effets des progres techniques sur les conditions de travail et d

Transcription

effets des progres techniques sur les conditions de travail et d
ORGANISATION INTERNATIONALE DU TRAVAIL
Réunion paritaire sur les conditions de travail
et d'emploi dans les services des postes et télécommunications
Genève, 1977
EFFETS DES PROGRES TECHNIQUES
SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL
ET D'EMPLOI DANS LES SERVICES
DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS
Bureau International du Trava Genève
II
II I IIII I I
48469
1111 II
ISBN 92-2-201679-3
Première édilion .1977
Les désignations utilisées dans cette publication, qui son conformes à la pratique des Nations
Unies, et la présentation des données qui y figurent n'impli uent de la part du Bureau international
du Travail aucune prise de position quant au statut juridiqu de tel ou tel pays ou territoire, ou de ses
autorités, ni quant au tracé de ses frontières.
Les articles, études et autres textes signés n'engagent que le rs autçurs et leur publication ne signifie
pas que le Bureau international du Travail souscrit aux opin ons qui y sont exprimées.
Les publications du Bureau international du Travail peu ent être obtenues dans les principales
librairies ou auprès des bureaux locaux du BIT. On peut a ssi se les procurer directement, de même
qu'un catalogue ou une liste des nouvelles publications, à 'adresse suivante: Publications du BIT,
Bureau international du Travail, CH-121 I Genève 22, Suiss
Imprimé par le Bureau international du Travail, Genéve, Suiaae
TARLE DES MATIERES
INTRODUCTION
- LES SERVICES DES POSTES ET TELECOMÎ4UNICATIONS
CHAPITRE I
5
Evclution du trafic des services
7
Evolution dans l'exploitation et la conception des
services
9
Statut juridique
10
Autonomie administrative et financière
12
CHAPITRE II
- LE PERSONNEL DES SERVICES DES POSTES ET
TELECOMNUNICATIONS
14
Statut juridique du personnel
14
Personnel de complément
17
Niveau de formation du personnel
20
Répartition du personnel par catégories d'emplois
22
Les classes d'Age
22
Emploi des femmes
23
CHAPITRE III - LES CHANGEMENTS TECHNOLOGIQUES
29
La mécanisation dans les services postaux
30
L'automatisation des télécommunications
33
Les applications des ordinateurs dans les postes et
les télécommunications
35
Méthodes et organisation
38
CHAPITRE IV
- LES EFFETS DES CHANGEMENTS TECHNOLOGIQUES
SUR L'EMPLOI ET LES CONDITIONS DE TRAVAIL
39
Productivité accrue
39
Effets sur l'emploi
40
Portée des réductions de personnel
Mesures prises en cas d'excédents de personnel
Emplois nouveaux
Influence sur la structure du personnel et sur la
carrière
Formation professionnelle complémentaire
F-2321-3TN :15
40
42
46
47
50
Effets sur les conditions de travai
57
Rémunération
Organisation du temps de travail
Satisfaction au travail
Environnement et santé
57
60
CHAPITRE V
62
65
- INFORNATION ET CONSULTATI N DU PERSONNEL ....
70
CONCLUSIONS
76
POINTS SUGGEBES POUR LA DISCUSSION
81
*
ANNEXES
- STATUT DES SERVICES DE POST S ET
TELECONX4UNICATIONS
83
- STATUT DU PERSONNEL
93
ANNEXE III - EVOLUTION DU TRAFIC
108
ANNEXE I
ANNEXE II
EV0J.ution au cours des dernière
Evolution et perspectives pour
de pays
années
109
n certain nombre
126
1. Evolution du trafic postal
3. Evolution du trafic télex
4. Evolution du trafic télégr phigie
5. Evolution des services fin nciers
126
128
129
130
132
- FLUCTUATIONS DU TRAFIC ET H SURES PRISES EN
NATIERE DE PERSONNEL ......
134
- REPARTITION DU PERSONNEL EN RE POSTES ET
TELECONHUNICATIONS
9
145
- REPARTITION DES EFFECTIFS D
POSTES ET TELECONNUNICATION
PERSONNEL LES
PAR CATEGOBIES ...
149
ANNEXE VII - REPARTITION DU PERSONNEL PA
CLASSES D'AGE ....
185
2. EvoJ.ution du trafic télépli nigue
ANNEXE IV
ANNEXE V
ANNEXE VI
NTEODUCTION
La Commission paritaire de la fonction publique, lors de sa
première session, en 1971, a demandé, notamment dans une résolution
concernant les activités futures de l'OIT dans le domaine de la
la
convocation d'une commission paritaire
publique,
fonction
d'experts qui serait chargée d'examiner les conditions de travail et
d'emploi dans les services des postes et télécommunications, sur la
base d'une étude à effectuer en coopé]ation avec l'Union postale
universelle et l'Union internationale des télécommunications.
d'admiLorsque, à sa 194e session (novembre 1974), le Conseil
nistration du Bureau international du Travail n fixé le Programme
des activités industrielles pour la période biennale 1976-77, il a
décidé de donner suite à cette requête.
le Conseil n considéré que "les
En prenant cette décision,
effets de l'évolution technique actuelle sur le niveau de l'emploi,
les qualifications, la formation, les perspectives d'avancement et
les autxes aspects de l'emploi du personnel des postes, télégraphes
téléphones préoccupent de plus en plus les organisations de traet
vailleurs de ces services, de même que leurs employeurs; l'agitation
sociale, la pénurie de personnel et d'autres symptômes de ces problèmes ont donné lieu récemment à des discussions dans l'opinion publique d'un certain nombre de paysi. L]. a donc été convenu que
l'accent serait ais sur l'effet des récents progrès techniques Sur
les conditions de travail et d'emploi du personnel de ces services.
(UPU), l'intérêt pour
Au sein de l'Union postale universelle
questions de personnel s'est manifesté dès 1962 quand le comité
a
(CCEP)
de gestion du Conseil consultatif des études postales
reconnu l'utilité d'inclure dans le plan des travaux futurs du CCEP
l'étude sous ses différents aspects du problème du personnel2.
les
En 1975, le CCEP a précisé qu'il "importe... de prêter attenaux résolutions et recommandations... de l'OIT lors des études
effectuées par ladite organisation sur les problèmes du travail,
étant donné qu'elles peuvent constituer des éléments utiles pour
ltorganisation et le développement des ressources humaines dont les
administrations postales disposent"3.
tion
Quant à l'union internationale des télécommunications, c'est de
longue date qu'elle 5jfltresse aux problèmes de personnel, sous
l'angle plus particulier de la formation.
En vue de la Réunion paritaire sur les conditions de travail et
d'emploi dans les services des postes et télécommunications, le BIT
a préparé un questionnaire qu'il a adressé aux Etats Membres.
tDocument GB.194/IA/l/5, annexe, paragE. 43.
2Tendances princi2ales du dévelo22ement et du roqrès technique
services ostux au cours des 15 à 20 2rochaines années, Etudes
postales, n0 47 (Berne, UPU, 1963), p. 55.
des
3"Problèmes de personnel et organisation du travail dans les
établissements postaux", Etudes du Conseil consultatif des études
(Berne, UPU), n0 11/12, nov.-déc.
Union postale
postales
(CCEP),
1975, p. 303.
-2Les pays suivants ont répondu à ce
fédérale d'llemagnel, Arge
Bangladesh, Barbadet, Belgique, Bénint, B
Cameroun, Canada, Chili, Co].ombie, Cd
Salvador, Equateur, Etats-Unis, Finlan
Guatemala, Honduras, Hong-kong, Hongriel,
Italie, Japon, Luxeiabourg, tiaurice, M
Nouvelle-Zélande, Ouganda, Pakistan, Pays
République démocratique allemande, Ho
Singapour, Sri Lanka, Suède, Suisse',
Tunisie, Turguie, URSS1.
RépubJ.igue
guestionnaire
Algériel,
tine, Australie, Autriche,
ésili, Bulgarie, Burundi',
e-d'Ivoire, Danemark, El
e, France, îles Gilbert,
Ind.e, Indonésie, Irlande,
xigue', Nigéria', Norvège,
Bas, Pérou, Philippines,
aume-Uni, îles Salomon',
chad', Thailande, Tonga,
Dans certains cas, les organisations syndicales intéressées ont
été consultées par le gouvernement avant l'élaboration de la réponse; dans d'autres, les organisations c ncernées ont souscrit à la
réponse officielle sans y ajouter d'obser ations.
Un
certain nombre d'organisations syndicales ont communiqué
leurs propres commentaires soit directeine t au Bureau, soit à
ternationale du personnel des postes, télégraphes et téléphones
(IPTT), qui les a transmis au Bureau.
Le BIT tient à adresser ses remercie ents à ces gouvernements
et à ces organisations syndicales.
Les réponses au questionnaire forme .t la matière principale de
cette étude. Divers autres documents ont cependant été utilisés,
parmi lesquels il faut particulièrement m ntionner les recherches de
l'UPU, publiées dans la collectio1 "Etu .es postales", divers artides du Journal des télécommunications (Urr), plusieurs études
effectuées par l'Internationale du person el des postes, télégraphes
et téléphones, ainsi que divers ouvr ges de portée générale. En
outre, le Bureau a consulté l'upu et l'UI Malgré cette diversité
de sources, le Bureau n'a pu réunir to tes les informations qu'il
aurait été souhaitable de rassembler. En 'articulier, la nécessité
de respecter les délais requis pour la raduction, la reproduction
et l'envoi du rapport l'a empêché d'int .grer dans son étude le
contenu d'un trop grand nombre de répons s tardives. La description
qu'il présente est donc forcément lacunai e. C'est ainsi que la situation des pays socialistes et celle des pays: en voie de développement ne sont que très imparfaitement reflétées. Les conclusions
gu'iJ. avance souffrent donc d'une certa ne fragilité. Le Bureau
espère que les délibérations de la réunio n'en seront pas affectées
à l'excès et qu'elles permettront de compléter les informations
données ici.
L'objet du présent rapport n'est pa de dresser un tableau
d'ensemble des conditions d'emploi et de travail dans les postes et
télécommunications; un ouvrage considérab e e'Gt été nécessaire à
cette fin. Conformément à la décision d Conseil d'administration,
on s'est borné à circonscrire les dom mes où les changements
technologiques ont exercé des effets e à relever les mesures qui
ont été prises dans les différents pays p ur remédier à ceux de ces
effets qui heurtaient les intérêts des tr vailleurs. Cependant, afin
de mieux situer la question, on s'est e forcé de retracer le cadre
général dans, lequel ces changements se sa t produits.
'Pays dont la réponse, arrivée tr p tardivement, n'a pu être
prise en considération ou ne l'a été que artielleinent.
-3Dans cette optique, le chapitre premier esquisse une description générale des services des postes et télécommunications. Le chapitre II présente quelques aspects propres à son personnel, tandis
que le chapitre III décrit en termes généraux les changements
technologiques survenus au cours de ces dernières années et, plus en
détail, les plus marquants d'entre eux. Dans le chapitre IV, on
s'efforce de dégager les principales conséquences de cette évolution
sur l'emploi et les conditions de travail. Le chapitre V indique de
quelle manière on a organisé l'information et la consultation du
personnel au sujet des changements, et comment les travailleurs ont
Enfin, dans les conclusions, on a
accueilli ces transformations.
tenté, avec la prudence qu'imposait le caractère f ragnientaire des
informations recueillies, de dégager une synthèse, et on a présenté
une liste de points que la réunion souhaitera peut-être adopter
comme ligne directrice de ses débats.
est complété par un corps assez volumineux
Le
rarport
d'annexes. Celles-ci contiennent une masse de renseignements gui ne
dans les chapitres
toujours commentés)
(ni
sont pas reproduits
correspcndants. Il convient donc, en lisant ceux-ci, de se référer
Celles-ci présentent en outre certaines
constamment aux annexes.
données qui ne sont pas indispensables à l'objet du rapport, mais
qu'il a paru utile de reproduire en raison de l'intérdt qu'elles
offrent comme toile de fond.
-5CHAPITRE I
LES SERVICES DES POSTES ET TEL0I1fiUNICATI0NS
Les postes et télécommunications, du fait
échanges sociaux, culturels et économiques, se
des instruments indispensables à de multiples
humaine, et on les considère aujourd'hui comme
frastructure générale.
de leur raie dans les
sont imposées comme
aspects de l'activité
des éléments de l'in-
Sur le plan économique, des services de postes et télécommunications efficaces constituent un important facteur de développement;
récijroquement, une économie dynamique entraîne une expansion de ces
A côté de l'expansion économique, la croissance démograservices1.
phique, la concentration urbaine, la configuration géographique et
les réseaux de transport existants ont une influence déterminante
sur le développement des postes et télécommunications. En France,
par
exemple, un tiers du personnel des PTT est concentré dans la
région parisienne. L'Inde connaît dans ce domaine une évolution inil y avait, en 1975, 117.539 bureaux de poste dans le
téressante:
pays, dont 105.71.3 dans des régions rurales et 11.509 dans des
centres urbains, et chaque bureau desservait en moyenne L4.686 personnes sur 27,37 km2, alors qu'en 1971 chaque bureau devait desservir en moyenne 10.026 personnes dans un rayon de 91,12 km2.
A titre indicatif, on trouvera dans le tableau 1, pour un certain nombre de pays, la superficie mise e rapport avec la population et avec le nombre de personnes occupées dans les services des
paru intéressant d'y ajouter
a
télécommunications. Il
postes et
l'indication du produit intérieur brut (PIB) par habitant, bien que
ne soient pas nécessairement identiques à
les
dates
de référence
celles des données relatives à la population et au personnel des
postas et télécommunications, afin de mettre en lumière la relation
entre le développement de l'économie en général et celui du sectéur
en question2.
'Voir Tendances rinciales du déveloement et du 2rorès techserviCes_postaux au cours des 15 à 20 prochaines ànnées,
Etudes postales, nO 47 (Berne, UPU, 1963).
nue des
211
tions de
cés, ont
séquent
gurent à
faudrait toutefois tenir compte du fait que les améliorala productivité, plus marquées dans les pays les plus avanfreiné l'accroissement des effectifs. Il convient par conde rapprocher les données du tableau 1 de celles qui fil'annexe III concernant l'évolution du trafic.
-6Tableau 1
postes et télécommunications
Efectits du persgn
daps un certain nombre.pX
Superficie
en
(milliers
de km2)
Pays
RP d'Allemagne
Argentine
Australie
Autricbe
Bangladesh
Belgiguè
Brésil
Caseroun
Canada
Co].cmbie
Côte-d'Ivoire
Etats-Unis
Egùateur
Finlande
France
11es Gilbert
Honduras
Hong-kcng
Inde
Indonésie
Italie
Japon
Luxembourg
2148
1 0814
7 678,7
83,8
142,7
11,7
8 511,9
1474
9 221
1 138
322,4
9 191,8
270,6
305,7
543,9
Norvège
Nouvefle-Zélande
Quganda
Pakistan
Pays-Bas
Pérou
Phi1iy.ines
République démocratique allemande
1oyaume-Uni
Singapour
Sri t.azka
Suède
Suisse
Thailande
Tunisie
Turguic
en
62
23
12
7
.1].
1
3 053
1 900
301,2
372,4
2,5
323,8
268,7
236,8
801,4
33,8
1 285,2
300
108
229,8
0,6
64,6
411,4
41,3
514
164,5
780
6 198
1 4782
5 4482
061
390
755
456
9
97
5
4
729
925
836
568
17
4
211
7
484
630
390
048
598
14
4. 382
793
5 1451
7682
3Q32
6 463
4392
5552
6 597
535
14 706
5 067
52 6714
2
3
547
118
53
653
936
949
459
-
330
1566
2
4
6
514 917
109 750
357
826
3 874
2 862
11 000
61 693
5
l4l
1282
5 109
473
359
35 590
17
55
2
12
8
6
38
5
35
ll0
1272
706
152
214
641
825
'4 417
13 0146
1.3 538
068
514
219
711
076
269
658
179
666
Sources: a) Superficie: Oxford Economic
pnuaire
b) Population: BIT:
1975.
bitant (1974)
71 1479
1
1,8
1auricE
P18 par ha- Personnel
PTT
(milliers) 1
en
en
(dollars EU) (milliers)
Population
-
3 375
2 389
236
6 876
6 930
323
626
-
105
125
58
115
82
150
1,3
95,54
17
14
1 61405
1,4
52
387
0,1
2,6
9,7
653
37,14
177
735,9
1,9
0,6
38,8
38,9
2,6
51,6
87,7
8
12
134,5
434
9
29
99,7
50
14,5
5,9
52,3
14e éd.
4tatjstiques du travail,
I
PIB: Nations Unies: Annuaire 1tatistiue, 1975.
d) Personnel: réponses au questinnaire.
C)
477
-7IDates diverses.
21973.
l972.
4Postes, 50 800; télécommunications (Beli), 44 700.
Services postaux: 667.000 (réponse au questionnaire); télé0f Labor, Bureau 0f Labor
(US Departaent
60.000
environ
phone:
1785-143)..
Statistics:
Lié à l'évolution démographique et à l'expansion économique, le
volume du trafic postal et des télécommunications a augmenté dans
tous les pays1.
On trouvera à l'annexe III, d'une part, une série de tableaux
1975 et
et
montrant l'évolution du trafic constatée entre 1966
prévue pour 1985, et, d'autre part, une série empruntée à l'Annuaire
statistique des Nations Unies et montrant l'évolution du trafic dans
la plupart des pays de 1966 à 1974 pour le courrier postal, de 1967
à 1974 pour le service télégraphique et de 1970 à 1974 pour le téléphone. Bien que ces deux. séies ne soient pas superposables, et sans
voulpir entrer dans des explications détaillées qui seraient étrangères à l'objet de ce rapport, il a paru utile de les présenter pour
préciser autant que possible l'importance des services rendus par
les postes et télécommunications. En outre, les principaux commentaires formulés en réponse au. questionnaire du Bureau sont résumés
ci-après.
(courrier, le nombre des articles
Dans les services des 2Qt
transportés a augment4 ces dix dernières années selon un taux de 3,4
pour cent par an en Norvège, de 4,5 pour cent au Japon et en
de 7 pour cent aux Philippines; il a décuplé au Brésil.
Bulgarie,
une
dans cette évolution: la Belgigue note
!rrois exceptions
des
envois, le Chili connatt un trafic
globale
diminution
stationnaire depuis 1968, le Royaume-Uni signale une diminution du
nombre d'articles transportés depuis 1973.
L'évolution prévue pour les dix prochaines années dans les services postaux est celle d'une augmentation du trafic, dont les taux
la
varient, par exemple, de 1 à 2 pour cent par an pour la Suède,
Coloinbie et l'Australie, de 2 pour cent pour la Norvège, de 3 pour
de 5 pour cent pour la
cent pour la Côte-d'Ivoire et le Japon,
BulgariE, de 3 à 7 pour cent pour Singapour, de 7 pour cent pour les
Philippines. Le Royaume-Uni ne prévoit qu'une augmentation minime,
la tendance étant incertaine en raison de la situation économique
Les prévisions de la BeJ.gique indiquent une légère
actuelle.
diminution du trafic. Aux Etats-Unis également, les services
tenant compte d'une croissance économique ralentie et des
postaux,
pressions inflationnistes, prévoient un déclin du volume du courrier
dans les cinq prochaines années.
IDans une recherche publiée en 1963., l'Union postale universelle
rapportait que, selon les estimations des administrations, le
trafic postal serait multiplié par un facteur de 1,5 à 4 entre 1960
et 1980. Les taux moyens dans différents pays pour l'ensemble du
(UPU)
trafic postal seraient de 3 à 8,8 pour cent. (fl_jj2.f
dR déve1o2Rnt.. des servicesQux...,
-8L'augmentation dans le volume du
dernières années est importante: les ch
des cas, doublé entre 1966 et 1975. Certa
teignent 12 pôur cent par an. On ne note
ficatif dans l'évolution du trafic, et le
dans le sens d'une augmentation. Les taux
de 6,4 pour cent par an pour le Roya
Bulgarie, de 12 pour cent en Autriche et
Hong-kong. Le Japon ne prévoit qu'une a
ic téléonque
de lignes qui pourront être mises à la di
Pour le
éleç, les statistiques
années dénotent une augmentation continue
dans le même sens. Le Japon seul prévo
une diminution due à l'augmentation du vo
données et des fac-similés.
position des usagers.
couvrant les dix dernières
et les prévisions vont
ces
dix
f fres ont, dans la plupart
ns taux d'augmentation atas de fléchissement signiprévisions vont toutes
d'augmentation prévus sont
me-U1ni, de li pour cent en
unisie, de 15 pour cent à
gmentation modérée. L'Inde
se borne à noter que les calculs prévisio nels dépendent du nombre
t une stabilisation, voire
urne
de
transmission
des
Le secteur des
se distin2ue par une franche diminution du trafic durant les dix dernires années dans plus de la
moitié des pays qui ont fourni des indica!tions sur ce point dans
leur réponse au questionnaire. Il s'agi dans tous les cas de pays
déve1opés: Australie, Autriche, Belgi ne,
Brésil, Etats-Unis
(Western
Union),
Finlande, France, Irlande, Italie, Japon,
Luxembourg, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas,
Royaume-Uni,
Singapour
(stabilisation) ; seule, dans ce group
la Beigigue prévoit une
augmentation dans les prochaines années.
pour les autres pays qui, sauf la Su de, n'appartiennent pas au
groupe des pays les plus avancés, les s rvices télégraphiques se
sont développés au cours des dix derniè es années et un nouvel accroisseroent est prévu pour les années à y nir: A1gentine, Bulgarie,
Chili (prévisions: augmentation de 4,8 p ur cent par an), Col000bie,
îles Gilbert (en dehors de la ville de Tarawa, toutes les
communications se font par télégraphe) Ind:e, Indonésie, Nigéria,
Pérou, Suède, hailande, Turguie. Pour u certain nombre de ces
pays, le télégraphe est un instrument important de communication
maritime.
Dans les services finançjrs, qui cc sortent les
taux, virements, mandats et, parfois, 1'
certaines régressions du nombre des opéra
lée. Dans la plupart des cas, une augni
l'ensemble des services financiers, s
tendance à la diminution des opérations e
remarque une diminution constante des
chèques pos-
arg:ne postale, on observe
ions sur la décennie écountation est prévue pour
me si on note une certaine
numéraire. Cependant, on
services financiers en
Australie, où il est prévu que cette dimi ution persistera.
En résumé, le volume des services re dus, au cours des dix dernières années, par les postes et téléc romunications dans leur ensemble a connu une augmentation considéra le et assez régulière, et
il est vraisemblable que cette expansi n continuera, même si certains services croissent plus rapidement ue d'autres.
-9ns l'exoittion et_1k
concetjo des services
volution
L'expansion générale des services de postes et télécommunications dans la dernière décennie, le mangue global de main-d'oeuvre
dans les pays industrialisés, la technicité de plus en plus grande
des sociétés industrielles et le besoin de communications rapides et
sôres ont conduit à des modifications technologiques nombreuses,
voire à des innovations dans ce secteur.
Certains de ces changements seront décrits plus loin. Qu'il
suffise de mentionner ici que les innovations les plus spectaculaires, comme l'utilisation des satellites dans les télécommunications, coexistent avec des modifications plus discrètes, telles la
généralisation de l'emploi des ordinateurs, l'automatisation d'un
grand nombre d'opérations, l'amélioration de certains matériels, gui
ont déterminé, dans les services de postes et de télécommunications,
La
une évolution profonde et qui est loin d'ôtre terminée.
technologie des télécommunications fait appel aux techniques les
plus avancées; dans les postes, en revanche, il s'agit plutôt de la
mécanisation, quelquefois de l'automatisation, d'un certain nombre
de manipulations. Cette différence importante ressort très nettement
industrie de
des réponses au guestionnaire les postes sont un
utilisant du personnel manuel pour la plupart; quant
main-d'oeuvre,
aux télécommunications, elles exigent d'importants investissements
en capital et requièrent un personnel hautement qualifié.
services postaux sont
si les
Du point de vue économique,
souvent déficitaires, les télécommunications, gérées sur la base de
critères d'efficacité et de rentabilité, sont en général bénéficiaires. On voit ainsi se dessiner une tendance à la séparation des
moins au niveau de l'organisation.
au
deux types de services,
Cependant, les méthodes d'exploitation de type commercial adoptées
par les télécommunications semblent s'imposer de plus en plus dans
les services postaux également. Il en résulte que les services des
postes et télécommunications tendent à prendre une place à part
arini les services publics.
Cette tendance se marque surtout par une certaine autonomie,
notamment en matière de gestion. Parf ois, elle se traduit par une
décentralisation: la Colombie, par exemple, désigne son administrapostale
nationale comme étant une institution publique
tion
décentralisée; le Honduras, de son côté, signale que ses services
et
télécommunications seront transformés en une
des
postes
entreprise publique décentralisée à partir de janvier 1977. Ailleurs, il s'agit d'une réorganisation totale, comme c'est le cas au
Royaume-Uni, où le Post Office comporte quatre divisions distinctes
les télécommunications, le
les services postaux,
et autonomes:
traitement des données et les services financiers. Une restructuration des postes et télécommunications est à l'étude au Danemark,
avec réorganisation et introduction de nouveaux principes de gestion
(comme, par exemple, certaines délégations de responsabilité et de
ccmpétence au personnel).
La notion d'entreprise publique apparatt souvent dans les
n fait, dans ces cas, l'entreprise est
réponses au questionnaire.
et son
une réglementation juridique particulière,
à
soumise
autonomie financière est en général très étroitement délimitée;
en ce qui concerne les prestations, l'entreprise est
d'autre part,
tenue d'offrir des services au plus grand nombre possible de
personnes, à des prix tarifés, parfois à perte.
- 10 -
"service pub ici' conserve donc, dans
La
conception
de
techniques
l'ensemble, sa
valeur
malgré
l'int odudtion
de
commerciales
dans les postes et té]. communications.
titre
À
d'exemple, on notera la formulation austr lieine (loi de 1975 sur
a
les télécommunications,
article 6):
commis±on exerce ses
fonctions de manière à répondre au mieux ux besoins sociaux, industrie].s et commerciaux du peuple australie en matière de services de
télécommunications, et, pour autant qu'el e le juge raisonnablement
la commission met ses services à la disposition de toutes
possible,
les personnes dans toute l'Australie qui n font raisonnablement la
demande."
On
trouve une formule analogue dans la description des
buts du Post Office du Royaume-Uni.
La Tunisie décrit ainsi sa
situation: "Bien qu'étant considérée coame une entreprise publique
à caractère industriel et commercial, conpte tenu de ses activités
n'est dotée ni de la
essentielles,
PAdministration des PT
personnalité morale, ni de l'autonomie fiancière et se trouve par
conséquent soumise au régime juridique d'hin service d'Etat."
Ces deux conceptio, celle de se vice social ou service public, et celle d'entreprise commerciale,
sont à certains égards
antagonistes et ne manquent pas de
réei des malaises quand il
s'agit de l'organisation, de la gestion,
aire de la définition des
services de postes et télécommunications.
Statut juridiue
les remarques gui précèdent le laissent entrevoir, il
Comme
est diffic.i.le de classer les services de postes et télécommunica-
tions d'après un statut juridique précis.
Parmi les pays pour lesquels des renseignements étaient disponibles, près des quatre cinquièmes ont des adjiinistrations
des PTT
plus ou moins décentralisées, rattachées au système des services
publics. Dans trois cas sur quatre, il s'agit d'une administration
unique;
pour le reste, ce sont deux admi1nistations séparées, l'une
pour les postes (parfois postes et télégraphe), l'autre pour les
télécommunications.
De la notion de srvice
public, certains pays sont passés,
comme on l'a déjà vu, à une conception d'entreprise publique: il
s'agit surtout de conférer un caraàtère p.us "commercial" à l'entreprise, qui jouit, en général, d'une cetaine autonomie administrative, mais dont le budget reste intégré ou annexé au budget de
l'Etat.
En matière
de
gestion financière, les coûts doivent être
couverts par les revenus, et les prix sot en général calculés sur
la base du prix de revient.
I
la plupart des pays qui ont r4ond* au questionnaire, les
services postaux sont une administration publique. Si, dans certains
pays, ils fonctionnent comme ne entreprie à caractère commercial,
ils ne
sont nulle part constitués en sociétés. Les Etats-Unis sont
un cas particulier: depuis 1971, le servJce postal y est un "établissement autonome rattaché à l'exécutif du qouverneinent".
Dans
Dans un certain nombre de pays, les télécommunications sont
partiellement ou totalement gérées, soit par 1ne société à capital
d'Etat,
soit par une société à participatiox majoritaire de l'Etat
et dont le statut juridique varie de corporation d droit public à
société privée ou mixte. Dans la plupart des cas, ces sociétés sont
d'un
soumises à l'autorité et au contrôle, au soins indirect,
ministère ou d'un département d'Btat.
Enfin, dans quelques pays, les télécommunications sont entièrement ou partiellement entre les mains de sociétés privées. Dans ces
cas aussi, l'Etat exerce un contrôle, soit par le biais de réglamentations générales du secteur des télécommunications, soit par
l'intermédiaire de commissions spéciales chargées de la coordination
et de la surveillance des télécommunications.
Il faut noter finalement quelques situations particulières: en
Turquie, l'administration des postes et télécommunications est semigouvernementale; les services des postes et télécommunications de
l'ouganda, du Kenya et de la Tanzanie font partie d'un service régional de l'Afrique orientale depuis 1967; les télécommunications
internationales sont gérées par l'East African External communications Limited.
Le statut des postes et télécommunications dans une quarantaine
de pays pourrait 6tre somwairement présenté comme suit:
PTIj une seule adminij:
Algérie, République fédérale d'Allemagne, Autriche, Bangladesh,
(ministère), Cameroun, Danemark (rattachée au minisBulgarie
plus trois
Pinlande
tère des Travaux publics), El Salvador,
compagnies privées de téléphone), Prance, Ghana, tles Gilbert
(département du
Irlande
Irak,
du gouvernement),
(division
gouvernement), Luxembourg, Badagascar, Maurice (département du
gouvernement), NouvelJ.e-Zélande (département du gouvernement),
démocratique allemande, Soudan, Sri Lanka,
Pérou, République
Tiiaîlatde (département du gouvernement), Tunisie.
Deux admiistations sépées:
Australie (Postai. Commission; Telecommunications Commission),
(deux régies), Colombie (l'administration postale naBeigique
tionale est un "institut public décentralisé"; les télécommunications ont la forme d'une entreprise publique), Inde (deux dé"entreprises
(deux
partements du gouvernement), Indonésie
(deux "agences autonomes", plus quelques sod'Etat"), Italie
enciétés privées), Malaisie (les télécommunications sont une
(deux
Pakistan, Philippines
Norvège,
publique),
treprise
des
bureaux relevant du département des Travaux publics,
(deux
administrations
Suède
Transports et Communications),
conçues comme des entreprises commerciales), Tonga.
Au Canada, les postes sont une administratiqn; diverses sociétés privées desservent les télécommunications.
Une seule enrise ub),qj:
(Empresa nacional de Correos y Telégrafos (Encotel);
Argentine
pour les télécommunications, cette entreprise publique est de
Correios e
de
(Empresa Brasiléira
Brésil
privé),
droit
Telégrafos: gère 50 pour cent des communications télégraphiques
et la totalité des communications entre Etats fédérés), Côted'Ivoire (office), Haute-Volta (office), Pays-Bas (rattachée au
ministère de la Circulation), Royaume-Uni (Post Office: relève
- 12 -
du département de l'Industrie et
omporte guatre
divisions
séparées:
services postaux, télécom unications, traitement des
données, services financiers), Suiss
Tchad (Office des postes
et télécommunications).
Socités de télécommunicpious (d'Et t ou
à participation d'Etat):
Argentine (Empresa nacional de te
Chili (Empresa naciona]. de telecoinun
de
teléfonos
de Chile),,
Espagn
responsabilité limitée: 50 pour
l'Etat),
Hong-kong
(Hong
Kong T
compagnie publigue),
Italie
(Azien
Telefonici:
société à responsabi].
Telegraph and Te].ephone public Corp
(Telecommunica tians Authority 0f Sin
ecomunicaciones
(Entel)),
caciones (Intel), Compaflia
(compagnie nationale à
ent de participation de
lephone Company Limited:
statale
a
dei
Servizi
té limitée), Japon (Nippon
ration
(NTT)),
Singapour
apour incorporated).
Barbade (Cable and Wireless Limited)
télégraphe), Canada
(Bel].
Corpora
Chili
(ITT Comunicaciones
mundial
sociétés de téléphone concessionnair
American Telephone and Telegraph
nombreuses autres sociétés comme la
Finlande
(63
sociétés privées de t
and Wireless timited,
service ou
italiana per l'esercizio telefoni
Japon (KDD (Kokusai Denshin Deniva C
ticnale des téléphones et télégrap
ticns internationales)), alte (cêbl
ticns internationales)), Philippines
the Philippines Incorporated (radio-
Brésil (société privée de
ion plus guelgues autres),
s, SA),
Danemark
(trois
s), Etats-Unis (téléphone:
ATT, Beli System) , plus de
estern Union Telegraph),
léphone), Hong-kong (Cable
re-mer),
Italie
(Societé
o, Italcable, telespazio),
Ltd)
(Société internaes pour les télécommunicas et radio (télécommunica(Radio Communications of
Autonomie administrative e
élégaphe)).
jnancière
On
s'est efforcé de donner à l'an exe X, sur la base des réponses au guestionnaire,
une idée du
degré
d'autonomie
dont
jouissent les services des postes et télé ommuica tians.
Cette question est importante aussi
travail gue pour la situation de l'emp
La possibilité de mener, au niveau des se
table politigue du personnel dépend è
d'autoncmie. Les décisions en matière
mination des gualifications exigées, la f
la discussion des méthodes ou de l'organ
exemples des domaines où cette possibilit
dans des limites étroites.
ien tour les conditions de
oi du personnel intéressé.
vices concernés, une vérirectement de leur degré
de recrutement, la déterxaticn des rémunérations,
sation du travail sont des
risgue d'être contenue
Il
ne s'agit pas seulement de l'a tonomie administrative. Un
service peut être libre dans une certaine mesure de gérer son personne]. comme il l'entend (engagement dir ct, par exemple), mais son
degré d'autonomie financière tracera les imites de sa ttmarge de
manoeuvre" dans des domaines tels gue 1 fixation des salaires, la
création de nouveaux postes de travail,
]'engagement de personnel
- 13 -
supplémentaire, voire la participation aux bénéfices, etc. D'autre
part, le
degré d'autonomie financière
conditionne la
liberté
d'investir
en
équipements
modernes.
L'introduction
de ces
équipements, à son tour, a des conséquences sur les conditions de
travail et sur les possibilités d'emploi.
cette question d'autonomie est évidemment liée celle du staA
tut du personnel (voir chapitre suivant) . malheureusement, les mdications dont on dispose sont en général insuffisantes pour savoir
quelle est l'autorité gui a le pouvoir de décision ultime dans telle
ou
telle matière. Du point de vue du personnel, il s'agit en somme
de savoir qui est l'employeur. 0E il n'est pas toujours possible de
répondre clairement à cette guestion.
- 14 -
CHAPITRE II
LESQNN
DES SRVICE DES POSTES RTTELQNNICATIOS
Au cours de la période 1965-1975, da
l'accroissement des activités des pos
coincidant avec la tension gui a régné s
son ensemble pendant la plus grande parti
duit dans ce secteur par une pénurie de p
été plus marquée dans les services postan
gui ont été largement automati
cations,
de développement, la situation a été dif f
comme dans le reste de l'économie
fecté,
sonnel gualifiét.
s le pays industrialisés,
es et télécommunications,
le marché du travail dans
de la période, s'est trarsonnel. Cette pénurie a
que dans les télécommunides. Dans les pays en voie
rente: la pénurie n'a afque les cadres et le per-
Il ressort des réponses au guestio flaire que le personnel des
postes et télécommunications devrait cont nuer à croitre, mais selon
un taux réduit: l'accroissement prévu des. activités devrait entrainer une certaine augmentation du nombre es emplois dans les postes
tandis que, dans les télécommunication, l'automatisation d'une
grande partie des opérations aura sans doute pour conséquence une
stabilisation du nombre global des personfles employées. On reviendra
sur cette question au chapitre IV.
t,t_iisue du
sonnel
Deux caractéristiques frappantes res o.rtent de l'examen du stas réponses au questiontut du personnel tel qu'il apparait dans
naire (voir annexe 11)2.
D'une part, dans 80 pour cent des
semble ou une partie du personnel est sou
tion publique. Dans quelques cas, il s'a
proche, comme en Australie. Parfois le st
naires est modifié ou complété, en ce gu
postes et télécommunications, par des dis
le cas, par exemple, en Norvège, en Nouv
en
cas (36 cas sur 5), l'enis au statut de la foacit d'un statut assimilé ou
tut général des fonctionconcerne les employés des
c'est
ositions spéciales:
lle-Zélande, aux Pays-Bas,
unisie.
D'autre part, dans le cadre national le statut du personnel
des postes et télécommunications est r reme!mt homogène. Dans neuf
Cdte-d'I oire, HaiEice,
Nigéria,
pays seulement - Bangladesh,
Ihai1ande, Tonga -, le
Nouvelle-Zélande,
Philippines,
Sri Lan a,
seul statut indiqué pour l'ensemble du pe sonnel est celui de la
fonction publique. I]. faut y ajouter ing pays où tel est le cas
s r
quelques problèmes de
iVoir A.H. Brooks: "Considérations
fornaticn professionnelle pout les télé ommunications en Afrigue",
583des télécommunications (Genève, U T), aofit 1971, pp.
Jou
587.
oir également Conditions
l'ensemble de la question,
82
du Bersonnel des Bostes, Etudes postales, n°
(Berne, UPU, 1969)
Sur
- 15 -
pour les services
Indonésie, Japon.
des
postes:
Etats-Unis,
Guatemala,
Hong-kong,
Dans la majorité des cas, le statut du personnel présente une
grande complexité. Ainsi, en République fédérale d'Allemagne, les
(Beamte), les employés (Angesteilte) et les ouvriers
fonctionnaires
professionnels (Arbeiter) sont régis par trois statuts distincts. En
(VertragsAutriche, on distingue les fonctionnaires des employés
dont les conditions de travail et d'emploi sont régies
edienstete)
en
par un contrat ae droit privé et par diverses lois spécifiques;
outre, les responsables de bureaux auxiliaires sont soumis à un conEn Belgique, les "agents statutaires" sont les
trat particuliert.
et le
agents "définitifs" (soumis au statut des agents de l'Etat)
perscnnel temporaire (soumis au statut des agents temporaires et au
statut du personnel ouvrier temporaire); le personnel auxiliaire est
régi par un arrôté royal et les agents de complément sont sous contrat privé de travail ou d'emploi. Au Cameroun, on trouve des fonctionnaires, des contractuels (contrat de droit administratif) et des
En
textes réglementaires).
par divers
(régis
agents de l'Etat
aux fonctionnaires s'ajoutent les empJ.oyés (contrat de
Finiande,
droit privé), c'est-à-dire les mécaniciens, le personnel technique
général, les porteurs de télégrammes, les distributeurs de jouren
naux du matin; certains emplois spéciaux obéissent à des contrats de
fonction publique) : il s'agit de
à
la
droit public (assimilés
responsables de bureaux locaux, de certains opérateurs des téléphoetc.
En
nes, de certains préposés à la distribution du courrier,
et les non(fonctionnaires)
on distingue les titulaires
France,
titulaires (auxiliaires et contractuels).
Les postes et télécommunications de l'Inde comptent dans leur
personnel les fonctionnaires confirmés, des agents regroupant les
fonctionnaires non confirmés et les employés.à temps partiel, et les
ouvriers pofessionneis. Au Lucembourg, à côté des fonctionnaires,
mais avec un statut assimilé, on trouve les "employés de l'Etat"; on
et les
en
outre, les ouvriers "à tEche complète"
distingue,
auxiliaires "à tache partielle", dont les conditions de travail sont
fixées par convention collective.
Seul un statut spécial parait s'appliquer au secteur des télécommunications en Indonésie, aux employés de la NTT au Japon, aux
employés des postes et télécommunications en République démocratique
allemande (Postdienstverordflung).
Dans certains pays, les employés des postes et télécommunications sont sous le régime de l'emploi public, régime distinct à la
postes;
(Chili:
fois de la fonction publique et du régime général
Italie). En Turguie, les employés des services des postes
Colombie,
et télécommunications seront soumis à une loi (actuellement en plojet) sur les entreprises économiques d'Etat.
Dans quelques pays, les employés des postes et télécommunications scnt régis par le Code du travail ou la législation générale
C'est le cas, par exemple, au Brésil, o, dans les
du travail.
services postaux, les fonctionnaires ne représentent plus, à la
suite d'une réorganisation, que 5 pour cent du personnel, alors que
ILes responsables de bureaux auxiliaires, de bureaux de village
zone rurale ont fréquemment un statut particulier (par exempie: Autriche, Finlande, Irlande, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni).
ou
en
- 16 -
C'est le cas en
sont établis suivant un
secteur
des
dans le
leurs relèvent du Code du
munications sont assurés
apon, ITT Comunicaciones
tions, Incorporated,
aux
aux Etats-Unis, etc.), les
gies par la législation
leur prpportion était de 85 pour cent en
Bulgrie, où cependant les traitement
Au
ChiJ.i
barème officiel particulier.
les travai
(Entel),
télécommunications
travail. Lorsque les services des téléco
(KDD
au
par
des
sociétés privées
mundiales, SA, au Chu, Radio Comuiunic
Philippines,
Western Union (télégraphe)
relations de travail sont naturellement r
sociale ordinaire,
1971.
r
les fonctionnaires eux-mômes, on note, dans de nombreux
Irlande, les fonctionpays, des différences de statut. Ainsi, e
naires confirmés se distinguent des fontionnaires qui travaillent
à temps partiel ou de manière temporaire ou encore gui sont
stagiaires. En Nouvelle-Zélande, on compte les fonctionnaires permanents, les fonctionnaires temporaires, lers foictionnaires hors classement (sans stage). Aux Pays-Bas, on distigue les fonctionnaires
dûment nommés (après un stage de un à deu ans) des fonctionnaires
"partiels", c'est-à-dire stagiaires, ou n'ayant pas encore atteint
l'âge de vingt et un ans. A Sri Lanka, suivant leur grade, les
fonctionnaires relèvent d'autorités de contrôle différentes. En
Tunisie, en plus du statut général de
.a
fonction publique,
il
existe, pour les postes et les servides fi,nanciers, un statut du
perscnnel d'exploitation et, pour les télécommunications, un statut
des cadres techniques de l'administratioi et un statut du personnel
ouvrier.
Parmi
Les caractéristiques générales de 1a fontion publique (sécude l'emploi, structure de carrière, caiactère unilatéral - du
moins dans la plupart des pays - des décisions concernant les conditions d'emploi, etc.)
se retrouvent également pour les employés
des postes et télécommunications dont le statît juridique est celui
des fonctionnaires.
rité
I
Les questions particulières à la datégozie des fonctionnaires
système
et ccncernant, par exemple, les critères d'avancement,
le
des promotions, la structure des salaires, le droit d'organisation
et de négociation collective1 se posent parfois avec plus d'acuité
dans les postes et télécommunications en raison de la parenté qui
existe entre de nombreux emplois de c
secteur et les emplois
corxespcndants des secteurs industriel e commercial.
En résumé, devant l'extrôme diversié de conditions du persondvant la multiplicité des
nel des postes et télécommunications,
statuts juridiques, on est tenté d'arriver à une conclusion simplifiée: il y a, d'une part, la grande majorité du personnel des postes
et télécommunications, soumis à un régime statutaire, c'est-à-dire
dont les conditions de travail et d'emploi sont fixées entièrement
ou en partie par des actes d'autorté
pas
(ce qui n'exclut
ipour ces questions, on se référera
Commission paritaire de la fonction publi
ment raports I et III (BIT)) et à ceu
sur la fonction publique, Genève, 1975
"Liberté s
(BIT)).
Voir aussi BIT:
détermiaation des conditions d'emploi da
Conférence internationale du Travail,
rapport VII (1)
utilement aux travaux de la
que, Genève, 1975,
(notamde la Conférence technique
otamment raqrts I et
ndicale et procédures
s
II
de
la
fonction publique",
63e sehsion, Genève, 1977,
- 17 -
nécessairement certaines formes de négociation collective ou,
moins, de consultation); d'autre part, une partie du personnel
relève du contrat
s'agit en général de catégories précises)
travail ordinaire ou d'un contrat particulier. Dans le cas
(télécommunications), il va de soi que
privées
sociétés
législation ordinaire du travail s'applique.
au
(il
de
de
la
ersonnel de com2lément
L'emploi temporaire ou à temps partiel, ou l'emploi auxiliaire,
répond la plupart du temps à une nécessité due aux fluctuations périodiques du trafic'; il peut s'agir aussi de remplacer le personnel
régulier absent. Le travail à temps partiel est souvent décrit comme
le
travail temporaire est généralement à plein
étant permanent,
temps et saisonnier.
Le travail temporaire ou à temps partiel n'existe pas partout.
dans le secteur des téj.écominunications (Entel), les
Argentine,
emplois à temps partiel ont été éliminés; en ce qui concerne
l'emploi temporaire dans le même secteur, il est indiqué que cette
forme d'emploi a été éliminée, mais qu'il est cependant possible d'y
recourir en cas de surcharge saisonnière. Au Chili, il n'y a pas
d'emploi à temps partiel; on ne recourt à un personnel de remplacement (temporaire par définition) qu'en cas de congé de maternité ou
pendant les périodes de congés annuels du personnel. L'Indonésie
conna.t le travail saisonnier mais non le travail à temps partiel.
Italie, il n'y a pas de travail à temps partiel dans le secteur
En
public des téléphones. Les télécommunications internationales au
n'engagent pas de personnel à temps partiel ni tempo(KDD)
Japon
a
raire, sauf pour certaines tâches simples de courte durée. Il n'y
pas d'emploi temporaire dans les postes et télécommunications en
Turguie.
En
Certains pays signalent une augmentation du personnel tempoou à temps partiel due à l'introduction de nouvelles technologies (il s'agit alors souvent de mesures destinées à éviter des
licenciements ultérieurs de personnel régulier: cette question sera
traitée plus loin).
raire
Parfois, le travail à temps partiel est présenté comme une
devant permettre aux mères de jeunes enfants de concilier
responsabilités familiales et l'activité professionnelle (ou un
analogue), mais il s'agit alors de cas très limités (par exemple,
France et au Japon).
sure
me-
les
but
en
Les personnes employées à temps partiel sont parfois amenées à
travailler à plein temps lorsque le trafic de fin d'année ou de
saison touristique devient particulièrement important. On signale,
une
qui consiste en
en Suède, le temps partiel "comprimé",
alternance de journées travaillées à plein temps et de journées sans
travail.
est
parfois limité dans le temps:
temporaire
L'emploi
Argentine: £4 mois; Cameroun: 3 mois; Etats-Unis (postes): 21 jours;
Italie: 90 jours; 1oyaume-Uni (emploi journalier): 12 semaines.
'Voir annexe IV.
- 18 -
Pour les emplois temporaires, les p stes et télécommunications
engagent souvent des étudiants, parfois d s chêmeurs.
Le statut juridique du personnel tes
rarement précisé. En Belgigue, le pe
par des dispositions spéciales: le statut
le statut du personnel ouvrier temporaire
à temps
partiel sont classés parmi le
travailleurs à temps partiel ou teinpora
mais non confirmés. Au Luxembourg, les au
sont soumis à la
législation sociale
personnes travaillant à temps partiel, ma
sont considérées comme étant des fonc
vaillent à moins de 50 pour cent et les
sont soumis à la législation sociale ord
tionnaires temporaires en Nouvelle-Zéland
Pays-Bas,
prévoit la possibilité de nom
stage, le personnel temporaire ou à temps
plus de 50 pour cent.
oraire ou à temps partiel
sonnel temporaire est régi
des agents temporaires et
En Ende, les travailleurs
"agents". En Irlande, les
tes sont fonctionnaires,
iliaires à tâche" partielle
ordinaire. En Norvège, les
5 à plus de 50 pour
cent,
ionnaires; celles qui tratravailleurs temporaires
flaire. Il existe des foncUn projet de loi, aux
et fonctionnaire, après un
partiel qui travaille à
Les chiffres fournis dans les répons
nant les effectifs du personnel de cosp
tirer de conclusions générales, notamment
des effectifs à plein temps, à temps pa
bornera donc à guelgues données et remarq
s au questionnaire concerément ne permettent pas de
sur l'importance comparée
tiel et temporaires. on se
Le tableau 2 indique, pour les poste
répartition des emplois permanents
partiel, par catégorie, et entre hommes
d'abord l'importance de
l'emploi à te
suédoises, puis la forte proportion de
partiel:
elles sont plus nombreuses g
plein temps, d'une part7 et représentent
à temps partiel, d'autre part.
de la Suède,
quelle est
à
plein temps et à temps
t
femmes. On remarquera
ps partiel dans les postes
esses employées à temps
e celles qui travaillent à
O pobr cent du personnel
est
la
es.
- 19 -
Tableau 2
Suède jostesL - EmElois permanents
L.E2_ar tiel
Traitement du
courtier
Total
Rosses
Femmes
16 570
15 326
1 244
Total
Hommes
Femmes
15 503
Guichet
Total
Hommes
Femmes
7 972
1 166
6 806
Total
Hommes
Femmes
5 659
177
5 482
Bureau
Total
Hommes
Femmes
4 891
128
14
763
Total
Hommes
Femmes
2 075
Total
Hommes
Femmes
1 623
1 345
278
Total
Hommes
Femmes
10
Total
Hommes
Femmes
1 716
1 481
235
Total
Hommes
Femmes
3 925
133
Hommes
Femmes
32 772
19 446
13 326
Hommes
Femmes
Administration
Divers
TOTAL
Source: BéVonses au guestionnaire.
9 43].
6 072
147
2 028
3
7
2 0714
25 454
9 791
15 663
- 20 dans les services p staux, sur 2.301 personnes
En Australie,
employées à temps partiel., 2.003 sont des femmes; dans les télécommunications, sur 1.630 personnes à te ps partiel, 1.556 sont des
femmes. En Norvège, dans les postes, sur 4.603 personnes à temps
parUel, 3.029 sont des femmes. Aux Pays- as, ces chiffres sont respectivement de 16.454 et de 7.380 femmes1
En Autriche, le nombre des employés à plein temps (53.752) est
en augmentation par rapport à 1965 (48.39 ), tandis que les emplois
à temps partiel (2.479) ont diminué légèr ment (en 1965, ils étaient
au ncmbre de 2.523) et que le nombre du persônnel temporaire est à
peu près stable depuis 1956 (aux alentour de 2.000)
En Australie, dans les postes, 33.66 emplois sont permanents
à plein temps, 2.301, permanents à temps artil, 8.122, temporaires
à plein temps. Dans les té1écomsunication, on note une êugmentation
du personnel permanent à plein temps 88.3l5) par rapport à 1967
(74.214), une diminution du personnel à emps partiel (1.630; en
1967: 2.302) et du personnel temporaire 22.534, soit 25 pour cent;
en 1967: 30 pour cent).
En Belgique, dans les services posta x, on note les chiffres
suivants: emplois à plein temps: 51.161 (dont 20 pour cent e f esmes); à temps partiel: 2.423 (dont près d 80 pour cent de femmes)
temporaires: 12.838 (dont un peu plus de O polir cent de femmes).
Dans le cas de la France, enfin, e viron 100.000 travailleurs
des postes et télécommunications, soit
sur 4, sont des norttitulaires, c'est-à-dire en guasi-tota ité des auxiliaires (les
contractuels sont en nombre insignifiant) En principe, les contrats
d'auxiliaire devraient être de durée limi ée (donc "temporaires")
en fait, il s'agit le plus souvent d'empl is dtirables.
Si l'on ne peut tirer de conclusion générales de ces quelques
indications, on peut au moins remarquer ge, en tout cas pour cer-
tains pays, la forme du travail permane t à temps partiel est loin
d'être une pratique marginale et qu'elle cncerne souvent une proportion impgrtante de femmes. Le travail emporaire parait être plus
important dans les services postaux, o il permet de répondre aux
besoins des périodes de trafic intense: i s'agit, dans un grand
nombre de pays, semble-t-il, d'une pratgue habituelle à certaines
saisons de l'année.
Niveau de formation du ersotinel
Les indications fournies sur le niveu de formation scolaire ou
universitaire du personnel sont trop frag:entaires pour que des conclusions valables au niveau international puissent en être tirées.
Les réponses de la Belgique et de 1 Italie mettent en évidence
le lien étroit qui existe entre le niveau d'instruction et la car-
rière.
'Les
effectifs
de
personnel
à ple-n tenps sont les suivants:
Australie: postes, 33.666; télécommuniatio»s,
postes, 13.836; Pays-Bas: postes, 69.093.
88.315;
Norvège:
- 21 -
Dans de nombreux pays, des cours de formation internes aux étade postes et télécommunications sont dispensés au personnel d'exécution afin de le mettre en mesure d'acquitter la têche
correspondant à son poste, laquelle réclame un certain niveau d'insCette corrélation entre poste et instruction est clairetruction.
ment affirmée par le Pakistan: quelle que soit la formation interne,
la formation primaire mène aux occupations manuelles, et le personnel de bureau a reçu une instruction de niveau secondaire; quant aux
titulaires d'une licence de l'université, les fonctions de direction
leur sont réservées. on retrouve une sittiation analogue dans les
postes suédoises: la formation primaire (plus une formation interne)
suffit pour le personnel de guichet, tandis que la formation secondaire est demandée pour les emplois administratifs.
blissements
2e niveau secondaire est un minimum exigé
Aux îles Gilbert,
jfl5uCtjofl secondaire ellepour la titularisation, mais, comme
assez récente, le personnel âgé ne répond pas
même est
à cette condition. En Italie, le minimum d'instruction exigé du personnel d'exécution est le premier cycle du niveau secondaire; pour
accéder à la direction, il faut au moins une licence universitaire.
d'institution
qui n'ont reçu qu'une instruction primaire forLes personnes
ment plus de la moitié du personnel dans un certain nombre de pays:
les postes: 80 pour cent; dans les télécommunica(dans
Australie
tions: 59 pour cent) ; Canada (Beli: 79 pour cent) ; Côte-d'Ivoire
50 pour cent) ; El
(titulaires du certificat d'études primaires:
pour
(53
Salvador (62 pour cent); France (66 ppur cent) ; Hong-kong
Equateur, 45 pour cent du personnel sont de niveau pricent) .
En
maire, 41,5 pour cent de niveau secondaire (et 4,5 pour cent de niveau universitaire).
Dans certains pays, c'est le perscnnel issu de l'enseignement
pour
46
seccndaize qui représente la plus forte proportion: Pérou:
cent; Philippines: 50 pour cent; Royaume-Uni: la quasi-totalité; Sri
Lanka: 80 pour cent (5 pour cent de diplômés de l'université); Suède
70 pour cent (y compris les personnes issues
les postes):
(dans
d'une école technique); Thailande: 40 pour cent (si l'on compte les
ont une formation professionnelle) ; Turquic 55 pour
personnes
ui
est
situation
universitaire: k pour cent) . La
(niveau
cent
particulièrement frappante au Japon où, dams les postes et les télé(NTT), 95 pour cent du personnel ont eu une instruccommunications
de
tion de niveau secondaire. Dans les postes, le plus grand nombre
ceux-ci ont suivi les cours de l'enseignement secondaire du deuxième
(KDD), la proportion
Dans les télécommunications privées
cycle.
avoisine 75 pour cent et le nombre de diplômés de l'université est
relativement important: 16 pour cent.
n'y a guère de conclusions à tirer de ces quelques données,
Il
sinon que le secteur des postes et télécommunications dispose,
semble-t-il, d'un personnel pourvu d'un niveau général de formation
relativement élevé. Encore faudrait-il mettre ces données en relation avec le niveau d'instruction générale et le système scolaire du
que l'on peut sans doute affirmer, cependant,
Ce
pays considéré.
c'est que, dans le secteur des télécommunications, l'utilisation et
surtout l'entretien d'un équipement technique de plus en plus comEn revanche,
plexe nécess.tent un personnel hautement qualifié.
(en particulier dans le traitement du
nombre d'activités postales
courrier) restent relativement simples; on continue, par exemple, de
recourir dans ce domaine à des formes de travail manuel qui ne
requièrent pas un niveau élevé de formation. On peut se demander si
- 22 -
ces développements ne vont pas se tradui
d'oeuvre, par l'emploi prépondérant de
élevée dans les télécommunications, les p
travaux moins complexes, une importante
formaticn primaire ou de formation second
à accentuer les diff é
qui contribuerait
de services.
Ré2artition du
esonnel
29A
en matière de mainersonnel de formation plus
stes employant, pour des
proportion de personnel de
ire du premier cycle,
ce
ences entre les deux types
e,
a. catégories
T
De nombreux pays ont fourni dans leu
réponse des renseignements sur la répartition du personnel p r catégories d'emplois. Il
ne parait pas possible d'en tirer des don ées significatives au plan
international. Les indications sont en ef et, êoit extrêmement détaillées, soit, au contraire, schématisée.; il et donc difficile de
les ccrnparer. On â toutefois réuni, dans l'annexe VI, les données
recueillies gui pourraient, le cas échéant, se révéler utiles dans
l'examen de telle situation particulière.
Les
modifications technologiques ont, sur les structures
professionnelles de ce secteur, une infliience comparable à celle
qu'elles
exercent
dans
l'ensemble de l'économie:
ainsi,
le
pourcentage des travailleurs manuels tend à diminuer, tandis que
celui
du
personnel administratif et des techniciens tend à
augmenter.
Les fonctions d'exécution
ont
remplacées par
des
fonctions de surveillance, de contrôle,
'entretien. On a constaté,
par exemple aux Pays-Bas, dans les postes et télécommunications, une
réducticn des effectifs totaux d'eraplo és, mais le nombre des
spécialistes de niveau supérieur (écono.istes, comptables, psychotechniciens) s'est accru dans des proportons importantes. Aux niveaux intermédiaires, de nouveaux postes ont été créés: analystes de
systèmes, programmeurs, instructeurs de d verses catégories'.
Cette évolution ne peut manquer de s répercuter sur les hasoins
de formation, comme on le verra p1 s loin, en ce gui concerne
tant l'instruction et la formation de bas
(question de portée gbbale) que la formation dans l'entreprise.
on
peut enfin constater que la ré artition des hommes et des
femues par catégories d'emplois est très négaLe (voir également cidessous, "Emploi des femmes").
Les classes d'âg.
Les indications relatives aux cla
telles qu'elles sont reproduites à l'anne
comme des ordres de grandeur et non
d'uné part, les décomptes varient d'un p
part,
tous les pays n'ont pas donné
utilisables.
'Voir:
OCDE:
Rapport final (Paris, 1966), pp. 36 et 37
ses d'âge du personnel,
e VII, doivent être prises
omme des chiffres absolus:
ys à un autre,
d'autre
e reseignments également
et main-d'oeuvre,
- 23 -
On se bornera donc à noter que la proportion des personnes
de
moins de trente ans dépasse 50 pour cent dans quatre cas
- Colcmbie (télécommunications), Norvège (postes), Nouveile-Zélande,
Turguie - et qu'elle est inférieure à 20 pour cent dans trois cas
- Equateur, Etats-Unis, Pérou.
âgées
ce qui concerne la proportion des personnes âgées de moins
En
(Etats-Unis,
de quarante ans, elle se situe entre 40 pour cent
(Colombie (télécommuet plus dc 80 pour cent
Western Union)
nications), Thailande, Turqule). Les Etats-Unis et l'Equateur sont
avoir une proportion inférieure à 50 pour cent; la
les seuls
à
plupart des pays se trouvent entre 60 et 7C pour cent.
Cet état de fait entraine natutellesent des conséquences dans
domaine de la sécurité sociale. Les personnes âgées de plus de
quarante ans présentent en effet des risques plus élevés; statisles cas de maladie, d'accident ou ô'infirmité sont plus
tiquement,
fréquents parmi les personnes âgées de plus de quarante ans, et, en
matière de pensions, la proportion entre personnes activés et personnes inactives a des répercussions importantes sur la répartition
de la charge du financement - mais il s'agit là de problèmes d'ordre
général.
le
Plus intéressante pour l'objet du présent rapport est l'jnfluence de lâJe sur la manière dont les employés sont atteints par
les modifications techniques ou la mesure dans laquelle ils le sont.
C'est chez les travailleurs âgés que l'on rencontre habituellement
car les nouveautés
les plus fortes résistances aux changements,
une expérience
du
jour au lendemain
de
dévaluer
risquent
carrière.
Les
professionnefle acquise au cours d'une longue
possibilités d'adaptation sont, pour eux, généralement considérées
est-elle,
lorsque les
comme pJ.us réduites. Aussi la tendance
modifications technologiques ont pour effet de supprimer ou de
transformer profondément l'emploi de ces persoùnes, de recourir à la
mise à la retraite anticipée, au prix de graves inconvénients sur
les plans
psychologique et économique. Le fait, cependant, qu'une
propertion élevée du personnel des postes et télécommunications
appartienne à la fonction publique ou relève de statuts voisins et,
la
garanties particulières atténue
par conséquent, bénéficie
de
portée de ce problème. En outre, les quelques données disponibles
quant à la proportion des travailleurs âgés par rapport à l'ensemble
des effectifs employés dans ce secteur conduisent à penser que le
problème s'y pose avec peut-âtre moins d'acuité que dans la moyenne
des autres secteurs: ainsi, la proportion des travailleurs âgés de
cinquante-cinq ans ou plus dans les postes et télécommunications est
pour cent en Belgique contre 14 pour cent pour l'ensemble de
de
12
la population active; en France, ces proportions sont de 8 pour
Nouvelle-Zélande de 5 pour cent,
en
pour cent;
cent, contre 14
contre 14 pour cent,; au Pérou de 7 pour cent, contre 12 pour cent;
en
Suède de 8 pour cent, contre 20 pour cent. En fait, comme on le
verra au chapitre IV, la mise à la retraite anticipée ne parait pas
âtre une pratique très répandue dans ce secteur.
EtnBloi des femmes
proportion moyenne des femmes employées dans les postes et
La
télécommunications avoisine 30 pour cent. Eans deux des pays qui ont
répondu au questionnaire, la proportion est supérieure à 50 pour
- 24 -
Bulgarie
(5I pour cent) et RépubJ4gue déiocratique allemande
pour cent). La Norvège, la Nouvelle-Zélande et la Suède
indiquent une proportion supérieure à O pour cent (respectivement
48,8, 42,5 et 147 pour cent). La proporti n môyenne de femmes est
légèrement supérieure, dans l'ensemble, pour les télécommunications
(voir tableaux 3 et 4 et annexe VI).
cent:
(73
ulièes:
On notera quelques situations parti
proportion de femmes employées dans les
60 pour cent en Finlande, les postes e
en Suède,
les femmes sont plu
femmes;
(49,7 pour cent) que dans les télécommun
seuls le
Dans les télécommunications,
Norvège emploient une proportion de femm
pour cent (respectivement 50 pour cent
a montré que, dans les pays africains, 1
dépasse nulle part le tiers des effectif
en Eguateur,
la
postes et télégraphe est de
ploient 50 pour cent de
nombreuses dans les postes
catiôns (43,4 pour cent).
Canada (société Bell) et la
s égale ou supérieure à
50
t 53 pour cent) . Une étude
proportion de femmes ne
Les femmes ne sont pas cependant
niformément réparties entre
les différentes catégories d'emplois.
T iaditionnellement,
certains
métiers sont considérés comme féminins
notamment le cas des
"demoiselles du téléphone". Les travaux e guichet, la dactylographie, le codage, les travaux de secrét riat en général sont considérés comme convenant mieux aux femmes. Traditionnellement aussi,
certains métiers sont considérés com e ne leur convenant pas: on
trouve très peu de femmes parmi les ingé ieurs et les techniciens
et,
dans certains pays, elles sont exc ],ues de fonctions telles que
le traitement du courrier (par exemple, 4u Pakistan), la distribution
(par exemple, en Irlande)
ou
a conduite
des véhicules.
Certains pays font des efforts sout nus
pour
éliminer
les
distinctions fondées sur le sexe (par xemple, en Suède). Comme il
est dit ci-dessus, les femmes constituen qén4ralement une part très
importante du personnel de complément, q 'il soit à temps partiel ou
temporaire. En France, le personnel auxi ]4airê compte près de 60
four cent de femmes.
Les mesures de rationalisation
ue
permettent les nouveaux
équipements techniques ont
souvent pou
effet de supprimer les
postes temporaires ou à temps partiel L'automatisation, dans les
télécommunications, supprime des postes 'opérateur; les ordinateurs
éliminent des travaux de
bureau ou de comptabilité. Ces postes
étant,
dans de nombreux cas, occupés ar des femmes, le personnel
féminin est plus souvent touché par l'adoption de techniques
nouvelles et la rationalisation des ser \ices Les problèmes qui lui
sont particuliers dans de pareilles c rconstances se retrouvent
alors. Par exemple, une femme peut être moins facilement transférée
qu'un homme, en raison de ses obli çations familiales, si le
transfert sulpose un changement de local té. 11introduction d'équipements à fonctionnement continu
(co me les ordinateurs) et, par
conséquent, l'extension du travail p r rQulement
posent
des
problèmes d'utilisation du personnel Lé inin lorsque le travail de
nuit est interdit pour les femmes.
I
nie,
On a vu que, dans les pays où la po sibilité leur en est fourles femmes ont été nombreuses à adopter la formule du temps
'Voir "La situation de la femme dan les PTT d'Afrique", Etudes
(Genève, Internationale du personnel des postês, télégraphes et téléphcnes (IPIT)), n° 4, été 1974, pp. 20 37.
- 25 -
partiel. Au .Japon (KDO), par exemple, les femmes occupent 78 pour
cent des emplois permanents à temps partiel contre 24 pour cent des
emplois à temps plein. En Suède, dans les postes, le nombre des
femmes occupées à temps partiel est plus grand que celui des femmes
employées à plein temps.
Tableau 3
E2loi des femmes ds les 2ostes__2,ommUfliCatjOnS
(En chiffres absolus et en pourcentage)
TéécOrn-
postes
municata.ons
Argentine
Australie
Autriche
Belgigue
Bulgarie
Rép.-Unie du
22
25
13
17
400
733
243
370
51
Carneroun
Canada
Eguateut
Etats-Unis
Fin1aide
France
Giltert
Guatemala
Hong-kong
Irlande
Italie
(Aziende)
.Japcn
Norvège
NouvelleZélande
Cuganda
Pays-Bas
Pérou
Eép. démo.
allemande
Singapour
Sri Lanka
Suède
Tchad
Thailande
Tonga
Tunisie
Turquie
20
22,7
21
54
780
6 092
LI
23,4
-
-
42
8 019
3,6
8,6
17,4
-
-
12 573
-
-
4,1
16,5
17 620
19 641
30
32,8
-
25
17
2].
21
-
310
30
10
-
-
-
-
-
-
792
896
22 757
62 985
-
101 487
22
-
36,1
4 756
21,8
174
48 348
27,1
42 189
51 764
-
-
18 969
48,8
8 151
16 546
42,5
-
33
16 053
-
99 300
-
-
9
25
1 707
8
1 050
15 600
47
2,4
-
-
-
50
24
11
-
60
21
50
28,8
1,2
2,2
-
-
38 502
1
-
4 582
6
25,5
16,4 (NTT) 77
1
(KDD)
10
44,2
159
000
570
818
37,3
4
-
32,5
47,6
24,7
26
53
-
2 907
37,2
-
31
49,7
73,8
-
-
16,6
-
18,2
-
-
-
-
46 975
34,6
21,8
-
-
4 797
(BeIl) 22 783
358
(Bntel)
15
(ITT)
Chine
Colcznbie
21
1 500
28 977
3
12
32
17
29,8
Source: Réponses au questionnaire.
-
-
-
-
2 575
-
17 998
-
-
34
-
43,4
-
- 26 5
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44.00
- 28 -
D'autres mesures ont été prises en f veur du personnel féminin,
telles ue la possibilité de reprendre so poste après un congé et
de retrouver les différents avantages
(notamment en matière de
sécurité sociale) afférents à ce poste. P r exemple, en République
démocratique allemande, des congés payés .euvent être accordés à une
mère à partir du
deuxième enfant et usgu'à ce que l'enfant ait
atteint l'âge d'un n. D'autre part, les tères de plusieurs enfants
âgés de moins de seize ans bénéficient d' ne durée de travail hebdomadaire plus courte. En Prance, les f0 ctionnaires femmes peuvent
être mises en disponibilité pour élever 1 ur enfant ou pour suivre
leur mari.
Là où des indications ont été do innées (voir annexe VI), on
peut constater que les femmes sont plus n mbreuses dans les tâches
d'exécution et que leur nombre diininu à mesure que l'on remonte
l'échelle hiérarchique. La situation dans les postes et télécommunications ne s'écarte donc pas, à cet égard de celle qui prévaut dans
l'ensemble de l'économie.
En résumé, les femmes occupent dans
caticns une place importante, plus part
catégories d'emp].ois et dans les tâches s
vulnérables dans l'ensemble que les homme
tes qui résultent des chaIgements technol
cupent plus souvent des emplois de complé
1
es postes et télécommuniculièrement dans certaines
balternes. Elles sont plus
aux suppressions de posogigues parce qu'elles ocent.
- 29 -
CHAPITRE III
LES CHANGEflENTS TECHNOLCIQUES
Leschangements technologiques dans les postes et télécommunications ont été nombreux et ont porté sur des domaines variés. Le
plus souvent, ils visent à améliorer les systèmes et non pas à les
remplacer. Des techniques très modernes côtoient des méthodes ou des
installations traditionnelles. Ce fait s'explique en partie par la
durabilité du matériel et par le coôt de substitution parfois élevé;
de plus, certains équipements ne sont rentables que pour un certain
volume de trafic.
Dans les postes, les changements technologiques ont porté par
exemple sur la motorisation de la distribution, sur la mécanisation,
puis sur l'automatisation des mouvements du courrier à l'intérieur
grands centres de tri. Le tri lui-même, dans ces centres, a été
des
La lecture automatique
mécanisé, puis progressivement automatisé.
des codes est déjà en voie de réalisation et ons'achemjne vers une
intégration de plus en plus poussée des opérations. Cependant, le
courrier qui ne correspond pas à un format type ainsi que celui dont
s'occupent les centres de moindre importancee continuent d'être
triés à la main.
Les opérations de guichet ont été modifiées, parfois par l'introduction de machines comptableê, de machines à affranchir, parfois
de terminaux.
par
L'introduction des ordinateurs dans les services financiers et
administratifs n'est déjà plus une nouveauté, mais des ordinateurs
de plus en plus perfectionnés et de moins en moins volumineux remplacent les anciennes calculatrices. Dans ce secteur, les effets des
changements technologiques ont été les mêmes que pour les travaux de
bureau en général, notamment ceux des banques ou des assurances.
Dans les télécommunications, diverses améliorations techniques
permis le développement de la capacité technique des moyens de
transmission (par exemple, l'usag? de câbles coaxiaux, l'isolement
des lignes souterraines par gaz ou par mousse de plastique, l'utilisation des micro-ondes, etc.). La transmission par satellite a ouvert une nouvelle dimension aux communications intercontinentales
ce fait, occasionné une augmentation importante du trafic.
et,
de
L'automatisation des opérations de connexion etde commutation est
réalisée dans diverses proportions. En ce qui concerne les installations, des éléments à semi-conducteurs (solid state) remplacent des
enseables plus anciens qui demandaient des réparations sur place.
ont
L'utilisation de l'ordinateur a profomdément modifié la gestion
du trafic postal, ou la programmation des réseaux de télécommunications.
Des métiers entièrement nouveaux ont été créés en rapport
avec l'ordinateur.
Un champ dapplication nouveau s'ouvre avec les transmissions
de téléinformatigues dont on connait encore mal les effets.
Enfin, comme on l'a déjà vu, des conceptions nouvelles se font
jour dans la gestion et l'organisation des services des postes et
télécommunications.
- 30 -
faut cependant garder préseni à la mémoire que ces
Il
changements n'affectent pas tous les travailleurs et que ceux qui
sont tcuchés ne le sont pas également. Parfois, surtout dans les
emplois techniques, il suffira d'un perfetioinement, d'une mise à
jour continue pour permettre au travailleur de suivre l'évolution.
Parfcis, les opérations sont à ce point moifiées que certaines
perdenLt
leur utilité et que les
qualifications professionnelles
En
nouvelle formation.
travailleurs touchés doivent acquérir un
outre, ces changements sont inégalement1 répartis dans le pays: les
villes mont toujours les premières concernées, les zones rurales
sont plus lentement atteintes. Enfin, es changements sont encore
plus inégalement répartis dans le monde;
'est ainsi que des pays
entiers restent en dehors de certains aspects de l'évolution
de
la main-'oeuvre et le coOt des
technologique. L'abondance
équipements nouveaux dissuadent de mécaniser, ou bien la faiblesse
tandis que
des besoins peut rendre ces modification's s1perflues,
l''insuffisance du réseau électrique JJes rend parfois extrêmement
difficiles.
Tels sont les traits principaux qui caractérisent l'évolution
récente des techniques dans les postes et télécommunications. On
trouvera ci-après des données plus détaillées sur certaines de ces
modifications.
La mécanisation dans les services Lostaux
Dans les services du courrier, J.'iinovation la plus importante
a été l'introduction des machines de tjri de la correspondance.
mineures à
Toutefois,
de nombreuses amélioration1s techniques,
première vue, ont été apportées, dont la caractéristique principale
est d'avoir sensiblement allégé certaines tâches pénibles.
comme le fait observer la Suède dans sa réponse, les opérations
difficiles à mécaniser par leur nature, peuvent être rationalimées et simplifiées de plusieurs rianières grâce à des
machines ou à d'autres auxiliaires mécanguesL.
postales,
conception de xouveaux conteneurs pour le
Par exemple,
la
des
les
colis
et
transport
"dépêches"
(c'est-à-ire
la
me direction) a permis de
correspondance enliassée partant pour la
tralisport, de diminuer les
réduire les manipulations, d'accélérer
risques et de supprimer certaines opérati1ons intermédiaires entre le
lieu d'crigine et le lieu de destination.
De nouveaux moyens de transport des 'fdépêches", roulants et
mécaniques, pour le chargement et le déc1argement des camions ou des
wagons postaux, ont permis un allégement des qonditions de travail,
tout en diminuant le nombre des persoines affectées à ces tâches.
IVoir, par exemple: Tendances 2rincia.es du dévelomnt et du
pzo9rès
techn
es
au
cours
rogines anné, Etudes postales, n° 47 (Benne,
p. 41.
UNI,
des
1963),
LQ
- 31 -
pour
avoir
eu
Ces mesures
paraissent
considérablement les frais de transport'.
effet
de
réduire
Dams les centres de tri, la circulation intérieure des sacs a
été mécanisée, le matériau de fabrication des sacs a été amélioré
(fibres synthétiques) et de nouveaux appareils de dépoussiérage des
sacs ont été sis en place. Pour l'opération d'ouverture des sacs,
qui est considérée généralement comme malsaine, des tables à aspisans parler
ration et des cabines d'isolement ont été installées,
des masues à poussière et d'autres mesures destinées à protéger la
santé des travailleurs. La manutention et l'entreposage intérieurs
ont été mécanisés. Cependant, certaines phases de chargement ou de
déchargement des sacs demandent encore l'intervention des travailleurs et exigent d'eux un important effort physique; le poids maximum des sacs a donc été réglementé et il se situe, melon les pays,
entre 20 et 30 kilos.
point de vue économique toutefois, une mécanisation un peu
Du
poussée ne se justifie que lorsque le trafic atteint une certaine
D'autre part, la mécanisation de la manutention interne
ampleur.
(rampes, élévateurs, etc.) exige souvent la transformation des locaux et est parfois impossible à réaliser dans les bBtiments anciens2.
L'utilisation de machines de tri pour les paquets, que mentionnent quelques réponses au questionnaire, a généralement pour but
Aux Etats-Uflis, par exemple, il
d'alléger le travail du personnel.
centres hautement mécanisés pour le tri des colis; en
a 21
y
Républigue fédérale d'Allemagne, il en existe huit. En Prance, deux
centres de tri des paquets-poste fonctionnent déjà, quatre sont en
construction, trois à l'étude. En Nouvelle-Zélande, les deux plus
grands 1ureaux de poste ont automatisé le tri des paquets. En Suède,
sept centres de tri des paquets sont équipés de machines.
tri de la correspondance se fait encore principalement à la
Le
par exemple
main. Dans certains pays,' il est exclusivement manuel,
aux iles
au Bangladesh, au Caseroun, en Colombie, en
Sri
Gilbert, en Indonésie, au Luxeinbourg, à Naurice, à Singapour, à
Lanka, en Ehaïlande, aux Tonga et en Tunisie.
Le Pakistan fait remarquer que sa politique de mécanisation est
très prudente, en particulier pour des motifs de politique de l'emd'imporploi. Les centres de Karachi et de Lahore, qui connaissent
tantes pointes de trafic (la moitié du volume journalier est concentrée sur deux heures) , seront équipés de machines à trier
des
En Tunisie,
la mécanisation intégrale
électromécaniques.
centres 'de tri devrait être réalisée en deux étapes, portant d'abord
sur la manutention et le transport, ensuite sur le tri, et se
La République fédérale d'Allemagne possède déjà
terminel en 1986.
sept centres de tri automatique des lettres.
des
dans
Le tri manuel est une têche généralement exécutée debout,
conditions pénibles, le lieu de travail étant souvent exigu et
oens de charemendedécrqement et d'aq1eminement
Ivoir
1969).
des déBêches Rostaes, Etudes postales, n0 67-1 (Berne, UPU,
2Voir Hyiène du travail et techngues de scuritLans es sar-
vqesstaux,,
postales (CCEP)
Etude B 16 du Conseil
(Berne, UPU, 1965)
consultatif
des
études
- 32 -
encombré. Cette méthode de tri est desti
bureaux où le vclume de trafic ne justi
chines et, plus généralement encore, pou
pas dtre trié mécaniquement, en raison
vitesse de tri moyenne se situe aux alen
ée à se perpétuer dans les
je pas le recours à des male courrier qui ne peut
otaminent de son format'. La
ours de 1.200 lettres par
heure.
Dans une première étape, la mécanis
supprimer le geste du trieur2. un opéra
en code' et la frappe sur un clavier, co
de la lettre vers la case de tri von
type de machine est de l'ordre de 2.500
L'alimentation se fait manuellement.
tecbnigue a été le passage de
sac
installations arythmiques, c'est-à-dire
au lieu de suivre une cadence imposée, s
l'opérateur doit fournir un effort d
ambiance très bruyante4.
tion du tri a consisté à
eur assis traduit l'adresse
mandant ainsi le mouvement
ne. La vitesse de tri de ce
4.000 lettres par heure.
La principale amélioration
mes synchrones
à
des
sur lesquelles l'opérateur,
it son propre rythme. Mais
attention soutenue dans une
La seconde étape dissocie l'indexat on (traduction de l'adresse
en code) du tri proprement dit, qui peut 6tre divisé en plusieurs
opérations successives. Ce système a permis de séparer le ppste
d'opérateur de la salle des machine.,
apportant
ainsi
une
amélioration certaine en matière de brui:. Les manipulations ne sont
pas toutes supprimées:
l'alimentation de la machine de tri, quelguefois le transport de
e
au tri
font manuellement.
Certaines améliorations apportées à ce système ont remplacé la lecture directe des enveloppes par la lectu:e sur un écran, sais cette
modification a souvent augmenté la tension oculaire de l'opérateur;
en outre, l'indexation est un travail moflotone et
dénué d'intért.
La machine de tri,
dont le fonctionnemeht est indépendant des
cadences d'indexation, peut atteindre de rendements de l'ordre de
20.000 à 30.000 lettres par heure
'ur
100 destinations.
Ces
ensembles de tri mécanique avec indxation manuelle préalable
semblent appelés à une longue existence.
que ce
Il semble
soit ce type é machines gui soit en usage
dans les pays dont la réponse indique go le tri des lettres est
mécanisé.
Par exemple,
aux Etats-Un s, plus de 60 pour cent des
lettres étaient triées mécaniquement, à n premier stade, en juin
1975. Le centre de tri d'Oslo, en N rvège, trie, au moyen d'une
tvoir
Oikawa
P. Andrieux:
télécoma
transmission des données, rapport ét
mondial, Oslo, 1975 (Genève, Internation
K.
et
technogie dans les postes et
es sindicats et la nouvelle
nictjQns4. ordjjteurs et
bu
pour
le
22e Congrès
le dti personnel des postes,
télégraphes et téléphones (IPT)), pp. 4 -51.
tmVoir Mécanisation et utomatisation du tfl des correspondances,
Etude 1 A3 du Conseil consultatif des ét des postales (CCEP) (Berne,
UPU, l971t)
'Pour une description du travail de
changements technologiques dans
IPTT), n° 7, printemps 1975, pp. 9-li.
"Les
odeur, voir, par exemple,
Etudes (Genève,
les PTT",
AVoir, par exemple, Classification ds foBctions posta'es qar la
qualification du travail, Etudes postale, n° 64 (Berne, UPU, 1967),
notamment pp. 31 et suiv.
- 33 -
machine est
La
calculatrice, environ 230.000 envois par jour.
desservie par 15 postes de codage et l'crdinateur a été programmé
pour découvrir les erreurs de code.
Dans une troisième étape, la mécanisation du tri a consisté à
éliminer l'opérateur d'indexation, remplacé par des lecteurs automatiques 0CR). Des capteurs transforment un graphique en signal électrique ou électronique. Ce sytème fait appel aux calculatrices. Ce
type de machine concerne principalement le courrier envoyé en
quantités importants et dont l'adressè est dactylographiée ou
pour cent du courrier
80
imprimée. Aux Etats-Unis, par exemple,
intérieur est de nature commerciale, à adressage automatique. Les
plans du service postal prévoient l'introduction, d'ici à 1985, de
perfectionnées. Au Japon, 95 machines de lecture
62 machines OCB
ne
machines
automatique du code postal sont utilisées. Ces
dans l'état actuel de la
remplacent cependant que partiellement,
une
car
technique, celles qui nécessitent l'indexation manuelle,
partie importante du courrier théoriquement "mcanisable" comporte
des adresses manuscrites.
Diverses autres opérations ont également été mécanisées, aboutissant à une chaîne intégrée de traitement automatique: affranchissement automatique, pré-tri éliminant les articles indésirables, tedressage des enveloppes, oblitération mécanique, enliassage du courrier trié et emballage de protection.
a
paru important de faire une rapide description des difIl
f érents systèmes de tri, car ils ont été introduits, à divers dedans les pays gui ont répondu au questionnaire. La durabilité
grés,
du matériel freine le remplacement de machines déjà anciennes, comme
les trieuses mécaniques, et les différents systèmes coexistent un
certain temps.
'automatisation des télécommunications
Les progrès techniques réalisés dans les télécommunications
présentent des caractères très différents de ceux gu'on peut observer dans les services postaux: l'objet des services de télécommunication est en effet la transmission d'un message d'une nature telle
que l'opération peut s'effectuer entièrement sans intervention huAinsi, dans les téléphones, les
maine entre le départ et l'arrivée.
opérations de connexion et de commutation sont devenues automatidivers systèmes électromécaniques ou électroniques permettent
ques:
la transmission entièrement automatique du point d'appel au point de
destination. En outre, l'automatisation de la transmission n'est pas
conditionnée pat le volume du trafic; elle peut donc concerner aussi
bien les points les plus éloignés du réseau rural que les centres
La question de la rentabilité économique
urbains les plus denses.
ne se pose pas dans les mômes termes que pour les opérations
postales: dans l'état actuel du développement technique, il peut
être plus rentable d'installer des systèmes automatiques, môme dans
les lieux les plus reculés, que d'y maintenir des téléphonistes'.
ISelon certaines recherches, la commutation représente 45 pour
cent du coût moyen d'un appel téléphonique et se subdivise en 28
pour cent de frais de foncticnneinent de l'équipement et 72 pour cent
Voir
charges salariales au titre de l'opérateur de commutation.
de
(Suite de la note page suivante)
- -34 -
L'interchangeabilité des éléments d équipement simplifie consil'entretien. Certaines ap-lications de l'électronique
dérablement
permettent le contrôle à distance des ce tres automatisés et, par
suite, une concentration des services d' ntretienl.
Les exemples ci-après, empruntés au réponses au questionnaire,
système de commutation est complèteme t automatisé, électromagnétique pour 90 pour cent, semi-électronig e à programme enregistré
pour 10 pour cent.
Au Cameroun,
viiles ont des systèmes
1
automatiques; pour le reste, ce sont des inst1lations manuelles gui
desservent les communications. En Fra ce, un réseau public "à
commutation de données par paquets" est l'étude; le système actuel
de commutation est autonatigue à 80 0 r cent. La Suède s installé
des systèmes de commutation à contrôle p r ordinateur. A l'opposé,
aux .les Gilbert, en dehors du centre ur min de Tarawa, il n'y a pas
de réseau téléphonique et les télécommun cations se font par système
illustreront la variété des situations r ncontrées. En Belgigue, le
morse, manuellement.
His à part l'automatisation compl te des transmissions qu'ont
réalisée les pays les plus avancés, de multiples innovations
techniques ont porté sur l'améliorat on constante des moyens de
transmission du point de vue de la guali é et de la capacité.
Les moyens de transmission ont été
et sont en mesure aujourd'hui de t
en plus impprtant de communications dive
en plus élevées.
Par exemple, dans 1
fréquences de plus en plis hautes du fai
sont utilisées; les émetteurs pe
pés
xtraozdinairement dévelopansinettre un nombre de plus
ses à des vitesses de plus
s radio-communicationà, des
ceau hertzien (micro-ondes)
vent
être
entièrement
transistorisés. Pour ce gui est de transmissions par câbles à
courants porteurs, les études ont porté ur les alliages et leur
combinaison, ainsi que sur l'isolati n. Le câble coaxial, qui
résulte de ces améliorations, a augment la capacité des câbles
sous-marins, simplifié leur entretien et amélioré la qualité des
transmissions.
L'utilisation du satellite, station relais de micro-ondes
l'espace, s'inscrit dans cette même lign
cité et de la qualité des moyens de
techniques de transfert des signaux ont
des divers supports de transmission.
par répartition dans le temps (Time Di
dans
d'amélioration de la capatransmission. De nouvelles
ugmenté encore la capacité
es méthodes de multiplexage
isio Multiplexing (TDM))
correspcndant à la subdivision d'un flux de signaux binaires
viennent s'ajouter aux méthodes de multi lexage par répartition en
fréquence (Freguency Division tiultiple ing (FDM)) consistant en un
découpage de la largeur de bande2.
(Suite de la note de la page précédente)
.3. Nartin: Future d.evelo2ments in telec
Prentice Hall, .97l), p. 31.
iVoiz
mmunicationm
(New
Jersey,
.3. flartin: Future deve1o2ment in leleconimunications, 02.
cit., pp. 291 et suiv..; "Ordinateurs et 1élécàmmunications", Etudes
d'inorsiati2ue (Paris, OCDE), n° 3, l973.
2Pour une explication plus détaillée voirÈ par exemple, Mathison
et Wallçer: Com2uters and Telecommunicati mm (New Jersey, Prentice
Hall, 1970), pp. 45 et 132.
- 35 -
eux-mômes ont changé de forme: des signaux analoLes signaux
giques (signaux continus modu1és on a passé aux signaux numériques
d'impulsions alternées binaires ou numériques) et à la con(trains
permettent
version réciproque des uns et des autres. Ces techniques
la transmission de données sur les réseaux existants et, d'autre
part, la constitution de réseaux informatiques spécialisés.
Ccmme on le voit, la technique des téaécomnmunications a connu
dernières années un essor spectaculaire. Les progrès dans ce
secteur sont sans doute appelés è se poursuivre si l'on songe aux
efforts de recherche consentis dans les différents pays. Ainsi, les
laboratoires Be].l, aux Etats-Unis, occupaient en 1972 plus de 17.000
personnes dans le domaine de la recherche et du développement'.
ces
Les a1ications des ordinteurs dans
s postes
et les télécommunications
Les calculatrices ont trouvé très tôt une application dans les
services financiers des postes, en particulier dans le service des
chèques postaux. Les ordinateurs ont ensuite servi à l'exécution de
diverses têches administratives et financières, parfois déjà plus ou
moins mécanisées. La paie, certains éléments de l'administration du
personnel, la facturation, la comptabilité, la gestion des stocks et
la compilation et limpression des annuaires,
des fournitures,
l'établissement de statistigues ont été portés sur ordinateur. L'ordinateur est également utilisé pour la gestion financière de
l'entreprise, en particulier pour la gestion prévisionnelle, et
facilite la détermination des prix de revient. On recourt à lui pour
établir les prévisions en matière de trafic, pour étudier des
projets, dresser des plans et dessins, planifier des réseaux, les
évaluer sur les plans technique et financier.
Dans les services financiers, les ordinateurs servent en particulier à l'automatisation du traitement des comptes de chèques postaux et des mandats2. La plupart des pays indiquent, dans leur réponse au guestionnaire, que certaines opérations avaient atteint un
tel volume et une telle complexité que, sans l'ordinateur, il aurait
été impossible de les continuer de manière efficace. Dans les services financiers, la nécessité de s'aligner sur le secteur privé des
banques pour demeurer compétitif a joué un rôle important.
L'ordinateur n'est pas seulement un instrument de gestion
financière et administrative; il est aussi un outil technique. Dans
les services postaux, comme on l'a vu, il a été appliqué au tri du
la lecture automatique et le contrôle du processus par
courrier:
programmation sur ordinateur ont fait du tri un système intégré
entièrement automatisé.
Labor
lvoir "Prod.uctivity in Telephone Communications", Monthl
Review (US Department 0f Labor, Bureau of Statistics), nov. 1973.
sur les services finan2pour une information plus détaillée
voir Qr9anisatiofl du contrôle des mandts de 2oste, Etudes
postales, n° 86 (Berne, UPU, 1970)
ciers,
- 36 -
C'est toutefois dans les télécomiaun
trouvé ses applications les plus nom
l'utilisation de l'ordinateur pour l'a
réseaux de télécommunications, un champ n
transmission des données, d'une part, pou
infcrmatiues indépendants, d'autre part.
cations que l'ordjnateur a
de
reusest.
En
dehors
tomatisation intégrale des
uveau s'est ouvert pour la
la
création de réseaux
La transmission des données peut se aire en utilisant les réseaux existants de télécommunications et particulièrement le réseau
téléphcniguem.
Toutefois, certaines cara téristigues techniques de
ces réseaux ne permettent qu'une transmis ion relativement lente des
informations3. Les
études ont donc por é sur l'amélioration de la
sur des tec niques et
méthodes
de
vitesse de transmission,
transmission nouvelles4.
Les développements les plus récents
de réseaux de transm,ission distincts spé
transmission de signaux numériques (ou bi
les terminaux aux ordinateurs, permet
ordinateurs et la création de véritables
bles par le réseau téléinformatique publi
conçus directement à un niveau régional c
ortent sur la constitution
ialeinent
prévus
pour la
aires) reliant directement
ant la communication entre
angues de données accessiCes réseaux sont parfois
uvrant plusieurs pays5.
Selon les réponses
fournies au qu
possèdent des réseaux de transmission de
exemple
de
l'Australie.
En Autrich
télégraphe, télex et transmission de donn
Au Chu, un réseau de transmission de d
1980-1985. En Prance, un réseau de termin
de données. Au Japon,
les transmissio
principaux services de la NTT.
Au Luxe
lignes à communications multiples permet
En
Nouvelle-Zélande,
la téléinformat
téléphone ou télex. Il en est de même en
été faits pour l'introduction d'un rése
79.
Au Royaume-Uni, 62.500 terminaux son
seau de transmission; le Post Office four
être connectés avec le réseau téléphoni
stionnaire, plusieurs pays
onnées. C'est le cas par
réseau combiné de
u,n
es est prévu pour 1978-79.
nnées est envisagé pour
ux est relié à desbanques
s de données sont l'un des
bourg,
l'installation de
a transmission de données.
que utilise les réseaux
orvège, où des plans ont
u public séparé vers 1978en connexion avec le réit les modems6 qui doivent
ue commuté; l'introduction
1Voir: "Future in TelecommnicationstI, Journal o Sxstem mana:
et "Ordinateurs et télécommunicatins", Etudes
(Paris, OCDE), n0 3, 1973.
ment,
89,
aVoir Etude
ros2ective du marché
(Berne, UPU, 1971), pp. 52 et suiv.
ostal, Etudes postales, n°
3voir J. Martin: Future develo2ments
teecommunications
Jersey, Prentice Hall, 1971), pp. 81 et siiv. et 277 et suiv.
(New
A titre
la modulation ar impulsions codées (HIC)
d'exemple:
(Pulse Code Modulation (PCM)) et la techngue de communications de
messages.
Pour des informations détaiLlées,
voir Hathison and
Walker, Coln2uters and te)ecoBmunications (New Jersey, Prentice Hall,
1971), pp. 21 et suiv.
Voir, par exemple, T. Larsson: The Nrdic Public
(Swedish Telecommunications Adnhinistratioi).
,q
Data
Network
- 37 -
en
d'un système visuel ("vieudata") utilisant l'écran de télévision
avec les lignes téléphoniques reliées à un centre
connexion
infcrnatique est à l'étude.
Les chiffres suivants donnent un aperçu de l'importance des
installations de modems par rapport au réseau télex dans quatre pays
e u-r o p é e n s.
Lignes télex
Iodenis (transmissions
de données)
d 'Ail emagne
93 330
17 500
Grande-Bretagfle
37 774
38 100
It al je
12 135
10 800
France
37 888
12 250
Eépublique fédérale
Source:
"Les télécommunications", L'Econcj
(Paris), 24 fév. 1976.
la transmission des données est considérée, selon
En général,
les réponses au questionnaire, comme faisant partie du monopole des
(souvent provisoires) sont accordées
communications. Des licences
il
pour l'expérimentation, parfois pour l'exploitation. Au Chili,
n'est pas encore décidé si les nouvelles installations devraient
être privées ou dépendre de 1'tat, mais l'entreprise étatique des
télécommunications qu'on envisage de créer comprendrait probablement
En Fiance, une société entièrement contrôlée
la téléinformatique.par l'administration s'est vu confier la mise en place et la
(Société
de
données
transmissions
des
ccmmerciaiisation
télésystèmes). La transmission de modem à modem a été prise en
charge par le service de télécommunications, dans l'Inde.
jusqu'en 1971, NTT et KDD avaient le monopole de
Japon,
Au
l'exploitation des transmissions de données, considérées comme un
service public de télécommunications. La politique de l'Etat a chanen 1971 et les entreprises privées ont été autorisées à fournir
gé
des services téléinformatiguest.
les équipements spéciaux ne sont pas fournis par
Norvège,
En
l'administration. Au Pakistan, les ordinateurs connectés avec les
réseaux de télécommunications sont installés par les services de
iLe gouvernement japonais précise qu'il n'en est résulté aucune
répercussion particulière sur le personnel. L'opinion syndicale, en
une
revanche, est que la ccncurrence sur le marché a occasionné
détérioration dans les conditions d'emploi (en particulier pour les
salaires) du fait de pressions en vue d'une réduction des codts.
que la pratique de la gestion privée des
Les syndicats craignent
transmissions informatiques, sous la forme de sous-traitance, ne
provcgue des pertes d'emplois à l'avenir.
- 38 -
téléphone et télégraphe.
En
Suède,
s
services de
télécommunications se trouvent en concurrence av c le marché privé dans les
nouveaux secteurs informatiques.
Héthodes et orqanis tion
Dans les postes comme dans les téléc
±ets les plus remarquables des change
bien être la nécessité de restructurer le
les méthodes de travail. Tout ce gui vien
mécanisation du tri, de l'automatisatio
de l'usage grandissant de l'ordinateur va
troisième facteur, en même temps que la
tionalisation poussée, dont il est d'aill
cace,
ont particulièrement contribué à
postes et télécommunications. Comme le so
France,
"la banque
de données
transf
l'entreprise en un seul groupe de tra
techniques de direction par objectifs, la
comptabilité analytique et autres mét
appliquées maintenant dans les postes et
dans les autres secteurs de l'économ
commercial de ces services.
mmunications, l'un des efnts technologiques paraît
services et de repenser
d'être dit au sujet de la
des télécommunications et
dans le même sens.
Ce
echerche assidue d'une raors
un instrument
efficdifi.er la physionomie des
ligne la réponse de la
rme en quelque sorte toute
ail".
Parallèlement,
les
gestion prévisionnelle, la
odes modernes de gestion
télécommunications comme
e
renforcent le caractère
Ces transformations dans les méthode et l'organisation ne peuvent manquer, tout autant que l'évolution technologique elle-même,
d'exercer une influence
sur le niveau t la structure de l'emploi
ainsi que sur les conditions de travail.
e chapitre qui suit tente
de mesurer cette influence et de rele er les dispositions prises
pour sauvegarder les intérêts du personne
lorsqu'ils se trouvent
affectés.
- 39 -
CHAPITER IV
LES EFFETS DES CHANGEMENTS TECHNOLOGIQUES SUR
L'I1PLI ET LES CONDITIONS DE TRAVAIL
que ceux gui viennent
Des changements aussi spectaculaires
gui
d'être décrits, mais également les perfectionnements mineurs
sont apportés au jour le jour dans les techniques utilisées par les
postes et télécommUnications, ne peuvent manquer de retentir sur les
conditions d'emploi et de travail du personnel. Ces services
de
considérables et, pour beaucoup
des
effectifs
emploient
travailleurs, l'installation d'équipements nouveaux et l'application
des
signifier
de
risquent
eux
inédites
de méthodes pour
bouleversements considérables dans la vie guotidienne menace sur
uffectuer ou
l'emplpi, changements dans la nature des oérations
dans les conditions d'accomplissement des tâches. Qu'en est-il en
fait?
on s'efforcera de dégager, dans les pages qui suivent, les
de
de
ces nouveautés technologigues: les gains
conséquences
productivité qu'elles ont permis; la mesure dans laquelle le niveau
de l'emploi, le contenu des tâches, le déroulement des carrières et
les conditions de travail ont été affectés; les dispositions qui ont
été prises pour protéger les intérêts du personnel.
Productivité accrue
Parmi les effets qu'a entra.nés l'adoption de nouvelles techniques par les services des postes et télécommunications, les réponses
au questionnaire mentionnent l'accroissement de la productivité.
par le gonflement du trafic et par l'impérieuse
la fois
Exigé
nécessité de réduire les coûts, cet accroissement s'est traduit
principalement par une réduction du nombre des employés requis pour
exécuter un volume égal d'opérations. Les coûts de personnel sont un
élément impgrtant dans le calcul économique d'entreprise; ils sont
services postaux, où ils
élevés
dans
les
particulièrement
atteignent, par exemple, 85 pour cent des coûts totaux aux EtatsUnis et 90 pour cent au Japon.
En République fédérale d'Allemagne, l'introduction des ordinateurs dans les services d'épargne postale (1968) représente une éconcmie d'environ 17 millions de DM par an, soit environ 40 pour cent
du coût global. Nille soixante-cinq postes de travail, soit près de
sont
(Ces calculs
50 pour cent, ont été économisés de la sorte.
faits sur la base des coûts de 1968 et ne tiennent pas compte du
développement du service.)
Il est estimé que 10.000
opérateurs
supplémentaires
auraient
été nécessaires dans les télécommunications en Australie pour
de
assurer le trafic qui passe aujourd'hui par les centres
commutation automatiques. En France, l'indice moyen d'opérations par
agent, à durée de travail constante, a passé de 100 en 1962 à 165 en
pour
1975-76, 6.700 postes
l'année
Royaume-Uni,
1975.
Au
supplémentaires auraient été nécessaires sans la mécanisation du tri
du courrier.
- 40 -
Les données relatives à l'augnientati on de la productivité dans
u Canada (Bell),
les téléphones sont particulièrement fi appantes.
on ccmptait, en 1966, 11,65 employés pour 1.000 téléphones et
équipements principaux,;
en
1975, la pi oportion était de 8,57 pour
1.000. En France, pour 1.000 lignes, on c oeptait 32,6 employés en
1966; en 1975, ce nombre n'est plus que de 17,7. Au Japon, en 1952,
lorsque la NTT a été créée, les téléphor es ôtaient au nombre de
1974,
ce nombre était dE 39.40.000, soit 19,4 fois
2.03C.000;
en
plus. Dans le inme temps, le personnel n' avait augmenté que de 2,1
fois
(de
145.000 à 310.000), et le no: bre 4e téléphones desservis
par chaque employé avait été multiplié p r 9,1 (de 14 à 127).
Cette productivité accrue se tradui1 en outre par une amélioration des services rendus: écoulement faci1ité réponse à des besoins
nouveaux, etc. La NTT, au Japon, donne co mwe exemple de la meillebre
qualité du service la diminution du t ux des erreurs dans les
services téléphoniques: de 20 erreurs p ou 100 abonnés par mois en
1952, on a passé à un taux de 0,9 pour lC o en 1974.
Effets sur l'eJoi
Les modifications techniques ne se ont pas
accompagnées de
fluctuations
du
niveau général d'eIploi dans les postes et
télécommunications. En effet, si lesi systèmes
mécanisés
ou
autcmatisés ont provoqué une augmenttion de la productivité,
l'accroissement du volume de trafic a maintenu une certaine demande
de personnel.
Globalement, le niveau de l'emploi continue de
cas,
s'accroître, mais lentement;
certains
y
a
il
dans
stabilisation.
Les changements technologiques on évidemment affecté, sur le
plan de l'emploi, les secteurs où il
sont adoptés,
mais les
de
diminutions
personnel,
la disp rition marne de certaines
catégories de personnel ont été compensé s par laugmentation de la
demande dans d'autres secteurs ou par la création de nouveaux emp1015, et les réponses au guestionnair
ne
signalent pas,
sauf
exception', de licenciements massifs.
rtée des réductions de
ersonne1
Dans les services postaux, l'autom
a prcvoqué des réductions de personnel
de
taches
manipulation), mais le
techniciens chargés de l'entretien des w
que le personnel de t
Il faut ajouter
que la mcitié du personnel des services
personnel de manutention et de transbord
l'introduction des machines
e
tri.
n'est applicable qu'à une partie de la c
format et d'un certain poids). Le reste
or,
comme la réponse française le fai
cette catégorie d'objets est en forte ex
tisation des centres de tri
(en
particulier pour les
ombre des mécaniciens et
chines de tri a augmenté.
i neconstitue généralement
de courrier,
et que le
nient n'a pas été touché par
De plus, le tri automatique
rrespondance (d'un certain
oit être trié manuellement;
cbserver, le traitement de
ansi on.
'La
Western Union aux Etats-Unis télégraphes) fait cependant
état d'une diminution du niveau de 1' mp].oi: 8,2 pour cent du
personnel avaient été licenciés en octob e 1975.
4
- 41 -
Dans les services financiers ou administratifs, l'introduction
des méthodes informatiques semble de nature à occasionner des réductions de personnel. En Belgigue, où le traitement manuel subsiste
dans les chèques postaux, parallèlement au traitement électronique,
on considère que les effectifs pourraient diminuer quand le service
sera devenu entièrement informatique. En France, il y a eu réductioji
des effEctifs dans le service de paie du personnel, malgré un
accroissement des tâches; dans les chèques postaux, de 1970 à 1975,
de
7.910 Emplois ont été supprimés. Au .Japon, le personnel
tabulation et de facturation de la NTT a êté réduit. Au Luxembourg,
en
tel a été le cas pour le personnel des chèques postaux et,
Nouvelle-Zélande, pour le personnel de gestion des fournitures et
tâches
certaines
des stocks. En Irlande et au Royaume-Uni,
routinières, comme le classement des tickets de téléphone, ont été
(onsupprimées, tandis que l'introduction d'un système "connecté"
pour le service des paiements, dans les postes suédoises,
line)
pçurrait avoir des effets importants sur les activités de guichet.
On peut se demander cependant si l'utilisation de l'ordinateur
dans ces services a, jusqu'à présent, affecté le niveau de l'emploi
de
manière aussi marquée gu'ôn aurait pu le craindret. Elle ne
la
supprime pas entièrement le recours aux méthodes classiques:
préparation des dpcuments à trailer et la sâisie des informations
restent, pour partie, en dehors de son orbite. En outre, la mise des
opérations sur ordinateur se fait progressivement, l'ancien système
continuant de fonctionner pendant un certain temps parallèlement au
les
durant cette période transitoire,
nouveau, si bien que.,
gonfler. En outre, le
à
se
tendance
même
ont
effectifs
fonctionnement même de l'ordinateur entraine l'ouverture d'emplois
comme on l'a vu, le traitement électronique des
nouveaux.
Enfin,
un volume
une variété et à
données permet de faire face à
dopérations gui, sans cela, ne pourraient pas être exécutées; sa
mise en oeuvre même a donc déclenché un accroissement des affaires
répercuté, dans une certaine mesure,
traitées qui, à son tour,
sur le volume de l'emploi. Il résulte de but cela que les effets
éventuels des applications de 11ordinateur sur le niveau de l'emploi
sont difficilement mesurables et que des répercussions, actuellement
masquées, risquent dapparaitre lorsque l'usage de ces techniques se
sera généralisé, ou bien si le volume des affaires traitées se
stabilise.
C'est dans les télécommunications qu'il y a eu les diminuticns
plus notables du fait de l'automatisation des opérations.
Ainsi, bien que les transmissions par satellite aient donné un essor
important aux télécommunications à longue distance2, il n'en est résulté qu'un nombre restreint de nouveaux emplois (par exemple dans
l'installation et l'entretien des antennes des stations terriennes)
parce que l'augmentation du volume des communications peut être ahles
'Voir,
Ja ncuvelle
ordinateurs
pp. 12-15.
exemple, K. Oikawa et P. Andrieux: Les sXndicats et
technologie dans les Bostes et tééommunjcations.
cit.,
(Genève, IPTT), o
transmission des donn
et
par
2Certaines prévisions indiquent un taux de croissance continu de
20 pcur cent par an des télécommunications internationales. Voir G.
Wallenstein: "L'internationalisation du développement des systèmes
de télécommunication", Journal des télécommunicatigf (Genève, UIT)
vol. 41, n° 1, janv. 1974, pp. 33-38.
- 42 -
sorbée immédiatement par la plus grande
l'établissement et le développement de r
blent pas de nature à entraîner une aug
personnel puisque la conception même des
leur contrôle, leur surveillance
ment,
clientèle pourraient être effectués par
apacité du réseau. De même,
seaux informatiques ne sesentation très importante de
réseàux,
leur fonctionneet même la facturation à la
rdina teur.
En
Australie, la suppression de .ostes de téléphonistes dans
les centraux automatisés a été compensée par un accroissement de
l'espJ.oi dans les systèmes manuels rési.uels, par l'augmentation de
volume du service international et
ar les nouveaux services
d'assistance et information à la client4le
Àux Etats-tjnis, Western
Union a fermé la plupart des bureaux t4légraphiques publics
(les
messages sont pris en charge par des ent4eprises privées, telles gue
des
hôtels, des chaînes de taxis,
4es "drugstores", etc., sous
contrat dagence). En France, de 1970 à ]978, 12.183 emplois auront
été
supprimés dans les téléphones.
n Inde, bien que les postes
d'opérateurs manuels aient été réduils dans les,
centres
de
communication, l'augmentation du volume 4u trafic et le renforcement
du
personnel
technique ont accru
es possibilités d'emploi.
L'automatisation des téléphones, en
rlande, a
entraîné
une
réducticn du nombre des opérateurs. A Japon, à la NTT, le nos.bre
des travailleurs oôcupés à la connexion anuelle dans les services
des téléphones ou télégraphes s été ré uit; à la KDD également, on
signale une réduction notable du pers nnel des télégraphes.
En
Norvège,
les emplois manuels continu ront à diminuer dans les
téléphones, jusqu'à l'automatisation com lète des réseaux, tandis
que le personnel technique ira en augm ntant. En Nouvelle-Zélande,
on note une diminution du personnel d'o'p ration et d'entretien dans
les
télécommunications.
Dans
les
erviçes télégraphiques de
Singapour, actuellement,
un grand nom re de personnes dont
la
formaticn
scolaire
est
insuffisant
et
les
capacités de
développement professionnel limitées son engagées pour des têches
simples de manipulation des télégrammes avant la distribution ou la
transmission; dès que les nouveaux
mystêmes
programmés
sur
ordinateur fonctionneront, ce personn 1 n'aura plus sa raison
d'être.
A
on constate u e légère augmentation du
Sri Lanka,
personne], dans le secteur des télégra bas et téléphones, due à la
création de nouveaux postes d'opération
et
d'entretien
des
installations.
Le
passage des lignes d transmission terrestres au
système radio a provoqué en Thailande un zédction du nombre des
poseurs de lignes.
esures arises en cas d'excédents de 2ersonnei
Cosse on le voit, même si le nivEau global des effectifs n'a
cessé de croître dans la majorité des pays
ce
tableau
général
recouvre des disparités de situations selon l pays et selon le secteur.
Dans certains cas, lapparitio des techniques nouvelles a
provoqué des excédents de personnel. Que]4Es mesures a-t-on prises
alors?
I
Certaines conventions collectives irterdisent les licenciements
des catégories de personnel déinies: c'est le cas, par
exemple, dans les services postaux des Etjats-Unis, où, aux termes de
la convention collective nationale, les icençiesents éventuels ne
peuvent pas atteindre les travailleurs ui font partie du personnel
régulier. Au Japon, il semble également ue les licenciements soient
écartés par convention collective dans l;s postes et à la NTT. Il en
va de même dans les postes au Canada.
pour
- £13 -
En revanche, des licenciements ont eu lieu, quand toute autre
dans les télécommunications en
mesure s'est révélée impossible,
Argentine (Entel): ils ont alors touché les employés les plus
sans charges de famille, qui ont été indemnisés et qui sont
jeunes,
à
leurs
réengagés en priorité lorsqu'un poste correspondant
capacités devient vacant. Ce processus a rencontré l'accord des
syndicats.
En Australie, également dans les télécommunications, des licenciements ont paru inévitables; ils ont touché des personnes qui
avaient été averties, au moment de leur engagement, que les nouveaux
systèmes pourraient conduire à la suppression de leur poste, mais on
s'est généralement efforcé de reclasser les personnes en cause.
propos des services
découle de ce gui vient d'être dit
Il
postauc aux Etats-Unis que les personnes qui ne font pas partie du
personnel régulier peuvent être licenciées. C'est ainsi que, dans
Western Union, d'importants
de
la
les services télégraphiques
licenciements ont eu lieu.
En
Côte-d'Ivoire, il semble également que des licenciements
puissent se produire car une indemnité destinée à compenser cette
éventualité a été introduite après janvier 1975.
En France, ce sont les auxiliaires qui ont été le plus touchés
par les licenciements, soit parce que les postes qu'ils occupaient
devenaient inutiles du fait des nouvelles techniques, soit parce ue
leur emploi était attribué à des titu].aires déplacés. Cette dernière
situation s'est notamment présentée dans le service postal où ont
27
été reclassés des téléphonistes titulaires. Au 31 décembre 1975,
pour cent des auxiliaires touchés par la modernisation des services
se
nombre de '3.653,
au
auxiliaires,
avaient été licenciés. Ces
répartissaient ainsi: 2.656 provenaient du service téléphonique, 801
service des chèques postaux et 196 du service postal. La plupart
du
de ces personnes (2.353) ont bénéficié d'une allocation pour perte
d'emploi, et 1.831 ont touché en plus une indemnité de licenciement,
mais 35 pour cent (1.300 personnes) du personnel licencié n'a touché
ni allocation ni indemnité.
République fédérale d'Allemagne, une indemnisation spéciale
En
est prévue en cas de licenciement.
le personnel
aux Philippines,
Dans les télécommunications,
surnuméraire a été licencié en premier, puis les licenciements ont
toucié le personnel régulier, qui a été indemnisé.
Dans crtains cas, des mesures préalables ont été prises pour
éviter ultérieurement des licenciements. Ainsi, la Société Beil, au
Canada, a procédé à des "emprunts de personnel", à des transferts
provisoires; on ,a différé les congés, les mises à la retraite, etc.,
du personnel temporaire. En Nouvelle-Zélande, une
et
on a engagé
politique s'étendant sur plusieurs années a été menée en accord avec
les synêicats: trois ans avant la mise en service d'un nouveau
on engageait seulement des travailleurs
automatique,
système
temperaires, dont le contrat devait prendre fin avec l'introduction
Toutefois, la proportion de ces travailleurs
de l'automatisation.
plus,
De
a été limitée à 25 pour cent de l'ensemble du personnel.
une liste des bureaux concernés - avec le nombre des personnes
implijuées - doit être constamment tenue à jour et des réunions
paritaires ont lieu tous les six mois pour examiner la situation. En
- 144
-
1975, par exemple, sur 127 travailleurs tpuchés par les suppressions
d'emploi, 89, soit 70 pour cent, étaient temporaires. Les autres, au
nombre de 38, avaient une moyenne d'&ge de quarante-deux ans et la
durée mcyenne de leurs services était de 9,7 ans; il n'y avait parmi
eux que trois hommes et neuf personnes seu1ement n'ont pas continué
à travailler: 29 personnes ont été transférées à d'autres postes.
Dans la plupart des cas, les mesures prises pour absorber les
excédents de personnel ont été des transfertsl, des mutations,
des
reclassements, des reconversions. En paei1 cas, le travailleur en
cause ccnserve le plus souvent son grade jet sa rémnn4ratiou.
L'exemple de la Prance illustre bien1 la variété de ces dispositions (voir tableau 5). Diverses mesures législatives ont été prises
pour permettre i.e reclassement des personne concernées2. Il reste
1.606 personnes des services téléphonigbes à reclasser pour la
période 1976-1978 et l'on prévoyait, soir ce nombre, 270 sorties de
fonction, 78 mutations volontaires, 658 ireclassements au lieu de
résidence,
596
reclassements
hors
u
lieu de résidence,
reclassements dans d'autres aduiinistratio1ns. L'automatisation totale
des centres de chèques postaux nécessiterit des mesures pour 1.184
perscnnes. En tout, de 1970 à 1978, l.678 titulaires auront été
touchés par la modernisation des service, et 13.514 auxiliaires
jusqu'en 1975. On voit bien, par ces xemnples, l'ampleur que les
proLlèmes de personnel peuvent présenter pu fait de l'adoption de
techniques nouvelles qui demandent peu de
£4
'Les transferts ont pu poser des prob émes. particulièrement difficile lorsque des femmes étaient en cau E, Ce qui est le cas le
plus fréquent dans les téléccmmunications
'Par
exemple, reclassement par dérogtion (loi n° 70-1209 du 23
décembre 1970); introduction du trava1 à mi-temps dans
les
téléphcnes
(décret n0 72- 817
du 31 aot 1972); indemnités de mutation (décrets nos 72-146 du 23 février 1972 et 75-271 du 18 avril
1975); reclassement
dans les autres administrations (décret n° 71476 du 21 juin 1971)
- 45 -
Tableau 5
personne' dus à
morande desT
Nouvements du personnel
des
Services
téléphoniques
Chèques
postaux
10 577
(depufs 1970)
3 415
(depuis
1971)
a
Nouvements
du personnel
auxiliaire
13 514
(jiisgu'en décembre 1975)
Péartition
Sorties de fonc3 155
1 011
Nutations
1 198
608
Reclassements
6 224
1 796
Reclassements conformes
aux voeux de la per5 813
scnne
1 787
ticn
licenciements
3 653
9 861
Nature des mouvements
Nutations d'office
9414
(dont 486 au
lieu de résidence)
ic2assements dans
d'autres administrations
97
9
3 548
2 107
618
845
405
41
45
619
Répartition éorahi9ue
Au lieu
Dans le
Dans la
Nors de
de résidence
département
région
la région
Ré2artition
1492
ar service d'accueil
Poste et services
financiers
3 266
1 311
Téléccmmunications
2 1120
277
441
199
Services administratifs
7 591
(dans les services PTT)
1 651
(dans le secteur
privé)
619
(autres administrations)
Source:
RdpoPses eu questiornaire.
- 46 En République fédérale d'Allemagne, es transferts sont opérés
aux "Directives pour l'él horation de plans sociaux"
(Bicht].inien fur das Aufstehen von Sozia]. lânen) émanant du ministète des Postes et Télécommunications.
Au
Japon, à la NTT, les transferts et reconversions ont
de
concerné plus de 10.000 personnes dpuis la fondation
l'entreprise en 1952. A la ICDD, particuLièrement dans les services
télégraphiques, 500 personnes ont dû chaner d'emploi entre 1971 et
1975. En outre, lors de la suppression "du système de transmission
par ondes courtes, 120 personnes ont été reclassées dans les
communications à bande large.
conformément
En
plus des transferts, d'autres msures ont été prises: l'in-
troduction très progressive des nouveaux systèmes, les limites à
l'emtauchage (parfois même un arrêt total) et le ron-remp1acement du
personnel qui cesse de travailler (la "réduction naturelle")
devaient permettre l'absorption du perjsonnel en excédent!. Aix
Etats-Unis, la convention collective nationale conclue pour les
pqstes stipule ue les nouveaux emplois doivent être offerts en
priorité aux employés susceptibles d'acquérir la formation adéquate.
En République fédérale d'Allemagne, le travailleur atteint par les
licenciements conserve un droit prioritaire au réengagement pour un
emploi correspondant aux conditions de son anoien poste. En Norvège,
une solution particulière a été trouvée dans les télécommunications:
J
ce sont certaines tâches qui ont été transférées vers les centres o
il existait des excédents de personnel.
Enfin, on a procédé, dans certains cas1 à des mises à la
retraite anticipée. Au Japon, une loi su la mise à la retraite
adoptée pour répondre à l'introduction de systèmes automatiques dans
les téléphones établit qu'en cas de retraite anticipée volontaire,
le travailleur doit recevoir une allocation spéciale égale à huit
mois de salaire, après cinq ans de servides au maximum, et à dix
mois de salaire après plus de cinq ana; cette loi a été critiquée
par les organisations syndicales comme étant susceptible d'altérer
le libre choix des intéressés.
La mise à la retraite anticipée posE toujours le problème de la
garantie d'un revenu suffisant jusqu'à l'ouvexture du droit à la retraite, sans parler d'autres problèmes iumains et sociaux. D'après
les réponses au questionnaire, cette mesre ne semble être pratiquée
que dans un petit nombre de pays et, la. plupart du temps, à titre
excepticnnel.
EmRlcis nouveaux
Les nouvelles technologies ont entrainé Ja création de nouveaux
surtout dans les secteurs teclyiigues et dans les secteurs
qui utilisent des ordinateurs. De nouvea1ux postes de techniciens
pour les installations et l'entretien, spécialisés en électromécanique ou en électronique, ont été ouQerts, ainsi que des postes
de spécialistes en informatique (pour l'analyse de systèmes, les
programmes, la saisie de données). Quelques emplois nouveaux ont
été intrcduits dans les postes, par exemp1e, les emplois d'opérateur
de tri sur clavier ou d'indexeur de courr1ier.
empicis,
lVoir "L'adaptation de la main-d'oeuvre au progrès technique",
Travail et automation (Genève, BIT), n° , 1967.
- 47 -
Seln la réponse de J.a Suède, l'introduction de la télévision
par câble pourrait entrainer la création de nouveaux emplois.
D'après les réponses, pour remplir les emplois nouvellement
les services des postes et télécommunications ont recouru de
manière prioritaire, dans la grande majorité des cas, à la formation
les
qualifications
et
possédant
du personnel déjà employé
nécessaires pour recevoir cette formation. Cependant, il a fallu
souvent engager du personnel nouveau, en particulier pour des tâches
très spécialisées, notamment dans les domaines de l'électronique et
Dans quelques pays, ces spécialistes ont été
de l'informatique.
C'est le
chargés également de la formation du personnel existant.
par exemple. En Côte-d'Ivoire, on a fait appel à Ufl
cas en
Suède,
pour former le
personnel d'encadrement étranger (des coopérants)
Cameroun, on préfère engager du personnel
perscnnel en place. Au
déjà qualifié si la formaticn du personnel interne doit prendre plus
Plusieurs réponses
de trois mois et représente un coOt élevé.
signalent que certaines catégories d'employés sont envoyées en stage
de formation dans des entreprises de l'extérieur.
créés,
influence sur a structure du 2ersonnel
et su la carrière
de ce gui précède que diverses fonctions se sont
Il ressort
nouvelles,
que
modifiées avec l'application des technologies
encore perdent de leur
d'autres sont apparues et que
importance ou ont même tendance à disparaltre. Il en est résulté
certains changements dans la compositicn du personnel, en particulier une augmentation très sensible du personnel technique, tant en
chiffres absolus que par rapport aux effectifs totaux.
Certaines réponses au questionnaire sont révélatrices de ces
transformations. Ainsi, en Australie, le personnel technique de qualification moyenne a passé de 34.466 en 1967 à 44.389 en l95,
tandis que le personnel des téléphones, dans le même temps, passait
de 12.281 à 11.906. Les services d'entretien et de réparation
centralisés, comportant au total moins de
changent de structure:
perscnnel, ils sont souvent devenus polyvalents. Leur personnel tend
à se subdiviser en ingénieurs spécialisés et en travailleurs non
qualifiés chargés de remplaoer les équipements défectueux.
L'évolution est particulièrement frappante en Suède en ce qui
et
télégraphe
les
concerne les opérateurs de téléphone et
techniciens au cours des vingt dernières années: les opérateurs et
les techniciens étaient respectivement au nombre de 17.500 (49 pour
et
de 9.600 (27 pour cent des effectifs) en
cent des effectifs)
1556. Ils étaient respectivement au nombre de 5.700 (14 pour cent)
et de 18.600 (45 pour cent) en 1976.
Autre fait marquant, la proportion de personnel d'encadrement
tend à s'élever. Les fonctions d'encadrement elles-mêmes prennent un
caractère de plus en plus technique
(organisation, direction,
coordination et contrôle du travail sur machines).
pu penser que les changements technologiques et les
On aurait
transformations qu'ils ont provoquées dans la composition du personnel seraient de nature à exercer une influence sensible sur les carrières dans les services des postes et télécommunications. En fait,
les réponses au questionnaire ne permettent pas de se faire une idée
claire de la situation.
- 48 -
Plusieurs pays ne se prononcent as sur cette question, soit
parce que les nouvelles techniques sont 'introduction trop récente,
soit parce que l'évolution en la matière est encore peu claire et
difficile à dégager.
Daprès 20 réponses, sur les
qui ont été relevées, les
changements technologiques n'ont pas eu d'influence sur les carrières ou les possibilités de promot on, ou, du moins, n'ont pas
exercé une influence directe.
L
précise, pour les poste
grade n'est pas modifié, tant que les ex
au
Canada,
mâmes.
La Société Beli,
modifications techn9logiques s'est répar
a permis ïes recyclages et reclassements
les
possibilités de carrière, à l'in
sont maintenues. La formation profession
effet sur les mesures de réadaptation en
prime spéciale est allouée si un cer
,
que le classement par
gences d'entrée restent les
explique que l'impact des
j sur une longue période et
nécessaires. Au Cameroun,
érieur de chaque catégorie,
elle initiale peut avoir un
Prance. Au Luxembourg, une
ain niveau de formation est
exigé.
En ce gui concerne le Japon, le s
l'importance du volume des opérations e
rières. Le syndicat de la KDD, de son cô
des postes de travail diminue dans cert
d'autres, que de nouveaux postes sont cr
nients de personnel, y compris des transf
que la struct
des reclassements,
mais
pas affectée.
ndicat Zendentsu souligne
son influence sur les caré, considère que le nombre
ins secteurs, augmente dans
és, provoquant des mouverts à d'autres fonctions et
re inâme des carrières n'est
d'une
Au Royaume-Uni., il s'agit d'une res ructuration globale,
,ue
d'une influence sur les
réorganisation des services, plutôt
carrjères. Par xeniple, la diminution du nombre des administrateurs
un recJ. ssement
locaux a été compensée par
au sein d'unités
administratives plus grandes.
En Suède, on note une augmentation e la demande de personnel
mais les carrières en tant
(surtout pour les ordinateurs)
qualifié
que telles ne sont pas affectées. on .ouligne également que le
est
facteur
le
plus
important,
dans ..e dômaine considéré,
l'élévation générale du niveau des connaissances.
L'Italie souligne dans sa réponse que, si les changements technologiques ont eu si peu d'influence sur les carrières, cest en
raison de la rigidité et des caractéri'tiçjues propres aux rapports
de droit public.
les réponses mentionnent
Dans près de la moitié des cas (21)
cependant des améliorations dans les p ssibilités de carrière sont
menticnnées, mais ces améliorations ne snt pas toujours dues aux
modifications technologiques.
Dans les télécommunications de
des services a conduit à une restruct
régicnalisation des services, par ex
nouvelles unités hiérarchiques. Grâce
visant à faciliter la formation du pers
perfectionnement du personnel des grades
les possibilités d'accès à des emplois m
qu'en 1975-76, sur les 1.520 personnes q
d'ingénieur,
de technicien ou
950
appartenaient à une catégorie profession
ustralie, la réorganisation
ration des carrières; la
a permis de créer de
mple,
unê politique délibérée
nnel d'un certain âge et au
inférieurs, on a pu élargir
eux rémunérés. C'est ainsi
j acquéraient une formation
oit plus de 60 pour cent)
elle toute différente.
- 149 -
En Colombie, les carrières techniques des té].écoramunications
restructurées. Pour passer d'un niveau à un autre, il faut
été
maintenant avoir travaillé pendant trois ans au niveau inférieur et
avoir suivi la formation correspondant au niveau supérieur. La
catégorie de technicien est la plus élevée dans ce système; elle
comporte cinq niveaux et est ouverte à d'autres catégories: c'est
ainsi que le mécanicien de niveau III peut accéder au grade de
technicien de niveau I, l'électricien de niveau III, au grade de
l'opérateur de pupitre de contrôle de
technicien de niveau II,
niveau II,
tandis que
niveau II,
au grade de technicien de
l'installateur de niveau II et le réparateur de téléphone de niveau
peuvent devenir cêbleurs auxiliaires de niveau II, puis accéder,
II
comme ces derniers, aux grades de technicien.
ont
L'amélioration des possibilités de carrière est due, au Pérou,
la pclitique de f ormaticn du personnel. Aux Philippines, dans les
les
elle dérive de la politique salariale et, pour
postes,
Suède
(postes),
En
télécommunications, de la décentralisation.
l'amélioration de l'évolution des carrières et des possibilités de
changement résulte d'une meilleure politique du personnel.
à
meilleures perspectives de carrière résultent souvent de la
De
les
dans
création de nouveaux types d'emploi. En Argentine,
télécommunications, c'est une nouvelle direction, avec toute sa
hiérarchie, qui a été créée pour les communications à longue distanla
ce. La progression professionnelle, dans les services postaux de
a été améliorée pour les nouveaux grades et les nouvelles
Belgigue,
carrières, par rapport aux emplois traditicnne.ls; pendant la période
transitoire, les passages d'un niveau à l'autre ont été facilités.
Aux Etats-Unis, dans les postes, de nouveaux métiers, en rapport
avec l'entretien des équipements, ont élargi les possibilités de
carrière pour les techniciens en électro-mécanigue. En Norvège, dans
les télécommunications, la création de nouveaux emplois et les cours
de perfectionnement ou de recyclage ont amélioré les possibilités de
promoticn professionnelle; au niveau individuel, cependant, ces
niveau
des
possibilités peuvent se trouver limitées par le
connaissances ou par les difficultés de transfert.
La Nouvelle-Zélande signale que les possibilités de promotion
des niveaux de connaissances et
se sont améliorées avec
même, la diminution du nombre des emplois,
de responsabilités;
de
que
dans certains secteurs, peut aboutir à des améliorations, parce
la
proportion des fonctions de contrôle et d'encadrement augmente.
traduire
Toutefois, pour certains employés, cette réduction peut se
par une diminution des possibilités de promotion. D'autre part,
l'avancement dans les emplois techniques est devenu plus difficile
pour le personnel dont les connaissances techniques sont limitées ou
dépassées.
Dans certains cas, l'automatisation des téléphones a
du
de
surveillance
et
personnel
déclassement
conduit au
d'encadrement.
Il y a bien eu augmentation du personnel à la suite
de l'introduction des ordinateurs, mais la structure des carrières
même, la ;olitigue des promotions n'ayant pas été
est demeurée la
aux
grades
gui concerne ].'accession
en ce
modifiée. Enfin,
parce que les
été améliorée
la formation a
supérieurs,
si
qualifications demandées sont plus élevées, le personnel intéressé
devrait avoir reçu une instruction scolaire plus poussée.
L'Indonésie mentionne, au chapitre des améliorations, que des
emplois tenus è l'origine par des étrangers sont maintenant occupés
par un personnel local. Ce cas pourrait se retrouver assez souvent
- 50 -
dans les pays en voie de développement o les équipements nouveaux
nécessitent tout
"abord l'engagement d'un personnel spécialisé
étranger, mais estrainent ensuite la for ation d'un personnel gualifié autcchtone.
En résumé, il n'est pas possible
que les changements
technolcgigues entralnent une améliorati9n des pqssibilités de carrière pour le personnel dans son ensemble,, car d'autres facteurs
interviennent également. En revanche, oi
peut constater que,
en
dehors de certains cas spécifiques et circonscrits, l'évolution des
techniques n'a pas nui dans l'ensemb].e aix conditions de promotion.
Là où des améliorations certaines ont été notées, il s'agit presque
toujours des secteurs techniques et, parfois, de certains grades
supérieurs.
forma tics professionnelle com2émentaire
L'application de nouvelles techniques, dans les postes et les
télécommunications comme dans d'autres septeurs, se traduit par des
exigences diverses en matière de qualifications professionnelles,
ainsi qu'on a pu le laisser entendre plus haut à propos des changements affectant
es fonctions et la structure du personnel. Si, de
manière générale, des installations perfectiounées réclament un personnel de réglage et d'entietien hautement spécialisé, on constate,
par exemple dans les centres de tri, que l'indexation réclame moins
de connaissances gue le tri manuel. Cepenant, môme le passage à des
taches hoins qualifiées réclame uné certaine initiation.
Les
administrations et entreprises des postes et télécommunications se
trouvent ainsi dans l'obligation d'organiser' ou de faciliter la
formation à divers degrés de leur personnl.
C'est d'ailleurs, dans
de
nombreux
cas,
l'un des moyens
e fésorber le
personnel
excédentaire, en le rendant apte à assumer des fonctions différentes
de celles gu'iJ. exerçait avant l'adoption des techniques nouvelles.
Bien entendu, les efforts consentis à cet.effet ont d'autant plus de
chances
de
succès
que
la formatifon de base, scolaire ou
professionnelle, est large et diversifiée,
favorisant l'adaptation
aux changements auxquels on sera confronté tout au long de la vie
active.
Les postes et les télécommunications assurent depuis longtemps
cours de formation à leur personnel, mais la formation de base
est de plus en plus complétée par des cous de perfectionnement et
de spécialisation.
des
I
L'introduction de nouveaux métier
portent à l'utilisation de l'ordinate
l'organisation de cours nouveaux, mai
formaticn suffit dans bien des cas à four
les ccnnaissances et la formation nécem
plupart des transferts demandent, soit un
une mise à jour des connaissances, soit u
une formation entièrement nouvelle.
tomme
ceux qui se rapsouvent
mené
à
le système existant de
ir u personnel transféré
aires au nouvel emploi. La
complément de formation ou
e reconversion impliquant
r,
a
Dans d
nombreux pays, la formatio interne est confiée à des
centres ou institutions spécialisés, qui .réparent également, le cas
échéant, aux examens internes. Cependant, on rencontre de nombreux
exemples de formation dans l'entreprise.
En Argentine,
la formation des em.loyés postaux (Encotel) se
fait dans un institut de formation pro essionnelle de la main-
- 51 -
Les
d'oeuvre et peut se poursuivre grâce à un système de bourses.
disposent également d'un institut de
télécommunications (Entel)
formation, dont les cours peuvent être complétés, grâce à des
centres
bourses d'étude, par l'enseignement que dispensent d'autres
nationaux de formation ou des centres internationaux.
Australie, il existe dans les télécommunications un centre
En
de formation permanente des techniçiens gui organise des cours de
courte durée selon les besoins.
La Belgique envoie des candidats dans les entreprises de
construction de matériel informatique où la formation nécessaire
la formation
Dans les télécommunications,
leur est dispensée.
et
téléphones
des
l'Ecole
professionnelle est assurée par
L'enseignement,
dirigée par un comjté paritaire.
télégraphes,
déccncentré, est donné sur place dès qu'une douzaine de candidats
ateliers, etc.)
(locaux,
Des équipements
peuvent être réunis.
doivent être prévus à cet effet. En outre, cinq centres fonctionnent
dans le pays. Selon l'opinion syndicale, l'une des difficultés
consiste à établir la continuité entre l'école et la formation
interne.
de
En Bulgarie, sur arrêté du Conseil des ministres, des cours
recyclage d'une durée de trois mois à un an sont dispensés aux
Ces cours
perscnnes touchées par les changements technologiques.
ainsi que les cours réguliers de formation sont donnés dans des
postes,
l'Institut semi-supérieur des
établissements tels que
collèges techniques et les
les
et
téléphones,
télégraphes
établissements scolaires spécialisés de niveau moyen.
Au Cameroun, l'Ecole supérieure des postes et télécommunications ne dispense pas de cours de formation permanente et le coât de
ormaticn du personnel qualifié est tel qu'il semble parfois plus
les
déjà
possèdent
qui
avantageux d'engager des personnes
qualifications requises.
Les télécommunications (Entel), au Chili, ont sis sur pied une
formation axée sur le changement technologique qui intéresse la planification, l'étude des projets, les opérations et l'entretien. Des
"prospectifs" sont organisés avec le concours d'institutions
cours
de l'extérieur, voire de l'étranger. Le cas échéant, la formation
est dispensée dans l'entreprise de fabrication du matériel.
En Colombie, les postes disposent d'un département de la formation. Il convient de signaler qu'une convention paritaire prévoit la
du niveau de l'enseignement secondaire,
formaticn complémentaire,
pour le personnel âgé de plus de 25 ans et que le programme prévu
doit débuter sous peu. Dans les télécommunications, où, comme on l'a
même les travailleurs des catégories inférieures peuvent
vu,
maintenant accéder aux fonctions de technicien en suivant des cours
successifs de spécialisation, l'Institut technique de l'électronique
et des communications (interne) fait appel, pour certains cours, aux
et
des instituts de formation
universités
des
enseignants
professionnelle spécialisés.
centres
de
créé
des
Etats-Unis, ont
Les postes, au
perfectionnement des qualifications. La formation sur le tas peut
être complétée par un stage d'études suivi au centre technique
d'O]çJ.ahcma ou au centre d'administration du Nazyland.
- 52 -
En France, 1'Ecole nationale supérie
les stages chez les constructeurs de s
stages suivis au Centre privé d'études pr
d'automatique permettent la formation
important de personnes. Dans les télécoms
perscnnes ont participé, à un titre ou à
29.000 personnes ê
formation.
En 1976,
formation, et 37.000 en 1977. La part
fonctionnaires des catégories C et D devr
1976 et de 46 pour cent en 1977. Des s
d'adaptation pédagogigue et de formatio
l'étude.
Dans les
télécommunications,
formation représentait 7,5 pour cent de 1
ptopertion devrait s'accroître à l'avenir
re des télécommunications,
tériel informatique et les
tiques d'informatique et
t le recyclage d'un nombre
nications, en 1975, 25.000
n autre, à des cours de
vraient suivre un cours de
des cours destinés aux
it être de 33 pour cent en
sures de décentralisation,
des formateurs sont à
en 1974,
le budget de la
sasse salariale; cette
A Hong-kong, la formation, dans les ostes, se fait sur le tas;
des écoles de formation
dans les télécàmmunications,
il exist
interne.
Les postes, en Indonésie, ont une éc le supérieure; les téléccmmunications organisent divers cours e formation technique, que
ccmplètent ceux d'une autre école supérie te.
En mdc, à côté des centres de forma
existe des centres de formation aux métie
(25
au
niveau des districts, 14 au ni
Centre internationàl de formation supérie
a été créé à Dehli-Ghaziabad, avec l'aide
institu,t de gestion postale et de recherc
Ce système est comp].été par des possibili
en particulier pour
les personnes ay
supérieure.
ion interne des posts, il
s des télécommunications
eau régional) . De plus, un
re en télécommunications
de l'UIT et du PNUD, et un
e appliquée est à l'étude.
és de stages à l'étranger,
nt uiie formation technique
Les syndicats, en Italie, ont négoci l'introduction de cours
programmés dans les télécommunications (ASST) . Deux cours de perdoivent
fectiontement d'une semaine, donnés à cia ans de distance,
progréssivernent
introduits
et
étendus à l'ensemble du
être
personnel: il s'agit de revoir les notion fondamentales, de mettre
jour en matière de méthodes et d'appareils
les connaissances à
récents, de donner la nouvelle instructio nécessaire en matière de
sécurité et de fournir des informati as sur le développement de
l'entreprise.
Au Japon, le centre de formation du ministère des Postes et
Télécommunications dispense la formation élémentaire (complétant la
formation sur le tas), divers cours intermédiaires de spéciades cours moyens et avancés. E ri 1975, le nombre total des
lisation,
à
45.135.
La KDD a
i.erscnnes en cours de formation s'élev it
organisé un programme de formation dans 1 'entreprise, dont l'ampleur
ressort du tableau 6.
En I,lalaisie, un accord entre le mini
l'Union nationale des employés des t
blissait un classement unifié pour le per
au personnel non gualifié des services t
recevoir une formation et d'accéder à des
été reconnu à cette occasion que la tec
tions serait enseignée le plus efficaceme
services et que, pour la sélection des
tère des Communications et
lécommunications, qui étacnnel technique, a ouvert
chniques la possibilité de
emplois qualifiés. Il a
nologie des télécommunicat à l'intérieur même des
empicyés à former, il con-
- 53 -
venait d'attacher autant d'importance à l'expérience professionnelle
qu'aux diplômest.
Dans les postes, en Norvège, un institut prend en charge la
forrnaticn, en collaboration avec le district postal diOslo. Dans les
télécommunications, des cours ont été organisés pour le personnel
privé de sc emploi par l'évolution technique, sur le base d'un
accord concernant les "dispositions relatives à l'automatisation du
service téléphonique".
Au Pakistan, les télécommunications organisent des cours intrnes périodiques sur les innovations techniques, complétés de stages
l'étranger, de stages chez les constructeurs de matériel ou d'une
à
formation dispensée dans lecadre de l'assistance tecbnique.
Il existe au Pérou un centre de formation des services postaux,
ainsi guun institut national de la recherche et de la formation en
télécommunications, et il est également possible de
matière de
suivre des stages à l'étranger.
Aux Philippines, le Çonseil du département de la Formation
collabore avec l'Institut de formation des postes, tandis que des
cours techniques et des séminaires de formation à la gestion et à
l'adainistration
ont lieu dans les centres de formation des
télécommunications.
Au Royaume-Uni, il existe diverses possibilités de formation
complémentaire;
c'est ainsi que des instructeurs sont envoyés dans
les bureaux où des modifications auront lieu.
En Suède, seules les télécommunicaticns ont mis sur pied un
programme de formation permanente;
les cours de perfectionnement
sont donnés aussi bien au niveau local qu'au niveau régional.
Voir Nouvelles de l'PTT, n° 10, octobre 1976.
- 54 -
Tableau 6
fln_QcJranune de formation dans
'entrerise en 1976
Nombre de ersonnes
concer ée s
Ccnaaismances de base
ications de l'or=
dinateur
11 0
Durée de la
formation
192-762 heures
Cours de niveau universitajre:
pcur personnel administratif
ldl
pour ingénieurs
2 l
I
2 ans
Cours de s2éciaiisation:
installations extérieures
génie civil
communic. informatigue
téléphone
électricité
t ra n mmi s si ans
182
8.0
1 6
9 mois
9-10 mois
9 mois
1 67
1,
39
u
I,
I,
radio
Etudes et 2rQjets d'é9uiement
Construction
278
14-30 jours
4 22
15-29
7-256
2 968
Eâtirnent
4.8
l0
Formation sur
e terrain
533
'I
"
87 jours
15
'u
2-100 jours
- 55 -
et
En qunisie, la formation est assurée par l'Ecole des postes
télécommunications et par la section postes, télégraphes, téléphones
de J.'Eccle nationale d'administration: des stages, cycles d'étude et
séminaires à l'étranger sont également organisés et le personnel
bénéficie aussi de la formation sur le tas.
Selon les réponses, dans la moitié des cas environ, une politiquE de formaticn spécia].e du pérsonnel touché par l'évolution des
seulement
techniques parait avoir été mise en oeuvre. Cinq réponses
indiquent que les organisations syndicales participent à la formation ou au recyclage du personnel.
rémunération continue
Dans la grande majorité des cas, la
d'être versée au personnel en cours de formation, et les divers
avantages sont conservés (avantages sociaux, ancienneté, avancement,
les
etc.). Lans un grand nombre de cas, la formation a lieu pendant
considérée comme un travail et le
elle est
heures de travail;
personnel est considéré comme étant en service; dans quelques cas,
le personnel en formation est dit "en congé", sans qu'il
cependant,
soit précisé si ce congé est payé.
En République fédérale d'Allemagne, des congés de formation non
accordés
rémunérés, dont la durée peut aller jusqu'à deux ans, sont
membres du persozinl gui désir-ent compléter leur formation;
aux
ceux-ci ont la garantie de recouvrer leur poste à leur retour, sans
acquérir du fait de leur complément de formation un droit spécial à
promotion. Lorsqu'il s'agit de la formation qu'exige un poste
nouveau ou un transfert, l'administration prend à sa charge tous les
frais emcourus et continue à verser la rémunération.
Les "cycles de formation", en Belgique, font partie intégrante
pendant
du système d'engagement et de prosotion. Les cours ont lieu
les heures de service, mais selon un horaire réduit (six heures au
lieu de huit). La documentation est gratuite, et des exercices en
labcratcire la complètent. Les frais de déplacement peuvent être
remboursés, le cas échéant, et des primes sont attribuées aux
lauréats des examens. Au Japon, une convention collective détaillée
notamment la
règle la formation dispensée par la NTT: elle prévoit
garantie des vacances d'été lorsque la formation dure plus de six
mois, le droit au poste que le travailleur occupait avant le cycle
formation ainsi que le droit aux augmentations régulières. Après
de
la reprise du travail, le niveau de rémunération et les autres
conditions d'emploi doivent être les mêmes que pour les autres
travailleurs. Les frais sont pris en charge par l'entreprise.
Dans le cas du Brésil, ceux qui suivent les cours d'une école
technique ne bénéficient que d'une garantie d'emploi à leur retour,
alors que ceux qui suivent les cours donnés dans l'entreprise ont
droit au salaire et autres avantages. Au Chili, le personnel débutant ne perçoit pas de rétribution pendant sa formation, car j]. n'a
pas de lien juridique avec l'entreprise.
Dans les télécommunications, en Colcmbie, l'employeur accorde
un congé payé et prend en charge les frais afférents aux cours en
contrepartie; le candidat s'engage à rester au service de l'entreprise pendant une période double de la durée des études.
En mdc, les personnes qui sont engagées sont traitées comme
Au
apprentis et reçoivent un salaire adapté à ce statut.
Pakistan, les ingénieurs sont considérés comme étant en période
des
- 56 -
d'essai pendant les deux ans que dure eur formation; leur salaire
est conforme aux normes établies pour le stagiaires de la fonction
publique.
En
Norvège,
la participation autoxjisée aux cours, séminaires,
conférences et réunions de formation donne droit au
salaire
intégral. En Suède, même si la formatioi n'est pas considérée comme
absolument nécessaire pour le travai]leur, un congé avec salaire
complet ou partiel peut lui être accordé. D'autre part, une loi
générale de janvier 1975 dispose que tous les travailleurs ont droit
à
un congé-éducation sans avoir droit de ce fait au salaire ou au
paiement des frais de formation.
A Sri Lauka, des bourses sont allou es pour la formation supézieute et la formation à l'étranger, ave maintien du salaire.
En Tunisie,
les bourses, dont le sontant est proportionnel au
grade du candidat, sont remboursables en cas d'échec ou de rupture
d'engaement.
Cette question de la formation, gui se pose de manière particulièrement pressante dans les télécommurications, oè certaines connaissances demandent à être constamment revues, est au premier plan
des préoccupations, non seulement au niveau national, mais également
sur le plan international. L'Union interxationale des télécommunications voue une attention particulière à la gtestion des méthodes, à
celle d'une certaine uniformisation des natériels pédagogiques, à la
création de centres nultinationaux de formation supérieure,
&
l'échange d'experts pour l'enseignenent, ainsi qu'à la "formation
des formateurs"t. En collaboration avec le Programme des Nations
Unies pour le développement
(PNIJD),
l'UI
accomplit une tâche
importante de formation dans les pays e
voie de développement.
Selon us rapport de cette organisation2, les conditions idéales dans
le
domaine de la formation seraient les suivantes: un budget annuel
de formation équivalant à 5-10
pour cent du total des salaires
versés;
une proportion de 5 pour cent u personnel recevant à tout
mcment une formation professionnelle;
un
personnel
enseignant
bénéficiant d'un statut permanent.
'Voir, par exemple,
Journal des
vol.
37,
nO
VII,
juillet
éléommunications (Genève,
1970,
numéro
spécial
"Télécommunications et éducation", et vol 43, n° 4, avril 1976, pp.
29-284.
tilT) ,
tmVoir
A.H.
Brooks: "Considérations
sur quelques problèmes de
±ornaticn professionnelle pour les téléco munications en Afrigue",
Journal des télécommunications (Genéve, U T), vol. 38, nO VIII, aoUt
1971, pp. 583-567.
- 57 -
Effets sur
,es conditions dti
Il n'est sans doute pas inutile, afin de mieux déterminer la
portée de cette question, de rappeler l'extrême diversité des tâches
accomplies par le personnel des postes et télécommunications. A part
le sentiment d'appartenir à la même organisation, il n'y a guère
d'éléments communs entre le facteur rural qui trie lui-même le
courrier à l'arrivée, organise sa propre tournée, l'accomplit dans
des limites de temps assez imprécises, entretient lui-même sa
bicyclette, et le travailleur qui conduit une machine de tri dans un
centre urbain, effectuant la même opération pendant des journées
entières suivant un horaire et des normes rigides. Ni l'un ni
l'autre ne peuvent non plus comparer leurs conditions de travail
ou
avec celles du personnel d'entretien des centraux téléphoniques,
du personnel des chègues postaux.
Il faudrait donc une longue étude pour exaniner, secteur par
changements
des
l'effet
par
catégorie,
catégorie
secteur,
technologiques sur les conditions de travail dans les postes et
télécommunications. Cet examen détaillé n'était pas possible dans le
cadre limité du présent rapport. On s'est donc borné, dans les pages
gui suivent, à rassembler les principales indications fournies par
les réponses au questionnaire en les classant sous quatre rubriques:
rémunérations, organisation du temps de travail, satisfaction au
travail, environnement et santé.
Rémunérations
Le plus souvent, il ne semble pas y avoir de lien direct et
l'introduction de techniques nouvelles et
entre
systématique
l'évolution des échelles de rémunération dans les services de postes
et télécommunications. En particulier dans les pays où salaires et
avantages sociaux sont déterminés par la loi, les rémunérations
Cependant, cette constatation générale
n'ont pas été affectées.
recouvre une grande variété de situations.
Chili, tous les services de l'Administration d'Etat appliAu
quent un barème unique de rémunérations (décret-loi n0 2149 du 31 décembre 1973) . La structure des salaires de toute la fonction publiçue est particulièrement rigide au Danemark. En France, le traitement du personnel est lié à son statut. En Indonésie, comme en
Italie, les règles de détermination des salaires fixées pour la
fonction publique valent également pour le personnel es postes. En
la rémunération du personnel des postes et téléNouveJ.le-Zélande,
ccmmunications est déterminée par la législation (loi sur les
rémunérations et les conditions d'emplci dans les services de
les
l'Etat) et, dans le cadre d'une politique conjoncturelle,
augmentations de salaire sont limitées; les syndicats précisent en
outrE que les salaires sont fixés en tenant compte de ceux du
secteur privé. Au Japon, lors de la détermination des salaires à la
NTT, ceux de la fonction publique et ceux du secteur privé doivent
les modifications technologiques
en considération;
pris
être
n'exercent donc pas d'effet direct.
En général, le déclassement d'un poste de travail et l'abaisseune
diminument des qualifications exigées entrainent en principe
- 58 tion de la rétribution attachée au pos
plan individuel, la garantie du salaire
part, lorsqu'il y a mutation ou transfer
postes dont la rémunération est égale ou
ploi précédent.
En Argentine (Entel), une conventio
restructurations d'entreprise et les in
vent pas donner lieu à diminution de sal
législation qui interdit une telle di
tions, en Australie, appliquent un progr
(pour le personnel touché par l'évoluti
pendant une période transitoire et, parf
En Colombie, le maintien du salaire est
ferta posent à cet égard quelques diffic
L'abaissement du niveau des guali
lités, en France, n'implique jamais une
tion de l'agent gui occupait le p0
Norvège, dans les postes, on signale un
rémunération pour un certain nombre de f
déclassées en raison de l'abaiss
nécessaires, mais, en compensation, les
dans les catégories inférieures, ont ét
pris individuellement, des travailleurs
réductions de salaire.
Le déclassement de certains pos
celle du téléphone en particulier - n'
immédiate en Nouvelle-Zélande pour 1
parce gu'il est transféré à un post
supérieur, soit parce que la diminution
lorsque le poste devient vacant.
Aux Pays-Bas, la rémunération est g
déclassement individuel, de même gu'e
simplification des têches n'entralne auc
munéxation individuelle.
e en question, mais, sur le
emble être acquise. D'autre
, il s'agit toujours de
supérieure à celle de l'emcollective prévoit que les
ovat±ons techniques ne dciire. Au Brésil, c'est la
inution. Les télécommunicamine de maintien du salaire
n des techniques) , au moins
is, sans limite de temps.
ssuré, mais certains trans-
ltés4
ications ou des responsabiiminution de la rémunérate de travail concerné. En
réduction du niveau de
nctions de tri, qui ont été
ment
des qualifications
alaires, tout spécialement
relevés. On ne dit pas si,
nt effectivement -subi des
es, dfl à l'automatisation ntralne pas de réduction
traVailleur en cause, 'soit
de grade comparable ou
de salaire n'intervient que
rantie et il n'y e
pas
de
Suède, dans les postes, la
ne diminution de la ré-
Lorsque de nouveaux types d'emploi cnt été créés, ils ont été
très souvent intégrés dans les échelles existêntes, en Belgigue, par
exemple.
D'une manière générale, le niveau de rémiinération suit le aide qualification. Dans la mesure o les exigences de formation
et de ccmpétence sont augmentées, on con tate donc une augmentation
des salaires. Par exemple, aux Etats-Uni dans les postes, les opérateurs de tri spécialisés ont un sal ire de début plus élevé que
celui des trieurs annuels (les difficult s que pose le recrutement
de ces opérateurs ont d'ailleurs co tribué à augmenter cette
action). En France, on s'efforce d'adap ex le niveau salarial aux
exigences en matière de gualifications (techniques en particulier)
en procédant à une réforme des structur s hiérarchiques. A Hongkong, des qualifications plus élevées entrainent un relèvement de
veau
catégorie et, ar conséquent, une auginen atioi de salaire.
Au Japon, dans les postes, la fonction nouvelle d'informaticien
supérieur, à laquelle est attaché un salire élevé, a contribué à
relever le niveau de rémunération ds tâches en -rapport avec
l'informatique, tandis qu'une élévation .es salaires a pu être cons-
- 59 -
tatée à la KDD; elle concerne spécialement les jeunes générations,
précédemment défavorisées par les systèmes traditionnels fondés sur
l'ancienneté.
Les négociations collectives ont permis, dans certains cas,
d'aboutir à des augmentations de salaire fondées sur l'introduction
de nouvelles techniques. Par exemple, on peut noter dans la réponse
irlandaise que les changements technologiques ont été invoqués, à
côté d'autres facteurs, comme argument en faveur du relèvement des
salaires des fonctionnaires des services techniques. Au Royaume-Uni,
une augmentation de salaire intéressant les emdans les postes,
ployés du courrier a été négociée sur la base des économies que la
mécanisation postale permettait d'escompter. En Suède, dans le cadre
conventions collectives négociées par le Bureau national de
des
négociation collective et les syndicats, des augmentations de salaire liées à des exigences de formation plus élevées devraient
prendre effet dans tout le secteur informatique, en pleine expansion.
Au chapitre des allocations et indemnités diverses, on note, en
Belgigue, qu'une prime de reconversion est versée, dans les télécommunications, en cas de recyclage; les chèques postaux ont introduit
une indemnité pour travaux assujettissants résultant de l'autonation, et la motorisation de certains services postaux a conduit à la
création d'une prime en faveur des conducteurs qui n'ont pas d'accidents.
l'absence de relèvement hiérarchique du poste, en France,
En
des primes et indemnités pour sujétions résultant de la modernisation scnt perçues; des primes spéciales, allouées de manière générale aux fonctionnaires informaticiens, concernent évidemment aussi
Dans les
les informaticiens des postes et télécommunications.
chèques postaux, au Luxembourg, il est également versé une prime à
l'informatique et le personnel affecté au service des ordinateurs,
indemnité
République fédérale d'Allemagne, bénéficie d'une
en
Zulage) . On relève aussi guau Japon les
(Programinier
particulière
une allocation
opérateurs de pupitres de codage postal perçoivent
ju'il en est de même pour le,personnel technique et
spéciale et
mécanographique, en Tunisie.
doDans les cas de transfert, les frais de transport entre le
micile et le nouveau lieu de travail ont parfois donné lieu à compensation. Lorsyu'il existe des antennes terriennes pour les communications par satellite, le personnel peut avoir à travailler dans
des lieux assez écartés. Quelques réponses notent à ce propos que
les frais de déplacement encourus par le personnel du fait, soit de
la concentration des services, soit de leur décentralisation, sont
pris en charge par l'entreprise, en plus des dispositions en matière
de logement.
Enfin, on peut noter que l'augmentation de la productivité
s'est traduite, parfois, par une augmentation de revenu pour le tra(décision
vailleur. Au Japon, sur la base d'une décision arbitrale
personnel de la NTT touche depuis 1959 une allocation
i44-l59),
le
annuelle; versée à l'ensemble du personnel, proportionnellement aux
gains de productivité de l'année précédente, cette allocation est
destinée à compenser les inconvénients qui résultent, pour les
travailleurs, de l'évolution des techniques. Depuis 1972, une autre
de
décisi.on arbitrale (n° 347-1972) prévoit une allocation annuelle
compensaticn pour l'introduction des technologies les plus récentes
- 60 -
en matière de télécommunications. Payabi - à lensemble du personnel
ayant au moins cinq ans de service, c -tte allocation est calculée
proportionnellement à l'augmentation de :Ia valeur d'investissement
(par rapport
à l'année
antérieure).
Au Royaume-Uni,
dans les
télécommunications, une prime de prod4ctivité du personnel est
négociée chaque année avec les syndica s et s'ajoute au salaire de
base.
1
En résumé, les modifications techno logiques n'ont pas eu d'effet direct bien marqué sur les rémunér.tions fixées par des textes
législatifs. Des déclassements ont attei t certaines fonctions (tri,
téléphone) sans toutefois, en général, a fectér les travailleurs en
place, dont le niveau de rémunération
été maintenu. A l'inverse,
l'augmentation des qualifications demand es entraine certaines adaptations du niveau des rémunérations. On verse en particulier des
primes et indemnités spéciales dans les secteurs techniques et
informatiques. Enfin, la productivité .st prise en compte dans
certains
cas sous la forme d'alloc.tions spéciales versées à
l'enseoLle du personnel.
-
Orqanisation du temps de_yJ
Comme les techniques nouvelles néce
teux, les administrations et entreprises
rellernest soucieuses d'un usage
ration
équipements. Parmi les éléments
à
p
déterminer ce qui est rationnel et
seulement le volume du courrier à
transmettre et des données à traiter - t
sur la décision de modifier techniçues e
l'utilisation du personnel et, en pa
temps de travail. Certains équipements,
ionctionner, sinon jour et nuit, du soin
que la durée normale quotidienne du t
ordinateurs. D'autres fonctionnent autom
vention humaine: c'est le cas des cent
effectivement en service 24 heures sur 2
sitent des équipements coQqui les adoptent sont natuel et
économique de ces
endré en considération pour
économique, figurent,
non
anipuler,
des messages
à
us éléments qui ont pesé
équipements -, mais encore
ticulier, l'organisation du
our âtre rentables, doivent
plus longtemps chaque jour
c'est le cas des
avail:
tiguement, donc sans interaux -élépho-nigues, qui sont
Les réponses au questionnaire menti
travail par roulement (travail par égui
certains cas, une
diminution, dans d
travail par roulement.
fait, il
En
s'applique principalement à deux types d
où les machines sont utilisées alterrtati
et pour le tri
à
la distribution, e
qu'utilisent les services administratif
et télécommunications,
de la mâme s
servitudes
que les
banques, les cas
grandes
entreprises et n'importe quelle
nnent assez fréquemment le
es successives), avec, dans
autres, une extension du
semble bien que ce système
tâches: le tri mécanique,
ement pour le tri au départ
le travail à l'ordinateur,
et financiers des postes
nière et avec les mâmes
agnies
d'assurances, les
administration importante'.
Certaines réponses font état d' ne diminution du travail de
nuit. Cette conséquence heureuse des
hangements techniques, est
manifeste dans les téléphones, où l-s équipements automatiques
prennent peu à peu la place des opérateu s manuels.
'Voir 1écanistion et automatisation de l
postales, n° 90 (Berne, UPU, 1972 et l97).
com2tabilité,
Etudes
- 61 -
comme on le verra dans la section ci-après, l'application de
certaines techniques nouvelles n'a pas supprimé toutes les tâches
des
tri
monotones; elle en a même créé, comme l'indexation dans le
d'avoir supprimé toutes les tâches pénibles, elle en
lettres.
Loin
des
écrans
lecture
a
même apporté de nouvelles, comme la
effets de tension oculaire et de
ui provoque des
cathodiques,
des
tension mentale. L'un des moyens mis en oeuvre par les services
postes et télécommunications pour atténuer ces deux inconvénients,
mcnotonie et pénibilité, est l'organisation de pauses dans le temps
Le tableau 7 ci-après présente quelques exemples des
de
travail.
pauses qui sont ainsi ménagées.
Tableau 7
Que1es exem2les de pauses 2endant le travail
Rép. ±éd. d'Allemagne (postes)
Pauses de 10 minutes après
50 minutes de travail pour
les codeurs
Atgentine (postes)
Pauses supplémentaires pour
les codeurs
Australie (postes)
Les codeurs bénéficient de
pauses pendant les périodes
de travail par roulement
Relgigue (postes)
Les opérateurs sur machine
de tri ont 10 minutes de
pause après 50 minutes de
travail
Chili
Les travailleurs ont droit
à une heure de repos
(comptée comme heure de
travail) par vacation de
spt heures
Les opérateurs des téléphones ont une demi-heure
de pause par période de
travail par roulement
Etats-Unis (postes)
Deux pauses de 15 minutes
par journée de travail pour
les opérateurs de machines
de tri (lettres)
Finlande
Réaménagement des pauses
pour le personnel affecté
au tri
Prance
OérateursLtr±ces du télé10 minutes de pause par vacation de 3-5 heures
15 minutes de pause par vacation de 5-7 heures
- 62 -
0 minutes de pause par vaatiob de plus de 7 heures
isionneuses:
acations limitées à 2 h 30
cran. cathodigue:
ji acations limitées à 1 h 30
ermiflaux
auses de 5-10 minutes (secn accord entre chef de
ervice et représentant du
ersoinel)
Indonésie
ause toutes les deux
eures, deux pauses de
O minutés dans les cenraux de commutation mauelle de plus de 40 postes
Italie
d em
Japon (KDD)
5 minutes de pause par vaation de 4-8 heures
Norvège
dem. En outre, des pauses
upplémentaires ont été inroduites à la poste prinipale d'oslo en raison du
aut niveau de bruit
Eép. dém. allemande
o minutes de pause par vaation pour les travaux péi bles
Boyaunie-TJni.
auses après 2 heures de
ravail pour les tâches deandant un haut niveau de
oncentration (en particuier codeurs)
Satisfaction au travail
Les changements technologigues ont e
miner des tâches routinières, car les tra
plus faciles à mécaniser ou à automatis
a-t-elle été écartée pour autant? Cela ne
le cas,
juger par les réponses a
à en
d'entre elles signalent une aggravation d
en particulier dans les opérations de cod
dans les services administratifs et finan
l'inforratigue a conduit à une parceil
"sur-spécialisation" de certains postes.
observer gue la simplification de certai
l'intérêt et éliminé la variété. Le s
souvent pour effet d'élirépétitifs sont les
r. La monotonie du travail
semble pas être toujours
uestionnaire. Bon nombre
la monotonie des tâches,
ge de la correspondance et
iers, où l'introduction de
sation des tâches et à une
es syndicats japonais font
es
tâches en a diminué
ndicat Zendentsu mentionne
aux
- 63 -
que, selon une enquête menée auprès des téléphonistes, 50 pour cent
des opératrices trouvaient leur travail sans intérêt et 20 pour cent
estimaient être "au service du système".
En Nouvelle-Zélande,
l'opinion syndicale est qu'après une première phase d'adaptation et
de formation, les tâches perdraient de leur variété, en raison de la
fiabilité du matériel et des équipements.
indiquent une diminution de la
D'autres réponses, cependant,
monotonie du travail. En Nouvelle-Zélande, on cite l'impression des
annuaires par ordinateur. Toutefois, ce sont les tâches techniques
que l'on mentionne le plus fréquemment à titre d'exemple,
et
l'utilisation d'équipements sophistiqués est donnée parfois comme
motif d'une satisfaction accrue du travailleur.
Selon d'autres réponses, enfin, les changements technologiques
n'ont pas eu d'jnfluence sensible sur la monotonie des tâches. La
Belgique fait observer en particulier que le tri a, de toute
manière,
un
caractère répétitif du fait de l'usage de codes, et
qu'il n'y a pas & cet égard de différence fondamentale entre le tri
manuel et le tri mécanisé.
Dans les positions inférieures des
services postaux, aux Etats-Unis,
certaines tâches sont devenues
plus mcnotones,
d'autres moins. On estime, au Japon, dans les
ostes,
que la totalité des opérations ne pouvant pas
être
mécanisée, l'intérêt et la variété du travail ne sont pas influencés
par les nouvelles techniques. Selon la réponse des Philippines, le
travail postal, par sa nature même ne peut devenir monotone.
En
Norvège, dans les postes, c'est l'augmentation du volume de trafic
qui a conduit à une plus grande spécialisation et, par conséquent,
à
une moindre variété des tâches; dans les télécommunications, les
modifications technologiques ont permis
de
nouveaux
travaux
intéressants et variés, mais on a vu apparaltre également de
nouvelles tâches routinières.
Le mangue d'intérêt du travail ne provient pas toujours des
tâches elles-mêmes:
un syndicat
italien mentionne à cet égard la
centralisation des décisions, et la spécialisation poussée peut
aussi en être la cause; par exemple, le travail est varié dans les
bureaux de petite et moyenne importance, d'après la réponse de la
Belgigue, alors qu'il n'en est pas de même dans les bureaux
importants où les emplois sont beaucoup plus spécialisés.
La réponse de la France souligne que "le faible niveau
d'intérêt du travail proposé au personnel d'exécution de certains
services résulte le plus souvent, non pas des.changements technologiques,
mais de la conservation d'un type ancien d'organisation du
travail". Cette opinion semble être partagée par la société Beil, au
Canada, qui déclare étudier une application pratique de la théorie
d'Berzberg sur la motivation au travail2. De même, de nouvelles
formes
d'organisation
adoptées
par
le
service
des
en Suède,
télécommunications,
visent à éviter la monotonie des
tâches.
La mesure la plus fréquemment prise pour briser la monotonie du
travail, outre le système de pauses dont il a été question cidessus, est la rctation des tâches.
1Voir, par exemple, F. Herzberg: Work
and the nature of
man
World Publishing Co., l966)
Bay
C.
Hackman:
motivated workip aduit (New York, American L1anagement Association,
(Cleveland,
1969)
- 64 -
En revanche, il ne semble pas que l'adoption de techniques nouvelles dans les postes et télécommunications se soit
souvent
accompagnée d'expériences d'enrichisseEent des tâches, analogues à
celles qui se sont multipliées ces dernières années, surtout dans
l'industrie, mais aussi dans le secteux tertiaire. Les réponses au
questionnaire ne citent guère de cas où 'évolution de la technique
ait eu pour résultat d'élargir l'autono ie des employés dans l'exécution de leurs tâches ou d'accroltre le r marge d'initiative, conditions qui sont généralement reconnues ccmmé susceptibles d'aviver
l'intérêt à l'égard de la fonction exercée et, partant,
la
satisfaction au travail.
Cependant,
dans certains secteur des télécommunications, en
Argentine et au Japon, des équipements p us complexes sont présentés
comme faisant davantage appel au jugemen du travailleur. En Suède,
toujours dans les télécommunications, le constructions et installations externes sont souvent confiées à des groupes restreints, qui
ne sont pas soumis à un contrôle direct.
D'autre part, la Belgiqe et les Et ts-Unis mentionnent que le
passage à des machines de tri qui obéi sent aux rythmes de travail
individuel (machines arythmiques ont é nué plus d'autonomie aux
opérateurs; la même constatation a
ertainement été faite dans
d'autres pays.
Dans un certain nombre de cas, l'an onomie du travailleur apparait comme plus limitée, en particulier arce que le contrôle est
renforcé. Certaines fonctions de con rôi.e sont exercées par les
ordimateurs, qui remplacent ainsi la sur eillance traditionielle. A
ce
sujet,
la réponse belge note que le travailleur "est en quelque
sorte prisonnier du régime que l'ordinat ur lui impose d'observer
strictement".
Plusieurs
pays
souli nent cette dépendance du
travailleur à l'égard de la machine.
En
Norvège, le remplacement
des bureaux de
tri mobiles par des entres fixes a supprimé les
équipes autonomes qui desservaient ce
bureaux.
Ailleurs, dans
certains services administratifs ou fin nciers, les opérations sont
interdépendantes, ce qui limite l'autono ie de chaque travailleur.
Pour ce qui est des responsabi ités elles sont présentées
comme accrues dans de nombreux cas: par xemple, en Argentine, dans
le service international des télécommuni ations et dans les stations
terriennes
(transmissions par sateluie) . Aux Etats-Unis, dans le
même secteur, les techniciens ont mainenant des responsabilités
plus nombreuses en ce qui concerne l'installaion, l'entretien et la
réparation
dés
équipements;
es postes, le niveau
dans
de
responsabilité des travailleurs a été él vé, én raison de l'extrême
précision qui est ezigée, la rectification des erreurs étant plus
difficile avec les nouveaux éguipemets.
Au
Luxembourg,
la
décentralisation
a
conduit à la ni itiplication de postes à
responsabilité plus élevée.
Paradoxalement, il arrive que
l'aumentation de la responsabilité s'accompagne d'une surveillance pus étroite, ce qui entraine
une
responsabilité
accrue
pour
1
personnel d'encadrement
inter médiaire.
Certaines réponses signalent une ér sion de la responsabilité
travailleur,
soit en raison
précsément d'une surveillance
accrue, soit parce que certaines tâche- ont été confiées à la
machine, soit parce que la sijnplifi ation des opérations, dans
du
- 65 -
La
demande moins de jugement indépendant.
secteurs,
fait observer que, lorsque les changements technologiques
affectent l'autonomie, la responsabilité ou le pouvoir de décision
des employés, on se trouve souvent devant le problème de l'absence
les
effets
et
de
motivation au travail, le mécontentement
psycholcgiques néfastes qui en résultent.
certains
Colcaibie
résumé, l'influence de l'évolution des techniques sur l'inEn
térêt et la variété du travail n'est pas clairement établie dans
sont
pas supprimées.
les tâches monotones ne
et
l'ensemble,
L'autonomie du travailleur ne semble pas non plus fondamentalement
même si, dans quelques cas, la dépendance à légard de la
affectée,
jverse, les responsabilités des
machine a été soulignée et si, à
opérations et des cadres
certaines
à
occupés
travailleurs
intermédiaires paraissent plutôt élargies.
Si la monotonie de certaines tâches n'a pas été éliminée et si
l'autonomie du travailleur n'a pas été accrue dans des proportions
notables, on est tenté de faire un rapprochement avec ce qui a été
oIservé en pareil cas dans d'autres secteurs de l'économie. Possédant en général un niveau d'instruction plus élevé que celui des générations précédentes, confronté dans sa vie quotidienne, sur le
plan social et sur le plan familial, à une multitude de problèmes et
capable de les résoudre, le travailleur supporte mal de voir ses
facultés d'initiative sous-employées dans sa vie professionnelle.
va-t-il de même dans les services des postes et télécommunicaEn
tions et faut-il voir là une cause du malaise qui s'est manifesté
ces dernières années dans plusieurs pays, prenant parfois la forme
de
de ccnflits prolongés? On a vu, an chapitre II, que le personnel
ces services semble, en général, pourvu d'un niveau de formation
assez élevé. Les informations disponibles ne permettent cependant
pas d'affirmer quil se trouve à cet égard dans une situation spéciale, on constate même que les employés n'ayant reçu qu'une instruction primaire forment plus de la moitié de ce personnel dans un
certain nombre de pays, y compris dans des pays où des conflits sérieux se sont produits dans les postes et télécommunications. Si
donc l'inadaptation de la vie de travail aux aspirations que fait
naître un niveau d'instruction relativement élevé contribue sans nul
jfl5tj5fctjofl, celui-ci, dans le cas
à
créer un sentiment
doute
des postes et télécommunications, a certainement aussi d'autres
qui ne sont pas nécessairement liées aux conséquences de
causes,
l'évolution technique.
Environnement et santé
Les modifications technologiques peuvent avoir une influence
l'emplacement et la disposition des locaux où les travailleurs
la
sont employés', mais d'autres facteurs interviennent égaleraent
superficie du pays, la répartition géographique de la population,
en
matière
politique
urbaines,
la
l'importance des zones
ô 'urbanisation, les structures administratives.
sur
Selon la moitié des réponses, les modifications technologiques
à
(limitées parfois
ont entraîné concentration et centralisation
rinci2ales du déve,opement et du
cours des 15 à 20
prochaines années, Etudes postales, n° 47, Berne, UPU, 1963.
'Voir
à
ce sujet: TendnOes
roqzès technie dns es serviQes
- 66 -
certaines opérations).
Aux Etats-Unis, par exemple, il n'y a plus
que trois grands bureaux
dans les
télégraphes gui couvrent des
régions interétatigues déterminées; dans les postes, on constate que
l'installation d'équipements plus effitcaceS et l'augmentation du
volume d'opérations qui en découle entrainent une tendance à
concentrer le trafic dans les centres mécarisés, au détriment des
centres non mécanisés. Des constatations similaires sont faites en
France.
En Irlande, il
est prévu
que le nombre des centres
téléphcniyues passera de 50 à moins de 20.
Au Japon, il existe un
bureau de concentration du courrier ordiraire et un bureau de
concentration des colis.
En Norvège,
la ciréation du "terminal
postal" d'oslo a provoqué une certaine coicentration régionale.
Ailleurs,
la
modernisation a coduit au contraire à la
décentralisation des services ou de certa1ins services. Par
exemple,
dans le service des chèques postaux de
Pays-Bas, quatre bureaux,
situés dans quatre villes différentes, ont remplacé un seul bureau
centralisé, et divers centres de codaes ont été répartis dans le
pays. De même, en Australie, le principe de grands centres de
traitement du courrier, localisés dans Jes giandes villes, que l'on
considérait naguère comme le plus efficace,
a
été abandonné au
profit d'une conception nouvelle, cell de J.a création d'un réseau
de traitement du courrier comprenant un plus grand nombre de centres
régionaux, et les télécommunications ont été régionalisées de la
même
manière.
En
Norvège,
les
unité
administratives des
télécommunications se sont dispersées. En1 Inde, il a paru difficile
d'assurer une gestion efficace à partir
'un office central et l'on
a décidé de décentraliser.
Une solution mixte a été adoptée en uède, où les services de
télécommunications ont été réorganisés d ns le sens de la décentralisation des responsabilités parallèlemen à une concentration opérationnelle.
En
général, même lorsqu'il y a décentralisation, les services
de postes et télécommunications ont tendance
se
concentrer dans
les zones urbaines; la motorisation croisante des services postaux,
l'automatisation
des
centraux téléphoniques dans les petites
agglcmérations, les exigences de rende'ment et d'efficacité des
centres de tri
(proximité d'une zone1 importante, nécessité d'un
certain volume, etc.)
renforcent cette tendance.
Ces mouvements de concentration ou, au contraire, de décentralisation,
joints à la
nécessité de concevoir et de réaliser des
constructions nouvelles ou d'aménager le
bâtiments existants pour
y
loger les équipements qu'exigent lies techniques modernes, ont
modifié considérablement, pour une grand partie du personnel, le
milieu physique de travail1.
De
manière générale, les nouveaux lodaux sont décrits comme
étant spacieux, bien éclairés, munis de systèses de ventilation et
de
climatisation.
Quelguefois, les locaux auciens sont transformés
pour mieux répondre aux conceptions modernes et les agencements sont
modifiés dans le sens d'un moindre en4rbrment.
En République
fédérale d'Allemagne, les principes de l'ergonomie sont appliqués
lors de la construction de nouveaux bâtinents ou de l'agrandissement
Ivoir "Problèmes de personnel et organisation du travail dans
les établissements postaux", Etudes du CEP, Union
ostale
(Berne,
UPU)
n° 11/12, nov. -déc. 1975, pp. 296-303.
- 67 -
ou de l'aménagement de locaux anciens, et l'organisation du poste de
En France, les postes
travail s'inspire des mêmes principes.
d'indexation sont disposés en rangées de cinq et il ne peut y avoir
que deux rangées dans un local de 12 in X 12 n. L'agencement du poste
individuel fait dans certains cas l'objet d'études en vue d'une
Des salles de
meilleure adaptation du siège, des mouvements, etc.
repos et de délassement sont parfois prévues. Dans quelques cas,
notamment en Suède et en France, les projets concernant les nouveaux
bâtiments sont soumis aux syndicats concernés.
L'un des problèmes les plus importants, dans les postes et les
dans la quasimentionné
téléccmmunications, est celui du bruit,
totalité des réponsest. Les améliorations technologiques ont parfois
diminué le bruit; par exemple la commutation automatique dans les
télécommunications, ou les pupitres séparés des machines de tri dans
mécanographiques
les postes, ou encore le remplacement des machines
dans les services administratifs ou financiers. Le
par
bruit de certaines machines a été amorti en remplaçant des pièces de
métal par des pièces de caoutchouc ou de nylon.
contre le bruit en accordant plus
également
lutte
On
d'attention au choix des matériaux de construction et à la structure
des Lâtiments (en particulier dans les centres de tri qui comportent
une importante partie mécanique). Des aménagements particuliers ont
été prévus tels qu'écrans acoustiques, revêtement des parois, pose
le niveau de
par exemple,
de moquettes et de rideaux. Au Chili,
bruit a été abaissé de 87,3 à 7S,7 décibels.
relèvent les progrès réalisés dans le domaine de
Les réponses
des
exigences
climatisation - souvent entraînés par les
pureté de
(température, hygrométrie,
constructeurs de matériel
Au Japon, certaines normes ont été fixées; dans les salles
l'air).
température doit se situer entre 20 et 26 oc,
de machines, la
l'humidité à 500 (± 10) et la quantité de poussière ne doit pas
dépasser 0,1 mg par m3. Dans les salles de travail, les normes sont
de 18 - 27 oc pour la température, 50° pour l'hygrométrie et 0,15
Au Royaume-Uni, la température minimum est
pour la pureté de l'air.
oc
et le volume d'air doit être renouvelé une fois et
fixée à 16
par
demie par heure, certaines mesures spéciales ont été prises,
exemple au Canada, pour l'aération des trous d'homme pratiqués dans
de
L'émission
les installations enterrées (Câbles téléphoniques).
chaleur due au fonctionnement des installations est diminuée par la
transistorisaticn ou par un système de ventilation adéquat. Dans les
centres de tri, diverses mesures de dépoussiérage ont été prises
conformément aux études de l'union postale universelle2.
la
le plan de la santé, après les problèmes de bruit, ce sont
Sur
On
les problèmes de vision gui sont le plus souvent mentionnés.
s'efforce de réaliser un meilleur éclairage des locaux, d'une part,
Des cas de tension oculaire
et des places de travail, d'autre part.
sont observés en France chez les personnes occupées aux visionneuses
de microfilms et, surtout, aux nouveaux pupitres de visualisation,
écrans cathodiques, tables lumineuses. Une visite ophtalmologique
est imâcsée au personnel avant toute affectation à un emploi gui.
'Voir à ce sujet: Hygiène du travail et technigues de sécurité
dans les services postaux, Etudes postales n0 58, Etude B 16 du CCEP
(Berne, UPU, 1965) , notamment pp. 26-30.
2Ibid., notamment pp. £46-51.
- 68 -
grandement appel aux facultés
renouvelé chaque année et peut l'être da
du travailleur.
Au Luxembourg,
la
f
l'utilisation de terminaux à écran,
relève périodique et d'alternance avec d
on signale des tensions oculaires dues à
émise par certaines lampes de contrôle.
a entrepris des démarches auprès des con
étudient les moyens d'éviter les tension
subissent les travailleurs affectés aux
fait
isuelles;
cet examen
est
s l'intervalle, sur demande
tigue de la vue,
due à
donné lieu à un système de
autres fonctions. Au Japon,
la
lumière intermittente
Au Canada, la société Beli
tructeurs afin que ceux-ci
oculaires et physiques que
upitres.
Les sièges ont souvent fait
l'.bjet d'études en vue d'une
meilleure adaptation aux caractéristiq es de l'opérateur et de
l'opération:
aux Etats-Unis,
dans le postes, sièges et pupitres
pour le tri de la correspondance ont été modifiés dans ce sens; on
accorde également une attention soutenue à ce problème en Républigue
fédérale d'Allemagne.
Au Japon, les s ndicats se sont efforcés de
taire classer parmi les maladies pro essiônnelles le "syndrcme
nuque-épaule-bras" caractérisé par une aideur dans la nuque et des
douleurs, que l'on observe chez les opér.trices. du téléphone,
les
perforatrices et les opérateurs des ma.hines de tri ou de machines
compta1les. Le lumbago des employés qui stoccupent des lignes de
communication
souterraines
et
doivnt
manipuler les lourds
couvercles des trous d'homme devrait aus
,
à leur avis, être classé
comme maladie professionnelle.
En ce qui concerne la santé mentale en signale des tensions
nerveuses.
Au Chili, la constatation d tensions dans les services
de. ccmmutatjon a conduit à une nouvelle tude des normes (horaire de
travail, pauses, rationalisation, amélio atio» du service médical).
Selon le syndicat Zendentsu, au Japon, 1 fatigue a augmenté du fait
des rythmes de travail plus rapides, et la tension mentale est très
fréquente dans les métiers hautement qua ifiés; il semble y avcir
une augmentation du nombre des patients ui présentent des psychopathies ils viendraient en deuxième osition parmi les personnes
soignées dans les services de santé des ITI.
A Sri Lanka également,
on note une augmentation de cette catégo ie de risques, du fait des
cadences imposées dans certaines occup tions et des contrôles plus
intensifs et plus rapprochés auxquels le travailleur est soumis.
Dans divers pays, on cherche à aménger des emplacements de repos agréables dans les locaux de travail. Cette disposition favorise
du même coup les relations personnelles, que l'isolement de certains
postes rend plus difficiles.
L'introducllion d'une musique de fond
dans
les lieux de travail est parois considérée comme
une
amélioration de l'environnement.
I
Les réponses au questionnaire ne fomnissent que peu de données
sur les progrès acquis en matière de sécrité du travail; encore les
progrès
enregistrés ne
sont-ils
pas
nécessairement
liés
à
l'évclution technologique. L'exemple d1e la NTT, au Japon, laisse
cependant penser que les télécommuniations, en tout cas,
ne
présentent pas un taux élevé de risques 9t que des améliorations ont
été
apportées dans ce domaine. Dans cette entreprise, en effet, le
nombre des accidents a diminué de 21 pourl cent de 1970 à 1974 pour
s'établir aux environs de Li pour mille par an, proportion déclarée
inférieure à celle des autres secteurs j 'dustiiels.
Dans plusieurs pays, les questions le santé et de sécurité du
personnel font l'objet de consultations paritaires. En France, par
- 69 -
exemple, une commission nationale et des commissions régionales sont
chargées d'examiner les problèmes d'hygiène et de sécurité que pose
d'installations qui fcnt appel à des techniques
en place
la mise
nouvelles; une surveillance médicale particulière esf organisée et
ces prcblèmes font l'objet d'enquêtes médicales. En Italie, il
existe des comités paritaires de prévention des accidents au niveau
les postes,
un
dans
régicnaJ. et au niveau provincial. Au Japon,
comité paritaire de santé et de sécurité coopère avec l'Institut de
recherche médicale et des examens périodiques ont lieu, conformément
au Règlement relatif à la santé des employés des postes et
KDD, également, il existe des organismes
à
la
télécommunications;
Au Royaume-Uni, les questions
paritaires de santé et de sécurité.
et de
l'objet de consultations
de sécurité font
de santé et
négociations au niveau national. En Suède, une convention nationale
règle les problèmes de sécurité des employés de l'Etat et des
comités paritaires en assurent l'application.
parait intéressant de mentionner deux projets nationaux
Il
visant à améliorer la protection de la santé. L'un est un projet de
(entrée en vigueur probable: janvier 1977) visant à
loi norvégien
la
pleine
garantissant
assurer un envionnement de travail
protection du travailleur contre toute atteinte à sa santé physique
ou mentale, environnement dont les normes, en ce qui concerne les
techniques de 2rotection, l'hygiène du travail et le bien-être, doivent correspondre en tout temps au développement social et technique
sécurité au travail et
(projet de loi sur la
de
la société
l'environnement du travail, article 1).
direction
L!autre projet est une étude gui sera placée sous la
de l'université du Wisconsin, aux Etats-Unis, et qui portera sur les
effets des machines de tri des lettres sur la santé des opérateurs.
Cette étude, qui devait commencer vers la fin de 1976 et durer trois
ans, traitera de l'environnement (bruit, éclairage, aménagement du
poste de travail, conception de l'installation) . Elle rassemblera
examens
(par exemple,
des données provenant d'examens médicaux
et
de
réponses à un questionnaire. L'influence des
oculaires)
facteurs psychologiques (monotonie, rythme de la machine, travail à
flux continu), sociaux (isolement, attention soutenue, surveillance)
et physiques (bruit) serait spécialement étudiée sous l'angle de la
tension mentale et des effets que celle-ci peut avoir sur la santé
physique (diabète, ulcères, désordres cardio-vasculaires).
peut dire, en résumé, que l'environnement du travail parait
On
avoir été amélioré lors de l'introduction d techniques nouvelles et
de mesures de rationalisation, du fait notamment qu'elles exigeaient
,pes
un réaménagement des locaux, voire des constructions neuves.
dispcsitions sont prises dans bien des cas pour renforcer la protection de la santé du personnel, que menace l'aggravation de certains risques consécutive à la mise en oeuvre de nouvelles méthodes
et installations. Atténuer la pénibilité d certaines tâches, rendre
le cadre de travail plus agréable et plus conforme aux exigence
physiques et mentales de l'individu, sont aussi un moyen d'accroître
la satisfaction au travail.
- 70 -
CHAPITRE V
INFORMATION ET CGNSIJLTATIO
DU PERSONNEL
Quel que soit le secteur d'acti
montre que les modifications apportées a
les répercussions qu'elles ont sur la vi
leurs sont d'autant plus facilement acce
été
pleinement informés à l'avance et,
tés. La création et la préservation d'un
prise,
même (et surtout)
lorsqu'elle
profondes, sont à ce prix.
ité considéré, l'expérience
x méthodes et techniques et
quotidienne des travailtées par ceux-ci qu'ils ont
plus forte raison, consulbon climat dans l'entresubit des transforrpations
Pour des raisons techniques et fina
gements sont planifiés, parfois longtemp
observer la société Beil, au Canada, il
et leur réalisation prend parfois des
s'agisse
de
remplacer un matériel
équipement entièrement nouveau,
il f
envisager des transformations des bâti
des télécommunications, on doit réorgani
ordinateurs, ce n'est que par étape
utilisation; la planification des chang
d'elle-même. En matière financière, l'a
existants, le coût des investissement
esccmptés d'un service plus rapide e
qu'une augmentation du rendement exigent
cières évidentes, les chand'avance.
Comme le fait
demandent un certain temps
dizaines d'années.
Qu'il
ancien ou d1installer un
ut la pupart du
temps
ents Pour l'automatisation
er les réseaux.' Quant aux
qu'on arrive à leur pleine
ments techniques s'impose
ortissement des équipements
nouveaux, les bénéfices
de meilleure qualité ainsi
aussi une planification.
Les réponses au questionnaire rend:nt bien compte,
pour la
plupart, d'un tel souci de planification; l'une d'elles accorde plus
d'imorta.nce à la réorganisation des seriices en général qu'aux
changements techniques proprement dits. Dans quelques cas,
les
modifications technologiques s'insèrent daits le cadre d'une politique générale de l'Etat; parfois, elles font partie des plans
quinquennaux et sont détaillées dans les plans annuels.
manière générale, c'est la pinification technique et matérielle
qui
prime, les programmes rMlatis au personnel n'étant
mentionnés qu'en second. lieu. Dans la quasi-totalité des cas,
cependant, même s'il n'y a pas de véritakle planification en matière
ce
personnel,
ce
dernier
est
iiform
des
modifications
technologiques.
Trois réponses seulement indiquent qu'il n'y a pas
d'information systématique à cet égard.
L'information peut être parfois assez sommaire, comme en
Argentine, dans les télécommunications, cù elle se fait par la publicité des projets. Elle peut prenre la forme plus précise de
publications spécialisées, destinées au public ou aux employés,
comme en Autriche, ou bien se faire par l'intermédiaire des organisations syndicales et par des avis officiels, comme au RoyaumeUni.
Elle peut revêtir des formes élabcrées, comme cela s'est fait
en Fiance pour la mécanisation du tri;
ette réalisation ne fera
sentir ses effets qu'en 1977-78, mais l'information avait débuté dès
1q72
au moyen
d'articles dans les publications destinées au
personnel, de conférences spéciales, de brcchures et plaquettes et,
à
un autre
niveau,
par des cours d1e formation ordinaires ou
spécialisés. La réponse française souligie d'ailleurs la nécessité
de
l'information, placée sous le signe de la participation du
- 71 -
personnel de tout rang à la vie de l'entreprise; notant que
l'ordinat?ur, cosse instrument de préparation des décisions, faci"à
lite une plus grande participation du personnel1 elle ajoute:
conditicn ue la redistribution de l'information ne soit pas limitée
au sommet de la pyramide hiérarchique".
République fédérale d'Allemagne, selon les textes en viEn
gueur1 l'information doit porter sur la nature des mesures de ratioEn
nalisation, leur but, leur préparation et leur sise en oeuvre.
c'est seulement quand un
télécommunications,
dans les
Colembie,
grand nombre de personnes doit être touché que des mesures spéciales
d'information sont prises.
L'cbligation pour les postes et télécommunications d'informer
personnel ou ses représentants résulte expressément, dans
certains cas, de conventions collectives ou de textes législatifs.
le
En République fédérale d'Allemagne, l'information et la consultation des travailleurs sont régies & la fois par les conventions
par
collectives nos 306 et 307 des 2 et 4 mai 1972 respectivement,
juillet 1972 du ministère des Postes et
17
les directives du
sur
la
1972
Télécommunications et par la loi du 15 mars
représentation du personnel fédéral.
où l'information doit être donnée par écrit dès
Australie,
En
que possible et indiquer la nature du changement prévu, son plan
d'introduction et les conséguences prévisibles pour le personnel,
une convention collective spéciale stipule que cette information
doit
s'étendre aux changements que subiront les méthodes et
prévoit que le
Une autre convention
l'organisation du travail.
personnel doit être informé des changements de structure gui peuvent
se produire dans les divers services.
Aux Etats-Unis, dans les postes, les syndicats concernés doides
changements
possible
plus
tdt
vent être informés le
technologiques gui affectent le volume de l'emploi, modifient les
emplois existants, en créent de nouveaux, influent sur les salaires,
la durée du travail et les autres conditions de travail. Lorsqu'il
ccmmande ou installations de matériel, les syndicats doivent
a
y
être informés au moins 90 jours d'avance. Ces ispositions figurent
dans la convention collective conclue au niveau national.
Norvège, aux termes de la convention collective nationale
En
qui s'applique aux
conclue pour l'ensemble des fonctionnaires,
il est obligatoire d'informer les
postes et télécommunications,
représentants des organisations de personnel lorsque les changements
envisagés sont susceptibles de modifier profondément les conditions
de travail et l'emploi et lorsque des transferts doivent avoir lieu.
En
Finlande, une circulaire du ministère des Finances sur les
(circulaire 468/19/74 du 17 mai 1974)
communications internes
prévoit que des informations régulières doivent être données au
sur les
personnel (appartenant à la fonction publique en général)
modifications apportées aux conditions de travail, sur les mesures
de rationalisation, les transferts, etc.
Une convention collective spéciale règle, au Japon, l'information et la consultation sous la responsabilité du ministère des Postes et Télécommunications.
- 72 -
C'est sur la base de directives intrnes très détaillées que se
fait l'information (conçue également come une préparation psychologigue) du personnel dans les PTT des Pay.-Bas.
L'information paraît impliquer dan la plupart des cas la consultaticn, même quand la décision finale restè la prérogative de la
direction. En Nouve].le-Zélande, par exem le, si les études relatives
à l'introduction d'une modification tech ologigue sont confiées à un
groupe de travail ou à un comité, les associations du personnel y
ont des représentants gui sont consultes à tous les stades de
l'étude.
Au
Royaume-Uni,
il
existe
tau
un système de réunions
paritaires, systématiques ou sur demande à tous les échelons.
Une
réducticn de 8.500 emplois étant prévue, du fait de l'automatisation
et de la
mécanisation, d'ici à 1980 les mesures à prévoir pour
faire face cette situation ont été étudi es en consultation avec les
syndicats.
Dans un certain nombre de pays, les organes paritaires réguliers sont le lieu où se déroulent 1 s discussions relatives aux
changements technologiques et à leurs co séquences.
En République fédérale d'Allemagne,
personnel,
formé de représentants du
décisions relatives aux questions suivan
et mutations; formation professionnelle
générale dans ce domaine) ; sélection des
fectionsement professionnel; santé et
perscnnes touchées par les suppressions
tions apportées au contenu des fonctions
par exemple, le Conseil
du
personnel, participe aux
es: engagements, transferts
seulement pour la politique
candidats en vue du persécurité; reconversion des
'emploi ou les transforma-
Belgiue, dans les postes, les omités régionaux de contact
paritaires)
sont informés d s
changements
les
par
spécialistes
des services
de l'étud
des méthodes et de la
mécanisation, tandis que, dans les
télécommunications,
toute
modification importante des conditions de travail est soumise pour
avis au Comité consultatif syndical.
En
(comités
Aux Etats-Unis, pour les postes, la convention collective stiparitaire sur la gestion du personnel en
technologiques ou dè mécanisation doit
étudier et résoudre les problèmes du per cnnel concerné.
pule
qu'une Commission
matière de changements
En
France, il existe divers com tés techniques paritaires à
l'échelon des directions régionales; des tables rondes, organisées
au niveau national, ont permis une certaine concertation. Une Commission nationai.e paritaire, auprès de l& Direction générale,
s'occupe
des
problèmes d'hygiène, de
anté et de sécurité,
en
particulier quand des installations faisnt appel à de nouvelles
techniques sont prévues. En outre, le se vice des relations humaines
de
la Direction
générale fait des interventions ponctuelles,
suscitant la discussion avec le personne
Les plans de transformations techni
tions, en Italie, sont discutés et ajpro
nistration et par le Conseil techni
représentants des organisations syndical
font remarquer qu'en raison de la struct
et
télécommunications, la discussion
provincial ou régional n'est pas possibl
ues dans les télécommunicavés par le Conseil d'admiue sûpérieur où siègent des
s. Toutefois, les syndicats
re centralisée des postes
au niveau intermédiaire,
- 73 -
En Norvège, dans les télécommunications, le personnel est représenté au Conseil et dans les comités de liaison paritaires où les
questions relatives au personnel sont examinées. Il existe également
Conseil du personnel des postes et trois comités de consultation
tin
régicnaux. Les discussions peuvent porter sur les buts de la
personnel, sur les questions de qualifications
du
politique
professionnelles, de recrutement, de transports, de formation, de
de santé, de
spécialisation, sur les questions d'environnement,
sécurité et sur divers aspects sociaux. En outre, il est devenu
courant de faire participer des représentants du personnel aux
divers comités ou groupes de travail chargés de l'étude de projets
ou de l'élaboration de rapports.
Suède, de nouveaux conseils paritaires ont été sis sur pied
En
en 1975. Ces conseils, an nombre de 152, ont des pouvoirs de décision en matière administrative et financière (planification à court
et à long terme, budget) et pour certainés questions de personnel
comme les nominations à des postes supérieurs, la sélection des candidats à la formation et les transferts.
L'information et la consultation sont parfois suffisantes et ne
débouchent pas nécessairement sur une négociation proprement dite.
En revanche, là où il n'y a ni consultation ni information, la pression syndicale s'exerce parfois pour obtenir l'ouverture de négochangements technologiques peuvent provoquer des
et les
ciations,
ou
temps
conflits si les négociations ne s'engagent pas à
n'aboutissent pas. En Finlande, certains sujets sont exclus des négociaticns par la loi n° 664 de 1970 sur les conventions collectives dans la fonction publique: c'est ainsi que l'organisation généles
administratives,
les procédures
rale de l'établissement,
méthodes et l'organisation du travail ne sont pas négociables.
Enfin, pour compléter cette description des mesures qui sont
prises pour associer le personnel aux décisions relatives aux
changements technologiques, il convient de rappeler le rôle des
dont il a été
organismes paritaires d'hygiène et de sécurité,
question dans la section tvjroflnement et santé" du chapitre IV cidessus.
La réaction des travailleurs et de leurs organisations au changement dépend évidemment, d'une part, de l'attitude de la direction
en matière d'information et de consultation et, plus généralement,
part,
des séthcdes adoptées pour la gestion du personnel et,
de facteurs externes tels que la situation sur le marché de l'emploi
et le climat économique. Comme le souligne la réponse des Pays-Bas,
économiquement
techniquement désirable et
"une réorganisation,
doit pouvoir être considérée par le personnel comme
justifiée,
socialement acceptable".
Selon la moitié environ des réponses reçues, le personnel n'a
marqué de réaction négative ou de résistance aux changements.
Six réponses mentionnent l'intérêt que manifeste le personnel, dont
l'attitude favorable est motivée soit par l'allégement du travail,
en particulier dans les postes, soit par la possibilité qu'il a de
matière de changements
en
ptises
décisions
aux
participer
dernier point est souligné dans
(ce
technolcgigues et autres
pas
- 74 -
d'autres
pers cnnel)
réponses
gui
indiquent
peu
de résistance de la part du
.
La position syndicale à l'égard des chanqements exerce évidesune grande influence sur l'attitude du jiersonnel. Pour le syndicat Zenyusei, au Japon, les innovation techniques, l'amélioration
de la productivité et la rationalisartion
sont des phénomènes
inévitables dans une société gui veut progrsser; partant de cette
constatation, le syndicat doit adopter kine attitude positive et
obtenir une part équitable des avantages dus aux changements, sous
forme d'augmentations. salariales, de
éductions
d'horaires
et
d'amélioration des conditions de travail.l Cette politique, ajoute le
Zenyusei,
repose sur l'information préalable et sur la pleine
compréhension par le travailleur des processs de changement. Il
signale
que l'évolution des techniques n'a pas suscité de conflit
sent
maj eur.
Au Royaume-Uni également, les syndic
çnt reccnuu la nécessité d'une évolution
duits
à
coopérer avec la direction. Qu
que les stagiaires qui ont étudié à l'étr
retour de l'enthousiasme pour les nouv
parmi le personnel une volonté de changes
ts des télécommunications
ontinue, ce qui les a connt
la Tunisie, elle note
nger ont montré
à
leur
11es techniques et suscité
Des résistances se sont cependant ma
nies et adoptant des objectifs divers. Ain
Canada, l'opposition syndicale s'est t
boycottage contre l'introduction du Code
Au Japon, le syndicat Zentei explique que
pas sur
l'application des technologies
ce que le ministère ne prenait pas d
appropriées.
ifestées, prenant des fori,
dans les postes,
au
aduite par une campagne de
ostal qui a duré deux ans.
son opposition ne portait
n cause, sais provenait de
mesures suffisantes et
rit.
La
cause principale de ces rési-tances semble bien être la
crainte d'un rétrécissement des possibili és demploi ou de carrière
et d'une dégradation des conditions d
trvail.
C'est ainsi qu'au Japon, l'incertitue quant au statut des travailleurs et la crainte d'une détérioratin des conditions
de travail
ont
conduit,
dans
les
posts,
à
des "luttes antiraticnalisatiori" allant de l'immobilisatjn des machines au refus de
suivre les cours de formation, à des raleitissements du travail et
au refus des heures supplémentaires. A 1- NTT, les inquiétudes pour
la sécurité de l'emploi comme pour l
santé renforçaient les
appréhensions
concernant
l'intérêt d
travail
(crainte d'une
monotonie plus grande) et la qualité de l formation.
Dans les services financiers, en Fra ice,
la
modification des
horaires et des affectations a donné liu à des pétitions et à des
grèves, qui ont abouti à une amélioration du régime sur ces deux
points et à l'octroi d'indemnités à certans agents.
En
Italie, de nouveaux types d'en-adrenent et le travail par
équipes ont provoqué des
résistances;
ls travailleurs âgés, en
particulier,
ont
refusé de changer les méthodes de travail
jusqu'alors en usage.
IVoir à ce sujet "Problèmes de personel et organisation du travail dans les établissements postaux", Etdes du CCEP, anion Rostale
(Berne, UPU), n° 11/12, nov.-déc. 1975, p. 296-303.
- 75 -
des buEn Norvège, le personnel s'est opposé à l'élimination
reaux de
tri ambulants, qui jouissaient d'une certaine popularité
en raison des congés compensatoires assez longs et des allocations
qui leur étaient propres. La suppression de ces bureaux a pris plus
de temps que cela n'était prévu à l'origine.
A Sri Lanka, le mécontentement des travailleurs est né des
restrictions à la liberté de mouvement dans les nouveaux lieux de
travail, de l'isolement de certains postes, des sanctions injustes
qui résultaient d'une surveillance plus étroite.
On signale également, dans de nombreux cas, des réactions
hostilês à l'emploi des dispositifs automatiques qui permettent
La
le rendement individuel.
de
contrôler
et
d'enregistrer
qu'il est censé
"surveillance" du travailleur par
phénomène assez commun dans la technologie moderne et
utiliser,
moyen commode d'intégrer l'homme et la machine dans le processus de
production, est toujours ressentie comme une atteinte à la dignité
Certaines opérations des
et dresse l'individu contre le système.
postes et télécommunications semblent ne pas avoir échappé à ce
renversement des rôles.
Telles sont les principales formes et les raisons essentielles
résistances que le perscnnel oppose aux changements technologiques. 14ème si de telles résistances s'affaiblissent à la longue et
si des mesures correctrices finissent par atténuer, dans de nombreux
cas,
les causes de mécontentement, il est évident que
climat psychologique défavorable compromet le succès des
en
du
centre postal de Sydney,
L'exemple
transformations.
Dessiné avec soin,
Australie, paraît révélateur à cet égard.
de
degré élevé
centre
devait atteindre un
ce
fonctionnel,
productivité. Toutefois, alors que l'indice de productivité des
postes australiennes passait de 100 en 1966-67 à 108 en 1975-76 et
atteignait même 118,1 à Melbourne, il se situait, pour le centre de
à 90 en l969-'lO, s'élevait à 98,5 en 1972-73 mais tombait à
Sydney,
91
en 1975-76. Dans le même temps, on faisait état d'une atmosphère
travail pénible et de rapports difficiles entre le personnel et
de
la directionl. on ne peut se défendre d'établir une relation entre
les deux ordres de phénomènes, même si elle n'est pas démontrée.
des
Les modifications des techniques et des méthodes, rendues nécessaires par l'évolution du contexte économique et social, n'entraînent pas dans leur sillage uniquement,des avantages pour le
les
C'est une raison de plus d'associer
personnel concerné.
travailleurs aux décisions relatives à ces techniques et méthodes,
ou au moins de les informer à temps et pleinement, et d'étudier avec
eux les moyens de compenser les conséguences défavorables des
changements.
problèmes particuliers de ce centre étaient déjà signalés
tLes
dans un raport officiel de 1969 (Commonwealth of Australia:
1j
Service Board Annual Be2ort 1969)
- 76 CONCLUSIONS
Les administrations des postes et télécommunications n'ont pas
modifié considérablement, ces dernières années, la nature des services qu'elles rendent au public. Essentillement, il s'agit toujours
pour elles de transmettre des messages, d'achioiner des objets peu
enccrbrants et d'effectuer certaines opérations financières. Les séthodes et techniques guelles utilisent our assurer certains de ces
services ont, en revanche, subi des modifications importantes.
Ces changements n'ont pas affecté
pour la raiscn notamment que l'expansion
rationalisation qu'elle entraïne suivent
celle du développement économique: ils
ment et, inversement, dépendent de lui.
dustrialisés sont-ils en même temps ce
de communication les plus efficaces et,
où les problèmes sociaux causés par les
paraissent le plus clairement.
unifôrmément tous les pays,
du trafic et les efforts de
une courbe comparable à
conditionnent ce développeussi les pays les plus inx qui détiennent les moyens
'une manière générale, ceux
rcgrès de la technique ap-
L'évolution de la technique n'a ps, non plus, touché au même
degré toutes les branches des postes et télécommunications. Les services pcstau restent de gros utilisateuis de main-d'oeuvré, et les
techniques traditionnelles y subsistent
côt4 de procédés modernes.
Les télécommunications se prêtent davant ge à la mécanisation, voire
à l'autcmatisation, même si elles ne son pas un secteur à haute intensité de capital au même degré gu , par exemple, la chimie ou
l'industrie pétrclière. Quant aux servic s administratifs et financiers, du moins là où ils sont concentré , ils se sont modernisés de
la
même
façon et au même degré que n'.i1mpôrte quelle entreprise ou
institution se livrant à des activités ccmparables.
La question essentielle qui se pose à propos de ces changefaents
est la suivante: les travailleurs des po tes et télécommunications
ont-ils bénéficié ou pâti de l'évolution technique? En d'autres termes, a-t-on dament tenu compte, en prena t des mesures de rationalisation,
des conséquences qu'elles étai nt susceptibles d'avoir sur
la vie quotidienne des travailleurs? Ou ncore, a-t-on pris les dispositions nécessaires pour que le travai3leur ne soit pas menacé
son
pour qu'il part,cipe aux avantages d'une
dans
emploi,
productivité accrue, pour que sa charge «e travail soit allégée et
non
pas alourdie, en bref pour que la dualité de sa vie de travail
s'amélicre?
En cherchant une réponse à cette gustion, il convient de ne
perdre de vue, non seulement que ia situation varie entre les
pays et entre les différentes branches des postes et télécommunications, comme il vient d'être dit, mais erccre qu'il s'agit d'un service public. Deux séries de considératons découlent de ce dernier
pas
pcint.
d'abord,
aussi bien les a
lorsqu'ils définissent leurs
revendications, ne peuvent ignorer
est à coup sûr souhaitable, et d'ailleu
méthcdes et la modernisation de l'équip
à une amélioration des services rendus.
limites et les administrations se y
revenir sur des mesures de rationalis
Tout
emplcyés,
ministrations
que
leurs
bjectifs ou formulent leurs
rêt du public. Rentabiliser
s la
rationalisation des
ment conduisent normalement
Ellês ont cependant des
ient parfois contraintes de
tion excessives comme la
- 77 -
fermeture de bureaux de poste ruraux on la suppression de tournées
de distribution, lcrsque ces mesures risquent de se traduire par une
dégradation des services. De même, les organisations syndicales
peuvent être amenées à nuancer ou moduler leurs revendications pour
tenir ccmpte de l'intérêt général.
En second lieu, les services des postes pour leur très grande
majorité et les services des télécommunications dans un grand nombre de cas relèvent de la fonction publique ou possèdent un statut
voisin. De ce fait, les conditions d'emploi et de travail y sont
largement déterminées par les textes qui régissent le personnel de
la fonction publique. Il en résulte que les conséquences défavorables que l'évolution technique risque d'avoir sont notablement amorties, pour les travailleurs gui bénéficient d'un tel statut, par la
protection spéciale découlant de ce dernier. Il faut voir là sans
doute, en môme temps que dans leur attachement au concept de service
public, la raison de l'opposition généralement manifestée par les
organisations syndicales à légard de la 1prjvatisationI des postes
et des télécommunications.
Il n'est sans doute pas inutile, avant de résumer les constatations faites dans le présent rapport, de rappeler ici la conclusion d'une étude du BIT sur l'automatisation et les travailleurs non
dans les
manuels: tLes divers problèmes suscités par
bureaux sur le plan de l'emploi et les conditions de travail sont
les mômes qu'autrefois, mais élevés à une dimension nouvelle, qu'il
s'agisse de l'organisation des bureaux et des méthodes de travail,
formation
de
la
consultations,
des
des communications et
professionnelle et de la hiérarchisation des emplois aux fins des
pose avec une acuité nouvelle certaines
carrières.
questions gui se sont toujours posées et exige plus de réflexion et
plus d'imagination, mais elle n'a posé jusqu'à présent aucun problème vraiment nouveau"1. Cette conclusion reste valable pour les travaux de bureau dans les postes et télécommunications. Elle l'est
sans doute aussi pcur la plupart des autres activités de ces services. Ainsi s'explique le fait que les réponses au questionnaire du
BIT ne fassent mention d'aucun problème véritablement nouveau.
Dans le domaine de lemplci, les réponses ne signalent pas de
fléchissement marqué dans les effectifs globaux. Elles font plutôt
état d'une stabilisation, voire un lent accroissement. Ce tableau
général recouvre cependant des disparités. Il y a eu des compensations d'un secteur à l'autre; des suppressions demplois neutralipar la création d'emplois nousées dans les statistiques
des reconversions et des mutations à l'intérieur d'un même
veaux;
secteur, pourtant, certaines catégories de travailleurs, plus vulnérables, ont été touchées: personnel auxiliaire ou non titulaire,
mères ae famille empêchées par leurs obligations privées d'accepter
un transfert vers d'autres parties du territoire.
Surtout, l'expansion jusqu'ici continue des services des postes
et télécommunications a permis d'absorber le plus gros des effectifs
qui, à un niveau égal d'activité, seraient devenus excédentaires. Il
est à craindre, cependant, que les conséquences réelles de l'évolution technigue sur l'emploi, actuellement masquées par cette expanou
sion, n'apparaissent si le rythme des changements
et les travailleurs non manuels", Travail et
ItIL'afltomatjofl
automation, cahier nO 5 (Genève, BIT, 1967), p. 122.
- 78 -
lorsque ceux-ci auront produit tous leu s effets, ou encore lorsgue
les services des postes et télécommunic tions auront achevé leur
croissance, ou s'ils l'interrompent, notamment dans le cas d'une
stagnation économique durable.
Une autre menace sur le niveau de 1
la "privatisation" de certaines activité
ment des paquets dans les zones urbaine
resse les sociétés privées qui sont prêt
sant à l'administration publique les zo
à desservir. Si cette tendance prenait c
pourraient, à la limite, accaparer les
qui se contentent d'effectifs réduits. A
tions publiques se verraient confinée
taires, avec les inconvénients et les ri
gue cette situation pour leur personnel
emploi pourrait découler de
par exemple,
l'achemineopération rentable, intés à s'en charger en laises rurales, plus difficiles
rps, les sociétés privées
ctivités les plus rentables
l'opposé,
les administradans les activités déficigués gue comporte à la lant pour le public.
Les réponses décrivent les mesures
dispositions législatives ou convention
postes et télécommunications dans les ca
sonnel sont apparus ou risquaient d'a
tions et des reconversions mentionnées c
par
étapes
des
nouvelles
cation
ralentissement du recrutement, le gel ou
libérés par des démissicns ou des dépa
des moyens mis en oeuvre comporte égalem
au 11recyclage de personnes en surnombr
perscnnel signalées ici et là semblent
succès, et il faut regretter qu'elles n
rises,
Sans mettre en doute l'efficacité d
effectivement indispensables, il convi
les prohlèmes de l'emploi n'ont pas revê
dans les postes et télécommunications
ne pas être aussi favorable à l'avenir.
semble que ces mesures ne répondrai
problèmes et qu'il faudrait sans doute c
fondamentales
dans
des directions
débordent d'ailleurs le seul cadre du
exemple dans un réaménagement général de
telles mesures, gui sont
nt de répéter que jusqu'ici
u un caractère de gravité
t que la situation pourrait
'il
en allait ainsi,
il
nt plus à l'ampleur des
ercher des solutions plus
ncore mal explorées,
qui
secteur en question,
par
la vie de travail.
Il
semble
que les conséquences de
les conditions de travail soient plus d
elles se confondent moins avec celles d
lent peu à peu l'ensemble de ces conditi
ficile de discerner, par exemple, si 1'
travail découle d'une modification de la
souci général d'ergonomie.
changements techniques sur
rectement décelables, car
autres facteurs qui remodémm, encore gu'il soit difmélioration de tel poste de
technique plutêt que d'un
dans le cadre de
elles, par les services des
où des excédents de perparaltre: en plus des muta-dessus, on cite l'appliméthodes, l'arrêt ou le
la suppression des postes
ts à la retraite. L'arsenal
nt des dispositions visant
Les politiques actives de
avoir été couronnées de
soient pas plus répandues.
L'analyse des réponses au guestionn ire h'a pas fait apparaltre
direct entre la mise en oeuvr de techniques nouvelles et
l'évclution des échelles de rémunération !ême si, là encore, cette
constatation d'ordre général recouvre uie assez grande diversité de
situations, il faut sans doute attribuer cette absence de lien au
fait que les employés des postes et tél communications sont, en majorité, des fonctionnaires et que, de ce fait,
leurs rémunérations
sont déterminées en vertu de systèmes do t beaucoup ignorent les variations de la productivité et gui, our La plupart, assurent le
maintien de la rémunération au titulaire d'un poste déclassé. cependant, la technicité d'un nombre croissan- d'emplois se reflète de
de
lien
- 79 -
plus en plus dans les grilles indiciaires. En outre, des primes spésont liées dans de nombreux cas à l'exécution de tâches en
rapport avec l'application de techniques nouvelles, on remarquera,
d'autre part, que, ces dernières années, les syndicats ont plus particulièrement orienté leurs revendications vers la revalorisation
des tas salaires en raison des effets plus dommageables de l'inf].ation sur ceux gui les perçoivent. Si l'inflation est réduite ou jugulée, certaines organisations syndicales semblent disposées à diversifier davantage leurs objectifs dans le domaine des rémunératians; il se pourrait alors que les grilles indiciaires soient
plus
sensibles à l'influence de l'évolution technique, une rémunération
plus élevée devant compenser l'exigence de qualifications supéciaj.es
rieur es.
La durée hebdomadaire du travail et la longueur des congés annuels ne semblent pas avoir été, jusqu'ici, influencées par l'évolution des techniques dans le secteur considéré. Là encore, le statut
du perscnnel des postes et télécommunications se prête mal à des variations rapides et notables et, dans de nombreux cas, il ne va pas
plus loin sur ces points que la législation nationale. C'est pourquoi les efforts déployés par les services intéressés ont porté sur
l'organisation du temps de. travail plus que sur l'allongement du
temps libre. Encore les dispositions prises apparaissent-elles modestes: elles consistent surtout dans une certaine réduction du
travail nocturne et dans l'aménagement de pauses destinées à alléger
les
opérations pénibles ou monotones.
Le
travail par équipes
successives et les horaires incommodes ou astreignants semblent liés
à l'exécution de certaines tâches ou à l'obligation d'assurer
certains services permanents; comme tels, il est difficile de les
éliminer.
Les efforts tendant à "humaniser" le travail se sont également
orientés vers une amélioration de l'environnement et du poste de
travail lui-même. Le recours à certains équipements nouveaux a créé
des nuisances, telles que le bruit des machines de tri ou la fatigue
oculaire et la tension mentale qu'occasionne la lecture des écrans
cathodiques. Il n'est pas certain que les dispositions prises pour
atténuer ces nuisances soient à la mesure du problème.
De
même,
la recherche de la rationalisation et de la compression dea coûts risque de se traduire par un alourdissement de la
charge individuelle de travail. C'est un motif de plus qui conduit
les czganisations syndicales à s'opposer aux réductions
d'effectifs
et
à
revendiguer un raccourcissement et un aménagement de la durée
du travail.
Il faut sans doute voir, dans le sentiment qu'ont les travailleurs d'être assujettis pour certains à un rythme de travail plus
intense, d'être confinés pour d'autres à des tâches pénibles ou
monotones,
l'une
des explications du malaise qui s'est manifesté en
diverses occasions dans les postes et télécommunications au cours
des dermières années:
grèves de longue-durée, immobilisation des
machines, ralentissement du travail, refus daccomplir des heures
supplémentaires ou de suivre des cours de formation. D'autres causes ont sans doute contribué à ce malaise, et elles n'ont certes pas
toutes leurs racines dans l'impact des méthodes et techniques nouvelles sur les conditions de travail. La conception que se font de
la vie de travail les générations montantes,
plus instruites et
peut-être plus exigeantes, a pu se traduire par une insatisfaction
larvée dans les services des postes et télécommunications comme dans
- 80 -
tous les autres secteurs. Il n'en reste p s moins gue les conséquences possibles de l'évolution techn -que sur la satisfaction au
travail devraient être présentes à l'espr t de ceux qui envisagent
de nettre en oeuvle toute technique nouv-lle, en même temps que les
en
attendent et, bien
avantages économigues ou autres qu'il
entendu, que ses effets éventuels sur l'eploi.
La satisfaction au travail aura d'au ant 1us de chances d'être
préservée et accrue que les travaille zs auront été informés par
avance et, mieux encore, dOsent consultés an sujet des modifications
envisagées. Ils sont le mieux placés pour mesurer les répercussions
ces changements sur leur vie guotidi -nne, et leurs avis permetde
tront dans bien des cas d'en assurer J.ifl roduction sans heurts et
'intérêt des postes et téefficacité. Il est donc dans
la pleine
lécoinmunications que leur personnel soit .ssocié aussi étroitement
que possible à la modernisation des services. Ce personnel est
d'ailleurs prêt à fournir son apport dans ces conditions, comme cela
ressort d'une résolution adoptée par la 1 3e Conférence européenne de
l'Internationale du personnel des postes, télégraphes et téléphones
novembre 1976), où il es t déclaré que "les travail23-26
(Lunich,
leurs, au travers de leurs organisations, et qrâce à des procédures
de participation et d nég!ociation acceptées par
de consultation,
les deux parties, ainsi qu'en apportant 1 urs connaissances et leur
expérience du travail, joueront un rôle o nstructif et positif en ce
qui concerne l'amélioration de l'effi acité, de la gamme des
services offerts, et donc de la contribut ion des PTT au bien-être
éconcmigue et social de la société".
- 81 -
PQINIS SUGGERES POUR LA DISCUSSION
Les points énumérés ci-après sont proposés comme base éventuelle de discussion, étant entendu que la réunion paritaire pourra
apporter à cette liste les modifications qu'elle jugera appropriées.
examinant ces points, la réunion gardera naturellement préEn
sentes à l'esprit les différences qui existent entre les statuts des
degré
leur
admimistrations des postes et télécommunications,
d'autonomie administrative et financière, la variété des contrats
par conséquent, la mesure
d'emploi dont jouit leur personnel et,
affecte les conséquences de
diversité
cette
laquelle
dans
l'évolution technique sur les conditions d'emploi et de travail. La
réunion voudra donc sans doute procéder tout d'abord à un échange e
vues sur les caractéristi2ues du Eersonnel occupé par ces services,
selcn que ceux-ci relèvent de la fonction publique (ou possèdent un
statut voisin) ou qu'ils sont gérés par des organismes privés.
La réunion ne perdra pas de vue non plus la nature différente
des opérations effectuées dans les diverses branches des postes et
télécommunications, ainsi d'ailleurs que les effets éventuels de
techniques qui, encore peu répandues, peuvent cependant être appelées à des développements considérables (téléinformatique, télévision par câbles).
en
Enfin, elle voudra sans doute, au cours de ses débats, prendre
en voie de
considération les caractéristiques spéciales des
dé!i2ement.
Sous cette triple optique, les points suivants
l'examen de la réunion:
A.
sont
soumis
à
Consé9uences de l'évolution technigue
sut l'elai
Portée réelle des réductions d'emploi: disparition de cerde certains types d'emploi, augmentation ou diminution
création de nouveaux types d'emploi; dans
tains autres,
dues
à
de
l'emploi
quelle mesure les variations
l'évolution technique sont-elles compensées par celles qui
sont liées à l'évolution du trafic.
1)
Nesures prises en cas d'excédent de personnel:
- licenciements;
- mutations;
- reconversions.
ii)
Comment la situation des travailleurs
pourrait-elle être améliorée?
Influence de l'évolution technique sur les
requises.
concernés
qualifications
Effets sur la structure du personnel et sur les carrières.
Effets sur l'emploi selon le sexe.
- 82 Effets sur l'emploi selon l'âg
Hesures de formation professio nelle et recyclage.
B.
Conséuences de l'évolution techni e
sux les conditions de travail
conséquences de l'évolution te.hniqtle sur la rémunération
de l'ensemble du personnel et sur celle du personnel particulièrement affecté pat les hangesents:
- participation aux gains de productivité;
- modifications de la rémunération en fonction des nou-
velles qualifications requies;
- rémunération en cas de déclas1seiaent.
Conséquences sur la durée du travai],:
- durée normale du travail et }eures supplémentaires;
- repos hebdomadaire;
- congés annuels et autres con$s;
I
- âge de la retraite.
Conséquences sur l'organisation du temps de travail:
- travail par équipes, autres hraies incommodes
treignants;
- périodes de pause;
- horaires flexibles
- travail temporaire;
ou
as-
- travail partiel.
il.
Conséquences sur l'environnement physique:
- agencesent des locaux;
- bruit, tenpérature, éclairage, etc.;
- agencement du poste de travaiji;
- risques nouveaux pour la sant physique ou mentale, et
mesures de prévention ou de p otection.
Conséquences sur le contenu et organisation du travail.
Conséquences sur la satisfactio au travail, compte tenu
des changements en cours da s l'attitude générale à
l'égard de la vie de travail.
C.
Information et consultation des
travailleurs
Information et consultation au ujet des plans de modernisation et de leur mise en oeu re.
Négociations sur les conséguenc s des mesures de modernisation.
Participation des travailleurs ux politiques du personnel.
- 83 -
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ANNEXE III - EVOLUTION
A.
1
U TRAFIC
EVOLUTION AU COURS DES DLDNIE1ES ANNEESI
(Eic trait de Nations Unies: Annuaire statistigue
1975)
109
COMMUNICATIONS
1. Mail traffic
Courrier postal
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B
305
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C
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226 857
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17435
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8 647
8 732
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30084
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118 780
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23601
47210
...
...
..,
4528
52131
20977
20096
12234
Fr. Terr. ut Afors, 55es
A
Terr. fr. de, Afar,, Issu,
B
4367
4377
2238
1 766
1 653
3500
I 383
2288
C
1 492
1 481
2 155
1 452
48
1 976
1 655
64
1 983
1 459
66
1 824
1 214
A
2970
3062
1776
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4262
2526
3756
6026
2726
3567
5628
2676
3563
5400
2556
3629
5507
2626
3806
5373
2745
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2929
4174
5826
3118
175270
86040
179417
86739
39717
41 031
186854
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40991
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B
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A
...
...
...
...
...
...
...
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956
A
126770
39819
31351
149059
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B
3514
2087
C
1231
4335
4154
2768
A
97
428
306
114
108
123
467
390
381
531
17856
11548
9393
52544
15362
10999
A
B
C
IvoryCoest
A
COte d'irolra
B
C
Kenya
98
°1351
C
C
Gulneu.51,sao
GulnOe.8bsuu
' 95
B
B
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9
13
4 397
111 810
1383
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1 069
1 452
C
3061
4970
2604
3307
B
46072
4504
2973
6 129
C
A
2801
2702
803
275
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6641
4 335
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2646
B
A
Congo
...
...
...
...
...
...
...
3152
13011
A
E
C
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...
...
...
184568
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...
...
194507
77277
38726
...
...
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...
...
...
322
362
18560
13762
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19784
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14815
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18782
18626
21 768
17463
For tousse, garerai note ond fuot.notez, ses end of table.
16171
89
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198795
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...
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...
...
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1 874
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2092
17955
'143267
'46635
'37500
Voir la fin du tableau pour la source, lu remarque gtntnolo n les note,.
- 110 COMMUNICATIONS
Mail traffic Cruntinued): number of items - Courrier postal ole
A. Domerlic
nonibre d'envois
C. Fereignr sont - A. lnt6rieor 8. Etoonfer, roço
B. Furulgn, recelved
C. Eleanger, exp6dié
Milliers
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Country or orna
Code
1966
1967
1968
...
...
...
...
...
1969
1970
1972
1971
1974
1973
AFRICA (cootjAFRIQUE (tuito)
Lesotho
LtbeelaLlbérla
UbyanArabRep
R6p.arabellbyeone
B...
C...
A
Molawi
846
2053
910
965
974
1 045
1991
2258
2393
2418
2697
1 373
1 386
1 451
1 539
1 562
A
7907
7350
14365
15312
7481
15450
15815
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B
7471
15296
15762
15015
15360
14637
14443
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12523
...
...
...
28529
24119
16196
37824
35699
38911
36953
C
13811
14975
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14466
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B
37301
12880
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35052
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33292
12410
35110
33248
12464
A
12315
9300
8420
12413
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10289
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13826
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10041
...
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...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
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...
...
A
C
943
1 307
1 096
1 466
1 668
1 749
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1 172
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418
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1 460
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9 241
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5792
9778
6578
3 lOB
3 342
4 165
4 402
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42606
28629
9 400
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9772
2814
9801
B
C
2437
2 890
3 078
4905
2894
5463
3038
A
45786
25676
18243
48057
40745
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20840
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52724
40054
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52624
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19459
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9715
13782
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11607
14642
25711
C
9083
17539
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15579
24195
13553
A
2591
2879
3413
1518
2 925
2280
1208
2770
3354
1485
2 763
3557
1592
4015
1823
4116
3 042
C
2786
2473
1297
3 019
B
A
165 992
120 977
129 812
34743
19620
16030
23106
16927
20823
162534
28459
23451
196 863
B
48602
25674
65386
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711
975
607
940
I 502
992
1073
1 601
857
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1 668
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1 569
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A
A
A
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66
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C
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A
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A
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B
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47
493
348
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...
...
...
...
377
324
242
8
C
499
46
534
A
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9 118
9 396
523
335
249
...
...
...
...
...
...
For source, g.n.rol note ond foot-notes, tee end cf table,
...
...
...
529
415
383
473
339
347
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
9 946
6656
4280
2165
317709
88790
33606
1092
1207
1142
1 583
1 731
1 802
1042
1175
1223
61
21
51
18
55
10
48
84
73
12
56
78
67
104
55
494
65
482
66
338
326
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353
67
542
353
4098
11594
4223
4171
11995
5353
3437
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17
49
548
39
2081
29261
5335
87049
32946
...
...
...
A
C
Seyuhellos
5300
1 273
1745
424
C
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5406
2057
8
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Soo TomB.ot.Prineipe
1 215
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1144
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(...)
982
B
C
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...
...
.,.
34205
28941
26206
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1104
2 914
B
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..
3 888
C
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9376
8494
1 665
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B
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601
A
C
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2302
3394
3175
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B
Mn-on-oMonoe
854
...
...
...
1 355
A
Mon-itius - Mon-Ire
3111
2021
C
Maoritonlo Mooritonlo
2274
6466
2176
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B
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...
B
C
A
C
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...
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654
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420
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...
...
...
...
...
4863
311 479
426 145
123301
45512
2 006
3134
677
462
479
...
...
...
56760
43924
50900
2 580
5722
3112
Voir la ro u tableoi pour la tource, la remorque gén6ral. et les notas,
J_11
COMMUNICATIONS
Mail traffic cuntlnued)i number of items
A. Dumestic
B. Furelgn s eecelned
Courrier postal (,uite
C. Poreigno sont - À. lnt6rteur
nombre d'envois
B, Etrangers reçu
C. Etrangero exptdit
Milliers
Thousande
Country or arec
Pays ou zone
Code
196d
1967
1970
1973
1974
° I 469M
1 257Y
801 211
87466
75722
1 325M
93 001
80 554
104 449
98 871
1972
1968
1969
1 076M
1 469M
101 210
101 210
1 469M
801 210
83006
83006
83006
83007
1971
AFRICA (oont,)AFRIQUE Csuito'
Suuth Africa'
A'
Afrlqoe du Sud 5
B
Soslhare R1,udo,Ia
Rl,od6sie du Sud
Siudan - Soudan
1 001M
826 057
1 057M
120250
88969
128938
89410
C
74 160
A
82 808
B
10 60 524
00 22 097
C
1016 385
14031
1 469M
22148
15219
26428
B
C
Swaziland
Souacliand
T090
Tunisla -
Tunisle
Uganda - Ouganda
United Rap. oP Con,eruon
R6p..Unla du Camerous
United Rap, of Tancanic
Rtp..Unie do lonoanle
A
1 816
2113
B
2 B7B
2 955
C
1 834
1 681
A
Zarobla - Zanible
33412
10926
7034
00 1 503
2 204
3251
1 535
2465
2 380
3 373
1 478
3183
1 629
2 369
3 281
1 896
2824
3834
2275
2695
5950
1905
2 853
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13440
8440
4120
4533
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18944
10010
57990
34990
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58 692
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65 450
33 075
25 160
27191
6778
22966
3 780
B
'° 1915
12960
C
°° 1 207
7 931
A
B
28151
12091
29603
12455
17 999
43 962
29 604
48 871
32 593
C
13607
13 879
17050
18798
22310
A
22435
22 222
7 665
5 508
22 999
23 963
8138
5078
6137
6113
18015
18868
B
7780
C
5045
A
34031
22 334
4 329
8773
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B
103077
17092
16430
16921
17 777
18042
18398
C
" 1 959
8 947
9798
10890
10 545
A
28 952
11 426
5 645
27504
29786
12 877
30 423
13 167
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11 080
6256
8 281
B
C
Zuire - Zaire
33172
10255
5944
34 500
4 088
1 910
29794
A
11 037
8 692
10082
27353
8 358
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3775
5072
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8559
11460
10979
32 208
42 036
54 432
37 287
24 043
B
14930
C
6 331
7230
12295
84464
54919
21414
17550
57809
23489
11540
483
8483
2031
2066
8785
B
C
33 203
28121
81368
39 576
33 926
15553
67054
26788
82 450
30 972
33 838
30433
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lis)
16543
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12968
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59 846
15978
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10680
7 296
22935
24770
23 295
11 968
A
21 994
85 633
33 951
36083
1]
12758
6 064
AMBRICA, NORTH
AMBRIQUE DU NORD
Antigua
331
A
677
483
B
C
Bahamas
Barbados - Oarbade
A
009447
C
008 647
A
B
C
Bellae
Bermuda 'Bermudas'
8 124
5 892
4070
7889
7243
4712
762
B
1 543
C
675
A
C
A
B
104979
5712
12467
10618
Il 839
5 233
12181
10912
8916
9118
8 004
6 200
8 360
6 590
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9764
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2447
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10735
10818
'4799M
'4893M
'4886M
5 579
11 407
Il 700
6 000
6 560
6875
7320
11 400
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12497
14405
11152
13608
14723
15122
7 750
15222
15809
'4729M
'4475M
'4528M
'4555M
'4889M
104350
168422
109893
'5125M
802 327
527
527
1371
738
169721
Par source, general nate and Fuut.00tes. tee end of table.
165 647
813 563
153
A
C
2 742
11 877
9 637
910
4921
B
2414
11675
9192
916
10229
108 122
3 668
13684
11119
2005
109316
C
Caymon blonds
lies Caimanes
lI 935
5 589
A
B
Canada'
104471
B
539
Voir la fin du tableau pour lu marco, la romarqoe gtnérai. et les natal.
- 112 COMMUNICATIONS
Mail traffic (continued)
number of items - Courrier postal (.w e): nombre d'envois
A Damecik B. Faretgn, recniyed
C. Foroignr cent - A. lnt8nieur
. Etrongnr ralu C. Etrangar, axp6di6
Thowande
Country or area
Paye ou aune
Militer,
Cade
1966
1967
1968
1969
1970
1971
1972
20 675
22 225
89468
6990
4397
94 175
6 275
39 864
38 283
14913
12626
9547
15660
17263
14618
18214
15422
11659
1973
1974
AMERICA, N. tuant.)
AMERIQUE. N. (cuite)
Conta Rico
A
7494
6367
E
C
A
Cuba
C
Et Salvadur
A
E
C
Guatemala
A
B
C
Ilenduraa
8 386
5251
4916
29372
8822
4587
6594
4788
4741
12086
11142
3 381
8 901
42287
45757
38310
8 381
9 328
12 261
4915
14 004
11856
8 964
13 258
10024
Jamaica - Jamaique
A
5442
C
Meaico - Mnxkiuo
A
B
C
Montierrat
83347
50380
36420
'68457
808 474
223 115
171 255
891 612
225 862
173 533
'44 988
e35019
7764
'61 360
47 237
36 770
14910
19790
937411
219 518
916 209
242 606
B
C
Nicaragua
4778
3475
7971
6438
159 494
182714
4 166
6810
6517
3775
B
4585
5377
3873
4476
5000
12000
9000
A
B
C
Si. Kltic.Nevlc.Anguiila
Salnt-Chrl,tophn-ntNiBune et Mguilio
A
271
B
795
159
990
C
607
772
SI. Lucla - Satnta-Lu,ie
A
366
8
C
851
St. Pierre and Miquelun
Saint.Plerra.et-Miqueion
Trinidad ond Tobaga
Tninit8.el.Tobaga
A
g4
205
208
214
426
468
C
215
225
484
234
252
740
290
19426
16567
8687
A
B
Au,7
256
659
254
'1 029M
264 099
228 254
315 646
255 164
1 032M
83 134
257 799
324
313
300
310
314
306
320
320
34
370
6 321
5442
5836
7030
3 995
4941
4 001
6 310
5 261
4089
73 923M
339
4 684
5131
12028
16 070
7792
7130
13153
13 679
7081
7465
7406
7 356
13768
9784
671
1103
907
867
762
1 005
221
232
996
334
I 254
242
1 200
300
20 585
21 278
17843
18700
10159
383
1 000
976
9307
76593M
1198M
77548M
79969M
2824M
84916M
1 361M
1 449M
1 398M
C
560 135
627 430
794 691
817390
1477M
887 815
893 667
A
686200
113000
60000
664230
117000
54000
710400
113000
C
809400
119000
63000
833 350
124 000
55 000
903 400
103 000
61 000
A
3311
4 648
9 353
3701
29 276
8 003
B'
9 442
174
1 014
900
867
C
Unhted Statoe - Etate.Unl,
167
1 000
879
13802
16529
'1015M
907 599
259 729
200 865
10000
12000
5500
4072
C
Panama
4260
4448
6000
8000
A
11 447
8 529
16564
901 549
255 224
204 575
C
5441
12 358
74 509
49 360
A
A
17040
30 849
B
Netherlande Antiilec
Anhilin néarlandalcec
19306
16346
7 090
19 270
9 056
8 696
C
11051
8410
16066
A
12753
14119
6 604
7747
6524
1 466M
305
282
1 097
296
85118M
I 426M
907 754
87661M
I 368M
884 800
959 800
88 000
54 000
870 303
89 030
2785
2 096
24 887
911 355
AMERICA, SOUTH
AMERIQUE DU SUD
Argentina - Argentine
Balivia - Beiiuln
C
58 000
3603
2512
Fur source, general nota and taol.nolee, Inc Ofld ut table.
6616
Vair la fin
98000
55000
32 200
3 453
57812
3 341
u tableau pour la source, la remarqua g6néra)e et les natal.
-113 COMMUNICATIONS
Mail traffic (continoed): number of items - Courrier postal .ulte: nombre d'envois
A. Domestic
C. Forelgn r sentA. lntdrteur 8. Etranger s reçu C. Elranger s eepbdl6
B. Foretgn r recelued
Millier,
Caonlry:r oo5'
1972
1973
1974
1967
1968
1969
1970
1971
...
...
...
...
...
...
...
...
...
596 851
...
...
...
...
...
...
...
...
...
29475
35665
31510
30620
37110
32856
32151
C
38966
34499
...
...
...
...
...
...
A
104262
163944
136425
180171
141711
38711
...
...
...
...
,.
...
3 609
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
75429
68766
7147
3359
77489
7248
79304
3357
3689
1096
13943
2319
1 366
1 402
7614
7860
1005
1058
17728
29028
18519
14523
22281
25393
21721
15386
22545
15197
17146
22697
15755
109421
114400
48213
83592
119786
55810
79401
80346
124382
58205
76739
6301M
6995M
178427
112217
6746M
174440
117412
152072
15087
9385
148896
26222
12135
Code
p66
AMERICA, SOUTH (cool.)
AMERIQUE DU SUD (suite)
Braoit - Brdsil
A
B
C
Falkland I,, (Maintes,)
lise Falkiond (Molvinos)
A
B
C
Guyana - Guyane
A
B
Vsnaouela
u, e1 084M
"'514M
u,tl366M
C
34374
4657
A
...
B
26353
76
48
83
20
19
43
606 544
...
627 055
32596
49944
30184
65374
48360
44234
68643
50776
46435
72075
72449
50034
109 900
105168
109806
123200
32459
21847
202428
9 390
10 835
878
846
..,
...
92
103
38
46
119
59
77645
11559
30793
5830
81300
60000
121 336
23736
ASIAASIE
Afghanistan
B
C
Bhutan - Bhoutan
A
B
C
Brunel - BrunOl
A
B
C
Bur,naBlrnnonie
Cambadla"Cannbodge"
...
...
...
...
...
62 476
64717
4506
..
1 693
1 307
1 987
2359
34014
1475
A
A
B
A'
1455
1172
3324
3474
13210
12819
16635
18354
23685
10297
13810
20036
25198
15366
65780
67919
80880
69821
7045M
2629
19970
26539
15855
6761M
172583
6176M
187258
5895M
169090
96373
6154M
174327
102518
168781
129983
13510
6342
140786
168919
18808
92311
A
143247
8841
6746
121 353
113422
13337
121 058
70371
38897
5010
A
165 817
C
A'
B
C
A
B
C
33418
27744
...
...
6640M
162473
92926
C
445
245
..
66900
89500
90529
A
471
69
72987
80886
66946
...
...
...
22938
1060
8321
5404
...
...
...
...
...
...
177614
35635
32571
4755
."
...
...
...
...
...
86729
46084
13469
63156
44279
...
...
...
9580M
92195
84379
9830M
97109
86255
10188M
105525
10814
5590
10024
5325
10674
8212
...
...
...
For source, generai note and foot-note,, se. end al takle,
10648
4743
93345
11 201
212 251
37949
41915
10851M
115940
101423
...
..
...
...
...
...
...
,..
...
233 000
41801
43744
11486M
122354
112979
...
...
...
3362
623
...
105842
47883
93207
148231
C
1 368
2807
1172
101 300
C
A
5911
3081
...
13187
5753
81689
56196
72767
B
B
.to,'daniardanle
791
A
B
Japarr'Japon'
1394
798
2981
B
tsrael'IsraBt'
1174
2791
C
Iraqlrak
772
5217
B
Iran
615
4558
2484
C
lndone,iaIndon6sie
917
104 503
8
C
tndla'lnde'
...
...
4195
59219
4156
1990
C
Hong Kong'
Hong-kong'
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
B
C
A
B
CyprusChypre
..
..
18001
8182
52700
97982
8625
...
...
...
2 221
5951
3551
7951
20 143
12917
858077
51926
28588
...
...
...
167873
97732
24097
275 839
283 595
47901
58606
54136
62089
53250
65544
12001M
129279
114663
12298M
106703
12937M
110407
84575
01566
13129M
110074
84331
5536
7227
7620
9820
4125
3233
5376
3886
258 414
11493
3333
8798
3180
Voir la fi du tableau pour la source, ta remarque g6nérate et les note,.
- 114 COMMUNICATIONS
Mail traffic )conlinued): number of items - Courrier postal )sulte: nombre d'envois
A. Do,nestlo
fi. Furotgn s rnceived
C. Foraign s sent - A. IntOrleur
B
Etronçer t reçu
C. Etrançer r eap6di6
ïkousando
Countryorarea
Milliots
Code
1966
1967
A
't 115M
B
26 902
21 240
1968
1969
1970
1971
1972
1973
1974
ASIA (continund)
A018 (soite)
Korao, Repokltu of
CorOn, ROpukiique de
C
Kowait'Koweit'
A
B
C
Loo Peopin'e Dom. Rnp.5 13,
ROp. dOn,. populaire loo' t
A
B
C
LnbonunLtbae
A
MocouMacoo
Moloyslat
MoloIsla'
A
2535
21087
14277
22297
14046
...
1 897
1052
574
...
...
...
2082
1287
1 279
790
t 992
537
2412
16772
13672
..
'28752
'32108
'35131
2788
...
447
2813
3064
389
420
2951
3717
433
367
356
403
711
.,.
...
...
3481
26219
16589
15201
430
...
.,.
...
195
450
341
1 942
3147
I 687
2456
1 745
569
1 978
2 238
724
2 359
2484
2783
2 025
4159
1817
1833
A
146147
154548
157815
178428
48 806
51 000
52361
40161
189689
59033
203743
57276
41798
228014
45 488
38 154
253864
62906
46406
272982
...
...
...
...
...
...
B
A
34264
16
37
24
A
642 278
666 940
B
107618
47060
105980
C
A
45954
...
.,.
...
...
.,.
...
3 844
...
...
...
...
,..
...
733 776
248000
52300
22619
14348
738
A
24461
B
20099
C
14101
26323
20987
15219
...
...
...
31341
25 327
17901
A
47 342
51 465
B
39326
35100
59356
25523
C
28 344
32 559
28 782
SoulhViel.Nonn,Rnp.oft'
A
Sud Vint-Nom, ROp. du'
B
C
47252
19104
14843
49616
20060
15586
A
8
393531
17046
387327
14033
C
9619
7617
A
20 583
21 041
B
7061
5048
9725
5154
73723
14255
8645
76952
C
A
8
187
39498
...
...
...
50
29040
24512
337
868
802
.,.
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...
...
..,
...
66763
24676
69 602
79 961
29052
85 975
87 391
26214
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37117
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43 676
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20420
15720
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59230
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57217
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19087
12450
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19145
10573
490187
20076
11235
24 009
9 380
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9777
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3861
9211
99323
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9856
108
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233
903
18121
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20147
14899
535387
9891
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6786
10979
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21 000
22 546
8 347
B 507
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4393
4206
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5411
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14781
140316
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146519
25960
15944
4B9 723
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52989
72768
49003
61559
50450
68500
475 189
...
..-
22277
48368
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441 526
498 731
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33666
40085
39941
45739
45052
56064
46054
42881
A
...
...
...
...
...
...
.,.
...
...
...
...
...
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...
...
cf tible.
47340
339 851
755
15691
79
282
937
913
65 551
9
51
110
340
192
836
392 547
For source, gnneral note ond foot-note,, sue en
58 822
661
...
...
...
C
C
48970
.,.
..
...
B
B
560 452
90721
89006
54238
535
199
A
27
28
34
637 839
630 248
174
1 038
912
15
14
51
37
25
C
C
41 954
10
B
Un2ad Arab E,nirates
BoiraIs arabe, unIs
14160
449 267
45 034
18586
16677
138
Timon Portugais
TurkeyTurqulo
3290
22398
3280
22361
14812
145
ThailondThailonde
3250
22390
15205
3100
404
flOp, arabe syrienne
40 105
22171
A
Syrtan Arak flnpublic
602 421
37939
15619
2950
PurtuoesaTle,nr
SriLonka°
594 393
34 633
14391
2038
2852
C
Sinçopore - Singapour
564 951
2658
B
SoudtArobia
Arable Saoudite
...
...
22131
14011
26072
75646
85148
...
...
...
352
2 235
C
Philppine,
32268
17683
B
B
Pakistan
549 649
lB 237
7691
C
C
Moldives
435 885
27075
C...
8
494 730
35 668
58681
I
,,.
...
...
24324
6263
6640
12153
14826
13985
47624
82087
)
32737
12010 J
voir o fin du tableau pbur la source, la remarque gOnérale et les note,.
115
COMMUNICATIONS
MaI traffic (conlinund) r number of items - Courr)er postal (sotte) : nombre drenvofo
A. Domestic
C. Poretgn, sent - A. Intérieur
B. Vertigo recelyed
8. (franger s reçu
C. (franger s expédié
Militera
Ihousond,
Country or cota
ode
1966
1967
1968
1969
1970
...
...
...
...
...
..,
...
,.,
...
...
...
...
..,
...
...
1971
1972
1973
1974
A5IA (cnntinued)
ASIE (suite)
YemeuYénren
B.........
A
C
Yemen, Dennourotic
Yénnnn démnaratiqua
A
B
449
2037
1184
...
...
...
2 112
2 142
2 183
2 529
7486
3079
5334
4660
5838
4739
5810
4869
1 210M
1221M
152736
162886
1236M
170721
168447
1254M
166326
174966
1277M
174725
181499
1314M
184205
188969
2 224M
2 109M
205011
172484
2254M
217577
174974
2 306M
198206
172103
239102
196070
220215
227732
2391M
220538
248672
282545
4813
4291
° 5 640
'° 11413
C
'7191
At
8
1276M
152791
C
156996
1 556
3x46
2600
EUROPE
uustrloAutrlahe
Relglunr - Belgfque
A°
B
C
honnel stands,
les Aeglo44ermondna,
GonrnseyGuerneaey
A
B
C
Jersey
A
B
C
cecho,lovokia'
rdrécusionaquie'
Semmork'Done,nank'
Olbroltor
GreeceGréce
tluognryHongnie
ixelend Islonde
Iraland a_frfandeo
11000
...
...
...
,..
4673
7300
4468
8069
5630
4784
8066
5700
4689
5726
5622
10700
4619
10960
5303
11162
6352
11 190
7775
7918
6709
5727
7572
9263
7962
2076M
2092M
2199M
2 193M
2216M
A
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53580
46677
648 13B
676500
811 909
60884
57080
64312
60903
840369
70844
63312
'I 199M
55861
52583
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61945
60123
801 802
53205
46311
702639
68882
C
A
430 740
461.279
517 091
617771
49688
32188
671 365
680 163
625 250
49589
41807
56053
43516
52016
40025
57061
72850
56692
59407
25428
57842
26504
534706
56468
31530
585 756
43819
25758
7701M
376340
444290
9562M
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504307
9671M
435477
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9516M
397176
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9688M
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395100
10066M
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555700
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516300
10000M
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495020
i 342M
56199
11419M
51017
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940 768
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418608
916 004
436630
334258
930 529
311 154
256912
C
137 262
163 037
953 186
47901
148411
968 022
B
441 752
460 026
442 205
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377104
364 295
10330M
588 300
9944M
9359M
595 100
567 000
9 389M
590 388
A'
C
Germony, Fed. Rep. et
Allemaone, Rép. f66,4'
8434
2 290M
164637
187406
2153M
8
R69.dém.allemonde
...
7297
3 326M
197079
186039
2 177M
C
Ger,nan De,n. Rep
...
...
...
...
...
,..
2 291M
196251
2215M
8
Fronce
...
...
...
...
...
...
3 265M
1394M
191734
197129
A,8,C
8
Fiulond Ffnlorde
...
...
...
...
...
...
153306
158507
A
A'
8
55347
31341
8470M
8489M
8927M
9327M
9641M
396 100
376 700
415 700
441 300
515 400
C
570200
A
910
674
492400
444100
1042
995
2 298
2 192
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131
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60990
' I 784M
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2 684
2119
4388
A
224004
205039
8
C
82
115
125
211 611
140
56743
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42495
47229
A
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51861
48943
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56925
79312
54193
'I 046M
51246
C
81801
82939
A
7303
3204
7383
C
1702
7339
3482
1609
7056
3193
1719
8493
3428
1921
8394
3569
1958
9335
3179
2007
9836
3241
2536
A
270 000
88051
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293 392
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73 695
87936
72134
70075
303 303
82891
75 622
294 179
C
295 907
81 847
73 777
296 583
B
73 097
70 008
3440
1818
88051
71 975
For source, general note ond foot notas, sen end oR table.
219583
515290
4 348
8
C
4357
914 133
11 256
3328
2277
Voir le fIn do tableau pour la source, la remorque géuf raie et les notas.
116 COMMUNICATIONS
Mail fraffic (cuatlnuedl: number of items - Courrier postal (soit : nombre d'envois
A. Domestic
0, Forelgn j recelved
C. Forelgn s sent - A, Intérieur
Etronger reçu
C. Etrangeri expédié
Milliers
Tbousands
Cuuntryororeo
Code
1966
1967
1968
1970
1969
1972
1971
1973
1974
EUROPE (eontinued - suie)
ItotyItaIle
A'
5482M
406114
346122
5544M
434350
357039
419541
368273
5924M
468340
347208
5910M
483543
424864
5786M
461401
428657
466880
393890
6259M
443239
368190
5857
2530
5861
2168
4275
2295
4740
2488
480E
2752
5992
2784
5450
5831
2727
2495
2710
39493
21283
10910
41 505
41 315
45641
41 392
23671
12133
24718
14132
27896
16151
44969
28424
16194
41065
B
C
39900
21001
11202
18509
25938
20032
44444
23836
25934
A
12260
12311
12025
...
...
...
25781
17926
11 212
B
C
Liechtenstein
A
C
Luxemboung
MolloMotte
A
7616
C
10262
10502
12184
13348
9897
14124
2459M
147000
261 000
2462M
162000
270000
2597M
165000
275000
2941M
175000
285500
173 100
281 000
443202
42236
35037
469062
41865
34505
476761
B
C
499170
44355
36088
519926
43987
36076
A'
1 170M
1 241M
1 300M
5
8
C
Potond 'Polngne5
Portuool
A
7599
7998
42925
33827
56626,
0
44158
C
61 865
65751
68741
A
377 355
381 236
385 904
53866
477916
26126
30235
3173M
3296M
365968
15159
C
23902
14921
27 339
2751M
282346
272396
3095M
272894
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277061
1410M
1 403M
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67470
105842
69819
1443M
113424
1479M
172000
171 000
C
1488M
173500
212010
210569
United Ktngdum5
A'
10 837M
Royoume'Ual'
B
457430
C
563 242
1059M
SwedenSu8de
A'
8
C
SwitcsrlondSuisee
A'
B
VuouslaniaYoo,oclovle
A'
8
C
70302
69040
396 778
444721
351 129
B
C
391 300
308107
23590
27038
A
0
...
,..
,,,
93119
83370
86006
A'
...
...
...
89908
90355
81500
85033
Opale Espo8ee
2792M
168000
86076
08348
B
C
RomanlaRoumonle
...
...
...
B
Nelhertonds - Poys-Bos
Norwoy2llorv8ge'
S 545M
20128
23 397
93421
6 184M
27511
9297
8971
5741
9425
12697
13941
12606
3057M
170300
246000
3 105M
3 259M
252700
166000
246000
149000
260500
542216
43778
37175
572364
44716
36431
595428
43247
37354
924110
46771
43502
480 760
81 774
111 168
3065M
...
...
...
469 692
501 480
94368
97247
77107
108724
83970
118427
...
...
...
581 195
612090
36063
52050
630773
40765
3716M
337539
370658
403 956
33206
43962
63 555
286521
307051
3440M
296582
330262
3523M
217280
348794
3558M
322042
353957
3667M
330743
1459M
117918
83504
1559M
121597
82772
1523M
112799
1580M
1703M
79308
89158
77070
97647
80476
1 632M
181 692
1 682M
181 600
1731M
175200
1680M
1 700M
171 100
209324
1601M
177124
219001
228254
228093
220054
214883
156900
196835
10918M
477401
10 698M
10 833M
9 985M
9 958M
10 304M
526311
627 088
475511
577860
584793
412405
602 135
570 926
648 986
10206M
551 902
640 263
10 392M
494635
581 382
616 146
491 720
1101M
1 102M
1090M
1115M
1 095M
1096M
74450
88942
80144
1120M
95012
85551
71795
71231
305429
78775
1306M
71041
94118
80786
91123
2 443M
165447
133517
2441M
164763
124210
91 568
361 554
2314M
115190
95357
98465
96924
OCEA14IA OCEANI0
Austrolto'
Australlo'
PijlFld(l
A'
2 501M
2 478M
168067
182634
113028
2 320M
202 154
2 200M
2318M
8
2 349M
181 890
C
209338
124835
211 845
128692
127345
136972
A
8080
6965
2317
8618
7573
2535
11047
14187
5183
8984
11958
7942
5936
4181
4855
10297
7541
4435
1 371
1 809
2010
2 161
2 947
3 045
B
C
6232
2974
Frerrcl, Polyaeslo
A
781
1 004
1 073
Polynésle ironçolse
B
3 635
3 320
3400
1130
2440
1533
1634
1300
C
Glibent ts?onds '
A
lies Glibert"
B
C
1780
...
...
...
...
...
...
For source, generol note ond fxoI.notes, tee end of table.
...
..,
...
278
86
Voir la fn
6247
2772
1512
...
..
...
2792
2105
121 230
2365
2675
2390
2 835
2690
384
122
88
u tableau pour la source, la remarque géntrole et les note,.
117 COMMUNICATIONS
Mail traffic (cuntlnuedl
A. Dornestic
number of items - Courrier postal (suit.); nombre d'envois
C, Furein: sent A. Intérieur B. Etrungers reçu
B. Fornigr s roceivod
C. Etrunger: expédié
Milliers
Ttiausandn
Cnuniry or ars.
Code
1966
1967
1968
1970
1969
1971
1972
1973
197.4
OCEANIA (saut.)
OCEANIE (suite)
New Colodonia
Noavelle.Coiédonin
A
B
C
A
4801
3404
2710
1412
2 522
C
195
1 688
585
NeurZnalond'
A
540844
Nnuvelle.Zélande'
B
NewNebrldes
Nouveller.ffébrides
B4
C
Solamua Islonds '°
lins SaIo,non cs
A
B
C
tuoga
Woltis and Fuiuua I,
lies Woille et Futuna
A
...
27424
...
...
...
...
...
311
269
C
527929
67513
33168
603
329
B
B
...
...
...
611
C
A
1543
...
...
...
474
245
lI
70
60
6 8ê9
7902
4601
2780
4 435
2643
3054
277
279
222
I 695
1700
888
888
900
227
1 745
910
573822
70261
33248
571 850
594606
615 144
634781
1 841
1 935
2 359
700
504
733
I 361
639
611
3795
3 146
5 59p
3 856
1 ggé
2167
190
200
1 630
1700
874
874
219
I 691
887
529700
69976
33734
556725
69051
31656
1 840
635
319
3 426
2841
1 637
...
...
...
...
...
...
...
5 684
4219
2313
69695
34843
488
478
375
359
271
...
...
...
34939
...
...
325
67941
70425
37388
2 156
1 344
632
2 053
570
474
578
485
...
...
...
...
...
...
...
1750
1 0P8
574
0.4
100
41
USSR s eURSSc, a
(Sa)
5659M
6296M
6954M
7584M
8341M
8532M
8714M
Byelarussiaa 0580,S
RS5 do Bléinrnssle n
Ukrainion SSR'.5
RS5 d'Ukraine "
(55)
)195M)
(226M)
(253M)
(272M)
(287Ml
(308M)
(323M)
(327M)
(59
)1 068M)
(1175M)
(1 306M)
(1 455M)
(I 543M)
(1 5g3M(
(I 615M)
(1 649M)
Saura.: International Bureau ut the Unlveroai Postal Union (Bern).
Note. Tha figuras rafler muera (airmail. ordinary mali and reglsterRd),
postcards, printed motter, marchandise samples, small pochets, and
phonupust pachnts. They inctodn mail rarrled without charge, but euciude
urdinary partais, and insnrod luttera ond boxes.
Doerestin: items molind tor distribution wiihln the naliooal terrilory.
Foreign: items roceived tram notsido the national tarnilory ("Rnreived")
or ,nolled ta: diotribotion ouislde the national territory ('Sont'). Mail
in transit is flot incladed.
1 Flgaros are in millions (M).
o Years beginning I July ut yeoe statect.
Vears bnginniug 1 April ut yeae statrd.
Figuras includn trottic wiih Franco, French oversnus depariments, olhor
overseas terriiories and toraiga coantries or amas.
Figures 1969.1971 ba:ed an o trionniat sorvny tahen In 1969.
O Dota tatar ta Wast Malaysia anly.
Incloding ordinary porcels as well as lnsorod lattera and boues.
o OfficiaI figuras corrnrnnicoted diroutiy tu thn Stotistinal Ottica ut tho
Ueitod Notions.
o Data refur tu the bren mnmbnr counlries al the East African Posta
and Telecon,municotinns CorporationKenya, Ugonda ord Lir,itad Re.
public al Toncania.
cc 1965.
tt tncluding "Fornign, raceived".
8020M
.40738
1 643
698
483
0.6
10g
44
8 868M
)...(
II 645M)
Etrengsr, courrier reçu de l'étranger ("Reçu") ou courrier transmis
l'étranger ("Expédié"); I. courrier en transit n'est pas compris dans lss
données.
Données en millions (M).
Annéo commençant le 1r juillet de l'année indiquée.
Année commençant In irr avril de l'année indiquée.
Les données comprennent tout le trafic échangé aveu la Franco, les
départements français d'aatrenner, les autres territoires d'outre.mer
et les pays ou zones étrargers.
n Données 1969.1971 fandées sur one enquête triennale établie en 1969.
o Données an rapportant 6 la Malaisie uccidentalo souloment.
t' compris colis ordinairue. lettres et boita, avec valeur déclarée.
Données officielles fournies directumant an Bureau de statistiques des
Natians Uoins.
n Données se rapportant oun trois Pays-membres de "Rosé African Faste
ond Telecnmmuuicatiunn Cnrparutloo"Kenya, Ouganda et Répa.
bliqua-Unin de Toaranin.
1O 1965.
"V compris "Etronger, reçu".
5° OfficiaI figures for ail iettors nnnt.
14 Sna foot-raIe on lhe 1974 dola for Kenya.
° Forrnorly l(hemer Rapublin.
tu Formnrly tans.
1 Formorly Rapublic al Vint.Nan,
Envois recommandés seulement,
" Données nifinlollos pour toutes les lettres envoyées.
"Voir la note concernant las données du Kenya pour 1974.
rlously hnown os Ihe Ellice tslaeds are ircluded).
°° Formerly Brltish Solomun lslands.
72728
Source: Bureau international ds l'Union postale universelle (Bern.).
Rsrnarqas. les données comprennent: lettres (o dinoires, par avion et
recommandées), cartes postales, Imprimés, échantillons, petit paquets
et ennuis phonopost. Elles compreonent les envol ce Franchise mais non
les colis, ni les lettres assurées et les boites.
IntérIeur, courrier ennuyé pour distribution dans le pays même.
52 Registored articles only.
la Formnrly strowa es Gilbert and Ellico Islords (dota for Tuvolu pro.
6 730
4 331
15 Anciennement République khmère.
nu Anciennement Ions.
"Anciannemet République du Viet.l'lam.
sn Antérienracnnvt désignée comme "lins Gilburt ni Bliice lies données
pour Tuvulu, antérieurement connu sous te nom d'tles 6511mo, sont
comprisas).
1 Anciennement lies Salomou britannique.
- 118 COMMUNICATIONS
Telegraph service - Servic téIgraphique
2.
Numbor of tolegrams - Nombre de
R. Fonetgn, sent - A. Intérieur
5, Don,esllc
8.
légrommes
ronger, envol6!
Milliers
Thousond,
Country en orea Pays ou zone
Code
1968
1967
1969
1970
1971
1972
1973
1974
AFRICA - AFRIQUE
/ulge6a Alg6nie
700
366
Angola
344
240
894
375
529
1 082
372
530
79
81
71
55
24
49
20
58
25
58
27
234
26
228
60
222
114
129
771
387
487
Benin "Bénin
Cape Verde - Cap-Vert
52
26
Contrai African Ropublic
République cenlrofnicolne
170
SI
204
29
Chad Tchod
Con go
Egypi - Egypte
Rthlopta - Ethtople
Fr. Terr. et Atari and lusas
Tom
Or, des Mars et des Issos
Ghuna
64
196
35
44
19
47
60
29
49
58
27
42
222
35
203
238
223
18
17
21
225
53
209
Si
58
210
50
217
47
6 433
105
122
99
123
104
113
108
124
83
26
221
20
35
33
542
4 255
472
4709
Sudon Soudon
31
3
521
3956
4 021
231
24
29
548
2 884
292
296
47
24
37
170
419
26
15
26
10
7
16
15
276
156
357
196
17
416
196
12
242
204
393
286
431
77
377
305
443
83
349
405
80
414
286
420
90
93
76
459
390
98
78
495
368
105
85
655
350
100
333
313
88
87
356
329
114
25
396
362
92
29
468
701
921
1155
187
265
83
234
293
82
285
299
1 289
223
327
78
87
82
1 472
368
286
93
11 073
13571
1 200
12 070
1 078
10 997
1 027
11051
1 074
12471
1 843
232
33
1 919
163
1 866
175
17
17
14
17
29
209
254
168
76
226
287
255
283
238
50
59
388
Niger
Southemo Rhodesia
Rhodésle du Sud
110
112
15
329
350
Afrlque do Sud'
123
203
162
51
Moaomtsique
South Afnloa'
30
291
29
471
Senegal Sdnégal
115
o
42
Morocco - Marco
Nigenlo Nigénia
239
44
1124
476
Kenya
Malawi
586
0
sony Coasi - COlo d'ivoire
Madagascor
1 521
488
215
361
4 820
805
119
135
1 428
448
1 378
372
627
64
Gulnea - Guinée
Guinee-Blssau
Guinée- Bi,sau
1 219
1 351
225
268
77
24
10867
I 912
1175
71
143
520
428
2655
1 467
252
267
Toge
Tunl,la - Tunisle
Uganda - Ougonsia
United Republic et Cornenuon
Répubilque.Unln du Cameraun
Unitod Republic of Tonnante
République-Unie de Tanuanla
For saorco, goneral Cote ond fuoi.notas, se. e 4 aI table.
62
158
240
177
231
264
445
83
100
661
353
391
63
340
300
504
80
149
102
557
298
267
475
210
377
296
499
70
427
272
445
160
178
113
14
481
63
359
468
348
1 155
27
60
1 407
320
305
150
1 074
153
396
1 921
327
15
16
21
16
201
187
249
177
75
199
266
170
66
63
253
184
70
431
267
57
449
lOI
101
Voir la In
498
97
80
197
114
54
48
225
759
467
450
501
49
571
85
93
110
34
u tableau: pour la source, la remorque générale et las nateL
119
COMMUNICATIONS
Telegraph service (uonhinued): number of telegrams - Service télégraphique .iIo: nombre de télégrammes
8. Forelont innt - A. IntOrleur
A. Domn,tic
B. Etronger, envoyés
Millier,
CountryorornoPoys0000no
Code
1967
1968
1969
1970
1971
1972
1973
...
...
...
...
1974
ARRICA (nuntinuedi AFRIQUE (lutte)
UpperVoltoHoulo.VultO
62
38
A
B
ZolreZoirn
A
B
ZonrbloZambte
1746
128
53
40
956
67
44
43
1 094
73
97
25
34
1 670
123
232
242
272
358
305
249
48
35
1 411
1 823
93
1 508
80
272
200
273
184
364
12846
15143
56
12
1 257
69
B
...
...
A
8781
8783
5325
6398
5725
4895
2804
1 709
1 656
1 767
936
125
1 652
936
125
I 641
1 320
123
23088
22933
757
1184
19664
1266
1278
175
106
119
136
865
893
223
982
53301
675
53700
A
AMERICA, NORTH
AMERIQUE DU MORD
Canada't
B
A
CasIo Bloc
B
A
Cuba
B
A
ElSalvador
8
Jamalcu Jorroique
A
8
MnuinaMeulqun
A
B
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
...
,..
...
22857
627
1405
242
1120
1 099
683
...
...
992
213
...
...
757
...
104
178
41246
42433
47286
49436
52875
800
825
44674
832
826
610
604
47
51
55
96
...
3743
2527
17716
395
I 415
666
23
104
105
113
130
110
196
71135
13268
61 874
14020
57914
9823
35058
8836
27983
8257
23440
B
77401
10002
Argentinu Arenhlne
A
14919
14670
15366
14645
13336
15593
17409
8
776
689
661
A
36255
23970
542
18255
19015
B
917
18063
785
17283
821
745
21 423
894
853
OrualiBrésil
508
664
668
691
Chue - Chut
A
6168
5507
6271
6449
6275
7338
6 109
ColomblaColunrbln
A
12526
B
397
t4etherlonds Antilles
Antilles néerlandaIses
Unitnd States° - Etut,.UnIs1
A
B
A
...
187
7255
33224
8441
AMERICA, $OUTH
AMERIUE DU SUD
B
EceodurRqooteur
A
B
para900y
172
B
64
B
A
Surina,,,
8
A
Uruguoy
B
1 272
12964
449
...
...
...
...
A
A
PnruFéroa
...
...
...
175
62
...
...
...
...
113
106
326
525
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76
778
...
...
237
17
53
60
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t...)
I...)
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1 600
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1 029
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18900
605
17600
155
17517
18945
18976
284
298
268
...
68
194
52
206
74
71
75
4491
3699
4162
5178
204
172
192
146
13
11
10
81
68
187
69
3325
...
...
1 807
17144
434
16
...
...
...
16140
391
14088
564
...
...
...
...
...
...
...
...
I...)
t...)
(...)
)...)
1 891
171
210
222
80
67
...
...
972
44
ARIA - ASIB
A
Bongladnsh'
B
Burma Blr,nonle
CyprusChypre
A
B
47
A
80
159
1 340
B
llong.Knng - Ilong.kung
8
Indlo'Inde'
A
Iodunosla
Indonézle
909
B
A
B
43200
1695
...
...
For source ganorol note 004 foot.uotos, zoo end oR table.
...
...
58
149
1 389
...
...
...
...
C...
t...)
895
132
832
126
849
125
713
932
75
1536
78
101
79
146
1 542
88
142
1 480
142
1 549
140
1 469
97
150
1 356
45215
4854
45909
5162
046600
5213
58400
5392
52700
5458
2 084
2 134
368
2 390
379
2 872
409
3 459
554
78
...
1 128
68
56
169
2 777
573
Voir la fin du tobinou pour la source, la remorque général. et les 001.1.
120 COMMUNICATIONS
Telegraph service (cantinand) number of telegrams - Servke télégrôphique suite): nombre de télégrammes
B. Farelgm sent - A. tntflrieur B. (tronnn apvoy6s
A, Donnestic
ilsoosand.
Millier.
CouotryoraeeuPayeoonone
Code
1Ç'67
1960
1969
1970
1971
1972
...
...
...
...
...
1973
1974
ASIA (conttnuad) - ASIE (suite)
E...
lraqlrak
A
israeIt1,ruOl'
A
B
Jopnn1iapoo0
A
B
Jordanjordanle
KuwaitKaweit
8370
9423
B
A
Bép. d8m. populaire lua
B
A
B
A
B
A
B
SlngapureSlngapoue
72463
3072
A
Lac Peaple'o Dem. Rap.0
Pakistan4
826
664
..,
...
B
Mntnynln Matoisle
..,
387
...
...
A
tabnnonLtban
...
77670
2934
...
0
A
Koren, Repoblic of
Carfin, Rflpobtlque de
...
A
O
318
...
36
36
173
743
55895
2973
48155
3246
46282
13877
489
50 885
675
71439
3179
68484
3074
63917
2830
56
134
53
74
76
130
143
141
2031
.,.
...
...
...
20
27
183
843
9320
1 089
6
505
13004
903
16
420
863
15
423
436
27
59
217
833
33
24
185
888
28
34
17
19
606
3051
523
17
463
1 041
5290
401
417
5296
442
2961
2700
4193
1 390
1 372
1 752
4
59
4
1 131
361
432
388
607
1 747
1 808
4833
I 646
...
...
...
...
5
2
3
4
84$
1128
898
885
1 007
931
4
1 057
1 020
334
...
...
857
B
A
3917
8
387
200
183
A
734
486
SriLonka5
Ttratlaud Tbaiinnde
432
797
745
4834
1743
Sud Viet.Nam, R6publtqoe do
B
1 843
403
317
738
720
767
715
4745
A
A
25
33
171
..
805
448
332
Seuth Vlat.Nom, Republic cf"
Synlan Arak Rnpukttc
R6pukttqoe arabe syrienne
372
...
...
631
791
661
511
236
174
214
...
...
538
500
252
224
1 005
923
210
4554
4169
4709
4893
5128
399
234
180
187
237
203
253
218
203
278
254
239
4897
4746
4034
...
...
...
198
1
371
701
1 024
264
4278
207
275
4712
B
564
531
9112
10183
516
500
A
10932
507
9990
9388
10199
544
602
523
10976
B
517
11522
549
631
619
Aostnia - Aotnlcke
A
2216
1200
2034
I 947
860
1 870
915
2901
1132
2921
1 125
2866
I 048
268$
1 822
762
A
2425
1055
3085
1158
2309
2645
Relglanr Belglqon
2528
971
882
934
Bulganlo - Bulgarie
A
8 870
517
8 955
8 814
292
230
12655
15161
14414
14366
286
14035
9 506
250
A
13282
9 183
304
9 202
E
8 528
393
B
BIO
906
966
353
319
009
828
A
1 632
1397
1 241
734
1 421
534
A
697
B
369
1 517
574
708
353
1434
B
1 564
594
725
349
498
733
322
442
749
303
423
665
280
Prance
A
14818
4873
9051
8761
464
2604
5104
8393
2189
14630
4946
8579
506
4423
0892
3246
15328
10858
16800
4944
16322
B
A
B
4658
16739
Germen Dam. Rap
POp. 64es, allemande
15316
4280
8814
A
13700
13 139
11 399
10041
4831
5814
5020
5676
B 166
A
4815
5576
12 069
B
5045
5565
4813
5717
4410
5697
E
934
847
943
921
877
840
5781
074
A
9175
9417
8635
9112
9208
9446
9410
E
580
558
321
314
577
304
75
599
A
624
316
75
618
329
70
633
329
70
TorkeyTcrqula
502
830
548
EU 80 9E
B
B
Czodroetovakla Tdr6costovaqule
Dnnmork "Dancmark l
Ptntond - Ptnlandn
Garmany, Faderai Republic et
Allemegne, Bflpubllque Md. 6'
GreeceGrbce
HungaryHongrie
icelond letande
E
96
Fat source, genaral note and foot.noto., sen ond cf table.
81
729
354
3220
299
81
799
2394
14125
2 168
7075
4440
1 796
697
2201
941
9 950
290
14391
630
583
379
6BB
252
12981
4607
8596
I 989
6 077
4400
6110
987
10040
679
353
61
Voir la fin ru tableau pour la 500mo, lu remarque génôrale al les note..
121
COMMUNICATIONS
Telegraph service (
tinnod): number of telegrams - Service télégraphique Isoltel: nombre de télégrammes
B. Foroigas test - A. Intérieur B. Etrungers .nnayéa
A. Domnaslia
Mililers
ikousands
CountryarareaPaysauxonn
1967
Cado
1968
1969
1970
444
285
26 594
427
427
22 889
22 809
0971
1972
374
318
21 488
310
22 049
1973
1974
EUROPE (cunlinued - suite)
lr.!andlrlaode
A
421
370
B
401
366
Itaty ltallo
A
28 936
B
4412
7968
5128
5013
5124
tooembnorg
A
172
B
B
...
164
68
175
160
69
165
152
MaltaMalta
168
66
Monaco
A'
1545
I 506
1388
1480
1 346
1 425
1152
1 356
2443
2348
2213
2121
494
15191
722
457
15853
NeltrenlondsPays.Bos
A
B
168
33
1 643
1 554
NorwoyNorvégo
A
2547
B
Poland Polagne
Portugal
RomontaRaumanle
Swedanc_Suéden
Swltonriund - Suisse a
155
64
B
564
525
A
13356
14242
B
836
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A
2756
B
1 012
A
8985
...
B
SpaleEspogen
67
175
'
2795
2183
8808
...
413
310
391
3422
22898
3603
415
302
21 992
3547
126
64
153
122
28
166
1185
117
45
825
1 206
102
23
805
1 184
405
16519
1923
366
16318
345
311
14148
14725
694
672
722
722
787
2882
2823
2886
2765
2607
1 053
1 073
1 025
9103
9589
9623
1018
10248
419
366
351
373
446
461
18238
18529
17921
1749
15946
15304
1 664
1 772
155
55
66
132
60
162
139
119
130
45
51
120
49
939
1600
1 065
9946
1279
9805
B
21723
2168
2937
19583
2078
2735
19349
2015
2469
2343
4104
2134
1837
1447
1052
8
1 290
1199
1161
1 073
953
840
755
628
A
1134
1116
1142
2080
1 08!
1118
1819
6722
1 056
997
A
A'
1 998
8307
7129
8099
1515
6096
7742
10726
11 580
1 282
1267
11100
1298
11 442
1 273
17735
18037
2398
18002
2462
55
50
54
53
68
55
7687
B
2120
7833
9003
1946
6498
8317
A
8157
8453
9500
B
771
847
0 099
10300
1196
A
21 372
21 047
20869
2380
...
...
18651
A
Yagoslavla Yuugostuvte
9175
903
164E
1577
7200
8109
2263
8524
9226
B
Unitad Kingdum
Royaume.Unl'
OCEANIA - OCEANIE
Austnulia0 Asstrallo7
8
2095
2737
Prends Faiyaesia
Palynésis frueçalsn
A
67
61
B
38
47
NnwCoindunla
A
14
14
57
48
47
16
85
19
65
20
5075
4996
1111
953
1 080
4678
1133
357000
365900
372305
386532
404918
422224
(8 600)
(9 000)
(9 000)
19200)
19600)
(55 000)
(57 600)
(58 200)
(59 700)
(62 300)
B
53
A
6259
5945
5810
5584
Houvelln.Zélonda'
8
972
986
1 054
322800
(7800)
339000
A, 8
(8 200)
A, B
(49 600)
(52 005)
A,B
International Telncomrnuniootion Union
typo of tniegrams irccloding
cabiegrams ond radiogroms, but euniudi g mes ages in transit. Thn data
are those submitted by 1ko member admnistra ions et the International
Talacommunicatian Union and presumabiy rafle t territorial changes and
dlffarenres ta reporting.
Source:
Note. 1ko figuras nover, in generai, al
I '(cors baginning I April ut ynar stutrd.
2 Eucloding Howali.
° '(nom ending 30 Soptombar ut yoar slated.
Prior ta t972. dola for Bangladesh inciuded with data for Pakistan,
n Formariy tans.
° lacluding Llecistenstein.
Yoars anding 30 Jonc nE yaar stated,
n Comprises ou trottin eachanged between Monaca ond ail oouatrias
in lb. Froent, internai system.
Rananue tatogmums. eoclading those transmitted eaclusively anar rail.
way talegrnph unes.
Formnnly Dahomny.
II Furmarly Ropublic al Vint-llam.
In Prior lu 1973 lelngrams tram Canada ta 1ko Unitad Sialos are innladed
witi, "Domostio't bnginniag 1973. tkoy or. lnoludad wilin "Foreignc
13 lnclnding dola fur Fceroa lsiands and Graonlond.
2346
5246
95!
14
Nnunelln.Catédunin
Byeiurusslao 008
RSS de Elélorosslo
Ukralnlan SSR
RSS d'Ukraine
45
44
43
NnwZealaudt
USSRU8SS
2463
46
58
18
71
19
55
64
(...(
(65 000)
Source: Union Interna tonale des téiéoammonloalluns.
Remarque. Les données engiabont en général. Ioulas sorte de télé.
grammas, y cumpnis les cfiblagrammos et radiogrammes. tes messages
on transit sont eauius. Les dannées sen soamisas par las Administrations
membres de 'Union internationale des t6lécummunicutians et sont vrai.
semblablement sujettes à des écarts dus aux changements tarritariaux
na ana méthodes différentes d'enregistrement.
Année, commençant la 10 avril do l'année indiquée.
2 Non campris Hawoli.
o Années finissant le 30 septembre de l'année Indiquée.
Avant 1972. les données du Bangladesh sont comprises avec celles du
Pakistan.
O Anciennement tous.
O'( compris Llechtenst.in.
r Années se terminant ia 30 juin de l'année indiquée.
° Comprend I. fatalité du tmuf,c échangé taIre Manaca d'une part et
tocs les pays du régime IntérIeur français d'outre part.
Télégrammes taaés, non comprts coca transmis eaclusivement par I.
service téiégmoptrlqne des chemins de far.
10 Anciennement Dohamny.
11 Anciennement Rdpubttque du Vint.Nam.
In Avant 1973, Ion télégrammes du Canada à destination des Elats.Unis
dtalent cumpris avec cnua de I' "lnléniear"t à partir de 1973, lis sant
compris sous la rubrique "Etrangar, nnvayés".
13 y camprls les données paur les tins Féraé et le Graneland.
- 3122 COMMUNICATIONS
Telephones - TéIphons
3o
Number in use and per 100 inhabitants - Nombra et1 service bt par 100 habitants
Number-Nombre
Per 100 inhabltants
(thontand unit. - militera d'unittsl
Pur 100 habltont.
Country or orna
WORLD1
AFRICA1
Atgnrla
Annota
Renia '
Pays ou zone
1970
1971
1972
1973
1974
272 657
291 299
312 901
336 280
358 590
7.4
7.8
8.2
8.6
9.1
3342
2831
3733
3988
4291
1.0
1.0
1.0
1.1
1.2
184
28
199
221
138
230
1.3
0.5
1.3
30
212
32
1.4
0.6
1.4
1.4
8
8
8
Atgénle
Annota
0.3
REnia O
16
0.6
Botowana
Borondi
'6
Ratowana
8n,nadt
4
3
4
4
Cape Vende
5
4
1
I
1
15
Centrai Atrican Rep........
Chad
Camoros
Connu
E0ypt
Ethtapta
5
5
1
1
10
...
46
11
'7
2
2
Ghana
Guinea
64
2
ivury Caost
Kenya
Ltberta'
Ubyan Arab Rep
Madagascar
MalawI
Malt
Maunittua
Maronna
Maaamblque
Namtbta
1
...
10
11
472
54
..
61
3
3
11
2
2
7
51
8
52
9
2
3
3
31
34
85
41
25
94
105
2
'3
41
42
28
...
3
27
13
5
18
14
5
119
168
27
133
171
4
...
.,.
3
13
3
.,29
29
15
-
3
...
17
...
0.7
'0.9
0.1
0.1
0.1
0.1
0.5
0.5
0.5
'0.5
00.2
0.2
..
0.6
...
0.1
0.1
0.1
0.1
0,3
0.3
0.4
0.4
1.0
0.9
0.8
0.2
0.8
1.3
0.2
2.1
1,5
..0.2
3
1.9
'0.4
..
0.2
2.0
...
..
0.5
0,5
0.6
0.4
55
0.8
10
0.2
'0.6
14
0.6
0.6
0.2
0.2
0.5
0.4
0.4
0.5
0.5
0.7
0,7
10,2
0.7
0.7
0.8
0.8
0.3
'0.6
0.2
0.2
10.3
..
30
0.4
0,2
2.0
0.4
18
0.3
0,3
...
2.1
,..
1.1
011
1.3
11.1
0.6
5.4
0.6
10.6
'40
...
...
'45
0.1
0.1
...
' 111
25
0.1
3.3
3.7
4.0
Rwada
Snaeat
'2
2
28
2
2
12
'0.1
0.1
30
31
1
2
2
0.7
2.3
Tuntela
Uganda
Zalra
Zambla
11
1 707
132
141
151
45
5
46
46
6
6
...
10
1 816
160
151
16
5
5
6
76
30
87
34
96
34
22
40
'21
022
44
51
Un, Rnp. ai Cannaroon
Un. Rep. cf T0aaanta.,.
Upper Volta
...
1 624
5
36
4
37
56
4
...
41
42
57
58
...
7
...
...
For sources, gnnarul Raie and fant.nates, se, end of table.
'36
'3
1.7
10
0.4
0.2
...
R6ontun
0.8
'0.9
4.5
1 5.2
'0.3
11.3
0.3
1,5
0.3
0.2
1.7
0.3
0,3
0.3
0.4
0.3
00.4
'0.4
0.3
0.3
0.4
6
0.1
0.1
126
168
0.2
1.3
0.2
Voir la fin
1.3
Na,rtbln
'0,1
1.3
...
Moroo
Mnaambtque
0.1
2.6
0,3
58
158
0.7
3.7
1,3
...
REp. arabe Rbyenno
0.1
2.5
0.3
8
114
Ltb0tta 1
Ntger
Nisfnto
2.5
0.3
1.2
172
Lnnntha
5.4
7.5
156
7
COte d'ivoire
Kenya
'0.2
0.3
0.4
...
Guln6e'Bmnnau
0.2
0.4
17.6
Ghana
Gutn6e
4.7
7.3
1 936
Terr. in. Atar,, Issas
Gubon
Gamble
0.1
7.2
...
58
45
57
08
'5.8
Cango
Rgyple
Ethlopin
Mauntca
1.1
38
Connores
Malawi
Malt
1189
156
10.4
15,4
REp. centrafricaine
Tut,ad
2.8
...
208
53
0.3
15,3
Cap.Vnnt
Modoascar
0172
49
AFRIQUEI
0.4
2.7
22
Tago
...
MONDE'
0.3
2,5
106
Soothnra Rhodnsla r
Sudan
Swooitond
...
...
...
2.3
19
10
0.2
0.1
97
...
0.6
...
0.1
18
9
5
0.5
2.2
16
'1 554
1.7
...
24
80
Saoth Airlca
0,2
22
REunlort
Somalla'
0.8
11.4
'0.3
0.4
0.1
0.1
Sierra Lennn
I 0.2
0.5
0,9
0.3
4
87
1
...
...
...
10.3
0.4
Ntgnr
Nlgnnla
Seyohelleo
...
1.0
0.9
0,4
...
1974
20
130
136
28
1.2
2
58
114
' ''
0.7
7
10
1 503
66
1973
10.6
0.3
0.5
0.3
15
2
1972
0.3
10.2
.
..
971
8
...
1
'49
77
Lesoiho
3
...
5
5
2
7
Gutnea.Bissau
,..
51
Fr. Terr., Afara Isso,
Gabnn
Gambta
.4
11
...
1970
,..
1.8
...
0.2
1.3
0.3
1.8
..
...
0.2
1.4
0.3
SIerra Lenne
7.8
Samolle'
Afrlque du Sod
...
2,7
Rwanda
S6o6gat
Seyoheltes
2,8
'0.3
1.4
...
2,0
0.4
..,
0.4
0.1
'0.1
'1.5
Rhod8sle du Sud'
Soodan
Souaziland
Togo
Tonisln
Onganda
REp..Unle du Cameraon
R8p..Urie de Tonzantn
ilautn.Valta
Zaine
Zambla
tableau pour les sources, la remorque gén6rale et le, note..
- 123 COMMUNICATIONS
Telephones canhinund - Téléphones Isuital
Number in use anci per 100 inhabitants - Nombre en service et par 100 habitants
Nomber-Nonnbre
Par 100 Inhabltant,
Par 100 habitants
(thousand uniS - niiliars dunhiM)
Country or area
Pays no zone
1970
AMERICA, NORTIt'
1972
1974
1973
153 453
160 652
41.2
42.2
43.9
45.3
46.9
AMERIQUE DU NORD1
3
3
'3
4.1
'4.4
Antlgaa
47
49
36
54
39
55
40
26.8
14.9
28.5
15.6
270
33
4.2
27.6
13.6
4.0
44
29
4.0
26.2
3
30
3
4
5
'36
2.3
53,9
2.7
2
11.5
3.3
66.6
18.5
3.9
1 63.2
20.1
49,9
26.5
3.6
52.8
29.1
55.0
32.2
.4,6
5.1
3.2
2.9
3.2
3.2
3.7
1.3
1.5
32
33
1
2
2
9 751
10 253
10 979
11 665
' 12454
45.2
2
61
2
3
3
4
68
78
69
99
15.2
3.5
269
275
278
2
2
2
281
3
...
'3
47
56
66
83
95
Et Saluadar
39
41
43
47
' 50
Grenade
Goadeloapa
3
14
4
4
16
17
19
49
44
54
'53
'14
17
116
'15
...
5
Panama
Poerto Rica
SI. KilIs.Nevls.
Anguille
9
...
...
'15
1.2
1.2
3,9
4.7
5.6
0.9
0.8
1.0
11.0
0.2
...
'0.5
22
85
25
96
28
3.2
4,8
2223
2 546
3.1
1
1
2
28
37
119
32
17
85
306
11
St. Lucla
,..
356
100
372
'2
...
393
12
5
4
3
...
'2
'35
120
2
6
0.1
u06
4.0
5.2
3.4
4.2
6.0
3.8
8.7
5.7
6.5
12.1
'1.3
'1.3
5,5
10.9
. ..
...
0.7
11.9
1466
16
1.9
1.1
81
'26
3.1
4.3
1 955
1
3.7
3.4
76
28
46.8
21.2
57.2
15.8
4.0
19
1 712
'26
2.4
55.6
11.5
1.1
3.1
17
Mnrtserrat
Nath. Antilles
Nlcaragaa
...
a5
22
3.2
2.6
1.2
72
1 506
Maulco
12.2
4
35
2
Conta Riva 1
iamalun
MartinIque
1974
146019
Br. Virgin l,,
Etordara,
1973
3
Bermuda'
italtl'
1972
138 038
Rsliae
Guatemala
1971
3
Barbados
Caba
Domlntea
Dorninican Rap,'
1970
132 751
,'nntlgua
Bahamas
Canada
Cayoran Islards
1971
...
16.1
'0.9
6.6
15,8
...
Bahamas
tnrbadn
Relize
Bermudas'
lIas Vierges bnit.'
Canada
lIas Cabanas
Conta Bina'
2.1
Caba
Domlnlqoa
R6p. Dominicaine'
1.2
RI Solvador
6.3
Grenade
Goadeloope
3.7
14,3
...
...
Guatemala
jaill'
'0.5
Ftonduras
4.3
7.2
4.2
.4.7
8.1
iaaaiqoe
4,5
Martinique
Maulqea
12.8
13.7
0.8
'13.2
Montuerrat
1 14.8
Antilles ntatl.
Nicaragua
'0.5
...
12,7
13.1
13.3
'2.4
12.5
2,6
3.1
12.5
4.6
2.5
5.3
11.0
...
Panama
' 15.3
Porto tian
. ..
St..Chrtstaphe.
Nl6ves.Angullla
Saints'tocle
1 5.1
2
3
4
4
'5
66
131 108
27
66
138 286
35
63
5.0
6.0
58,7
34.7
65.7
39.0
67.7
' 35
60.4
40.6
4.0
6.3
62.8
38.7
4,6
6.3
143 972
23
63
125 142
27
2,4
5.3
3.4
56
120 218
1 36.6
6 137
6419
6776
7287
8 106
3.2
3,3
3,3
3,5
3.8
AMERIQUE DU SUD'
1 748
...
1 952
2065
2 374
7.5
7.7
8,1
Argentine
Braeil
2001
2145
2190
2415
'2652
2.2
0.9
2.4
8.4
0.9
2.3
9.4
Bolluta'
1 828
44
393
856
150
415
1 010
433
1 080
131
446
1 090
1168
3.7
3.8
120
5
15
6
15
20
6
15
21
8
19
24
24
'35
228
1243
269
309
1333
12
12
13
'215
235
241
.474
246
527
4B 845
Et. Vlruert
Trinidad and Tobago
Uoitad Statas'
5.5. Virgin lslands .,
AMERICA, SOUTH
Argenlina
357
809
130
Chue
Colembla
Emadar
Frorch Gulana
Goyana
Paragoay
Paru
Surinam
...
Uragooy
Veasaaela
AStA 1
Afgheni,tan
Bahrain
Sanglade,t, 4
Bronel 1
Burma
Cambodla
Cyprus
...
49
1406
'444
33 229
37 617
42481
21
13
23
...
12
C...)
C...)
15
48
5
6
7
26
27
28
B
8
46
48
9
54
...
6
17
...
18
...
...
248
'554
52 558
23
122
...
8
29
...
For berces, genaral note and fool.notes, see ond et table.
62
...
...
68
.,,
2.2
...
12.5
Saint'Vinuant
Trinitô'et'Tobago
Elats.Unis 1
lIes Vierges am6r.
BoIlvie 1
Br6siI
4.0
4.1
3.9
2.4
4.5
1.8
4.2
4.6
1.9
4.7
15.6
9.8
2.0
1.0
10.0
2.0
0.8
10.6
2.0
0.9
12.4
2.3
1.0
11.5
Guyana françalsa
Goyane
Faragaay
1.7
'1.7
2.0
2.9
'2.1
P6rau
3.1
8.0
8,1
2.1
...
'7.4
13,9
'4.2
4.2
1.6
1.7
2.0
0.1
0.1
6.5
0.1
...
5.6
C.. 'I
9
30
6.1
5.9
C...)
3.5
4.4
4.8
0.1
0.1
7.1
0.1
0.1
0.1
0.1
8,3
7.3
2.2
3,4
08.3
4.6
2.2
...
8.0
...
5.5
0,1
...
9.7
4.3
14,3
2.4
...
8,9
14,7
ChilI
Calamble
Rquatear
Suninam
Urogoay
Vereaaela
2.3
0.1
19.8
. ..
ASIE'
AfghanIstan
Bahrain
Bangladesh
5.7
Bron6l'
0.1
Rirmanle
...
10.7
Cannbadge'
Chypre
Voir la fin do tobleao pour les soorcas, la rnmarqoa géo6raia ai les notas.
- 124 COMMUNICATIONS
Telephones (continuedi - Té'éphones Isuitot
Number in use and per 100 inhabilanls - Nombre en orvice e par 100 habitants
Per 100 Ijihabitants
Per 100, habltanls
Huniber - Nombre
(Ihousand unit, - milliers d'unit0s)
--
Country or erse
1970
1974
1973
1972
1971
Pays ou aune
1970
1
71
1972
1973
1974
ASIE (mitaI
ASIA (contlnued)
795
1 396
240
913
1 600
269
447
552
121
129
620
685
583
692
1175
201
1 293
230
Iran'
Iruq'
307
120
,,.
...
Israel
521
584
26 317
29 926
33
755
34021
38 698
40
846
Hong Kong
trilla
Indanesle
Japen I.e
Jorden
Koroe, Republic of
KewaIt
Leu Peuple's Dere. R."
Lubanea
31
659
RasE Sebuh
95
'I 690
285
806
185
735
39 405
...
1 158
109
67
2
68
'192
300
'227
6
6
6
9
'10
14
17
180
16
15
20
18
21
198
219
Menai
Malaysles'
35
755
'989
...
...
85
4
2
5
...
...
...
14
153
164
19
6
25
7
26
27
Nepal
Ornen
1
2
2
'3
220
1175
351
12
391
15
195
410
210
446
16
18
02
190
38
84
85
218
43
250
47
65
Serawek
West
Moneallu'
PakIstan'
FI.11lpinus1
207
310
Qatar
11
Seadt Arable'
Singepare
Soolh Viel'Nen,, Il.uf ,u
...
161
35
Turkey
United Arak
Erniralus
Yereen0
Yenren, Dernocratic
EUROPE'
Austrte
Relglum
Bulgarle
Chennel dards'
Cea,hu,luvakla
Denn,erk'
Flnlend
Franco
Gnreren Rein. Rep
Oermoey, Pad. Rep. nI.
Glbrultor'
Grnecs
Hungery
colon4
Irnlund
8
...
...
1.1
1.2
17.2
25.2
1.4
2.1
...
280
.,.
...
19.4
0.3
0.2
21.6
I 22.8
0.3
0.2
0.3
0.2
mdc
..
..
1.7
1.2
20.8
2.4
1.7
21.7
Iran'
Irek'
18.8
1,5
1,2
19.4
28.3
31.8
35,7
35.6
Japon"'
1.6
2.5
1.3
1.4
2.3
* 2.3
10,1
0.1
9.1
0.1
8.8
'6.8
10.2
3.1
3,2
...
1.4
1,7
0.1
S7,7
3.2
10.7
0.2
1.4
1.8
-
1.9
1.7
1,9
2.4
2.0
2.2
2.1
2.0
'0.1
0.3
'0.3
0.2
0.8
0.2
0.9
10.3
0.3
1.0
12.4
0.2
13.1
1.0
8,9
0.2
1.9
1.0
14,9
0.1
...
...
0.3
1.1
11.4
0.2
0.3
0.5
0.5
...
12.5
...
...
1.9
2.1
2.1
0.6
0.6
0.7
1.0
10.1
1.0
11.4
111
132
152
1.8
153
202
235
255
281
0,4
0.5
1.8
0.6
577
654
728
807
900
1.6
1.8
1.9
2.1
2.3
14
13
'26
' 34
7.0
6.5
' 12.4
'9.7
...
4
9
5
10
80 776
1 427
...
..,
...
10
10
87604
94730
10Z666
1 547
1 694
1 841
...
...
...
...
...
0.1
0.1
0.7
0.7
0.7
0.6
110 423
17.4
18.8
20.2
21.7
23.3
1 987
20.7
22.4
24.6
26.2
27.2
6.2
22.6
24.0
6.8
...
IsraCl
Jurdanlu
Corde, ROpublique de
Knweit
R. 6dm, populaire Leu"
Mucea
OnlsnletmSabuh
Sarawuk
Occidentale
Mongelle'
'0.4
68
143
0.5
Indon6sie
Llban
2.2
1.6
0.2
7,9
11.0
...
...
Heng.kane
Malalsie, 1
..
1.9
0.1
...
3.5
3.9
0.2
12,1
...
3.4
0.1
1.5
'4
17.6
0.2
0.2
64
120
60
Srl Lenke
Syrien Areb Rep
Thellend
'8
14.4
0.2
0.2
NOpal
Orne,
PakIstan'
Fhlllppinns'
Qater
Arable Saoudite'
Slneapour
Sud Viet.t'len,, R. du"
On Lenke
ROp. arabe syrienne
Theilende
Turqule
Emirets
arabes unIs
Ydmsn'
Ydn,en ddmocrellque
EUROPE
Autrlcke
Belgtque
Dulgarle
2036
2180
2324
2503
2667
473
534
582
641
718
19.3
21.1
5.5
7.4
8.2
55
58
60
63
67
43.3
45.4
46.9
48.0
51.2
2003
1700
2112
1798
2233
1918
2354
2047
13.8
15.4
37.7
'16.8
33.9
14.6
35.6
16.1
2 164
.40.0
42.8
Denernark'
1181
1 290
I 412
10338
2232
1 535
11 337
1 679
19.9
32.9
21.7
13.1
13,6
35.8
23.6
14.5
Flnlonda
12405
2451
27.8
18,5
12,7
30,5
2326
25.2
17.2
12.3
16 521
6
17803
7
18 767
2.4.9
26.8
20.8
28.7
23,2
30.2
Alleinegne, Rdp. 166.6
' 25,6
1438
1 670
1 862
22.5
20.8
12.0
16.0
18.7
20,7
Gr4ce
924
78
968
8.0
366
8.4
36.0
10.9
8.9
37.0
11.5
9.3
38.1
12.0
9.6
40.4
12.7
Hoegnie
341
1 014
87
394
8774
2089
9546
2165
13 835
15246
6
1 045
6
1 230
824
873
71
75
307
324
For sources, goneral note and (oot.notes, see and al table.
81
'2481
'7
34,7
10.4
21.0
13.7
255
lIe, Angla.Nornrondes
Tchdcoslovequln
Fronce
Rdp. 46m, allemands
Glbrellar'
Islande
Inonde
Vair la On --u tableau peur les sources, la remarque g6nêrale et les noies.
- 125 COMMUNICATIONS
Telephones (cnntinued) - Téléphones (suite)
Number in use ond per 100 inhabilants - Nombre en service et por 100 habitants
Numben-Nombre
Per 100 Inhubitents
Pur 105 hebitorts
(thousond unit, - million d'unités)
Couutry un orna
Puys ou rues
1970
1971
1972
1973
1974
10322
11 349
12
126
'12 612
'13 695
17.1
13
15
142
49.5
32.8
18.8
53,2
34,6
'49
12.5
21
1970
1971
1972
1973
1974
'22.9
'24.6
58.0
38.2
61.4
39.7
EUROPE (cont.)
Itely
Liedrtensteln'
Looembourg
Moite
EUROPE (sqite)
9369
10
Il
111
119
40
16
135
13.7
14.0
14.4
'10.4
67,8
71.5
74.1
26,0
28.0
29.9
82.6
32.0
82.4
34.4
Menuco
Puys.Bus
1 243
1 30g
29.4
5.7
7.1
7.8
32.0
6.3
9.9
32.9
6.7
1 011
30.7
6.0
9.2
Norvège
2238
1 355
2 399
33.9
2087
10.9
11.7
PoluRno
Poetugol
4
1 076
5
6331
7 043
3.2
15.0
13.5
19
3721
4053
Nurmoy
1145
Pulund
Portugal
5 867
750
1 204
1 971
809
873
948
Romunlo
Sen Morino 1
Spolo
639
3
4 569
3
4
5 129
5713
4506
3213
5 178
3790
20536
53.7
48.2
26.7
1 143
OCEÀNIA °
Am.nicouSumuo
Austrullu
91(1
French Pulyneslo
Goom
New Celedonle
New Zeulund
Pupue Nnw Guines '
Western Semue
USSR'
LIechtenstein'
Lucembuurg
4679
46
3410
Sweden
Swilcorlond
United Kingdom
Yugonlovlo
36.1
ltuiie
4317
45
17
44
Monucu
Nethenlends
17
727
20,é
55.3
807
884
Molle
3.6
3.9
4.3
5.1
17.7
19,1
22.4
16.4
10.1
23.7
20.0
Sulnt.Murin'
15.1
57.6
4.4
'4,8
63.3
59.4
36.6
5,4
Soède
53.5
31.4
59.4
56,0
34.0
3.6
55.7
50.9
28.9
4.0
Roumunle
Espugne
4307
3026
14967
16143
4680
3404
17572
736
821
911
4829
3604
19095
'1 004
5422
5662
5 9é4
6 311
6 777
27.9
23.6
29.5
30.6
31,5
OCEANIE'
3
'3913
3
3
4
11.7
11.3
11.1
4400
5000
'31.2
32.4
17
20
22
23
26
3.2
3.6
34,0
4,0
12.1
35.5
4.1
12.3
4157
7
4659
Somou eménlcoines'
Ausirolln
FIdji
6.8
28.4
9.2
8.4
27.4
29.2
10.4
9.0
34.0
11.4
9.4
41.1
12.7
Pulycésie frunçoise
10.3
45.0
45.8
47.5
48.1
1,3
(c.6
Nouvelle.Zélondn
Popouusie
Nounelln.Guinée"
So,voo.Ocddentol'
8.4
37.7
4.6
7
10
10
11
12
24
24
27
11
12
35
14
40
9
1 262
23
1 305
25
1 358
1 444
32
1 495
17
44.2
0.9
2
2
2
2
3
1.4
1.4
1.5
1.5
1.7
11000
12078
13199
14463
15782
5.0
4,9
5.3
5.7
6.2
...
17
Sources: For rnportl g ceuntries ut the Interootiunul Telocnmmunlcutiuv
Union (Gnnnro): Tu ucunrr,oniculiun Stolie ics, pubiished by the Union:
ton uther suuntnins: Tire Wonld'u Teleplsoneu, pubil,hed by ho Americon
Telephune ond Telegroph Cuurpouy (l4uw Yerk).
Note Tho figures relote tu the number ut public ond privote telephones
1.0
...
Suisse
Ruyeume.Uni
?ouguslovle
Guum
Nocvelle.Celédunle
URSS'
Sources: Puer les puys communiquont leurs dune es à ('Uniun Inter.
notiunole dos télé ummonise ions (Genèse): Stotisflquee des ééiteummu'
nicutionu, publiées per l'Uniun: puur les uutces puys: 7h. We,Id's lei.'
pisunes, publié per 'Anrericon Teiophune und Teiogruph Conrpony (New
Yurk).
instolled whlch con ho connncted tu u cuntrol euckonge. Whnro ouf
utherwise Indicotod. the duto ors thoso pobllshed by ihu Intornotionol
Rnniurque. tes données su noppurtenl ou numbre de téléphones publics
Tolecummunicotiun Union, tho mothud end dots of count vueying from
cuuntry tu country. Whuro thn Amnricon Telophnno und Telngruph
Cempuny Is cOud es the source, thn Ogorns rnfnr te 1 ionuory ut tho
folluwing puer.
dunnées figuruvt son, oonototiuv spéciule sont celles que publie l'Union
Source: Americon Tolophune ond Tulogruph Cumpony.
o Including Puonuo blonds ond Greonlond.
0 Eocludes telephone systems ut 1ko milltory forces.
Prion tu 1972, doiu ton Bunglodosh une inuluded witts doio fur 9o14Furrrerly Dohomey.
Ai 30 June ut ho tuiluwiug peur.
At 31 Murch ut the fulluwing yeor.
Al 30 Joue et ho yoer stutod,
° Fornroniy Khmer Ropublic.
10 Furmoniy Republic ut Ylnt.Num.
'° Furmorly tous.
et privés un service qui peuvent Otro reliés à un Icureuu central. Loi
internotiunule des téiéroormunicotions, lu méthede us lu dolu du dé.
numbrement venant d'ue poys à l'outre. Dues les ces où i'Amenicen
Telephuno ond Tolugroph Cumpuny est indiquée comme suurce, les
données so rupportent ou 5r envier de l'unnéo sui000te.
t Source, Ameriuoe Telephoos ond Telogruph Cumpony.
S Y comprIs les lies Férué et le Grounlond.
o Nov compris le réseeu téiéphunlque des ferres ormées.
O Meut 1972. les données du Sovgiodnsh sont comprises avec celles du
Pokiston.
Anciennement Dohomey.
Au 30juin do tonnée suivsvte,
n Au SI mors de l'onnée suivonle.
o Au 30 juin de l'onnéo indiquée.
0 Aociunnemeot République khmère.
Anciennement République d Viet.Nom,
11 Anciennemeot tous.
- 126 -
Annexe III (suite)
B.
EVOLUTICN ET PERSPECTIVES POUR UN CERTAIN NONBRE DE PAYS
J.)
Allesagne (R.?.)
Evolution du trafic osta1
(En millions d'arti les)
1966
975
1985
10 716
11 853
11 453
815
Argentine
6117
Australie
2 1499
Autriche
Augmentation de 2 à 5 pour cent par an
Rangladesh
652
(correspo dance simple)
2 778
2 682
Augmentation générale tendance à la diminution
pour 1 s lettres
Bulgarie
Augmentation de 4 à 5 pour cent par an
Canada
4 676
Chili
Colcnibie
5 317
6 843,7
Trafic en diminution ou stationnaire depuis 1968
914,3
33,8
Augmentation de
1,14 % par an
Côte-d'Ivoire
19(1960)
54
Ri Salvador
17,6
51
Etats-iinis
France
Hong-kcng
Augmentation de 3,4 % par an
Augmentation de
3 % par an
83,8
Diminution prévue
13 214(1980)
11 776
9 937(1.969)
218,8
265,2
mdc
319
8 336
7 286
Indonésie
1(47,7(1969)
187,8(1974)
Irlande
1428
461
Italie
JaRon
Luxembcurg
Norvège
Augmentation générale
diminution des colis
9 554
7,5
114 056(1974) Augmentation de
3 % par an
Augmentation généra e, sauf cartes et colis
0,8
0,9
1
Augmentation de
2 % par an
NouvelleZélande
567
699
Stagn tion des colis
848
- 127 -
1975
1966
Ouganda
pays-Bas
Pércu
1985
DiminutIon de 1967 à 1973
2 391
3 281(1974)
151
159
Phi1iines
Royaume-Uni
Ànoexe III (suite)
680
11 622
10 072
175
Augmentation de
7 % par an
Légère augmentation globale
(Diminution constante des colis;
diminution des lettres,
1973-197 5)
Simga,cur
Suède
Tunisie
Turguie
170
33].
Augmentation de
3 à 7 % par an
2 213
2 585
Augmentation de
1 à 2 % par an
84,2
196,2
370,8
Augmentation: le trafic en 1985 devrait être
1 double de celui de 1975
Source: Réponses au questionnaire.
- 128 -
Annexe III (suite)
CM
H
(t]
co
rioE
O
O
e
E
r-
ri
'D
s
H
(n
ccc
CM
H
'D
I
d4-)o
ci)
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CM
+'W
W
o
e
co
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r1H
e
-
bi'd
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cd
4.c
e
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CM
tfl
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H
cdO.
0)
O
4.)
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Ec'c
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C
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O
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bi
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occi
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