Socks N°105 - Gai-Eros

Transcription

Socks N°105 - Gai-Eros
Sneakers français
Les pieds des potes en
ligne de mire
Chaussettes Artengo
N° 105
Printemps 2012
E
R
I
R UX
U
SO ICIE
L
A
M
1
SOCKS
Revue de presse
Sommaire
REVUE DE PRESSE
> Le lancer de chaussures
> Trouver chaussure (et
chaussettes) à son pied
> Bien choisir la couleur de ses
chaussettes
> La tenue chevillée au corps
> Claquettes et cho7 pour le
rappeur
> Shabiller tout le temps pareil
> La basket qui fâche
> Contre les chaussures en toile
> Tahar Rahim, mannequin d’un
jour
pages 2 à 4
SOCIETE
Les sneakers français se
découvrent
pages 5 à 7
INTERNET
Baisetamarque.com
pages 7 et 8
DVD
Kiffeurs Addiction Ring 1
page 8
LA GRANDE NOUVELLE
Rien que pour les pieds des potes !
pages 9 à 13
VECU
Jouir dans une chaussette
page 10
SHORT STORIES
> Tenue sport à la soirée cuir
> P’tit plan imprévu
> Bangkok Blues
pages 14 et 15
Folklore urbain
Le lancer de chaussures
En levant le nez, rue Gustave-Doré à Strasbourg, le passant peut découvrir une
vingtaine de paires de chaussures accrochées à un câble traversant la rue au
niveau du deuxième étage.
Maxime, lycéen, sur le trottoir, surveille la circulation automobile pendant que
son pote tente d’envoyer une paire de chaussures de sport liées par leurs lacets.
« Je viens de m’acheter une nouvelle paire de chaussures de skate, alors
j’accroche ma vieille paire. Vous voyez les semelles orange, ce sont mes
chaussures de l’année dernière », explique-t-il. « C’est juste un jeu. »
Un jeu apparu à Strasbourg il y a un ou deux ans. La proximité d’une boutique
spécialisée dans les jeux de glisse à roulettes, planches et autres n’est pas
étrangère à l’apparition de ces lancers de
chaussures, puisque cette pratique est liée
au monde des skaters.
Le shoe tossing est né en Amérique du
Nord où les jeunes sportifs ont pris
l’habitude de décorer ainsi des arbres à
proximité de leurs lieux de pratique. Cette
coutume n’a pas de signification précise
autre que de rendre hommage aux
chaussures de son sport préféré, même si
des théories plus inquiétantes circulent.
Pour les uns, les gangs des grandes villes
californiennes marqueraient ainsi la
frontière de leur territoire. Pour d’autres, à
New York, cela signalerait la présence de
drogue.
A Strasbourg, comme dans les nombreux
pays où le lancer de chaussures se répand,
cela n’a qu’une signification ludique. Cela
participe de nouvelles pratiques folkloriques urbaines qui se répandent comme
une traînée de poudre via Internet.
(L’Alsace)
TEMOIGNAGES
> Daubeur footeux
> Une matinée en bottes
page 16
INSOLITE
Les chaussettes : grand livre
d’Histoire
page 17
LITTERATURE
> Les chaussettes du psy
> Un fantasme courant
page 18
CHAUSSETTES COLLECTION
Artengo : ce sont les utilisateurs qui
en parlent le mieux
page 19
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SOCKS
doute, retournez au classique bleu
marine.
(GQ)
Trouver chaussure
(et chaussettes) à
son pied
Mon conseiller est aussi joggeur
à ses heures. Il a testé les baskets
Asics, modèle Gel Cumulus.
« Elles sont rembourrées,
stables, confortables. L’arrièrepied Gel amortit les chocs et
permet de stabiliser le pied en
plein contact avec le talon. » Un
débutant qui ne court pas plus de
deux à trois fois par semaine
optera plutôt pour le modèle
Galaxy, beaucoup plus léger.
Pour les chaussettes, on nous
conseille de porter des
socquettes « respirantes », fines,
qui évacuent facilement la
transpiration, et qui serrent
surtout bien le pied pour éviter
des chocs au talon et à la
cheville (exemple : les Run
Speed One à 16 euros la paire).
(Le Monde)
Comment bien
choisir la couleur de
ses chaussettes ?
Faites passer le message au
besoin, il est primordial pour un
homme de garder une liberté
quasi-totale sur la couleur de ses
La tenue chevillée au
corps
A l’heure où l’on parle de ressortir
l’uniforme pour les écoliers
français, il est une tradition anglosaxonne qui a la vie dure. Ainsi, des
futurs diplômés de la prestigieuse
Christ’s Hospital School, à
Horsham, dans le West Sussex. En
septembre 2010, ils avaient
plébiscité le manteau bleu Tudor et
les longues chaussettes jaunes de
leur uniforme… inchangé depuis
459 ans !
(L’Express)
Tahar Rahim, mannequin d’un
jour
Tahar Rahim, éminent acteur de notre
pays ? Sans aucun doute ! L'homme de
30 ans, révélé par le film « Un prophète »
(2009) et récompensé des César du
meilleur acteur et du meilleur espoir
l'année suivante, a retenu l'attention du
prestigieux magazine de mode VMAN, qui
l'affiche en couverture de son numéro
spécial printemps 2012. Photographié par
Nick Knight, Tahar Rahim se mue en
véritable mannequin, habillé en
Balenciaga, pour nous enseigner les
codes du style, de l'élégance et les
tendances masculines du printemps
prochain. Barbu, chevalière au petit doigt,
l'acteur est la quintessence même du
mâle.
chaussettes. S’habiller demande
déjà suffisamment d’efforts comme
ça pour qu’on s’autorise un
minimum de fantaisie colorée.
Gardez à l’esprit que les modèles à
caractère humoristique sont toujours
prohibés. Sinon, et même dans des
circonstances très formelles, on
vous donne tous les droits. Sans
quoi, à ce rythme-là, on n’est
vraiment pas rendu. Au moindre
Claquettes et cho7
pour le rappeur
A son arrivée dans la salle de
presse, Snoop Dogg a les yeux
complètement rouges – peut-être at-il fait de la mobylette tout au long
de l’après-midi ? Après un questionréponse avec les journalistes locaux,
le rappeur de Long Beach est
finalement seul face à nous. On note
lors de l’un de ses brefs
déplacements qu’il porte des
claquettes de sport et des
chaussettes blanches.
(Les Inrockuptibles)
S’habiller tout le
temps pareil
S’il faut parfois du nez pour les
distinguer, il y a bien deux
(Suite page 4)
Signé Confucius
“Ne mettez pas vos chaussures à vous aux pieds de vos
enfants, non seulement ils n’ont pas la même pointure mais
en plus ils finiront par se rendre compte que vous avez les
pieds qui puent.”
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SOCKS
Pub
(Suite de la page 3)
catégories d’individus s’habillant
chaque jour de la même façon. Les
premiers, reconduisant littéralement
les mêmes pièces, sans lavage, d’un
jour sur l’autre, cherchent sans
doute à se prémunir de tout contact
humain et ont de grandes chances
d’y parvenir, surtout s’ils renfilent
aussi leurs chaussettes. Les seconds,
construisant inlassablement leur
silhouette autour des mêmes pièces
achetées en série, sont un peu plus
fréquentables mais, en matière
d’élégance pure, ne volent pas
beaucoup plus haut.
(M, le magazine du Monde)
La basket qui fâche
Nike voulait bien faire. C’est râté !
Le géant du sportwear a lancé le
17 mars, à l’occasion de la SaintPatrick, fête ô combien célébrée en
Irlande, une basket spéciale
surnommée “Black and Tan”,
censée évoquer un mélange de
bières brune et blonde. Mais les
Irlandais ont vite haussé le ton :
cette appellation leur rappelle une
réalité bien moins festive puisqu’il
s’agit de l’autre nom d’un groupe
Quel est l’argument
massue contre les
chaussures en toile ?
Les pieds qui puent.
Elles semblent avoir
été spécialement
conçues pour
produire cet effet
répulsif. Misez donc
plutôt sur les
modèles en cuir. Ou
portez des
chaussettes.
(GQ)
paramilitaire qui a semé la terreur
dans les années 1920. Face à ces
réactions, Nike a présenté ses
excuses et soldé ces chaussures peu
après leur arrivée dans les magasins.
(Le Nouvel Observateur)
4
SOCKS
société
Les sneakers français
se découvrent
Le mouvement sneaker, déjà très présent chez nos voisins
européens, touche la France de plein fouet, en parallèle avec le
style lascar. Enquête.
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SOCKS
La 1ère soirée Baise ta marque BK69 à Lyon fut une réussite ! Plus de 150 kiffeurs réunis, les acteurs Crunchboys et
l’ambassadeur Tony Rekins (ci-dessus) étaient présents et ont bien joué le jeu…
E
xcavé il y a quelques
années par le site
XsketsGeneration, le
mouvement sket connaît
depuis plusieurs mois une
médiatisation digitale effrénée : les
blogs et autres sites de vidéos porno
mettant en scène des lascars accros
aux baskets et aux joggings de
marque pullulent, les sneakers et
kiffeurs sortent de la confortable
niche dans laquelle ils s’exprimaient
auparavant.
Un dimanche après-midi, Rekins
Tony nous ouvre la porte de son
appartement. Crête sur le crâne, fins
coups de rasoir sur les sourcils et les
tempes, diamant sur chaque oreille,
chaîne autour de son cou tatoué,
vêtu d’un tee-shirt et d’un jogging
Umbro turquoises, ce dernier a
l’apparat de ceux qu’on appelle les
« lascars ». Détail important, Tony
est homosexuel. Selon lui, dans le
milieu gay « on n’a pas besoin de
jouer sa follasse et être un homme
normal, pas efféminé. Un mec au
look sportswear sera toujours
viril ». Tony est ce que l’on appelle
un « sneaker ». Un mec qui aime le
look sportswear, donc, mais dont les
fantasmes sexuels se situent
précisément plus bas, autour des
pieds. Comme le définit Jess Royan,
producteur et réalisateur de porno
gay, également créateur du site
Baisetamarque.com, les sneakers
sont « des mecs qui tripent sur le
design des baskets, qui peuvent
prendre leur pied en léchant des
baskets ou en sniffant des
chaussettes, des mecs qui aiment les
odeurs ». Et pas n’importe quelle
basket : la TN, qui cristallise tous
les désirs des sneakers, au-delà du
simple Hexagone, le mouvement
étant né en Allemagne et développé
en Espagne et en Italie. « C’est
quand même une basket avec un
style particulier. Super jolie, avec
de belles couleurs, de jolis motifs,
agressifs aussi. On prend plaisir à
la regarder, à la toucher. Sniffer
une paire de Air Max, par exemple,
ça n’a pas la même symbolique »,
ponctue Jess Royan en « kiffeur »
(autre expression pour définir le
sneaker) converti.
Une symbolique qu’il faut chercher
du côté du magasin qui les
commercialise, selon ce même Jess
Royan : « Le phénomène Foot
Locker s’est développé, c’est le
magasin des mecs de cité ». La cité,
un fantasme ultime pour tout
partisan du mouvement sket parce
qu’il représente l’hétérosexualité, la
domination. Le sentiment du devoir
accompli en ayant attiré un homme
qui paraît inaccessible pour les
homosexuels. Une théorie sur
laquelle surenchérit Rekins Tony
pour qui le porteur de TN est signe
de virilité et attire irrémédiablement
les mecs. Ce dernier va même plus
loin en confessant qu’un « mec qui
couche avec un sneaker finira par
devenir son père durant l’acte, par
le paternaliser », donnant tout son
sens à un rapport soumissiondomination inhérent au mouvement
sket. Mais il ne faut pas se
méprendre, le mouvement sket reste
et restera strictement gay. Bien
qu’ils reprennent les codes de la
banlieue ou qu’ils en soient issus,
comme c’est le cas pour Tony, les
deux univers sont impossibles à
amalgamer. Exemple parfait : la
culture rap. « Je comprends qu’on
(Suite page 7)
6
SOCKS
(Suite de la page 6)
puisse faire le lien mais non, les
pédés en général n’aiment pas le
rap », affirme Jess. « Déjà le mot
sneaker est un mot propre aux
pédés et un hétéro ne se dira jamais
sneaker ».
E
n revanche, au sein de la
communauté, de nombreux
homosexuels se disent
sneakers, galvaudant ainsi
le véritable statut des initiés du
mouvement selon Jess Royan : « Sur
Facebook, les mecs se disent
sneakers et quand tu les rencontres
ne le sont pas du tout. C’est une
mode de dire qu’on est sneaker.
Comme quand je fais des castings et
qu’ils sont incapables de sniffer une
basket. C’est un truc qui ne
s’improvise pas. Certains se forcent
à le faire mais on voit qu’ils
n’aiment pas ça ». Avis qui
recueille l’adhésion de Rekins Tony,
accessoirement élu l’année dernière
Mister Sportswear Paris-Ile-deFrance, parce qu’on « est comme on
est », avançant son expérience
personnelle, lorsqu’il retrouva l’un
de ses ex, très efféminé au
demeurant, « transformé » en lascar
lors d’une soirée. « Il n’y a pas plus
ridicule qu’un mec efféminé qui
s’habille en jogging » assène Jess
Royan, qui pense les néo-sneakers
comme des mecs mal dans leur
peau, qui cherche une personnalité
en se déguisant, en se donnant un
look plus masculin. Un effet de
mode, soit, mais parti pour durer ?
Existant depuis près de six ans, le
mouvement perdure, loin d’une
mise en lumière d’un quelconque
medium, développant par la même
occasion son propre langage : les
sneakers sniffent mais ne respirent
pas, décrassent mais ne lèchent pas,
yopent mais n’éjaculent pas. Outre
dans les vidéos de plans skets, on
retrouve ces termes également dans
la vie privée des sneakers,
renforçant l’aspect communautaire,
permettant de distinguer le vrai du
faux. Jess Royan assure que le
mouvement sket demeure une petite
niche qui ne fait que coller à
l’attente du marché, expliquant par
la même occasion sa production et
diffusion quasi-exclusivement
7
digitale. Une fois la recherche de
violence sexuelle surannée, et donc
le rapport domination-soumission
des sneakers passé de mode, « les
sneakers resteront des sneakers et
reviendront à leur communauté »
d’après lui.
Mais les kiffeurs pourront toujours
exister au travers du sportswear,
dans une logique d’émancipation du
lascar dans le porno gay, entamée
par Citébeur il y a quelques années
et perpétuée par Baisetamarque.com
désormais. Et, comme le dit si bien
Jess Royan, « grâce aux pédés,
Foot Locker continuera à se faire
des couilles en or ! ».
Matthieu Rostac
(klaatumag.com)
Internet
BaiseTaMarque.com est le nouveau site des kiffeurs de marques de
sport, de skets et de fringues streetwear. Sur le site, on se baise en
Lacoste, Nike, Airness, Adidas, Tacchini… Et les scènes entre ces mecs
lookés sport sont particulièrement bandantes. Avec la galerie de
portraits des acteurs, il est possible de savoir quel genre de chaussettes
ils aiment porter…
> LES VIDEOS
Le bâtard qui adorait sniffer les cho7 de son pote
hétéro
Rek1n Boy est un
p’tit bâtard de la
région lyonnaise qui
adore sniffer les
cho7 de ses potes
hétéros. Un jour, il
se trouve un bogoss
sur le chat de
SneakerGate, qui lui
propose un plan
direct. Son pote l’attend bien calé sur le canapé, les cho7 bien odorantes
et le zob bien gros dans ses Rekins bien usagées.
Sniff et lèches de panards entre jeunes footeux
Deux jeunes footeux
sont tranquillement
posés dans leur canapé,
de retour du foot.
Excités par l’envie de
gagner, les deux bogoss
vont kiffer se lécher les
cho7, panards et se
vénérer les skets.
(Suite page 8)
SOCKS
Dvd
(Suite de la page 7)
La puissance sneaker de MikaPaf, The Baiseur de
Marque !
MikaPaf fait
partie de cette
génération
sneaker qui a
révolutionné le
milieu. MikaPaf,
actif domi, kiffe
qu’on lui sniffe les
cho7 et qu’on lui
décrasse ses skets.
Dans cette vidéo,
MikaPaf nous fait un remake du plan Yop/Requin avec Max.
MikaPaf, à poil sous son survet, va baiser sa marque pour notre plus
grand plaisir.
Plan sniff de sox à la chambre d’hôtel
23h15 : dans un hôtel
d’Orléans, Enzo donne
rendez vous à un minet
kiffeur de sox pour une
bonne prise en main,
sniffage de skets
usagées et léchage de
cho7 Adidas. Le p’tit
kiffeur a 19 minutes
pour faire cracher son
boss en skets.
> QUELQUES ACTEURS
Alex Ptit Kiffeur
Ville : Lyon
Pointure : 42
Marque préférée : Nike TN
Attitude : Passif soumis
Chaussettes : Blanches de
tennis sans marque
Style de mecs :Masculin viril
tbm domi
Trips : Aime se faire tourner
par des kiffeurs aux bons zobs
adorants
KIFFEURS ADDICTION
RING 1
Cinq scènes
avec les plus
grands
sneakers de
France.
Scally Boy
en plan hard
extrême sur
une lope
soumise en combi latex (lèche
de cho7 Lacoste crades, sodo
profonde) ; Tony Rekins en
plan humiliation cho7 au
« Next » ; Ptit Pain en plan
sniff cho7 et sodo de Greg
Centuri, qui remet ça avec
Fabien Kiffeur dans la cave ;
Roméo Courtois au « Krash
Bar » soumis aux TN de son
boss vicieux… Un film kiffant
aux bonnes odeurs de ieps où
les bogoss se font filmer pour
le plaisir de baiser devant la
caméra. Pour tous les fans de
survêt, de TN, de cho7 et
d’odeurs !
Une production de
Baisetamarque.com, réalisée par
Jess Royan.
Ptit Pain
Ville : Paris
Pointure : 42
Marque préférée :
Lacoste
MikaPaf
Ville : Montpellier
Pointure : 45
Marque préférée : Lacoste, Nike,
TN
Attitude : Actif domi uro donneur
Style de mecs : Minet passif
imberbe soumis
Trips : Aime mettre à dispo une
lope, uro donneur, sniff cho7, uro
Attitude : Actif avec
minet, passif avec mec
musclé
Style de mecs : poilu,
35 ans, viril
Trips : sniff, odeur, uro
8
SOCKS
La grande nouvelle
Rien que pour
les pieds des
potes !
Se branler dans la chaussette
d’un pote, s’exciter à la
perspective des chaussettes
crades d’un autre et masser les
pieds puants d’un troisième
constituent les ingrédients
d’une soirée bien remplie.
T
rès peu motivé pour m'aventurer dehors par de
fortes averses, je restai enfermé à double tour
dans ma chambre, le nez sur mon PC, vêtu de
grosses chaussures de marque Timberland, très
confortables et dans lesquelles j'avais chaud aux pieds.
Tout en prenant le soin de suer dans mes belles cho7
noir Artengo toutes faites de coton.
J'avais enfin abandonné mes belles Lacoste pour une
paire de chaussures plus couvertes qui assuraient une
bonne température à mes grands pieds frileux. Ces
chaussures donnaient à mes pieds plus d'importance et
surtout elles avaient la particularité d'attirer l'œil de
n'importe quelle personne de par leur masse
stupéfiante. Le seul hic dans ce brusque changement de
chaussures était l'odeur qui allait se dégager au
moment ou j'allais me déchausser ; cela me tracassait à
la seconde même où je les laçais.
Bien que j'apprécie les bonnes odeurs de pieds bien
odorants, je restais la plupart du temps complexé par
ma propre odeur qui me paraissait vraiment
désagréable. Voila ce qui expliquait la raison pour
laquelle je gardais mes chaussures en permanence et
cela même dans ma propre chambre.
Comment pourrai-je supporter une odeur de renfermé,
mélangée à une odeur de coton mouillé qui se fusionne
à cette odeur de semelle usagée. Cela était impossible
pour moi, j'avais un grand mal avec mes pieds et leurs
odeurs qu'ils dégageaient. Mais contrairement à cela,
j'appréciais de manière conquise l'odeur corporelle de
mon pote Noé à laquelle j'étais devenu accro... Accro
oui et non, puisque ses cho7 étaient complètement
inodores ! Quel comble pour un beau gosse comme lui
qui passe ses journées sur son banc de musculation.
Mais que voulez-vous, il est ainsi fait, et je ne peux
malheureusement pas le changer, il a beau être le gars
sur qui tout le monde peut flasher, il reste cependant le
gars qui ne sent jamais des pieds. Cela dit, l'absence
d'odeur ne m'avait vraiment pas dérangé, puisque
j'avais giclé au simple contact de sa chaleur et du coton
sur ma peau. Ce côté rêche vraiment surprenant, qui
donnait une bonne décennie à sa cho7, m'avait grave
excité. Et voila qu’à l'heure actuelle je ne puis
m'empêcher de me caresser à nouveau avec ses couvrepieds. Entièrement faites de coton, ses cho7
n’affichaient pas de nom de marque et étaient privées
de toute sorte de dessin. Leur aspect
actuel était ainsi : froissée,
chiffonnée et surtout tachetée de gris
due aux saletés qu'il avait ramassées
sur le sol, voire même à l'intérieur de
ses chaussures. L'une d'elle contenait
encore l'humidité de ses baskets
récemment achetées mais vraiment
d’une façon peu présente, tandis que
l'autre contenait la sécrétion de ma
queue au moment où je m'étais vu
contraint d'éjaculer dans son
vêtement.
Ce qui fut dommage dans un premier
temps mais aussi réconfortant dans le
second puisque je m'apprêtais à
refaire pareil. En tee-shirt, sur ma
chaise devant mon PC, je caressais le
sexe soigneusement avec le tissu de
la cho7 de Noé, tout en me
concentrant sur une photo de celui-ci
que j'avais affichée à l'écran. Le
coton rugueux de son vêtement
(Suite page 10)
9
SOCKS
(Suite de la page 9)
réussit très vite à faire grimper mon joli
roseau dans mon boxer, et très vite la
chaleur s'imposa dans toute la pièce,
recouvrant toute ma vitre intérieure
d'une énorme buée. Ce coton desséché
presque déchiré titillait mon gland d'une
manière exaltante, au point de me
pousser à gigoter sur ma chaise.
Rapidement le désir fut de la partie, et
je sentis couler de mes aisselles le long
de mes cotes des gouttes de sueur.
J’étais trop excité au point de tortiller
mes orteils dans le coton soyeux de mes
cho7 que je croisais à de multiples
reprises sous l'influence de ce désir. Le
désir fut tellement présent que je me vis
contraint de sortir de ma bouche un son
aigu de jouissance, tout en continuant
de frotter d'une main fiévreuse le coton
de sa cho7 en boule sur la tête de ma
queue. Sa bonne cho7 sale qui gardait
encore sur son coton une odeur de saleté
inqualifiable, comme un bon vieux livre
qui aurait des années d'existence derrière
lui, stimulait très vite mon orgasme qui
commençait à brûler au fond de mon être.
Et de par cette légère odeur qui suintait je
me vis obsédé par l'envie de renifler de
plus près cette délicate saveur très peu
odorante. Voila pourquoi je pris l'autre
cho7 que je posai sur mon nez de façon à
étouffer celui-ci, et dans laquelle je
reniflai de toute force à pleins poumons,
(Suite page 11)
Vécu
Jouir dans une chaussette
Sans aller jusqu’à l’excès (la chaussette de tennis épaisse, rêche et
crade), il est possible de se servir d’une chaussette pour une
séance de masturbation sans risque.
Personnellement, je parviens à allier hygiène et plaisir avec une
chaussette. J’utilise une socquette fine que j’enfile sur mon
membre après l’avoir bien fait durcir. Au moment de l’enfiler sur
le gland, la chaussette se trouve en contact avec le méat, sensible,
provoquant une décharge de plaisir le long de la tige, jusque dans
les reins. Puis grâce au contact coulissant du prépuce contre la
chaussette, je parviens à faire monter la tension dans ma queue
jusqu’au jaillissement de jouissance qui tartine le coton d’une
belle épaisseur de crème hormonale.
Il est conseillé de laisser sa queue ramollir avant de retirer la
chaussette qui peut encore servir deux ou trois fois sur le restant
de sa surface saine avant d’être jetée. A moins qu’elles ne soient
de couleur noire, n’espérez pas retrouver une blancheur intacte
après le traitement subi.
P.P.
10
SOCKS
(Suite de la page 10)
aspirant par mes fortes aspirations
quelques copeaux de coton par le nez. Le
regard fixé sur la photo de Noé m'obligea
très vite à juter de nouveau dans son
vêtement usagé que je lui avais volé
quelques jours auparavant. Ma queue
enrobée de sa cho7 que j’avais enfilé
comme un gant sur toute la longueur de
mon pénis, gicla une seconde fois dans
cette cho7, la main violement plaquée sur
mon nez afin d'étouffer mes respirations
dans la cho7 de mon pote.
Et après m'être vidé les couilles dans ce
délicieux vêtement appartenant à mon
meilleur pote, je me rhabillai et jetai une
bonne fois pour toute cette délicieuse cho7
bien utilisée. Bien entendu je gardai la
seconde qui paraissait comme neuve,
légèrement humide de ma bave encore
présente de ma première masturbation,
que je pris soin de ranger dans le fin fond
de mon placard, tout en repensant à l'idée
d’un nouveau vol à commettre sous peu.
M
ais tout à coup, mon
téléphone portable se mit à
sonner, ce qui m'obligea à
réceptionner l'appel à vive
allure.
« Wesh ! » dis-je.
« Vincent, c'est Anthony, je t'appelle pour
savoir si tu es chez toi ce soir ? »
« Oui, pourquoi ? »
« Parce qu’en fait, je voulais m'inviter à
dormir chez toi car demain à 8 h j'ai
rendez-vous chez un patron qui se trouve
pas loin de ton appart, et comme ça, ça
m'évite de me lever a 6 h du mat' ! Ça ne
te dérange pas ? »
11
Je réfléchis un court instant puis je lui
répondis : « Bien sûr que non, mec, y'a
pas de souci ! ».
« Ok, sympa, je te revaudrais ça ! » me
dit-il avant de raccrocher.
Je fus heureux de l’avoir inviter,
puisque grâce à cela j'allais pouvoir
sniffer du pied et de la cho7 toute la
nuit. Anthony était un de mes seuls
potes qui avait un look 100% racaille.
Veste de survêt, jean ou survêt et cho7
toujours blanches, portées par dessus
son pantalon, le tout terminé par une
belle paire de TN blanche. Et encore
mieux, Anthony était un de mes potes
qui puait grave des pieds, au point de le
mettre horriblement mal à l'aise à cause
de son odeur irrespirable. Je sentis que
cette nuit s'annonçait plus que bandante,
j'allais avoir ses pieds pour moi tout
seul, mais pour cela il aurait d'abord
fallu que je trouve un argument choc
pour pouvoir les lécher toute une nuit.
un de mes potes
puait grave des
pieds, au point
de le mettre mal
à l'aise à cause
de son odeur
irrespirable.
Voila pourquoi je mis tout mon temps à
profit pour y réfléchir.
Et tout en réfléchissant je me
déchaussais de mes Timberland qui
commençaient à me tenir horriblement
chaud, pour me retrouver en cho7 dans
ma chambre. Au moment de les enlever
de mes pieds, une légère chaleur quitta
les chaussures et devint peu à peu une
odeur de transpiration que je ressentis et
qui me contraria très vite, au point de
vouloir en juger par moi-même en
plongeant mon joli nez fin dans
l'intérieur chaud de ma chaussure, dans
laquelle je pris une bouffée de
respiration intense pour évaluer le degré
de mon odeur qui me parut plus que
malodorante. Cette odeur me dérangea
honteusement au point de m'amener à
ouvrir la fenêtre de ma chambre pour
aérer la pièce et la débarrasser de cette
odeur immonde. A l'aise dans mes
bonnes cho7 en coton noir siglées
Artengo, je pliais mes doigts de pieds
qui se mirent à craquer avant d'effectuer
quelques pas à même le sol où je
remarquai que mes pieds étaient
tellement humides que des marques
éphémères apparaissaient sur le sol. De
quoi faire bander un groupe entier de
fétichistes qui aurait eut le malheur de
croiser le regard d'une si belle paire de
pieds.
Bien à l'aise dans mes bonnes cho7
noires à l’aspect si lisse, je me rasseyais
sur ma chaise devant mon ordinateur,
où je quittai le mode plein écran de
l'affichage de la photo de mon pote
(Suite page 12)
SOCKS
(Suite de la page 11)
Noé. Au moment où j’allais m'aventurer
sur le Net, je fus soudainement
interrompu par des coups sur ma porte
d’entrée. Contrarié par cette
interruption, je refermai l'écran de mon
ordinateur avant de partir ouvrir. Je
découvris face à moi mon pote Julien
qui se tenait immobile en cho7 devant
la porte.
Je le saluai d'une poignée de main
virile, avant de le faire entrer. Je
refermai la porte à triple tour, et quand
je le rejoignis il était déjà assis sur mon
lit à feuilleter mon magazine FHM.
« Qu'est ce que tu fous là, mec, on
devait se voir ? »
« Non Vince, mais j'ai grave apprécié
ton massage de l'autre fois et j'aimerai
tant que tu m'en refasses un ! » me dit-il
un sourire aux lèvres, le regard figé sur
ma revue.
« T'es sérieux Julien ? »
« Bien sûr que je suis sérieux, j'adore
les massages de pieds et bizarrement je
suis en kiff total sur les tiens ! »
« Oh... (Gêné), et bien allonge-toi que
je commence ! »
« Merci » me dit-il tout en s'allongeant
sur mon lit, la revue toujours entre ses
mains.
U
ne fois allongé dos au lit et
plongé dans sa lecture, je
m'asseyai sur le rebord du lit
et j'attrapai ses deux pieds
couverts de cho7 blanches à moitié
salies de taches grises que je
m'empressai de masser, en prenant soin
de bien malaxer le coton chaud de ses
belles cho7 légèrement crades. « Ça te
plaît comme ça ? » lui demandai-je tout
en massant et en sentant la chaleur qui
émanait de son pied dans les paumes de
mes mains. Son pied sentait assez
fortement la cho7 bien portée et la
transpiration digne d'un gagnant du
cross, et tout en caressant sa plante
contractée, je m'imprégnais à pleins
poumons de sa bonne odeur de mec.
Son odeur flottait dans la pièce et sur
mes doigts restait coller le coton rêche
de sa cho7. « Désolé mec si je pue un
peu des pieds ! » me lança-t-il confus
avant que je ne lui réponde : « Non,
t'inquiètes, ton odeur ne me dérange
pas, bien au contraire ! »
Je continuais à masser, sentant glisser
sous mes doigts une chaleur imposante
et une peau très tendue. Puis Julien me
lança :
« Comment ça au contraire ? Tu vas me
faire croire que tu kiffes les odeurs de
pieds ? »
Sur le moment je ne sus
quoi répondre à cette
question si juste, puis je
lui répondis
instinctivement : « Ça
dépend ! ».
Alors il me rétorqua
ironiquement :
« Vas-y, sens mes pieds
et dis-moi si je fais
partie de ton kiff ou
pas ! » Bien entendu je
pris note de cela et je
posai mon nez sur sa
cho7 brûlante qui
dégageait une bonne
odeur bien prenante de
sueur et une fois avoir
respiré son beau pied
bien musclé, je relevai
ma tête et lui répondis
conquis en toute
sincérité : « Tu fais
partie de mon kiff ! ».
Julien resta consterné et
en l'absence de mes
massages, il me
répliqua :
« Vas-y, continue de
masser, t'arrêtes pas ! »
Je m'y appliquai et
continuai à dégourdir ses longs orteils
qui craquaient tous un par un, avant
qu'il ne me réplique, étonné : « Tu es
fétichiste ? » Je ne répondis rien, trop
occupé à faire rouler sous mes doigts
ses orteils crispés, écoutant avec
attention sa seconde demande : « T'es
en kiff sur mes pieds ? » Là, je lui
répondis : « Oui, et pas que sur les tiens
Julien, mais je t'avoue que les tiens me
font grave envie ! » Il jeta le FHM par
terre sans délicatesse et se releva de
colère tout en repoussant ma main de
son pied bien chaud.
« Putain, j'hallucine, t'es un sale gay ! »
« Pardon, moi être gay, t’as craqué ou
Son pied sentait
assez fortement
la cho7 bien
portée et la
transpiration
digne d'un
gagnant du
cross.
quoi ! J'aime les femmes, pas les
hommes ! » répondis-je de colère.
« T'aimes les femmes, alors pourquoi tu
kiffes mes pieds, ça c'est un signe
d'homosexualité, non ? »
« Mais vraiment pas ! Si j'avais aimé ta
queue ça aurait été un signe
d'homosexualité, les pieds ça n'indique
nullement une quelconque attirance.
Réfléchis un peu Julien avant de parler
à tord et à travers ! ».
Il resta étonné par ma réponse, puis il
répliqua avant de s'asseoir à nouveau
sur mon lit.
« Je comprends rien, tu kiffes mes pieds
mais tu n'es pas gay ! »
« Il n’y a rien à comprendre, toi tu
kiffes bien la dernière chanson de Pink
mais tu n'es pas pour autant fan de tout
le reste, non ? »
« Mais, ça n'a rien à voir, là. Moi,
quand j'écoute Funhouse, je n'ai pas la
barre au froc ! »
« Quoi ? Mais moi quand je te masse je
ne bande pas non plus ! »
« Ah ouais, et bien regarde de plus près
ton entrejambe, mec ! ».
Ce que je m'appliquai à faire, en
m'apercevant avec stupeur que mon
érection était déjà bien visible.
« Oh putain ! C'est rapide ! »
« Quoi ? Comment ça, c'est rapide ? »
(Suite page 13)
12
SOCKS
(Suite de la page 12)
« Bah ouais, je viens tout juste de me
branler et j'ai déjà une autre
érection ! »
« T'es vraiment bizarre Vince, tu
devrais vraiment te trouver une meuf ! »
« Et toi, t'es pas bizarre Julien, à venir
te faire masser les pieds chez moi alors
que t'as une gonzesse qui a des parents
kinésithérapeutes ! »
Ma réponse si direct et sincère le laissa
cois. Il se rallongea sur mon lit en
m'ordonnant :
« Allez, masse et ferme ta gueule ! ».
Je repris ses pieds en main et caressai
ceux-ci par-dessus le coton âpre de sa
cho7, tout en l'écoutant me
questionner :
« Je ne comprends pas ce qui peut
t'exciter dans le fait de masser un pied
qui pue ! »
Je continuai mes caresses lentes et
régulières sur sa voûte plantaire de plus
en plus douce avant de lui répondre :
« Je ne sais pas, j'ai découvert ça
depuis quelques jours et je ne
comprends rien au fait que je suis en
excitation devant un pied masculin ! »
Le massage se prolongea sur les deux
pieds et l'odeur devint de plus en plus
présente.
« Les pieds de meufs t'excitent aussi ? »
« Non, juste les tiens et ceux de Noé ! »
A
près avoir suffisamment
malaxé sa cho7 entre mes
doigts, je le débarrassai,
faisant voler, lors de
déshabillage, quelques copeaux de
coton blanc et humide avant de
l'entendre me demander :
« Quoi ? Tu es en kiff sur les pieds de
Noé aussi ? »
« Oui, j'aimerais grave les masser
comme les tiens un de ces jours, ça
serait le plus beau jour de ma vie ! »
« Ah ouais, et bien je pourrais lui en
parler si tu veux, après tout on est des
bons potes. Il acceptera sûrement que
tu lui masses ses jolis petons ! »
Tout en massant le dessus de son pied
tendre je répondis :
« Ah non, tu fermes ta gueule, tu lui dis
rien de ce que je viens de te dire, ok ? »
« Ah ah ah ... Tu vas me faire quoi
sinon ? »
Je me relevai alors en lâchant ses pieds
brutalement sur le matelas, puis je
retirai mes deux cho7 noires de mes
pieds fumants, avant de les coller sur la
gueule de Julien qui se débattit sur le lit,
tout en se voyant forcé de bouffer l'une
de mes deux cho7. Son visage devint
soudainement rouge, je le vis se tortiller
dans tous les sens sur mon lit, tant bien
que mal puisque j’étais accroupi sur lui
13
et le forçai de toutes mes forces de lui
faire bouffer mes Artengo noir. Puis
quelques minutes après je le laissai
respirer en le regardant d'un air
sarcastique et menaçant en lui révélant :
« Je te ferais ça mais avec des cho7
beaucoup plus crades mec ! »
« Comment tu veux faire plus crade,
elles puent grave la mort tes cho7,
Vince »
« T'inquiète pas pour ça Julien, je me
démerderais pour les rendre plus
crades ! »
Il resta essoufflé sur le lit et me répondit
de fatigue :
« Je veux bien te croire, mais bon en
même temps l'offre me tente, mais tes
massages sont tellement bons que je ne
lui dirais rien à Noé ! Mais en échange,
je veux que tu poses ta main sur mon
nez avec tes cho7 jusqu'à ce que je
m'endorme, j'ai bien envie de piquer un
petit dodo avec ton odeur comme
somnifère ! »
Je le regardai avec un sourire aux lèvres,
puis je posai ma main tenant mes cho7
sur son visage, recouvrant ses lèvres et
son nez, le regardant s'endormir comme
un vrai petit ange. Ses paupières
devinrent de plus en plus lourdes et je
vis même perler dans le fond de ses
yeux des larmes dues à l'odeur de mes
cho7 qu'il respirait, et très vite il
s’endormit. Je récupérai alors ses deux
cho7 posées sur mon couvre-lit, avant
de me débarrasser de mon pantalon
ainsi que de mon boxer, de façon à
laisser à l'air libre mon grand sexe bien
dur. Aussitôt dit aussitôt fait, je me
branlai, le sexe orienté sur ses deux
panards, les mains couvertes de ses
deux cho7 bien sales que j'avais
soigneusement enfilées comme des
moufles.
Et d'une main incontrôlable je me
caressai le bas du tuyau au niveau des
boules sur lesquelles ses cho7 frottèrent
sur ma peau avec beaucoup d'âpreté. Et
trop affamé de pieds pour me contenter
de si peu, j'attrapai ses deux pieds nus
au niveau des chevilles, que je posai des
deux côtés de mon sexe au contact de sa
plante, pour effectuer une bonne
branlette thaïlandaise. Inconsciemment
il me branla avec ses deux pieds nus
que je contrôlai de main de maître, tout
en admirant le garçon dormir avec une
de mes cho7 sales dans la bouche.
Très vite, sentant sur mon sexe la
rudesse de ses cho7 qui continuaient de
répandre leur odeur répugnante dans la
pièce malgré la fenêtre ouverte, ainsi
que la chaleur et la fine douceur de son
pied sur ma bite, je me vis obliger
d'éjaculer entre ses jambes sur mon
propre couvre-lit. Une fois les jets de
spermes terminés, je frottai le bout de
ma queue dégoulinante de jus avec le
pied nu de Julien qui dégageait une
odeur chaude parfaite pour les dernières
sécrétions. Et trop satisfait par ce petit
plaisir inconsciemment offert, je pris
soin de laisser le beau Julien dormir,
tout en kidnappant ses cho7 et en les
remplaçant par une même paire
identique de marque Nike, tout juste
sortie de mon tiroir et que j'enfilai
directement à ses pieds.
Avant de ranger sa paire bien daubante
que je venais de lui voler, je respirai
une derrière fois dans le délicieux coton
avant de les cacher avec la survivante
de Noé.
http://noe-sa-mere.skyrock.com
SOCKS
Short Stories
Tenue sport à la
soirée cuir
our changer, je me mets en
total look sport pour sortir.
J'arrive un peu avant l'heure
fatidique pour rentrer sans être en
cuir à la soirée rue des BlancsManteaux.
A peine arrivé, je passe le long d'un
mec allongé dans le sling. Je le
connais, donc je me permets
quelques baffes sur son cul
offert. Devant sa réaction
immédiate, je pose mon
verre pour m'occuper de ce
mec également en tenue de
footeux, au moins pour les
chaussettes hautes et ses
chaussures, le reste est à
poil avec un harnais autour
du torse.
Quelques claques plus
appuyées sur son cul le font
bien gémir. J'enlève une
sket et je titille sa rondelle
du bout de la chaussure. Je
lui mets l'intérieur de la
chaussure sur sa gueule
pour qu'il sniffe bien et
j'aperçois sa paire de pinces
accrochée à son harnais,
cela tombe bien, j'ai oublié
les miennes. Alors qu'il a
encore mon odeur sous le
nez, je lui accroche la
pointe des tétons et je tire la chaîne
vers l'avant. Ses petits cris
m'incitent à continuer sur cette
partie, je reprends ma sket, d'une
main je tire bien la chaîne pendant
qu'avec l'autre je glisse la semelle
doucement sur chaque mamelon
bien tendu. Pour ne plus l'entendre
brailler, j'enlève une chaussette et je
lui enfourne dans la gueule petit à
petit jusqu'à ce qu'elle ne soit plus
qu'une boule formant bâillon. Je
défais une pince et la mets sur une
couille, quelques pressions sur la
chaîne pour bien chauffer le mec et
j'enlève d'un coup sec la deuxième
pince du téton. Je l'accroche à la
deuxième couille et je fais tomber la
chaîne. Je lui enlève ma chaussette
de la gueule et je la suspends à la
P
chaîne.
J'enlève ma deuxième chaussure, lui
plaque bien à nouveau l'intérieur sur
le nez et je commence à accrocher
par les lacets la deuxième tennis à la
chaîne toujours accrochée à ses
couilles et ballotant sous le sling. Je
descends doucement la sket pour
que petit à petit le mec sente le
poids.
La chaîne est maintenant bien
tendue, je donne quelques petits
coups dans la chaussure pour qu'elle
oscille sous le sling, la peau de ses
couilles est plus sollicitée à chaque
balancement, arrachant un
gémissement à chaque aller-retour.
Je me mets de côté pour bien lui
triturer les seins pour qu'il oublie la
douleur aux couilles, j'allonge au
maximum ma chaussette et lui mets
cette fois le tissu au travers de la
bouche avec un noeud derrière la
tête. Je repasse devant le sling,
j'enlève délicatement les pinces et
maintenant je peux travailler ses
couilles sensibles à souhait. Avec
ma deuxième chaussette que
j'étire au maximum également, je
fais des va-et-vient dans sa raie pour
que le tissu excite bien son trou.
http://mtrprog.canalblog.com/
P'tit plan imprévu
n petit moment avec un
pote, je lui fais découvrir
mes jambières, très longues
et surtout très moelleuses et
douces... Je sais qu'il est fétichiste
des cho7, alors s'il a envie de me
bâillonner avec, qu'il ne se gêne
pas...
Mais contrairement à mes idées,
sans rien dire, il me sort ma tige de
mon short et boxer et l'enfile dans
U
une jambière... Très bonne
sensation.
Ça fait hyper hyper épais, il
peaufinera son « cocon » en
enlevant une des ses cho7 de ses
pieds pour l'enfiler sur le tout et en
me disant : « Comme ça, ça se
barrera pas ».
« Pas con », je lui réponds...
Un lacet pour fixer le tout, séparer
bien les couilles de la tige et le voilà
qu'il commence sans rien dire à me
branler... J'en profite pour lui
sortir : « Ben voyons, te gêne pas
surtout ». Et il répond : « T'as
raison, je ne me gêne pas, la
preuve ! »
Et là il vire sa deuxième cho7 de
(Suite page 15)
14
SOCKS
(Suite de la page 14)
son pied et me la fourre en bouche
sans ménagement... Il me branle
super bien, longuement jusqu'à me
faire juter dans la jambière et
surtout dans sa cho7 qui touchait le
gland à fond...
Après cela, il me retire le tout de la
teub, mon bâillon improvisé et me
dit : « Maintenant plaisir pour
moi ». A ces mots il enfile la cho7
pleine de mon jus à son pied et
l'autre cho7 qui était dans ma
bouche à son autre pied...
Il adore... Il est resté comme ça le
reste de l'après midi et est reparti
ainsi...
Ses chaussettes dégageaient
une odeur solide, poivrée et
quelque peu faisandée.
http://fan2racaille.erog.fr
Bangkok Blues
avid enleva ses chaussures
et Surin ses bottes
militaires. David s’allongea
sur le lit, les bras derrière la tête
comme pour me dire : « C’est ton
idée ; à toi de faire le scénario ».
J’ai offert au militaire de se mettre à
l’aise car toutes ses fringues de
soldat devaient peser très lourd
après une journée aussi chaude à se
promener dans Bangkok. Il enleva
son blouson et sa chemise et, torse
nu avec seulement son pantalon et
ses chaussettes qui dégageaient une
odeur solide, poivrée et quelque peu
faisandée qui avait fait sourire
David quand Surin eut retiré ses
bottes, ce dernier s’allongea sur le
lit et prit la même position que
David.
On a avalé quelques petits verres de
whisky et chacun a commencé à
ressentir une chaleur non seulement
par tout le corps, mais
particulièrement au niveau du pubis.
Cela se voyait aux mouvements de
chacun pour remettre sa queue en
place, pour se gratter au niveau du
pubis et pour se redresser sur le lit,
et pour moi, de me redresser sur
mon fauteuil. L’odeur des pieds de
Surin, tout spécialement excitante
quoique pas mal forte, commençait
à inonder la pièce. À travers celleci, se percevait celle, plus subtile, de
la testostérone qui se dégageait de
D
15
nos scrotums gonflés de sperme.
Comme il semblait vraiment qu’il
me revenait de faire quelque chose,
affichant un air mi-comique, misérieux, je me suis dirigé vers les
pieds de Surin et, au grand
étonnement de ce dernier, mais plus
encore de celui de David, je me suis
mis à sentir ses pieds sur ses
chaussettes puis, retirant ces
dernières, j’ai commencé à lui
lécher les pieds à grands coups de
langue. Surin râlait de plaisir et de
chatouillement. Il posa sa main sur
sa braguette et se caressa pendant
mon traitement. On voyait gonfler
cette dernière à vue d’œil. David
surveillait la scène en restant
parfaitement coi.
Lentement, j’ai remonté mes mains
dans le pantalon de Surin pour lui
caresser les jambes. Elles étaient
dures et fermes. J’imaginais ses
cuisses, les fesses qui m’avaient
hanté toute la journée et la queue
bandée qui me restait à découvrir.
Puis, j’ai regardé David allongé sur
l’autre lit.
Je me suis dirigé vers lui et, comme
il ne portait pas de chaussettes, j’ai
plongé mon nez entre ses orteils
comme si je buvais à une fontaine
après des heures de soif. Je sniffais
ses pieds très fortement à la fois
pour l’exciter, lui et Surin, et pour
montrer à quel point je prenais du
plaisir à leur rendre service. En
effet, si je pouvais démontrer une
telle excitation à lécher ainsi leurs
pieds un peu puants, combien je me
régalerais tantôt de leur queue et de
leur cul. C’était ouvrir une séance
d’anticipation.
Alexandre
(http://www.textesgais.com)
SOCKS
Témoignages
Daubeur footeux
J'ai enfilé ma tenue fétiche, mes socks de foot Adidas qui
puent leur race, ça fait un an et demi que je les porte
régulièrement pour un fumet génial ! Je vous raconte pas
l'odeur qui embaume la pièce quand je les enfile ! Un vrai
pur kiff de mec ! Ensuite, mon short, nouvellement acheté
pour une tenue de footeux bien comme il faut, et mon teeshirt de foot, bref la tenue parfaite que je vais porter à
chaque fois que je ferai du sport, pour bien les dauber !!!
« Out la Soupline, place aux effluves de mâle qui pue ! »
Pour parfaire ma tenue, mes Puma Mostro, nouvellement
acquises d'occasion et que je pourrave bien comme il
faut… Une bonne odeur de ièps commence à pourraver
ces superbes skets, ça pique au nez !...
Voilà, ma tenue est parfaite, je pue la pisse, les pieds, ma
queue dans le short de foot qui va bien l'imprégner, bon kiff
à tous !
http://lauwan-sneakers.erog.fr
Une matinée en bottes d'équitation
Ce matin je fais un peu de maçonnerie chez moi et comme toujours pour ce type de travaux pas question de salir
mes skets, donc j'enfile mes bottes Aigle que j'ai depuis plusieurs années maintenant et me voila prêt pour de
longues heures de dur labeur et surtout de transpiration de mes petit petons.
Cool ce matin ! Il y avait du soleil. Je commençais à avoir chaud dans mes bottes et je sentais que mes
chaussettes s’humidifiaient…
Après quatre heures de boulot, enfin la détente, je me grille une clope
en pensant au moment où j'allais retirer mes Aigle et pouvoir ainsi sentir
la transpiration au fond de mes bottes. Je retire mes chaussettes
mouillées de sueur et je les bourre dans une des bottes puis je me mets
à genoux et, tout en regardant mon autre botte, je prends de grandes
respirations dans l'intérieur de mes Aigle.
Je défais rapidement ma braguette et en peu de temps je sens mon yop
qui me chauffe. Je mets ma queue dans l'autre botte et j'envoie quatre
giclées de mon sperme au fond... Le panard total.
Je remets mes chaussettes encore humides et je renfile mes bottes
pour finir de ranger le chantier. Mes petons glissent sur mon sperme
tout neuf et me redonne encore la trique.
Mon odeur restera à l'intérieur de mes Aigle jusqu'aux prochains travaux
ou mes prochaines balades en forêt ou dans la campagne.
http://sket56.erog.fr
16
SOCKS
Insolite
Courrier
Quand les chaussettes
deviennent un grand livre
d'Histoire...
> De M. (Belgique)
J'ai vu passer sur Internet (XTube) une vidéo où un mec,
s'étant procuré des cho7 crades
par voie postale, les passait
quelques secondes au microondes pour en restituer
pleinement l'odeur... pas mal !!!
> De Tibo Kiffeur (Facebook)
- C'est quoi tes passions dans la
vie ?
- Les skets.
- Ouais ok, mais t'as pas d'autres
passions ?
- Si, les cho7 sales.
- Ouais ok, mais d’autres qui
tournent pas autour des skets !
- Oui, le sexe avec des lascars.
- Ok ok, c cool de parler avec toi,
très enrichissant... LOL
L
e moins que l'on puisse
dire, c'est que plusieurs
pays entretiennent une
histoire particulière
avec les chaussettes. Se pencher
sur le sujet, ce serait sans nul
doute ouvrir les portes des
domaines de l'ethnologie, de
l'anthropologie et de la
sociologie vestimentaire ! Outre
les pays scandinaves (liés à des
contraintes météorologiques), la
Turquie est un pays de
« tradition » en matière de
chaussettes, tradition qui se
perpétue de nos jours encore.
Les historiens sont quasiment
d'accord sur le fait que le tricot a
été introduit en Anatolie (centre
de l'actuelle Turquie) aux
environs du XVIIe siècle. On
apprend également qu'une
simple paire de chaussettes nous
renseigne aisément sur la
position sociale du
17
récipiendaire, sa région
d'appartenance, le statut marital,
le sexe de l'enfant ou encore le
nombre d'enfants. Osons l'écrire:
presqu'une véritable carte
d'identité.
Etudier l'art vestimentaire des
peuplades turques, c'est aussi
approcher les innombrables
mélanges des différentes ethnies
qui sont passées ou ont fait
souches dans le pays. Ainsi, en
Irak, Arménie ou dans l'ancienne
Perse (l'Iran d'aujourd'hui), on
retrouve de vastes similitudes
dans le tricot spécifique des
chaussettes turques.
http://socks.canalblog.com
> De JCL
Solution anti-crise : les
chaussons au fromage.
Vous les portez, puis vous les
mangez.
C'est vos pieds qui donnent le
goût "cheese"…
Et tout ça que au prix du pain,
quelles économies !
SOCKS
Littérature
Les chaussettes du psy
J
érôme Pinçon-Blanchart – un beau nom de psy – n’habitait pas loin du journal. (…)
D’emblée, lors de notre premier entretien, face à face, il m’avait parlé de transfert. (…)
Mais je n’avais pas tout de suite saisi la portée de ce qu’il me disait, j’étais complètement
obnubilé par la contemplation des chaussettes mauves qui gainaient ses maigres chevilles
exposées par l’inaction de ses jambes croisées.
- Je suppose, docteur, que, avant de pouvoir m’aider, ai-je susurré comme si je parlais dans un
temple, vous avez besoin d’en savoir plus sur mon histoire ?
Aie ! Pinçon-Blanchart avait du tout de suite calmer l’enthousiasme du patient qui se voyait
déjà parti à l’aventure, exalté à l’idée d’être un novice au début de son initiation. (…) Un
silence long et profond avait suivi. Telle une relique pédestre, la chaussette fut derechef l’objet
d’une attention dévote. Puis Pinçon-Blanchart se racla la gorge avec un bruyant « heuheuf ! »
et répondit :
- Pas nécessairement.
Un fantasme
courant
Karl avait changé l’objet de son
attention et s’attardait sur mes
godasses, commençant à décrasser
avec la langue une de mes semelles. Je
ne savais pas pourquoi un nombre
disproportionné d’hommes que je
rencontrais sur le Net fantasmait sur
les pieds. La plupart du temps,
j’ignorais tout de la marque des
baskets que je portais. Une claque
sèche derrière l’occiput lui rappela
que je n’étais pas là pour qu’il se
donne du plaisir.
Joseph Macé-Scaron
« Ticket d’entrée » (Grasset)
18
SOCKS
Chaussettes collection
ARTENGO
Ce sont les
utilisateurs qui
en parlent le
mieux
> CHARLES
Meilleures chaussettes au quotidien,
résistance, confort. Mais les tailles
écrites sous la chaussette s'effacent
avec le temps. Difficile alors de
différencier et d'appareiller les
paires après lessive (car différentes
pointures à la maison). Les placer à
un autre endroit (non visible lorsque
portées) pourrait être judicieux.
> JEAN-CLAUDE
Qualité-prix correcte, fine et solide,
plus micro aération douce pour les
pieds, le bien-être.
> BENJAMIN
De bonnes chaussettes que je porte
tout le temps. Elles sont parfaites et
tiennent bien aux mollets.
> HENRY
Pas solides, pas chères mais trouées
en deux lavages.
Réponse de Artengo : La
principale promesse des
chaussettes 111c étant « la
résistance », il n'est absolument
19
pas normal qu'un trou puisse
apparaître après seulement trois
semaines d'utilisation et trois
lavages. En effet, ce modèle est
renforcé aux talons et aux pointes
afin d'allonger leur durée de vie !
D'ailleurs tous nos tests prouvent
que les 111c sont parmi les plus
résistantes comparées aux
chaussettes du même type sur le
marché.
> OLIVIER
Prix léger, confort mais usure
rapide : je les utilise pour le sport
(handball et foot) et je trouve
qu'elles s'usent rapidement au
niveau de la plante des pied.
Réponse de Artengo : Je constate
votre remarque sur le fait qu'en
utilisation sportive (football et
handball), l'usure des chaussettes
111c sur le dessous du pied vous
semble trop rapide. Je précise que
ces chaussettes sont conçues à la
base pour des sports de raquettes
en usage occasionnel uniquement.
En effet, la structure même de la
chaussette (assez fine) ne convient
pas pour un usage sportif régulier voire
intensif, et ce malgré les renforts au
talon et pointe.
Je vous conseille donc d'opter pour le
modèle 211 ou même 311,
chaussettes qui sont beaucoup plus
épaisses, résistantes, avec des
bouclettes au-dessous du pied, ce qui
vous apportera plus de confort dans la
pratique de vos sports favoris.
> PASCAL
Très bonnes chaussettes pour tous les
jours, prix, bonne épaisseur, ligne
blanche latérale. La dernière
génération (ref 1191879) est un peu
différente des précédentes avec une
zone permettant une meilleure
respirabilité sur le dessus du pied. Des
lignes blanches on été ajoutées sur
chaque coté de la chaussette et
malheureusement ces lignes sont
placées un peu trop haut et sont donc
visibles lorsque l'on porte des
chaussures de ville.
Réponse de Artengo : Vous avez
raison, si la chaussette est un peu
grande par rapport à votre pointure, il
est possible qu'elle dépasse un petit
peu et est donc visible... Mais
rassurez-vous, cette ligne blanche (ou
noire selon les couleurs dominantes) a
disparu de nos modèles depuis 2011...
Le temps que le stock s'écoule et vous
pourrez acheter des chaussettes sans
ligne. Vous serez ainsi pleinement
satisfait !
> JEROME
Trop serré à la cheville, affaiblissement
au talon. Je suis déçu de ne pouvoir
accéder à certains produits comme les
chaussettes de type 211 et 201 car elles
ne sont pas à ma pointure, 50. La
qualité de ces modèles doit être plus
résistante et me conviendrait mieux.
http://www.artengo.com
SOCKS
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