e-business on demand

Transcription

e-business on demand
IBM Global Services
e-business on demand :
le nouveau modèle informatique
“ [L’e-business on demand] est le prolongement naturel de
l’externalisation. C’est l’aboutissement de trois évolutions
majeures : le développement considérable des réseaux ;
l’avènement d’une informatique fondée sur des standards ;
et les exigences croissantes des infrastructures e-business…
En fait, le recours à des prestataires de services n’est pas
une nouveauté : cela s’est produit, par exemple, avec le
développement du réseau électrique. Quand les premiers
générateurs sont apparus, il y a seulement quelques
décennies, les entreprises qui voulaient de l’électricité
devaient construire leur propre centrale. Elles n’avaient pas
le choix. De même, depuis 40 ans, les entreprises couvrent
leurs besoins informatiques en achetant leurs propres
ressources, dont elles doivent assurer la gestion. Il existe
désormais une autre approche possible…
Le marché est sur le point de connaître un profond
bouleversement – tant dans son mode de fonctionnement
économique que dans sa dynamique concurrentielle. ”
— Lou Gerstner, IBM Chairman of the Board1
Le modèle “ e-business on demand ”
Donner à l’informatique sa juste place
Partout dans le monde, les entreprises doivent
incompatibles, des logiciels développés en interne
évoluer dans un environnement en constante
ou achetés dans le commerce, et des départements
transformation, incertain, et sont confrontées à une
informatiques pléthoriques sont très vulnérables face
série de nouveaux problèmes cruciaux : restrictions
aux progrès rapides des technologies, aux fluctuations
budgétaires, ralentissement économique, inquiétude
du marché, aux aléas de croissance et aux conséquences
des consommateurs… Pour survivre et gagner des
des fusions-acquisitions. De fait, les infrastructures
parts de marché, il leur faut en faire plus avec moins de
e-business modernes, qui gèrent et exploitent de gros
ressources, s’adapter à des demandes imprévisibles,
volumes de données, exigent une bande passante
réagir rapidement au marché et prendre sans cesse
pratiquement illimitée, une capacité de stockage toujours
l’initiative. Les impératifs de la compétitivité obligent de
plus grande, des technologies souples et ouvertes, et des
nombreuses entreprises à mettre en relation des systèmes
compétences pointues.
incompatibles, à adopter de nouvelles technologies,
à intégrer et à diffuser l’information, et à rebondir
Tous ces facteurs compliquent la tâche de dirigeants
constamment dans un contexte économique en mutation
qui aspirent à améliorer leurs relations clients, à intégrer
permanente.
tous les processus dans leur entreprise, à optimiser leur
productivité et à réduire leurs coûts. D’après un article du
National Post Online, “ vers le milieu des années 1990,
En même temps, les chefs d’entreprise découvrent que la
l’infrastructure informatique est devenue dans la plupart
technologie n’est pas une panacée. Si personne ne doute
plus aujourd’hui des avantages d’Internet, les ressources
de gestion sont comptées alors que le facteur temps n’a
jamais été plus crucial. Dans ces conditions, le maintien
d’une infrastructure e-business capable de prendre en
charge des contraintes nouvelles peut absorber des
ressources financières, humaines et technologiques qui
seraient pourtant mieux employées à la consolidation
des capacités métier de l’entreprise et au renforcement
de sa compétitivité. Les environnements informatiques
caractérisés par des matériels propriétaires, des systèmes
2
Le modèle “ e-business on demand ”
des entreprises une ressource sous-productive qu’il
“ D’ici un ou deux ans, nous verrons arriver
faut élaguer de façon rigoureuse pour lui faire gagner
une profusion de nouveaux services Internet
en souplesse et en performances. ”2 On comprend
aisément que l’idée de posséder, de gérer et de maintenir
qui permettront aux entreprises de réaliser
sa propre infrastructure perde de son attrait, au profit
des économies substantielles par rapport
d’investissements informatiques directement associés à
aux systèmes internes classiques tout en leur
une plus-value métier et à la qualité du service client – une
offrant des possibilités d’interaction inédites.
approche qui sera bientôt incontournable. Les managers
avant-gardistes envisagent aujourd’hui l’informatique
Lentement mais sûrement, nos conceptions
différemment, en lui donnant sa juste place dans
en matière de gestion informatique seront
l’environnement opérationnel : celle d’un “ service de base ”
totalement bouleversées. ”
vital dans un monde connecté et actif 24 heures sur 24.
— Harvard Business Review3
3
Le modèle “ e-business on demand ”
Rentabiliser directement les investissements informatiques
Selon un récent article du magazine américain
Il n’est donc pas étonnant qu’une idée s’affirme
Business 2.0, le volume des informations numériques
rapidement : celle de pouvoir acheter les processus
générées dans le monde double tous les deux ans et,
informatiques et opérationnels dont on a besoin, quand
dans les grandes entreprises, le stockage des données
on en a besoin – un peu comme pour l’électricité ou
devient rapidement le poste le plus lourd des budgets
le gaz. Ce concept, qu’IBM appelle “ e-business on
informatiques – captant jusqu’à 30% des investissements.
demand ”, recouvre la “ distribution ” d’infrastructures,
Ce fait est en soi suffisant pour freiner ceux qui voudraient
d’applications et de processus standardisés via le réseau,
développer et déployer des stratégies e-business viables,
sous la forme d’un service. L’e-business on demand
mais il leur faut encore savoir transformer les données en
s’appuie sur une infrastructure souple, faisant l’objet d’une
connaissances exploitables, qui puissent être intégrées
“ personnalisation de masse ”, et accessible à toute une
et partagées à l’échelle de l’entreprise étendue. Et les
série d’entités dans un environnement hautement sécurisé.
difficultés ne s’arrêtent pas là : nécessité permanente
Les entreprises peuvent ainsi “ consommer ” de la bande
d’enrichir les fonctionnalités, quête de performances
passante, de la puissance de traitement, de la capacité
toujours plus élevées, adaptation des systèmes classiques,
de stockage, des applications et des services e-business
réduction des coûts, capacité de réagir vite face à un
comme un service de base dont il devient possible de
marché imprévisible…
rentabiliser directement les coûts et l’utilisation.
4
4
Le modèle “ e-business on demand ”
Comme le souligne un article récent d’InformationWeek,
e-business on demand
“ nombre d’entreprises achètent plus de puissance de
calcul qu’il ne leur en faut, afin de pouvoir faire face à
des pics d’activité – une approche d’emblée inefficace. ”
L’article cite Jim Pierce, Director of Business Systems
Mutualisation
Les entreprises sont servies
simultanément et en souplesse,
de façon automatisée.
Development chez Anixter, un fabricant de systèmes de
câblage qui réalise un chiffre d’affaires de 3,8 milliards
de dollars : “ Pourquoi payer une capacité de traitement
d’appoint qu’on n’utilise pas ? ”5 Effectivement. Et les chefs
d’entreprise le savent bien : le contrôle des dépenses est
Standardisation
Les services, clé en main et configurables,
ne requièrent qu'une personnalisation ou
une intégration minimes.
un point de passage obligé pour atteindre et maintenir
la rentabilité. Il importe également que l’infrastructure
demeure en phase avec les nouvelles technologies
– qu’elle soit fondée sur des technologies et des services
Évolutivité
La capacité est fournie à la demande,
en fonction des besoins.
ouverts, performants, porteurs de valeur ajoutée, mobilisés
uniquement lorsqu’ils sont nécessaires.
5
Le modèle “ e-business on demand ”
L’e-business on demand complète l’externalisation classique
L’externalisation classique et l’e-business on demand
ont en commun de délivrer l’informatique sous la forme
“ La demande est déjà presque aussi
d’un service fondé sur la capacité du prestataire à
importante pour les solutions hébergées,
mettre en œuvre une plateforme informatique fiable et
gérées et délivrées via le réseau que pour les
rentable. L’e-business on demand ajoute à ce modèle
performant une série d’importantes innovations couvrant
services d’externalisation délivrés de façon
des aspects essentiels de l’infrastructure : processus
classique. ”
opérationnels ; bande passante ; matériel, middleware et
logiciels ; gestion des services et expertise des processus.
— Gartner, Inc.6
Ces composants sont délivrés “ à la demande ” à une
L’e-business on demand est le prolongement naturel de
communauté autorisée et connectée, chacun accédant
l’externalisation classique, qu’il complète. L’externalisation
aux fonctionnalités en fonction de ses besoins.
consiste à fournir une infrastructure, des technologies
et des services dédiés et personnalisés répondant
L’apport fondamental de l’e-business on demand réside
aux besoins spécifiques d’une entreprise, pour un prix
dans le changement d’optique radical qu’il représente par
déterminé. Ce modèle implique fréquemment le transfert
rapport aux modèles classiques : au lieu de se polariser
de ressources humaines et d’équipements du client au
sur le coût de l’informatique, il s’attache aux retombées
prestataire, ressources que ce dernier “ loue ” en retour
opérationnelles. Reliant “ tous les fils ” – gestion,
au client.
technologies, processus et coût –, il offre une approche
e-business globale axée sur la rentabilité.
6
Le modèle “ e-business on demand ”
Tendances et perspectives
Il n’y a qu’une seule temporalité en e-business : celle
L’e-business on demand est un développement logique
du temps réel. La bande passante – la capacité de
de l’e-business. Ce modèle – qui consiste à donner aux
transmission de données numériques dans un temps
entreprises la possibilité d’exploiter les investissements
déterminé – devient rapidement une “ denrée de
technologiques et le capital de savoir-faire d’IBM, et de
base ”, disponible à volonté et à moindre coût. Ce sera
payer en fonction de l’utilisation – s’inscrit parfaitement
progressivement le carburant de la nouvelle économie,
dans l’évolution de l’e-business, qui repose sur des
comme l’essence pour les voitures. Tandis qu’Internet
technologies élaborées, gérées et supervisées selon des
se généralise sur le marché mondial, les besoins
standards optimisés et mutualisés.
opérationnels et informatiques vont augmenter de façon
exponentielle. La diffusion des informations et des
L’étude de viabilité de l’e-business on demand est d’une
applications n’aura de limites que celles des réseaux et
simplicité extrême : il permet aux entreprises d’accéder
rendra plus nécessaire que jamais les développements
rapidement à des fonctionnalités et à des outils nouveaux
applicatifs axés sur les réseaux. Le changement ne se
qui leur confèrent un avantage compétitif et une réactivité
manifestera plus sous la forme d’événements ponctuels :
supérieure sans supporter les risques généralement
il sera dynamique. Les gains d’efficacité et de vitesse, les
associés : investissements initiaux, délais de mise
économies d’échelle et l’optimisation des compétences
en œuvre, tests, recette, etc. Il s’agit d’une approche
resteront des priorités. La virtualisation des serveurs et
intrinsèquement efficace, visant une corrélation directe
du stockage permettra aux entreprises de partager des
entre “ consommation ” des technologies de l’information
infrastructures informatiques sans que ce soit au détriment
et gains opérationnels.
de la sécurité ou de la continuité, les faisant bénéficier
d’avantages économiques inédits.
7
Le modèle “ e-business on demand ”
On comprend aisément que de nombreuses entreprises
Elles disposent ainsi d’une plateforme prête à l’emploi
soient séduites par la rentabilité du modèle e-business on
et payable “ à la consommation ” pour conduire des
demand, qui leur fournit les composants fondamentaux
activités de commerce électronique, développer et gérer
de l’infrastructure informatique – matériels, logiciels,
des applications, et faire des économies – tout en se
applications opérationnelles et services –, ainsi que
déchargeant des problèmes techniques. Des entreprises
l’espace virtuel dont elles ont besoin pour stocker, gérer,
de toutes tailles s’appuient déjà sur ce modèle pour des
diffuser et partager les données.
activités aussi importantes que la gestion des salaires.
e-business on demand
Hébergement e-business, "services essentiels" (utility)
Externalisation transformationnelle
Nouvelles fonctionnalités, applications étendues
Services e-business
Commerce électronique, travail collaboratif à l'échelle mondiale, nouvelles applications opérationnelles, mobilité
Centre de production informatique classique
Gestion des serveurs et des logiciels, services distribués, applications stratégiques
1996
1998
2000
2002
2004
2006
Infrastructure intelligente
Sans-fil
Projet eLiza*
Pixie dust
8
Informatique autonome
Le modèle “ e-business on demand ”
Identifier le prestataire
L’e-business on demand n’est pas une offre morcelée. Il
Il faut un savoir-faire considérable pour mettre en
serait extrêmement risqué à tous points de vue – financier
œuvre des infrastructures étroitement imbriquées et
et autres – de considérer qu’il s’agit d’une série de
abolir en même temps les contraintes de capacité,
composants “ en vrac ”. La mise en œuvre concrète
surtout quand on considère le rythme de l’innovation
de ce modèle suppose des capacités qu’il est très
technologique et les incertitudes pesant sur le monde
difficile d’acquérir. Pour identifier un prestataire, le chef
des affaires, qui peuvent entraîner à tout moment une
d’entreprise doit prendre en compte un large éventail
révision du cahier des charges. La mise en œuvre des
de critères :
méthodologies les plus performantes, étayée par une
vaste expérience et par des compétences attestées
• Grande expérience dans la résolution de problèmes
dans l’externalisation et les services informatiques, est
opérationnels et techniques
un paramètre essentiel dans l’équation de valeur de l’e-
• Savoir-faire fondé sur les meilleures méthodologies
business on demand. Le fournisseur doit aussi posséder
• Historique démontrant que l’entreprise est digne de
une connaissance approfondie de la dynamique et
confiance et pérenne et qu’elle s’attache à offrir une
de l’environnement du marché et du secteur d’activité
réelle souplesse à ses clients
considéré. Il doit encore démontrer le savoir-faire requis
• Intégration des compétences requises – économiques,
pour intégrer des applications et des processus disparates
sectorielles et technologiques
(systèmes “ front-end ”, “ back-end ”, propriétaires…).
• Engagement en faveur des technologies ouvertes,
Autres exigences : assurer la sécurité et la continuité
étayé par des résultats tangibles
opérationnelle, avec des capacités de supervision et de
• Capacité de fournir et de gérer l’infrastructure
reporting.
informatique et ses applications sous la forme d’un
service intégré
Avant de choisir un prestataire, les entreprises doivent en
• Capacité de déployer les services en fonction des
outre vérifier que le fournisseur a noué de solides relations
besoins, de façon rapide et dynamique, avec une totale
de partenariat avec des sociétés dont les offres complètent
fiabilité
et enrichissent la gamme des services proposés. Et que la
• Solidité financière
responsabilité de l’ensemble des services est centralisée
• Présence mondiale.
sur un seul interlocuteur présentant des garanties de
sérieux maximales.
9
Le modèle “ e-business on demand ”
e-business on demand : le modèle IBM
IBM a développé un modèle e-business on demand qui
des applications et des composants d’infrastructure
permet aux entreprises de tout secteur de recourir à une
appropriés et de renforcer leur capacité d’intégrer,
offre intégrale de services informatiques distribués sous la
d’exploiter et de gérer ces ressources. Ce volet de notre
forme d’un “ service essentiel ” (utility) – et, potentiellement,
offre e-business on demand assure la diffusion de notre
de bénéficier des avantages de ce modèle.
expérience dans le domaine de l’externalisation et des
services, à l’échelle mondiale. Il est adossé à plus de
175 centres informatiques, à IBM Research (l’un des plus
E-BUSINESS ON DEMAND
THE NEXT UTILITY
* *
grands organismes de recherche dans les technologies de
* e-business à la demande.
Le nouveau service essentiel
l’information, avec une moyenne de sept brevets par jour),
à l’IBM e-business Innovation Institute et à l’IBM Advanced
Le modèle IBM comprend les composantes suivantes :
e-business Council.
Infrastructure on demand – la plateforme sous-
IBM investit massivement dans le développement de
jacente, est un environnement informatique mutualisé
ses centres d’hébergement internationaux, qui joueront
et évolutif couvrant les services essentiels standardisés
le rôle de “ pivots ” pour l’e-business on demand – avec
et les services de gestion. Les premiers fournissent la
notamment le centre de Montpellier, centre de traitement
“ capacité à la demande ”, et notamment les processus,
informatique d’avant-garde permettant d’accueillir
le stockage et la bande passante ; cette offre bénéficie
des architectures haute disponibilité. Nous concluons
du soutien des puissantes alliances conclues par IBM
également des alliances avec des éditeurs de logiciels et
avec des géants des télécommunications tels qu’AT&T,
des compagnies de télécommunications de premier plan
Qwest Communications, Equinix et Telecom Italia. Les
pour optimiser la délivrance de nos services. Nos offres
services de gestion assurent l’exploitation, l’optimisation et
e-business on demand se concentrent actuellement sur
l’administration de la plateforme technique, qui est à la fois
trois axes :
mutualisée, sécurisée, évolutive, ouverte et fondée sur des
• Achats électroniques (e-procurement)
standards.
• Commerce électronique (e-commerce)
• Business intelligence
Business process on demand – permet aux entreprises
• Services de gestion et d’hébergement d’applications
de disposer rapidement d’applications e-business, et
(Application and managed hosting services)
même de processus complets, via le réseau, payables
• Solutions de stockage (Managed storage)
“ à la consommation ”. Ces services, qui mettent en œuvre
• Diffusion de contenus (Content distribution)
des logiciels préintégrés d’IBM et d’autres grands éditeurs,
• Échange de données et de documents (Data and
couvrent des processus horizontaux (achats électroniques
document exchange)
et business intelligence) et verticaux.
De nombreux projets en cours nous permettront d’étoffer
Know-how – le savoir-faire englobe les services de
encore nos capacités et nos offres.
conseil d’IBM et de ses Partenaires Commerciaux.
À travers notre entité IBM Global Services, leader des
IBM aide déjà des entreprises de tous secteurs à tirer parti
services dans le monde, nos consultants sont en mesure
de l’e-business on demand.
d’assister des entreprises de tout secteur dans le choix
10
Le modèle “ e-business on demand ”
Le modèle e-business on demand d'IBM
Know-how
Propriété intellectuelle
Brevets
Processus
Méthodologies
Services
e-business
Industrie
Distribution
Communications
e-commerce
e-procurement
e-learning
(formation en ligne)
Gestion des licences
Facturation
Intégration
applicative
Gestion du stockage
Business process on demand
Services verticaux (sectoriels)
Service public
Finance
Services horizontaux (transversaux)
Business
intelligence
Ressources
humaines
Infrastructure on demand
Services de gestion
Gestion des applications et des processus
Infrastructure ASP
(Application Service
Provider)
Administration
des utilisateurs
Services de gestion d'infrastructure (réseau, serveur, stockage)
Gestion des
performances
Passerelle sans fil
Réseau privé virtuel
(VPN)
Configuration
et installation
Sauvegarde
et restauration
Sécurité
Diffusion de contenus
(d'applications)
Vidéo Internet
Échange de
documents
Traitement (serveurs)
Stockage
Connectivité
(bande passante)
Supervision
et reporting
Services à valeur ajoutée
Services
administratifs
Services "de base"
Source: Mercer Consulting, IGS Analysis, IBM Research
11
Le modèle “ e-business on demand ”
Des résultats tangibles
Santé
Grâce à l’offre IBM Managed Storage Services, ChartOne
ChartOne, leader de l’administration et de la gestion
ne paie que les ressources de stockage dont la société
des dossiers médicaux, travaille pour des organismes
a effectivement besoin. “ Nous devions faire un choix en
de santé de tous les États-Unis. La société scanne les
amont, explique Sharad Patel, Chief Technical Officer
dossiers papier des patients de ses clients pour qu’ils
de ChartOne : mettre en place nos propres ressources
soient aisément accessibles, via Internet, aux organismes
de stockage et en assurer la gestion et la maintenance,
autorisés. Mais, face à l’augmentation constante des
ou rechercher un partenaire capable de le faire pour
volumes de données, la société a besoin d’une capacité de
nous… La seconde solution nous évitait de gros
stockage toujours plus importante. ChartOne s’est adressé
investissements initiaux, ainsi que l’achat d’une capacité
à IBM pour disposer d’une solution souple et sécurisée de
de réserve destinée à faire face à une augmentation
stockage “ à la demande ”, avec des services de gestion
imprévue de nos besoins de stockage. ”
des données. Le service de “ capacité à la demande ”
a été opérationnel en très peu de temps (beaucoup
En contrepartie d’une redevance mensuelle, IBM fournit
plus rapidement que si ChartOne avait dû le mettre en
une technologie et des processus d’identification
place en interne), générant plus de 4 millions de dollars
perfectionnés, une disponibilité élevée et des services
d’économies sur les dépenses informatiques. Les services
performants de sauvegarde, de sécurité et de reprise.
sont dispensés aux clients de ChartOne par l’un des
175 centres IBM e-business Hosting.
12
Le modèle “ e-business on demand ”
Enseignement
Industrie
Memphis Schools – qui gère le plus grand district
Avec un chiffre d’affaires de 14,5 milliards de dollars,
académique du Tennessee et le vingtième des États-Unis
Goodyear Tire & Rubber Company est l’un des plus
– voulait optimiser de façon significative la fiabilité et
gros fabricants de pneus du monde, et commercialise des
la rentabilité de son réseau, qui compte 180 sites et
pneus et d’autres produits à base de caoutchouc, ainsi que
2000 postes. Ayant estimé qu’il lui faudrait des années
des produits chimiques et des équipements pour l’industrie
pour rassembler les quelque 20 à 30 spécialistes réseau
et l’automobile. Goodyear voulait pouvoir communiquer
nécessaires pour un tel projet, Memphis Schools s’est
plus efficacement avec ses grossistes et offrir un service
tourné vers IBM. En partenariat avec NetSolve, IBM assure
plus performant à ses nombreux distributeurs et détaillants,
la gestion du réseau par des services de télésurveillance
du magasin familial aux plus grands centres commerciaux.
facturés mensuellement. La solution IBM-NetSolve
La solution : XPLOR, un système Web hébergé par IBM
supervise le réseau et transmet les informations collectées
qui permet aux revendeurs de consulter les catalogues
à l’équipe informatique du client via un portail Web. Tous
produits, d’émettre et de suivre leurs commandes,
les mois, les informaticiens de Memphis Schools font le
d’interroger les tarifs et les stocks, et d’obtenir des services
point sur les performances du réseau avec les experts
après-vente – en temps réel. Les fonctionnalités e-business
d’IBM Global Services et discutent des possibilités
du système s’appuient sur la technologie IBM WebSphere.
d’amélioration.
La solution IBM a optimisé les taux de disponibilité
Grâce au service d’IBM, Memphis Schools a pu libérer des
tout en réduisant considérablement les coûts annuels
ressources humaines et matérielles qui peuvent désormais
d’impression, de port et de communication. Elle
se consacrer à la mission première de l’organisme : la
a également raccourci le cycle de traitement des
gestion des écoles. Ce système permet aussi à l’organisme
commandes – qui se fait maintenant en temps réel
d’offrir de nouveaux services, par exemple un cours de
au lieu d’un délai J+1. “ Nous avons bénéficié de la
russe dispensé sur Internet et accessible au plus grand
technologie, du savoir-faire et de la vision à long terme
nombre. “ IBM nous a apporté une solution qui réduit les
d’IBM, commente Duane Hand, E-commerce Manager
risques et garantit la fiabilité de notre réseau, pour laquelle
for Extranet Systems chez Goodyear. La forte implication
nous payons un forfait mensuel très économique ”, conclut
d’IBM à nos côtés a été et reste un élément décisif. ”
Linda Mainord, directrice informatique de Memphis
Schools.
13
Le modèle “ e-business on demand ”
Grid Computing : la perspective d’une infrastructure intelligente et autogérée
“ Un grid [informatique] est analogue à un réseau électrique. Son objectif est de fédérer
des ressources distribuées et de les rendre accessibles de façon cohérente et peu
coûteuse, indépendamment de leur emplacement physique. ”
— IEEE Distributed Systems Online7
Pour que l’e-business on demand puisse fonctionner à pleine puissance, l’infrastructure informatique globale doit
évoluer vers l’informatique autonome (autonomic computing – des systèmes autogérés) et le partage des ressources.
Le “ Grid Computing ” (calcul intensif distribué) prépare l’avènement de cette infrastructure “ intelligente ” en lui
apportant la souplesse et la fiabilité, en favorisant le partage collaboratif des ressources et en abaissant le coût de
l’informatique. Composé de quantité de serveurs reliés logiquement à Internet par des protocoles et des logiciels
Open Source, un réseau Grid permet de constituer une communauté virtuelle sécurisée offrant aux entreprises un
accès partagé à des applications, à des données et à de la puissance de calcul qu’elles utilisent en fonction de
leurs besoins. Un Grid fonctionne de façon autonome : les demandes et les activités sont gérées sans intervention
humaine, d’une manière fiable et sûre, 24 heures sur 24. D’abord mis en œuvre dans des applications scientifiques
et techniques, les systèmes et les services Grid seront bientôt étendus au monde des affaires. IBM, qui est impliqué
dans plusieurs projets de Grid Computing, est à la pointe des travaux conduits dans ce domaine.
La National Science Foundation a signé récemment avec IBM, Intel et Qwest Communications International un
contrat portant sur la mise en place d’un “ Teragrid ” d’un coût de 53 millions de dollars. Ce système Grid, qui devrait
être achevé en 2003, reliera 3300 processeurs, disposera d’une capacité de stockage de 600 millions de téraoctets
et pourra traiter près de 13,5 trillions d’opérations par seconde sur un réseau très haut débit – 40 gigabits/seconde,
presque 16 fois plus que les réseaux de recherche existants.8
IBM et MCNC, un organisme à but non lucratif qui a pour mission de fournir des technologies informatiques favorisant
le développement économique en Caroline du Nord, ont annoncé une alliance portant sur le développement de
l’un des premiers réseaux Grid des États-Unis dédié à la recherche dans les sciences de la vie. Le North Carolina
Bioinformatics Grid, auquel contribuent plus de 60 entités du monde universitaire, commercial et biomédical,
permettra à des milliers de chercheurs et d’enseignants de Caroline du Nord de conduire plus efficacement leurs
travaux en génomique – et d’aboutir plus rapidement à des découvertes susceptibles de faire régresser les maladies
et d’assurer la sécurité alimentaire mondiale.
IBM va également participer à l’édification du U.K. National Grid et a entrepris le développement de son propre Grid,
composé de 50 parcs informatiques situés en divers points du globe. Nous avons en outre bâti un Grid reliant nos
différents laboratoires de recherche et développement dans le monde.
14
Le modèle “ e-business on demand ”
En France, le 15 novembre 2001, l’AFM et IBM lancent officiellement l’opération Décrypthon. L’objectif ? Faire
participer les internautes à un défi scientifique majeur – la cartographie des protéomes – grâce à l’apport des dernières
technologies informatiques, notamment le Grid Computing ou informatique distribuée.
Parce que l’urgence demeure pour les malades, la réussite de ce projet est essentielle pour l’AFM : la base de
données développée et gérée par Genomining doit permettre aux chercheurs de progresser plus rapidement dans la
compréhension des maladies génétiques et dans le développement de nouvelles solutions thérapeutiques.
Une première nationale : une mobilisation unique des internautes pour un projet inédit en France.
La phase de calcul du Décrypthon s’est achevée en mai 2002. Grâce aux 75 000 PC d’internautes et d’entreprises
qui y ont participé, ainsi qu’aux technologies et au savoir-faire des équipes d’experts d’IBM Global Services, en
partenariat avec Genomining, le défi humain et technologique lancé lors du Téléthon 2001 a pu être relevé. La phase de
comparaison exhaustive de 500 000 protéines du monde vivant vient de s’achever avec succès. La base de données
ainsi obtenue sera validée et mise en forme par Genomining, avant d’être remise aux chercheurs en septembre.
La mobilisation des internautes au Décrypthon a été unique : sur 180 000 PC inscrits au démarrage de l’opération,
75 000 PC ont effectivement participé en mettant leur puissance inutilisée à la disposition du Décrypthon. Il a été ainsi
possible d’effectuer les calculs liés à la comparaison une à une des 500 000 protéines identifiées à ce jour, en moins de
deux mois, un temps record !
Chaque ordinateur a contribué à hauteur d’environ 133 heures, soit plus de 10 millions d’heures de calcul, au total. Pour
comparaison, si l’on n’avait utilisé qu’un seul ordinateur standard, ces calculs auraient pris environ 417 000 jours, soit près
de 1 170 ans… C’est la première fois en France que les internautes se mobilisent sur le plan national, pour un tel projet
scientifique, utilisant les toutes dernières technologies informatiques, notamment le calcul distribué.
Un défi rendu possible grâce à l’innovation technologique d’IBM et à l’expertise projet des équipes d’IBM Global
Services. Afin de réaliser ce défi, les équipes d’IBM Global Services ont mis en œuvre avec Platform Computing pour
la partie logicielle, la technologie innovante du Calcul Distribué sur Internet, permettant dans le cas présent, l’utilisation
des puissances inexploitées des ordinateurs personnels de dizaines de milliers d’internautes. Les équipes d’experts
IBM ont conçu l’architecture la mieux adaptée pour gérer l’ensemble de ce projet, y compris la mise en place et le suivi
des infrastructures et des applications liées au projet. Ainsi, les 21 serveurs IBM ont hébergé l’ensemble des solutions
et des données pendant toute la durée de l’opération.
15
Agissez dès maintenant
Vous pouvez profiter sans attendre de l’e-business on
demand. IBM vous propose une plateforme qui peut
faciliter l’alignement des services informatiques sur vos
besoins actuels et futurs tout en réduisant leurs coûts.
Pour en savoir plus sur les offres IBM e-business on
demand, visitez :
ibm.com /e-business/fr/ondemand
Pour en savoir plus sur IBM Global Services, contactez
votre ingénieur commercial IBM (ou, le cas échéant, votre
Partenaire Commercial IBM). Vous pouvez également
visiter :
ibm.com /services/fr
1
Références
Lou Gerstner, discours prononcé à l’eBusiness Conference Expo, New York,
décembre 2000.
2
“ Making the Case for IT Investments ”, National Post Online,
4 septembre 2001.
3
John III Hagel et John Seely Brown, “ Your Next IT Strategy ”, Harvard
Business Review, octobre 2001.
4
Dylan Tweeney, “ The Defogger : How to Beat the High Cost of Storage ”,
Business 2.0, juillet 2001.
5
Larry Greenemeier et Martin J. Garvey, “ IT on Tap ”, InformationWeek,
23 juillet 2001.
6
Bruce Caldwell, “ Solutions Outsourcing : Opportunities and Threats. End
User Survey ”, 19 novembre 2001, Gartner, Inc.
7
IEEE Distributed Systems Online, 2 octobre 2001.
8
David Orenstein, “ Give It to a Grid ”, Business 2.0, décembre 2001.
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