Socks N°105 - Gai-Eros
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Socks N°105 - Gai-Eros
Sneakers français Les pieds des potes en ligne de mire Chaussettes Artengo N° 105 Printemps 2012 E R I R UX U SO ICIE L A M 1 SOCKS Revue de presse Sommaire REVUE DE PRESSE > Le lancer de chaussures > Trouver chaussure (et chaussettes) à son pied > Bien choisir la couleur de ses chaussettes > La tenue chevillée au corps > Claquettes et cho7 pour le rappeur > Shabiller tout le temps pareil > La basket qui fâche > Contre les chaussures en toile > Tahar Rahim, mannequin d’un jour pages 2 à 4 SOCIETE Les sneakers français se découvrent pages 5 à 7 INTERNET Baisetamarque.com pages 7 et 8 DVD Kiffeurs Addiction Ring 1 page 8 LA GRANDE NOUVELLE Rien que pour les pieds des potes ! pages 9 à 13 VECU Jouir dans une chaussette page 10 SHORT STORIES > Tenue sport à la soirée cuir > P’tit plan imprévu > Bangkok Blues pages 14 et 15 Folklore urbain Le lancer de chaussures En levant le nez, rue Gustave-Doré à Strasbourg, le passant peut découvrir une vingtaine de paires de chaussures accrochées à un câble traversant la rue au niveau du deuxième étage. Maxime, lycéen, sur le trottoir, surveille la circulation automobile pendant que son pote tente d’envoyer une paire de chaussures de sport liées par leurs lacets. « Je viens de m’acheter une nouvelle paire de chaussures de skate, alors j’accroche ma vieille paire. Vous voyez les semelles orange, ce sont mes chaussures de l’année dernière », explique-t-il. « C’est juste un jeu. » Un jeu apparu à Strasbourg il y a un ou deux ans. La proximité d’une boutique spécialisée dans les jeux de glisse à roulettes, planches et autres n’est pas étrangère à l’apparition de ces lancers de chaussures, puisque cette pratique est liée au monde des skaters. Le shoe tossing est né en Amérique du Nord où les jeunes sportifs ont pris l’habitude de décorer ainsi des arbres à proximité de leurs lieux de pratique. Cette coutume n’a pas de signification précise autre que de rendre hommage aux chaussures de son sport préféré, même si des théories plus inquiétantes circulent. Pour les uns, les gangs des grandes villes californiennes marqueraient ainsi la frontière de leur territoire. Pour d’autres, à New York, cela signalerait la présence de drogue. A Strasbourg, comme dans les nombreux pays où le lancer de chaussures se répand, cela n’a qu’une signification ludique. Cela participe de nouvelles pratiques folkloriques urbaines qui se répandent comme une traînée de poudre via Internet. (L’Alsace) TEMOIGNAGES > Daubeur footeux > Une matinée en bottes page 16 INSOLITE Les chaussettes : grand livre d’Histoire page 17 LITTERATURE > Les chaussettes du psy > Un fantasme courant page 18 CHAUSSETTES COLLECTION Artengo : ce sont les utilisateurs qui en parlent le mieux page 19 2 SOCKS doute, retournez au classique bleu marine. (GQ) Trouver chaussure (et chaussettes) à son pied Mon conseiller est aussi joggeur à ses heures. Il a testé les baskets Asics, modèle Gel Cumulus. « Elles sont rembourrées, stables, confortables. L’arrièrepied Gel amortit les chocs et permet de stabiliser le pied en plein contact avec le talon. » Un débutant qui ne court pas plus de deux à trois fois par semaine optera plutôt pour le modèle Galaxy, beaucoup plus léger. Pour les chaussettes, on nous conseille de porter des socquettes « respirantes », fines, qui évacuent facilement la transpiration, et qui serrent surtout bien le pied pour éviter des chocs au talon et à la cheville (exemple : les Run Speed One à 16 euros la paire). (Le Monde) Comment bien choisir la couleur de ses chaussettes ? Faites passer le message au besoin, il est primordial pour un homme de garder une liberté quasi-totale sur la couleur de ses La tenue chevillée au corps A l’heure où l’on parle de ressortir l’uniforme pour les écoliers français, il est une tradition anglosaxonne qui a la vie dure. Ainsi, des futurs diplômés de la prestigieuse Christ’s Hospital School, à Horsham, dans le West Sussex. En septembre 2010, ils avaient plébiscité le manteau bleu Tudor et les longues chaussettes jaunes de leur uniforme… inchangé depuis 459 ans ! (L’Express) Tahar Rahim, mannequin d’un jour Tahar Rahim, éminent acteur de notre pays ? Sans aucun doute ! L'homme de 30 ans, révélé par le film « Un prophète » (2009) et récompensé des César du meilleur acteur et du meilleur espoir l'année suivante, a retenu l'attention du prestigieux magazine de mode VMAN, qui l'affiche en couverture de son numéro spécial printemps 2012. Photographié par Nick Knight, Tahar Rahim se mue en véritable mannequin, habillé en Balenciaga, pour nous enseigner les codes du style, de l'élégance et les tendances masculines du printemps prochain. Barbu, chevalière au petit doigt, l'acteur est la quintessence même du mâle. chaussettes. S’habiller demande déjà suffisamment d’efforts comme ça pour qu’on s’autorise un minimum de fantaisie colorée. Gardez à l’esprit que les modèles à caractère humoristique sont toujours prohibés. Sinon, et même dans des circonstances très formelles, on vous donne tous les droits. Sans quoi, à ce rythme-là, on n’est vraiment pas rendu. Au moindre Claquettes et cho7 pour le rappeur A son arrivée dans la salle de presse, Snoop Dogg a les yeux complètement rouges – peut-être at-il fait de la mobylette tout au long de l’après-midi ? Après un questionréponse avec les journalistes locaux, le rappeur de Long Beach est finalement seul face à nous. On note lors de l’un de ses brefs déplacements qu’il porte des claquettes de sport et des chaussettes blanches. (Les Inrockuptibles) S’habiller tout le temps pareil S’il faut parfois du nez pour les distinguer, il y a bien deux (Suite page 4) Signé Confucius “Ne mettez pas vos chaussures à vous aux pieds de vos enfants, non seulement ils n’ont pas la même pointure mais en plus ils finiront par se rendre compte que vous avez les pieds qui puent.” 3 SOCKS Pub (Suite de la page 3) catégories d’individus s’habillant chaque jour de la même façon. Les premiers, reconduisant littéralement les mêmes pièces, sans lavage, d’un jour sur l’autre, cherchent sans doute à se prémunir de tout contact humain et ont de grandes chances d’y parvenir, surtout s’ils renfilent aussi leurs chaussettes. Les seconds, construisant inlassablement leur silhouette autour des mêmes pièces achetées en série, sont un peu plus fréquentables mais, en matière d’élégance pure, ne volent pas beaucoup plus haut. (M, le magazine du Monde) La basket qui fâche Nike voulait bien faire. C’est râté ! Le géant du sportwear a lancé le 17 mars, à l’occasion de la SaintPatrick, fête ô combien célébrée en Irlande, une basket spéciale surnommée “Black and Tan”, censée évoquer un mélange de bières brune et blonde. Mais les Irlandais ont vite haussé le ton : cette appellation leur rappelle une réalité bien moins festive puisqu’il s’agit de l’autre nom d’un groupe Quel est l’argument massue contre les chaussures en toile ? Les pieds qui puent. Elles semblent avoir été spécialement conçues pour produire cet effet répulsif. Misez donc plutôt sur les modèles en cuir. Ou portez des chaussettes. (GQ) paramilitaire qui a semé la terreur dans les années 1920. Face à ces réactions, Nike a présenté ses excuses et soldé ces chaussures peu après leur arrivée dans les magasins. (Le Nouvel Observateur) 4 SOCKS société Les sneakers français se découvrent Le mouvement sneaker, déjà très présent chez nos voisins européens, touche la France de plein fouet, en parallèle avec le style lascar. Enquête. 5 SOCKS La 1ère soirée Baise ta marque BK69 à Lyon fut une réussite ! Plus de 150 kiffeurs réunis, les acteurs Crunchboys et l’ambassadeur Tony Rekins (ci-dessus) étaient présents et ont bien joué le jeu… E xcavé il y a quelques années par le site XsketsGeneration, le mouvement sket connaît depuis plusieurs mois une médiatisation digitale effrénée : les blogs et autres sites de vidéos porno mettant en scène des lascars accros aux baskets et aux joggings de marque pullulent, les sneakers et kiffeurs sortent de la confortable niche dans laquelle ils s’exprimaient auparavant. Un dimanche après-midi, Rekins Tony nous ouvre la porte de son appartement. Crête sur le crâne, fins coups de rasoir sur les sourcils et les tempes, diamant sur chaque oreille, chaîne autour de son cou tatoué, vêtu d’un tee-shirt et d’un jogging Umbro turquoises, ce dernier a l’apparat de ceux qu’on appelle les « lascars ». Détail important, Tony est homosexuel. Selon lui, dans le milieu gay « on n’a pas besoin de jouer sa follasse et être un homme normal, pas efféminé. Un mec au look sportswear sera toujours viril ». Tony est ce que l’on appelle un « sneaker ». Un mec qui aime le look sportswear, donc, mais dont les fantasmes sexuels se situent précisément plus bas, autour des pieds. Comme le définit Jess Royan, producteur et réalisateur de porno gay, également créateur du site Baisetamarque.com, les sneakers sont « des mecs qui tripent sur le design des baskets, qui peuvent prendre leur pied en léchant des baskets ou en sniffant des chaussettes, des mecs qui aiment les odeurs ». Et pas n’importe quelle basket : la TN, qui cristallise tous les désirs des sneakers, au-delà du simple Hexagone, le mouvement étant né en Allemagne et développé en Espagne et en Italie. « C’est quand même une basket avec un style particulier. Super jolie, avec de belles couleurs, de jolis motifs, agressifs aussi. On prend plaisir à la regarder, à la toucher. Sniffer une paire de Air Max, par exemple, ça n’a pas la même symbolique », ponctue Jess Royan en « kiffeur » (autre expression pour définir le sneaker) converti. Une symbolique qu’il faut chercher du côté du magasin qui les commercialise, selon ce même Jess Royan : « Le phénomène Foot Locker s’est développé, c’est le magasin des mecs de cité ». La cité, un fantasme ultime pour tout partisan du mouvement sket parce qu’il représente l’hétérosexualité, la domination. Le sentiment du devoir accompli en ayant attiré un homme qui paraît inaccessible pour les homosexuels. Une théorie sur laquelle surenchérit Rekins Tony pour qui le porteur de TN est signe de virilité et attire irrémédiablement les mecs. Ce dernier va même plus loin en confessant qu’un « mec qui couche avec un sneaker finira par devenir son père durant l’acte, par le paternaliser », donnant tout son sens à un rapport soumissiondomination inhérent au mouvement sket. Mais il ne faut pas se méprendre, le mouvement sket reste et restera strictement gay. Bien qu’ils reprennent les codes de la banlieue ou qu’ils en soient issus, comme c’est le cas pour Tony, les deux univers sont impossibles à amalgamer. Exemple parfait : la culture rap. « Je comprends qu’on (Suite page 7) 6 SOCKS (Suite de la page 6) puisse faire le lien mais non, les pédés en général n’aiment pas le rap », affirme Jess. « Déjà le mot sneaker est un mot propre aux pédés et un hétéro ne se dira jamais sneaker ». E n revanche, au sein de la communauté, de nombreux homosexuels se disent sneakers, galvaudant ainsi le véritable statut des initiés du mouvement selon Jess Royan : « Sur Facebook, les mecs se disent sneakers et quand tu les rencontres ne le sont pas du tout. C’est une mode de dire qu’on est sneaker. Comme quand je fais des castings et qu’ils sont incapables de sniffer une basket. C’est un truc qui ne s’improvise pas. Certains se forcent à le faire mais on voit qu’ils n’aiment pas ça ». Avis qui recueille l’adhésion de Rekins Tony, accessoirement élu l’année dernière Mister Sportswear Paris-Ile-deFrance, parce qu’on « est comme on est », avançant son expérience personnelle, lorsqu’il retrouva l’un de ses ex, très efféminé au demeurant, « transformé » en lascar lors d’une soirée. « Il n’y a pas plus ridicule qu’un mec efféminé qui s’habille en jogging » assène Jess Royan, qui pense les néo-sneakers comme des mecs mal dans leur peau, qui cherche une personnalité en se déguisant, en se donnant un look plus masculin. Un effet de mode, soit, mais parti pour durer ? Existant depuis près de six ans, le mouvement perdure, loin d’une mise en lumière d’un quelconque medium, développant par la même occasion son propre langage : les sneakers sniffent mais ne respirent pas, décrassent mais ne lèchent pas, yopent mais n’éjaculent pas. Outre dans les vidéos de plans skets, on retrouve ces termes également dans la vie privée des sneakers, renforçant l’aspect communautaire, permettant de distinguer le vrai du faux. Jess Royan assure que le mouvement sket demeure une petite niche qui ne fait que coller à l’attente du marché, expliquant par la même occasion sa production et diffusion quasi-exclusivement 7 digitale. Une fois la recherche de violence sexuelle surannée, et donc le rapport domination-soumission des sneakers passé de mode, « les sneakers resteront des sneakers et reviendront à leur communauté » d’après lui. Mais les kiffeurs pourront toujours exister au travers du sportswear, dans une logique d’émancipation du lascar dans le porno gay, entamée par Citébeur il y a quelques années et perpétuée par Baisetamarque.com désormais. Et, comme le dit si bien Jess Royan, « grâce aux pédés, Foot Locker continuera à se faire des couilles en or ! ». Matthieu Rostac (klaatumag.com) Internet BaiseTaMarque.com est le nouveau site des kiffeurs de marques de sport, de skets et de fringues streetwear. Sur le site, on se baise en Lacoste, Nike, Airness, Adidas, Tacchini… Et les scènes entre ces mecs lookés sport sont particulièrement bandantes. Avec la galerie de portraits des acteurs, il est possible de savoir quel genre de chaussettes ils aiment porter… > LES VIDEOS Le bâtard qui adorait sniffer les cho7 de son pote hétéro Rek1n Boy est un p’tit bâtard de la région lyonnaise qui adore sniffer les cho7 de ses potes hétéros. Un jour, il se trouve un bogoss sur le chat de SneakerGate, qui lui propose un plan direct. Son pote l’attend bien calé sur le canapé, les cho7 bien odorantes et le zob bien gros dans ses Rekins bien usagées. Sniff et lèches de panards entre jeunes footeux Deux jeunes footeux sont tranquillement posés dans leur canapé, de retour du foot. Excités par l’envie de gagner, les deux bogoss vont kiffer se lécher les cho7, panards et se vénérer les skets. (Suite page 8) SOCKS Dvd (Suite de la page 7) La puissance sneaker de MikaPaf, The Baiseur de Marque ! MikaPaf fait partie de cette génération sneaker qui a révolutionné le milieu. MikaPaf, actif domi, kiffe qu’on lui sniffe les cho7 et qu’on lui décrasse ses skets. Dans cette vidéo, MikaPaf nous fait un remake du plan Yop/Requin avec Max. MikaPaf, à poil sous son survet, va baiser sa marque pour notre plus grand plaisir. Plan sniff de sox à la chambre d’hôtel 23h15 : dans un hôtel d’Orléans, Enzo donne rendez vous à un minet kiffeur de sox pour une bonne prise en main, sniffage de skets usagées et léchage de cho7 Adidas. Le p’tit kiffeur a 19 minutes pour faire cracher son boss en skets. > QUELQUES ACTEURS Alex Ptit Kiffeur Ville : Lyon Pointure : 42 Marque préférée : Nike TN Attitude : Passif soumis Chaussettes : Blanches de tennis sans marque Style de mecs :Masculin viril tbm domi Trips : Aime se faire tourner par des kiffeurs aux bons zobs adorants KIFFEURS ADDICTION RING 1 Cinq scènes avec les plus grands sneakers de France. Scally Boy en plan hard extrême sur une lope soumise en combi latex (lèche de cho7 Lacoste crades, sodo profonde) ; Tony Rekins en plan humiliation cho7 au « Next » ; Ptit Pain en plan sniff cho7 et sodo de Greg Centuri, qui remet ça avec Fabien Kiffeur dans la cave ; Roméo Courtois au « Krash Bar » soumis aux TN de son boss vicieux… Un film kiffant aux bonnes odeurs de ieps où les bogoss se font filmer pour le plaisir de baiser devant la caméra. Pour tous les fans de survêt, de TN, de cho7 et d’odeurs ! Une production de Baisetamarque.com, réalisée par Jess Royan. Ptit Pain Ville : Paris Pointure : 42 Marque préférée : Lacoste MikaPaf Ville : Montpellier Pointure : 45 Marque préférée : Lacoste, Nike, TN Attitude : Actif domi uro donneur Style de mecs : Minet passif imberbe soumis Trips : Aime mettre à dispo une lope, uro donneur, sniff cho7, uro Attitude : Actif avec minet, passif avec mec musclé Style de mecs : poilu, 35 ans, viril Trips : sniff, odeur, uro 8 SOCKS La grande nouvelle Rien que pour les pieds des potes ! Se branler dans la chaussette d’un pote, s’exciter à la perspective des chaussettes crades d’un autre et masser les pieds puants d’un troisième constituent les ingrédients d’une soirée bien remplie. T rès peu motivé pour m'aventurer dehors par de fortes averses, je restai enfermé à double tour dans ma chambre, le nez sur mon PC, vêtu de grosses chaussures de marque Timberland, très confortables et dans lesquelles j'avais chaud aux pieds. Tout en prenant le soin de suer dans mes belles cho7 noir Artengo toutes faites de coton. J'avais enfin abandonné mes belles Lacoste pour une paire de chaussures plus couvertes qui assuraient une bonne température à mes grands pieds frileux. Ces chaussures donnaient à mes pieds plus d'importance et surtout elles avaient la particularité d'attirer l'œil de n'importe quelle personne de par leur masse stupéfiante. Le seul hic dans ce brusque changement de chaussures était l'odeur qui allait se dégager au moment ou j'allais me déchausser ; cela me tracassait à la seconde même où je les laçais. Bien que j'apprécie les bonnes odeurs de pieds bien odorants, je restais la plupart du temps complexé par ma propre odeur qui me paraissait vraiment désagréable. Voila ce qui expliquait la raison pour laquelle je gardais mes chaussures en permanence et cela même dans ma propre chambre. Comment pourrai-je supporter une odeur de renfermé, mélangée à une odeur de coton mouillé qui se fusionne à cette odeur de semelle usagée. Cela était impossible pour moi, j'avais un grand mal avec mes pieds et leurs odeurs qu'ils dégageaient. Mais contrairement à cela, j'appréciais de manière conquise l'odeur corporelle de mon pote Noé à laquelle j'étais devenu accro... Accro oui et non, puisque ses cho7 étaient complètement inodores ! Quel comble pour un beau gosse comme lui qui passe ses journées sur son banc de musculation. Mais que voulez-vous, il est ainsi fait, et je ne peux malheureusement pas le changer, il a beau être le gars sur qui tout le monde peut flasher, il reste cependant le gars qui ne sent jamais des pieds. Cela dit, l'absence d'odeur ne m'avait vraiment pas dérangé, puisque j'avais giclé au simple contact de sa chaleur et du coton sur ma peau. Ce côté rêche vraiment surprenant, qui donnait une bonne décennie à sa cho7, m'avait grave excité. Et voila qu’à l'heure actuelle je ne puis m'empêcher de me caresser à nouveau avec ses couvrepieds. Entièrement faites de coton, ses cho7 n’affichaient pas de nom de marque et étaient privées de toute sorte de dessin. Leur aspect actuel était ainsi : froissée, chiffonnée et surtout tachetée de gris due aux saletés qu'il avait ramassées sur le sol, voire même à l'intérieur de ses chaussures. L'une d'elle contenait encore l'humidité de ses baskets récemment achetées mais vraiment d’une façon peu présente, tandis que l'autre contenait la sécrétion de ma queue au moment où je m'étais vu contraint d'éjaculer dans son vêtement. Ce qui fut dommage dans un premier temps mais aussi réconfortant dans le second puisque je m'apprêtais à refaire pareil. En tee-shirt, sur ma chaise devant mon PC, je caressais le sexe soigneusement avec le tissu de la cho7 de Noé, tout en me concentrant sur une photo de celui-ci que j'avais affichée à l'écran. Le coton rugueux de son vêtement (Suite page 10) 9 SOCKS (Suite de la page 9) réussit très vite à faire grimper mon joli roseau dans mon boxer, et très vite la chaleur s'imposa dans toute la pièce, recouvrant toute ma vitre intérieure d'une énorme buée. Ce coton desséché presque déchiré titillait mon gland d'une manière exaltante, au point de me pousser à gigoter sur ma chaise. Rapidement le désir fut de la partie, et je sentis couler de mes aisselles le long de mes cotes des gouttes de sueur. J’étais trop excité au point de tortiller mes orteils dans le coton soyeux de mes cho7 que je croisais à de multiples reprises sous l'influence de ce désir. Le désir fut tellement présent que je me vis contraint de sortir de ma bouche un son aigu de jouissance, tout en continuant de frotter d'une main fiévreuse le coton de sa cho7 en boule sur la tête de ma queue. Sa bonne cho7 sale qui gardait encore sur son coton une odeur de saleté inqualifiable, comme un bon vieux livre qui aurait des années d'existence derrière lui, stimulait très vite mon orgasme qui commençait à brûler au fond de mon être. Et de par cette légère odeur qui suintait je me vis obsédé par l'envie de renifler de plus près cette délicate saveur très peu odorante. Voila pourquoi je pris l'autre cho7 que je posai sur mon nez de façon à étouffer celui-ci, et dans laquelle je reniflai de toute force à pleins poumons, (Suite page 11) Vécu Jouir dans une chaussette Sans aller jusqu’à l’excès (la chaussette de tennis épaisse, rêche et crade), il est possible de se servir d’une chaussette pour une séance de masturbation sans risque. Personnellement, je parviens à allier hygiène et plaisir avec une chaussette. J’utilise une socquette fine que j’enfile sur mon membre après l’avoir bien fait durcir. Au moment de l’enfiler sur le gland, la chaussette se trouve en contact avec le méat, sensible, provoquant une décharge de plaisir le long de la tige, jusque dans les reins. Puis grâce au contact coulissant du prépuce contre la chaussette, je parviens à faire monter la tension dans ma queue jusqu’au jaillissement de jouissance qui tartine le coton d’une belle épaisseur de crème hormonale. Il est conseillé de laisser sa queue ramollir avant de retirer la chaussette qui peut encore servir deux ou trois fois sur le restant de sa surface saine avant d’être jetée. A moins qu’elles ne soient de couleur noire, n’espérez pas retrouver une blancheur intacte après le traitement subi. P.P. 10 SOCKS (Suite de la page 10) aspirant par mes fortes aspirations quelques copeaux de coton par le nez. Le regard fixé sur la photo de Noé m'obligea très vite à juter de nouveau dans son vêtement usagé que je lui avais volé quelques jours auparavant. Ma queue enrobée de sa cho7 que j’avais enfilé comme un gant sur toute la longueur de mon pénis, gicla une seconde fois dans cette cho7, la main violement plaquée sur mon nez afin d'étouffer mes respirations dans la cho7 de mon pote. Et après m'être vidé les couilles dans ce délicieux vêtement appartenant à mon meilleur pote, je me rhabillai et jetai une bonne fois pour toute cette délicieuse cho7 bien utilisée. Bien entendu je gardai la seconde qui paraissait comme neuve, légèrement humide de ma bave encore présente de ma première masturbation, que je pris soin de ranger dans le fin fond de mon placard, tout en repensant à l'idée d’un nouveau vol à commettre sous peu. M ais tout à coup, mon téléphone portable se mit à sonner, ce qui m'obligea à réceptionner l'appel à vive allure. « Wesh ! » dis-je. « Vincent, c'est Anthony, je t'appelle pour savoir si tu es chez toi ce soir ? » « Oui, pourquoi ? » « Parce qu’en fait, je voulais m'inviter à dormir chez toi car demain à 8 h j'ai rendez-vous chez un patron qui se trouve pas loin de ton appart, et comme ça, ça m'évite de me lever a 6 h du mat' ! Ça ne te dérange pas ? » 11 Je réfléchis un court instant puis je lui répondis : « Bien sûr que non, mec, y'a pas de souci ! ». « Ok, sympa, je te revaudrais ça ! » me dit-il avant de raccrocher. Je fus heureux de l’avoir inviter, puisque grâce à cela j'allais pouvoir sniffer du pied et de la cho7 toute la nuit. Anthony était un de mes seuls potes qui avait un look 100% racaille. Veste de survêt, jean ou survêt et cho7 toujours blanches, portées par dessus son pantalon, le tout terminé par une belle paire de TN blanche. Et encore mieux, Anthony était un de mes potes qui puait grave des pieds, au point de le mettre horriblement mal à l'aise à cause de son odeur irrespirable. Je sentis que cette nuit s'annonçait plus que bandante, j'allais avoir ses pieds pour moi tout seul, mais pour cela il aurait d'abord fallu que je trouve un argument choc pour pouvoir les lécher toute une nuit. un de mes potes puait grave des pieds, au point de le mettre mal à l'aise à cause de son odeur irrespirable. Voila pourquoi je mis tout mon temps à profit pour y réfléchir. Et tout en réfléchissant je me déchaussais de mes Timberland qui commençaient à me tenir horriblement chaud, pour me retrouver en cho7 dans ma chambre. Au moment de les enlever de mes pieds, une légère chaleur quitta les chaussures et devint peu à peu une odeur de transpiration que je ressentis et qui me contraria très vite, au point de vouloir en juger par moi-même en plongeant mon joli nez fin dans l'intérieur chaud de ma chaussure, dans laquelle je pris une bouffée de respiration intense pour évaluer le degré de mon odeur qui me parut plus que malodorante. Cette odeur me dérangea honteusement au point de m'amener à ouvrir la fenêtre de ma chambre pour aérer la pièce et la débarrasser de cette odeur immonde. A l'aise dans mes bonnes cho7 en coton noir siglées Artengo, je pliais mes doigts de pieds qui se mirent à craquer avant d'effectuer quelques pas à même le sol où je remarquai que mes pieds étaient tellement humides que des marques éphémères apparaissaient sur le sol. De quoi faire bander un groupe entier de fétichistes qui aurait eut le malheur de croiser le regard d'une si belle paire de pieds. Bien à l'aise dans mes bonnes cho7 noires à l’aspect si lisse, je me rasseyais sur ma chaise devant mon ordinateur, où je quittai le mode plein écran de l'affichage de la photo de mon pote (Suite page 12) SOCKS (Suite de la page 11) Noé. Au moment où j’allais m'aventurer sur le Net, je fus soudainement interrompu par des coups sur ma porte d’entrée. Contrarié par cette interruption, je refermai l'écran de mon ordinateur avant de partir ouvrir. Je découvris face à moi mon pote Julien qui se tenait immobile en cho7 devant la porte. Je le saluai d'une poignée de main virile, avant de le faire entrer. Je refermai la porte à triple tour, et quand je le rejoignis il était déjà assis sur mon lit à feuilleter mon magazine FHM. « Qu'est ce que tu fous là, mec, on devait se voir ? » « Non Vince, mais j'ai grave apprécié ton massage de l'autre fois et j'aimerai tant que tu m'en refasses un ! » me dit-il un sourire aux lèvres, le regard figé sur ma revue. « T'es sérieux Julien ? » « Bien sûr que je suis sérieux, j'adore les massages de pieds et bizarrement je suis en kiff total sur les tiens ! » « Oh... (Gêné), et bien allonge-toi que je commence ! » « Merci » me dit-il tout en s'allongeant sur mon lit, la revue toujours entre ses mains. U ne fois allongé dos au lit et plongé dans sa lecture, je m'asseyai sur le rebord du lit et j'attrapai ses deux pieds couverts de cho7 blanches à moitié salies de taches grises que je m'empressai de masser, en prenant soin de bien malaxer le coton chaud de ses belles cho7 légèrement crades. « Ça te plaît comme ça ? » lui demandai-je tout en massant et en sentant la chaleur qui émanait de son pied dans les paumes de mes mains. Son pied sentait assez fortement la cho7 bien portée et la transpiration digne d'un gagnant du cross, et tout en caressant sa plante contractée, je m'imprégnais à pleins poumons de sa bonne odeur de mec. Son odeur flottait dans la pièce et sur mes doigts restait coller le coton rêche de sa cho7. « Désolé mec si je pue un peu des pieds ! » me lança-t-il confus avant que je ne lui réponde : « Non, t'inquiètes, ton odeur ne me dérange pas, bien au contraire ! » Je continuais à masser, sentant glisser sous mes doigts une chaleur imposante et une peau très tendue. Puis Julien me lança : « Comment ça au contraire ? Tu vas me faire croire que tu kiffes les odeurs de pieds ? » Sur le moment je ne sus quoi répondre à cette question si juste, puis je lui répondis instinctivement : « Ça dépend ! ». Alors il me rétorqua ironiquement : « Vas-y, sens mes pieds et dis-moi si je fais partie de ton kiff ou pas ! » Bien entendu je pris note de cela et je posai mon nez sur sa cho7 brûlante qui dégageait une bonne odeur bien prenante de sueur et une fois avoir respiré son beau pied bien musclé, je relevai ma tête et lui répondis conquis en toute sincérité : « Tu fais partie de mon kiff ! ». Julien resta consterné et en l'absence de mes massages, il me répliqua : « Vas-y, continue de masser, t'arrêtes pas ! » Je m'y appliquai et continuai à dégourdir ses longs orteils qui craquaient tous un par un, avant qu'il ne me réplique, étonné : « Tu es fétichiste ? » Je ne répondis rien, trop occupé à faire rouler sous mes doigts ses orteils crispés, écoutant avec attention sa seconde demande : « T'es en kiff sur mes pieds ? » Là, je lui répondis : « Oui, et pas que sur les tiens Julien, mais je t'avoue que les tiens me font grave envie ! » Il jeta le FHM par terre sans délicatesse et se releva de colère tout en repoussant ma main de son pied bien chaud. « Putain, j'hallucine, t'es un sale gay ! » « Pardon, moi être gay, t’as craqué ou Son pied sentait assez fortement la cho7 bien portée et la transpiration digne d'un gagnant du cross. quoi ! J'aime les femmes, pas les hommes ! » répondis-je de colère. « T'aimes les femmes, alors pourquoi tu kiffes mes pieds, ça c'est un signe d'homosexualité, non ? » « Mais vraiment pas ! Si j'avais aimé ta queue ça aurait été un signe d'homosexualité, les pieds ça n'indique nullement une quelconque attirance. Réfléchis un peu Julien avant de parler à tord et à travers ! ». Il resta étonné par ma réponse, puis il répliqua avant de s'asseoir à nouveau sur mon lit. « Je comprends rien, tu kiffes mes pieds mais tu n'es pas gay ! » « Il n’y a rien à comprendre, toi tu kiffes bien la dernière chanson de Pink mais tu n'es pas pour autant fan de tout le reste, non ? » « Mais, ça n'a rien à voir, là. Moi, quand j'écoute Funhouse, je n'ai pas la barre au froc ! » « Quoi ? Mais moi quand je te masse je ne bande pas non plus ! » « Ah ouais, et bien regarde de plus près ton entrejambe, mec ! ». Ce que je m'appliquai à faire, en m'apercevant avec stupeur que mon érection était déjà bien visible. « Oh putain ! C'est rapide ! » « Quoi ? Comment ça, c'est rapide ? » (Suite page 13) 12 SOCKS (Suite de la page 12) « Bah ouais, je viens tout juste de me branler et j'ai déjà une autre érection ! » « T'es vraiment bizarre Vince, tu devrais vraiment te trouver une meuf ! » « Et toi, t'es pas bizarre Julien, à venir te faire masser les pieds chez moi alors que t'as une gonzesse qui a des parents kinésithérapeutes ! » Ma réponse si direct et sincère le laissa cois. Il se rallongea sur mon lit en m'ordonnant : « Allez, masse et ferme ta gueule ! ». Je repris ses pieds en main et caressai ceux-ci par-dessus le coton âpre de sa cho7, tout en l'écoutant me questionner : « Je ne comprends pas ce qui peut t'exciter dans le fait de masser un pied qui pue ! » Je continuai mes caresses lentes et régulières sur sa voûte plantaire de plus en plus douce avant de lui répondre : « Je ne sais pas, j'ai découvert ça depuis quelques jours et je ne comprends rien au fait que je suis en excitation devant un pied masculin ! » Le massage se prolongea sur les deux pieds et l'odeur devint de plus en plus présente. « Les pieds de meufs t'excitent aussi ? » « Non, juste les tiens et ceux de Noé ! » A près avoir suffisamment malaxé sa cho7 entre mes doigts, je le débarrassai, faisant voler, lors de déshabillage, quelques copeaux de coton blanc et humide avant de l'entendre me demander : « Quoi ? Tu es en kiff sur les pieds de Noé aussi ? » « Oui, j'aimerais grave les masser comme les tiens un de ces jours, ça serait le plus beau jour de ma vie ! » « Ah ouais, et bien je pourrais lui en parler si tu veux, après tout on est des bons potes. Il acceptera sûrement que tu lui masses ses jolis petons ! » Tout en massant le dessus de son pied tendre je répondis : « Ah non, tu fermes ta gueule, tu lui dis rien de ce que je viens de te dire, ok ? » « Ah ah ah ... Tu vas me faire quoi sinon ? » Je me relevai alors en lâchant ses pieds brutalement sur le matelas, puis je retirai mes deux cho7 noires de mes pieds fumants, avant de les coller sur la gueule de Julien qui se débattit sur le lit, tout en se voyant forcé de bouffer l'une de mes deux cho7. Son visage devint soudainement rouge, je le vis se tortiller dans tous les sens sur mon lit, tant bien que mal puisque j’étais accroupi sur lui 13 et le forçai de toutes mes forces de lui faire bouffer mes Artengo noir. Puis quelques minutes après je le laissai respirer en le regardant d'un air sarcastique et menaçant en lui révélant : « Je te ferais ça mais avec des cho7 beaucoup plus crades mec ! » « Comment tu veux faire plus crade, elles puent grave la mort tes cho7, Vince » « T'inquiète pas pour ça Julien, je me démerderais pour les rendre plus crades ! » Il resta essoufflé sur le lit et me répondit de fatigue : « Je veux bien te croire, mais bon en même temps l'offre me tente, mais tes massages sont tellement bons que je ne lui dirais rien à Noé ! Mais en échange, je veux que tu poses ta main sur mon nez avec tes cho7 jusqu'à ce que je m'endorme, j'ai bien envie de piquer un petit dodo avec ton odeur comme somnifère ! » Je le regardai avec un sourire aux lèvres, puis je posai ma main tenant mes cho7 sur son visage, recouvrant ses lèvres et son nez, le regardant s'endormir comme un vrai petit ange. Ses paupières devinrent de plus en plus lourdes et je vis même perler dans le fond de ses yeux des larmes dues à l'odeur de mes cho7 qu'il respirait, et très vite il s’endormit. Je récupérai alors ses deux cho7 posées sur mon couvre-lit, avant de me débarrasser de mon pantalon ainsi que de mon boxer, de façon à laisser à l'air libre mon grand sexe bien dur. Aussitôt dit aussitôt fait, je me branlai, le sexe orienté sur ses deux panards, les mains couvertes de ses deux cho7 bien sales que j'avais soigneusement enfilées comme des moufles. Et d'une main incontrôlable je me caressai le bas du tuyau au niveau des boules sur lesquelles ses cho7 frottèrent sur ma peau avec beaucoup d'âpreté. Et trop affamé de pieds pour me contenter de si peu, j'attrapai ses deux pieds nus au niveau des chevilles, que je posai des deux côtés de mon sexe au contact de sa plante, pour effectuer une bonne branlette thaïlandaise. Inconsciemment il me branla avec ses deux pieds nus que je contrôlai de main de maître, tout en admirant le garçon dormir avec une de mes cho7 sales dans la bouche. Très vite, sentant sur mon sexe la rudesse de ses cho7 qui continuaient de répandre leur odeur répugnante dans la pièce malgré la fenêtre ouverte, ainsi que la chaleur et la fine douceur de son pied sur ma bite, je me vis obliger d'éjaculer entre ses jambes sur mon propre couvre-lit. Une fois les jets de spermes terminés, je frottai le bout de ma queue dégoulinante de jus avec le pied nu de Julien qui dégageait une odeur chaude parfaite pour les dernières sécrétions. Et trop satisfait par ce petit plaisir inconsciemment offert, je pris soin de laisser le beau Julien dormir, tout en kidnappant ses cho7 et en les remplaçant par une même paire identique de marque Nike, tout juste sortie de mon tiroir et que j'enfilai directement à ses pieds. Avant de ranger sa paire bien daubante que je venais de lui voler, je respirai une derrière fois dans le délicieux coton avant de les cacher avec la survivante de Noé. http://noe-sa-mere.skyrock.com SOCKS Short Stories Tenue sport à la soirée cuir our changer, je me mets en total look sport pour sortir. J'arrive un peu avant l'heure fatidique pour rentrer sans être en cuir à la soirée rue des BlancsManteaux. A peine arrivé, je passe le long d'un mec allongé dans le sling. Je le connais, donc je me permets quelques baffes sur son cul offert. Devant sa réaction immédiate, je pose mon verre pour m'occuper de ce mec également en tenue de footeux, au moins pour les chaussettes hautes et ses chaussures, le reste est à poil avec un harnais autour du torse. Quelques claques plus appuyées sur son cul le font bien gémir. J'enlève une sket et je titille sa rondelle du bout de la chaussure. Je lui mets l'intérieur de la chaussure sur sa gueule pour qu'il sniffe bien et j'aperçois sa paire de pinces accrochée à son harnais, cela tombe bien, j'ai oublié les miennes. Alors qu'il a encore mon odeur sous le nez, je lui accroche la pointe des tétons et je tire la chaîne vers l'avant. Ses petits cris m'incitent à continuer sur cette partie, je reprends ma sket, d'une main je tire bien la chaîne pendant qu'avec l'autre je glisse la semelle doucement sur chaque mamelon bien tendu. Pour ne plus l'entendre brailler, j'enlève une chaussette et je lui enfourne dans la gueule petit à petit jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une boule formant bâillon. Je défais une pince et la mets sur une couille, quelques pressions sur la chaîne pour bien chauffer le mec et j'enlève d'un coup sec la deuxième pince du téton. Je l'accroche à la deuxième couille et je fais tomber la chaîne. Je lui enlève ma chaussette de la gueule et je la suspends à la P chaîne. J'enlève ma deuxième chaussure, lui plaque bien à nouveau l'intérieur sur le nez et je commence à accrocher par les lacets la deuxième tennis à la chaîne toujours accrochée à ses couilles et ballotant sous le sling. Je descends doucement la sket pour que petit à petit le mec sente le poids. La chaîne est maintenant bien tendue, je donne quelques petits coups dans la chaussure pour qu'elle oscille sous le sling, la peau de ses couilles est plus sollicitée à chaque balancement, arrachant un gémissement à chaque aller-retour. Je me mets de côté pour bien lui triturer les seins pour qu'il oublie la douleur aux couilles, j'allonge au maximum ma chaussette et lui mets cette fois le tissu au travers de la bouche avec un noeud derrière la tête. Je repasse devant le sling, j'enlève délicatement les pinces et maintenant je peux travailler ses couilles sensibles à souhait. Avec ma deuxième chaussette que j'étire au maximum également, je fais des va-et-vient dans sa raie pour que le tissu excite bien son trou. http://mtrprog.canalblog.com/ P'tit plan imprévu n petit moment avec un pote, je lui fais découvrir mes jambières, très longues et surtout très moelleuses et douces... Je sais qu'il est fétichiste des cho7, alors s'il a envie de me bâillonner avec, qu'il ne se gêne pas... Mais contrairement à mes idées, sans rien dire, il me sort ma tige de mon short et boxer et l'enfile dans U une jambière... Très bonne sensation. Ça fait hyper hyper épais, il peaufinera son « cocon » en enlevant une des ses cho7 de ses pieds pour l'enfiler sur le tout et en me disant : « Comme ça, ça se barrera pas ». « Pas con », je lui réponds... Un lacet pour fixer le tout, séparer bien les couilles de la tige et le voilà qu'il commence sans rien dire à me branler... J'en profite pour lui sortir : « Ben voyons, te gêne pas surtout ». Et il répond : « T'as raison, je ne me gêne pas, la preuve ! » Et là il vire sa deuxième cho7 de (Suite page 15) 14 SOCKS (Suite de la page 14) son pied et me la fourre en bouche sans ménagement... Il me branle super bien, longuement jusqu'à me faire juter dans la jambière et surtout dans sa cho7 qui touchait le gland à fond... Après cela, il me retire le tout de la teub, mon bâillon improvisé et me dit : « Maintenant plaisir pour moi ». A ces mots il enfile la cho7 pleine de mon jus à son pied et l'autre cho7 qui était dans ma bouche à son autre pied... Il adore... Il est resté comme ça le reste de l'après midi et est reparti ainsi... Ses chaussettes dégageaient une odeur solide, poivrée et quelque peu faisandée. http://fan2racaille.erog.fr Bangkok Blues avid enleva ses chaussures et Surin ses bottes militaires. David s’allongea sur le lit, les bras derrière la tête comme pour me dire : « C’est ton idée ; à toi de faire le scénario ». J’ai offert au militaire de se mettre à l’aise car toutes ses fringues de soldat devaient peser très lourd après une journée aussi chaude à se promener dans Bangkok. Il enleva son blouson et sa chemise et, torse nu avec seulement son pantalon et ses chaussettes qui dégageaient une odeur solide, poivrée et quelque peu faisandée qui avait fait sourire David quand Surin eut retiré ses bottes, ce dernier s’allongea sur le lit et prit la même position que David. On a avalé quelques petits verres de whisky et chacun a commencé à ressentir une chaleur non seulement par tout le corps, mais particulièrement au niveau du pubis. Cela se voyait aux mouvements de chacun pour remettre sa queue en place, pour se gratter au niveau du pubis et pour se redresser sur le lit, et pour moi, de me redresser sur mon fauteuil. L’odeur des pieds de Surin, tout spécialement excitante quoique pas mal forte, commençait à inonder la pièce. À travers celleci, se percevait celle, plus subtile, de la testostérone qui se dégageait de D 15 nos scrotums gonflés de sperme. Comme il semblait vraiment qu’il me revenait de faire quelque chose, affichant un air mi-comique, misérieux, je me suis dirigé vers les pieds de Surin et, au grand étonnement de ce dernier, mais plus encore de celui de David, je me suis mis à sentir ses pieds sur ses chaussettes puis, retirant ces dernières, j’ai commencé à lui lécher les pieds à grands coups de langue. Surin râlait de plaisir et de chatouillement. Il posa sa main sur sa braguette et se caressa pendant mon traitement. On voyait gonfler cette dernière à vue d’œil. David surveillait la scène en restant parfaitement coi. Lentement, j’ai remonté mes mains dans le pantalon de Surin pour lui caresser les jambes. Elles étaient dures et fermes. J’imaginais ses cuisses, les fesses qui m’avaient hanté toute la journée et la queue bandée qui me restait à découvrir. Puis, j’ai regardé David allongé sur l’autre lit. Je me suis dirigé vers lui et, comme il ne portait pas de chaussettes, j’ai plongé mon nez entre ses orteils comme si je buvais à une fontaine après des heures de soif. Je sniffais ses pieds très fortement à la fois pour l’exciter, lui et Surin, et pour montrer à quel point je prenais du plaisir à leur rendre service. En effet, si je pouvais démontrer une telle excitation à lécher ainsi leurs pieds un peu puants, combien je me régalerais tantôt de leur queue et de leur cul. C’était ouvrir une séance d’anticipation. Alexandre (http://www.textesgais.com) SOCKS Témoignages Daubeur footeux J'ai enfilé ma tenue fétiche, mes socks de foot Adidas qui puent leur race, ça fait un an et demi que je les porte régulièrement pour un fumet génial ! Je vous raconte pas l'odeur qui embaume la pièce quand je les enfile ! Un vrai pur kiff de mec ! Ensuite, mon short, nouvellement acheté pour une tenue de footeux bien comme il faut, et mon teeshirt de foot, bref la tenue parfaite que je vais porter à chaque fois que je ferai du sport, pour bien les dauber !!! « Out la Soupline, place aux effluves de mâle qui pue ! » Pour parfaire ma tenue, mes Puma Mostro, nouvellement acquises d'occasion et que je pourrave bien comme il faut… Une bonne odeur de ièps commence à pourraver ces superbes skets, ça pique au nez !... Voilà, ma tenue est parfaite, je pue la pisse, les pieds, ma queue dans le short de foot qui va bien l'imprégner, bon kiff à tous ! http://lauwan-sneakers.erog.fr Une matinée en bottes d'équitation Ce matin je fais un peu de maçonnerie chez moi et comme toujours pour ce type de travaux pas question de salir mes skets, donc j'enfile mes bottes Aigle que j'ai depuis plusieurs années maintenant et me voila prêt pour de longues heures de dur labeur et surtout de transpiration de mes petit petons. Cool ce matin ! Il y avait du soleil. Je commençais à avoir chaud dans mes bottes et je sentais que mes chaussettes s’humidifiaient… Après quatre heures de boulot, enfin la détente, je me grille une clope en pensant au moment où j'allais retirer mes Aigle et pouvoir ainsi sentir la transpiration au fond de mes bottes. Je retire mes chaussettes mouillées de sueur et je les bourre dans une des bottes puis je me mets à genoux et, tout en regardant mon autre botte, je prends de grandes respirations dans l'intérieur de mes Aigle. Je défais rapidement ma braguette et en peu de temps je sens mon yop qui me chauffe. Je mets ma queue dans l'autre botte et j'envoie quatre giclées de mon sperme au fond... Le panard total. Je remets mes chaussettes encore humides et je renfile mes bottes pour finir de ranger le chantier. Mes petons glissent sur mon sperme tout neuf et me redonne encore la trique. Mon odeur restera à l'intérieur de mes Aigle jusqu'aux prochains travaux ou mes prochaines balades en forêt ou dans la campagne. http://sket56.erog.fr 16 SOCKS Insolite Courrier Quand les chaussettes deviennent un grand livre d'Histoire... > De M. (Belgique) J'ai vu passer sur Internet (XTube) une vidéo où un mec, s'étant procuré des cho7 crades par voie postale, les passait quelques secondes au microondes pour en restituer pleinement l'odeur... pas mal !!! > De Tibo Kiffeur (Facebook) - C'est quoi tes passions dans la vie ? - Les skets. - Ouais ok, mais t'as pas d'autres passions ? - Si, les cho7 sales. - Ouais ok, mais d’autres qui tournent pas autour des skets ! - Oui, le sexe avec des lascars. - Ok ok, c cool de parler avec toi, très enrichissant... LOL L e moins que l'on puisse dire, c'est que plusieurs pays entretiennent une histoire particulière avec les chaussettes. Se pencher sur le sujet, ce serait sans nul doute ouvrir les portes des domaines de l'ethnologie, de l'anthropologie et de la sociologie vestimentaire ! Outre les pays scandinaves (liés à des contraintes météorologiques), la Turquie est un pays de « tradition » en matière de chaussettes, tradition qui se perpétue de nos jours encore. Les historiens sont quasiment d'accord sur le fait que le tricot a été introduit en Anatolie (centre de l'actuelle Turquie) aux environs du XVIIe siècle. On apprend également qu'une simple paire de chaussettes nous renseigne aisément sur la position sociale du 17 récipiendaire, sa région d'appartenance, le statut marital, le sexe de l'enfant ou encore le nombre d'enfants. Osons l'écrire: presqu'une véritable carte d'identité. Etudier l'art vestimentaire des peuplades turques, c'est aussi approcher les innombrables mélanges des différentes ethnies qui sont passées ou ont fait souches dans le pays. Ainsi, en Irak, Arménie ou dans l'ancienne Perse (l'Iran d'aujourd'hui), on retrouve de vastes similitudes dans le tricot spécifique des chaussettes turques. http://socks.canalblog.com > De JCL Solution anti-crise : les chaussons au fromage. Vous les portez, puis vous les mangez. C'est vos pieds qui donnent le goût "cheese"… Et tout ça que au prix du pain, quelles économies ! SOCKS Littérature Les chaussettes du psy J érôme Pinçon-Blanchart – un beau nom de psy – n’habitait pas loin du journal. (…) D’emblée, lors de notre premier entretien, face à face, il m’avait parlé de transfert. (…) Mais je n’avais pas tout de suite saisi la portée de ce qu’il me disait, j’étais complètement obnubilé par la contemplation des chaussettes mauves qui gainaient ses maigres chevilles exposées par l’inaction de ses jambes croisées. - Je suppose, docteur, que, avant de pouvoir m’aider, ai-je susurré comme si je parlais dans un temple, vous avez besoin d’en savoir plus sur mon histoire ? Aie ! Pinçon-Blanchart avait du tout de suite calmer l’enthousiasme du patient qui se voyait déjà parti à l’aventure, exalté à l’idée d’être un novice au début de son initiation. (…) Un silence long et profond avait suivi. Telle une relique pédestre, la chaussette fut derechef l’objet d’une attention dévote. Puis Pinçon-Blanchart se racla la gorge avec un bruyant « heuheuf ! » et répondit : - Pas nécessairement. Un fantasme courant Karl avait changé l’objet de son attention et s’attardait sur mes godasses, commençant à décrasser avec la langue une de mes semelles. Je ne savais pas pourquoi un nombre disproportionné d’hommes que je rencontrais sur le Net fantasmait sur les pieds. La plupart du temps, j’ignorais tout de la marque des baskets que je portais. Une claque sèche derrière l’occiput lui rappela que je n’étais pas là pour qu’il se donne du plaisir. Joseph Macé-Scaron « Ticket d’entrée » (Grasset) 18 SOCKS Chaussettes collection ARTENGO Ce sont les utilisateurs qui en parlent le mieux > CHARLES Meilleures chaussettes au quotidien, résistance, confort. Mais les tailles écrites sous la chaussette s'effacent avec le temps. Difficile alors de différencier et d'appareiller les paires après lessive (car différentes pointures à la maison). Les placer à un autre endroit (non visible lorsque portées) pourrait être judicieux. > JEAN-CLAUDE Qualité-prix correcte, fine et solide, plus micro aération douce pour les pieds, le bien-être. > BENJAMIN De bonnes chaussettes que je porte tout le temps. Elles sont parfaites et tiennent bien aux mollets. > HENRY Pas solides, pas chères mais trouées en deux lavages. Réponse de Artengo : La principale promesse des chaussettes 111c étant « la résistance », il n'est absolument 19 pas normal qu'un trou puisse apparaître après seulement trois semaines d'utilisation et trois lavages. En effet, ce modèle est renforcé aux talons et aux pointes afin d'allonger leur durée de vie ! D'ailleurs tous nos tests prouvent que les 111c sont parmi les plus résistantes comparées aux chaussettes du même type sur le marché. > OLIVIER Prix léger, confort mais usure rapide : je les utilise pour le sport (handball et foot) et je trouve qu'elles s'usent rapidement au niveau de la plante des pied. Réponse de Artengo : Je constate votre remarque sur le fait qu'en utilisation sportive (football et handball), l'usure des chaussettes 111c sur le dessous du pied vous semble trop rapide. Je précise que ces chaussettes sont conçues à la base pour des sports de raquettes en usage occasionnel uniquement. En effet, la structure même de la chaussette (assez fine) ne convient pas pour un usage sportif régulier voire intensif, et ce malgré les renforts au talon et pointe. Je vous conseille donc d'opter pour le modèle 211 ou même 311, chaussettes qui sont beaucoup plus épaisses, résistantes, avec des bouclettes au-dessous du pied, ce qui vous apportera plus de confort dans la pratique de vos sports favoris. > PASCAL Très bonnes chaussettes pour tous les jours, prix, bonne épaisseur, ligne blanche latérale. La dernière génération (ref 1191879) est un peu différente des précédentes avec une zone permettant une meilleure respirabilité sur le dessus du pied. Des lignes blanches on été ajoutées sur chaque coté de la chaussette et malheureusement ces lignes sont placées un peu trop haut et sont donc visibles lorsque l'on porte des chaussures de ville. Réponse de Artengo : Vous avez raison, si la chaussette est un peu grande par rapport à votre pointure, il est possible qu'elle dépasse un petit peu et est donc visible... Mais rassurez-vous, cette ligne blanche (ou noire selon les couleurs dominantes) a disparu de nos modèles depuis 2011... Le temps que le stock s'écoule et vous pourrez acheter des chaussettes sans ligne. Vous serez ainsi pleinement satisfait ! > JEROME Trop serré à la cheville, affaiblissement au talon. Je suis déçu de ne pouvoir accéder à certains produits comme les chaussettes de type 211 et 201 car elles ne sont pas à ma pointure, 50. La qualité de ces modèles doit être plus résistante et me conviendrait mieux. http://www.artengo.com SOCKS Pub 20