voix libre - SEV-TPG

VOIX LIBRE
Édito
Sommaire
Edito
1
Lettre au CA
1-2
Solidarité
3-4
Les victoires du SEV
4
Brèves
5
Réflexion, respiration
6
A lire, à écouter, à voir
7
Sudokus !
8
AGENDA


Manifestation le
10 septembre,
15h, à Berne,
contre le plan
Berset
C’est bientôt l’été, les temps chauds
s’annoncent, les cerisiers bourgeonnent,
bientôt le temps des cerises ? Les oiseaux
gazouillent, moineaux et rapaces se
partagent l’espace. Question gazouillis,
ils sont assez particuliers dans les salles
de négociations. Vous avez pu remarquer
bon nombre d’attaques contre nos
conditions de travail. Des roulements
fermés, des règles de postulation à revoir,
des journées interminables dans des
conditions de circulation dégradées. Des
roulements qui sont encore loin d’être
confortables. Des attaques sur des
éléments de nos statuts, que ce soit les
parkings Bachet ou l’inaccessibilité aux
congés sur primes (Npay) ou aux repos D.
Pour le technique, les effectifs ou la
revalorisation
des
postes.
L’administration n’est pas en reste
non plus. En ce qui concerne les
statuts nous avons saisi la CRCT pour
amener la direction à discuter. Les
délégués du SEV restent aux avantpostes pour faire entendre et aboutir
vos-nos
revendications.
Nous
obtenons des résultats bien sûr. Il y a
même de bonnes nouvelles. Sous le
chaud soleil printanier s’annoncent
pourtant de sombres nuages qui
menacent d’une douche froide tous les
travailleurs y compris ceux de la
fonction publique. Le conseil d’état,
après avoir fait des cadeaux fiscaux
aux grandes entreprises, se prépare à
des
coupes
budgétaires
qui
impacteront fortement les services
publics dont les tpg.
Bonne lecture
Lettre au Conseil d’administration
Vous qui nous administrez, au lieu
de nous regarder avec mépris du
haut de vos certitudes, savez-vous
que vous administrez une entreprise
de transport public au service de la
population. Avez-vous essayé de
prendre une fois le bus ? Vous
savez, ce mode de transport où
parfois l’été aux heures de pointe,
l’odeur de la transpiration des
classes laborieuses mélangée aux
effluves des parfums de
supermarché vous est
insupportable! Je me permets d’en
douter à la vue des bolides
rutilants stationnés aux TPG le
jour des conseils d’administration.
S’il vous plait, si vous voulez nous
parler de mobilité douce et de
bilan carbone, donnez l’exemple.
(suite page 2)
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Dossier– Voix libre, journal de la section sev tpges es
(suite page 1)
Encore une chose, cessez de vous
ingérer dans l’opérationnel des TPG,
nous avons des directeurs peut-être
compétents, peut-être ouverts au
dialogue s’ils n’étaient pas tenus de
vous soumettre la moindre de leur
décision, le moindre des accords à
signer. Mais peut-être ne les avezvous engagés que pour ça. Certains
le reconnaissent à demi-mot.
Vous ne connaissez pas, vous ne
savez rien de cette culture
d’entreprise qui pour nous n’est pas
un vain mot.
Votre individualisme effréné vous
empêche de comprendre la notion
de solidarité et la grève de
novembre 2014, vous ne l’avez pas
comprise, vous ne nous avez pas
entendus. Mais vous avez
finalement été obliges de signer des
accords. Nous étions le détonateur
qu’il fallait désamorcer. Toute la
fonction publique était derrière
nous et il ne fallait surtout pas que
nos mouvements convergent.
N’oubliez pas que nous sommes
toujours là, même si parfois vous
êtes frappés d’amnésie, même si
parfois certains PV concernant ces
accords se perdent.
Ne nous prenez pas pour des
imbéciles, la compréhension et le
savoir ne sont pas votre apanage
exclusif. Vous tirez les ficelles mais
elles pourraient un jour s’emmêler.
Alain.
IDS 189/1
La politesse n’est pas la contrainte
« Le plus malheureux
effet de la politesse
d'usage est d'enseigner
l'art de se passer des
vertus qu'elle imite. »
Jean-Jacques
Rousseau
La mobilisation et l’intervention des
délégués syndicaux a permis de faire
suspendre l’ids 189/01.
Ids devenue collector et qui
concernait l’obligation de faire les
annonces de relèves aux usagers.
Ids inutile et source de conflit dans
nos véhicules.
De même pour cette feuille que
devait distribuer les ctt.
Pas sûr que l’usager pris en
infraction soit réceptif à l’humour.
La direction n’avait pas pensée que
faire un constat, c’est déjà être entré
dans une situation conflictuelle. Ou
bien la personne amandée fait profil
bas et accepte d’être prise pour une
imbécile avec la difficulté de digérer
ça, ou bien elle pète les plombs.
En termes de communication, c’est
réussi !
Ce genre d’évènement ne peut avoir
lieu que lorsque la direction est
déconnectée de la réalité du terrain.
C’est par notre détermination et
notre unité que nous pouvons faire
prévaloir le « bon-sens ».
Si nous avons les brèves de Roger
dans ce journal, nous nous
réjouissons aussi des brèves de notre
direction.
Dossier santé – Voix libre, journal de la section sev tpges
Solidarité
L’exemple viendra de nous !
« Tout seul on va plus vite, ensemble on
va plus loin… »
Dans ce système où l’on nous apprends
dès le plus jeune âge la compétition,
l’union paraît idyllique, et pourtant. Je
regarde mon enfant âgé de quelques
années, et comme certains jeunes
parents parmi vous, j’espère lui offrir
un monde meilleur que le mien, lui
apprendre à se surpasser plutôt que de
dépasser, d’être simplement bon et
épanoui.
L’exemple viendra de nous. Nous, les
uniques constructeurs de leur futur,
leur encrage a cette terre par nos
principes. Leurs visions du monde et la
manière de l’aborder pourrait peut être
changer quelque chose, et être
influencé par la notre avant ca. Vous
voulez réussir, avancer, mais pour cela,
vous n’hésitez pas, bien souvent, à
piétiner vos collègues ou amis ? Ces
personne, pour la plupart, ont une vie,
une famille, des problèmes parfois
imposants et inconcevables, et ne sont
pas toujours a leur optimum, comme
vous peut être ou comme plus tard,
allez savoir, vos enfants… Cela ne veut
pas dire qu’ils sont mauvais, moins bon,
même si momentanément moins
efficaces. Parfois différents mais pas
moins compétents que vous, parfois
complémentaires, n’ont il rien a vous
apporter selon vous, leur bien être n’a
t’il aucune valeur ? Pensez toujours à
l’impact de vos actes tels qu’ils soient,
pensez à l’autre.
Le syndicat, dans son union, est la pour
donner une seconde chance a certains,
et surtout, pour donner une chance a
tous d’être meilleur ensemble et ce
dans les conditions que l’on mérite, de
manière saine et optimale pour se
réaliser. Dans un monde où la majorité
du peuple pense égoïstement, il va sans
dire que le syndicat est trop souvent
perçu comme un simple outil personnel
de prévention face a une éventuelle
faute, de multiples abus, ces
nombreuses raisons poussant certaines
personnes a se déclarer non syndiqués
et fiers de l’être, car cela les identifie a
leurs yeux comme n’ayant pas besoin
d’être défendus, blancs comme neige…
Pas comme tous ces branleurs de
syndicalistes ! Mais le besoin se ressens
aujourd’hui de rappeler ce qu’est
réellement un syndicat pour une
entreprise, comme la nôtre, comme la
vôtre, vu par le regard d’un syndiqué
non caricaturé par vos yeux ou vos
dires jugeant parfois trop vite. Pas un
employé qui ne pense qu’a boire le café
et a en faire le moins possible, mais un
travailleur qui souhaite pouvoir
collaborer avec les TPG dans les
meilleures conditions possible, avec la
meilleure entente collective afin de
donner le meilleur de lui même, sans la
crainte d’être mis a la porte au moindre
prétexte futile malgré la volonté qu’il
déploie a accomplir son travail au
mieux chaque jour et à faire avancer
son entreprise a son échelle.
Des conflits nait la solidarité, mais
pourquoi faudrait-il nécessairement
que nous soyons menacés pour être
soudés, nous ne sommes pas
concurrents, nous sommes tous
collègues, nous sommes tous
camarades, qu’importe notre niveau
hiérarchique, tous des hommes et
femmes dont la valeur n’est pas
mesurable a la classe salariale à laquelle
nous appartenons.
Le syndicat se bat, mois après mois,
année après année, pour le bien-être de
tous, le maintien de nos acquis et des
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" « Tout groupe humain
prend sa richesse dans la
communication,
l'entraide et la solidarité
visant à un but commun :
l'épanouissement de
chacun dans le respect
des différences. »
Françoise Dolto, médecin
et psychanalyste (19081988)
Dossier – Voix libre, journal de la section sev tpges
avantages qui font que nous aimons
tant notre travail et notre statut, mais
surtout, d’un seul mot, s’efforce de
réunir la parole de chacun et de tous a
la fois. Nous ne sommes pas toujours en
accord a l’unanimité avec les actions
engagées par le syndicat, simplement
parce que nous ne sommes pas des
moutons et avons nos propres avis et
points de vues selon nos secteurs, nos
orientations et nos vies, cependant,
dans l’union que nous trouverons
toujours la force de nous défendre et de
faire avancer certains points des plus
utiles a tous.
Pensez « nous » avant de penser moi…
Nus sommes tous dans le même bateau,
s’il penche aujourd’hui de ton coté, il
penchera peut-être demain du nôtre…
Bonne journée à tous.
Collègue que connaît la rédaction
Les victoires du SEV
Parking Bachet
le respect du statut prévaut
Le retrait du projet restrictif de l'accès
au parking du Bachet est une belle
réussite de l’intervention du SEV. Le
SEV a recouru auprès de la CRCT afin
que soit appliqué et respecté le statut
du personnel de sorte à éviter un projet
qui aurait généré plus d’inéquité. Après
validation de l’accord par l’assemblée
générale, nous pouvons, aujourd’hui,
nous réjouir que l’accès au parking
demeure garanti et qu’il reste, pour
ceux qui se trouvent dans la zone
n’ayant pas droit, accessible
moyennement le principe utilisateur
payant pour les employés des TPG.
Le SEV prête grande attention toutefois
au bon déroulement du projet de mise
en ordre du parking et surtout reste
prêt à intervenir s’il devait ne pas y
avoir un nombre de places suffisant.
Une séance de bilan est prévue au
printemps.
Encore une fois, le SEV fait la preuve
de l’importance de la mobilisation du
personnel sans laquelle rien ne serait
possible ainsi du respect de la
consultation et des mandats confiés.
Fond de solidarité
Suite à de nombreuses séances de
négociations difficiles, nous avons
réussi à maintenir les prestations aux
retraités sans que nous en soyons
impactés financièrement. En effet, le
financement se fera par les minutes
syndicales libérées par la reprise de la
navette par la direction, leur
ajustement au nombre réel de jours
travaillés, et une augmentation de leur
valeur financière. Les minutes dites
syndicales seront aussi et dorénavant
effectuées par l’administration et les
cadres qui en étaient jusque-là
exonérés. Ce combat n’était pas gagné
d’avance et c’est grâce à l’opiniâtreté
des délégués du SEV qui ont su
proposer des solutions que nous avons
pu trouver une issue satisfaisante.
Dossier santé – Voix libre, journal de la section du sev tpges
Les brèves de Roger
Aujourd’hui j’ai rencontré un
médecin…. mais pas n’importe quel
toubib… Un spécialiste de l’intestin ! Et
la conversation s’est engagée tout
naturellement. J’ai appris plein de
choses sur cet organe, un deuxième
cerveau il semblerait. Je sais tout sur le
cheminement et l’évacuation de la
nourriture une fois ingérée ! Et c’est là
que ma curiosité m’a poussé à poser LA
question : COMMENT BIEN CHIER ?
Alors là ! Cela est parti dans le
surréalisme pour un quidam happant
notre conversation au passage !
Pour résumer il faut savoir que nous
possédons deux sphincters. Un qui est
commandé par notre deuxième cerveau
et l’autre qui est géré directement par le
premier cerveau, notre conscience,
nous !
Le premier sphincter est activé car c’est
le moment de procéder à l’évacuation
du système, alors il s’ouvre et laisse
passer un peu de matière… Matière qui
se retrouve au seuil du deuxième, on
peut dire que c’est le moment où la
marmotte tape à la porte ! Et c’est à
nous de décider si c’est le moment, le
bon endroit ou non. Donc si c’est le
moment notre cerveau autorise l’action
ou bien envoie un message au sphincter
« ferme toi bien c’est pas l’endroit, je
suis en réu, dans un tram etc.… ». Bien
obéissant notre intestin remet
l’expulsion à plus tard ! Et voilà
comment ça fonctionne un super
système intelligent et réactif. La preuve
que plusieurs cerveaux peuvent évoluer
ensemble même si c’est pour de la
merde.
Mais comment bien chier, il m’a
toujours pas répondu, le toubib, alors
j’insiste. Et la solution est simple : pour
bien chier il faut le faire en position
accroupie de façon naturelle mais bon,
c’est pas confort pour les mots croisés,
se curer le nez ou lire le dernier voix
libre ! Solution toute simple, poser les
pieds sur un petit tabouret et le tour est
joué.
Je tenais à apporter ma contribution à
la lutte contre l’absentéisme car comme
chacun le sait, bien chier facilite le
transit, plus de bouchons, plus
d’encombrements, un vrai confort !
Dernier conseil, quand vous avez
affaire à un-e puissant-e, ayez l’image
de votre interlocuteur sur le « trône » !!!
Vous verrez, ça marche !
Le Conte
Nous sommes au moyen-âge, un roi
lève l’impôt. Il exige du maitre d’un
château, son vassal, qu’à la prochaine
levée, l’impôt soit plus conséquent. Le
seigneur est bien ennuyé. Ses terres
donnent déjà tout ce qu’elles peuvent
grâce à l’excellent labeur de son serf.
Elle coûte chère à nourrir la grande
carcasse de ce serf et le maitre du
château se dit qu’il suffit d’en réduire la
masse. C’est ce qu’il fit en lui arrachant
un bras et une jambe. Bien sûr le serf
n’eut plus besoin de manger autant et
cela permis au seigneur de gagner
quelques écus par moins de dépenses.
Mais ainsi diminué le serf n’eut plus
cœur à l’ouvrage et les terres à
l’abandon ne produisirent bientôt plus
rien. Le roi de retour pour l’impôt,
recevant moins dans l’escarcelle, entra
dans une colère terrible et trancha la
tête du châtelain sur un joli billot de
hêtre.
Moralité, Si dépecer le peuple enrichit
le souverain, Gaffe quand même !
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Dossier– Voix libre, journal de la section sev tpges
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Repose-toi
Repose-toi, mon frère d’infortune
Au bord de l’autoroute
Qui mène sans nul doute
En un lieu quelque part,
Cette foule sans regard.
Repose-toi, mon frère d’infortune,
Aux rivages de ce fleuve
A ses eaux réchauffées
Où nagent les poissons crevés,
Où nul aujourd’hui ne s’abreuve
Et qui charrie les pesticides,
Herbicides insecticides raticides
et eaux-micides.
Repose-toi, mon frère d’infortune,
Loin des tumultes insoumis
Qui se refusent à taire et
enterrer
Ce mot désormais interdit
Qu’est celui de liberté.
Repose-toi, mon frère d’infortune,
Elle se nomme démocratie
La laisse que tu t’es choisie
Pour sa couleur et sa texture,
D’autres s’occupent de la
mesure.
Repose-toi, mon frère d’infortune,
A cette culture jetable
Qui ne veut ni ne peut te
déranger,
Qui ne veut ni ne doit te
troubler,
Mêmes repas mêmes chandelles
à la même table.
Repose-toi, mon frère d’infortune,
Les chiens de combat, ces chiens
de malheur
Le regard vide les dents acérées
Traquent l’anarchiste, l’homme
la femme révoltés,
Traquent l’étranger, l’homme la
femme de couleur,
Ils ont même éteint le sourire de
l’innocence
Sur le visage de l’enfance.
Repose-toi, mon frère d’infortune,
Dans la pleine sérénité
Repose-toi, mon frère d’infortune,
En toute tranquillité,
Ta périphérie et ton intime
Sont surveillés, protégés des fols
abîmes.
Dors mon frère, repose-toi,
Big brother est enfin là.
JF
À lire. À écouter. À voir – Voix libre, journal de la section sev tpges
À écouter . À lire . À voir .
Julian Mischi : Le Bourg et l’atelier.
Sociologie du combat syndical, éditions
Agone
clivages de classes, loin d’avoir disparu,
se sont reconfigurés dans un nouveau
contexte politique et économique –
contexte qui peut aussi se perpétuer
dans des conditions renouvelées, voire
se développer.
Sur les écrans
Ken Loach sur les pas d’un chômeur
dans son dernier film. “Moi, Daniel
Blake ». Lors de son discours de
remerciement pour la palme d’or, à
Canne, il a déclaré «Ce monde dans
Pourquoi et comment des ouvriers
continuent à se syndiquer et à militer
malgré la force des processus favorisant
leur exclusion politique
Ce livre s’appuie sur une enquête
menée pendant cinq ans sur le
quotidien de syndicalistes ouvriers dans
un atelier SNCF, au sein d’un bourg
industriel de 3 000 habitants. Explorant
les réalités du militantisme en
entreprise, l’ouvrage souligne que les
lequel nous vivons se trouve dans une
situation dangereuse, nous sommes à
l'orée d'un projet d'austérité conduit
par des idées néolibérales qui
risquent de nous mener à la
catastrophe. Ces pratiques
néolibérales ont entraîné dans la
misère des millions de personnes de
la Grèce au Portugal avec une petite
minorité qui s'enrichit de manière
honteuse, le cinéma est porteur de
nombreuses traditions (...) Un autre
monde est possible et nécessaire».
A bon entendeur !
MetroBoulotKino
CinéClub syndical pour parler du travail, des métiers, des mutations du travail, des
machines et des robots, de la souffrance au travail, des maladies…Bref, de nous !
Sur le site www.metroboulotkino.ch
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Dossier – Voix libre, journal de la section sev tpges
SEV, section TPG
6 Terreaux-du-Temple
1201 Genève
Téléphone :
(022) 731 69 27
Secretariat sevtpg.org
www.sevtpg.org
Vos textes, vos
coups de gueule,
vos étonnements,
vos questions, les
thèmes qui vous
intéressent
trouvent leur place
dans les pages de
ce journal à
parution
irrégulière. Ecrivez
au SEV !
1.
C’est pour rire
1.
2.