effets des progres techniques sur les conditions de travail et d
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effets des progres techniques sur les conditions de travail et d
ORGANISATION INTERNATIONALE DU TRAVAIL Réunion paritaire sur les conditions de travail et d'emploi dans les services des postes et télécommunications Genève, 1977 EFFETS DES PROGRES TECHNIQUES SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ET D'EMPLOI DANS LES SERVICES DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS Bureau International du Trava Genève II II I IIII I I 48469 1111 II ISBN 92-2-201679-3 Première édilion .1977 Les désignations utilisées dans cette publication, qui son conformes à la pratique des Nations Unies, et la présentation des données qui y figurent n'impli uent de la part du Bureau international du Travail aucune prise de position quant au statut juridiqu de tel ou tel pays ou territoire, ou de ses autorités, ni quant au tracé de ses frontières. Les articles, études et autres textes signés n'engagent que le rs autçurs et leur publication ne signifie pas que le Bureau international du Travail souscrit aux opin ons qui y sont exprimées. Les publications du Bureau international du Travail peu ent être obtenues dans les principales librairies ou auprès des bureaux locaux du BIT. On peut a ssi se les procurer directement, de même qu'un catalogue ou une liste des nouvelles publications, à 'adresse suivante: Publications du BIT, Bureau international du Travail, CH-121 I Genève 22, Suiss Imprimé par le Bureau international du Travail, Genéve, Suiaae TARLE DES MATIERES INTRODUCTION - LES SERVICES DES POSTES ET TELECOMÎ4UNICATIONS CHAPITRE I 5 Evclution du trafic des services 7 Evolution dans l'exploitation et la conception des services 9 Statut juridique 10 Autonomie administrative et financière 12 CHAPITRE II - LE PERSONNEL DES SERVICES DES POSTES ET TELECOMNUNICATIONS 14 Statut juridique du personnel 14 Personnel de complément 17 Niveau de formation du personnel 20 Répartition du personnel par catégories d'emplois 22 Les classes d'Age 22 Emploi des femmes 23 CHAPITRE III - LES CHANGEMENTS TECHNOLOGIQUES 29 La mécanisation dans les services postaux 30 L'automatisation des télécommunications 33 Les applications des ordinateurs dans les postes et les télécommunications 35 Méthodes et organisation 38 CHAPITRE IV - LES EFFETS DES CHANGEMENTS TECHNOLOGIQUES SUR L'EMPLOI ET LES CONDITIONS DE TRAVAIL 39 Productivité accrue 39 Effets sur l'emploi 40 Portée des réductions de personnel Mesures prises en cas d'excédents de personnel Emplois nouveaux Influence sur la structure du personnel et sur la carrière Formation professionnelle complémentaire F-2321-3TN :15 40 42 46 47 50 Effets sur les conditions de travai 57 Rémunération Organisation du temps de travail Satisfaction au travail Environnement et santé 57 60 CHAPITRE V 62 65 - INFORNATION ET CONSULTATI N DU PERSONNEL .... 70 CONCLUSIONS 76 POINTS SUGGEBES POUR LA DISCUSSION 81 * ANNEXES - STATUT DES SERVICES DE POST S ET TELECONX4UNICATIONS 83 - STATUT DU PERSONNEL 93 ANNEXE III - EVOLUTION DU TRAFIC 108 ANNEXE I ANNEXE II EV0J.ution au cours des dernière Evolution et perspectives pour de pays années 109 n certain nombre 126 1. Evolution du trafic postal 3. Evolution du trafic télex 4. Evolution du trafic télégr phigie 5. Evolution des services fin nciers 126 128 129 130 132 - FLUCTUATIONS DU TRAFIC ET H SURES PRISES EN NATIERE DE PERSONNEL ...... 134 - REPARTITION DU PERSONNEL EN RE POSTES ET TELECONHUNICATIONS 9 145 - REPARTITION DES EFFECTIFS D POSTES ET TELECONNUNICATION PERSONNEL LES PAR CATEGOBIES ... 149 ANNEXE VII - REPARTITION DU PERSONNEL PA CLASSES D'AGE .... 185 2. EvoJ.ution du trafic télépli nigue ANNEXE IV ANNEXE V ANNEXE VI NTEODUCTION La Commission paritaire de la fonction publique, lors de sa première session, en 1971, a demandé, notamment dans une résolution concernant les activités futures de l'OIT dans le domaine de la la convocation d'une commission paritaire publique, fonction d'experts qui serait chargée d'examiner les conditions de travail et d'emploi dans les services des postes et télécommunications, sur la base d'une étude à effectuer en coopé]ation avec l'Union postale universelle et l'Union internationale des télécommunications. d'admiLorsque, à sa 194e session (novembre 1974), le Conseil nistration du Bureau international du Travail n fixé le Programme des activités industrielles pour la période biennale 1976-77, il a décidé de donner suite à cette requête. le Conseil n considéré que "les En prenant cette décision, effets de l'évolution technique actuelle sur le niveau de l'emploi, les qualifications, la formation, les perspectives d'avancement et les autxes aspects de l'emploi du personnel des postes, télégraphes téléphones préoccupent de plus en plus les organisations de traet vailleurs de ces services, de même que leurs employeurs; l'agitation sociale, la pénurie de personnel et d'autres symptômes de ces problèmes ont donné lieu récemment à des discussions dans l'opinion publique d'un certain nombre de paysi. L]. a donc été convenu que l'accent serait ais sur l'effet des récents progrès techniques Sur les conditions de travail et d'emploi du personnel de ces services. (UPU), l'intérêt pour Au sein de l'Union postale universelle questions de personnel s'est manifesté dès 1962 quand le comité a (CCEP) de gestion du Conseil consultatif des études postales reconnu l'utilité d'inclure dans le plan des travaux futurs du CCEP l'étude sous ses différents aspects du problème du personnel2. les En 1975, le CCEP a précisé qu'il "importe... de prêter attenaux résolutions et recommandations... de l'OIT lors des études effectuées par ladite organisation sur les problèmes du travail, étant donné qu'elles peuvent constituer des éléments utiles pour ltorganisation et le développement des ressources humaines dont les administrations postales disposent"3. tion Quant à l'union internationale des télécommunications, c'est de longue date qu'elle 5jfltresse aux problèmes de personnel, sous l'angle plus particulier de la formation. En vue de la Réunion paritaire sur les conditions de travail et d'emploi dans les services des postes et télécommunications, le BIT a préparé un questionnaire qu'il a adressé aux Etats Membres. tDocument GB.194/IA/l/5, annexe, paragE. 43. 2Tendances princi2ales du dévelo22ement et du roqrès technique services ostux au cours des 15 à 20 2rochaines années, Etudes postales, n0 47 (Berne, UPU, 1963), p. 55. des 3"Problèmes de personnel et organisation du travail dans les établissements postaux", Etudes du Conseil consultatif des études (Berne, UPU), n0 11/12, nov.-déc. Union postale postales (CCEP), 1975, p. 303. -2Les pays suivants ont répondu à ce fédérale d'llemagnel, Arge Bangladesh, Barbadet, Belgique, Bénint, B Cameroun, Canada, Chili, Co].ombie, Cd Salvador, Equateur, Etats-Unis, Finlan Guatemala, Honduras, Hong-kong, Hongriel, Italie, Japon, Luxeiabourg, tiaurice, M Nouvelle-Zélande, Ouganda, Pakistan, Pays République démocratique allemande, Ho Singapour, Sri Lanka, Suède, Suisse', Tunisie, Turguie, URSS1. RépubJ.igue guestionnaire Algériel, tine, Australie, Autriche, ésili, Bulgarie, Burundi', e-d'Ivoire, Danemark, El e, France, îles Gilbert, Ind.e, Indonésie, Irlande, xigue', Nigéria', Norvège, Bas, Pérou, Philippines, aume-Uni, îles Salomon', chad', Thailande, Tonga, Dans certains cas, les organisations syndicales intéressées ont été consultées par le gouvernement avant l'élaboration de la réponse; dans d'autres, les organisations c ncernées ont souscrit à la réponse officielle sans y ajouter d'obser ations. Un certain nombre d'organisations syndicales ont communiqué leurs propres commentaires soit directeine t au Bureau, soit à ternationale du personnel des postes, télégraphes et téléphones (IPTT), qui les a transmis au Bureau. Le BIT tient à adresser ses remercie ents à ces gouvernements et à ces organisations syndicales. Les réponses au questionnaire forme .t la matière principale de cette étude. Divers autres documents ont cependant été utilisés, parmi lesquels il faut particulièrement m ntionner les recherches de l'UPU, publiées dans la collectio1 "Etu .es postales", divers artides du Journal des télécommunications (Urr), plusieurs études effectuées par l'Internationale du person el des postes, télégraphes et téléphones, ainsi que divers ouvr ges de portée générale. En outre, le Bureau a consulté l'upu et l'UI Malgré cette diversité de sources, le Bureau n'a pu réunir to tes les informations qu'il aurait été souhaitable de rassembler. En 'articulier, la nécessité de respecter les délais requis pour la raduction, la reproduction et l'envoi du rapport l'a empêché d'int .grer dans son étude le contenu d'un trop grand nombre de répons s tardives. La description qu'il présente est donc forcément lacunai e. C'est ainsi que la situation des pays socialistes et celle des pays: en voie de développement ne sont que très imparfaitement reflétées. Les conclusions gu'iJ. avance souffrent donc d'une certa ne fragilité. Le Bureau espère que les délibérations de la réunio n'en seront pas affectées à l'excès et qu'elles permettront de compléter les informations données ici. L'objet du présent rapport n'est pa de dresser un tableau d'ensemble des conditions d'emploi et de travail dans les postes et télécommunications; un ouvrage considérab e e'Gt été nécessaire à cette fin. Conformément à la décision d Conseil d'administration, on s'est borné à circonscrire les dom mes où les changements technologiques ont exercé des effets e à relever les mesures qui ont été prises dans les différents pays p ur remédier à ceux de ces effets qui heurtaient les intérêts des tr vailleurs. Cependant, afin de mieux situer la question, on s'est e forcé de retracer le cadre général dans, lequel ces changements se sa t produits. 'Pays dont la réponse, arrivée tr p tardivement, n'a pu être prise en considération ou ne l'a été que artielleinent. -3Dans cette optique, le chapitre premier esquisse une description générale des services des postes et télécommunications. Le chapitre II présente quelques aspects propres à son personnel, tandis que le chapitre III décrit en termes généraux les changements technologiques survenus au cours de ces dernières années et, plus en détail, les plus marquants d'entre eux. Dans le chapitre IV, on s'efforce de dégager les principales conséquences de cette évolution sur l'emploi et les conditions de travail. Le chapitre V indique de quelle manière on a organisé l'information et la consultation du personnel au sujet des changements, et comment les travailleurs ont Enfin, dans les conclusions, on a accueilli ces transformations. tenté, avec la prudence qu'imposait le caractère f ragnientaire des informations recueillies, de dégager une synthèse, et on a présenté une liste de points que la réunion souhaitera peut-être adopter comme ligne directrice de ses débats. est complété par un corps assez volumineux Le rarport d'annexes. Celles-ci contiennent une masse de renseignements gui ne dans les chapitres toujours commentés) (ni sont pas reproduits correspcndants. Il convient donc, en lisant ceux-ci, de se référer Celles-ci présentent en outre certaines constamment aux annexes. données qui ne sont pas indispensables à l'objet du rapport, mais qu'il a paru utile de reproduire en raison de l'intérdt qu'elles offrent comme toile de fond. -5CHAPITRE I LES SERVICES DES POSTES ET TEL0I1fiUNICATI0NS Les postes et télécommunications, du fait échanges sociaux, culturels et économiques, se des instruments indispensables à de multiples humaine, et on les considère aujourd'hui comme frastructure générale. de leur raie dans les sont imposées comme aspects de l'activité des éléments de l'in- Sur le plan économique, des services de postes et télécommunications efficaces constituent un important facteur de développement; récijroquement, une économie dynamique entraîne une expansion de ces A côté de l'expansion économique, la croissance démograservices1. phique, la concentration urbaine, la configuration géographique et les réseaux de transport existants ont une influence déterminante sur le développement des postes et télécommunications. En France, par exemple, un tiers du personnel des PTT est concentré dans la région parisienne. L'Inde connaît dans ce domaine une évolution inil y avait, en 1975, 117.539 bureaux de poste dans le téressante: pays, dont 105.71.3 dans des régions rurales et 11.509 dans des centres urbains, et chaque bureau desservait en moyenne L4.686 personnes sur 27,37 km2, alors qu'en 1971 chaque bureau devait desservir en moyenne 10.026 personnes dans un rayon de 91,12 km2. A titre indicatif, on trouvera dans le tableau 1, pour un certain nombre de pays, la superficie mise e rapport avec la population et avec le nombre de personnes occupées dans les services des paru intéressant d'y ajouter a télécommunications. Il postes et l'indication du produit intérieur brut (PIB) par habitant, bien que ne soient pas nécessairement identiques à les dates de référence celles des données relatives à la population et au personnel des postas et télécommunications, afin de mettre en lumière la relation entre le développement de l'économie en général et celui du sectéur en question2. 'Voir Tendances rinciales du déveloement et du 2rorès techserviCes_postaux au cours des 15 à 20 prochaines ànnées, Etudes postales, nO 47 (Berne, UPU, 1963). nue des 211 tions de cés, ont séquent gurent à faudrait toutefois tenir compte du fait que les améliorala productivité, plus marquées dans les pays les plus avanfreiné l'accroissement des effectifs. Il convient par conde rapprocher les données du tableau 1 de celles qui fil'annexe III concernant l'évolution du trafic. -6Tableau 1 postes et télécommunications Efectits du persgn daps un certain nombre.pX Superficie en (milliers de km2) Pays RP d'Allemagne Argentine Australie Autricbe Bangladesh Belgiguè Brésil Caseroun Canada Co].cmbie Côte-d'Ivoire Etats-Unis Egùateur Finlande France 11es Gilbert Honduras Hong-kcng Inde Indonésie Italie Japon Luxembourg 2148 1 0814 7 678,7 83,8 142,7 11,7 8 511,9 1474 9 221 1 138 322,4 9 191,8 270,6 305,7 543,9 Norvège Nouvefle-Zélande Quganda Pakistan Pays-Bas Pérou Phi1iy.ines République démocratique allemande 1oyaume-Uni Singapour Sri t.azka Suède Suisse Thailande Tunisie Turguic en 62 23 12 7 .1]. 1 3 053 1 900 301,2 372,4 2,5 323,8 268,7 236,8 801,4 33,8 1 285,2 300 108 229,8 0,6 64,6 411,4 41,3 514 164,5 780 6 198 1 4782 5 4482 061 390 755 456 9 97 5 4 729 925 836 568 17 4 211 7 484 630 390 048 598 14 4. 382 793 5 1451 7682 3Q32 6 463 4392 5552 6 597 535 14 706 5 067 52 6714 2 3 547 118 53 653 936 949 459 - 330 1566 2 4 6 514 917 109 750 357 826 3 874 2 862 11 000 61 693 5 l4l 1282 5 109 473 359 35 590 17 55 2 12 8 6 38 5 35 ll0 1272 706 152 214 641 825 '4 417 13 0146 1.3 538 068 514 219 711 076 269 658 179 666 Sources: a) Superficie: Oxford Economic pnuaire b) Population: BIT: 1975. bitant (1974) 71 1479 1 1,8 1auricE P18 par ha- Personnel PTT (milliers) 1 en en (dollars EU) (milliers) Population - 3 375 2 389 236 6 876 6 930 323 626 - 105 125 58 115 82 150 1,3 95,54 17 14 1 61405 1,4 52 387 0,1 2,6 9,7 653 37,14 177 735,9 1,9 0,6 38,8 38,9 2,6 51,6 87,7 8 12 134,5 434 9 29 99,7 50 14,5 5,9 52,3 14e éd. 4tatjstiques du travail, I PIB: Nations Unies: Annuaire 1tatistiue, 1975. d) Personnel: réponses au questinnaire. C) 477 -7IDates diverses. 21973. l972. 4Postes, 50 800; télécommunications (Beli), 44 700. Services postaux: 667.000 (réponse au questionnaire); télé0f Labor, Bureau 0f Labor (US Departaent 60.000 environ phone: 1785-143).. Statistics: Lié à l'évolution démographique et à l'expansion économique, le volume du trafic postal et des télécommunications a augmenté dans tous les pays1. On trouvera à l'annexe III, d'une part, une série de tableaux 1975 et et montrant l'évolution du trafic constatée entre 1966 prévue pour 1985, et, d'autre part, une série empruntée à l'Annuaire statistique des Nations Unies et montrant l'évolution du trafic dans la plupart des pays de 1966 à 1974 pour le courrier postal, de 1967 à 1974 pour le service télégraphique et de 1970 à 1974 pour le téléphone. Bien que ces deux. séies ne soient pas superposables, et sans voulpir entrer dans des explications détaillées qui seraient étrangères à l'objet de ce rapport, il a paru utile de les présenter pour préciser autant que possible l'importance des services rendus par les postes et télécommunications. En outre, les principaux commentaires formulés en réponse au. questionnaire du Bureau sont résumés ci-après. (courrier, le nombre des articles Dans les services des 2Qt transportés a augment4 ces dix dernières années selon un taux de 3,4 pour cent par an en Norvège, de 4,5 pour cent au Japon et en de 7 pour cent aux Philippines; il a décuplé au Brésil. Bulgarie, une dans cette évolution: la Belgigue note !rrois exceptions des envois, le Chili connatt un trafic globale diminution stationnaire depuis 1968, le Royaume-Uni signale une diminution du nombre d'articles transportés depuis 1973. L'évolution prévue pour les dix prochaines années dans les services postaux est celle d'une augmentation du trafic, dont les taux la varient, par exemple, de 1 à 2 pour cent par an pour la Suède, Coloinbie et l'Australie, de 2 pour cent pour la Norvège, de 3 pour de 5 pour cent pour la cent pour la Côte-d'Ivoire et le Japon, BulgariE, de 3 à 7 pour cent pour Singapour, de 7 pour cent pour les Philippines. Le Royaume-Uni ne prévoit qu'une augmentation minime, la tendance étant incertaine en raison de la situation économique Les prévisions de la BeJ.gique indiquent une légère actuelle. diminution du trafic. Aux Etats-Unis également, les services tenant compte d'une croissance économique ralentie et des postaux, pressions inflationnistes, prévoient un déclin du volume du courrier dans les cinq prochaines années. IDans une recherche publiée en 1963., l'Union postale universelle rapportait que, selon les estimations des administrations, le trafic postal serait multiplié par un facteur de 1,5 à 4 entre 1960 et 1980. Les taux moyens dans différents pays pour l'ensemble du (UPU) trafic postal seraient de 3 à 8,8 pour cent. (fl_jj2.f dR déve1o2Rnt.. des servicesQux..., -8L'augmentation dans le volume du dernières années est importante: les ch des cas, doublé entre 1966 et 1975. Certa teignent 12 pôur cent par an. On ne note ficatif dans l'évolution du trafic, et le dans le sens d'une augmentation. Les taux de 6,4 pour cent par an pour le Roya Bulgarie, de 12 pour cent en Autriche et Hong-kong. Le Japon ne prévoit qu'une a ic téléonque de lignes qui pourront être mises à la di Pour le éleç, les statistiques années dénotent une augmentation continue dans le même sens. Le Japon seul prévo une diminution due à l'augmentation du vo données et des fac-similés. position des usagers. couvrant les dix dernières et les prévisions vont ces dix f fres ont, dans la plupart ns taux d'augmentation atas de fléchissement signiprévisions vont toutes d'augmentation prévus sont me-U1ni, de li pour cent en unisie, de 15 pour cent à gmentation modérée. L'Inde se borne à noter que les calculs prévisio nels dépendent du nombre t une stabilisation, voire urne de transmission des Le secteur des se distin2ue par une franche diminution du trafic durant les dix dernires années dans plus de la moitié des pays qui ont fourni des indica!tions sur ce point dans leur réponse au questionnaire. Il s'agi dans tous les cas de pays déve1opés: Australie, Autriche, Belgi ne, Brésil, Etats-Unis (Western Union), Finlande, France, Irlande, Italie, Japon, Luxembourg, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Royaume-Uni, Singapour (stabilisation) ; seule, dans ce group la Beigigue prévoit une augmentation dans les prochaines années. pour les autres pays qui, sauf la Su de, n'appartiennent pas au groupe des pays les plus avancés, les s rvices télégraphiques se sont développés au cours des dix derniè es années et un nouvel accroisseroent est prévu pour les années à y nir: A1gentine, Bulgarie, Chili (prévisions: augmentation de 4,8 p ur cent par an), Col000bie, îles Gilbert (en dehors de la ville de Tarawa, toutes les communications se font par télégraphe) Ind:e, Indonésie, Nigéria, Pérou, Suède, hailande, Turguie. Pour u certain nombre de ces pays, le télégraphe est un instrument important de communication maritime. Dans les services finançjrs, qui cc sortent les taux, virements, mandats et, parfois, 1' certaines régressions du nombre des opéra lée. Dans la plupart des cas, une augni l'ensemble des services financiers, s tendance à la diminution des opérations e remarque une diminution constante des chèques pos- arg:ne postale, on observe ions sur la décennie écountation est prévue pour me si on note une certaine numéraire. Cependant, on services financiers en Australie, où il est prévu que cette dimi ution persistera. En résumé, le volume des services re dus, au cours des dix dernières années, par les postes et téléc romunications dans leur ensemble a connu une augmentation considéra le et assez régulière, et il est vraisemblable que cette expansi n continuera, même si certains services croissent plus rapidement ue d'autres. -9ns l'exoittion et_1k concetjo des services volution L'expansion générale des services de postes et télécommunications dans la dernière décennie, le mangue global de main-d'oeuvre dans les pays industrialisés, la technicité de plus en plus grande des sociétés industrielles et le besoin de communications rapides et sôres ont conduit à des modifications technologiques nombreuses, voire à des innovations dans ce secteur. Certains de ces changements seront décrits plus loin. Qu'il suffise de mentionner ici que les innovations les plus spectaculaires, comme l'utilisation des satellites dans les télécommunications, coexistent avec des modifications plus discrètes, telles la généralisation de l'emploi des ordinateurs, l'automatisation d'un grand nombre d'opérations, l'amélioration de certains matériels, gui ont déterminé, dans les services de postes et de télécommunications, La une évolution profonde et qui est loin d'ôtre terminée. technologie des télécommunications fait appel aux techniques les plus avancées; dans les postes, en revanche, il s'agit plutôt de la mécanisation, quelquefois de l'automatisation, d'un certain nombre de manipulations. Cette différence importante ressort très nettement industrie de des réponses au guestionnaire les postes sont un utilisant du personnel manuel pour la plupart; quant main-d'oeuvre, aux télécommunications, elles exigent d'importants investissements en capital et requièrent un personnel hautement qualifié. services postaux sont si les Du point de vue économique, souvent déficitaires, les télécommunications, gérées sur la base de critères d'efficacité et de rentabilité, sont en général bénéficiaires. On voit ainsi se dessiner une tendance à la séparation des moins au niveau de l'organisation. au deux types de services, Cependant, les méthodes d'exploitation de type commercial adoptées par les télécommunications semblent s'imposer de plus en plus dans les services postaux également. Il en résulte que les services des postes et télécommunications tendent à prendre une place à part arini les services publics. Cette tendance se marque surtout par une certaine autonomie, notamment en matière de gestion. Parf ois, elle se traduit par une décentralisation: la Colombie, par exemple, désigne son administrapostale nationale comme étant une institution publique tion décentralisée; le Honduras, de son côté, signale que ses services et télécommunications seront transformés en une des postes entreprise publique décentralisée à partir de janvier 1977. Ailleurs, il s'agit d'une réorganisation totale, comme c'est le cas au Royaume-Uni, où le Post Office comporte quatre divisions distinctes les télécommunications, le les services postaux, et autonomes: traitement des données et les services financiers. Une restructuration des postes et télécommunications est à l'étude au Danemark, avec réorganisation et introduction de nouveaux principes de gestion (comme, par exemple, certaines délégations de responsabilité et de ccmpétence au personnel). La notion d'entreprise publique apparatt souvent dans les n fait, dans ces cas, l'entreprise est réponses au questionnaire. et son une réglementation juridique particulière, à soumise autonomie financière est en général très étroitement délimitée; en ce qui concerne les prestations, l'entreprise est d'autre part, tenue d'offrir des services au plus grand nombre possible de personnes, à des prix tarifés, parfois à perte. - 10 - "service pub ici' conserve donc, dans La conception de techniques l'ensemble, sa valeur malgré l'int odudtion de commerciales dans les postes et té]. communications. titre À d'exemple, on notera la formulation austr lieine (loi de 1975 sur a les télécommunications, article 6): commis±on exerce ses fonctions de manière à répondre au mieux ux besoins sociaux, industrie].s et commerciaux du peuple australie en matière de services de télécommunications, et, pour autant qu'el e le juge raisonnablement la commission met ses services à la disposition de toutes possible, les personnes dans toute l'Australie qui n font raisonnablement la demande." On trouve une formule analogue dans la description des buts du Post Office du Royaume-Uni. La Tunisie décrit ainsi sa situation: "Bien qu'étant considérée coame une entreprise publique à caractère industriel et commercial, conpte tenu de ses activités n'est dotée ni de la essentielles, PAdministration des PT personnalité morale, ni de l'autonomie fiancière et se trouve par conséquent soumise au régime juridique d'hin service d'Etat." Ces deux conceptio, celle de se vice social ou service public, et celle d'entreprise commerciale, sont à certains égards antagonistes et ne manquent pas de réei des malaises quand il s'agit de l'organisation, de la gestion, aire de la définition des services de postes et télécommunications. Statut juridiue les remarques gui précèdent le laissent entrevoir, il Comme est diffic.i.le de classer les services de postes et télécommunica- tions d'après un statut juridique précis. Parmi les pays pour lesquels des renseignements étaient disponibles, près des quatre cinquièmes ont des adjiinistrations des PTT plus ou moins décentralisées, rattachées au système des services publics. Dans trois cas sur quatre, il s'agit d'une administration unique; pour le reste, ce sont deux admi1nistations séparées, l'une pour les postes (parfois postes et télégraphe), l'autre pour les télécommunications. De la notion de srvice public, certains pays sont passés, comme on l'a déjà vu, à une conception d'entreprise publique: il s'agit surtout de conférer un caraàtère p.us "commercial" à l'entreprise, qui jouit, en général, d'une cetaine autonomie administrative, mais dont le budget reste intégré ou annexé au budget de l'Etat. En matière de gestion financière, les coûts doivent être couverts par les revenus, et les prix sot en général calculés sur la base du prix de revient. I la plupart des pays qui ont r4ond* au questionnaire, les services postaux sont une administration publique. Si, dans certains pays, ils fonctionnent comme ne entreprie à caractère commercial, ils ne sont nulle part constitués en sociétés. Les Etats-Unis sont un cas particulier: depuis 1971, le servJce postal y est un "établissement autonome rattaché à l'exécutif du qouverneinent". Dans Dans un certain nombre de pays, les télécommunications sont partiellement ou totalement gérées, soit par 1ne société à capital d'Etat, soit par une société à participatiox majoritaire de l'Etat et dont le statut juridique varie de corporation d droit public à société privée ou mixte. Dans la plupart des cas, ces sociétés sont d'un soumises à l'autorité et au contrôle, au soins indirect, ministère ou d'un département d'Btat. Enfin, dans quelques pays, les télécommunications sont entièrement ou partiellement entre les mains de sociétés privées. Dans ces cas aussi, l'Etat exerce un contrôle, soit par le biais de réglamentations générales du secteur des télécommunications, soit par l'intermédiaire de commissions spéciales chargées de la coordination et de la surveillance des télécommunications. Il faut noter finalement quelques situations particulières: en Turquie, l'administration des postes et télécommunications est semigouvernementale; les services des postes et télécommunications de l'ouganda, du Kenya et de la Tanzanie font partie d'un service régional de l'Afrique orientale depuis 1967; les télécommunications internationales sont gérées par l'East African External communications Limited. Le statut des postes et télécommunications dans une quarantaine de pays pourrait 6tre somwairement présenté comme suit: PTIj une seule adminij: Algérie, République fédérale d'Allemagne, Autriche, Bangladesh, (ministère), Cameroun, Danemark (rattachée au minisBulgarie plus trois Pinlande tère des Travaux publics), El Salvador, compagnies privées de téléphone), Prance, Ghana, tles Gilbert (département du Irlande Irak, du gouvernement), (division gouvernement), Luxembourg, Badagascar, Maurice (département du gouvernement), NouvelJ.e-Zélande (département du gouvernement), démocratique allemande, Soudan, Sri Lanka, Pérou, République Tiiaîlatde (département du gouvernement), Tunisie. Deux admiistations sépées: Australie (Postai. Commission; Telecommunications Commission), (deux régies), Colombie (l'administration postale naBeigique tionale est un "institut public décentralisé"; les télécommunications ont la forme d'une entreprise publique), Inde (deux dé"entreprises (deux partements du gouvernement), Indonésie (deux "agences autonomes", plus quelques sod'Etat"), Italie enciétés privées), Malaisie (les télécommunications sont une (deux Pakistan, Philippines Norvège, publique), treprise des bureaux relevant du département des Travaux publics, (deux administrations Suède Transports et Communications), conçues comme des entreprises commerciales), Tonga. Au Canada, les postes sont une administratiqn; diverses sociétés privées desservent les télécommunications. Une seule enrise ub),qj: (Empresa nacional de Correos y Telégrafos (Encotel); Argentine pour les télécommunications, cette entreprise publique est de Correios e de (Empresa Brasiléira Brésil privé), droit Telégrafos: gère 50 pour cent des communications télégraphiques et la totalité des communications entre Etats fédérés), Côted'Ivoire (office), Haute-Volta (office), Pays-Bas (rattachée au ministère de la Circulation), Royaume-Uni (Post Office: relève - 12 - du département de l'Industrie et omporte guatre divisions séparées: services postaux, télécom unications, traitement des données, services financiers), Suiss Tchad (Office des postes et télécommunications). Socités de télécommunicpious (d'Et t ou à participation d'Etat): Argentine (Empresa nacional de te Chili (Empresa naciona]. de telecoinun de teléfonos de Chile),, Espagn responsabilité limitée: 50 pour l'Etat), Hong-kong (Hong Kong T compagnie publigue), Italie (Azien Telefonici: société à responsabi]. Telegraph and Te].ephone public Corp (Telecommunica tians Authority 0f Sin ecomunicaciones (Entel)), caciones (Intel), Compaflia (compagnie nationale à ent de participation de lephone Company Limited: statale a dei Servizi té limitée), Japon (Nippon ration (NTT)), Singapour apour incorporated). Barbade (Cable and Wireless Limited) télégraphe), Canada (Bel]. Corpora Chili (ITT Comunicaciones mundial sociétés de téléphone concessionnair American Telephone and Telegraph nombreuses autres sociétés comme la Finlande (63 sociétés privées de t and Wireless timited, service ou italiana per l'esercizio telefoni Japon (KDD (Kokusai Denshin Deniva C ticnale des téléphones et télégrap ticns internationales)), alte (cêbl ticns internationales)), Philippines the Philippines Incorporated (radio- Brésil (société privée de ion plus guelgues autres), s, SA), Danemark (trois s), Etats-Unis (téléphone: ATT, Beli System) , plus de estern Union Telegraph), léphone), Hong-kong (Cable re-mer), Italie (Societé o, Italcable, telespazio), Ltd) (Société internaes pour les télécommunicas et radio (télécommunica(Radio Communications of Autonomie administrative e élégaphe)). jnancière On s'est efforcé de donner à l'an exe X, sur la base des réponses au guestionnaire, une idée du degré d'autonomie dont jouissent les services des postes et télé ommuica tians. Cette question est importante aussi travail gue pour la situation de l'emp La possibilité de mener, au niveau des se table politigue du personnel dépend è d'autoncmie. Les décisions en matière mination des gualifications exigées, la f la discussion des méthodes ou de l'organ exemples des domaines où cette possibilit dans des limites étroites. ien tour les conditions de oi du personnel intéressé. vices concernés, une vérirectement de leur degré de recrutement, la déterxaticn des rémunérations, sation du travail sont des risgue d'être contenue Il ne s'agit pas seulement de l'a tonomie administrative. Un service peut être libre dans une certaine mesure de gérer son personne]. comme il l'entend (engagement dir ct, par exemple), mais son degré d'autonomie financière tracera les imites de sa ttmarge de manoeuvre" dans des domaines tels gue 1 fixation des salaires, la création de nouveaux postes de travail, ]'engagement de personnel - 13 - supplémentaire, voire la participation aux bénéfices, etc. D'autre part, le degré d'autonomie financière conditionne la liberté d'investir en équipements modernes. L'introduction de ces équipements, à son tour, a des conséquences sur les conditions de travail et sur les possibilités d'emploi. cette question d'autonomie est évidemment liée celle du staA tut du personnel (voir chapitre suivant) . malheureusement, les mdications dont on dispose sont en général insuffisantes pour savoir quelle est l'autorité gui a le pouvoir de décision ultime dans telle ou telle matière. Du point de vue du personnel, il s'agit en somme de savoir qui est l'employeur. 0E il n'est pas toujours possible de répondre clairement à cette guestion. - 14 - CHAPITRE II LESQNN DES SRVICE DES POSTES RTTELQNNICATIOS Au cours de la période 1965-1975, da l'accroissement des activités des pos coincidant avec la tension gui a régné s son ensemble pendant la plus grande parti duit dans ce secteur par une pénurie de p été plus marquée dans les services postan gui ont été largement automati cations, de développement, la situation a été dif f comme dans le reste de l'économie fecté, sonnel gualifiét. s le pays industrialisés, es et télécommunications, le marché du travail dans de la période, s'est trarsonnel. Cette pénurie a que dans les télécommunides. Dans les pays en voie rente: la pénurie n'a afque les cadres et le per- Il ressort des réponses au guestio flaire que le personnel des postes et télécommunications devrait cont nuer à croitre, mais selon un taux réduit: l'accroissement prévu des. activités devrait entrainer une certaine augmentation du nombre es emplois dans les postes tandis que, dans les télécommunication, l'automatisation d'une grande partie des opérations aura sans doute pour conséquence une stabilisation du nombre global des personfles employées. On reviendra sur cette question au chapitre IV. t,t_iisue du sonnel Deux caractéristiques frappantes res o.rtent de l'examen du stas réponses au questiontut du personnel tel qu'il apparait dans naire (voir annexe 11)2. D'une part, dans 80 pour cent des semble ou une partie du personnel est sou tion publique. Dans quelques cas, il s'a proche, comme en Australie. Parfois le st naires est modifié ou complété, en ce gu postes et télécommunications, par des dis le cas, par exemple, en Norvège, en Nouv en cas (36 cas sur 5), l'enis au statut de la foacit d'un statut assimilé ou tut général des fonctionconcerne les employés des c'est ositions spéciales: lle-Zélande, aux Pays-Bas, unisie. D'autre part, dans le cadre national le statut du personnel des postes et télécommunications est r reme!mt homogène. Dans neuf Cdte-d'I oire, HaiEice, Nigéria, pays seulement - Bangladesh, Ihai1ande, Tonga -, le Nouvelle-Zélande, Philippines, Sri Lan a, seul statut indiqué pour l'ensemble du pe sonnel est celui de la fonction publique. I]. faut y ajouter ing pays où tel est le cas s r quelques problèmes de iVoir A.H. Brooks: "Considérations fornaticn professionnelle pout les télé ommunications en Afrigue", 583des télécommunications (Genève, U T), aofit 1971, pp. Jou 587. oir également Conditions l'ensemble de la question, 82 du Bersonnel des Bostes, Etudes postales, n° (Berne, UPU, 1969) Sur - 15 - pour les services Indonésie, Japon. des postes: Etats-Unis, Guatemala, Hong-kong, Dans la majorité des cas, le statut du personnel présente une grande complexité. Ainsi, en République fédérale d'Allemagne, les (Beamte), les employés (Angesteilte) et les ouvriers fonctionnaires professionnels (Arbeiter) sont régis par trois statuts distincts. En (VertragsAutriche, on distingue les fonctionnaires des employés dont les conditions de travail et d'emploi sont régies edienstete) en par un contrat ae droit privé et par diverses lois spécifiques; outre, les responsables de bureaux auxiliaires sont soumis à un conEn Belgique, les "agents statutaires" sont les trat particuliert. et le agents "définitifs" (soumis au statut des agents de l'Etat) perscnnel temporaire (soumis au statut des agents temporaires et au statut du personnel ouvrier temporaire); le personnel auxiliaire est régi par un arrôté royal et les agents de complément sont sous contrat privé de travail ou d'emploi. Au Cameroun, on trouve des fonctionnaires, des contractuels (contrat de droit administratif) et des En textes réglementaires). par divers (régis agents de l'Etat aux fonctionnaires s'ajoutent les empJ.oyés (contrat de Finiande, droit privé), c'est-à-dire les mécaniciens, le personnel technique général, les porteurs de télégrammes, les distributeurs de jouren naux du matin; certains emplois spéciaux obéissent à des contrats de fonction publique) : il s'agit de à la droit public (assimilés responsables de bureaux locaux, de certains opérateurs des téléphoetc. En nes, de certains préposés à la distribution du courrier, et les non(fonctionnaires) on distingue les titulaires France, titulaires (auxiliaires et contractuels). Les postes et télécommunications de l'Inde comptent dans leur personnel les fonctionnaires confirmés, des agents regroupant les fonctionnaires non confirmés et les employés.à temps partiel, et les ouvriers pofessionneis. Au Lucembourg, à côté des fonctionnaires, mais avec un statut assimilé, on trouve les "employés de l'Etat"; on et les en outre, les ouvriers "à tEche complète" distingue, auxiliaires "à tache partielle", dont les conditions de travail sont fixées par convention collective. Seul un statut spécial parait s'appliquer au secteur des télécommunications en Indonésie, aux employés de la NTT au Japon, aux employés des postes et télécommunications en République démocratique allemande (Postdienstverordflung). Dans certains pays, les employés des postes et télécommunications sont sous le régime de l'emploi public, régime distinct à la postes; (Chili: fois de la fonction publique et du régime général Italie). En Turguie, les employés des services des postes Colombie, et télécommunications seront soumis à une loi (actuellement en plojet) sur les entreprises économiques d'Etat. Dans quelques pays, les employés des postes et télécommunications scnt régis par le Code du travail ou la législation générale C'est le cas, par exemple, au Brésil, o, dans les du travail. services postaux, les fonctionnaires ne représentent plus, à la suite d'une réorganisation, que 5 pour cent du personnel, alors que ILes responsables de bureaux auxiliaires, de bureaux de village zone rurale ont fréquemment un statut particulier (par exempie: Autriche, Finlande, Irlande, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni). ou en - 16 - C'est le cas en sont établis suivant un secteur des dans le leurs relèvent du Code du munications sont assurés apon, ITT Comunicaciones tions, Incorporated, aux aux Etats-Unis, etc.), les gies par la législation leur prpportion était de 85 pour cent en Bulgrie, où cependant les traitement Au ChiJ.i barème officiel particulier. les travai (Entel), télécommunications travail. Lorsque les services des téléco (KDD au par des sociétés privées mundiales, SA, au Chu, Radio Comuiunic Philippines, Western Union (télégraphe) relations de travail sont naturellement r sociale ordinaire, 1971. r les fonctionnaires eux-mômes, on note, dans de nombreux Irlande, les fonctionpays, des différences de statut. Ainsi, e naires confirmés se distinguent des fontionnaires qui travaillent à temps partiel ou de manière temporaire ou encore gui sont stagiaires. En Nouvelle-Zélande, on compte les fonctionnaires permanents, les fonctionnaires temporaires, lers foictionnaires hors classement (sans stage). Aux Pays-Bas, on distigue les fonctionnaires dûment nommés (après un stage de un à deu ans) des fonctionnaires "partiels", c'est-à-dire stagiaires, ou n'ayant pas encore atteint l'âge de vingt et un ans. A Sri Lanka, suivant leur grade, les fonctionnaires relèvent d'autorités de contrôle différentes. En Tunisie, en plus du statut général de .a fonction publique, il existe, pour les postes et les servides fi,nanciers, un statut du perscnnel d'exploitation et, pour les télécommunications, un statut des cadres techniques de l'administratioi et un statut du personnel ouvrier. Parmi Les caractéristiques générales de 1a fontion publique (sécude l'emploi, structure de carrière, caiactère unilatéral - du moins dans la plupart des pays - des décisions concernant les conditions d'emploi, etc.) se retrouvent également pour les employés des postes et télécommunications dont le statît juridique est celui des fonctionnaires. rité I Les questions particulières à la datégozie des fonctionnaires système et ccncernant, par exemple, les critères d'avancement, le des promotions, la structure des salaires, le droit d'organisation et de négociation collective1 se posent parfois avec plus d'acuité dans les postes et télécommunications en raison de la parenté qui existe entre de nombreux emplois de c secteur et les emplois corxespcndants des secteurs industriel e commercial. En résumé, devant l'extrôme diversié de conditions du persondvant la multiplicité des nel des postes et télécommunications, statuts juridiques, on est tenté d'arriver à une conclusion simplifiée: il y a, d'une part, la grande majorité du personnel des postes et télécommunications, soumis à un régime statutaire, c'est-à-dire dont les conditions de travail et d'emploi sont fixées entièrement ou en partie par des actes d'autorté pas (ce qui n'exclut ipour ces questions, on se référera Commission paritaire de la fonction publi ment raports I et III (BIT)) et à ceu sur la fonction publique, Genève, 1975 "Liberté s (BIT)). Voir aussi BIT: détermiaation des conditions d'emploi da Conférence internationale du Travail, rapport VII (1) utilement aux travaux de la que, Genève, 1975, (notamde la Conférence technique otamment raqrts I et ndicale et procédures s II de la fonction publique", 63e sehsion, Genève, 1977, - 17 - nécessairement certaines formes de négociation collective ou, moins, de consultation); d'autre part, une partie du personnel relève du contrat s'agit en général de catégories précises) travail ordinaire ou d'un contrat particulier. Dans le cas (télécommunications), il va de soi que privées sociétés législation ordinaire du travail s'applique. au (il de de la ersonnel de com2lément L'emploi temporaire ou à temps partiel, ou l'emploi auxiliaire, répond la plupart du temps à une nécessité due aux fluctuations périodiques du trafic'; il peut s'agir aussi de remplacer le personnel régulier absent. Le travail à temps partiel est souvent décrit comme le travail temporaire est généralement à plein étant permanent, temps et saisonnier. Le travail temporaire ou à temps partiel n'existe pas partout. dans le secteur des téj.écominunications (Entel), les Argentine, emplois à temps partiel ont été éliminés; en ce qui concerne l'emploi temporaire dans le même secteur, il est indiqué que cette forme d'emploi a été éliminée, mais qu'il est cependant possible d'y recourir en cas de surcharge saisonnière. Au Chili, il n'y a pas d'emploi à temps partiel; on ne recourt à un personnel de remplacement (temporaire par définition) qu'en cas de congé de maternité ou pendant les périodes de congés annuels du personnel. L'Indonésie conna.t le travail saisonnier mais non le travail à temps partiel. Italie, il n'y a pas de travail à temps partiel dans le secteur En public des téléphones. Les télécommunications internationales au n'engagent pas de personnel à temps partiel ni tempo(KDD) Japon a raire, sauf pour certaines tâches simples de courte durée. Il n'y pas d'emploi temporaire dans les postes et télécommunications en Turguie. En Certains pays signalent une augmentation du personnel tempoou à temps partiel due à l'introduction de nouvelles technologies (il s'agit alors souvent de mesures destinées à éviter des licenciements ultérieurs de personnel régulier: cette question sera traitée plus loin). raire Parfois, le travail à temps partiel est présenté comme une devant permettre aux mères de jeunes enfants de concilier responsabilités familiales et l'activité professionnelle (ou un analogue), mais il s'agit alors de cas très limités (par exemple, France et au Japon). sure me- les but en Les personnes employées à temps partiel sont parfois amenées à travailler à plein temps lorsque le trafic de fin d'année ou de saison touristique devient particulièrement important. On signale, une qui consiste en en Suède, le temps partiel "comprimé", alternance de journées travaillées à plein temps et de journées sans travail. est parfois limité dans le temps: temporaire L'emploi Argentine: £4 mois; Cameroun: 3 mois; Etats-Unis (postes): 21 jours; Italie: 90 jours; 1oyaume-Uni (emploi journalier): 12 semaines. 'Voir annexe IV. - 18 - Pour les emplois temporaires, les p stes et télécommunications engagent souvent des étudiants, parfois d s chêmeurs. Le statut juridique du personnel tes rarement précisé. En Belgigue, le pe par des dispositions spéciales: le statut le statut du personnel ouvrier temporaire à temps partiel sont classés parmi le travailleurs à temps partiel ou teinpora mais non confirmés. Au Luxembourg, les au sont soumis à la législation sociale personnes travaillant à temps partiel, ma sont considérées comme étant des fonc vaillent à moins de 50 pour cent et les sont soumis à la législation sociale ord tionnaires temporaires en Nouvelle-Zéland Pays-Bas, prévoit la possibilité de nom stage, le personnel temporaire ou à temps plus de 50 pour cent. oraire ou à temps partiel sonnel temporaire est régi des agents temporaires et En Ende, les travailleurs "agents". En Irlande, les tes sont fonctionnaires, iliaires à tâche" partielle ordinaire. En Norvège, les 5 à plus de 50 pour cent, ionnaires; celles qui tratravailleurs temporaires flaire. Il existe des foncUn projet de loi, aux et fonctionnaire, après un partiel qui travaille à Les chiffres fournis dans les répons nant les effectifs du personnel de cosp tirer de conclusions générales, notamment des effectifs à plein temps, à temps pa bornera donc à guelgues données et remarq s au questionnaire concerément ne permettent pas de sur l'importance comparée tiel et temporaires. on se Le tableau 2 indique, pour les poste répartition des emplois permanents partiel, par catégorie, et entre hommes d'abord l'importance de l'emploi à te suédoises, puis la forte proportion de partiel: elles sont plus nombreuses g plein temps, d'une part7 et représentent à temps partiel, d'autre part. de la Suède, quelle est à plein temps et à temps t femmes. On remarquera ps partiel dans les postes esses employées à temps e celles qui travaillent à O pobr cent du personnel est la es. - 19 - Tableau 2 Suède jostesL - EmElois permanents L.E2_ar tiel Traitement du courtier Total Rosses Femmes 16 570 15 326 1 244 Total Hommes Femmes 15 503 Guichet Total Hommes Femmes 7 972 1 166 6 806 Total Hommes Femmes 5 659 177 5 482 Bureau Total Hommes Femmes 4 891 128 14 763 Total Hommes Femmes 2 075 Total Hommes Femmes 1 623 1 345 278 Total Hommes Femmes 10 Total Hommes Femmes 1 716 1 481 235 Total Hommes Femmes 3 925 133 Hommes Femmes 32 772 19 446 13 326 Hommes Femmes Administration Divers TOTAL Source: BéVonses au guestionnaire. 9 43]. 6 072 147 2 028 3 7 2 0714 25 454 9 791 15 663 - 20 dans les services p staux, sur 2.301 personnes En Australie, employées à temps partiel., 2.003 sont des femmes; dans les télécommunications, sur 1.630 personnes à te ps partiel, 1.556 sont des femmes. En Norvège, dans les postes, sur 4.603 personnes à temps parUel, 3.029 sont des femmes. Aux Pays- as, ces chiffres sont respectivement de 16.454 et de 7.380 femmes1 En Autriche, le nombre des employés à plein temps (53.752) est en augmentation par rapport à 1965 (48.39 ), tandis que les emplois à temps partiel (2.479) ont diminué légèr ment (en 1965, ils étaient au ncmbre de 2.523) et que le nombre du persônnel temporaire est à peu près stable depuis 1956 (aux alentour de 2.000) En Australie, dans les postes, 33.66 emplois sont permanents à plein temps, 2.301, permanents à temps artil, 8.122, temporaires à plein temps. Dans les té1écomsunication, on note une êugmentation du personnel permanent à plein temps 88.3l5) par rapport à 1967 (74.214), une diminution du personnel à emps partiel (1.630; en 1967: 2.302) et du personnel temporaire 22.534, soit 25 pour cent; en 1967: 30 pour cent). En Belgique, dans les services posta x, on note les chiffres suivants: emplois à plein temps: 51.161 (dont 20 pour cent e f esmes); à temps partiel: 2.423 (dont près d 80 pour cent de femmes) temporaires: 12.838 (dont un peu plus de O polir cent de femmes). Dans le cas de la France, enfin, e viron 100.000 travailleurs des postes et télécommunications, soit sur 4, sont des norttitulaires, c'est-à-dire en guasi-tota ité des auxiliaires (les contractuels sont en nombre insignifiant) En principe, les contrats d'auxiliaire devraient être de durée limi ée (donc "temporaires") en fait, il s'agit le plus souvent d'empl is dtirables. Si l'on ne peut tirer de conclusion générales de ces quelques indications, on peut au moins remarquer ge, en tout cas pour cer- tains pays, la forme du travail permane t à temps partiel est loin d'être une pratique marginale et qu'elle cncerne souvent une proportion impgrtante de femmes. Le travail emporaire parait être plus important dans les services postaux, o il permet de répondre aux besoins des périodes de trafic intense: i s'agit, dans un grand nombre de pays, semble-t-il, d'une pratgue habituelle à certaines saisons de l'année. Niveau de formation du ersotinel Les indications fournies sur le niveu de formation scolaire ou universitaire du personnel sont trop frag:entaires pour que des conclusions valables au niveau international puissent en être tirées. Les réponses de la Belgique et de 1 Italie mettent en évidence le lien étroit qui existe entre le niveau d'instruction et la car- rière. 'Les effectifs de personnel à ple-n tenps sont les suivants: Australie: postes, 33.666; télécommuniatio»s, postes, 13.836; Pays-Bas: postes, 69.093. 88.315; Norvège: - 21 - Dans de nombreux pays, des cours de formation internes aux étade postes et télécommunications sont dispensés au personnel d'exécution afin de le mettre en mesure d'acquitter la têche correspondant à son poste, laquelle réclame un certain niveau d'insCette corrélation entre poste et instruction est clairetruction. ment affirmée par le Pakistan: quelle que soit la formation interne, la formation primaire mène aux occupations manuelles, et le personnel de bureau a reçu une instruction de niveau secondaire; quant aux titulaires d'une licence de l'université, les fonctions de direction leur sont réservées. on retrouve une sittiation analogue dans les postes suédoises: la formation primaire (plus une formation interne) suffit pour le personnel de guichet, tandis que la formation secondaire est demandée pour les emplois administratifs. blissements 2e niveau secondaire est un minimum exigé Aux îles Gilbert, jfl5uCtjofl secondaire ellepour la titularisation, mais, comme assez récente, le personnel âgé ne répond pas même est à cette condition. En Italie, le minimum d'instruction exigé du personnel d'exécution est le premier cycle du niveau secondaire; pour accéder à la direction, il faut au moins une licence universitaire. d'institution qui n'ont reçu qu'une instruction primaire forLes personnes ment plus de la moitié du personnel dans un certain nombre de pays: les postes: 80 pour cent; dans les télécommunica(dans Australie tions: 59 pour cent) ; Canada (Beli: 79 pour cent) ; Côte-d'Ivoire 50 pour cent) ; El (titulaires du certificat d'études primaires: pour (53 Salvador (62 pour cent); France (66 ppur cent) ; Hong-kong Equateur, 45 pour cent du personnel sont de niveau pricent) . En maire, 41,5 pour cent de niveau secondaire (et 4,5 pour cent de niveau universitaire). Dans certains pays, c'est le perscnnel issu de l'enseignement pour 46 seccndaize qui représente la plus forte proportion: Pérou: cent; Philippines: 50 pour cent; Royaume-Uni: la quasi-totalité; Sri Lanka: 80 pour cent (5 pour cent de diplômés de l'université); Suède 70 pour cent (y compris les personnes issues les postes): (dans d'une école technique); Thailande: 40 pour cent (si l'on compte les ont une formation professionnelle) ; Turquic 55 pour personnes ui est situation universitaire: k pour cent) . La (niveau cent particulièrement frappante au Japon où, dams les postes et les télé(NTT), 95 pour cent du personnel ont eu une instruccommunications de tion de niveau secondaire. Dans les postes, le plus grand nombre ceux-ci ont suivi les cours de l'enseignement secondaire du deuxième (KDD), la proportion Dans les télécommunications privées cycle. avoisine 75 pour cent et le nombre de diplômés de l'université est relativement important: 16 pour cent. n'y a guère de conclusions à tirer de ces quelques données, Il sinon que le secteur des postes et télécommunications dispose, semble-t-il, d'un personnel pourvu d'un niveau général de formation relativement élevé. Encore faudrait-il mettre ces données en relation avec le niveau d'instruction générale et le système scolaire du que l'on peut sans doute affirmer, cependant, Ce pays considéré. c'est que, dans le secteur des télécommunications, l'utilisation et surtout l'entretien d'un équipement technique de plus en plus comEn revanche, plexe nécess.tent un personnel hautement qualifié. (en particulier dans le traitement du nombre d'activités postales courrier) restent relativement simples; on continue, par exemple, de recourir dans ce domaine à des formes de travail manuel qui ne requièrent pas un niveau élevé de formation. On peut se demander si - 22 - ces développements ne vont pas se tradui d'oeuvre, par l'emploi prépondérant de élevée dans les télécommunications, les p travaux moins complexes, une importante formaticn primaire ou de formation second à accentuer les diff é qui contribuerait de services. Ré2artition du esonnel 29A en matière de mainersonnel de formation plus stes employant, pour des proportion de personnel de ire du premier cycle, ce ences entre les deux types e, a. catégories T De nombreux pays ont fourni dans leu réponse des renseignements sur la répartition du personnel p r catégories d'emplois. Il ne parait pas possible d'en tirer des don ées significatives au plan international. Les indications sont en ef et, êoit extrêmement détaillées, soit, au contraire, schématisée.; il et donc difficile de les ccrnparer. On â toutefois réuni, dans l'annexe VI, les données recueillies gui pourraient, le cas échéant, se révéler utiles dans l'examen de telle situation particulière. Les modifications technologiques ont, sur les structures professionnelles de ce secteur, une infliience comparable à celle qu'elles exercent dans l'ensemble de l'économie: ainsi, le pourcentage des travailleurs manuels tend à diminuer, tandis que celui du personnel administratif et des techniciens tend à augmenter. Les fonctions d'exécution ont remplacées par des fonctions de surveillance, de contrôle, 'entretien. On a constaté, par exemple aux Pays-Bas, dans les postes et télécommunications, une réducticn des effectifs totaux d'eraplo és, mais le nombre des spécialistes de niveau supérieur (écono.istes, comptables, psychotechniciens) s'est accru dans des proportons importantes. Aux niveaux intermédiaires, de nouveaux postes ont été créés: analystes de systèmes, programmeurs, instructeurs de d verses catégories'. Cette évolution ne peut manquer de s répercuter sur les hasoins de formation, comme on le verra p1 s loin, en ce gui concerne tant l'instruction et la formation de bas (question de portée gbbale) que la formation dans l'entreprise. on peut enfin constater que la ré artition des hommes et des femues par catégories d'emplois est très négaLe (voir également cidessous, "Emploi des femmes"). Les classes d'âg. Les indications relatives aux cla telles qu'elles sont reproduites à l'anne comme des ordres de grandeur et non d'uné part, les décomptes varient d'un p part, tous les pays n'ont pas donné utilisables. 'Voir: OCDE: Rapport final (Paris, 1966), pp. 36 et 37 ses d'âge du personnel, e VII, doivent être prises omme des chiffres absolus: ys à un autre, d'autre e reseignments également et main-d'oeuvre, - 23 - On se bornera donc à noter que la proportion des personnes de moins de trente ans dépasse 50 pour cent dans quatre cas - Colcmbie (télécommunications), Norvège (postes), Nouveile-Zélande, Turguie - et qu'elle est inférieure à 20 pour cent dans trois cas - Equateur, Etats-Unis, Pérou. âgées ce qui concerne la proportion des personnes âgées de moins En (Etats-Unis, de quarante ans, elle se situe entre 40 pour cent (Colombie (télécommuet plus dc 80 pour cent Western Union) nications), Thailande, Turqule). Les Etats-Unis et l'Equateur sont avoir une proportion inférieure à 50 pour cent; la les seuls à plupart des pays se trouvent entre 60 et 7C pour cent. Cet état de fait entraine natutellesent des conséquences dans domaine de la sécurité sociale. Les personnes âgées de plus de quarante ans présentent en effet des risques plus élevés; statisles cas de maladie, d'accident ou ô'infirmité sont plus tiquement, fréquents parmi les personnes âgées de plus de quarante ans, et, en matière de pensions, la proportion entre personnes activés et personnes inactives a des répercussions importantes sur la répartition de la charge du financement - mais il s'agit là de problèmes d'ordre général. le Plus intéressante pour l'objet du présent rapport est l'jnfluence de lâJe sur la manière dont les employés sont atteints par les modifications techniques ou la mesure dans laquelle ils le sont. C'est chez les travailleurs âgés que l'on rencontre habituellement car les nouveautés les plus fortes résistances aux changements, une expérience du jour au lendemain de dévaluer risquent carrière. Les professionnefle acquise au cours d'une longue possibilités d'adaptation sont, pour eux, généralement considérées est-elle, lorsque les comme pJ.us réduites. Aussi la tendance modifications technologiques ont pour effet de supprimer ou de transformer profondément l'emploi de ces persoùnes, de recourir à la mise à la retraite anticipée, au prix de graves inconvénients sur les plans psychologique et économique. Le fait, cependant, qu'une propertion élevée du personnel des postes et télécommunications appartienne à la fonction publique ou relève de statuts voisins et, la garanties particulières atténue par conséquent, bénéficie de portée de ce problème. En outre, les quelques données disponibles quant à la proportion des travailleurs âgés par rapport à l'ensemble des effectifs employés dans ce secteur conduisent à penser que le problème s'y pose avec peut-âtre moins d'acuité que dans la moyenne des autres secteurs: ainsi, la proportion des travailleurs âgés de cinquante-cinq ans ou plus dans les postes et télécommunications est pour cent en Belgique contre 14 pour cent pour l'ensemble de de 12 la population active; en France, ces proportions sont de 8 pour Nouvelle-Zélande de 5 pour cent, en pour cent; cent, contre 14 contre 14 pour cent,; au Pérou de 7 pour cent, contre 12 pour cent; en Suède de 8 pour cent, contre 20 pour cent. En fait, comme on le verra au chapitre IV, la mise à la retraite anticipée ne parait pas âtre une pratique très répandue dans ce secteur. EtnBloi des femmes proportion moyenne des femmes employées dans les postes et La télécommunications avoisine 30 pour cent. Eans deux des pays qui ont répondu au questionnaire, la proportion est supérieure à 50 pour - 24 - Bulgarie (5I pour cent) et RépubJ4gue déiocratique allemande pour cent). La Norvège, la Nouvelle-Zélande et la Suède indiquent une proportion supérieure à O pour cent (respectivement 48,8, 42,5 et 147 pour cent). La proporti n môyenne de femmes est légèrement supérieure, dans l'ensemble, pour les télécommunications (voir tableaux 3 et 4 et annexe VI). cent: (73 ulièes: On notera quelques situations parti proportion de femmes employées dans les 60 pour cent en Finlande, les postes e en Suède, les femmes sont plu femmes; (49,7 pour cent) que dans les télécommun seuls le Dans les télécommunications, Norvège emploient une proportion de femm pour cent (respectivement 50 pour cent a montré que, dans les pays africains, 1 dépasse nulle part le tiers des effectif en Eguateur, la postes et télégraphe est de ploient 50 pour cent de nombreuses dans les postes catiôns (43,4 pour cent). Canada (société Bell) et la s égale ou supérieure à 50 t 53 pour cent) . Une étude proportion de femmes ne Les femmes ne sont pas cependant niformément réparties entre les différentes catégories d'emplois. T iaditionnellement, certains métiers sont considérés comme féminins notamment le cas des "demoiselles du téléphone". Les travaux e guichet, la dactylographie, le codage, les travaux de secrét riat en général sont considérés comme convenant mieux aux femmes. Traditionnellement aussi, certains métiers sont considérés com e ne leur convenant pas: on trouve très peu de femmes parmi les ingé ieurs et les techniciens et, dans certains pays, elles sont exc ],ues de fonctions telles que le traitement du courrier (par exemple, 4u Pakistan), la distribution (par exemple, en Irlande) ou a conduite des véhicules. Certains pays font des efforts sout nus pour éliminer les distinctions fondées sur le sexe (par xemple, en Suède). Comme il est dit ci-dessus, les femmes constituen qén4ralement une part très importante du personnel de complément, q 'il soit à temps partiel ou temporaire. En France, le personnel auxi ]4airê compte près de 60 four cent de femmes. Les mesures de rationalisation ue permettent les nouveaux équipements techniques ont souvent pou effet de supprimer les postes temporaires ou à temps partiel L'automatisation, dans les télécommunications, supprime des postes 'opérateur; les ordinateurs éliminent des travaux de bureau ou de comptabilité. Ces postes étant, dans de nombreux cas, occupés ar des femmes, le personnel féminin est plus souvent touché par l'adoption de techniques nouvelles et la rationalisation des ser \ices Les problèmes qui lui sont particuliers dans de pareilles c rconstances se retrouvent alors. Par exemple, une femme peut être moins facilement transférée qu'un homme, en raison de ses obli çations familiales, si le transfert sulpose un changement de local té. 11introduction d'équipements à fonctionnement continu (co me les ordinateurs) et, par conséquent, l'extension du travail p r rQulement posent des problèmes d'utilisation du personnel Lé inin lorsque le travail de nuit est interdit pour les femmes. I nie, On a vu que, dans les pays où la po sibilité leur en est fourles femmes ont été nombreuses à adopter la formule du temps 'Voir "La situation de la femme dan les PTT d'Afrique", Etudes (Genève, Internationale du personnel des postês, télégraphes et téléphcnes (IPIT)), n° 4, été 1974, pp. 20 37. - 25 - partiel. Au .Japon (KDO), par exemple, les femmes occupent 78 pour cent des emplois permanents à temps partiel contre 24 pour cent des emplois à temps plein. En Suède, dans les postes, le nombre des femmes occupées à temps partiel est plus grand que celui des femmes employées à plein temps. Tableau 3 E2loi des femmes ds les 2ostes__2,ommUfliCatjOnS (En chiffres absolus et en pourcentage) TéécOrn- postes municata.ons Argentine Australie Autriche Belgigue Bulgarie Rép.-Unie du 22 25 13 17 400 733 243 370 51 Carneroun Canada Eguateut Etats-Unis Fin1aide France Giltert Guatemala Hong-kong Irlande Italie (Aziende) .Japcn Norvège NouvelleZélande Cuganda Pays-Bas Pérou Eép. démo. allemande Singapour Sri Lanka Suède Tchad Thailande Tonga Tunisie Turquie 20 22,7 21 54 780 6 092 LI 23,4 - - 42 8 019 3,6 8,6 17,4 - - 12 573 - - 4,1 16,5 17 620 19 641 30 32,8 - 25 17 2]. 21 - 310 30 10 - - - - - - 792 896 22 757 62 985 - 101 487 22 - 36,1 4 756 21,8 174 48 348 27,1 42 189 51 764 - - 18 969 48,8 8 151 16 546 42,5 - 33 16 053 - 99 300 - - 9 25 1 707 8 1 050 15 600 47 2,4 - - - 50 24 11 - 60 21 50 28,8 1,2 2,2 - - 38 502 1 - 4 582 6 25,5 16,4 (NTT) 77 1 (KDD) 10 44,2 159 000 570 818 37,3 4 - 32,5 47,6 24,7 26 53 - 2 907 37,2 - 31 49,7 73,8 - - 16,6 - 18,2 - - - - 46 975 34,6 21,8 - - 4 797 (BeIl) 22 783 358 (Bntel) 15 (ITT) Chine Colcznbie 21 1 500 28 977 3 12 32 17 29,8 Source: Réponses au questionnaire. - - - - 2 575 - 17 998 - - 34 - 43,4 - - 26 5 0444004400W....04N000100,-4H00444404M04040-4414*04040r400404040100004404400 100100.4M03NWM44WNMC.1n04I011NNNc04004-I4044a.o,o-fl 01040444.4,-1040-01 0004.4000 04 4003W 01 030404 (0 44040040.-4H W O 40010414004011,_4M ,4 000040044 _IN44OIM41 00 4044,-_4 10 01OIfl01ON 0 040MW .4000 40 O '.4 44 14 W 04 0H 10 .410.-I '44 01H 1001 HZIO ('4 .4 ('4 (000 .400.4 .1-1 0001(040 100 Z o-00104 u H0044w_4H0 0-.00IOOMO,-l-.44lfl000onHO100q00 000300HO'lflON .40004404 040101-I 44,-400. 03 04 0000, 0,4044 000' 01 004 0301004010004 1040 10 0011 IN II 030004 04 l-4 H 40W 0444 00 04 44004 04 .1 40 4004 011.1 (1 000 01 --l'-I 1442 010 0044 11 o 01(00 d (1 44 O 0000 43 04 '41 0 10 I .0 O 14 10 0W W 0001._I 040l0300H*144.1O..-INP14401.401 0340W_40104 MN 03_401_444M 0N_44404H 4044 0401 00010144 040010001444403 034440.4003 M H 1'4MMMM04.-l0..., 0001WMW41.00l000.-I W 4404 40040400 -I 440003.-0w 04.4 on n N 01.4001 01.4040.4 10,-I 0444.-I01W 000W 00.4 Il 4'O 0-H (000010400040 ._4,4*1400044._..nlUflflH01 040401N-IWo,OWroO\.--Ir-NOID.r..MN,400 O1_4ZI11M.-1.-luSM 041,-I40 440 Z04'OM'OON 04.4 '4 00 H.-1 10H 40,-I .-4 10H ri .4 ._1 01 U 0'O 00 O 04044004 o "103 M 0101 Z 04 .4000444 .4 ZN010- 04042WM03._I, "4M r 0 03 4401M,-1040401.-I_4Z (0! 04 ._I M 05 41404 010 0M0.-00NH0W0NQ .IOM..1OM004004HOIM!44QO_OWH1-.001.4I4II440O0II0H * 03 Z .4 M M q 03 O M 04 O 0 '4-I 100 -4! 044400004040.4004.-401_4 01.4 0101 .4.4040 M 01I .4 01 0O',-._..O'WHN04N40HW01N_4_4,_,NOO1M,4044401S'OM._0O4403 01.404040440 0440.-4 1040010344.-140 01W 44.4t' 01000400.-4 41 ZZ.4 N 04 Z ._1M0 Z 444 41 4'0 I 1144 I O0l001W0O01M0414010lWQ01lNt-M0M0O4400030W0O40ØO44_4N0OZqç4000N,-I 44 '40 '1 H .1 I 0004 00 ._I03NWWMUOOIIONWO1.10101004.-NO'0303O'WNMOO._4O03NOSONMM44NN 14 M.0MNW '44 ._1 04n0.-Ir-40_4Onolo400304r.44o'4olr-rlo,44r444 -. 03040,4M03W 404440400.44,-401M '4-III - 0' 0 44 Il P. 040003000040040004414440010004400440 C400Nr40100W0,-ll00,-400 1JN000.-4O I 0 .4 0444MW_444M44040040M_4N0N,.04030440444. 0144040410440N0'0M01,-100Mti 1.N.-._40104_4 0301 1.1_40404W 44*4WWH0040Iflifl0.-In0M 00.4400404010401 ('1W M 04 H M 04010001 Z M H 04001.40444 040401 rI HZ M HMM .4 10 .40. HH 01.1 l_l H 14 0 44 01 'II 27 ta O LI 04 0W tOI -o O 0.10 00t14 0E. 0S O O 1441ta O 0044 O HtaH HH D 0 0 41 ta 0 0 0 Q .0 O 0 0,4U H 0410 0 O 44 O LI 440 1400 ta ta O '0W '0 .0 40.00 04 ta ta (4 04 O u: r-1 H 4400 l'ON .0H.00LfltOtOfl H r-1H .4 ta 4.10 a.o.-.Hrno.fl.41.lrO 040,ND..'OtONcn .4 000114 000t 0H '0.0-1 4) HO 14 LIH 010 H 0-I01Z01I10DaDa t'IQ (ON 14H H ta Ot .4 -00.0 01.0 .414 ta 000 ''-2 i 01 OOLt t0004rO0rOt0btIONCt r-HO' DaDaIflI4HflN.-t tOOl14ZDa -4.00.40 0144 0 I o o o. 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P r exemple, en République démocratique allemande, des congés payés .euvent être accordés à une mère à partir du deuxième enfant et usgu'à ce que l'enfant ait atteint l'âge d'un n. D'autre part, les tères de plusieurs enfants âgés de moins de seize ans bénéficient d' ne durée de travail hebdomadaire plus courte. En Prance, les f0 ctionnaires femmes peuvent être mises en disponibilité pour élever 1 ur enfant ou pour suivre leur mari. Là où des indications ont été do innées (voir annexe VI), on peut constater que les femmes sont plus n mbreuses dans les tâches d'exécution et que leur nombre diininu à mesure que l'on remonte l'échelle hiérarchique. La situation dans les postes et télécommunications ne s'écarte donc pas, à cet égard de celle qui prévaut dans l'ensemble de l'économie. En résumé, les femmes occupent dans caticns une place importante, plus part catégories d'emp].ois et dans les tâches s vulnérables dans l'ensemble que les homme tes qui résultent des chaIgements technol cupent plus souvent des emplois de complé 1 es postes et télécommuniculièrement dans certaines balternes. Elles sont plus aux suppressions de posogigues parce qu'elles ocent. - 29 - CHAPITRE III LES CHANGEflENTS TECHNOLCIQUES Leschangements technologiques dans les postes et télécommunications ont été nombreux et ont porté sur des domaines variés. Le plus souvent, ils visent à améliorer les systèmes et non pas à les remplacer. Des techniques très modernes côtoient des méthodes ou des installations traditionnelles. Ce fait s'explique en partie par la durabilité du matériel et par le coôt de substitution parfois élevé; de plus, certains équipements ne sont rentables que pour un certain volume de trafic. Dans les postes, les changements technologiques ont porté par exemple sur la motorisation de la distribution, sur la mécanisation, puis sur l'automatisation des mouvements du courrier à l'intérieur grands centres de tri. Le tri lui-même, dans ces centres, a été des La lecture automatique mécanisé, puis progressivement automatisé. des codes est déjà en voie de réalisation et ons'achemjne vers une intégration de plus en plus poussée des opérations. Cependant, le courrier qui ne correspond pas à un format type ainsi que celui dont s'occupent les centres de moindre importancee continuent d'être triés à la main. Les opérations de guichet ont été modifiées, parfois par l'introduction de machines comptableê, de machines à affranchir, parfois de terminaux. par L'introduction des ordinateurs dans les services financiers et administratifs n'est déjà plus une nouveauté, mais des ordinateurs de plus en plus perfectionnés et de moins en moins volumineux remplacent les anciennes calculatrices. Dans ce secteur, les effets des changements technologiques ont été les mêmes que pour les travaux de bureau en général, notamment ceux des banques ou des assurances. Dans les télécommunications, diverses améliorations techniques permis le développement de la capacité technique des moyens de transmission (par exemple, l'usag? de câbles coaxiaux, l'isolement des lignes souterraines par gaz ou par mousse de plastique, l'utilisation des micro-ondes, etc.). La transmission par satellite a ouvert une nouvelle dimension aux communications intercontinentales ce fait, occasionné une augmentation importante du trafic. et, de L'automatisation des opérations de connexion etde commutation est réalisée dans diverses proportions. En ce qui concerne les installations, des éléments à semi-conducteurs (solid state) remplacent des enseables plus anciens qui demandaient des réparations sur place. ont L'utilisation de l'ordinateur a profomdément modifié la gestion du trafic postal, ou la programmation des réseaux de télécommunications. Des métiers entièrement nouveaux ont été créés en rapport avec l'ordinateur. Un champ dapplication nouveau s'ouvre avec les transmissions de téléinformatigues dont on connait encore mal les effets. Enfin, comme on l'a déjà vu, des conceptions nouvelles se font jour dans la gestion et l'organisation des services des postes et télécommunications. - 30 - faut cependant garder préseni à la mémoire que ces Il changements n'affectent pas tous les travailleurs et que ceux qui sont tcuchés ne le sont pas également. Parfois, surtout dans les emplois techniques, il suffira d'un perfetioinement, d'une mise à jour continue pour permettre au travailleur de suivre l'évolution. Parfcis, les opérations sont à ce point moifiées que certaines perdenLt leur utilité et que les qualifications professionnelles En nouvelle formation. travailleurs touchés doivent acquérir un outre, ces changements sont inégalement1 répartis dans le pays: les villes mont toujours les premières concernées, les zones rurales sont plus lentement atteintes. Enfin, es changements sont encore plus inégalement répartis dans le monde; 'est ainsi que des pays entiers restent en dehors de certains aspects de l'évolution de la main-'oeuvre et le coOt des technologique. L'abondance équipements nouveaux dissuadent de mécaniser, ou bien la faiblesse tandis que des besoins peut rendre ces modification's s1perflues, l''insuffisance du réseau électrique JJes rend parfois extrêmement difficiles. Tels sont les traits principaux qui caractérisent l'évolution récente des techniques dans les postes et télécommunications. On trouvera ci-après des données plus détaillées sur certaines de ces modifications. La mécanisation dans les services Lostaux Dans les services du courrier, J.'iinovation la plus importante a été l'introduction des machines de tjri de la correspondance. mineures à Toutefois, de nombreuses amélioration1s techniques, première vue, ont été apportées, dont la caractéristique principale est d'avoir sensiblement allégé certaines tâches pénibles. comme le fait observer la Suède dans sa réponse, les opérations difficiles à mécaniser par leur nature, peuvent être rationalimées et simplifiées de plusieurs rianières grâce à des machines ou à d'autres auxiliaires mécanguesL. postales, conception de xouveaux conteneurs pour le Par exemple, la des les colis et transport "dépêches" (c'est-à-ire la me direction) a permis de correspondance enliassée partant pour la tralisport, de diminuer les réduire les manipulations, d'accélérer risques et de supprimer certaines opérati1ons intermédiaires entre le lieu d'crigine et le lieu de destination. De nouveaux moyens de transport des 'fdépêches", roulants et mécaniques, pour le chargement et le déc1argement des camions ou des wagons postaux, ont permis un allégement des qonditions de travail, tout en diminuant le nombre des persoines affectées à ces tâches. IVoir, par exemple: Tendances 2rincia.es du dévelomnt et du pzo9rès techn es au cours rogines anné, Etudes postales, n° 47 (Benne, p. 41. UNI, des 1963), LQ - 31 - pour avoir eu Ces mesures paraissent considérablement les frais de transport'. effet de réduire Dams les centres de tri, la circulation intérieure des sacs a été mécanisée, le matériau de fabrication des sacs a été amélioré (fibres synthétiques) et de nouveaux appareils de dépoussiérage des sacs ont été sis en place. Pour l'opération d'ouverture des sacs, qui est considérée généralement comme malsaine, des tables à aspisans parler ration et des cabines d'isolement ont été installées, des masues à poussière et d'autres mesures destinées à protéger la santé des travailleurs. La manutention et l'entreposage intérieurs ont été mécanisés. Cependant, certaines phases de chargement ou de déchargement des sacs demandent encore l'intervention des travailleurs et exigent d'eux un important effort physique; le poids maximum des sacs a donc été réglementé et il se situe, melon les pays, entre 20 et 30 kilos. point de vue économique toutefois, une mécanisation un peu Du poussée ne se justifie que lorsque le trafic atteint une certaine D'autre part, la mécanisation de la manutention interne ampleur. (rampes, élévateurs, etc.) exige souvent la transformation des locaux et est parfois impossible à réaliser dans les bBtiments anciens2. L'utilisation de machines de tri pour les paquets, que mentionnent quelques réponses au questionnaire, a généralement pour but Aux Etats-Uflis, par exemple, il d'alléger le travail du personnel. centres hautement mécanisés pour le tri des colis; en a 21 y Républigue fédérale d'Allemagne, il en existe huit. En Prance, deux centres de tri des paquets-poste fonctionnent déjà, quatre sont en construction, trois à l'étude. En Nouvelle-Zélande, les deux plus grands 1ureaux de poste ont automatisé le tri des paquets. En Suède, sept centres de tri des paquets sont équipés de machines. tri de la correspondance se fait encore principalement à la Le par exemple main. Dans certains pays,' il est exclusivement manuel, aux iles au Bangladesh, au Caseroun, en Colombie, en Sri Gilbert, en Indonésie, au Luxeinbourg, à Naurice, à Singapour, à Lanka, en Ehaïlande, aux Tonga et en Tunisie. Le Pakistan fait remarquer que sa politique de mécanisation est très prudente, en particulier pour des motifs de politique de l'emd'imporploi. Les centres de Karachi et de Lahore, qui connaissent tantes pointes de trafic (la moitié du volume journalier est concentrée sur deux heures) , seront équipés de machines à trier des En Tunisie, la mécanisation intégrale électromécaniques. centres 'de tri devrait être réalisée en deux étapes, portant d'abord sur la manutention et le transport, ensuite sur le tri, et se La République fédérale d'Allemagne possède déjà terminel en 1986. sept centres de tri automatique des lettres. des dans Le tri manuel est une têche généralement exécutée debout, conditions pénibles, le lieu de travail étant souvent exigu et oens de charemendedécrqement et d'aq1eminement Ivoir 1969). des déBêches Rostaes, Etudes postales, n0 67-1 (Berne, UPU, 2Voir Hyiène du travail et techngues de scuritLans es sar- vqesstaux,, postales (CCEP) Etude B 16 du Conseil (Berne, UPU, 1965) consultatif des études - 32 - encombré. Cette méthode de tri est desti bureaux où le vclume de trafic ne justi chines et, plus généralement encore, pou pas dtre trié mécaniquement, en raison vitesse de tri moyenne se situe aux alen ée à se perpétuer dans les je pas le recours à des male courrier qui ne peut otaminent de son format'. La ours de 1.200 lettres par heure. Dans une première étape, la mécanis supprimer le geste du trieur2. un opéra en code' et la frappe sur un clavier, co de la lettre vers la case de tri von type de machine est de l'ordre de 2.500 L'alimentation se fait manuellement. tecbnigue a été le passage de sac installations arythmiques, c'est-à-dire au lieu de suivre une cadence imposée, s l'opérateur doit fournir un effort d ambiance très bruyante4. tion du tri a consisté à eur assis traduit l'adresse mandant ainsi le mouvement ne. La vitesse de tri de ce 4.000 lettres par heure. La principale amélioration mes synchrones à des sur lesquelles l'opérateur, it son propre rythme. Mais attention soutenue dans une La seconde étape dissocie l'indexat on (traduction de l'adresse en code) du tri proprement dit, qui peut 6tre divisé en plusieurs opérations successives. Ce système a permis de séparer le ppste d'opérateur de la salle des machine., apportant ainsi une amélioration certaine en matière de brui:. Les manipulations ne sont pas toutes supprimées: l'alimentation de la machine de tri, quelguefois le transport de e au tri font manuellement. Certaines améliorations apportées à ce système ont remplacé la lecture directe des enveloppes par la lectu:e sur un écran, sais cette modification a souvent augmenté la tension oculaire de l'opérateur; en outre, l'indexation est un travail moflotone et dénué d'intért. La machine de tri, dont le fonctionnemeht est indépendant des cadences d'indexation, peut atteindre de rendements de l'ordre de 20.000 à 30.000 lettres par heure 'ur 100 destinations. Ces ensembles de tri mécanique avec indxation manuelle préalable semblent appelés à une longue existence. que ce Il semble soit ce type é machines gui soit en usage dans les pays dont la réponse indique go le tri des lettres est mécanisé. Par exemple, aux Etats-Un s, plus de 60 pour cent des lettres étaient triées mécaniquement, à n premier stade, en juin 1975. Le centre de tri d'Oslo, en N rvège, trie, au moyen d'une tvoir Oikawa P. Andrieux: télécoma transmission des données, rapport ét mondial, Oslo, 1975 (Genève, Internation K. et technogie dans les postes et es sindicats et la nouvelle nictjQns4. ordjjteurs et bu pour le 22e Congrès le dti personnel des postes, télégraphes et téléphones (IPT)), pp. 4 -51. tmVoir Mécanisation et utomatisation du tfl des correspondances, Etude 1 A3 du Conseil consultatif des ét des postales (CCEP) (Berne, UPU, l971t) 'Pour une description du travail de changements technologiques dans IPTT), n° 7, printemps 1975, pp. 9-li. "Les odeur, voir, par exemple, Etudes (Genève, les PTT", AVoir, par exemple, Classification ds foBctions posta'es qar la qualification du travail, Etudes postale, n° 64 (Berne, UPU, 1967), notamment pp. 31 et suiv. - 33 - machine est La calculatrice, environ 230.000 envois par jour. desservie par 15 postes de codage et l'crdinateur a été programmé pour découvrir les erreurs de code. Dans une troisième étape, la mécanisation du tri a consisté à éliminer l'opérateur d'indexation, remplacé par des lecteurs automatiques 0CR). Des capteurs transforment un graphique en signal électrique ou électronique. Ce sytème fait appel aux calculatrices. Ce type de machine concerne principalement le courrier envoyé en quantités importants et dont l'adressè est dactylographiée ou pour cent du courrier 80 imprimée. Aux Etats-Unis, par exemple, intérieur est de nature commerciale, à adressage automatique. Les plans du service postal prévoient l'introduction, d'ici à 1985, de perfectionnées. Au Japon, 95 machines de lecture 62 machines OCB ne machines automatique du code postal sont utilisées. Ces dans l'état actuel de la remplacent cependant que partiellement, une car technique, celles qui nécessitent l'indexation manuelle, partie importante du courrier théoriquement "mcanisable" comporte des adresses manuscrites. Diverses autres opérations ont également été mécanisées, aboutissant à une chaîne intégrée de traitement automatique: affranchissement automatique, pré-tri éliminant les articles indésirables, tedressage des enveloppes, oblitération mécanique, enliassage du courrier trié et emballage de protection. a paru important de faire une rapide description des difIl f érents systèmes de tri, car ils ont été introduits, à divers dedans les pays gui ont répondu au questionnaire. La durabilité grés, du matériel freine le remplacement de machines déjà anciennes, comme les trieuses mécaniques, et les différents systèmes coexistent un certain temps. 'automatisation des télécommunications Les progrès techniques réalisés dans les télécommunications présentent des caractères très différents de ceux gu'on peut observer dans les services postaux: l'objet des services de télécommunication est en effet la transmission d'un message d'une nature telle que l'opération peut s'effectuer entièrement sans intervention huAinsi, dans les téléphones, les maine entre le départ et l'arrivée. opérations de connexion et de commutation sont devenues automatidivers systèmes électromécaniques ou électroniques permettent ques: la transmission entièrement automatique du point d'appel au point de destination. En outre, l'automatisation de la transmission n'est pas conditionnée pat le volume du trafic; elle peut donc concerner aussi bien les points les plus éloignés du réseau rural que les centres La question de la rentabilité économique urbains les plus denses. ne se pose pas dans les mômes termes que pour les opérations postales: dans l'état actuel du développement technique, il peut être plus rentable d'installer des systèmes automatiques, môme dans les lieux les plus reculés, que d'y maintenir des téléphonistes'. ISelon certaines recherches, la commutation représente 45 pour cent du coût moyen d'un appel téléphonique et se subdivise en 28 pour cent de frais de foncticnneinent de l'équipement et 72 pour cent Voir charges salariales au titre de l'opérateur de commutation. de (Suite de la note page suivante) - -34 - L'interchangeabilité des éléments d équipement simplifie consil'entretien. Certaines ap-lications de l'électronique dérablement permettent le contrôle à distance des ce tres automatisés et, par suite, une concentration des services d' ntretienl. Les exemples ci-après, empruntés au réponses au questionnaire, système de commutation est complèteme t automatisé, électromagnétique pour 90 pour cent, semi-électronig e à programme enregistré pour 10 pour cent. Au Cameroun, viiles ont des systèmes 1 automatiques; pour le reste, ce sont des inst1lations manuelles gui desservent les communications. En Fra ce, un réseau public "à commutation de données par paquets" est l'étude; le système actuel de commutation est autonatigue à 80 0 r cent. La Suède s installé des systèmes de commutation à contrôle p r ordinateur. A l'opposé, aux .les Gilbert, en dehors du centre ur min de Tarawa, il n'y a pas de réseau téléphonique et les télécommun cations se font par système illustreront la variété des situations r ncontrées. En Belgigue, le morse, manuellement. His à part l'automatisation compl te des transmissions qu'ont réalisée les pays les plus avancés, de multiples innovations techniques ont porté sur l'améliorat on constante des moyens de transmission du point de vue de la guali é et de la capacité. Les moyens de transmission ont été et sont en mesure aujourd'hui de t en plus impprtant de communications dive en plus élevées. Par exemple, dans 1 fréquences de plus en plis hautes du fai sont utilisées; les émetteurs pe pés xtraozdinairement dévelopansinettre un nombre de plus ses à des vitesses de plus s radio-communicationà, des ceau hertzien (micro-ondes) vent être entièrement transistorisés. Pour ce gui est de transmissions par câbles à courants porteurs, les études ont porté ur les alliages et leur combinaison, ainsi que sur l'isolati n. Le câble coaxial, qui résulte de ces améliorations, a augment la capacité des câbles sous-marins, simplifié leur entretien et amélioré la qualité des transmissions. L'utilisation du satellite, station relais de micro-ondes l'espace, s'inscrit dans cette même lign cité et de la qualité des moyens de techniques de transfert des signaux ont des divers supports de transmission. par répartition dans le temps (Time Di dans d'amélioration de la capatransmission. De nouvelles ugmenté encore la capacité es méthodes de multiplexage isio Multiplexing (TDM)) correspcndant à la subdivision d'un flux de signaux binaires viennent s'ajouter aux méthodes de multi lexage par répartition en fréquence (Freguency Division tiultiple ing (FDM)) consistant en un découpage de la largeur de bande2. (Suite de la note de la page précédente) .3. Nartin: Future d.evelo2ments in telec Prentice Hall, .97l), p. 31. iVoiz mmunicationm (New Jersey, .3. flartin: Future deve1o2ment in leleconimunications, 02. cit., pp. 291 et suiv..; "Ordinateurs et 1élécàmmunications", Etudes d'inorsiati2ue (Paris, OCDE), n° 3, l973. 2Pour une explication plus détaillée voirÈ par exemple, Mathison et Wallçer: Com2uters and Telecommunicati mm (New Jersey, Prentice Hall, 1970), pp. 45 et 132. - 35 - eux-mômes ont changé de forme: des signaux analoLes signaux giques (signaux continus modu1és on a passé aux signaux numériques d'impulsions alternées binaires ou numériques) et à la con(trains permettent version réciproque des uns et des autres. Ces techniques la transmission de données sur les réseaux existants et, d'autre part, la constitution de réseaux informatiques spécialisés. Ccmme on le voit, la technique des téaécomnmunications a connu dernières années un essor spectaculaire. Les progrès dans ce secteur sont sans doute appelés è se poursuivre si l'on songe aux efforts de recherche consentis dans les différents pays. Ainsi, les laboratoires Be].l, aux Etats-Unis, occupaient en 1972 plus de 17.000 personnes dans le domaine de la recherche et du développement'. ces Les a1ications des ordinteurs dans s postes et les télécommunications Les calculatrices ont trouvé très tôt une application dans les services financiers des postes, en particulier dans le service des chèques postaux. Les ordinateurs ont ensuite servi à l'exécution de diverses têches administratives et financières, parfois déjà plus ou moins mécanisées. La paie, certains éléments de l'administration du personnel, la facturation, la comptabilité, la gestion des stocks et la compilation et limpression des annuaires, des fournitures, l'établissement de statistigues ont été portés sur ordinateur. L'ordinateur est également utilisé pour la gestion financière de l'entreprise, en particulier pour la gestion prévisionnelle, et facilite la détermination des prix de revient. On recourt à lui pour établir les prévisions en matière de trafic, pour étudier des projets, dresser des plans et dessins, planifier des réseaux, les évaluer sur les plans technique et financier. Dans les services financiers, les ordinateurs servent en particulier à l'automatisation du traitement des comptes de chèques postaux et des mandats2. La plupart des pays indiquent, dans leur réponse au guestionnaire, que certaines opérations avaient atteint un tel volume et une telle complexité que, sans l'ordinateur, il aurait été impossible de les continuer de manière efficace. Dans les services financiers, la nécessité de s'aligner sur le secteur privé des banques pour demeurer compétitif a joué un rôle important. L'ordinateur n'est pas seulement un instrument de gestion financière et administrative; il est aussi un outil technique. Dans les services postaux, comme on l'a vu, il a été appliqué au tri du la lecture automatique et le contrôle du processus par courrier: programmation sur ordinateur ont fait du tri un système intégré entièrement automatisé. Labor lvoir "Prod.uctivity in Telephone Communications", Monthl Review (US Department 0f Labor, Bureau of Statistics), nov. 1973. sur les services finan2pour une information plus détaillée voir Qr9anisatiofl du contrôle des mandts de 2oste, Etudes postales, n° 86 (Berne, UPU, 1970) ciers, - 36 - C'est toutefois dans les télécomiaun trouvé ses applications les plus nom l'utilisation de l'ordinateur pour l'a réseaux de télécommunications, un champ n transmission des données, d'une part, pou infcrmatiues indépendants, d'autre part. cations que l'ordjnateur a de reusest. En dehors tomatisation intégrale des uveau s'est ouvert pour la la création de réseaux La transmission des données peut se aire en utilisant les réseaux existants de télécommunications et particulièrement le réseau téléphcniguem. Toutefois, certaines cara téristigues techniques de ces réseaux ne permettent qu'une transmis ion relativement lente des informations3. Les études ont donc por é sur l'amélioration de la sur des tec niques et méthodes de vitesse de transmission, transmission nouvelles4. Les développements les plus récents de réseaux de transm,ission distincts spé transmission de signaux numériques (ou bi les terminaux aux ordinateurs, permet ordinateurs et la création de véritables bles par le réseau téléinformatique publi conçus directement à un niveau régional c ortent sur la constitution ialeinent prévus pour la aires) reliant directement ant la communication entre angues de données accessiCes réseaux sont parfois uvrant plusieurs pays5. Selon les réponses fournies au qu possèdent des réseaux de transmission de exemple de l'Australie. En Autrich télégraphe, télex et transmission de donn Au Chu, un réseau de transmission de d 1980-1985. En Prance, un réseau de termin de données. Au Japon, les transmissio principaux services de la NTT. Au Luxe lignes à communications multiples permet En Nouvelle-Zélande, la téléinformat téléphone ou télex. Il en est de même en été faits pour l'introduction d'un rése 79. Au Royaume-Uni, 62.500 terminaux son seau de transmission; le Post Office four être connectés avec le réseau téléphoni stionnaire, plusieurs pays onnées. C'est le cas par réseau combiné de u,n es est prévu pour 1978-79. nnées est envisagé pour ux est relié à desbanques s de données sont l'un des bourg, l'installation de a transmission de données. que utilise les réseaux orvège, où des plans ont u public séparé vers 1978en connexion avec le réit les modems6 qui doivent ue commuté; l'introduction 1Voir: "Future in TelecommnicationstI, Journal o Sxstem mana: et "Ordinateurs et télécommunicatins", Etudes (Paris, OCDE), n0 3, 1973. ment, 89, aVoir Etude ros2ective du marché (Berne, UPU, 1971), pp. 52 et suiv. ostal, Etudes postales, n° 3voir J. Martin: Future develo2ments teecommunications Jersey, Prentice Hall, 1971), pp. 81 et siiv. et 277 et suiv. (New A titre la modulation ar impulsions codées (HIC) d'exemple: (Pulse Code Modulation (PCM)) et la techngue de communications de messages. Pour des informations détaiLlées, voir Hathison and Walker, Coln2uters and te)ecoBmunications (New Jersey, Prentice Hall, 1971), pp. 21 et suiv. Voir, par exemple, T. Larsson: The Nrdic Public (Swedish Telecommunications Adnhinistratioi). ,q Data Network - 37 - en d'un système visuel ("vieudata") utilisant l'écran de télévision avec les lignes téléphoniques reliées à un centre connexion infcrnatique est à l'étude. Les chiffres suivants donnent un aperçu de l'importance des installations de modems par rapport au réseau télex dans quatre pays e u-r o p é e n s. Lignes télex Iodenis (transmissions de données) d 'Ail emagne 93 330 17 500 Grande-Bretagfle 37 774 38 100 It al je 12 135 10 800 France 37 888 12 250 Eépublique fédérale Source: "Les télécommunications", L'Econcj (Paris), 24 fév. 1976. la transmission des données est considérée, selon En général, les réponses au questionnaire, comme faisant partie du monopole des (souvent provisoires) sont accordées communications. Des licences il pour l'expérimentation, parfois pour l'exploitation. Au Chili, n'est pas encore décidé si les nouvelles installations devraient être privées ou dépendre de 1'tat, mais l'entreprise étatique des télécommunications qu'on envisage de créer comprendrait probablement En Fiance, une société entièrement contrôlée la téléinformatique.par l'administration s'est vu confier la mise en place et la (Société de données transmissions des ccmmerciaiisation télésystèmes). La transmission de modem à modem a été prise en charge par le service de télécommunications, dans l'Inde. jusqu'en 1971, NTT et KDD avaient le monopole de Japon, Au l'exploitation des transmissions de données, considérées comme un service public de télécommunications. La politique de l'Etat a chanen 1971 et les entreprises privées ont été autorisées à fournir gé des services téléinformatiguest. les équipements spéciaux ne sont pas fournis par Norvège, En l'administration. Au Pakistan, les ordinateurs connectés avec les réseaux de télécommunications sont installés par les services de iLe gouvernement japonais précise qu'il n'en est résulté aucune répercussion particulière sur le personnel. L'opinion syndicale, en une revanche, est que la ccncurrence sur le marché a occasionné détérioration dans les conditions d'emploi (en particulier pour les salaires) du fait de pressions en vue d'une réduction des codts. que la pratique de la gestion privée des Les syndicats craignent transmissions informatiques, sous la forme de sous-traitance, ne provcgue des pertes d'emplois à l'avenir. - 38 - téléphone et télégraphe. En Suède, s services de télécommunications se trouvent en concurrence av c le marché privé dans les nouveaux secteurs informatiques. Héthodes et orqanis tion Dans les postes comme dans les téléc ±ets les plus remarquables des change bien être la nécessité de restructurer le les méthodes de travail. Tout ce gui vien mécanisation du tri, de l'automatisatio de l'usage grandissant de l'ordinateur va troisième facteur, en même temps que la tionalisation poussée, dont il est d'aill cace, ont particulièrement contribué à postes et télécommunications. Comme le so France, "la banque de données transf l'entreprise en un seul groupe de tra techniques de direction par objectifs, la comptabilité analytique et autres mét appliquées maintenant dans les postes et dans les autres secteurs de l'économ commercial de ces services. mmunications, l'un des efnts technologiques paraît services et de repenser d'être dit au sujet de la des télécommunications et dans le même sens. Ce echerche assidue d'une raors un instrument efficdifi.er la physionomie des ligne la réponse de la rme en quelque sorte toute ail". Parallèlement, les gestion prévisionnelle, la odes modernes de gestion télécommunications comme e renforcent le caractère Ces transformations dans les méthode et l'organisation ne peuvent manquer, tout autant que l'évolution technologique elle-même, d'exercer une influence sur le niveau t la structure de l'emploi ainsi que sur les conditions de travail. e chapitre qui suit tente de mesurer cette influence et de rele er les dispositions prises pour sauvegarder les intérêts du personne lorsqu'ils se trouvent affectés. - 39 - CHAPITER IV LES EFFETS DES CHANGEMENTS TECHNOLOGIQUES SUR L'I1PLI ET LES CONDITIONS DE TRAVAIL que ceux gui viennent Des changements aussi spectaculaires gui d'être décrits, mais également les perfectionnements mineurs sont apportés au jour le jour dans les techniques utilisées par les postes et télécommUnications, ne peuvent manquer de retentir sur les conditions d'emploi et de travail du personnel. Ces services de considérables et, pour beaucoup des effectifs emploient travailleurs, l'installation d'équipements nouveaux et l'application des signifier de risquent eux inédites de méthodes pour bouleversements considérables dans la vie guotidienne menace sur uffectuer ou l'emplpi, changements dans la nature des oérations dans les conditions d'accomplissement des tâches. Qu'en est-il en fait? on s'efforcera de dégager, dans les pages qui suivent, les de de ces nouveautés technologigues: les gains conséquences productivité qu'elles ont permis; la mesure dans laquelle le niveau de l'emploi, le contenu des tâches, le déroulement des carrières et les conditions de travail ont été affectés; les dispositions qui ont été prises pour protéger les intérêts du personnel. Productivité accrue Parmi les effets qu'a entra.nés l'adoption de nouvelles techniques par les services des postes et télécommunications, les réponses au questionnaire mentionnent l'accroissement de la productivité. par le gonflement du trafic et par l'impérieuse la fois Exigé nécessité de réduire les coûts, cet accroissement s'est traduit principalement par une réduction du nombre des employés requis pour exécuter un volume égal d'opérations. Les coûts de personnel sont un élément impgrtant dans le calcul économique d'entreprise; ils sont services postaux, où ils élevés dans les particulièrement atteignent, par exemple, 85 pour cent des coûts totaux aux EtatsUnis et 90 pour cent au Japon. En République fédérale d'Allemagne, l'introduction des ordinateurs dans les services d'épargne postale (1968) représente une éconcmie d'environ 17 millions de DM par an, soit environ 40 pour cent du coût global. Nille soixante-cinq postes de travail, soit près de sont (Ces calculs 50 pour cent, ont été économisés de la sorte. faits sur la base des coûts de 1968 et ne tiennent pas compte du développement du service.) Il est estimé que 10.000 opérateurs supplémentaires auraient été nécessaires dans les télécommunications en Australie pour de assurer le trafic qui passe aujourd'hui par les centres commutation automatiques. En France, l'indice moyen d'opérations par agent, à durée de travail constante, a passé de 100 en 1962 à 165 en pour 1975-76, 6.700 postes l'année Royaume-Uni, 1975. Au supplémentaires auraient été nécessaires sans la mécanisation du tri du courrier. - 40 - Les données relatives à l'augnientati on de la productivité dans u Canada (Bell), les téléphones sont particulièrement fi appantes. on ccmptait, en 1966, 11,65 employés pour 1.000 téléphones et équipements principaux,; en 1975, la pi oportion était de 8,57 pour 1.000. En France, pour 1.000 lignes, on c oeptait 32,6 employés en 1966; en 1975, ce nombre n'est plus que de 17,7. Au Japon, en 1952, lorsque la NTT a été créée, les téléphor es ôtaient au nombre de 1974, ce nombre était dE 39.40.000, soit 19,4 fois 2.03C.000; en plus. Dans le inme temps, le personnel n' avait augmenté que de 2,1 fois (de 145.000 à 310.000), et le no: bre 4e téléphones desservis par chaque employé avait été multiplié p r 9,1 (de 14 à 127). Cette productivité accrue se tradui1 en outre par une amélioration des services rendus: écoulement faci1ité réponse à des besoins nouveaux, etc. La NTT, au Japon, donne co mwe exemple de la meillebre qualité du service la diminution du t ux des erreurs dans les services téléphoniques: de 20 erreurs p ou 100 abonnés par mois en 1952, on a passé à un taux de 0,9 pour lC o en 1974. Effets sur l'eJoi Les modifications techniques ne se ont pas accompagnées de fluctuations du niveau général d'eIploi dans les postes et télécommunications. En effet, si lesi systèmes mécanisés ou autcmatisés ont provoqué une augmenttion de la productivité, l'accroissement du volume de trafic a maintenu une certaine demande de personnel. Globalement, le niveau de l'emploi continue de cas, s'accroître, mais lentement; certains y a il dans stabilisation. Les changements technologiques on évidemment affecté, sur le plan de l'emploi, les secteurs où il sont adoptés, mais les de diminutions personnel, la disp rition marne de certaines catégories de personnel ont été compensé s par laugmentation de la demande dans d'autres secteurs ou par la création de nouveaux emp1015, et les réponses au guestionnair ne signalent pas, sauf exception', de licenciements massifs. rtée des réductions de ersonne1 Dans les services postaux, l'autom a prcvoqué des réductions de personnel de taches manipulation), mais le techniciens chargés de l'entretien des w que le personnel de t Il faut ajouter que la mcitié du personnel des services personnel de manutention et de transbord l'introduction des machines e tri. n'est applicable qu'à une partie de la c format et d'un certain poids). Le reste or, comme la réponse française le fai cette catégorie d'objets est en forte ex tisation des centres de tri (en particulier pour les ombre des mécaniciens et chines de tri a augmenté. i neconstitue généralement de courrier, et que le nient n'a pas été touché par De plus, le tri automatique rrespondance (d'un certain oit être trié manuellement; cbserver, le traitement de ansi on. 'La Western Union aux Etats-Unis télégraphes) fait cependant état d'une diminution du niveau de 1' mp].oi: 8,2 pour cent du personnel avaient été licenciés en octob e 1975. 4 - 41 - Dans les services financiers ou administratifs, l'introduction des méthodes informatiques semble de nature à occasionner des réductions de personnel. En Belgigue, où le traitement manuel subsiste dans les chèques postaux, parallèlement au traitement électronique, on considère que les effectifs pourraient diminuer quand le service sera devenu entièrement informatique. En France, il y a eu réductioji des effEctifs dans le service de paie du personnel, malgré un accroissement des tâches; dans les chèques postaux, de 1970 à 1975, de 7.910 Emplois ont été supprimés. Au .Japon, le personnel tabulation et de facturation de la NTT a êté réduit. Au Luxembourg, en tel a été le cas pour le personnel des chèques postaux et, Nouvelle-Zélande, pour le personnel de gestion des fournitures et tâches certaines des stocks. En Irlande et au Royaume-Uni, routinières, comme le classement des tickets de téléphone, ont été (onsupprimées, tandis que l'introduction d'un système "connecté" pour le service des paiements, dans les postes suédoises, line) pçurrait avoir des effets importants sur les activités de guichet. On peut se demander cependant si l'utilisation de l'ordinateur dans ces services a, jusqu'à présent, affecté le niveau de l'emploi de manière aussi marquée gu'ôn aurait pu le craindret. Elle ne la supprime pas entièrement le recours aux méthodes classiques: préparation des dpcuments à trailer et la sâisie des informations restent, pour partie, en dehors de son orbite. En outre, la mise des opérations sur ordinateur se fait progressivement, l'ancien système continuant de fonctionner pendant un certain temps parallèlement au les durant cette période transitoire, nouveau, si bien que., gonfler. En outre, le à se tendance même ont effectifs fonctionnement même de l'ordinateur entraine l'ouverture d'emplois comme on l'a vu, le traitement électronique des nouveaux. Enfin, un volume une variété et à données permet de faire face à dopérations gui, sans cela, ne pourraient pas être exécutées; sa mise en oeuvre même a donc déclenché un accroissement des affaires répercuté, dans une certaine mesure, traitées qui, à son tour, sur le volume de l'emploi. Il résulte de but cela que les effets éventuels des applications de 11ordinateur sur le niveau de l'emploi sont difficilement mesurables et que des répercussions, actuellement masquées, risquent dapparaitre lorsque l'usage de ces techniques se sera généralisé, ou bien si le volume des affaires traitées se stabilise. C'est dans les télécommunications qu'il y a eu les diminuticns plus notables du fait de l'automatisation des opérations. Ainsi, bien que les transmissions par satellite aient donné un essor important aux télécommunications à longue distance2, il n'en est résulté qu'un nombre restreint de nouveaux emplois (par exemple dans l'installation et l'entretien des antennes des stations terriennes) parce que l'augmentation du volume des communications peut être ahles 'Voir, Ja ncuvelle ordinateurs pp. 12-15. exemple, K. Oikawa et P. Andrieux: Les sXndicats et technologie dans les Bostes et tééommunjcations. cit., (Genève, IPTT), o transmission des donn et par 2Certaines prévisions indiquent un taux de croissance continu de 20 pcur cent par an des télécommunications internationales. Voir G. Wallenstein: "L'internationalisation du développement des systèmes de télécommunication", Journal des télécommunicatigf (Genève, UIT) vol. 41, n° 1, janv. 1974, pp. 33-38. - 42 - sorbée immédiatement par la plus grande l'établissement et le développement de r blent pas de nature à entraîner une aug personnel puisque la conception même des leur contrôle, leur surveillance ment, clientèle pourraient être effectués par apacité du réseau. De même, seaux informatiques ne sesentation très importante de réseàux, leur fonctionneet même la facturation à la rdina teur. En Australie, la suppression de .ostes de téléphonistes dans les centraux automatisés a été compensée par un accroissement de l'espJ.oi dans les systèmes manuels rési.uels, par l'augmentation de volume du service international et ar les nouveaux services d'assistance et information à la client4le Àux Etats-tjnis, Western Union a fermé la plupart des bureaux t4légraphiques publics (les messages sont pris en charge par des ent4eprises privées, telles gue des hôtels, des chaînes de taxis, 4es "drugstores", etc., sous contrat dagence). En France, de 1970 à ]978, 12.183 emplois auront été supprimés dans les téléphones. n Inde, bien que les postes d'opérateurs manuels aient été réduils dans les, centres de communication, l'augmentation du volume 4u trafic et le renforcement du personnel technique ont accru es possibilités d'emploi. L'automatisation des téléphones, en rlande, a entraîné une réducticn du nombre des opérateurs. A Japon, à la NTT, le nos.bre des travailleurs oôcupés à la connexion anuelle dans les services des téléphones ou télégraphes s été ré uit; à la KDD également, on signale une réduction notable du pers nnel des télégraphes. En Norvège, les emplois manuels continu ront à diminuer dans les téléphones, jusqu'à l'automatisation com lète des réseaux, tandis que le personnel technique ira en augm ntant. En Nouvelle-Zélande, on note une diminution du personnel d'o'p ration et d'entretien dans les télécommunications. Dans les erviçes télégraphiques de Singapour, actuellement, un grand nom re de personnes dont la formaticn scolaire est insuffisant et les capacités de développement professionnel limitées son engagées pour des têches simples de manipulation des télégrammes avant la distribution ou la transmission; dès que les nouveaux mystêmes programmés sur ordinateur fonctionneront, ce personn 1 n'aura plus sa raison d'être. A on constate u e légère augmentation du Sri Lanka, personne], dans le secteur des télégra bas et téléphones, due à la création de nouveaux postes d'opération et d'entretien des installations. Le passage des lignes d transmission terrestres au système radio a provoqué en Thailande un zédction du nombre des poseurs de lignes. esures arises en cas d'excédents de 2ersonnei Cosse on le voit, même si le nivEau global des effectifs n'a cessé de croître dans la majorité des pays ce tableau général recouvre des disparités de situations selon l pays et selon le secteur. Dans certains cas, lapparitio des techniques nouvelles a provoqué des excédents de personnel. Que]4Es mesures a-t-on prises alors? I Certaines conventions collectives irterdisent les licenciements des catégories de personnel déinies: c'est le cas, par exemple, dans les services postaux des Etjats-Unis, où, aux termes de la convention collective nationale, les icençiesents éventuels ne peuvent pas atteindre les travailleurs ui font partie du personnel régulier. Au Japon, il semble également ue les licenciements soient écartés par convention collective dans l;s postes et à la NTT. Il en va de même dans les postes au Canada. pour - £13 - En revanche, des licenciements ont eu lieu, quand toute autre dans les télécommunications en mesure s'est révélée impossible, Argentine (Entel): ils ont alors touché les employés les plus sans charges de famille, qui ont été indemnisés et qui sont jeunes, à leurs réengagés en priorité lorsqu'un poste correspondant capacités devient vacant. Ce processus a rencontré l'accord des syndicats. En Australie, également dans les télécommunications, des licenciements ont paru inévitables; ils ont touché des personnes qui avaient été averties, au moment de leur engagement, que les nouveaux systèmes pourraient conduire à la suppression de leur poste, mais on s'est généralement efforcé de reclasser les personnes en cause. propos des services découle de ce gui vient d'être dit Il postauc aux Etats-Unis que les personnes qui ne font pas partie du personnel régulier peuvent être licenciées. C'est ainsi que, dans Western Union, d'importants de la les services télégraphiques licenciements ont eu lieu. En Côte-d'Ivoire, il semble également que des licenciements puissent se produire car une indemnité destinée à compenser cette éventualité a été introduite après janvier 1975. En France, ce sont les auxiliaires qui ont été le plus touchés par les licenciements, soit parce que les postes qu'ils occupaient devenaient inutiles du fait des nouvelles techniques, soit parce ue leur emploi était attribué à des titu].aires déplacés. Cette dernière situation s'est notamment présentée dans le service postal où ont 27 été reclassés des téléphonistes titulaires. Au 31 décembre 1975, pour cent des auxiliaires touchés par la modernisation des services se nombre de '3.653, au auxiliaires, avaient été licenciés. Ces répartissaient ainsi: 2.656 provenaient du service téléphonique, 801 service des chèques postaux et 196 du service postal. La plupart du de ces personnes (2.353) ont bénéficié d'une allocation pour perte d'emploi, et 1.831 ont touché en plus une indemnité de licenciement, mais 35 pour cent (1.300 personnes) du personnel licencié n'a touché ni allocation ni indemnité. République fédérale d'Allemagne, une indemnisation spéciale En est prévue en cas de licenciement. le personnel aux Philippines, Dans les télécommunications, surnuméraire a été licencié en premier, puis les licenciements ont toucié le personnel régulier, qui a été indemnisé. Dans crtains cas, des mesures préalables ont été prises pour éviter ultérieurement des licenciements. Ainsi, la Société Beil, au Canada, a procédé à des "emprunts de personnel", à des transferts provisoires; on ,a différé les congés, les mises à la retraite, etc., du personnel temporaire. En Nouvelle-Zélande, une et on a engagé politique s'étendant sur plusieurs années a été menée en accord avec les synêicats: trois ans avant la mise en service d'un nouveau on engageait seulement des travailleurs automatique, système temperaires, dont le contrat devait prendre fin avec l'introduction Toutefois, la proportion de ces travailleurs de l'automatisation. plus, De a été limitée à 25 pour cent de l'ensemble du personnel. une liste des bureaux concernés - avec le nombre des personnes implijuées - doit être constamment tenue à jour et des réunions paritaires ont lieu tous les six mois pour examiner la situation. En - 144 - 1975, par exemple, sur 127 travailleurs tpuchés par les suppressions d'emploi, 89, soit 70 pour cent, étaient temporaires. Les autres, au nombre de 38, avaient une moyenne d'&ge de quarante-deux ans et la durée mcyenne de leurs services était de 9,7 ans; il n'y avait parmi eux que trois hommes et neuf personnes seu1ement n'ont pas continué à travailler: 29 personnes ont été transférées à d'autres postes. Dans la plupart des cas, les mesures prises pour absorber les excédents de personnel ont été des transfertsl, des mutations, des reclassements, des reconversions. En paei1 cas, le travailleur en cause ccnserve le plus souvent son grade jet sa rémnn4ratiou. L'exemple de la Prance illustre bien1 la variété de ces dispositions (voir tableau 5). Diverses mesures législatives ont été prises pour permettre i.e reclassement des personne concernées2. Il reste 1.606 personnes des services téléphonigbes à reclasser pour la période 1976-1978 et l'on prévoyait, soir ce nombre, 270 sorties de fonction, 78 mutations volontaires, 658 ireclassements au lieu de résidence, 596 reclassements hors u lieu de résidence, reclassements dans d'autres aduiinistratio1ns. L'automatisation totale des centres de chèques postaux nécessiterit des mesures pour 1.184 perscnnes. En tout, de 1970 à 1978, l.678 titulaires auront été touchés par la modernisation des service, et 13.514 auxiliaires jusqu'en 1975. On voit bien, par ces xemnples, l'ampleur que les proLlèmes de personnel peuvent présenter pu fait de l'adoption de techniques nouvelles qui demandent peu de £4 'Les transferts ont pu poser des prob émes. particulièrement difficile lorsque des femmes étaient en cau E, Ce qui est le cas le plus fréquent dans les téléccmmunications 'Par exemple, reclassement par dérogtion (loi n° 70-1209 du 23 décembre 1970); introduction du trava1 à mi-temps dans les téléphcnes (décret n0 72- 817 du 31 aot 1972); indemnités de mutation (décrets nos 72-146 du 23 février 1972 et 75-271 du 18 avril 1975); reclassement dans les autres administrations (décret n° 71476 du 21 juin 1971) - 45 - Tableau 5 personne' dus à morande desT Nouvements du personnel des Services téléphoniques Chèques postaux 10 577 (depufs 1970) 3 415 (depuis 1971) a Nouvements du personnel auxiliaire 13 514 (jiisgu'en décembre 1975) Péartition Sorties de fonc3 155 1 011 Nutations 1 198 608 Reclassements 6 224 1 796 Reclassements conformes aux voeux de la per5 813 scnne 1 787 ticn licenciements 3 653 9 861 Nature des mouvements Nutations d'office 9414 (dont 486 au lieu de résidence) ic2assements dans d'autres administrations 97 9 3 548 2 107 618 845 405 41 45 619 Répartition éorahi9ue Au lieu Dans le Dans la Nors de de résidence département région la région Ré2artition 1492 ar service d'accueil Poste et services financiers 3 266 1 311 Téléccmmunications 2 1120 277 441 199 Services administratifs 7 591 (dans les services PTT) 1 651 (dans le secteur privé) 619 (autres administrations) Source: RdpoPses eu questiornaire. - 46 En République fédérale d'Allemagne, es transferts sont opérés aux "Directives pour l'él horation de plans sociaux" (Bicht].inien fur das Aufstehen von Sozia]. lânen) émanant du ministète des Postes et Télécommunications. Au Japon, à la NTT, les transferts et reconversions ont de concerné plus de 10.000 personnes dpuis la fondation l'entreprise en 1952. A la ICDD, particuLièrement dans les services télégraphiques, 500 personnes ont dû chaner d'emploi entre 1971 et 1975. En outre, lors de la suppression "du système de transmission par ondes courtes, 120 personnes ont été reclassées dans les communications à bande large. conformément En plus des transferts, d'autres msures ont été prises: l'in- troduction très progressive des nouveaux systèmes, les limites à l'emtauchage (parfois même un arrêt total) et le ron-remp1acement du personnel qui cesse de travailler (la "réduction naturelle") devaient permettre l'absorption du perjsonnel en excédent!. Aix Etats-Unis, la convention collective nationale conclue pour les pqstes stipule ue les nouveaux emplois doivent être offerts en priorité aux employés susceptibles d'acquérir la formation adéquate. En République fédérale d'Allemagne, le travailleur atteint par les licenciements conserve un droit prioritaire au réengagement pour un emploi correspondant aux conditions de son anoien poste. En Norvège, une solution particulière a été trouvée dans les télécommunications: J ce sont certaines tâches qui ont été transférées vers les centres o il existait des excédents de personnel. Enfin, on a procédé, dans certains cas1 à des mises à la retraite anticipée. Au Japon, une loi su la mise à la retraite adoptée pour répondre à l'introduction de systèmes automatiques dans les téléphones établit qu'en cas de retraite anticipée volontaire, le travailleur doit recevoir une allocation spéciale égale à huit mois de salaire, après cinq ans de servides au maximum, et à dix mois de salaire après plus de cinq ana; cette loi a été critiquée par les organisations syndicales comme étant susceptible d'altérer le libre choix des intéressés. La mise à la retraite anticipée posE toujours le problème de la garantie d'un revenu suffisant jusqu'à l'ouvexture du droit à la retraite, sans parler d'autres problèmes iumains et sociaux. D'après les réponses au questionnaire, cette mesre ne semble être pratiquée que dans un petit nombre de pays et, la. plupart du temps, à titre excepticnnel. EmRlcis nouveaux Les nouvelles technologies ont entrainé Ja création de nouveaux surtout dans les secteurs teclyiigues et dans les secteurs qui utilisent des ordinateurs. De nouvea1ux postes de techniciens pour les installations et l'entretien, spécialisés en électromécanique ou en électronique, ont été ouQerts, ainsi que des postes de spécialistes en informatique (pour l'analyse de systèmes, les programmes, la saisie de données). Quelques emplois nouveaux ont été intrcduits dans les postes, par exemp1e, les emplois d'opérateur de tri sur clavier ou d'indexeur de courr1ier. empicis, lVoir "L'adaptation de la main-d'oeuvre au progrès technique", Travail et automation (Genève, BIT), n° , 1967. - 47 - Seln la réponse de J.a Suède, l'introduction de la télévision par câble pourrait entrainer la création de nouveaux emplois. D'après les réponses, pour remplir les emplois nouvellement les services des postes et télécommunications ont recouru de manière prioritaire, dans la grande majorité des cas, à la formation les qualifications et possédant du personnel déjà employé nécessaires pour recevoir cette formation. Cependant, il a fallu souvent engager du personnel nouveau, en particulier pour des tâches très spécialisées, notamment dans les domaines de l'électronique et Dans quelques pays, ces spécialistes ont été de l'informatique. C'est le chargés également de la formation du personnel existant. par exemple. En Côte-d'Ivoire, on a fait appel à Ufl cas en Suède, pour former le personnel d'encadrement étranger (des coopérants) Cameroun, on préfère engager du personnel perscnnel en place. Au déjà qualifié si la formaticn du personnel interne doit prendre plus Plusieurs réponses de trois mois et représente un coOt élevé. signalent que certaines catégories d'employés sont envoyées en stage de formation dans des entreprises de l'extérieur. créés, influence sur a structure du 2ersonnel et su la carrière de ce gui précède que diverses fonctions se sont Il ressort nouvelles, que modifiées avec l'application des technologies encore perdent de leur d'autres sont apparues et que importance ou ont même tendance à disparaltre. Il en est résulté certains changements dans la compositicn du personnel, en particulier une augmentation très sensible du personnel technique, tant en chiffres absolus que par rapport aux effectifs totaux. Certaines réponses au questionnaire sont révélatrices de ces transformations. Ainsi, en Australie, le personnel technique de qualification moyenne a passé de 34.466 en 1967 à 44.389 en l95, tandis que le personnel des téléphones, dans le même temps, passait de 12.281 à 11.906. Les services d'entretien et de réparation centralisés, comportant au total moins de changent de structure: perscnnel, ils sont souvent devenus polyvalents. Leur personnel tend à se subdiviser en ingénieurs spécialisés et en travailleurs non qualifiés chargés de remplaoer les équipements défectueux. L'évolution est particulièrement frappante en Suède en ce qui et télégraphe les concerne les opérateurs de téléphone et techniciens au cours des vingt dernières années: les opérateurs et les techniciens étaient respectivement au nombre de 17.500 (49 pour et de 9.600 (27 pour cent des effectifs) en cent des effectifs) 1556. Ils étaient respectivement au nombre de 5.700 (14 pour cent) et de 18.600 (45 pour cent) en 1976. Autre fait marquant, la proportion de personnel d'encadrement tend à s'élever. Les fonctions d'encadrement elles-mêmes prennent un caractère de plus en plus technique (organisation, direction, coordination et contrôle du travail sur machines). pu penser que les changements technologiques et les On aurait transformations qu'ils ont provoquées dans la composition du personnel seraient de nature à exercer une influence sensible sur les carrières dans les services des postes et télécommunications. En fait, les réponses au questionnaire ne permettent pas de se faire une idée claire de la situation. - 48 - Plusieurs pays ne se prononcent as sur cette question, soit parce que les nouvelles techniques sont 'introduction trop récente, soit parce que l'évolution en la matière est encore peu claire et difficile à dégager. Daprès 20 réponses, sur les qui ont été relevées, les changements technologiques n'ont pas eu d'influence sur les carrières ou les possibilités de promot on, ou, du moins, n'ont pas exercé une influence directe. L précise, pour les poste grade n'est pas modifié, tant que les ex au Canada, mâmes. La Société Beli, modifications techn9logiques s'est répar a permis ïes recyclages et reclassements les possibilités de carrière, à l'in sont maintenues. La formation profession effet sur les mesures de réadaptation en prime spéciale est allouée si un cer , que le classement par gences d'entrée restent les explique que l'impact des j sur une longue période et nécessaires. Au Cameroun, érieur de chaque catégorie, elle initiale peut avoir un Prance. Au Luxembourg, une ain niveau de formation est exigé. En ce gui concerne le Japon, le s l'importance du volume des opérations e rières. Le syndicat de la KDD, de son cô des postes de travail diminue dans cert d'autres, que de nouveaux postes sont cr nients de personnel, y compris des transf que la struct des reclassements, mais pas affectée. ndicat Zendentsu souligne son influence sur les caré, considère que le nombre ins secteurs, augmente dans és, provoquant des mouverts à d'autres fonctions et re inâme des carrières n'est d'une Au Royaume-Uni., il s'agit d'une res ructuration globale, ,ue d'une influence sur les réorganisation des services, plutôt carrjères. Par xeniple, la diminution du nombre des administrateurs un recJ. ssement locaux a été compensée par au sein d'unités administratives plus grandes. En Suède, on note une augmentation e la demande de personnel mais les carrières en tant (surtout pour les ordinateurs) qualifié que telles ne sont pas affectées. on .ouligne également que le est facteur le plus important, dans ..e dômaine considéré, l'élévation générale du niveau des connaissances. L'Italie souligne dans sa réponse que, si les changements technologiques ont eu si peu d'influence sur les carrières, cest en raison de la rigidité et des caractéri'tiçjues propres aux rapports de droit public. les réponses mentionnent Dans près de la moitié des cas (21) cependant des améliorations dans les p ssibilités de carrière sont menticnnées, mais ces améliorations ne snt pas toujours dues aux modifications technologiques. Dans les télécommunications de des services a conduit à une restruct régicnalisation des services, par ex nouvelles unités hiérarchiques. Grâce visant à faciliter la formation du pers perfectionnement du personnel des grades les possibilités d'accès à des emplois m qu'en 1975-76, sur les 1.520 personnes q d'ingénieur, de technicien ou 950 appartenaient à une catégorie profession ustralie, la réorganisation ration des carrières; la a permis de créer de mple, unê politique délibérée nnel d'un certain âge et au inférieurs, on a pu élargir eux rémunérés. C'est ainsi j acquéraient une formation oit plus de 60 pour cent) elle toute différente. - 149 - En Colombie, les carrières techniques des té].écoramunications restructurées. Pour passer d'un niveau à un autre, il faut été maintenant avoir travaillé pendant trois ans au niveau inférieur et avoir suivi la formation correspondant au niveau supérieur. La catégorie de technicien est la plus élevée dans ce système; elle comporte cinq niveaux et est ouverte à d'autres catégories: c'est ainsi que le mécanicien de niveau III peut accéder au grade de technicien de niveau I, l'électricien de niveau III, au grade de l'opérateur de pupitre de contrôle de technicien de niveau II, niveau II, tandis que niveau II, au grade de technicien de l'installateur de niveau II et le réparateur de téléphone de niveau peuvent devenir cêbleurs auxiliaires de niveau II, puis accéder, II comme ces derniers, aux grades de technicien. ont L'amélioration des possibilités de carrière est due, au Pérou, la pclitique de f ormaticn du personnel. Aux Philippines, dans les les elle dérive de la politique salariale et, pour postes, Suède (postes), En télécommunications, de la décentralisation. l'amélioration de l'évolution des carrières et des possibilités de changement résulte d'une meilleure politique du personnel. à meilleures perspectives de carrière résultent souvent de la De les dans création de nouveaux types d'emploi. En Argentine, télécommunications, c'est une nouvelle direction, avec toute sa hiérarchie, qui a été créée pour les communications à longue distanla ce. La progression professionnelle, dans les services postaux de a été améliorée pour les nouveaux grades et les nouvelles Belgigue, carrières, par rapport aux emplois traditicnne.ls; pendant la période transitoire, les passages d'un niveau à l'autre ont été facilités. Aux Etats-Unis, dans les postes, de nouveaux métiers, en rapport avec l'entretien des équipements, ont élargi les possibilités de carrière pour les techniciens en électro-mécanigue. En Norvège, dans les télécommunications, la création de nouveaux emplois et les cours de perfectionnement ou de recyclage ont amélioré les possibilités de promoticn professionnelle; au niveau individuel, cependant, ces niveau des possibilités peuvent se trouver limitées par le connaissances ou par les difficultés de transfert. La Nouvelle-Zélande signale que les possibilités de promotion des niveaux de connaissances et se sont améliorées avec même, la diminution du nombre des emplois, de responsabilités; de que dans certains secteurs, peut aboutir à des améliorations, parce la proportion des fonctions de contrôle et d'encadrement augmente. traduire Toutefois, pour certains employés, cette réduction peut se par une diminution des possibilités de promotion. D'autre part, l'avancement dans les emplois techniques est devenu plus difficile pour le personnel dont les connaissances techniques sont limitées ou dépassées. Dans certains cas, l'automatisation des téléphones a du de surveillance et personnel déclassement conduit au d'encadrement. Il y a bien eu augmentation du personnel à la suite de l'introduction des ordinateurs, mais la structure des carrières même, la ;olitigue des promotions n'ayant pas été est demeurée la aux grades gui concerne ].'accession en ce modifiée. Enfin, parce que les été améliorée la formation a supérieurs, si qualifications demandées sont plus élevées, le personnel intéressé devrait avoir reçu une instruction scolaire plus poussée. L'Indonésie mentionne, au chapitre des améliorations, que des emplois tenus è l'origine par des étrangers sont maintenant occupés par un personnel local. Ce cas pourrait se retrouver assez souvent - 50 - dans les pays en voie de développement o les équipements nouveaux nécessitent tout "abord l'engagement d'un personnel spécialisé étranger, mais estrainent ensuite la for ation d'un personnel gualifié autcchtone. En résumé, il n'est pas possible que les changements technolcgigues entralnent une améliorati9n des pqssibilités de carrière pour le personnel dans son ensemble,, car d'autres facteurs interviennent également. En revanche, oi peut constater que, en dehors de certains cas spécifiques et circonscrits, l'évolution des techniques n'a pas nui dans l'ensemb].e aix conditions de promotion. Là où des améliorations certaines ont été notées, il s'agit presque toujours des secteurs techniques et, parfois, de certains grades supérieurs. forma tics professionnelle com2émentaire L'application de nouvelles techniques, dans les postes et les télécommunications comme dans d'autres septeurs, se traduit par des exigences diverses en matière de qualifications professionnelles, ainsi qu'on a pu le laisser entendre plus haut à propos des changements affectant es fonctions et la structure du personnel. Si, de manière générale, des installations perfectiounées réclament un personnel de réglage et d'entietien hautement spécialisé, on constate, par exemple dans les centres de tri, que l'indexation réclame moins de connaissances gue le tri manuel. Cepenant, môme le passage à des taches hoins qualifiées réclame uné certaine initiation. Les administrations et entreprises des postes et télécommunications se trouvent ainsi dans l'obligation d'organiser' ou de faciliter la formation à divers degrés de leur personnl. C'est d'ailleurs, dans de nombreux cas, l'un des moyens e fésorber le personnel excédentaire, en le rendant apte à assumer des fonctions différentes de celles gu'iJ. exerçait avant l'adoption des techniques nouvelles. Bien entendu, les efforts consentis à cet.effet ont d'autant plus de chances de succès que la formatifon de base, scolaire ou professionnelle, est large et diversifiée, favorisant l'adaptation aux changements auxquels on sera confronté tout au long de la vie active. Les postes et les télécommunications assurent depuis longtemps cours de formation à leur personnel, mais la formation de base est de plus en plus complétée par des cous de perfectionnement et de spécialisation. des I L'introduction de nouveaux métier portent à l'utilisation de l'ordinate l'organisation de cours nouveaux, mai formaticn suffit dans bien des cas à four les ccnnaissances et la formation nécem plupart des transferts demandent, soit un une mise à jour des connaissances, soit u une formation entièrement nouvelle. tomme ceux qui se rapsouvent mené à le système existant de ir u personnel transféré aires au nouvel emploi. La complément de formation ou e reconversion impliquant r, a Dans d nombreux pays, la formatio interne est confiée à des centres ou institutions spécialisés, qui .réparent également, le cas échéant, aux examens internes. Cependant, on rencontre de nombreux exemples de formation dans l'entreprise. En Argentine, la formation des em.loyés postaux (Encotel) se fait dans un institut de formation pro essionnelle de la main- - 51 - Les d'oeuvre et peut se poursuivre grâce à un système de bourses. disposent également d'un institut de télécommunications (Entel) formation, dont les cours peuvent être complétés, grâce à des centres bourses d'étude, par l'enseignement que dispensent d'autres nationaux de formation ou des centres internationaux. Australie, il existe dans les télécommunications un centre En de formation permanente des techniçiens gui organise des cours de courte durée selon les besoins. La Belgique envoie des candidats dans les entreprises de construction de matériel informatique où la formation nécessaire la formation Dans les télécommunications, leur est dispensée. et téléphones des l'Ecole professionnelle est assurée par L'enseignement, dirigée par un comjté paritaire. télégraphes, déccncentré, est donné sur place dès qu'une douzaine de candidats ateliers, etc.) (locaux, Des équipements peuvent être réunis. doivent être prévus à cet effet. En outre, cinq centres fonctionnent dans le pays. Selon l'opinion syndicale, l'une des difficultés consiste à établir la continuité entre l'école et la formation interne. de En Bulgarie, sur arrêté du Conseil des ministres, des cours recyclage d'une durée de trois mois à un an sont dispensés aux Ces cours perscnnes touchées par les changements technologiques. ainsi que les cours réguliers de formation sont donnés dans des postes, l'Institut semi-supérieur des établissements tels que collèges techniques et les les et téléphones, télégraphes établissements scolaires spécialisés de niveau moyen. Au Cameroun, l'Ecole supérieure des postes et télécommunications ne dispense pas de cours de formation permanente et le coât de ormaticn du personnel qualifié est tel qu'il semble parfois plus les déjà possèdent qui avantageux d'engager des personnes qualifications requises. Les télécommunications (Entel), au Chili, ont sis sur pied une formation axée sur le changement technologique qui intéresse la planification, l'étude des projets, les opérations et l'entretien. Des "prospectifs" sont organisés avec le concours d'institutions cours de l'extérieur, voire de l'étranger. Le cas échéant, la formation est dispensée dans l'entreprise de fabrication du matériel. En Colombie, les postes disposent d'un département de la formation. Il convient de signaler qu'une convention paritaire prévoit la du niveau de l'enseignement secondaire, formaticn complémentaire, pour le personnel âgé de plus de 25 ans et que le programme prévu doit débuter sous peu. Dans les télécommunications, où, comme on l'a même les travailleurs des catégories inférieures peuvent vu, maintenant accéder aux fonctions de technicien en suivant des cours successifs de spécialisation, l'Institut technique de l'électronique et des communications (interne) fait appel, pour certains cours, aux et des instituts de formation universités des enseignants professionnelle spécialisés. centres de créé des Etats-Unis, ont Les postes, au perfectionnement des qualifications. La formation sur le tas peut être complétée par un stage d'études suivi au centre technique d'O]çJ.ahcma ou au centre d'administration du Nazyland. - 52 - En France, 1'Ecole nationale supérie les stages chez les constructeurs de s stages suivis au Centre privé d'études pr d'automatique permettent la formation important de personnes. Dans les télécoms perscnnes ont participé, à un titre ou à 29.000 personnes ê formation. En 1976, formation, et 37.000 en 1977. La part fonctionnaires des catégories C et D devr 1976 et de 46 pour cent en 1977. Des s d'adaptation pédagogigue et de formatio l'étude. Dans les télécommunications, formation représentait 7,5 pour cent de 1 ptopertion devrait s'accroître à l'avenir re des télécommunications, tériel informatique et les tiques d'informatique et t le recyclage d'un nombre nications, en 1975, 25.000 n autre, à des cours de vraient suivre un cours de des cours destinés aux it être de 33 pour cent en sures de décentralisation, des formateurs sont à en 1974, le budget de la sasse salariale; cette A Hong-kong, la formation, dans les ostes, se fait sur le tas; des écoles de formation dans les télécàmmunications, il exist interne. Les postes, en Indonésie, ont une éc le supérieure; les téléccmmunications organisent divers cours e formation technique, que ccmplètent ceux d'une autre école supérie te. En mdc, à côté des centres de forma existe des centres de formation aux métie (25 au niveau des districts, 14 au ni Centre internationàl de formation supérie a été créé à Dehli-Ghaziabad, avec l'aide institu,t de gestion postale et de recherc Ce système est comp].été par des possibili en particulier pour les personnes ay supérieure. ion interne des posts, il s des télécommunications eau régional) . De plus, un re en télécommunications de l'UIT et du PNUD, et un e appliquée est à l'étude. és de stages à l'étranger, nt uiie formation technique Les syndicats, en Italie, ont négoci l'introduction de cours programmés dans les télécommunications (ASST) . Deux cours de perdoivent fectiontement d'une semaine, donnés à cia ans de distance, progréssivernent introduits et étendus à l'ensemble du être personnel: il s'agit de revoir les notion fondamentales, de mettre jour en matière de méthodes et d'appareils les connaissances à récents, de donner la nouvelle instructio nécessaire en matière de sécurité et de fournir des informati as sur le développement de l'entreprise. Au Japon, le centre de formation du ministère des Postes et Télécommunications dispense la formation élémentaire (complétant la formation sur le tas), divers cours intermédiaires de spéciades cours moyens et avancés. E ri 1975, le nombre total des lisation, à 45.135. La KDD a i.erscnnes en cours de formation s'élev it organisé un programme de formation dans 1 'entreprise, dont l'ampleur ressort du tableau 6. En I,lalaisie, un accord entre le mini l'Union nationale des employés des t blissait un classement unifié pour le per au personnel non gualifié des services t recevoir une formation et d'accéder à des été reconnu à cette occasion que la tec tions serait enseignée le plus efficaceme services et que, pour la sélection des tère des Communications et lécommunications, qui étacnnel technique, a ouvert chniques la possibilité de emplois qualifiés. Il a nologie des télécommunicat à l'intérieur même des empicyés à former, il con- - 53 - venait d'attacher autant d'importance à l'expérience professionnelle qu'aux diplômest. Dans les postes, en Norvège, un institut prend en charge la forrnaticn, en collaboration avec le district postal diOslo. Dans les télécommunications, des cours ont été organisés pour le personnel privé de sc emploi par l'évolution technique, sur le base d'un accord concernant les "dispositions relatives à l'automatisation du service téléphonique". Au Pakistan, les télécommunications organisent des cours intrnes périodiques sur les innovations techniques, complétés de stages l'étranger, de stages chez les constructeurs de matériel ou d'une à formation dispensée dans lecadre de l'assistance tecbnique. Il existe au Pérou un centre de formation des services postaux, ainsi guun institut national de la recherche et de la formation en télécommunications, et il est également possible de matière de suivre des stages à l'étranger. Aux Philippines, le Çonseil du département de la Formation collabore avec l'Institut de formation des postes, tandis que des cours techniques et des séminaires de formation à la gestion et à l'adainistration ont lieu dans les centres de formation des télécommunications. Au Royaume-Uni, il existe diverses possibilités de formation complémentaire; c'est ainsi que des instructeurs sont envoyés dans les bureaux où des modifications auront lieu. En Suède, seules les télécommunicaticns ont mis sur pied un programme de formation permanente; les cours de perfectionnement sont donnés aussi bien au niveau local qu'au niveau régional. Voir Nouvelles de l'PTT, n° 10, octobre 1976. - 54 - Tableau 6 fln_QcJranune de formation dans 'entrerise en 1976 Nombre de ersonnes concer ée s Ccnaaismances de base ications de l'or= dinateur 11 0 Durée de la formation 192-762 heures Cours de niveau universitajre: pcur personnel administratif ldl pour ingénieurs 2 l I 2 ans Cours de s2éciaiisation: installations extérieures génie civil communic. informatigue téléphone électricité t ra n mmi s si ans 182 8.0 1 6 9 mois 9-10 mois 9 mois 1 67 1, 39 u I, I, radio Etudes et 2rQjets d'é9uiement Construction 278 14-30 jours 4 22 15-29 7-256 2 968 Eâtirnent 4.8 l0 Formation sur e terrain 533 'I " 87 jours 15 'u 2-100 jours - 55 - et En qunisie, la formation est assurée par l'Ecole des postes télécommunications et par la section postes, télégraphes, téléphones de J.'Eccle nationale d'administration: des stages, cycles d'étude et séminaires à l'étranger sont également organisés et le personnel bénéficie aussi de la formation sur le tas. Selon les réponses, dans la moitié des cas environ, une politiquE de formaticn spécia].e du pérsonnel touché par l'évolution des seulement techniques parait avoir été mise en oeuvre. Cinq réponses indiquent que les organisations syndicales participent à la formation ou au recyclage du personnel. rémunération continue Dans la grande majorité des cas, la d'être versée au personnel en cours de formation, et les divers avantages sont conservés (avantages sociaux, ancienneté, avancement, les etc.). Lans un grand nombre de cas, la formation a lieu pendant considérée comme un travail et le elle est heures de travail; personnel est considéré comme étant en service; dans quelques cas, le personnel en formation est dit "en congé", sans qu'il cependant, soit précisé si ce congé est payé. En République fédérale d'Allemagne, des congés de formation non accordés rémunérés, dont la durée peut aller jusqu'à deux ans, sont membres du persozinl gui désir-ent compléter leur formation; aux ceux-ci ont la garantie de recouvrer leur poste à leur retour, sans acquérir du fait de leur complément de formation un droit spécial à promotion. Lorsqu'il s'agit de la formation qu'exige un poste nouveau ou un transfert, l'administration prend à sa charge tous les frais emcourus et continue à verser la rémunération. Les "cycles de formation", en Belgique, font partie intégrante pendant du système d'engagement et de prosotion. Les cours ont lieu les heures de service, mais selon un horaire réduit (six heures au lieu de huit). La documentation est gratuite, et des exercices en labcratcire la complètent. Les frais de déplacement peuvent être remboursés, le cas échéant, et des primes sont attribuées aux lauréats des examens. Au Japon, une convention collective détaillée notamment la règle la formation dispensée par la NTT: elle prévoit garantie des vacances d'été lorsque la formation dure plus de six mois, le droit au poste que le travailleur occupait avant le cycle formation ainsi que le droit aux augmentations régulières. Après de la reprise du travail, le niveau de rémunération et les autres conditions d'emploi doivent être les mêmes que pour les autres travailleurs. Les frais sont pris en charge par l'entreprise. Dans le cas du Brésil, ceux qui suivent les cours d'une école technique ne bénéficient que d'une garantie d'emploi à leur retour, alors que ceux qui suivent les cours donnés dans l'entreprise ont droit au salaire et autres avantages. Au Chili, le personnel débutant ne perçoit pas de rétribution pendant sa formation, car j]. n'a pas de lien juridique avec l'entreprise. Dans les télécommunications, en Colcmbie, l'employeur accorde un congé payé et prend en charge les frais afférents aux cours en contrepartie; le candidat s'engage à rester au service de l'entreprise pendant une période double de la durée des études. En mdc, les personnes qui sont engagées sont traitées comme Au apprentis et reçoivent un salaire adapté à ce statut. Pakistan, les ingénieurs sont considérés comme étant en période des - 56 - d'essai pendant les deux ans que dure eur formation; leur salaire est conforme aux normes établies pour le stagiaires de la fonction publique. En Norvège, la participation autoxjisée aux cours, séminaires, conférences et réunions de formation donne droit au salaire intégral. En Suède, même si la formatioi n'est pas considérée comme absolument nécessaire pour le travai]leur, un congé avec salaire complet ou partiel peut lui être accordé. D'autre part, une loi générale de janvier 1975 dispose que tous les travailleurs ont droit à un congé-éducation sans avoir droit de ce fait au salaire ou au paiement des frais de formation. A Sri Lauka, des bourses sont allou es pour la formation supézieute et la formation à l'étranger, ave maintien du salaire. En Tunisie, les bourses, dont le sontant est proportionnel au grade du candidat, sont remboursables en cas d'échec ou de rupture d'engaement. Cette question de la formation, gui se pose de manière particulièrement pressante dans les télécommurications, oè certaines connaissances demandent à être constamment revues, est au premier plan des préoccupations, non seulement au niveau national, mais également sur le plan international. L'Union interxationale des télécommunications voue une attention particulière à la gtestion des méthodes, à celle d'une certaine uniformisation des natériels pédagogiques, à la création de centres nultinationaux de formation supérieure, & l'échange d'experts pour l'enseignenent, ainsi qu'à la "formation des formateurs"t. En collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le développement (PNIJD), l'UI accomplit une tâche importante de formation dans les pays e voie de développement. Selon us rapport de cette organisation2, les conditions idéales dans le domaine de la formation seraient les suivantes: un budget annuel de formation équivalant à 5-10 pour cent du total des salaires versés; une proportion de 5 pour cent u personnel recevant à tout mcment une formation professionnelle; un personnel enseignant bénéficiant d'un statut permanent. 'Voir, par exemple, Journal des vol. 37, nO VII, juillet éléommunications (Genève, 1970, numéro spécial "Télécommunications et éducation", et vol 43, n° 4, avril 1976, pp. 29-284. tilT) , tmVoir A.H. Brooks: "Considérations sur quelques problèmes de ±ornaticn professionnelle pour les téléco munications en Afrigue", Journal des télécommunications (Genéve, U T), vol. 38, nO VIII, aoUt 1971, pp. 583-567. - 57 - Effets sur ,es conditions dti Il n'est sans doute pas inutile, afin de mieux déterminer la portée de cette question, de rappeler l'extrême diversité des tâches accomplies par le personnel des postes et télécommunications. A part le sentiment d'appartenir à la même organisation, il n'y a guère d'éléments communs entre le facteur rural qui trie lui-même le courrier à l'arrivée, organise sa propre tournée, l'accomplit dans des limites de temps assez imprécises, entretient lui-même sa bicyclette, et le travailleur qui conduit une machine de tri dans un centre urbain, effectuant la même opération pendant des journées entières suivant un horaire et des normes rigides. Ni l'un ni l'autre ne peuvent non plus comparer leurs conditions de travail ou avec celles du personnel d'entretien des centraux téléphoniques, du personnel des chègues postaux. Il faudrait donc une longue étude pour exaniner, secteur par changements des l'effet par catégorie, catégorie secteur, technologiques sur les conditions de travail dans les postes et télécommunications. Cet examen détaillé n'était pas possible dans le cadre limité du présent rapport. On s'est donc borné, dans les pages gui suivent, à rassembler les principales indications fournies par les réponses au questionnaire en les classant sous quatre rubriques: rémunérations, organisation du temps de travail, satisfaction au travail, environnement et santé. Rémunérations Le plus souvent, il ne semble pas y avoir de lien direct et l'introduction de techniques nouvelles et entre systématique l'évolution des échelles de rémunération dans les services de postes et télécommunications. En particulier dans les pays où salaires et avantages sociaux sont déterminés par la loi, les rémunérations Cependant, cette constatation générale n'ont pas été affectées. recouvre une grande variété de situations. Chili, tous les services de l'Administration d'Etat appliAu quent un barème unique de rémunérations (décret-loi n0 2149 du 31 décembre 1973) . La structure des salaires de toute la fonction publiçue est particulièrement rigide au Danemark. En France, le traitement du personnel est lié à son statut. En Indonésie, comme en Italie, les règles de détermination des salaires fixées pour la fonction publique valent également pour le personnel es postes. En la rémunération du personnel des postes et téléNouveJ.le-Zélande, ccmmunications est déterminée par la législation (loi sur les rémunérations et les conditions d'emplci dans les services de les l'Etat) et, dans le cadre d'une politique conjoncturelle, augmentations de salaire sont limitées; les syndicats précisent en outrE que les salaires sont fixés en tenant compte de ceux du secteur privé. Au Japon, lors de la détermination des salaires à la NTT, ceux de la fonction publique et ceux du secteur privé doivent les modifications technologiques en considération; pris être n'exercent donc pas d'effet direct. En général, le déclassement d'un poste de travail et l'abaisseune diminument des qualifications exigées entrainent en principe - 58 tion de la rétribution attachée au pos plan individuel, la garantie du salaire part, lorsqu'il y a mutation ou transfer postes dont la rémunération est égale ou ploi précédent. En Argentine (Entel), une conventio restructurations d'entreprise et les in vent pas donner lieu à diminution de sal législation qui interdit une telle di tions, en Australie, appliquent un progr (pour le personnel touché par l'évoluti pendant une période transitoire et, parf En Colombie, le maintien du salaire est ferta posent à cet égard quelques diffic L'abaissement du niveau des guali lités, en France, n'implique jamais une tion de l'agent gui occupait le p0 Norvège, dans les postes, on signale un rémunération pour un certain nombre de f déclassées en raison de l'abaiss nécessaires, mais, en compensation, les dans les catégories inférieures, ont ét pris individuellement, des travailleurs réductions de salaire. Le déclassement de certains pos celle du téléphone en particulier - n' immédiate en Nouvelle-Zélande pour 1 parce gu'il est transféré à un post supérieur, soit parce que la diminution lorsque le poste devient vacant. Aux Pays-Bas, la rémunération est g déclassement individuel, de même gu'e simplification des têches n'entralne auc munéxation individuelle. e en question, mais, sur le emble être acquise. D'autre , il s'agit toujours de supérieure à celle de l'emcollective prévoit que les ovat±ons techniques ne dciire. Au Brésil, c'est la inution. Les télécommunicamine de maintien du salaire n des techniques) , au moins is, sans limite de temps. ssuré, mais certains trans- ltés4 ications ou des responsabiiminution de la rémunérate de travail concerné. En réduction du niveau de nctions de tri, qui ont été ment des qualifications alaires, tout spécialement relevés. On ne dit pas si, nt effectivement -subi des es, dfl à l'automatisation ntralne pas de réduction traVailleur en cause, 'soit de grade comparable ou de salaire n'intervient que rantie et il n'y e pas de Suède, dans les postes, la ne diminution de la ré- Lorsque de nouveaux types d'emploi cnt été créés, ils ont été très souvent intégrés dans les échelles existêntes, en Belgigue, par exemple. D'une manière générale, le niveau de rémiinération suit le aide qualification. Dans la mesure o les exigences de formation et de ccmpétence sont augmentées, on con tate donc une augmentation des salaires. Par exemple, aux Etats-Uni dans les postes, les opérateurs de tri spécialisés ont un sal ire de début plus élevé que celui des trieurs annuels (les difficult s que pose le recrutement de ces opérateurs ont d'ailleurs co tribué à augmenter cette action). En France, on s'efforce d'adap ex le niveau salarial aux exigences en matière de gualifications (techniques en particulier) en procédant à une réforme des structur s hiérarchiques. A Hongkong, des qualifications plus élevées entrainent un relèvement de veau catégorie et, ar conséquent, une auginen atioi de salaire. Au Japon, dans les postes, la fonction nouvelle d'informaticien supérieur, à laquelle est attaché un salire élevé, a contribué à relever le niveau de rémunération ds tâches en -rapport avec l'informatique, tandis qu'une élévation .es salaires a pu être cons- - 59 - tatée à la KDD; elle concerne spécialement les jeunes générations, précédemment défavorisées par les systèmes traditionnels fondés sur l'ancienneté. Les négociations collectives ont permis, dans certains cas, d'aboutir à des augmentations de salaire fondées sur l'introduction de nouvelles techniques. Par exemple, on peut noter dans la réponse irlandaise que les changements technologiques ont été invoqués, à côté d'autres facteurs, comme argument en faveur du relèvement des salaires des fonctionnaires des services techniques. Au Royaume-Uni, une augmentation de salaire intéressant les emdans les postes, ployés du courrier a été négociée sur la base des économies que la mécanisation postale permettait d'escompter. En Suède, dans le cadre conventions collectives négociées par le Bureau national de des négociation collective et les syndicats, des augmentations de salaire liées à des exigences de formation plus élevées devraient prendre effet dans tout le secteur informatique, en pleine expansion. Au chapitre des allocations et indemnités diverses, on note, en Belgigue, qu'une prime de reconversion est versée, dans les télécommunications, en cas de recyclage; les chèques postaux ont introduit une indemnité pour travaux assujettissants résultant de l'autonation, et la motorisation de certains services postaux a conduit à la création d'une prime en faveur des conducteurs qui n'ont pas d'accidents. l'absence de relèvement hiérarchique du poste, en France, En des primes et indemnités pour sujétions résultant de la modernisation scnt perçues; des primes spéciales, allouées de manière générale aux fonctionnaires informaticiens, concernent évidemment aussi Dans les les informaticiens des postes et télécommunications. chèques postaux, au Luxembourg, il est également versé une prime à l'informatique et le personnel affecté au service des ordinateurs, indemnité République fédérale d'Allemagne, bénéficie d'une en Zulage) . On relève aussi guau Japon les (Programinier particulière une allocation opérateurs de pupitres de codage postal perçoivent ju'il en est de même pour le,personnel technique et spéciale et mécanographique, en Tunisie. doDans les cas de transfert, les frais de transport entre le micile et le nouveau lieu de travail ont parfois donné lieu à compensation. Lorsyu'il existe des antennes terriennes pour les communications par satellite, le personnel peut avoir à travailler dans des lieux assez écartés. Quelques réponses notent à ce propos que les frais de déplacement encourus par le personnel du fait, soit de la concentration des services, soit de leur décentralisation, sont pris en charge par l'entreprise, en plus des dispositions en matière de logement. Enfin, on peut noter que l'augmentation de la productivité s'est traduite, parfois, par une augmentation de revenu pour le tra(décision vailleur. Au Japon, sur la base d'une décision arbitrale personnel de la NTT touche depuis 1959 une allocation i44-l59), le annuelle; versée à l'ensemble du personnel, proportionnellement aux gains de productivité de l'année précédente, cette allocation est destinée à compenser les inconvénients qui résultent, pour les travailleurs, de l'évolution des techniques. Depuis 1972, une autre de décisi.on arbitrale (n° 347-1972) prévoit une allocation annuelle compensaticn pour l'introduction des technologies les plus récentes - 60 - en matière de télécommunications. Payabi - à lensemble du personnel ayant au moins cinq ans de service, c -tte allocation est calculée proportionnellement à l'augmentation de :Ia valeur d'investissement (par rapport à l'année antérieure). Au Royaume-Uni, dans les télécommunications, une prime de prod4ctivité du personnel est négociée chaque année avec les syndica s et s'ajoute au salaire de base. 1 En résumé, les modifications techno logiques n'ont pas eu d'effet direct bien marqué sur les rémunér.tions fixées par des textes législatifs. Des déclassements ont attei t certaines fonctions (tri, téléphone) sans toutefois, en général, a fectér les travailleurs en place, dont le niveau de rémunération été maintenu. A l'inverse, l'augmentation des qualifications demand es entraine certaines adaptations du niveau des rémunérations. On verse en particulier des primes et indemnités spéciales dans les secteurs techniques et informatiques. Enfin, la productivité .st prise en compte dans certains cas sous la forme d'alloc.tions spéciales versées à l'enseoLle du personnel. - Orqanisation du temps de_yJ Comme les techniques nouvelles néce teux, les administrations et entreprises rellernest soucieuses d'un usage ration équipements. Parmi les éléments à p déterminer ce qui est rationnel et seulement le volume du courrier à transmettre et des données à traiter - t sur la décision de modifier techniçues e l'utilisation du personnel et, en pa temps de travail. Certains équipements, ionctionner, sinon jour et nuit, du soin que la durée normale quotidienne du t ordinateurs. D'autres fonctionnent autom vention humaine: c'est le cas des cent effectivement en service 24 heures sur 2 sitent des équipements coQqui les adoptent sont natuel et économique de ces endré en considération pour économique, figurent, non anipuler, des messages à us éléments qui ont pesé équipements -, mais encore ticulier, l'organisation du our âtre rentables, doivent plus longtemps chaque jour c'est le cas des avail: tiguement, donc sans interaux -élépho-nigues, qui sont Les réponses au questionnaire menti travail par roulement (travail par égui certains cas, une diminution, dans d travail par roulement. fait, il En s'applique principalement à deux types d où les machines sont utilisées alterrtati et pour le tri à la distribution, e qu'utilisent les services administratif et télécommunications, de la mâme s servitudes que les banques, les cas grandes entreprises et n'importe quelle nnent assez fréquemment le es successives), avec, dans autres, une extension du semble bien que ce système tâches: le tri mécanique, ement pour le tri au départ le travail à l'ordinateur, et financiers des postes nière et avec les mâmes agnies d'assurances, les administration importante'. Certaines réponses font état d' ne diminution du travail de nuit. Cette conséquence heureuse des hangements techniques, est manifeste dans les téléphones, où l-s équipements automatiques prennent peu à peu la place des opérateu s manuels. 'Voir 1écanistion et automatisation de l postales, n° 90 (Berne, UPU, 1972 et l97). com2tabilité, Etudes - 61 - comme on le verra dans la section ci-après, l'application de certaines techniques nouvelles n'a pas supprimé toutes les tâches des tri monotones; elle en a même créé, comme l'indexation dans le d'avoir supprimé toutes les tâches pénibles, elle en lettres. Loin des écrans lecture a même apporté de nouvelles, comme la effets de tension oculaire et de ui provoque des cathodiques, des tension mentale. L'un des moyens mis en oeuvre par les services postes et télécommunications pour atténuer ces deux inconvénients, mcnotonie et pénibilité, est l'organisation de pauses dans le temps Le tableau 7 ci-après présente quelques exemples des de travail. pauses qui sont ainsi ménagées. Tableau 7 Que1es exem2les de pauses 2endant le travail Rép. ±éd. d'Allemagne (postes) Pauses de 10 minutes après 50 minutes de travail pour les codeurs Atgentine (postes) Pauses supplémentaires pour les codeurs Australie (postes) Les codeurs bénéficient de pauses pendant les périodes de travail par roulement Relgigue (postes) Les opérateurs sur machine de tri ont 10 minutes de pause après 50 minutes de travail Chili Les travailleurs ont droit à une heure de repos (comptée comme heure de travail) par vacation de spt heures Les opérateurs des téléphones ont une demi-heure de pause par période de travail par roulement Etats-Unis (postes) Deux pauses de 15 minutes par journée de travail pour les opérateurs de machines de tri (lettres) Finlande Réaménagement des pauses pour le personnel affecté au tri Prance OérateursLtr±ces du télé10 minutes de pause par vacation de 3-5 heures 15 minutes de pause par vacation de 5-7 heures - 62 - 0 minutes de pause par vaatiob de plus de 7 heures isionneuses: acations limitées à 2 h 30 cran. cathodigue: ji acations limitées à 1 h 30 ermiflaux auses de 5-10 minutes (secn accord entre chef de ervice et représentant du ersoinel) Indonésie ause toutes les deux eures, deux pauses de O minutés dans les cenraux de commutation mauelle de plus de 40 postes Italie d em Japon (KDD) 5 minutes de pause par vaation de 4-8 heures Norvège dem. En outre, des pauses upplémentaires ont été inroduites à la poste prinipale d'oslo en raison du aut niveau de bruit Eép. dém. allemande o minutes de pause par vaation pour les travaux péi bles Boyaunie-TJni. auses après 2 heures de ravail pour les tâches deandant un haut niveau de oncentration (en particuier codeurs) Satisfaction au travail Les changements technologigues ont e miner des tâches routinières, car les tra plus faciles à mécaniser ou à automatis a-t-elle été écartée pour autant? Cela ne le cas, juger par les réponses a à en d'entre elles signalent une aggravation d en particulier dans les opérations de cod dans les services administratifs et finan l'inforratigue a conduit à une parceil "sur-spécialisation" de certains postes. observer gue la simplification de certai l'intérêt et éliminé la variété. Le s souvent pour effet d'élirépétitifs sont les r. La monotonie du travail semble pas être toujours uestionnaire. Bon nombre la monotonie des tâches, ge de la correspondance et iers, où l'introduction de sation des tâches et à une es syndicats japonais font es tâches en a diminué ndicat Zendentsu mentionne aux - 63 - que, selon une enquête menée auprès des téléphonistes, 50 pour cent des opératrices trouvaient leur travail sans intérêt et 20 pour cent estimaient être "au service du système". En Nouvelle-Zélande, l'opinion syndicale est qu'après une première phase d'adaptation et de formation, les tâches perdraient de leur variété, en raison de la fiabilité du matériel et des équipements. indiquent une diminution de la D'autres réponses, cependant, monotonie du travail. En Nouvelle-Zélande, on cite l'impression des annuaires par ordinateur. Toutefois, ce sont les tâches techniques que l'on mentionne le plus fréquemment à titre d'exemple, et l'utilisation d'équipements sophistiqués est donnée parfois comme motif d'une satisfaction accrue du travailleur. Selon d'autres réponses, enfin, les changements technologiques n'ont pas eu d'jnfluence sensible sur la monotonie des tâches. La Belgique fait observer en particulier que le tri a, de toute manière, un caractère répétitif du fait de l'usage de codes, et qu'il n'y a pas & cet égard de différence fondamentale entre le tri manuel et le tri mécanisé. Dans les positions inférieures des services postaux, aux Etats-Unis, certaines tâches sont devenues plus mcnotones, d'autres moins. On estime, au Japon, dans les ostes, que la totalité des opérations ne pouvant pas être mécanisée, l'intérêt et la variété du travail ne sont pas influencés par les nouvelles techniques. Selon la réponse des Philippines, le travail postal, par sa nature même ne peut devenir monotone. En Norvège, dans les postes, c'est l'augmentation du volume de trafic qui a conduit à une plus grande spécialisation et, par conséquent, à une moindre variété des tâches; dans les télécommunications, les modifications technologiques ont permis de nouveaux travaux intéressants et variés, mais on a vu apparaltre également de nouvelles tâches routinières. Le mangue d'intérêt du travail ne provient pas toujours des tâches elles-mêmes: un syndicat italien mentionne à cet égard la centralisation des décisions, et la spécialisation poussée peut aussi en être la cause; par exemple, le travail est varié dans les bureaux de petite et moyenne importance, d'après la réponse de la Belgigue, alors qu'il n'en est pas de même dans les bureaux importants où les emplois sont beaucoup plus spécialisés. La réponse de la France souligne que "le faible niveau d'intérêt du travail proposé au personnel d'exécution de certains services résulte le plus souvent, non pas des.changements technologiques, mais de la conservation d'un type ancien d'organisation du travail". Cette opinion semble être partagée par la société Beil, au Canada, qui déclare étudier une application pratique de la théorie d'Berzberg sur la motivation au travail2. De même, de nouvelles formes d'organisation adoptées par le service des en Suède, télécommunications, visent à éviter la monotonie des tâches. La mesure la plus fréquemment prise pour briser la monotonie du travail, outre le système de pauses dont il a été question cidessus, est la rctation des tâches. 1Voir, par exemple, F. Herzberg: Work and the nature of man World Publishing Co., l966) Bay C. Hackman: motivated workip aduit (New York, American L1anagement Association, (Cleveland, 1969) - 64 - En revanche, il ne semble pas que l'adoption de techniques nouvelles dans les postes et télécommunications se soit souvent accompagnée d'expériences d'enrichisseEent des tâches, analogues à celles qui se sont multipliées ces dernières années, surtout dans l'industrie, mais aussi dans le secteux tertiaire. Les réponses au questionnaire ne citent guère de cas où 'évolution de la technique ait eu pour résultat d'élargir l'autono ie des employés dans l'exécution de leurs tâches ou d'accroltre le r marge d'initiative, conditions qui sont généralement reconnues ccmmé susceptibles d'aviver l'intérêt à l'égard de la fonction exercée et, partant, la satisfaction au travail. Cependant, dans certains secteur des télécommunications, en Argentine et au Japon, des équipements p us complexes sont présentés comme faisant davantage appel au jugemen du travailleur. En Suède, toujours dans les télécommunications, le constructions et installations externes sont souvent confiées à des groupes restreints, qui ne sont pas soumis à un contrôle direct. D'autre part, la Belgiqe et les Et ts-Unis mentionnent que le passage à des machines de tri qui obéi sent aux rythmes de travail individuel (machines arythmiques ont é nué plus d'autonomie aux opérateurs; la même constatation a ertainement été faite dans d'autres pays. Dans un certain nombre de cas, l'an onomie du travailleur apparait comme plus limitée, en particulier arce que le contrôle est renforcé. Certaines fonctions de con rôi.e sont exercées par les ordimateurs, qui remplacent ainsi la sur eillance traditionielle. A ce sujet, la réponse belge note que le travailleur "est en quelque sorte prisonnier du régime que l'ordinat ur lui impose d'observer strictement". Plusieurs pays souli nent cette dépendance du travailleur à l'égard de la machine. En Norvège, le remplacement des bureaux de tri mobiles par des entres fixes a supprimé les équipes autonomes qui desservaient ce bureaux. Ailleurs, dans certains services administratifs ou fin nciers, les opérations sont interdépendantes, ce qui limite l'autono ie de chaque travailleur. Pour ce qui est des responsabi ités elles sont présentées comme accrues dans de nombreux cas: par xemple, en Argentine, dans le service international des télécommuni ations et dans les stations terriennes (transmissions par sateluie) . Aux Etats-Unis, dans le même secteur, les techniciens ont mainenant des responsabilités plus nombreuses en ce qui concerne l'installaion, l'entretien et la réparation dés équipements; es postes, le niveau dans de responsabilité des travailleurs a été él vé, én raison de l'extrême précision qui est ezigée, la rectification des erreurs étant plus difficile avec les nouveaux éguipemets. Au Luxembourg, la décentralisation a conduit à la ni itiplication de postes à responsabilité plus élevée. Paradoxalement, il arrive que l'aumentation de la responsabilité s'accompagne d'une surveillance pus étroite, ce qui entraine une responsabilité accrue pour 1 personnel d'encadrement inter médiaire. Certaines réponses signalent une ér sion de la responsabilité travailleur, soit en raison précsément d'une surveillance accrue, soit parce que certaines tâche- ont été confiées à la machine, soit parce que la sijnplifi ation des opérations, dans du - 65 - La demande moins de jugement indépendant. secteurs, fait observer que, lorsque les changements technologiques affectent l'autonomie, la responsabilité ou le pouvoir de décision des employés, on se trouve souvent devant le problème de l'absence les effets et de motivation au travail, le mécontentement psycholcgiques néfastes qui en résultent. certains Colcaibie résumé, l'influence de l'évolution des techniques sur l'inEn térêt et la variété du travail n'est pas clairement établie dans sont pas supprimées. les tâches monotones ne et l'ensemble, L'autonomie du travailleur ne semble pas non plus fondamentalement même si, dans quelques cas, la dépendance à légard de la affectée, jverse, les responsabilités des machine a été soulignée et si, à opérations et des cadres certaines à occupés travailleurs intermédiaires paraissent plutôt élargies. Si la monotonie de certaines tâches n'a pas été éliminée et si l'autonomie du travailleur n'a pas été accrue dans des proportions notables, on est tenté de faire un rapprochement avec ce qui a été oIservé en pareil cas dans d'autres secteurs de l'économie. Possédant en général un niveau d'instruction plus élevé que celui des générations précédentes, confronté dans sa vie quotidienne, sur le plan social et sur le plan familial, à une multitude de problèmes et capable de les résoudre, le travailleur supporte mal de voir ses facultés d'initiative sous-employées dans sa vie professionnelle. va-t-il de même dans les services des postes et télécommunicaEn tions et faut-il voir là une cause du malaise qui s'est manifesté ces dernières années dans plusieurs pays, prenant parfois la forme de de ccnflits prolongés? On a vu, an chapitre II, que le personnel ces services semble, en général, pourvu d'un niveau de formation assez élevé. Les informations disponibles ne permettent cependant pas d'affirmer quil se trouve à cet égard dans une situation spéciale, on constate même que les employés n'ayant reçu qu'une instruction primaire forment plus de la moitié de ce personnel dans un certain nombre de pays, y compris dans des pays où des conflits sérieux se sont produits dans les postes et télécommunications. Si donc l'inadaptation de la vie de travail aux aspirations que fait naître un niveau d'instruction relativement élevé contribue sans nul jfl5tj5fctjofl, celui-ci, dans le cas à créer un sentiment doute des postes et télécommunications, a certainement aussi d'autres qui ne sont pas nécessairement liées aux conséquences de causes, l'évolution technique. Environnement et santé Les modifications technologiques peuvent avoir une influence l'emplacement et la disposition des locaux où les travailleurs la sont employés', mais d'autres facteurs interviennent égaleraent superficie du pays, la répartition géographique de la population, en matière politique urbaines, la l'importance des zones ô 'urbanisation, les structures administratives. sur Selon la moitié des réponses, les modifications technologiques à (limitées parfois ont entraîné concentration et centralisation rinci2ales du déve,opement et du cours des 15 à 20 prochaines années, Etudes postales, n° 47, Berne, UPU, 1963. 'Voir à ce sujet: TendnOes roqzès technie dns es serviQes - 66 - certaines opérations). Aux Etats-Unis, par exemple, il n'y a plus que trois grands bureaux dans les télégraphes gui couvrent des régions interétatigues déterminées; dans les postes, on constate que l'installation d'équipements plus effitcaceS et l'augmentation du volume d'opérations qui en découle entrainent une tendance à concentrer le trafic dans les centres mécarisés, au détriment des centres non mécanisés. Des constatations similaires sont faites en France. En Irlande, il est prévu que le nombre des centres téléphcniyues passera de 50 à moins de 20. Au Japon, il existe un bureau de concentration du courrier ordiraire et un bureau de concentration des colis. En Norvège, la ciréation du "terminal postal" d'oslo a provoqué une certaine coicentration régionale. Ailleurs, la modernisation a coduit au contraire à la décentralisation des services ou de certa1ins services. Par exemple, dans le service des chèques postaux de Pays-Bas, quatre bureaux, situés dans quatre villes différentes, ont remplacé un seul bureau centralisé, et divers centres de codaes ont été répartis dans le pays. De même, en Australie, le principe de grands centres de traitement du courrier, localisés dans Jes giandes villes, que l'on considérait naguère comme le plus efficace, a été abandonné au profit d'une conception nouvelle, cell de J.a création d'un réseau de traitement du courrier comprenant un plus grand nombre de centres régionaux, et les télécommunications ont été régionalisées de la même manière. En Norvège, les unité administratives des télécommunications se sont dispersées. En1 Inde, il a paru difficile d'assurer une gestion efficace à partir 'un office central et l'on a décidé de décentraliser. Une solution mixte a été adoptée en uède, où les services de télécommunications ont été réorganisés d ns le sens de la décentralisation des responsabilités parallèlemen à une concentration opérationnelle. En général, même lorsqu'il y a décentralisation, les services de postes et télécommunications ont tendance se concentrer dans les zones urbaines; la motorisation croisante des services postaux, l'automatisation des centraux téléphoniques dans les petites agglcmérations, les exigences de rende'ment et d'efficacité des centres de tri (proximité d'une zone1 importante, nécessité d'un certain volume, etc.) renforcent cette tendance. Ces mouvements de concentration ou, au contraire, de décentralisation, joints à la nécessité de concevoir et de réaliser des constructions nouvelles ou d'aménager le bâtiments existants pour y loger les équipements qu'exigent lies techniques modernes, ont modifié considérablement, pour une grand partie du personnel, le milieu physique de travail1. De manière générale, les nouveaux lodaux sont décrits comme étant spacieux, bien éclairés, munis de systèses de ventilation et de climatisation. Quelguefois, les locaux auciens sont transformés pour mieux répondre aux conceptions modernes et les agencements sont modifiés dans le sens d'un moindre en4rbrment. En République fédérale d'Allemagne, les principes de l'ergonomie sont appliqués lors de la construction de nouveaux bâtinents ou de l'agrandissement Ivoir "Problèmes de personnel et organisation du travail dans les établissements postaux", Etudes du CEP, Union ostale (Berne, UPU) n° 11/12, nov. -déc. 1975, pp. 296-303. - 67 - ou de l'aménagement de locaux anciens, et l'organisation du poste de En France, les postes travail s'inspire des mêmes principes. d'indexation sont disposés en rangées de cinq et il ne peut y avoir que deux rangées dans un local de 12 in X 12 n. L'agencement du poste individuel fait dans certains cas l'objet d'études en vue d'une Des salles de meilleure adaptation du siège, des mouvements, etc. repos et de délassement sont parfois prévues. Dans quelques cas, notamment en Suède et en France, les projets concernant les nouveaux bâtiments sont soumis aux syndicats concernés. L'un des problèmes les plus importants, dans les postes et les dans la quasimentionné téléccmmunications, est celui du bruit, totalité des réponsest. Les améliorations technologiques ont parfois diminué le bruit; par exemple la commutation automatique dans les télécommunications, ou les pupitres séparés des machines de tri dans mécanographiques les postes, ou encore le remplacement des machines dans les services administratifs ou financiers. Le par bruit de certaines machines a été amorti en remplaçant des pièces de métal par des pièces de caoutchouc ou de nylon. contre le bruit en accordant plus également lutte On d'attention au choix des matériaux de construction et à la structure des Lâtiments (en particulier dans les centres de tri qui comportent une importante partie mécanique). Des aménagements particuliers ont été prévus tels qu'écrans acoustiques, revêtement des parois, pose le niveau de par exemple, de moquettes et de rideaux. Au Chili, bruit a été abaissé de 87,3 à 7S,7 décibels. relèvent les progrès réalisés dans le domaine de Les réponses des exigences climatisation - souvent entraînés par les pureté de (température, hygrométrie, constructeurs de matériel Au Japon, certaines normes ont été fixées; dans les salles l'air). température doit se situer entre 20 et 26 oc, de machines, la l'humidité à 500 (± 10) et la quantité de poussière ne doit pas dépasser 0,1 mg par m3. Dans les salles de travail, les normes sont de 18 - 27 oc pour la température, 50° pour l'hygrométrie et 0,15 Au Royaume-Uni, la température minimum est pour la pureté de l'air. oc et le volume d'air doit être renouvelé une fois et fixée à 16 par demie par heure, certaines mesures spéciales ont été prises, exemple au Canada, pour l'aération des trous d'homme pratiqués dans de L'émission les installations enterrées (Câbles téléphoniques). chaleur due au fonctionnement des installations est diminuée par la transistorisaticn ou par un système de ventilation adéquat. Dans les centres de tri, diverses mesures de dépoussiérage ont été prises conformément aux études de l'union postale universelle2. la le plan de la santé, après les problèmes de bruit, ce sont Sur On les problèmes de vision gui sont le plus souvent mentionnés. s'efforce de réaliser un meilleur éclairage des locaux, d'une part, Des cas de tension oculaire et des places de travail, d'autre part. sont observés en France chez les personnes occupées aux visionneuses de microfilms et, surtout, aux nouveaux pupitres de visualisation, écrans cathodiques, tables lumineuses. Une visite ophtalmologique est imâcsée au personnel avant toute affectation à un emploi gui. 'Voir à ce sujet: Hygiène du travail et technigues de sécurité dans les services postaux, Etudes postales n0 58, Etude B 16 du CCEP (Berne, UPU, 1965) , notamment pp. 26-30. 2Ibid., notamment pp. £46-51. - 68 - grandement appel aux facultés renouvelé chaque année et peut l'être da du travailleur. Au Luxembourg, la f l'utilisation de terminaux à écran, relève périodique et d'alternance avec d on signale des tensions oculaires dues à émise par certaines lampes de contrôle. a entrepris des démarches auprès des con étudient les moyens d'éviter les tension subissent les travailleurs affectés aux fait isuelles; cet examen est s l'intervalle, sur demande tigue de la vue, due à donné lieu à un système de autres fonctions. Au Japon, la lumière intermittente Au Canada, la société Beli tructeurs afin que ceux-ci oculaires et physiques que upitres. Les sièges ont souvent fait l'.bjet d'études en vue d'une meilleure adaptation aux caractéristiq es de l'opérateur et de l'opération: aux Etats-Unis, dans le postes, sièges et pupitres pour le tri de la correspondance ont été modifiés dans ce sens; on accorde également une attention soutenue à ce problème en Républigue fédérale d'Allemagne. Au Japon, les s ndicats se sont efforcés de taire classer parmi les maladies pro essiônnelles le "syndrcme nuque-épaule-bras" caractérisé par une aideur dans la nuque et des douleurs, que l'on observe chez les opér.trices. du téléphone, les perforatrices et les opérateurs des ma.hines de tri ou de machines compta1les. Le lumbago des employés qui stoccupent des lignes de communication souterraines et doivnt manipuler les lourds couvercles des trous d'homme devrait aus , à leur avis, être classé comme maladie professionnelle. En ce qui concerne la santé mentale en signale des tensions nerveuses. Au Chili, la constatation d tensions dans les services de. ccmmutatjon a conduit à une nouvelle tude des normes (horaire de travail, pauses, rationalisation, amélio atio» du service médical). Selon le syndicat Zendentsu, au Japon, 1 fatigue a augmenté du fait des rythmes de travail plus rapides, et la tension mentale est très fréquente dans les métiers hautement qua ifiés; il semble y avcir une augmentation du nombre des patients ui présentent des psychopathies ils viendraient en deuxième osition parmi les personnes soignées dans les services de santé des ITI. A Sri Lanka également, on note une augmentation de cette catégo ie de risques, du fait des cadences imposées dans certaines occup tions et des contrôles plus intensifs et plus rapprochés auxquels le travailleur est soumis. Dans divers pays, on cherche à aménger des emplacements de repos agréables dans les locaux de travail. Cette disposition favorise du même coup les relations personnelles, que l'isolement de certains postes rend plus difficiles. L'introducllion d'une musique de fond dans les lieux de travail est parois considérée comme une amélioration de l'environnement. I Les réponses au questionnaire ne fomnissent que peu de données sur les progrès acquis en matière de sécrité du travail; encore les progrès enregistrés ne sont-ils pas nécessairement liés à l'évclution technologique. L'exemple d1e la NTT, au Japon, laisse cependant penser que les télécommuniations, en tout cas, ne présentent pas un taux élevé de risques 9t que des améliorations ont été apportées dans ce domaine. Dans cette entreprise, en effet, le nombre des accidents a diminué de 21 pourl cent de 1970 à 1974 pour s'établir aux environs de Li pour mille par an, proportion déclarée inférieure à celle des autres secteurs j 'dustiiels. Dans plusieurs pays, les questions le santé et de sécurité du personnel font l'objet de consultations paritaires. En France, par - 69 - exemple, une commission nationale et des commissions régionales sont chargées d'examiner les problèmes d'hygiène et de sécurité que pose d'installations qui fcnt appel à des techniques en place la mise nouvelles; une surveillance médicale particulière esf organisée et ces prcblèmes font l'objet d'enquêtes médicales. En Italie, il existe des comités paritaires de prévention des accidents au niveau les postes, un dans régicnaJ. et au niveau provincial. Au Japon, comité paritaire de santé et de sécurité coopère avec l'Institut de recherche médicale et des examens périodiques ont lieu, conformément au Règlement relatif à la santé des employés des postes et KDD, également, il existe des organismes à la télécommunications; Au Royaume-Uni, les questions paritaires de santé et de sécurité. et de l'objet de consultations de sécurité font de santé et négociations au niveau national. En Suède, une convention nationale règle les problèmes de sécurité des employés de l'Etat et des comités paritaires en assurent l'application. parait intéressant de mentionner deux projets nationaux Il visant à améliorer la protection de la santé. L'un est un projet de (entrée en vigueur probable: janvier 1977) visant à loi norvégien la pleine garantissant assurer un envionnement de travail protection du travailleur contre toute atteinte à sa santé physique ou mentale, environnement dont les normes, en ce qui concerne les techniques de 2rotection, l'hygiène du travail et le bien-être, doivent correspondre en tout temps au développement social et technique sécurité au travail et (projet de loi sur la de la société l'environnement du travail, article 1). direction L!autre projet est une étude gui sera placée sous la de l'université du Wisconsin, aux Etats-Unis, et qui portera sur les effets des machines de tri des lettres sur la santé des opérateurs. Cette étude, qui devait commencer vers la fin de 1976 et durer trois ans, traitera de l'environnement (bruit, éclairage, aménagement du poste de travail, conception de l'installation) . Elle rassemblera examens (par exemple, des données provenant d'examens médicaux et de réponses à un questionnaire. L'influence des oculaires) facteurs psychologiques (monotonie, rythme de la machine, travail à flux continu), sociaux (isolement, attention soutenue, surveillance) et physiques (bruit) serait spécialement étudiée sous l'angle de la tension mentale et des effets que celle-ci peut avoir sur la santé physique (diabète, ulcères, désordres cardio-vasculaires). peut dire, en résumé, que l'environnement du travail parait On avoir été amélioré lors de l'introduction d techniques nouvelles et de mesures de rationalisation, du fait notamment qu'elles exigeaient ,pes un réaménagement des locaux, voire des constructions neuves. dispcsitions sont prises dans bien des cas pour renforcer la protection de la santé du personnel, que menace l'aggravation de certains risques consécutive à la mise en oeuvre de nouvelles méthodes et installations. Atténuer la pénibilité d certaines tâches, rendre le cadre de travail plus agréable et plus conforme aux exigence physiques et mentales de l'individu, sont aussi un moyen d'accroître la satisfaction au travail. - 70 - CHAPITRE V INFORMATION ET CGNSIJLTATIO DU PERSONNEL Quel que soit le secteur d'acti montre que les modifications apportées a les répercussions qu'elles ont sur la vi leurs sont d'autant plus facilement acce été pleinement informés à l'avance et, tés. La création et la préservation d'un prise, même (et surtout) lorsqu'elle profondes, sont à ce prix. ité considéré, l'expérience x méthodes et techniques et quotidienne des travailtées par ceux-ci qu'ils ont plus forte raison, consulbon climat dans l'entresubit des transforrpations Pour des raisons techniques et fina gements sont planifiés, parfois longtemp observer la société Beil, au Canada, il et leur réalisation prend parfois des s'agisse de remplacer un matériel équipement entièrement nouveau, il f envisager des transformations des bâti des télécommunications, on doit réorgani ordinateurs, ce n'est que par étape utilisation; la planification des chang d'elle-même. En matière financière, l'a existants, le coût des investissement esccmptés d'un service plus rapide e qu'une augmentation du rendement exigent cières évidentes, les chand'avance. Comme le fait demandent un certain temps dizaines d'années. Qu'il ancien ou d1installer un ut la pupart du temps ents Pour l'automatisation er les réseaux.' Quant aux qu'on arrive à leur pleine ments techniques s'impose ortissement des équipements nouveaux, les bénéfices de meilleure qualité ainsi aussi une planification. Les réponses au questionnaire rend:nt bien compte, pour la plupart, d'un tel souci de planification; l'une d'elles accorde plus d'imorta.nce à la réorganisation des seriices en général qu'aux changements techniques proprement dits. Dans quelques cas, les modifications technologiques s'insèrent daits le cadre d'une politique générale de l'Etat; parfois, elles font partie des plans quinquennaux et sont détaillées dans les plans annuels. manière générale, c'est la pinification technique et matérielle qui prime, les programmes rMlatis au personnel n'étant mentionnés qu'en second. lieu. Dans la quasi-totalité des cas, cependant, même s'il n'y a pas de véritakle planification en matière ce personnel, ce dernier est iiform des modifications technologiques. Trois réponses seulement indiquent qu'il n'y a pas d'information systématique à cet égard. L'information peut être parfois assez sommaire, comme en Argentine, dans les télécommunications, cù elle se fait par la publicité des projets. Elle peut prenre la forme plus précise de publications spécialisées, destinées au public ou aux employés, comme en Autriche, ou bien se faire par l'intermédiaire des organisations syndicales et par des avis officiels, comme au RoyaumeUni. Elle peut revêtir des formes élabcrées, comme cela s'est fait en Fiance pour la mécanisation du tri; ette réalisation ne fera sentir ses effets qu'en 1977-78, mais l'information avait débuté dès 1q72 au moyen d'articles dans les publications destinées au personnel, de conférences spéciales, de brcchures et plaquettes et, à un autre niveau, par des cours d1e formation ordinaires ou spécialisés. La réponse française souligie d'ailleurs la nécessité de l'information, placée sous le signe de la participation du - 71 - personnel de tout rang à la vie de l'entreprise; notant que l'ordinat?ur, cosse instrument de préparation des décisions, faci"à lite une plus grande participation du personnel1 elle ajoute: conditicn ue la redistribution de l'information ne soit pas limitée au sommet de la pyramide hiérarchique". République fédérale d'Allemagne, selon les textes en viEn gueur1 l'information doit porter sur la nature des mesures de ratioEn nalisation, leur but, leur préparation et leur sise en oeuvre. c'est seulement quand un télécommunications, dans les Colembie, grand nombre de personnes doit être touché que des mesures spéciales d'information sont prises. L'cbligation pour les postes et télécommunications d'informer personnel ou ses représentants résulte expressément, dans certains cas, de conventions collectives ou de textes législatifs. le En République fédérale d'Allemagne, l'information et la consultation des travailleurs sont régies & la fois par les conventions par collectives nos 306 et 307 des 2 et 4 mai 1972 respectivement, juillet 1972 du ministère des Postes et 17 les directives du sur la 1972 Télécommunications et par la loi du 15 mars représentation du personnel fédéral. où l'information doit être donnée par écrit dès Australie, En que possible et indiquer la nature du changement prévu, son plan d'introduction et les conséguences prévisibles pour le personnel, une convention collective spéciale stipule que cette information doit s'étendre aux changements que subiront les méthodes et prévoit que le Une autre convention l'organisation du travail. personnel doit être informé des changements de structure gui peuvent se produire dans les divers services. Aux Etats-Unis, dans les postes, les syndicats concernés doides changements possible plus tdt vent être informés le technologiques gui affectent le volume de l'emploi, modifient les emplois existants, en créent de nouveaux, influent sur les salaires, la durée du travail et les autres conditions de travail. Lorsqu'il ccmmande ou installations de matériel, les syndicats doivent a y être informés au moins 90 jours d'avance. Ces ispositions figurent dans la convention collective conclue au niveau national. Norvège, aux termes de la convention collective nationale En qui s'applique aux conclue pour l'ensemble des fonctionnaires, il est obligatoire d'informer les postes et télécommunications, représentants des organisations de personnel lorsque les changements envisagés sont susceptibles de modifier profondément les conditions de travail et l'emploi et lorsque des transferts doivent avoir lieu. En Finlande, une circulaire du ministère des Finances sur les (circulaire 468/19/74 du 17 mai 1974) communications internes prévoit que des informations régulières doivent être données au sur les personnel (appartenant à la fonction publique en général) modifications apportées aux conditions de travail, sur les mesures de rationalisation, les transferts, etc. Une convention collective spéciale règle, au Japon, l'information et la consultation sous la responsabilité du ministère des Postes et Télécommunications. - 72 - C'est sur la base de directives intrnes très détaillées que se fait l'information (conçue également come une préparation psychologigue) du personnel dans les PTT des Pay.-Bas. L'information paraît impliquer dan la plupart des cas la consultaticn, même quand la décision finale restè la prérogative de la direction. En Nouve].le-Zélande, par exem le, si les études relatives à l'introduction d'une modification tech ologigue sont confiées à un groupe de travail ou à un comité, les associations du personnel y ont des représentants gui sont consultes à tous les stades de l'étude. Au Royaume-Uni, il existe tau un système de réunions paritaires, systématiques ou sur demande à tous les échelons. Une réducticn de 8.500 emplois étant prévue, du fait de l'automatisation et de la mécanisation, d'ici à 1980 les mesures à prévoir pour faire face cette situation ont été étudi es en consultation avec les syndicats. Dans un certain nombre de pays, les organes paritaires réguliers sont le lieu où se déroulent 1 s discussions relatives aux changements technologiques et à leurs co séquences. En République fédérale d'Allemagne, personnel, formé de représentants du décisions relatives aux questions suivan et mutations; formation professionnelle générale dans ce domaine) ; sélection des fectionsement professionnel; santé et perscnnes touchées par les suppressions tions apportées au contenu des fonctions par exemple, le Conseil du personnel, participe aux es: engagements, transferts seulement pour la politique candidats en vue du persécurité; reconversion des 'emploi ou les transforma- Belgiue, dans les postes, les omités régionaux de contact paritaires) sont informés d s changements les par spécialistes des services de l'étud des méthodes et de la mécanisation, tandis que, dans les télécommunications, toute modification importante des conditions de travail est soumise pour avis au Comité consultatif syndical. En (comités Aux Etats-Unis, pour les postes, la convention collective stiparitaire sur la gestion du personnel en technologiques ou dè mécanisation doit étudier et résoudre les problèmes du per cnnel concerné. pule qu'une Commission matière de changements En France, il existe divers com tés techniques paritaires à l'échelon des directions régionales; des tables rondes, organisées au niveau national, ont permis une certaine concertation. Une Commission nationai.e paritaire, auprès de l& Direction générale, s'occupe des problèmes d'hygiène, de anté et de sécurité, en particulier quand des installations faisnt appel à de nouvelles techniques sont prévues. En outre, le se vice des relations humaines de la Direction générale fait des interventions ponctuelles, suscitant la discussion avec le personne Les plans de transformations techni tions, en Italie, sont discutés et ajpro nistration et par le Conseil techni représentants des organisations syndical font remarquer qu'en raison de la struct et télécommunications, la discussion provincial ou régional n'est pas possibl ues dans les télécommunicavés par le Conseil d'admiue sûpérieur où siègent des s. Toutefois, les syndicats re centralisée des postes au niveau intermédiaire, - 73 - En Norvège, dans les télécommunications, le personnel est représenté au Conseil et dans les comités de liaison paritaires où les questions relatives au personnel sont examinées. Il existe également Conseil du personnel des postes et trois comités de consultation tin régicnaux. Les discussions peuvent porter sur les buts de la personnel, sur les questions de qualifications du politique professionnelles, de recrutement, de transports, de formation, de de santé, de spécialisation, sur les questions d'environnement, sécurité et sur divers aspects sociaux. En outre, il est devenu courant de faire participer des représentants du personnel aux divers comités ou groupes de travail chargés de l'étude de projets ou de l'élaboration de rapports. Suède, de nouveaux conseils paritaires ont été sis sur pied En en 1975. Ces conseils, an nombre de 152, ont des pouvoirs de décision en matière administrative et financière (planification à court et à long terme, budget) et pour certainés questions de personnel comme les nominations à des postes supérieurs, la sélection des candidats à la formation et les transferts. L'information et la consultation sont parfois suffisantes et ne débouchent pas nécessairement sur une négociation proprement dite. En revanche, là où il n'y a ni consultation ni information, la pression syndicale s'exerce parfois pour obtenir l'ouverture de négochangements technologiques peuvent provoquer des et les ciations, ou temps conflits si les négociations ne s'engagent pas à n'aboutissent pas. En Finlande, certains sujets sont exclus des négociaticns par la loi n° 664 de 1970 sur les conventions collectives dans la fonction publique: c'est ainsi que l'organisation généles administratives, les procédures rale de l'établissement, méthodes et l'organisation du travail ne sont pas négociables. Enfin, pour compléter cette description des mesures qui sont prises pour associer le personnel aux décisions relatives aux changements technologiques, il convient de rappeler le rôle des dont il a été organismes paritaires d'hygiène et de sécurité, question dans la section tvjroflnement et santé" du chapitre IV cidessus. La réaction des travailleurs et de leurs organisations au changement dépend évidemment, d'une part, de l'attitude de la direction en matière d'information et de consultation et, plus généralement, part, des séthcdes adoptées pour la gestion du personnel et, de facteurs externes tels que la situation sur le marché de l'emploi et le climat économique. Comme le souligne la réponse des Pays-Bas, économiquement techniquement désirable et "une réorganisation, doit pouvoir être considérée par le personnel comme justifiée, socialement acceptable". Selon la moitié environ des réponses reçues, le personnel n'a marqué de réaction négative ou de résistance aux changements. Six réponses mentionnent l'intérêt que manifeste le personnel, dont l'attitude favorable est motivée soit par l'allégement du travail, en particulier dans les postes, soit par la possibilité qu'il a de matière de changements en ptises décisions aux participer dernier point est souligné dans (ce technolcgigues et autres pas - 74 - d'autres pers cnnel) réponses gui indiquent peu de résistance de la part du . La position syndicale à l'égard des chanqements exerce évidesune grande influence sur l'attitude du jiersonnel. Pour le syndicat Zenyusei, au Japon, les innovation techniques, l'amélioration de la productivité et la rationalisartion sont des phénomènes inévitables dans une société gui veut progrsser; partant de cette constatation, le syndicat doit adopter kine attitude positive et obtenir une part équitable des avantages dus aux changements, sous forme d'augmentations. salariales, de éductions d'horaires et d'amélioration des conditions de travail.l Cette politique, ajoute le Zenyusei, repose sur l'information préalable et sur la pleine compréhension par le travailleur des processs de changement. Il signale que l'évolution des techniques n'a pas suscité de conflit sent maj eur. Au Royaume-Uni également, les syndic çnt reccnuu la nécessité d'une évolution duits à coopérer avec la direction. Qu que les stagiaires qui ont étudié à l'étr retour de l'enthousiasme pour les nouv parmi le personnel une volonté de changes ts des télécommunications ontinue, ce qui les a connt la Tunisie, elle note nger ont montré à leur 11es techniques et suscité Des résistances se sont cependant ma nies et adoptant des objectifs divers. Ain Canada, l'opposition syndicale s'est t boycottage contre l'introduction du Code Au Japon, le syndicat Zentei explique que pas sur l'application des technologies ce que le ministère ne prenait pas d appropriées. ifestées, prenant des fori, dans les postes, au aduite par une campagne de ostal qui a duré deux ans. son opposition ne portait n cause, sais provenait de mesures suffisantes et rit. La cause principale de ces rési-tances semble bien être la crainte d'un rétrécissement des possibili és demploi ou de carrière et d'une dégradation des conditions d trvail. C'est ainsi qu'au Japon, l'incertitue quant au statut des travailleurs et la crainte d'une détérioratin des conditions de travail ont conduit, dans les posts, à des "luttes antiraticnalisatiori" allant de l'immobilisatjn des machines au refus de suivre les cours de formation, à des raleitissements du travail et au refus des heures supplémentaires. A 1- NTT, les inquiétudes pour la sécurité de l'emploi comme pour l santé renforçaient les appréhensions concernant l'intérêt d travail (crainte d'une monotonie plus grande) et la qualité de l formation. Dans les services financiers, en Fra ice, la modification des horaires et des affectations a donné liu à des pétitions et à des grèves, qui ont abouti à une amélioration du régime sur ces deux points et à l'octroi d'indemnités à certans agents. En Italie, de nouveaux types d'en-adrenent et le travail par équipes ont provoqué des résistances; ls travailleurs âgés, en particulier, ont refusé de changer les méthodes de travail jusqu'alors en usage. IVoir à ce sujet "Problèmes de personel et organisation du travail dans les établissements postaux", Etdes du CCEP, anion Rostale (Berne, UPU), n° 11/12, nov.-déc. 1975, p. 296-303. - 75 - des buEn Norvège, le personnel s'est opposé à l'élimination reaux de tri ambulants, qui jouissaient d'une certaine popularité en raison des congés compensatoires assez longs et des allocations qui leur étaient propres. La suppression de ces bureaux a pris plus de temps que cela n'était prévu à l'origine. A Sri Lanka, le mécontentement des travailleurs est né des restrictions à la liberté de mouvement dans les nouveaux lieux de travail, de l'isolement de certains postes, des sanctions injustes qui résultaient d'une surveillance plus étroite. On signale également, dans de nombreux cas, des réactions hostilês à l'emploi des dispositifs automatiques qui permettent La le rendement individuel. de contrôler et d'enregistrer qu'il est censé "surveillance" du travailleur par phénomène assez commun dans la technologie moderne et utiliser, moyen commode d'intégrer l'homme et la machine dans le processus de production, est toujours ressentie comme une atteinte à la dignité Certaines opérations des et dresse l'individu contre le système. postes et télécommunications semblent ne pas avoir échappé à ce renversement des rôles. Telles sont les principales formes et les raisons essentielles résistances que le perscnnel oppose aux changements technologiques. 14ème si de telles résistances s'affaiblissent à la longue et si des mesures correctrices finissent par atténuer, dans de nombreux cas, les causes de mécontentement, il est évident que climat psychologique défavorable compromet le succès des en du centre postal de Sydney, L'exemple transformations. Dessiné avec soin, Australie, paraît révélateur à cet égard. de degré élevé centre devait atteindre un ce fonctionnel, productivité. Toutefois, alors que l'indice de productivité des postes australiennes passait de 100 en 1966-67 à 108 en 1975-76 et atteignait même 118,1 à Melbourne, il se situait, pour le centre de à 90 en l969-'lO, s'élevait à 98,5 en 1972-73 mais tombait à Sydney, 91 en 1975-76. Dans le même temps, on faisait état d'une atmosphère travail pénible et de rapports difficiles entre le personnel et de la directionl. on ne peut se défendre d'établir une relation entre les deux ordres de phénomènes, même si elle n'est pas démontrée. des Les modifications des techniques et des méthodes, rendues nécessaires par l'évolution du contexte économique et social, n'entraînent pas dans leur sillage uniquement,des avantages pour le les C'est une raison de plus d'associer personnel concerné. travailleurs aux décisions relatives à ces techniques et méthodes, ou au moins de les informer à temps et pleinement, et d'étudier avec eux les moyens de compenser les conséguences défavorables des changements. problèmes particuliers de ce centre étaient déjà signalés tLes dans un raport officiel de 1969 (Commonwealth of Australia: 1j Service Board Annual Be2ort 1969) - 76 CONCLUSIONS Les administrations des postes et télécommunications n'ont pas modifié considérablement, ces dernières années, la nature des services qu'elles rendent au public. Essentillement, il s'agit toujours pour elles de transmettre des messages, d'achioiner des objets peu enccrbrants et d'effectuer certaines opérations financières. Les séthodes et techniques guelles utilisent our assurer certains de ces services ont, en revanche, subi des modifications importantes. Ces changements n'ont pas affecté pour la raiscn notamment que l'expansion rationalisation qu'elle entraïne suivent celle du développement économique: ils ment et, inversement, dépendent de lui. dustrialisés sont-ils en même temps ce de communication les plus efficaces et, où les problèmes sociaux causés par les paraissent le plus clairement. unifôrmément tous les pays, du trafic et les efforts de une courbe comparable à conditionnent ce développeussi les pays les plus inx qui détiennent les moyens 'une manière générale, ceux rcgrès de la technique ap- L'évolution de la technique n'a ps, non plus, touché au même degré toutes les branches des postes et télécommunications. Les services pcstau restent de gros utilisateuis de main-d'oeuvré, et les techniques traditionnelles y subsistent côt4 de procédés modernes. Les télécommunications se prêtent davant ge à la mécanisation, voire à l'autcmatisation, même si elles ne son pas un secteur à haute intensité de capital au même degré gu , par exemple, la chimie ou l'industrie pétrclière. Quant aux servic s administratifs et financiers, du moins là où ils sont concentré , ils se sont modernisés de la même façon et au même degré que n'.i1mpôrte quelle entreprise ou institution se livrant à des activités ccmparables. La question essentielle qui se pose à propos de ces changefaents est la suivante: les travailleurs des po tes et télécommunications ont-ils bénéficié ou pâti de l'évolution technique? En d'autres termes, a-t-on dament tenu compte, en prena t des mesures de rationalisation, des conséquences qu'elles étai nt susceptibles d'avoir sur la vie quotidienne des travailleurs? Ou ncore, a-t-on pris les dispositions nécessaires pour que le travai3leur ne soit pas menacé son pour qu'il part,cipe aux avantages d'une dans emploi, productivité accrue, pour que sa charge «e travail soit allégée et non pas alourdie, en bref pour que la dualité de sa vie de travail s'amélicre? En cherchant une réponse à cette gustion, il convient de ne perdre de vue, non seulement que ia situation varie entre les pays et entre les différentes branches des postes et télécommunications, comme il vient d'être dit, mais erccre qu'il s'agit d'un service public. Deux séries de considératons découlent de ce dernier pas pcint. d'abord, aussi bien les a lorsqu'ils définissent leurs revendications, ne peuvent ignorer est à coup sûr souhaitable, et d'ailleu méthcdes et la modernisation de l'équip à une amélioration des services rendus. limites et les administrations se y revenir sur des mesures de rationalis Tout emplcyés, ministrations que leurs bjectifs ou formulent leurs rêt du public. Rentabiliser s la rationalisation des ment conduisent normalement Ellês ont cependant des ient parfois contraintes de tion excessives comme la - 77 - fermeture de bureaux de poste ruraux on la suppression de tournées de distribution, lcrsque ces mesures risquent de se traduire par une dégradation des services. De même, les organisations syndicales peuvent être amenées à nuancer ou moduler leurs revendications pour tenir ccmpte de l'intérêt général. En second lieu, les services des postes pour leur très grande majorité et les services des télécommunications dans un grand nombre de cas relèvent de la fonction publique ou possèdent un statut voisin. De ce fait, les conditions d'emploi et de travail y sont largement déterminées par les textes qui régissent le personnel de la fonction publique. Il en résulte que les conséquences défavorables que l'évolution technique risque d'avoir sont notablement amorties, pour les travailleurs gui bénéficient d'un tel statut, par la protection spéciale découlant de ce dernier. Il faut voir là sans doute, en môme temps que dans leur attachement au concept de service public, la raison de l'opposition généralement manifestée par les organisations syndicales à légard de la 1prjvatisationI des postes et des télécommunications. Il n'est sans doute pas inutile, avant de résumer les constatations faites dans le présent rapport, de rappeler ici la conclusion d'une étude du BIT sur l'automatisation et les travailleurs non dans les manuels: tLes divers problèmes suscités par bureaux sur le plan de l'emploi et les conditions de travail sont les mômes qu'autrefois, mais élevés à une dimension nouvelle, qu'il s'agisse de l'organisation des bureaux et des méthodes de travail, formation de la consultations, des des communications et professionnelle et de la hiérarchisation des emplois aux fins des pose avec une acuité nouvelle certaines carrières. questions gui se sont toujours posées et exige plus de réflexion et plus d'imagination, mais elle n'a posé jusqu'à présent aucun problème vraiment nouveau"1. Cette conclusion reste valable pour les travaux de bureau dans les postes et télécommunications. Elle l'est sans doute aussi pcur la plupart des autres activités de ces services. Ainsi s'explique le fait que les réponses au questionnaire du BIT ne fassent mention d'aucun problème véritablement nouveau. Dans le domaine de lemplci, les réponses ne signalent pas de fléchissement marqué dans les effectifs globaux. Elles font plutôt état d'une stabilisation, voire un lent accroissement. Ce tableau général recouvre cependant des disparités. Il y a eu des compensations d'un secteur à l'autre; des suppressions demplois neutralipar la création d'emplois nousées dans les statistiques des reconversions et des mutations à l'intérieur d'un même veaux; secteur, pourtant, certaines catégories de travailleurs, plus vulnérables, ont été touchées: personnel auxiliaire ou non titulaire, mères ae famille empêchées par leurs obligations privées d'accepter un transfert vers d'autres parties du territoire. Surtout, l'expansion jusqu'ici continue des services des postes et télécommunications a permis d'absorber le plus gros des effectifs qui, à un niveau égal d'activité, seraient devenus excédentaires. Il est à craindre, cependant, que les conséquences réelles de l'évolution technigue sur l'emploi, actuellement masquées par cette expanou sion, n'apparaissent si le rythme des changements et les travailleurs non manuels", Travail et ItIL'afltomatjofl automation, cahier nO 5 (Genève, BIT, 1967), p. 122. - 78 - lorsque ceux-ci auront produit tous leu s effets, ou encore lorsgue les services des postes et télécommunic tions auront achevé leur croissance, ou s'ils l'interrompent, notamment dans le cas d'une stagnation économique durable. Une autre menace sur le niveau de 1 la "privatisation" de certaines activité ment des paquets dans les zones urbaine resse les sociétés privées qui sont prêt sant à l'administration publique les zo à desservir. Si cette tendance prenait c pourraient, à la limite, accaparer les qui se contentent d'effectifs réduits. A tions publiques se verraient confinée taires, avec les inconvénients et les ri gue cette situation pour leur personnel emploi pourrait découler de par exemple, l'achemineopération rentable, intés à s'en charger en laises rurales, plus difficiles rps, les sociétés privées ctivités les plus rentables l'opposé, les administradans les activités déficigués gue comporte à la lant pour le public. Les réponses décrivent les mesures dispositions législatives ou convention postes et télécommunications dans les ca sonnel sont apparus ou risquaient d'a tions et des reconversions mentionnées c par étapes des nouvelles cation ralentissement du recrutement, le gel ou libérés par des démissicns ou des dépa des moyens mis en oeuvre comporte égalem au 11recyclage de personnes en surnombr perscnnel signalées ici et là semblent succès, et il faut regretter qu'elles n rises, Sans mettre en doute l'efficacité d effectivement indispensables, il convi les prohlèmes de l'emploi n'ont pas revê dans les postes et télécommunications ne pas être aussi favorable à l'avenir. semble que ces mesures ne répondrai problèmes et qu'il faudrait sans doute c fondamentales dans des directions débordent d'ailleurs le seul cadre du exemple dans un réaménagement général de telles mesures, gui sont nt de répéter que jusqu'ici u un caractère de gravité t que la situation pourrait 'il en allait ainsi, il nt plus à l'ampleur des ercher des solutions plus ncore mal explorées, qui secteur en question, par la vie de travail. Il semble que les conséquences de les conditions de travail soient plus d elles se confondent moins avec celles d lent peu à peu l'ensemble de ces conditi ficile de discerner, par exemple, si 1' travail découle d'une modification de la souci général d'ergonomie. changements techniques sur rectement décelables, car autres facteurs qui remodémm, encore gu'il soit difmélioration de tel poste de technique plutêt que d'un dans le cadre de elles, par les services des où des excédents de perparaltre: en plus des muta-dessus, on cite l'appliméthodes, l'arrêt ou le la suppression des postes ts à la retraite. L'arsenal nt des dispositions visant Les politiques actives de avoir été couronnées de soient pas plus répandues. L'analyse des réponses au guestionn ire h'a pas fait apparaltre direct entre la mise en oeuvr de techniques nouvelles et l'évclution des échelles de rémunération !ême si, là encore, cette constatation d'ordre général recouvre uie assez grande diversité de situations, il faut sans doute attribuer cette absence de lien au fait que les employés des postes et tél communications sont, en majorité, des fonctionnaires et que, de ce fait, leurs rémunérations sont déterminées en vertu de systèmes do t beaucoup ignorent les variations de la productivité et gui, our La plupart, assurent le maintien de la rémunération au titulaire d'un poste déclassé. cependant, la technicité d'un nombre croissan- d'emplois se reflète de de lien - 79 - plus en plus dans les grilles indiciaires. En outre, des primes spésont liées dans de nombreux cas à l'exécution de tâches en rapport avec l'application de techniques nouvelles, on remarquera, d'autre part, que, ces dernières années, les syndicats ont plus particulièrement orienté leurs revendications vers la revalorisation des tas salaires en raison des effets plus dommageables de l'inf].ation sur ceux gui les perçoivent. Si l'inflation est réduite ou jugulée, certaines organisations syndicales semblent disposées à diversifier davantage leurs objectifs dans le domaine des rémunératians; il se pourrait alors que les grilles indiciaires soient plus sensibles à l'influence de l'évolution technique, une rémunération plus élevée devant compenser l'exigence de qualifications supéciaj.es rieur es. La durée hebdomadaire du travail et la longueur des congés annuels ne semblent pas avoir été, jusqu'ici, influencées par l'évolution des techniques dans le secteur considéré. Là encore, le statut du perscnnel des postes et télécommunications se prête mal à des variations rapides et notables et, dans de nombreux cas, il ne va pas plus loin sur ces points que la législation nationale. C'est pourquoi les efforts déployés par les services intéressés ont porté sur l'organisation du temps de. travail plus que sur l'allongement du temps libre. Encore les dispositions prises apparaissent-elles modestes: elles consistent surtout dans une certaine réduction du travail nocturne et dans l'aménagement de pauses destinées à alléger les opérations pénibles ou monotones. Le travail par équipes successives et les horaires incommodes ou astreignants semblent liés à l'exécution de certaines tâches ou à l'obligation d'assurer certains services permanents; comme tels, il est difficile de les éliminer. Les efforts tendant à "humaniser" le travail se sont également orientés vers une amélioration de l'environnement et du poste de travail lui-même. Le recours à certains équipements nouveaux a créé des nuisances, telles que le bruit des machines de tri ou la fatigue oculaire et la tension mentale qu'occasionne la lecture des écrans cathodiques. Il n'est pas certain que les dispositions prises pour atténuer ces nuisances soient à la mesure du problème. De même, la recherche de la rationalisation et de la compression dea coûts risque de se traduire par un alourdissement de la charge individuelle de travail. C'est un motif de plus qui conduit les czganisations syndicales à s'opposer aux réductions d'effectifs et à revendiguer un raccourcissement et un aménagement de la durée du travail. Il faut sans doute voir, dans le sentiment qu'ont les travailleurs d'être assujettis pour certains à un rythme de travail plus intense, d'être confinés pour d'autres à des tâches pénibles ou monotones, l'une des explications du malaise qui s'est manifesté en diverses occasions dans les postes et télécommunications au cours des dermières années: grèves de longue-durée, immobilisation des machines, ralentissement du travail, refus daccomplir des heures supplémentaires ou de suivre des cours de formation. D'autres causes ont sans doute contribué à ce malaise, et elles n'ont certes pas toutes leurs racines dans l'impact des méthodes et techniques nouvelles sur les conditions de travail. La conception que se font de la vie de travail les générations montantes, plus instruites et peut-être plus exigeantes, a pu se traduire par une insatisfaction larvée dans les services des postes et télécommunications comme dans - 80 - tous les autres secteurs. Il n'en reste p s moins gue les conséquences possibles de l'évolution techn -que sur la satisfaction au travail devraient être présentes à l'espr t de ceux qui envisagent de nettre en oeuvle toute technique nouv-lle, en même temps que les en attendent et, bien avantages économigues ou autres qu'il entendu, que ses effets éventuels sur l'eploi. La satisfaction au travail aura d'au ant 1us de chances d'être préservée et accrue que les travaille zs auront été informés par avance et, mieux encore, dOsent consultés an sujet des modifications envisagées. Ils sont le mieux placés pour mesurer les répercussions ces changements sur leur vie guotidi -nne, et leurs avis permetde tront dans bien des cas d'en assurer J.ifl roduction sans heurts et 'intérêt des postes et téefficacité. Il est donc dans la pleine lécoinmunications que leur personnel soit .ssocié aussi étroitement que possible à la modernisation des services. Ce personnel est d'ailleurs prêt à fournir son apport dans ces conditions, comme cela ressort d'une résolution adoptée par la 1 3e Conférence européenne de l'Internationale du personnel des postes, télégraphes et téléphones novembre 1976), où il es t déclaré que "les travail23-26 (Lunich, leurs, au travers de leurs organisations, et qrâce à des procédures de participation et d nég!ociation acceptées par de consultation, les deux parties, ainsi qu'en apportant 1 urs connaissances et leur expérience du travail, joueront un rôle o nstructif et positif en ce qui concerne l'amélioration de l'effi acité, de la gamme des services offerts, et donc de la contribut ion des PTT au bien-être éconcmigue et social de la société". - 81 - PQINIS SUGGERES POUR LA DISCUSSION Les points énumérés ci-après sont proposés comme base éventuelle de discussion, étant entendu que la réunion paritaire pourra apporter à cette liste les modifications qu'elle jugera appropriées. examinant ces points, la réunion gardera naturellement préEn sentes à l'esprit les différences qui existent entre les statuts des degré leur admimistrations des postes et télécommunications, d'autonomie administrative et financière, la variété des contrats par conséquent, la mesure d'emploi dont jouit leur personnel et, affecte les conséquences de diversité cette laquelle dans l'évolution technique sur les conditions d'emploi et de travail. La réunion voudra donc sans doute procéder tout d'abord à un échange e vues sur les caractéristi2ues du Eersonnel occupé par ces services, selcn que ceux-ci relèvent de la fonction publique (ou possèdent un statut voisin) ou qu'ils sont gérés par des organismes privés. La réunion ne perdra pas de vue non plus la nature différente des opérations effectuées dans les diverses branches des postes et télécommunications, ainsi d'ailleurs que les effets éventuels de techniques qui, encore peu répandues, peuvent cependant être appelées à des développements considérables (téléinformatique, télévision par câbles). en Enfin, elle voudra sans doute, au cours de ses débats, prendre en voie de considération les caractéristiques spéciales des dé!i2ement. Sous cette triple optique, les points suivants l'examen de la réunion: A. sont soumis à Consé9uences de l'évolution technigue sut l'elai Portée réelle des réductions d'emploi: disparition de cerde certains types d'emploi, augmentation ou diminution création de nouveaux types d'emploi; dans tains autres, dues à de l'emploi quelle mesure les variations l'évolution technique sont-elles compensées par celles qui sont liées à l'évolution du trafic. 1) Nesures prises en cas d'excédent de personnel: - licenciements; - mutations; - reconversions. ii) Comment la situation des travailleurs pourrait-elle être améliorée? Influence de l'évolution technique sur les requises. concernés qualifications Effets sur la structure du personnel et sur les carrières. Effets sur l'emploi selon le sexe. - 82 Effets sur l'emploi selon l'âg Hesures de formation professio nelle et recyclage. B. Conséuences de l'évolution techni e sux les conditions de travail conséquences de l'évolution te.hniqtle sur la rémunération de l'ensemble du personnel et sur celle du personnel particulièrement affecté pat les hangesents: - participation aux gains de productivité; - modifications de la rémunération en fonction des nou- velles qualifications requies; - rémunération en cas de déclas1seiaent. Conséquences sur la durée du travai],: - durée normale du travail et }eures supplémentaires; - repos hebdomadaire; - congés annuels et autres con$s; I - âge de la retraite. Conséquences sur l'organisation du temps de travail: - travail par équipes, autres hraies incommodes treignants; - périodes de pause; - horaires flexibles - travail temporaire; ou as- - travail partiel. il. Conséquences sur l'environnement physique: - agencesent des locaux; - bruit, tenpérature, éclairage, etc.; - agencement du poste de travaiji; - risques nouveaux pour la sant physique ou mentale, et mesures de prévention ou de p otection. Conséquences sur le contenu et organisation du travail. Conséquences sur la satisfactio au travail, compte tenu des changements en cours da s l'attitude générale à l'égard de la vie de travail. C. Information et consultation des travailleurs Information et consultation au ujet des plans de modernisation et de leur mise en oeu re. Négociations sur les conséguenc s des mesures de modernisation. Participation des travailleurs ux politiques du personnel. - 83 - 00 00 0011 00 0041. o 43 O '.0 44 1.41 .4.40 0043.0 0410 0.01044 0.0 -.4 044.0 .4.042 044 .40 410 00 00 00 00 W 142 00 043 00 W 141 LI 41 -.1 44140 W 0.0041 0H H 4'.O 44W 44 W 4300.4 4144441-1 001.1 0 414.041. -W- 41 0 -414 -o .4 44 0 H 41 0 o. .1.10 O 0142 14 44 (1 0W 440 14 041 0.0 00140 0044W 1411414W 14.03300 WW0..W UH.0044 H '00 'OWI4LIH .00-4 0 0 0 044.014 0. 0.000.14 01.14 01.1'. 00044 04141140 -.40 4440 0 III -14 HO 140. 44 '0 0 '044 O 044 414 H 00 00.00 0414 .40440 .0 4414001 -,-I .4440 O'0 4444 14.0 0 '.414 00 .40 4441 I-40044 0-4.-1H 0140.0 1414 44.44144.0 4441 004141.444 0.4404444 1444000 0044W 000.0.0 LI 0414 '00 O 44 0.4 42 4.10 410 '444 14 44. O 41 -I-, O -.1 14 140 4.4 O 4-' O I 02 10 o 01141 44 0 0 01 141 -01 o .40 14d'0 DI 04 44 '141 0044 14 0 '0440. 01 144244 04 .11 00 .0 44 -'4 41 0 0W 440. 4114 42 0 14 o -.1 1.144 .414 140 00 00 0134143 D -.4 0 0414 .41 UI o o o 044.-I 00.-I 01.0 44 O .14 43.00 01442 01440. '0 14 4100 0440 4444 4414 00 '.41.14 .013 0. 00. -10 0-4044 O1HWI3 O '4 O 0)14 0.0 '.0 00 001 44 LI 0144 '01 D O 01 W 44 04 O o' 42 H W 0 o o 44 o 441 4-lI 01 4.4 O o W 14 44 10 O 0' O 0144 O 420 00 044 00 430 00 '.414 '04.4 044 0 014 .40 044 42 00 0 00 .4.4 1443 40 0 0W .140 O- '0140 0.44 1442 41 4444.-. 041W -.444H 41.0 4400 LI o W-4 00 01130 '0H 1400W '.4 0- 0-.141. WOP. 44'00 l-100 0-LI 0 .0 0 '4 W 44 1.1 0 .41 14 .4 044.0 .4 441,41 43.00. 01414 44 Q42 14W 0.4 0.0 '44 '00 '.40 44 W HI 44W 1.141. '00' .4 D 00 .00 W' 0.0 -4 '0 .0 -1H H O 44 H 14 34 440 040 4444 44440 4301 'H 1444 .40 01H 414 0 '0 0 410 '4.1 400 0.0.0 0 4.. 0 D o .410 -H 4.' 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'14 44 441 4-I l-1 0 W 04140 42044 .4044 01140 001 O--40 '00.0 44 '0414 WOOl 0'OH 0' 1210W 14140 .4241 0114 '044.... 0W 44.-1W .4144 I.' 0 140 01.0 - 84 - Anoxo I (auitu) O '.4 01 0.4 H DI 001 010 01.4 0144 040 011 «I .'44 041 011 60141 01110 -I 0 0 0)40 14010 011011 0 I I 4) 'O 0.4.40.0 0.0001 0 OD.'CI1 00 4 000010 .40'04.l 0 O 41 0 .1011 0440.0 000 0.010 0000 00.40010. 0440 0144 0140 0 .40 14 00.10 .lo.010H.. 0.0.-1010 '014 60 01 I I 0101 40_dl 0.01d 000 .014H0'.H '0010141 110 000 00 00 O O W 01 14 01 01 O 4.1014 00.0 -.4 1440 0014 041 01010 41 '0041 HI 01 04 04 01 '.4 44 O O 44 01 01 '.11 0) O 01 0 40 01 III '0 01 0 0 H 01 01 0 '00 41 01 0 44 01 01 01 01 4 0 W HO 00 .40 0W 1401 010 064 040 00 044 014 001 41.-4 01.0 001 0101. 0 044 00 0101 0_d .401 00.0 01 01010 b' 41 '1 H '04 . 14 4400 010 014 1010. 0 01 0 C' 04 01 01 04 01 04 0 0 01 0 41 44 44 0 01010,4 Il 01 III '0 44 O O 0140 00.-1W 004414 '.101 10 0 0.0 0.44 0 00001 9,144.0 H 01 01 la 110001 0 0. '.4 0 .0 '.1 o o o 01 0 14 01... 0.41.041 00 0 01 01 o o 0 '.4 01 0) 01 o O 4.1 0 0 01 40 O 0 0 01 01 '01 .4 .444.4 1401414 4141I441 0040W 010101 O O 0 -.1 14 04 01 O '0 41 H '04 0) '04 W '0 01 44 '.4 0 4.4 0 0. '0 '.4 O W 0 '.4 01 0 0 011 W O -.4 14 01 O uO 'di 01 '0 40 04 0 01 01 41 .4 01 Dl 04 414 04 .601 44 0 0 U H 0.-. 0410 I.-I 0 14 44 01 01 00 010 HO 00 '0 0 010 001. rI01 H 01 011 60 011 W '0 01 .0 14 01 01 004 '0 01 II '0 '.4 10 O '0 H 01 '.441 00 4101 00 .00 '4.0 01.0 44.0 04.' O 011 01 -4 0 01 Il 60) 10 440 01.4 0 4 0 '0 01 0.011 00. 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(1)105 (JIl SI I-II -ri (U 01 01 ---I 4-' 01 01 01 Ç.11 Annexe II (suite) - 105 - -1 o - H 0)4) 4) W W W 'U) E- 0H I-1 O D. .- W W -ri 'U -ri (U U-P 04 I-1 P. -rI W W 1W cd O) U) 1-1 1-1 - -0W P49 UI-1 4) U- O 00 (U E- 9 OU -ri O UI D; O r1 + (U-d -P W O 4-l'dk '09W CUU'U UI U) I-1 I -rI 01 H H 4)kI 0 4) W -ri I Et E-01 -ri 4-II (U04 94-'W D; U 09 W'U H W -ri 01-1 -10 0)4-1 WI4 D 9h OUI O'UZ OH QO +'D '0W P4E- 0d+' +-9W 91-1,9 E- (U 945+' o-ri-ri I-4 P40 '0 4-'C'-) E- 4-,, W E- cd - I-I 'U D. ri 4-' (U +' D D O - 4 W O 44 4-' cd.-. D; (U I-1W Q) I-1 -l-'9 DO O-ri 04-' -P D O Q U U 01 -ri '0W HO U U (DO) D; H 04 H H0 D. P. D 9 0 0 -ri +' U .rI +' O D; D; E- U O O 001 -e-1 'W I-I I -r' (U I-I O o P4 W W -ri -P -P cd -'-I 0)0 U O 'rird '0W '00UH 4-' 1:1 W O (U z O H D. I W '0-ri 4-1(U P.W 4» HII-IW I-1W 00 00 WI Q) '-W 05 W-4) +11-I W-4) -rU 0W W -(-I (U r-D; -p9 E) 4-' (4) 04)) -ri O'U P.-d D. 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Mail traffic Courrier postal Number of items sent or received - Nombre d'envois expdis ou reçus A. Domesiic C, Forelgn sentA. lnl6rieur B. ForcIons recelved C. Etranger z aupédl6 B. Bironga z reçu Millier, Ibousand, Cuontçyorarea Puys ou zone Cude 1967 1966 1968 1969 1970 1971 1972 1973 102802 14355 11870 1974 AFBICA - AFRIQUB AlgeriuAtg6nie Mgolo Botswana 104536 9175 8535 115023 11210 10390 96303 9965 9556 98137 12300 10105 97340 12393 9911 97725 12699 10416 99188 C A 25555 45089 40592 45621 46198 1 963 24346 2097 39184 B 1499 1 519 2 093 2.035 2 306 3091 2 464 C A 1760 4598 3014 2001 5 180 2181 5 321 2401 5 603 3514 4115 4518 312 738 503 525 830 459 472 922 544 572 855 613 604 1 087 675 B 305 610 C 440 289 666 512 343 678 577 382 860 597 409 930 685 A 8 B C Burundi A B C CopeVerdeCup-Vert Cenirol Afrîcon Rep POp. nentrufrkoine A A B C B... C... ChodTchod A ComorusCemorer A B4 C' Egypt - Esypie Eihtoplu Etirlople 8477 2405 1518 778 342 305 ... ... ... ... ... ... ,.. ... ... ... ... ... 782 777 347 307 273 296 ... ... .,. ... ... .,. ... ... ... ... ... 2494 2869 6 675 5021 1436 1 394 951 606 460 428 481 549 1 459 1 243 1734 1 767 1 165 ... ... ... ... ... ... 1 558 1 904 86 833 309 313 360 325 3813 6711 3749 6412 3507 6416 4033 3687 8 935 A 285 509 294 957 217 271 226 857 B 58521 C 47314 55186 46557 45262 39140 45096 37127 ... ... ... ... ... ... 10547 13834 8122 9954 12950 7936 8837 60 40 38 41 4034 257 077 213 685 50046 42966 32233 30175 12102 14799 14459 16237 9939 17435 14950 544 1 244 8 647 8 732 15455 10338 1283 5203 3470 849 347 378 934 382 416 4605 5726 3400 4150 5327 3 088 2 566 199555 30084 28653 200 345 118 780 24709 23601 47210 ... ... .., 4528 52131 20977 20096 12234 Fr. Terr. ut Afors, 55es A Terr. fr. de, Afar,, Issu, B 4367 4377 2238 1 766 1 653 3500 I 383 2288 C 1 492 1 481 2 155 1 452 48 1 976 1 655 64 1 983 1 459 66 1 824 1 214 A 2970 3062 1776 4020 4262 2526 3756 6026 2726 3567 5628 2676 3563 5400 2556 3629 5507 2626 3806 5373 2745 3984 5715 2929 4174 5826 3118 175270 86040 179417 86739 39717 41 031 186854 92405 40991 Gubon B C Gurebta Gumbîs Ghono' A ... ... ... ... ... ... ... ... ... 2332 °931 956 A 126770 39819 31351 149059 44944 32102 B 3514 2087 C 1231 4335 4154 2768 A 97 428 306 114 108 123 467 390 381 531 17856 11548 9393 52544 15362 10999 A B C IvoryCoest A COte d'irolra B C Kenya 98 °1351 C C Gulneu.51,sao GulnOe.8bsuu ' 95 B B Oulneu - GulnOe 9 13 4 397 111 810 1383 666 1 069 1 452 C 3061 4970 2604 3307 B 46072 4504 2973 6 129 C A 2801 2702 803 275 310 6641 4 335 10525 2646 B A Congo ... ... ... ... ... ... ... 3152 13011 A E C 173549 59797 37326 ... ... ... 184568 70874 38616 ... ... 194507 77277 38726 ... ... .,, ... ... ... 322 362 18560 13762 10032 19784 14568 11438 20150 14815 11147 20401 15655 11589 56820 15230 10956 54727 20857 52427 60416 18782 18626 21 768 17463 For tousse, garerai note ond fuot.notez, ses end of table. 16171 89 2111 936 198795 78249 38895 ... ... .,. ... ... ... ... ... ... ... ... ... 1 874 ... ... ... 24960 19670 14788 65061 24928 63511 78032 32126 17488 27587 25305 4996 2092 17955 '143267 '46635 '37500 Voir la fin du tableau pour la source, lu remarque gtntnolo n les note,. - 110 COMMUNICATIONS Mail traffic Cruntinued): number of items - Courrier postal ole A. Domerlic nonibre d'envois C. Fereignr sont - A. lnt6rieor 8. Etoonfer, roço B. Furulgn, recelved C. Eleanger, exp6dié Milliers 11,ousands Country or orna Code 1966 1967 1968 ... ... ... ... ... 1969 1970 1972 1971 1974 1973 AFRICA (cootjAFRIQUE (tuito) Lesotho LtbeelaLlbérla UbyanArabRep R6p.arabellbyeone B... C... A Molawi 846 2053 910 965 974 1 045 1991 2258 2393 2418 2697 1 373 1 386 1 451 1 539 1 562 A 7907 7350 14365 15312 7481 15450 15815 7325 B 7471 15296 15762 15015 15360 14637 14443 9659 14024 12523 ... ... ... 28529 24119 16196 37824 35699 38911 36953 C 13811 14975 41935 36800 14466 36175 B 37301 12880 34925 34874 11109 35052 32387 12737 35523 33292 12410 35110 33248 12464 A 12315 9300 8420 12413 13652 10289 9328 13998 9982 9521 14265 10803 9926 14779 11589 16647 13826 10523 17482 14155 12137 "24500 10041 ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... A C 943 1 307 1 096 1 466 1 668 1 749 2019 2120 1 172 852 2210 418 443 676 1 460 803 9 877 9 241 5583 5792 9778 6578 3 lOB 3 342 4 165 4 402 60517 42606 28629 9 400 3441 9772 2814 9801 B C 2437 2 890 3 078 4905 2894 5463 3038 A 45786 25676 18243 48057 40745 17586 53999 28627 20840 51455 35510 23975 50356 36000 27090 52724 40054 33788 52624 41462 32523 56488 34076 11635 19459 11743 12711 20448 9302 24968 9963 14885 9715 13782 25404 11607 14642 25711 C 9083 17539 8128 12142 24207 15924 15579 24195 13553 A 2591 2879 3413 1518 2 925 2280 1208 2770 3354 1485 2 763 3557 1592 4015 1823 4116 3 042 C 2786 2473 1297 3 019 B A 165 992 120 977 129 812 34743 19620 16030 23106 16927 20823 162534 28459 23451 196 863 B 48602 25674 65386 28896 711 975 607 940 I 502 992 1073 1 601 857 907 1 668 928 1081 1 569 1016 A A A 3913 B 66 858 A 8 C A B C 4293 8148 5466 ... B... C... A Sooalla - Semelle A "903 C"675 B 504442 47 493 348 369 ... .,. ... ... ... ... 377 324 242 8 C 499 46 534 A Sierra Leurre 9 118 9 396 523 335 249 ... ... ... ... ... ... For source, g.n.rol note ond foot-notes, tee end cf table, ... ... ... 529 415 383 473 339 347 ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... 9 946 6656 4280 2165 317709 88790 33606 1092 1207 1142 1 583 1 731 1 802 1042 1175 1223 61 21 51 18 55 10 48 84 73 12 56 78 67 104 55 494 65 482 66 338 326 542 353 67 542 353 4098 11594 4223 4171 11995 5353 3437 251 901 17 49 548 39 2081 29261 5335 87049 32946 ... ... ... A C Seyuhellos 5300 1 273 1745 424 C SenegalS6n6gol 5406 2057 8 Son-Tome ond PrincIpe Soo TomB.ot.Prineipe 1 215 2437 1144 880 (...) 982 B C SI. Heleno Solnte.H6lBne ... ... .,. 34205 28941 26206 4564 1104 2 914 B Rwonda .. 3 888 C Nlgerloltlg6rlo 9376 8494 1 665 4 295 B lOger 601 A C Monomblquo 2302 3394 3175 822 B Mn-on-oMonoe 854 ... ... ... 1 355 A Mon-itius - Mon-Ire 3111 2021 C Maoritonlo Mooritonlo 2274 6466 2176 I 444 B Malt ... B C A C Modagoscar ... 4634 654 444 420 ... ... ... ... ... ... 4863 311 479 426 145 123301 45512 2 006 3134 677 462 479 ... ... ... 56760 43924 50900 2 580 5722 3112 Voir la ro u tableoi pour la tource, la remorque gén6ral. et les notas, J_11 COMMUNICATIONS Mail traffic cuntlnued)i number of items A. Dumestic B. Furelgn s eecelned Courrier postal (,uite C. Poreigno sont - À. lnt6rteur nombre d'envois B, Etrangers reçu C. Etrangero exptdit Milliers Thousande Country or arec Pays ou zone Code 196d 1967 1970 1973 1974 ° I 469M 1 257Y 801 211 87466 75722 1 325M 93 001 80 554 104 449 98 871 1972 1968 1969 1 076M 1 469M 101 210 101 210 1 469M 801 210 83006 83006 83006 83007 1971 AFRICA (oont,)AFRIQUE Csuito' Suuth Africa' A' Afrlqoe du Sud 5 B Soslhare R1,udo,Ia Rl,od6sie du Sud Siudan - Soudan 1 001M 826 057 1 057M 120250 88969 128938 89410 C 74 160 A 82 808 B 10 60 524 00 22 097 C 1016 385 14031 1 469M 22148 15219 26428 B C Swaziland Souacliand T090 Tunisla - Tunisle Uganda - Ouganda United Rap. oP Con,eruon R6p..Unla du Camerous United Rap, of Tancanic Rtp..Unie do lonoanle A 1 816 2113 B 2 B7B 2 955 C 1 834 1 681 A Zarobla - Zanible 33412 10926 7034 00 1 503 2 204 3251 1 535 2465 2 380 3 373 1 478 3183 1 629 2 369 3 281 1 896 2824 3834 2275 2695 5950 1905 2 853 3 279 1 548 13440 8440 4120 4533 14784 9284 4 947 18944 10010 57990 34990 26437 58 692 36 576 65 450 33 075 25 160 27191 6778 22966 3 780 B '° 1915 12960 C °° 1 207 7 931 A B 28151 12091 29603 12455 17 999 43 962 29 604 48 871 32 593 C 13607 13 879 17050 18798 22310 A 22435 22 222 7 665 5 508 22 999 23 963 8138 5078 6137 6113 18015 18868 B 7780 C 5045 A 34031 22 334 4 329 8773 In 4 164 B 103077 17092 16430 16921 17 777 18042 18398 C " 1 959 8 947 9798 10890 10 545 A 28 952 11 426 5 645 27504 29786 12 877 30 423 13 167 33 462 11 080 6256 8 281 B C Zuire - Zaire 33172 10255 5944 34 500 4 088 1 910 29794 A 11 037 8 692 10082 27353 8 358 6 455 9518 25946 3775 5072 41 646 41 853 13490 8559 11460 10979 32 208 42 036 54 432 37 287 24 043 B 14930 C 6 331 7230 12295 84464 54919 21414 17550 57809 23489 11540 483 8483 2031 2066 8785 B C 33 203 28121 81368 39 576 33 926 15553 67054 26788 82 450 30 972 33 838 30433 E'I lis) 16543 37015 12968 10927 59 846 15978 A 10680 7 296 22935 24770 23 295 11 968 A 21 994 85 633 33 951 36083 1] 12758 6 064 AMBRICA, NORTH AMBRIQUE DU NORD Antigua 331 A 677 483 B C Bahamas Barbados - Oarbade A 009447 C 008 647 A B C Bellae Bermuda 'Bermudas' 8 124 5 892 4070 7889 7243 4712 762 B 1 543 C 675 A C A B 104979 5712 12467 10618 Il 839 5 233 12181 10912 8916 9118 8 004 6 200 8 360 6 590 9642 9764 6987 2447 11678 9325 5 104 9 255 10735 10818 '4799M '4893M '4886M 5 579 11 407 Il 700 6 000 6 560 6875 7320 11 400 12973 12497 14405 11152 13608 14723 15122 7 750 15222 15809 '4729M '4475M '4528M '4555M '4889M 104350 168422 109893 '5125M 802 327 527 527 1371 738 169721 Par source, general nate and Fuut.00tes. tee end of table. 165 647 813 563 153 A C 2 742 11 877 9 637 910 4921 B 2414 11675 9192 916 10229 108 122 3 668 13684 11119 2005 109316 C Caymon blonds lies Caimanes lI 935 5 589 A B Canada' 104471 B 539 Voir la fin du tableau pour lu marco, la romarqoe gtnérai. et les natal. - 112 COMMUNICATIONS Mail traffic (continued) number of items - Courrier postal (.w e): nombre d'envois A Damecik B. Faretgn, recniyed C. Foroignr cent - A. lnt8nieur . Etrongnr ralu C. Etrangar, axp6di6 Thowande Country or area Paye ou aune Militer, Cade 1966 1967 1968 1969 1970 1971 1972 20 675 22 225 89468 6990 4397 94 175 6 275 39 864 38 283 14913 12626 9547 15660 17263 14618 18214 15422 11659 1973 1974 AMERICA, N. tuant.) AMERIQUE. N. (cuite) Conta Rico A 7494 6367 E C A Cuba C Et Salvadur A E C Guatemala A B C Ilenduraa 8 386 5251 4916 29372 8822 4587 6594 4788 4741 12086 11142 3 381 8 901 42287 45757 38310 8 381 9 328 12 261 4915 14 004 11856 8 964 13 258 10024 Jamaica - Jamaique A 5442 C Meaico - Mnxkiuo A B C Montierrat 83347 50380 36420 '68457 808 474 223 115 171 255 891 612 225 862 173 533 '44 988 e35019 7764 '61 360 47 237 36 770 14910 19790 937411 219 518 916 209 242 606 B C Nicaragua 4778 3475 7971 6438 159 494 182714 4 166 6810 6517 3775 B 4585 5377 3873 4476 5000 12000 9000 A B C Si. Kltic.Nevlc.Anguiila Salnt-Chrl,tophn-ntNiBune et Mguilio A 271 B 795 159 990 C 607 772 SI. Lucla - Satnta-Lu,ie A 366 8 C 851 St. Pierre and Miquelun Saint.Plerra.et-Miqueion Trinidad ond Tobaga Tninit8.el.Tobaga A g4 205 208 214 426 468 C 215 225 484 234 252 740 290 19426 16567 8687 A B Au,7 256 659 254 '1 029M 264 099 228 254 315 646 255 164 1 032M 83 134 257 799 324 313 300 310 314 306 320 320 34 370 6 321 5442 5836 7030 3 995 4941 4 001 6 310 5 261 4089 73 923M 339 4 684 5131 12028 16 070 7792 7130 13153 13 679 7081 7465 7406 7 356 13768 9784 671 1103 907 867 762 1 005 221 232 996 334 I 254 242 1 200 300 20 585 21 278 17843 18700 10159 383 1 000 976 9307 76593M 1198M 77548M 79969M 2824M 84916M 1 361M 1 449M 1 398M C 560 135 627 430 794 691 817390 1477M 887 815 893 667 A 686200 113000 60000 664230 117000 54000 710400 113000 C 809400 119000 63000 833 350 124 000 55 000 903 400 103 000 61 000 A 3311 4 648 9 353 3701 29 276 8 003 B' 9 442 174 1 014 900 867 C Unhted Statoe - Etate.Unl, 167 1 000 879 13802 16529 '1015M 907 599 259 729 200 865 10000 12000 5500 4072 C Panama 4260 4448 6000 8000 A 11 447 8 529 16564 901 549 255 224 204 575 C 5441 12 358 74 509 49 360 A A 17040 30 849 B Netherlande Antiilec Anhilin néarlandalcec 19306 16346 7 090 19 270 9 056 8 696 C 11051 8410 16066 A 12753 14119 6 604 7747 6524 1 466M 305 282 1 097 296 85118M I 426M 907 754 87661M I 368M 884 800 959 800 88 000 54 000 870 303 89 030 2785 2 096 24 887 911 355 AMERICA, SOUTH AMERIQUE DU SUD Argentina - Argentine Balivia - Beiiuln C 58 000 3603 2512 Fur source, general nota and taol.nolee, Inc Ofld ut table. 6616 Vair la fin 98000 55000 32 200 3 453 57812 3 341 u tableau pour la source, la remarqua g6néra)e et les natal. -113 COMMUNICATIONS Mail traffic (continoed): number of items - Courrier postal .ulte: nombre d'envois A. Domestic C. Forelgn r sentA. lntdrteur 8. Etranger s reçu C. Elranger s eepbdl6 B. Foretgn r recelued Millier, Caonlry:r oo5' 1972 1973 1974 1967 1968 1969 1970 1971 ... ... ... ... ... ... ... ... ... 596 851 ... ... ... ... ... ... ... ... ... 29475 35665 31510 30620 37110 32856 32151 C 38966 34499 ... ... ... ... ... ... A 104262 163944 136425 180171 141711 38711 ... ... ... ... ,. ... 3 609 ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... 75429 68766 7147 3359 77489 7248 79304 3357 3689 1096 13943 2319 1 366 1 402 7614 7860 1005 1058 17728 29028 18519 14523 22281 25393 21721 15386 22545 15197 17146 22697 15755 109421 114400 48213 83592 119786 55810 79401 80346 124382 58205 76739 6301M 6995M 178427 112217 6746M 174440 117412 152072 15087 9385 148896 26222 12135 Code p66 AMERICA, SOUTH (cool.) AMERIQUE DU SUD (suite) Braoit - Brdsil A B C Falkland I,, (Maintes,) lise Falkiond (Molvinos) A B C Guyana - Guyane A B Vsnaouela u, e1 084M "'514M u,tl366M C 34374 4657 A ... B 26353 76 48 83 20 19 43 606 544 ... 627 055 32596 49944 30184 65374 48360 44234 68643 50776 46435 72075 72449 50034 109 900 105168 109806 123200 32459 21847 202428 9 390 10 835 878 846 .., ... 92 103 38 46 119 59 77645 11559 30793 5830 81300 60000 121 336 23736 ASIAASIE Afghanistan B C Bhutan - Bhoutan A B C Brunel - BrunOl A B C Bur,naBlrnnonie Cambadla"Cannbodge" ... ... ... ... ... 62 476 64717 4506 .. 1 693 1 307 1 987 2359 34014 1475 A A B A' 1455 1172 3324 3474 13210 12819 16635 18354 23685 10297 13810 20036 25198 15366 65780 67919 80880 69821 7045M 2629 19970 26539 15855 6761M 172583 6176M 187258 5895M 169090 96373 6154M 174327 102518 168781 129983 13510 6342 140786 168919 18808 92311 A 143247 8841 6746 121 353 113422 13337 121 058 70371 38897 5010 A 165 817 C A' B C A B C 33418 27744 ... ... 6640M 162473 92926 C 445 245 .. 66900 89500 90529 A 471 69 72987 80886 66946 ... ... ... 22938 1060 8321 5404 ... ... ... ... ... ... 177614 35635 32571 4755 ." ... ... ... ... ... 86729 46084 13469 63156 44279 ... ... ... 9580M 92195 84379 9830M 97109 86255 10188M 105525 10814 5590 10024 5325 10674 8212 ... ... ... For source, generai note and foot-note,, se. end al takle, 10648 4743 93345 11 201 212 251 37949 41915 10851M 115940 101423 ... .. ... ... ... ... ... ,.. ... 233 000 41801 43744 11486M 122354 112979 ... ... ... 3362 623 ... 105842 47883 93207 148231 C 1 368 2807 1172 101 300 C A 5911 3081 ... 13187 5753 81689 56196 72767 B B .to,'daniardanle 791 A B Japarr'Japon' 1394 798 2981 B tsrael'IsraBt' 1174 2791 C Iraqlrak 772 5217 B Iran 615 4558 2484 C lndone,iaIndon6sie 917 104 503 8 C tndla'lnde' ... ... 4195 59219 4156 1990 C Hong Kong' Hong-kong' ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... B C A B CyprusChypre .. .. 18001 8182 52700 97982 8625 ... ... ... 2 221 5951 3551 7951 20 143 12917 858077 51926 28588 ... ... ... 167873 97732 24097 275 839 283 595 47901 58606 54136 62089 53250 65544 12001M 129279 114663 12298M 106703 12937M 110407 84575 01566 13129M 110074 84331 5536 7227 7620 9820 4125 3233 5376 3886 258 414 11493 3333 8798 3180 Voir la fi du tableau pour la source, ta remarque g6nérate et les note,. - 114 COMMUNICATIONS Mail traffic )conlinued): number of items - Courrier postal )sulte: nombre d'envois A. Do,nestlo fi. Furotgn s rnceived C. Foraign s sent - A. IntOrleur B Etronçer t reçu C. Etrançer r eap6di6 ïkousando Countryorarea Milliots Code 1966 1967 A 't 115M B 26 902 21 240 1968 1969 1970 1971 1972 1973 1974 ASIA (continund) A018 (soite) Korao, Repokltu of CorOn, ROpukiique de C Kowait'Koweit' A B C Loo Peopin'e Dom. Rnp.5 13, ROp. dOn,. populaire loo' t A B C LnbonunLtbae A MocouMacoo Moloyslat MoloIsla' A 2535 21087 14277 22297 14046 ... 1 897 1052 574 ... ... ... 2082 1287 1 279 790 t 992 537 2412 16772 13672 .. '28752 '32108 '35131 2788 ... 447 2813 3064 389 420 2951 3717 433 367 356 403 711 .,. ... ... 3481 26219 16589 15201 430 ... .,. ... 195 450 341 1 942 3147 I 687 2456 1 745 569 1 978 2 238 724 2 359 2484 2783 2 025 4159 1817 1833 A 146147 154548 157815 178428 48 806 51 000 52361 40161 189689 59033 203743 57276 41798 228014 45 488 38 154 253864 62906 46406 272982 ... ... ... ... ... ... B A 34264 16 37 24 A 642 278 666 940 B 107618 47060 105980 C A 45954 ... .,. ... ... .,. ... 3 844 ... ... ... ... ,.. ... 733 776 248000 52300 22619 14348 738 A 24461 B 20099 C 14101 26323 20987 15219 ... ... ... 31341 25 327 17901 A 47 342 51 465 B 39326 35100 59356 25523 C 28 344 32 559 28 782 SoulhViel.Nonn,Rnp.oft' A Sud Vint-Nom, ROp. du' B C 47252 19104 14843 49616 20060 15586 A 8 393531 17046 387327 14033 C 9619 7617 A 20 583 21 041 B 7061 5048 9725 5154 73723 14255 8645 76952 C A 8 187 39498 ... ... ... 50 29040 24512 337 868 802 .,. .,. ... ... .., ... 66763 24676 69 602 79 961 29052 85 975 87 391 26214 30299 37117 28 386 39 610 42 032 43 804 43 676 50860 20420 15720 51 602 21 422 52962 17003 58758 22550 59230 16485 57217 22653 419771 19087 12450 433675 19145 10573 490187 20076 11235 24 009 9 380 26257 9777 3747 26767 3861 9211 99323 17155 9856 108 21 593 17366 233 903 18121 94 552 39029 41 516 22831 18256 491426 20147 14899 535387 9891 13791 435458 6786 10979 26 517 9 908 21 000 22 546 8 347 B 507 3870 4393 4206 7733 5411 112506 18874 11754 119721 116654 22421 15578 117182 15013 14781 140316 25279 14967 146519 25960 15944 4B9 723 420 606 443 200 52989 72768 49003 61559 50450 68500 475 189 ... ..- 22277 48368 391 217 441 526 498 731 505 228 33666 40085 39941 45739 45052 56064 46054 42881 A ... ... ... ... ... ... .,. ... ... ... ... ... .,. ... ... cf tible. 47340 339 851 755 15691 79 282 937 913 65 551 9 51 110 340 192 836 392 547 For source, gnneral note ond foot-note,, sue en 58 822 661 ... ... ... C C 48970 .,. .. ... B B 560 452 90721 89006 54238 535 199 A 27 28 34 637 839 630 248 174 1 038 912 15 14 51 37 25 C C 41 954 10 B Un2ad Arab E,nirates BoiraIs arabe, unIs 14160 449 267 45 034 18586 16677 138 Timon Portugais TurkeyTurqulo 3290 22398 3280 22361 14812 145 ThailondThailonde 3250 22390 15205 3100 404 flOp, arabe syrienne 40 105 22171 A Syrtan Arak flnpublic 602 421 37939 15619 2950 PurtuoesaTle,nr SriLonka° 594 393 34 633 14391 2038 2852 C Sinçopore - Singapour 564 951 2658 B SoudtArobia Arable Saoudite ... ... 22131 14011 26072 75646 85148 ... ... ... 352 2 235 C Philppine, 32268 17683 B B Pakistan 549 649 lB 237 7691 C C Moldives 435 885 27075 C... 8 494 730 35 668 58681 I ,,. ... ... 24324 6263 6640 12153 14826 13985 47624 82087 ) 32737 12010 J voir o fin du tableau pbur la source, la remarque gOnérale et les note,. 115 COMMUNICATIONS MaI traffic (conlinund) r number of items - Courr)er postal (sotte) : nombre drenvofo A. Domestic C. Poretgn, sent - A. Intérieur B. Vertigo recelyed 8. (franger s reçu C. (franger s expédié Militera Ihousond, Country or cota ode 1966 1967 1968 1969 1970 ... ... ... ... ... .., ... ,., ... ... ... ... .., ... ... 1971 1972 1973 1974 A5IA (cnntinued) ASIE (suite) YemeuYénren B......... A C Yemen, Dennourotic Yénnnn démnaratiqua A B 449 2037 1184 ... ... ... 2 112 2 142 2 183 2 529 7486 3079 5334 4660 5838 4739 5810 4869 1 210M 1221M 152736 162886 1236M 170721 168447 1254M 166326 174966 1277M 174725 181499 1314M 184205 188969 2 224M 2 109M 205011 172484 2254M 217577 174974 2 306M 198206 172103 239102 196070 220215 227732 2391M 220538 248672 282545 4813 4291 ° 5 640 '° 11413 C '7191 At 8 1276M 152791 C 156996 1 556 3x46 2600 EUROPE uustrloAutrlahe Relglunr - Belgfque A° B C honnel stands, les Aeglo44ermondna, GonrnseyGuerneaey A B C Jersey A B C cecho,lovokia' rdrécusionaquie' Semmork'Done,nank' Olbroltor GreeceGréce tluognryHongnie ixelend Islonde Iraland a_frfandeo 11000 ... ... ... ,.. 4673 7300 4468 8069 5630 4784 8066 5700 4689 5726 5622 10700 4619 10960 5303 11162 6352 11 190 7775 7918 6709 5727 7572 9263 7962 2076M 2092M 2199M 2 193M 2216M A 615056 53580 46677 648 13B 676500 811 909 60884 57080 64312 60903 840369 70844 63312 'I 199M 55861 52583 756864 61945 60123 801 802 53205 46311 702639 68882 C A 430 740 461.279 517 091 617771 49688 32188 671 365 680 163 625 250 49589 41807 56053 43516 52016 40025 57061 72850 56692 59407 25428 57842 26504 534706 56468 31530 585 756 43819 25758 7701M 376340 444290 9562M 387570 504307 9671M 435477 465200 9516M 397176 430966 9688M 352200 395100 10066M 365500 555700 10389M 359200 582500 10826M 365800 516300 10000M 387030 495020 i 342M 56199 11419M 51017 949 164 940 768 410526 418608 916 004 436630 334258 930 529 311 154 256912 C 137 262 163 037 953 186 47901 148411 968 022 B 441 752 460 026 442 205 371 270 377104 364 295 10330M 588 300 9944M 9359M 595 100 567 000 9 389M 590 388 A' C Germony, Fed. Rep. et Allemaone, Rép. f66,4' 8434 2 290M 164637 187406 2153M 8 R69.dém.allemonde ... 7297 3 326M 197079 186039 2 177M C Ger,nan De,n. 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Domestic 0, Forelgn j recelved C. Forelgn s sent - A, Intérieur Etronger reçu C. Etrangeri expédié Milliers Tbousands Cuuntryororeo Code 1966 1967 1968 1970 1969 1972 1971 1973 1974 EUROPE (eontinued - suie) ItotyItaIle A' 5482M 406114 346122 5544M 434350 357039 419541 368273 5924M 468340 347208 5910M 483543 424864 5786M 461401 428657 466880 393890 6259M 443239 368190 5857 2530 5861 2168 4275 2295 4740 2488 480E 2752 5992 2784 5450 5831 2727 2495 2710 39493 21283 10910 41 505 41 315 45641 41 392 23671 12133 24718 14132 27896 16151 44969 28424 16194 41065 B C 39900 21001 11202 18509 25938 20032 44444 23836 25934 A 12260 12311 12025 ... ... ... 25781 17926 11 212 B C Liechtenstein A C Luxemboung MolloMotte A 7616 C 10262 10502 12184 13348 9897 14124 2459M 147000 261 000 2462M 162000 270000 2597M 165000 275000 2941M 175000 285500 173 100 281 000 443202 42236 35037 469062 41865 34505 476761 B C 499170 44355 36088 519926 43987 36076 A' 1 170M 1 241M 1 300M 5 8 C Potond 'Polngne5 Portuool A 7599 7998 42925 33827 56626, 0 44158 C 61 865 65751 68741 A 377 355 381 236 385 904 53866 477916 26126 30235 3173M 3296M 365968 15159 C 23902 14921 27 339 2751M 282346 272396 3095M 272894 370738 277061 1410M 1 403M 98067 67470 105842 69819 1443M 113424 1479M 172000 171 000 C 1488M 173500 212010 210569 United Ktngdum5 A' 10 837M Royoume'Ual' B 457430 C 563 242 1059M SwedenSu8de A' 8 C SwitcsrlondSuisee A' B VuouslaniaYoo,oclovle A' 8 C 70302 69040 396 778 444721 351 129 B C 391 300 308107 23590 27038 A 0 ... ,.. ,,, 93119 83370 86006 A' ... ... ... 89908 90355 81500 85033 Opale Espo8ee 2792M 168000 86076 08348 B C RomanlaRoumonle ... ... ... B Nelhertonds - Poys-Bos Norwoy2llorv8ge' S 545M 20128 23 397 93421 6 184M 27511 9297 8971 5741 9425 12697 13941 12606 3057M 170300 246000 3 105M 3 259M 252700 166000 246000 149000 260500 542216 43778 37175 572364 44716 36431 595428 43247 37354 924110 46771 43502 480 760 81 774 111 168 3065M ... ... ... 469 692 501 480 94368 97247 77107 108724 83970 118427 ... ... ... 581 195 612090 36063 52050 630773 40765 3716M 337539 370658 403 956 33206 43962 63 555 286521 307051 3440M 296582 330262 3523M 217280 348794 3558M 322042 353957 3667M 330743 1459M 117918 83504 1559M 121597 82772 1523M 112799 1580M 1703M 79308 89158 77070 97647 80476 1 632M 181 692 1 682M 181 600 1731M 175200 1680M 1 700M 171 100 209324 1601M 177124 219001 228254 228093 220054 214883 156900 196835 10918M 477401 10 698M 10 833M 9 985M 9 958M 10 304M 526311 627 088 475511 577860 584793 412405 602 135 570 926 648 986 10206M 551 902 640 263 10 392M 494635 581 382 616 146 491 720 1101M 1 102M 1090M 1115M 1 095M 1096M 74450 88942 80144 1120M 95012 85551 71795 71231 305429 78775 1306M 71041 94118 80786 91123 2 443M 165447 133517 2441M 164763 124210 91 568 361 554 2314M 115190 95357 98465 96924 OCEA14IA OCEANI0 Austrolto' Australlo' PijlFld(l A' 2 501M 2 478M 168067 182634 113028 2 320M 202 154 2 200M 2318M 8 2 349M 181 890 C 209338 124835 211 845 128692 127345 136972 A 8080 6965 2317 8618 7573 2535 11047 14187 5183 8984 11958 7942 5936 4181 4855 10297 7541 4435 1 371 1 809 2010 2 161 2 947 3 045 B C 6232 2974 Frerrcl, Polyaeslo A 781 1 004 1 073 Polynésle ironçolse B 3 635 3 320 3400 1130 2440 1533 1634 1300 C Glibent ts?onds ' A lies Glibert" B C 1780 ... ... ... ... ... ... For source, generol note ond fxoI.notes, tee end of table. ... .., ... 278 86 Voir la fn 6247 2772 1512 ... .. ... 2792 2105 121 230 2365 2675 2390 2 835 2690 384 122 88 u tableau pour la source, la remarque géntrole et les note,. 117 COMMUNICATIONS Mail traffic (cuntlnuedl A. Dornestic number of items - Courrier postal (suit.); nombre d'envois C, Furein: sent A. Intérieur B. Etrungers reçu B. Fornigr s roceivod C. Etrunger: expédié Milliers Ttiausandn Cnuniry or ars. Code 1966 1967 1968 1970 1969 1971 1972 1973 197.4 OCEANIA (saut.) OCEANIE (suite) New Colodonia Noavelle.Coiédonin A B C A 4801 3404 2710 1412 2 522 C 195 1 688 585 NeurZnalond' A 540844 Nnuvelle.Zélande' B NewNebrldes Nouveller.ffébrides B4 C Solamua Islonds '° lins SaIo,non cs A B C tuoga Woltis and Fuiuua I, lies Woille et Futuna A ... 27424 ... ... ... ... ... 311 269 C 527929 67513 33168 603 329 B B ... ... ... 611 C A 1543 ... ... ... 474 245 lI 70 60 6 8ê9 7902 4601 2780 4 435 2643 3054 277 279 222 I 695 1700 888 888 900 227 1 745 910 573822 70261 33248 571 850 594606 615 144 634781 1 841 1 935 2 359 700 504 733 I 361 639 611 3795 3 146 5 59p 3 856 1 ggé 2167 190 200 1 630 1700 874 874 219 I 691 887 529700 69976 33734 556725 69051 31656 1 840 635 319 3 426 2841 1 637 ... ... ... ... ... ... ... 5 684 4219 2313 69695 34843 488 478 375 359 271 ... ... ... 34939 ... ... 325 67941 70425 37388 2 156 1 344 632 2 053 570 474 578 485 ... ... ... ... ... ... ... 1750 1 0P8 574 0.4 100 41 USSR s eURSSc, a (Sa) 5659M 6296M 6954M 7584M 8341M 8532M 8714M Byelarussiaa 0580,S RS5 do Bléinrnssle n Ukrainion SSR'.5 RS5 d'Ukraine " (55) )195M) (226M) (253M) (272M) (287Ml (308M) (323M) (327M) (59 )1 068M) (1175M) (1 306M) (1 455M) (I 543M) (1 5g3M( (I 615M) (1 649M) Saura.: International Bureau ut the Unlveroai Postal Union (Bern). Note. Tha figuras rafler muera (airmail. ordinary mali and reglsterRd), postcards, printed motter, marchandise samples, small pochets, and phonupust pachnts. They inctodn mail rarrled without charge, but euciude urdinary partais, and insnrod luttera ond boxes. Doerestin: items molind tor distribution wiihln the naliooal terrilory. Foreign: items roceived tram notsido the national tarnilory ("Rnreived") or ,nolled ta: diotribotion ouislde the national territory ('Sont'). Mail in transit is flot incladed. 1 Flgaros are in millions (M). o Years beginning I July ut yeoe statect. Vears bnginniug 1 April ut yeae statrd. Figuras includn trottic wiih Franco, French oversnus depariments, olhor overseas terriiories and toraiga coantries or amas. Figures 1969.1971 ba:ed an o trionniat sorvny tahen In 1969. O Dota tatar ta Wast Malaysia anly. Incloding ordinary porcels as well as lnsorod lattera and boues. o OfficiaI figuras corrnrnnicoted diroutiy tu thn Stotistinal Ottica ut tho Ueitod Notions. o Data refur tu the bren mnmbnr counlries al the East African Posta and Telecon,municotinns CorporationKenya, Ugonda ord Lir,itad Re. public al Toncania. cc 1965. tt tncluding "Fornign, raceived". 8020M .40738 1 643 698 483 0.6 10g 44 8 868M )...( II 645M) Etrengsr, courrier reçu de l'étranger ("Reçu") ou courrier transmis l'étranger ("Expédié"); I. courrier en transit n'est pas compris dans lss données. Données en millions (M). Annéo commençant le 1r juillet de l'année indiquée. Année commençant In irr avril de l'année indiquée. Les données comprennent tout le trafic échangé aveu la Franco, les départements français d'aatrenner, les autres territoires d'outre.mer et les pays ou zones étrargers. n Données 1969.1971 fandées sur one enquête triennale établie en 1969. o Données an rapportant 6 la Malaisie uccidentalo souloment. t' compris colis ordinairue. lettres et boita, avec valeur déclarée. Données officielles fournies directumant an Bureau de statistiques des Natians Uoins. n Données se rapportant oun trois Pays-membres de "Rosé African Faste ond Telecnmmuuicatiunn Cnrparutloo"Kenya, Ouganda et Répa. bliqua-Unin de Toaranin. 1O 1965. "V compris "Etronger, reçu". 5° OfficiaI figures for ail iettors nnnt. 14 Sna foot-raIe on lhe 1974 dola for Kenya. ° Forrnorly l(hemer Rapublin. tu Formnrly tans. 1 Formorly Rapublic al Vint.Nan, Envois recommandés seulement, " Données nifinlollos pour toutes les lettres envoyées. "Voir la note concernant las données du Kenya pour 1974. rlously hnown os Ihe Ellice tslaeds are ircluded). °° Formerly Brltish Solomun lslands. 72728 Source: Bureau international ds l'Union postale universelle (Bern.). Rsrnarqas. les données comprennent: lettres (o dinoires, par avion et recommandées), cartes postales, Imprimés, échantillons, petit paquets et ennuis phonopost. Elles compreonent les envol ce Franchise mais non les colis, ni les lettres assurées et les boites. IntérIeur, courrier ennuyé pour distribution dans le pays même. 52 Registored articles only. la Formnrly strowa es Gilbert and Ellico Islords (dota for Tuvolu pro. 6 730 4 331 15 Anciennement République khmère. nu Anciennement Ions. "Anciannemet République du Viet.l'lam. sn Antérienracnnvt désignée comme "lins Gilburt ni Bliice lies données pour Tuvulu, antérieurement connu sous te nom d'tles 6511mo, sont comprisas). 1 Anciennement lies Salomou britannique. - 118 COMMUNICATIONS Telegraph service - Servic téIgraphique 2. Numbor of tolegrams - Nombre de R. Fonetgn, sent - A. Intérieur 5, Don,esllc 8. légrommes ronger, envol6! Milliers Thousond, Country en orea Pays ou zone Code 1968 1967 1969 1970 1971 1972 1973 1974 AFRICA - AFRIQUE /ulge6a Alg6nie 700 366 Angola 344 240 894 375 529 1 082 372 530 79 81 71 55 24 49 20 58 25 58 27 234 26 228 60 222 114 129 771 387 487 Benin "Bénin Cape Verde - Cap-Vert 52 26 Contrai African Ropublic République cenlrofnicolne 170 SI 204 29 Chad Tchod Con go Egypi - Egypte Rthlopta - Ethtople Fr. Terr. et Atari and lusas Tom Or, des Mars et des Issos Ghuna 64 196 35 44 19 47 60 29 49 58 27 42 222 35 203 238 223 18 17 21 225 53 209 Si 58 210 50 217 47 6 433 105 122 99 123 104 113 108 124 83 26 221 20 35 33 542 4 255 472 4709 Sudon Soudon 31 3 521 3956 4 021 231 24 29 548 2 884 292 296 47 24 37 170 419 26 15 26 10 7 16 15 276 156 357 196 17 416 196 12 242 204 393 286 431 77 377 305 443 83 349 405 80 414 286 420 90 93 76 459 390 98 78 495 368 105 85 655 350 100 333 313 88 87 356 329 114 25 396 362 92 29 468 701 921 1155 187 265 83 234 293 82 285 299 1 289 223 327 78 87 82 1 472 368 286 93 11 073 13571 1 200 12 070 1 078 10 997 1 027 11051 1 074 12471 1 843 232 33 1 919 163 1 866 175 17 17 14 17 29 209 254 168 76 226 287 255 283 238 50 59 388 Niger Southemo Rhodesia Rhodésle du Sud 110 112 15 329 350 Afrlque do Sud' 123 203 162 51 Moaomtsique South Afnloa' 30 291 29 471 Senegal Sdnégal 115 o 42 Morocco - Marco Nigenlo Nigénia 239 44 1124 476 Kenya Malawi 586 0 sony Coasi - COlo d'ivoire Madagascor 1 521 488 215 361 4 820 805 119 135 1 428 448 1 378 372 627 64 Gulnea - Guinée Guinee-Blssau Guinée- Bi,sau 1 219 1 351 225 268 77 24 10867 I 912 1175 71 143 520 428 2655 1 467 252 267 Toge Tunl,la - Tunisle Uganda - Ougonsia United Republic et Cornenuon Répubilque.Unln du Cameraun Unitod Republic of Tonnante République-Unie de Tanuanla For saorco, goneral Cote ond fuoi.notas, se. e 4 aI table. 62 158 240 177 231 264 445 83 100 661 353 391 63 340 300 504 80 149 102 557 298 267 475 210 377 296 499 70 427 272 445 160 178 113 14 481 63 359 468 348 1 155 27 60 1 407 320 305 150 1 074 153 396 1 921 327 15 16 21 16 201 187 249 177 75 199 266 170 66 63 253 184 70 431 267 57 449 lOI 101 Voir la In 498 97 80 197 114 54 48 225 759 467 450 501 49 571 85 93 110 34 u tableau: pour la source, la remorque générale et las nateL 119 COMMUNICATIONS Telegraph service (uonhinued): number of telegrams - Service télégraphique .iIo: nombre de télégrammes 8. Forelont innt - A. IntOrleur A. Domn,tic B. Etronger, envoyés Millier, CountryorornoPoys0000no Code 1967 1968 1969 1970 1971 1972 1973 ... ... ... ... 1974 ARRICA (nuntinuedi AFRIQUE (lutte) UpperVoltoHoulo.VultO 62 38 A B ZolreZoirn A B ZonrbloZambte 1746 128 53 40 956 67 44 43 1 094 73 97 25 34 1 670 123 232 242 272 358 305 249 48 35 1 411 1 823 93 1 508 80 272 200 273 184 364 12846 15143 56 12 1 257 69 B ... ... A 8781 8783 5325 6398 5725 4895 2804 1 709 1 656 1 767 936 125 1 652 936 125 I 641 1 320 123 23088 22933 757 1184 19664 1266 1278 175 106 119 136 865 893 223 982 53301 675 53700 A AMERICA, NORTH AMERIQUE DU MORD Canada't B A CasIo Bloc B A Cuba B A ElSalvador 8 Jamalcu Jorroique A 8 MnuinaMeulqun A B ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ,.. ... 22857 627 1405 242 1120 1 099 683 ... ... 992 213 ... ... 757 ... 104 178 41246 42433 47286 49436 52875 800 825 44674 832 826 610 604 47 51 55 96 ... 3743 2527 17716 395 I 415 666 23 104 105 113 130 110 196 71135 13268 61 874 14020 57914 9823 35058 8836 27983 8257 23440 B 77401 10002 Argentinu Arenhlne A 14919 14670 15366 14645 13336 15593 17409 8 776 689 661 A 36255 23970 542 18255 19015 B 917 18063 785 17283 821 745 21 423 894 853 OrualiBrésil 508 664 668 691 Chue - Chut A 6168 5507 6271 6449 6275 7338 6 109 ColomblaColunrbln A 12526 B 397 t4etherlonds Antilles Antilles néerlandaIses Unitnd States° - Etut,.UnIs1 A B A ... 187 7255 33224 8441 AMERICA, $OUTH AMERIUE DU SUD B EceodurRqooteur A B para900y 172 B 64 B A Surina,,, 8 A Uruguoy B 1 272 12964 449 ... ... ... ... A A PnruFéroa ... ... ... 175 62 ... ... ... ... 113 106 326 525 72 706 76 778 ... ... 237 17 53 60 t...) t...) I...) t...) 1 600 209 1 029 202 18900 605 17600 155 17517 18945 18976 284 298 268 ... 68 194 52 206 74 71 75 4491 3699 4162 5178 204 172 192 146 13 11 10 81 68 187 69 3325 ... ... 1 807 17144 434 16 ... ... ... 16140 391 14088 564 ... ... ... ... ... ... ... ... I...) t...) (...) )...) 1 891 171 210 222 80 67 ... ... 972 44 ARIA - ASIB A Bongladnsh' B Burma Blr,nonle CyprusChypre A B 47 A 80 159 1 340 B llong.Knng - Ilong.kung 8 Indlo'Inde' A Iodunosla Indonézle 909 B A B 43200 1695 ... ... For source ganorol note 004 foot.uotos, zoo end oR table. ... ... 58 149 1 389 ... ... ... ... C... t...) 895 132 832 126 849 125 713 932 75 1536 78 101 79 146 1 542 88 142 1 480 142 1 549 140 1 469 97 150 1 356 45215 4854 45909 5162 046600 5213 58400 5392 52700 5458 2 084 2 134 368 2 390 379 2 872 409 3 459 554 78 ... 1 128 68 56 169 2 777 573 Voir la fin du tobinou pour la source, la remorque général. et les 001.1. 120 COMMUNICATIONS Telegraph service (cantinand) number of telegrams - Servke télégrôphique suite): nombre de télégrammes B. Farelgm sent - A. tntflrieur B. (tronnn apvoy6s A, Donnestic ilsoosand. Millier. CouotryoraeeuPayeoonone Code 1Ç'67 1960 1969 1970 1971 1972 ... ... ... ... ... 1973 1974 ASIA (conttnuad) - ASIE (suite) E... lraqlrak A israeIt1,ruOl' A B Jopnn1iapoo0 A B Jordanjordanle KuwaitKaweit 8370 9423 B A Bép. d8m. populaire lua B A B A B A B SlngapureSlngapoue 72463 3072 A Lac Peaple'o Dem. Rap.0 Pakistan4 826 664 .., ... B Mntnynln Matoisle .., 387 ... ... A tabnnonLtban ... 77670 2934 ... 0 A Koren, Repoblic of Carfin, Rflpobtlque de ... A O 318 ... 36 36 173 743 55895 2973 48155 3246 46282 13877 489 50 885 675 71439 3179 68484 3074 63917 2830 56 134 53 74 76 130 143 141 2031 .,. ... ... ... 20 27 183 843 9320 1 089 6 505 13004 903 16 420 863 15 423 436 27 59 217 833 33 24 185 888 28 34 17 19 606 3051 523 17 463 1 041 5290 401 417 5296 442 2961 2700 4193 1 390 1 372 1 752 4 59 4 1 131 361 432 388 607 1 747 1 808 4833 I 646 ... ... ... ... 5 2 3 4 84$ 1128 898 885 1 007 931 4 1 057 1 020 334 ... ... 857 B A 3917 8 387 200 183 A 734 486 SriLonka5 Ttratlaud Tbaiinnde 432 797 745 4834 1743 Sud Viet.Nam, R6publtqoe do B 1 843 403 317 738 720 767 715 4745 A A 25 33 171 .. 805 448 332 Seuth Vlat.Nom, Republic cf" Synlan Arak Rnpukttc R6pukttqoe arabe syrienne 372 ... ... 631 791 661 511 236 174 214 ... ... 538 500 252 224 1 005 923 210 4554 4169 4709 4893 5128 399 234 180 187 237 203 253 218 203 278 254 239 4897 4746 4034 ... ... ... 198 1 371 701 1 024 264 4278 207 275 4712 B 564 531 9112 10183 516 500 A 10932 507 9990 9388 10199 544 602 523 10976 B 517 11522 549 631 619 Aostnia - Aotnlcke A 2216 1200 2034 I 947 860 1 870 915 2901 1132 2921 1 125 2866 I 048 268$ 1 822 762 A 2425 1055 3085 1158 2309 2645 Relglanr Belglqon 2528 971 882 934 Bulganlo - Bulgarie A 8 870 517 8 955 8 814 292 230 12655 15161 14414 14366 286 14035 9 506 250 A 13282 9 183 304 9 202 E 8 528 393 B BIO 906 966 353 319 009 828 A 1 632 1397 1 241 734 1 421 534 A 697 B 369 1 517 574 708 353 1434 B 1 564 594 725 349 498 733 322 442 749 303 423 665 280 Prance A 14818 4873 9051 8761 464 2604 5104 8393 2189 14630 4946 8579 506 4423 0892 3246 15328 10858 16800 4944 16322 B A B 4658 16739 Germen Dam. Rap POp. 64es, allemande 15316 4280 8814 A 13700 13 139 11 399 10041 4831 5814 5020 5676 B 166 A 4815 5576 12 069 B 5045 5565 4813 5717 4410 5697 E 934 847 943 921 877 840 5781 074 A 9175 9417 8635 9112 9208 9446 9410 E 580 558 321 314 577 304 75 599 A 624 316 75 618 329 70 633 329 70 TorkeyTcrqula 502 830 548 EU 80 9E B B Czodroetovakla Tdr6costovaqule Dnnmork "Dancmark l Ptntond - Ptnlandn Garmany, Faderai Republic et Allemegne, Bflpubllque Md. 6' GreeceGrbce HungaryHongrie icelond letande E 96 Fat source, genaral note and foot.noto., sen ond cf table. 81 729 354 3220 299 81 799 2394 14125 2 168 7075 4440 1 796 697 2201 941 9 950 290 14391 630 583 379 6BB 252 12981 4607 8596 I 989 6 077 4400 6110 987 10040 679 353 61 Voir la fin ru tableau pour la 500mo, lu remarque génôrale al les note.. 121 COMMUNICATIONS Telegraph service ( tinnod): number of telegrams - Service télégraphique Isoltel: nombre de télégrammes B. Foroigas test - A. Intérieur B. Etrungers .nnayéa A. Domnaslia Mililers ikousands CountryarareaPaysauxonn 1967 Cado 1968 1969 1970 444 285 26 594 427 427 22 889 22 809 0971 1972 374 318 21 488 310 22 049 1973 1974 EUROPE (cunlinued - suite) lr.!andlrlaode A 421 370 B 401 366 Itaty ltallo A 28 936 B 4412 7968 5128 5013 5124 tooembnorg A 172 B B ... 164 68 175 160 69 165 152 MaltaMalta 168 66 Monaco A' 1545 I 506 1388 1480 1 346 1 425 1152 1 356 2443 2348 2213 2121 494 15191 722 457 15853 NeltrenlondsPays.Bos A B 168 33 1 643 1 554 NorwoyNorvégo A 2547 B Poland Polagne Portugal RomontaRaumanle Swedanc_Suéden Swltonriund - Suisse a 155 64 B 564 525 A 13356 14242 B 836 764 A 2756 B 1 012 A 8985 ... B SpaleEspogen 67 175 ' 2795 2183 8808 ... 413 310 391 3422 22898 3603 415 302 21 992 3547 126 64 153 122 28 166 1185 117 45 825 1 206 102 23 805 1 184 405 16519 1923 366 16318 345 311 14148 14725 694 672 722 722 787 2882 2823 2886 2765 2607 1 053 1 073 1 025 9103 9589 9623 1018 10248 419 366 351 373 446 461 18238 18529 17921 1749 15946 15304 1 664 1 772 155 55 66 132 60 162 139 119 130 45 51 120 49 939 1600 1 065 9946 1279 9805 B 21723 2168 2937 19583 2078 2735 19349 2015 2469 2343 4104 2134 1837 1447 1052 8 1 290 1199 1161 1 073 953 840 755 628 A 1134 1116 1142 2080 1 08! 1118 1819 6722 1 056 997 A A' 1 998 8307 7129 8099 1515 6096 7742 10726 11 580 1 282 1267 11100 1298 11 442 1 273 17735 18037 2398 18002 2462 55 50 54 53 68 55 7687 B 2120 7833 9003 1946 6498 8317 A 8157 8453 9500 B 771 847 0 099 10300 1196 A 21 372 21 047 20869 2380 ... ... 18651 A Yagoslavla Yuugostuvte 9175 903 164E 1577 7200 8109 2263 8524 9226 B Unitad Kingdum Royaume.Unl' OCEANIA - OCEANIE Austnulia0 Asstrallo7 8 2095 2737 Prends Faiyaesia Palynésis frueçalsn A 67 61 B 38 47 NnwCoindunla A 14 14 57 48 47 16 85 19 65 20 5075 4996 1111 953 1 080 4678 1133 357000 365900 372305 386532 404918 422224 (8 600) (9 000) (9 000) 19200) 19600) (55 000) (57 600) (58 200) (59 700) (62 300) B 53 A 6259 5945 5810 5584 Houvelln.Zélonda' 8 972 986 1 054 322800 (7800) 339000 A, 8 (8 200) A, B (49 600) (52 005) A,B International Telncomrnuniootion Union typo of tniegrams irccloding cabiegrams ond radiogroms, but euniudi g mes ages in transit. Thn data are those submitted by 1ko member admnistra ions et the International Talacommunicatian Union and presumabiy rafle t territorial changes and dlffarenres ta reporting. Source: Note. 1ko figuras nover, in generai, al I '(cors baginning I April ut ynar stutrd. 2 Eucloding Howali. ° '(nom ending 30 Soptombar ut yoar slated. Prior ta t972. dola for Bangladesh inciuded with data for Pakistan, n Formariy tans. ° lacluding Llecistenstein. Yoars anding 30 Jonc nE yaar stated, n Comprises ou trottin eachanged between Monaca ond ail oouatrias in lb. Froent, internai system. Rananue tatogmums. eoclading those transmitted eaclusively anar rail. way talegrnph unes. Formnnly Dahomny. II Furmarly Ropublic al Vint-llam. In Prior lu 1973 lelngrams tram Canada ta 1ko Unitad Sialos are innladed witi, "Domostio't bnginniag 1973. tkoy or. lnoludad wilin "Foreignc 13 lnclnding dola fur Fceroa lsiands and Graonlond. 2346 5246 95! 14 Nnunelln.Catédunin Byeiurusslao 008 RSS de Elélorosslo Ukralnlan SSR RSS d'Ukraine 45 44 43 NnwZealaudt USSRU8SS 2463 46 58 18 71 19 55 64 (...( (65 000) Source: Union Interna tonale des téiéoammonloalluns. Remarque. Les données engiabont en général. Ioulas sorte de télé. grammas, y cumpnis les cfiblagrammos et radiogrammes. tes messages on transit sont eauius. Les dannées sen soamisas par las Administrations membres de 'Union internationale des t6lécummunicutians et sont vrai. semblablement sujettes à des écarts dus aux changements tarritariaux na ana méthodes différentes d'enregistrement. Année, commençant la 10 avril do l'année indiquée. 2 Non campris Hawoli. o Années finissant le 30 septembre de l'année Indiquée. Avant 1972. les données du Bangladesh sont comprises avec celles du Pakistan. O Anciennement tous. O'( compris Llechtenst.in. r Années se terminant ia 30 juin de l'année indiquée. ° Comprend I. fatalité du tmuf,c échangé taIre Manaca d'une part et tocs les pays du régime IntérIeur français d'outre part. Télégrammes taaés, non comprts coca transmis eaclusivement par I. service téiégmoptrlqne des chemins de far. 10 Anciennement Dohamny. 11 Anciennement Rdpubttque du Vint.Nam. In Avant 1973, Ion télégrammes du Canada à destination des Elats.Unis dtalent cumpris avec cnua de I' "lnléniear"t à partir de 1973, lis sant compris sous la rubrique "Etrangar, nnvayés". 13 y camprls les données paur les tins Féraé et le Graneland. - 3122 COMMUNICATIONS Telephones - TéIphons 3o Number in use and per 100 inhabitants - Nombra et1 service bt par 100 habitants Number-Nombre Per 100 inhabltants (thontand unit. - militera d'unittsl Pur 100 habltont. Country or orna WORLD1 AFRICA1 Atgnrla Annota Renia ' Pays ou zone 1970 1971 1972 1973 1974 272 657 291 299 312 901 336 280 358 590 7.4 7.8 8.2 8.6 9.1 3342 2831 3733 3988 4291 1.0 1.0 1.0 1.1 1.2 184 28 199 221 138 230 1.3 0.5 1.3 30 212 32 1.4 0.6 1.4 1.4 8 8 8 Atgénle Annota 0.3 REnia O 16 0.6 Botowana Borondi '6 Ratowana 8n,nadt 4 3 4 4 Cape Vende 5 4 1 I 1 15 Centrai Atrican Rep........ Chad Camoros Connu E0ypt Ethtapta 5 5 1 1 10 ... 46 11 '7 2 2 Ghana Guinea 64 2 ivury Caost Kenya Ltberta' Ubyan Arab Rep Madagascar MalawI Malt Maunittua Maronna Maaamblque Namtbta 1 ... 10 11 472 54 .. 61 3 3 11 2 2 7 51 8 52 9 2 3 3 31 34 85 41 25 94 105 2 '3 41 42 28 ... 3 27 13 5 18 14 5 119 168 27 133 171 4 ... .,. 3 13 3 .,29 29 15 - 3 ... 17 ... 0.7 '0.9 0.1 0.1 0.1 0.1 0.5 0.5 0.5 '0.5 00.2 0.2 .. 0.6 ... 0.1 0.1 0.1 0.1 0,3 0.3 0.4 0.4 1.0 0.9 0.8 0.2 0.8 1.3 0.2 2.1 1,5 ..0.2 3 1.9 '0.4 .. 0.2 2.0 ... .. 0.5 0,5 0.6 0.4 55 0.8 10 0.2 '0.6 14 0.6 0.6 0.2 0.2 0.5 0.4 0.4 0.5 0.5 0.7 0,7 10,2 0.7 0.7 0.8 0.8 0.3 '0.6 0.2 0.2 10.3 .. 30 0.4 0,2 2.0 0.4 18 0.3 0,3 ... 2.1 ,.. 1.1 011 1.3 11.1 0.6 5.4 0.6 10.6 '40 ... ... '45 0.1 0.1 ... ' 111 25 0.1 3.3 3.7 4.0 Rwada Snaeat '2 2 28 2 2 12 '0.1 0.1 30 31 1 2 2 0.7 2.3 Tuntela Uganda Zalra Zambla 11 1 707 132 141 151 45 5 46 46 6 6 ... 10 1 816 160 151 16 5 5 6 76 30 87 34 96 34 22 40 '21 022 44 51 Un, Rnp. ai Cannaroon Un. Rep. cf T0aaanta.,. Upper Volta ... 1 624 5 36 4 37 56 4 ... 41 42 57 58 ... 7 ... ... For sources, gnnarul Raie and fant.nates, se, end of table. '36 '3 1.7 10 0.4 0.2 ... R6ontun 0.8 '0.9 4.5 1 5.2 '0.3 11.3 0.3 1,5 0.3 0.2 1.7 0.3 0,3 0.3 0.4 0.3 00.4 '0.4 0.3 0.3 0.4 6 0.1 0.1 126 168 0.2 1.3 0.2 Voir la fin 1.3 Na,rtbln '0,1 1.3 ... Moroo Mnaambtque 0.1 2.6 0,3 58 158 0.7 3.7 1,3 ... REp. arabe Rbyenno 0.1 2.5 0.3 8 114 Ltb0tta 1 Ntger Nisfnto 2.5 0.3 1.2 172 Lnnntha 5.4 7.5 156 7 COte d'ivoire Kenya '0.2 0.3 0.4 ... Guln6e'Bmnnau 0.2 0.4 17.6 Ghana Gutn6e 4.7 7.3 1 936 Terr. in. Atar,, Issas Gubon Gamble 0.1 7.2 ... 58 45 57 08 '5.8 Cango Rgyple Ethlopin Mauntca 1.1 38 Connores Malawi Malt 1189 156 10.4 15,4 REp. centrafricaine Tut,ad 2.8 ... 208 53 0.3 15,3 Cap.Vnnt Modoascar 0172 49 AFRIQUEI 0.4 2.7 22 Tago ... MONDE' 0.3 2,5 106 Soothnra Rhodnsla r Sudan Swooitond ... ... ... 2.3 19 10 0.2 0.1 97 ... 0.6 ... 0.1 18 9 5 0.5 2.2 16 '1 554 1.7 ... 24 80 Saoth Airlca 0,2 22 REunlort Somalla' 0.8 11.4 '0.3 0.4 0.1 0.1 Sierra Lennn I 0.2 0.5 0,9 0.3 4 87 1 ... ... ... 10.3 0.4 Ntgnr Nlgnnla Seyohelleo ... 1.0 0.9 0,4 ... 1974 20 130 136 28 1.2 2 58 114 ' '' 0.7 7 10 1 503 66 1973 10.6 0.3 0.5 0.3 15 2 1972 0.3 10.2 . .. 971 8 ... 1 '49 77 Lesoiho 3 ... 5 5 2 7 Gutnea.Bissau ,.. 51 Fr. Terr., Afara Isso, Gabnn Gambta .4 11 ... 1970 ,.. 1.8 ... 0.2 1.3 0.3 1.8 .. ... 0.2 1.4 0.3 SIerra Lenne 7.8 Samolle' Afrlque du Sod ... 2,7 Rwanda S6o6gat Seyoheltes 2,8 '0.3 1.4 ... 2,0 0.4 .., 0.4 0.1 '0.1 '1.5 Rhod8sle du Sud' Soodan Souaziland Togo Tonisln Onganda REp..Unle du Cameraon R8p..Urie de Tonzantn ilautn.Valta Zaine Zambla tableau pour les sources, la remorque gén6rale et le, note.. - 123 COMMUNICATIONS Telephones canhinund - Téléphones Isuital Number in use anci per 100 inhabitants - Nombre en service et par 100 habitants Nomber-Nonnbre Par 100 Inhabltant, Par 100 habitants (thousand uniS - niiliars dunhiM) Country or area Pays no zone 1970 AMERICA, NORTIt' 1972 1974 1973 153 453 160 652 41.2 42.2 43.9 45.3 46.9 AMERIQUE DU NORD1 3 3 '3 4.1 '4.4 Antlgaa 47 49 36 54 39 55 40 26.8 14.9 28.5 15.6 270 33 4.2 27.6 13.6 4.0 44 29 4.0 26.2 3 30 3 4 5 '36 2.3 53,9 2.7 2 11.5 3.3 66.6 18.5 3.9 1 63.2 20.1 49,9 26.5 3.6 52.8 29.1 55.0 32.2 .4,6 5.1 3.2 2.9 3.2 3.2 3.7 1.3 1.5 32 33 1 2 2 9 751 10 253 10 979 11 665 ' 12454 45.2 2 61 2 3 3 4 68 78 69 99 15.2 3.5 269 275 278 2 2 2 281 3 ... '3 47 56 66 83 95 Et Saluadar 39 41 43 47 ' 50 Grenade Goadeloapa 3 14 4 4 16 17 19 49 44 54 '53 '14 17 116 '15 ... 5 Panama Poerto Rica SI. KilIs.Nevls. Anguille 9 ... ... '15 1.2 1.2 3,9 4.7 5.6 0.9 0.8 1.0 11.0 0.2 ... '0.5 22 85 25 96 28 3.2 4,8 2223 2 546 3.1 1 1 2 28 37 119 32 17 85 306 11 St. Lucla ,.. 356 100 372 '2 ... 393 12 5 4 3 ... '2 '35 120 2 6 0.1 u06 4.0 5.2 3.4 4.2 6.0 3.8 8.7 5.7 6.5 12.1 '1.3 '1.3 5,5 10.9 . .. ... 0.7 11.9 1466 16 1.9 1.1 81 '26 3.1 4.3 1 955 1 3.7 3.4 76 28 46.8 21.2 57.2 15.8 4.0 19 1 712 '26 2.4 55.6 11.5 1.1 3.1 17 Mnrtserrat Nath. Antilles Nlcaragaa ... a5 22 3.2 2.6 1.2 72 1 506 Maulco 12.2 4 35 2 Conta Riva 1 iamalun MartinIque 1974 146019 Br. Virgin l,, Etordara, 1973 3 Bermuda' italtl' 1972 138 038 Rsliae Guatemala 1971 3 Barbados Caba Domlntea Dorninican Rap,' 1970 132 751 ,'nntlgua Bahamas Canada Cayoran Islards 1971 ... 16.1 '0.9 6.6 15,8 ... Bahamas tnrbadn Relize Bermudas' lIas Vierges bnit.' Canada lIas Cabanas Conta Bina' 2.1 Caba Domlnlqoa R6p. Dominicaine' 1.2 RI Solvador 6.3 Grenade Goadeloope 3.7 14,3 ... ... Guatemala jaill' '0.5 Ftonduras 4.3 7.2 4.2 .4.7 8.1 iaaaiqoe 4,5 Martinique Maulqea 12.8 13.7 0.8 '13.2 Montuerrat 1 14.8 Antilles ntatl. Nicaragua '0.5 ... 12,7 13.1 13.3 '2.4 12.5 2,6 3.1 12.5 4.6 2.5 5.3 11.0 ... Panama ' 15.3 Porto tian . .. St..Chrtstaphe. Nl6ves.Angullla Saints'tocle 1 5.1 2 3 4 4 '5 66 131 108 27 66 138 286 35 63 5.0 6.0 58,7 34.7 65.7 39.0 67.7 ' 35 60.4 40.6 4.0 6.3 62.8 38.7 4,6 6.3 143 972 23 63 125 142 27 2,4 5.3 3.4 56 120 218 1 36.6 6 137 6419 6776 7287 8 106 3.2 3,3 3,3 3,5 3.8 AMERIQUE DU SUD' 1 748 ... 1 952 2065 2 374 7.5 7.7 8,1 Argentine Braeil 2001 2145 2190 2415 '2652 2.2 0.9 2.4 8.4 0.9 2.3 9.4 Bolluta' 1 828 44 393 856 150 415 1 010 433 1 080 131 446 1 090 1168 3.7 3.8 120 5 15 6 15 20 6 15 21 8 19 24 24 '35 228 1243 269 309 1333 12 12 13 '215 235 241 .474 246 527 4B 845 Et. Vlruert Trinidad and Tobago Uoitad Statas' 5.5. Virgin lslands ., AMERICA, SOUTH Argenlina 357 809 130 Chue Colembla Emadar Frorch Gulana Goyana Paragoay Paru Surinam ... Uragooy Veasaaela AStA 1 Afgheni,tan Bahrain Sanglade,t, 4 Bronel 1 Burma Cambodla Cyprus ... 49 1406 '444 33 229 37 617 42481 21 13 23 ... 12 C...) C...) 15 48 5 6 7 26 27 28 B 8 46 48 9 54 ... 6 17 ... 18 ... ... 248 '554 52 558 23 122 ... 8 29 ... For berces, genaral note and fool.notes, see ond et table. 62 ... ... 68 .,, 2.2 ... 12.5 Saint'Vinuant Trinitô'et'Tobago Elats.Unis 1 lIes Vierges am6r. BoIlvie 1 Br6siI 4.0 4.1 3.9 2.4 4.5 1.8 4.2 4.6 1.9 4.7 15.6 9.8 2.0 1.0 10.0 2.0 0.8 10.6 2.0 0.9 12.4 2.3 1.0 11.5 Guyana françalsa Goyane Faragaay 1.7 '1.7 2.0 2.9 '2.1 P6rau 3.1 8.0 8,1 2.1 ... '7.4 13,9 '4.2 4.2 1.6 1.7 2.0 0.1 0.1 6.5 0.1 ... 5.6 C.. 'I 9 30 6.1 5.9 C...) 3.5 4.4 4.8 0.1 0.1 7.1 0.1 0.1 0.1 0.1 8,3 7.3 2.2 3,4 08.3 4.6 2.2 ... 8.0 ... 5.5 0,1 ... 9.7 4.3 14,3 2.4 ... 8,9 14,7 ChilI Calamble Rquatear Suninam Urogoay Vereaaela 2.3 0.1 19.8 . .. ASIE' AfghanIstan Bahrain Bangladesh 5.7 Bron6l' 0.1 Rirmanle ... 10.7 Cannbadge' Chypre Voir la fin do tobleao pour les soorcas, la rnmarqoa géo6raia ai les notas. - 124 COMMUNICATIONS Telephones (continuedi - Té'éphones Isuitot Number in use and per 100 inhabilanls - Nombre en orvice e par 100 habitants Per 100 Ijihabitants Per 100, habltanls Huniber - Nombre (Ihousand unit, - milliers d'unit0s) -- Country or erse 1970 1974 1973 1972 1971 Pays ou aune 1970 1 71 1972 1973 1974 ASIE (mitaI ASIA (contlnued) 795 1 396 240 913 1 600 269 447 552 121 129 620 685 583 692 1175 201 1 293 230 Iran' Iruq' 307 120 ,,. ... Israel 521 584 26 317 29 926 33 755 34021 38 698 40 846 Hong Kong trilla Indanesle Japen I.e Jorden Koroe, Republic of KewaIt Leu Peuple's Dere. R." Lubanea 31 659 RasE Sebuh 95 'I 690 285 806 185 735 39 405 ... 1 158 109 67 2 68 '192 300 '227 6 6 6 9 '10 14 17 180 16 15 20 18 21 198 219 Menai Malaysles' 35 755 '989 ... ... 85 4 2 5 ... ... ... 14 153 164 19 6 25 7 26 27 Nepal Ornen 1 2 2 '3 220 1175 351 12 391 15 195 410 210 446 16 18 02 190 38 84 85 218 43 250 47 65 Serawek West Moneallu' PakIstan' FI.11lpinus1 207 310 Qatar 11 Seadt Arable' Singepare Soolh Viel'Nen,, Il.uf ,u ... 161 35 Turkey United Arak Erniralus Yereen0 Yenren, Dernocratic EUROPE' Austrte Relglum Bulgarle Chennel dards' Cea,hu,luvakla Denn,erk' Flnlend Franco Gnreren Rein. Rep Oermoey, Pad. Rep. nI. Glbrultor' Grnecs Hungery colon4 Irnlund 8 ... ... 1.1 1.2 17.2 25.2 1.4 2.1 ... 280 .,. ... 19.4 0.3 0.2 21.6 I 22.8 0.3 0.2 0.3 0.2 mdc .. .. 1.7 1.2 20.8 2.4 1.7 21.7 Iran' Irek' 18.8 1,5 1,2 19.4 28.3 31.8 35,7 35.6 Japon"' 1.6 2.5 1.3 1.4 2.3 * 2.3 10,1 0.1 9.1 0.1 8.8 '6.8 10.2 3.1 3,2 ... 1.4 1,7 0.1 S7,7 3.2 10.7 0.2 1.4 1.8 - 1.9 1.7 1,9 2.4 2.0 2.2 2.1 2.0 '0.1 0.3 '0.3 0.2 0.8 0.2 0.9 10.3 0.3 1.0 12.4 0.2 13.1 1.0 8,9 0.2 1.9 1.0 14,9 0.1 ... ... 0.3 1.1 11.4 0.2 0.3 0.5 0.5 ... 12.5 ... ... 1.9 2.1 2.1 0.6 0.6 0.7 1.0 10.1 1.0 11.4 111 132 152 1.8 153 202 235 255 281 0,4 0.5 1.8 0.6 577 654 728 807 900 1.6 1.8 1.9 2.1 2.3 14 13 '26 ' 34 7.0 6.5 ' 12.4 '9.7 ... 4 9 5 10 80 776 1 427 ... .., ... 10 10 87604 94730 10Z666 1 547 1 694 1 841 ... ... ... ... ... 0.1 0.1 0.7 0.7 0.7 0.6 110 423 17.4 18.8 20.2 21.7 23.3 1 987 20.7 22.4 24.6 26.2 27.2 6.2 22.6 24.0 6.8 ... IsraCl Jurdanlu Corde, ROpublique de Knweit R. 6dm, populaire Leu" Mucea OnlsnletmSabuh Sarawuk Occidentale Mongelle' '0.4 68 143 0.5 Indon6sie Llban 2.2 1.6 0.2 7,9 11.0 ... ... Heng.kane Malalsie, 1 .. 1.9 0.1 ... 3.5 3.9 0.2 12,1 ... 3.4 0.1 1.5 '4 17.6 0.2 0.2 64 120 60 Srl Lenke Syrien Areb Rep Thellend '8 14.4 0.2 0.2 NOpal Orne, PakIstan' Fhlllppinns' Qater Arable Saoudite' Slneapour Sud Viet.t'len,, R. du" On Lenke ROp. arabe syrienne Theilende Turqule Emirets arabes unIs Ydmsn' Ydn,en ddmocrellque EUROPE Autrlcke Belgtque Dulgarle 2036 2180 2324 2503 2667 473 534 582 641 718 19.3 21.1 5.5 7.4 8.2 55 58 60 63 67 43.3 45.4 46.9 48.0 51.2 2003 1700 2112 1798 2233 1918 2354 2047 13.8 15.4 37.7 '16.8 33.9 14.6 35.6 16.1 2 164 .40.0 42.8 Denernark' 1181 1 290 I 412 10338 2232 1 535 11 337 1 679 19.9 32.9 21.7 13.1 13,6 35.8 23.6 14.5 Flnlonda 12405 2451 27.8 18,5 12,7 30,5 2326 25.2 17.2 12.3 16 521 6 17803 7 18 767 2.4.9 26.8 20.8 28.7 23,2 30.2 Alleinegne, Rdp. 166.6 ' 25,6 1438 1 670 1 862 22.5 20.8 12.0 16.0 18.7 20,7 Gr4ce 924 78 968 8.0 366 8.4 36.0 10.9 8.9 37.0 11.5 9.3 38.1 12.0 9.6 40.4 12.7 Hoegnie 341 1 014 87 394 8774 2089 9546 2165 13 835 15246 6 1 045 6 1 230 824 873 71 75 307 324 For sources, goneral note and (oot.notes, see and al table. 81 '2481 '7 34,7 10.4 21.0 13.7 255 lIe, Angla.Nornrondes Tchdcoslovequln Fronce Rdp. 46m, allemands Glbrellar' Islande Inonde Vair la On --u tableau peur les sources, la remarque g6nêrale et les noies. - 125 COMMUNICATIONS Telephones (cnntinued) - Téléphones (suite) Number in use ond per 100 inhabilants - Nombre en service et por 100 habitants Numben-Nombre Per 100 Inhubitents Pur 105 hebitorts (thousond unit, - million d'unités) Couutry un orna Puys ou rues 1970 1971 1972 1973 1974 10322 11 349 12 126 '12 612 '13 695 17.1 13 15 142 49.5 32.8 18.8 53,2 34,6 '49 12.5 21 1970 1971 1972 1973 1974 '22.9 '24.6 58.0 38.2 61.4 39.7 EUROPE (cont.) Itely Liedrtensteln' Looembourg Moite EUROPE (sqite) 9369 10 Il 111 119 40 16 135 13.7 14.0 14.4 '10.4 67,8 71.5 74.1 26,0 28.0 29.9 82.6 32.0 82.4 34.4 Menuco Puys.Bus 1 243 1 30g 29.4 5.7 7.1 7.8 32.0 6.3 9.9 32.9 6.7 1 011 30.7 6.0 9.2 Norvège 2238 1 355 2 399 33.9 2087 10.9 11.7 PoluRno Poetugol 4 1 076 5 6331 7 043 3.2 15.0 13.5 19 3721 4053 Nurmoy 1145 Pulund Portugal 5 867 750 1 204 1 971 809 873 948 Romunlo Sen Morino 1 Spolo 639 3 4 569 3 4 5 129 5713 4506 3213 5 178 3790 20536 53.7 48.2 26.7 1 143 OCEÀNIA ° Am.nicouSumuo Austrullu 91(1 French Pulyneslo Goom New Celedonle New Zeulund Pupue Nnw Guines ' Western Semue USSR' LIechtenstein' Lucembuurg 4679 46 3410 Sweden Swilcorlond United Kingdom Yugonlovlo 36.1 ltuiie 4317 45 17 44 Monucu Nethenlends 17 727 20,é 55.3 807 884 Molle 3.6 3.9 4.3 5.1 17.7 19,1 22.4 16.4 10.1 23.7 20.0 Sulnt.Murin' 15.1 57.6 4.4 '4,8 63.3 59.4 36.6 5,4 Soède 53.5 31.4 59.4 56,0 34.0 3.6 55.7 50.9 28.9 4.0 Roumunle Espugne 4307 3026 14967 16143 4680 3404 17572 736 821 911 4829 3604 19095 '1 004 5422 5662 5 9é4 6 311 6 777 27.9 23.6 29.5 30.6 31,5 OCEANIE' 3 '3913 3 3 4 11.7 11.3 11.1 4400 5000 '31.2 32.4 17 20 22 23 26 3.2 3.6 34,0 4,0 12.1 35.5 4.1 12.3 4157 7 4659 Somou eménlcoines' Ausirolln FIdji 6.8 28.4 9.2 8.4 27.4 29.2 10.4 9.0 34.0 11.4 9.4 41.1 12.7 Pulycésie frunçoise 10.3 45.0 45.8 47.5 48.1 1,3 (c.6 Nouvelle.Zélondn Popouusie Nounelln.Guinée" So,voo.Ocddentol' 8.4 37.7 4.6 7 10 10 11 12 24 24 27 11 12 35 14 40 9 1 262 23 1 305 25 1 358 1 444 32 1 495 17 44.2 0.9 2 2 2 2 3 1.4 1.4 1.5 1.5 1.7 11000 12078 13199 14463 15782 5.0 4,9 5.3 5.7 6.2 ... 17 Sources: For rnportl g ceuntries ut the Interootiunul Telocnmmunlcutiuv Union (Gnnnro): Tu ucunrr,oniculiun Stolie ics, pubiished by the Union: ton uther suuntnins: Tire Wonld'u Teleplsoneu, pubil,hed by ho Americon Telephune ond Telegroph Cuurpouy (l4uw Yerk). Note Tho figures relote tu the number ut public ond privote telephones 1.0 ... Suisse Ruyeume.Uni ?ouguslovle Guum Nocvelle.Celédunle URSS' Sources: Puer les puys communiquont leurs dune es à ('Uniun Inter. notiunole dos télé ummonise ions (Genèse): Stotisflquee des ééiteummu' nicutionu, publiées per l'Uniun: puur les uutces puys: 7h. We,Id's lei.' pisunes, publié per 'Anrericon Teiophune und Teiogruph Conrpony (New Yurk). instolled whlch con ho connncted tu u cuntrol euckonge. Whnro ouf utherwise Indicotod. the duto ors thoso pobllshed by ihu Intornotionol Rnniurque. tes données su noppurtenl ou numbre de téléphones publics Tolecummunicotiun Union, tho mothud end dots of count vueying from cuuntry tu country. Whuro thn Amnricon Telophnno und Telngruph Cempuny Is cOud es the source, thn Ogorns rnfnr te 1 ionuory ut tho folluwing puer. dunnées figuruvt son, oonototiuv spéciule sont celles que publie l'Union Source: Americon Tolophune ond Tulogruph Cumpony. o Including Puonuo blonds ond Greonlond. 0 Eocludes telephone systems ut 1ko milltory forces. Prion tu 1972, doiu ton Bunglodosh une inuluded witts doio fur 9o14Furrrerly Dohomey. Ai 30 June ut ho tuiluwiug peur. At 31 Murch ut the fulluwing yeor. Al 30 Joue et ho yoer stutod, ° Fornroniy Khmer Ropublic. 10 Furmoniy Republic ut Ylnt.Num. '° Furmorly tous. et privés un service qui peuvent Otro reliés à un Icureuu central. Loi internotiunule des téiéroormunicotions, lu méthede us lu dolu du dé. numbrement venant d'ue poys à l'outre. Dues les ces où i'Amenicen Telephuno ond Tolugroph Cumpuny est indiquée comme suurce, les données so rupportent ou 5r envier de l'unnéo sui000te. t Source, Ameriuoe Telephoos ond Telogruph Cumpony. S Y comprIs les lies Férué et le Grounlond. o Nov compris le réseeu téiéphunlque des ferres ormées. O Meut 1972. les données du Sovgiodnsh sont comprises avec celles du Pokiston. Anciennement Dohomey. Au 30juin do tonnée suivsvte, n Au SI mors de l'onnée suivonle. o Au 30 juin de l'onnéo indiquée. 0 Aociunnemeot République khmère. Anciennement République d Viet.Nom, 11 Anciennemeot tous. - 126 - Annexe III (suite) B. EVOLUTICN ET PERSPECTIVES POUR UN CERTAIN NONBRE DE PAYS J.) Allesagne (R.?.) Evolution du trafic osta1 (En millions d'arti les) 1966 975 1985 10 716 11 853 11 453 815 Argentine 6117 Australie 2 1499 Autriche Augmentation de 2 à 5 pour cent par an Rangladesh 652 (correspo dance simple) 2 778 2 682 Augmentation générale tendance à la diminution pour 1 s lettres Bulgarie Augmentation de 4 à 5 pour cent par an Canada 4 676 Chili Colcnibie 5 317 6 843,7 Trafic en diminution ou stationnaire depuis 1968 914,3 33,8 Augmentation de 1,14 % par an Côte-d'Ivoire 19(1960) 54 Ri Salvador 17,6 51 Etats-iinis France Hong-kcng Augmentation de 3,4 % par an Augmentation de 3 % par an 83,8 Diminution prévue 13 214(1980) 11 776 9 937(1.969) 218,8 265,2 mdc 319 8 336 7 286 Indonésie 1(47,7(1969) 187,8(1974) Irlande 1428 461 Italie JaRon Luxembcurg Norvège Augmentation générale diminution des colis 9 554 7,5 114 056(1974) Augmentation de 3 % par an Augmentation généra e, sauf cartes et colis 0,8 0,9 1 Augmentation de 2 % par an NouvelleZélande 567 699 Stagn tion des colis 848 - 127 - 1975 1966 Ouganda pays-Bas Pércu 1985 DiminutIon de 1967 à 1973 2 391 3 281(1974) 151 159 Phi1iines Royaume-Uni Ànoexe III (suite) 680 11 622 10 072 175 Augmentation de 7 % par an Légère augmentation globale (Diminution constante des colis; diminution des lettres, 1973-197 5) Simga,cur Suède Tunisie Turguie 170 33]. Augmentation de 3 à 7 % par an 2 213 2 585 Augmentation de 1 à 2 % par an 84,2 196,2 370,8 Augmentation: le trafic en 1985 devrait être 1 double de celui de 1975 Source: Réponses au questionnaire. - 128 - Annexe III (suite) CM H (t] co rioE O O e E r- ri 'D s H (n ccc CM H 'D I d4-)o ci) cd CM +'W W o e co Obi r1H e - bi'd eo 4-c cd 4.c e W e bi b 0 O e E --I N -. CM H O O bi s O O .,-i E H CM O (t] CM tfl $ O H E u) cd oriN HO' .-I riI-c H cdO. 0) O 4.) E Ct)W W Ec'c bic-4 lr-t P0 He O C Cccl 4-ccl O Q bi O Est) 'b b H-cri o H e (n bi'H H ci, ('1 -. o -ri E uc ut CM N occi -riH e o -ri E O ri O e 0 co CM t-t '.0 co o - O H CM C tu 14 ccl N p. Oc . H 'O o ri e r-I 'O C r-4 co e H N .-1 H -1 N (fl O bi -ri O riO 4J o 'p .4-c bi O e CM Q O (n 0) cd CM E bi c-4 O H C4 o c.O '.0 O Obi E -r-1H E CM O -ri cd O) ci) O -ri E ri '.0 c) O E r-4 r-I N N 4) o -ri E -ri d 0H bi t-) cd o w CI E Q ri bi b H .4-c bi HI 01 CM cit 'W C C o .0 H tu U] C C W C] W cd .0 H -'-1 -ri o 'W t)] 'W bi -) e C O .0 H bi l-1 U] W H cri W -1 c-I +c C W bi 1-1 H w t-1 .0 O ri 4W 4- H H H cd b t-1 b w b Qi H bi H W et bi cd 4-) O I-t W cd r-4 W p t-L U-c ri ( 0 I bi C O et W W 'b C cd H W -ri H ccl 1-i .4.J l-1 F-4 -ri U] -ri cd b E W -ri b bi l-1 b E4 - 129 - 00- o E O W 01 H Q)01 W tn - 0 4 O W 01 H /\nrleXe III (suite) H W k W O ' O O i W l4-' I W O W ('1 ¼0 1-4 W W H04 H 4-1 '0 .0 J O-. Lfl N 01 H E O N ('-4 E '-I H ' -W 01 ('.1 - N ("4 0 4 -i 4.1 WU) a. )r-I d '1-1 + 15W WLC) O ('4 ("I 10 NN k (n 4.410 40 N rW 01 OH d 'W 01 H o H O O O 10 45W 1-1 +-'Lt) N 5)01 5)01 o N 001 N -.4 H 0 w 01 H 'O 01 01 - - 0 0 40 O 0 '0 O O W W g I O 3. N 45 O (n E 'W 45 45 0 .0 H I U4 (Q E 'W 'W 'W 45 45 45 45 45 .0 H .0 H .45 0 45 o 0 H W cl r4 4-, W W 45 k -1 4'-. H t) (5 W -.4 45 (5 (.) 4- (5 H H O E z!. H H O N H - 130 - Annexe III (suite) Q w b b) '. H -c Wb b 'dQ) b 001 O d 'D U) C') O) -r-t 4.cb cdr 4-) cd 4-) 4) w Wcd b) b)4 e b e 0c W N C') w; 0 bi U) N dI Lb c-1 O N - C') H - 'D Lfl b) w o- N G) H N b) H c-1 cd b - NH - NHH 'D LI) O Q U) O- 'D (Y 'D O- O b s-1 w c-I b H cdI. s-II W cd 01W Ci) 'SI b) HI cd -w; W 4-); W 4-c W e w r11 - w cdI'b s-il b) 'D b) .PIW lb bIO c-1 H 01r-1 .-ile bIb Hr) H N'. 'D 'D O) H H NU) C1 Ç') LI) LI) 'D Lb lb (9 H - H N Q) H N C') b b) -I 'O m s b) c-1 c-j IN O- - N C) d h .c-lo'O b) 'D cd % Q O H Noco c-5 W w O b 4) (N cd b b') s- w o 4) b W b) s-i H -e-j H cd s-i 4) W b H w w 54 -d b) b 1) d b H b 01 c-1 W d c1 -c-1 - Q h H cd 4-) U) - 131 - L() H d4 44 tfl r o.' H 4 k- k H Q. W - c') 5w 'QH 6 O - 3 N s H H s-I q)+'r-4 +ri 'dOO 4O r1.rl O)d 14-'+) 4+' 0Q4 4-'b6 .,-4) 4-',-I)-4 Q.-14-J -I'dQ s-I O o' H Q w t1)4-'4-' -I4-' WQ ai r4 QW .W-o flQ tfl4J ww O 4-34k -kt-1 Q\W) H+'(fl '6--IQ Q '-0W 'OOQ o''-t6 H $41-4 WW0 QU)Q. kO .wd NQk Q'-Iw -1 )fl w 4C.)Q r4' '-DI-lQ o'Wrri HUI k )DQcd $:$'0Q4 t-' - r) ' - /\rinexe III (suite) Arnexe III (suite) 0 (f) 01 0 ..-1 e -I e If5 (fI . fl N - 132 - 0 n o o (5 O cd 41)0) l-4 «1 4'-a) 40 0)414 . 0H14 'O Q 0000i O-rie CdOccd-H0) -riq-ieee 4-O E ccl (53E uu O I-50 o .ri140r1r1 O o -ri (544 (r) cd 0)4-i HO -ri (n U)I N 01 H G) o r4 e 01 0W O 'O CE e 4-fi I-4 01 (51 -441 PN 0)010 O H 101 UI-ri HI 41) '(5 (44 en o -11) o -ri e 'e cdl 0I O O -ri Hcd rI 4-) 0444.4 O 0 -c-4 dO)ccJ I41N o. 001 WHL() e 010)H 01-4 O e n O H O H E ri) E 'O N N r-4 Cil O -rI - .44 N o o -ri 'O w 0)-l-' r11 4-cl e 5404-40 w owo.e 4-lcd 441E Ol -'-Il o r4 4-II el Cdl I U)l CI (O (O e Cfl 01 wo o e E -00)400) N C') r-i - 444W0-440 -e-I w-41) 4140(4)4 G) -c-I H Cd 0H 014-4 E cd cd 'O -e 'cdl O -ri e '. r-1 o e 0) 04 O -ri E -ri N 01000 o' 4) 0Ho.C.c -II cdl r-II o, H pi' (fI e O H 44 0 e 01 r-I r-I cd 4-4 +' cl) II O '-'G "G e O 01 -ri 01 H 41) P+' OU)r1 'e0 O Oe+'I-4+4c410-d -,-4'OcdOO O 44 +'o-dI-l--Ie cdi-3t)--I H 04-1 -0) H 1W I-c 0)PWUI01HI C41'O-.-1U54.4O OOE 00)1-500) E 'G) t r-14-3 -ri 1 e o O ccl 4-4 w 'o e o '(5 cd c-1 4-I H cl 4-1 cv c-i r-I fil 44 H 41)W.rI E (4144 - 133 - Ec-ll O) r-I 4-1 W O Cd 4.) PW0 I E -WEE E O c-lcU W EWEE CdWCd Lfl Annexe Tu 4.) E t)EE4J4.c -d4cdCdE cd cOE E WEEcUE W r-1 E .b4-)-1 4-1 E 0 E Wc--lUcE-.-4 4-104-cE-d WcdcdOcdCd E E 0.D-9-' 44Wcd Ecd O.- El-ICUCU cd (U E Wrll-l(PE O -I.) W cd W L-) 0 0 H W -c-1 -c-1 CY)N .cT) Oc 0 E c-1 c-4 H c-c) H E cfl N Ç4H O cd E E E E E 4- (U -U) o H o -c-1 cd E 4.) EE 0W EU c4 01H E r4 Cdl-) 4-4 W U) ri) W W I) U D 0) H'0 c-1 cd (j) CUl-1 04-c 0E c-)W N WEc-I EU) 444-'Oc c-1 Cd D. D. cd L-1 l-1 W W E E cd E (I)WcP 0E cdEC'1 E E W C]) 00H cd o 0 E (C) U) C]) ELC) 4c E -c-4 E o -E E L-1 .c4 O -. c-4 C)) 4-) E E r) E tfl H cd cd E E C))'.0 .-4 cl 'OH E E c1 E O C'LO) 0 4.) H U) I 00 -c-IN (U4 E o 0 4) E E c-4 E rl .rI N E.Eo1 cd4-1 4-' E Cl) E 01 E c1 E c o W 1 c-I 4.) c-1 cd cd cd 4-44.) 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N II 10 Annexe VI (suite) In'.o lC')4'I N (4C'IO.C') E C,, '.0 Q u I I I O. ri t I u_4 C') O. 1O C't u-) 0 Ç,-) 'G) (G .rl 4) G) 4-4 rj G) E G) 1-4 4-i 1-1+' G) U) G) E E C'ooa,-r-lo.--11CNLÇ4Lfl'O ,l O r)r- O. o In N -H 45 .0 OU) (GO (s, G)4-1 01 0,-1 E u-r Cl C') '.00- '.0CM ICI C'4 ICI SI 00U110'.OLfl 0-r-1W W CM r-r N ICI r-1 .-I ICI r-4 W 0I -H o-r I 4.) (s' 1I W (SU) e' '0G) 'G) U) G) t Ht W'-i r40 O r-1 t-1,--1 00I EU) (s 4.4 W G) 1-1 0G) 0 W +' WO rdO llrU) U) G) l-4 E o O >1 U)I G)l U)I 01 0I .1.1+) .4-i W G) G) 4H0 -dl:: +'E (Gr-1 l-4,--1 4..4 1GW -d 01-4 r-10 EU) 'O E4-) r-t G) WW Or-1-P 010G) O)-40 W4-'O (G-d IVE d (-1 4-' 4-4 0 -d -d U) Q) O (s I-I -d q G) 'O 4.) 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