leurs efforts pour se différencier encore afin de mieux répondre aux attentes des consommateurs. Travailler sur l’impact de la production porcine sur l’environnement, améliorer encore la qualité de la viande sont des pistes d’actions à étudier. « Nous devons être irréprochables aux yeux de ceux qui achètent et consomment notre viande de porc. » Le fait d’estampiller le produit « Cochon de Bretagne » apporte une garantie sur l’origine, sur l’alimentation du porc, sur la manière dont il a été élevé. Il est nécessaire de maintenir cet engagement. Et lorsque c’est un engagement d’éleveurs, qui savent et disent ce qu’ils font, cela prend tout son sens et toute sa valeur. Jérôme Lefeuvre entend bien accompagner la dynamique du Cochon de Bretagne avec ses collègues Christophe Corre, (qui vient comme lui d’entrer au conseil d’administration), Véronique L’Anthoën et Henri Le Gléau, les représentants d’Aveltis. Site : www.aveltis.com - Blog : http://aveltis.unblog.fr Rejoignez-nous sur ZA du Vern - 29400 Landivisiau Tél. 02 98 68 37 37 - [email protected] Directeur de la publication : Christophe BÈLE