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La ville de Tinghir, ayant acquis son statut de préfecture depuis plus d un an, vivait un climat d’extrême tension et de « guerre civile »qui durent depuis la mi-mai 2011. Un bref rappel des faits. Devant le silence ambiguë des force de l ordre envers les revendications et les plaintes multiples des citoyens tinghriens; et attendu que la tension monte entre les tribus voisines sur des différents des limites de leur territoire, des confrontations sanglantes se sont éclatées. D'ailleurs, parmi les premiers différends entre des grandes tribus autour des terres collectives, on a observé l'attaque de la tribu de Aït Aïssa Oubrahim sur la tribu de AIT EL MASKIN, ensuite sur celle d'AIT OMZAWROU et après sur celles respectivement de Aït EAlla et les Aït M’hand. Vers la mi-juillet 2011 les deux tribus de Aït EAlla et les Aït M’hand se sont ligués contre les Aït Aïssa Oubrahim et on a assisté à des confrontations quotidiennes où ces clans rivaux s’affrontaient pendant plusieurs jours et nuits. Des barrages étaient même dressés sur la route nationale n°10 et les véhicules étaient bloqués et fouillés ou détruits et leurs passagers battus à mort et séquestrés. Des groupes ressortissant des ces trois tribus, formant des commandants armées par des lances pierres « ILDYAN » et des divers armes blanches(épée, couteaux, barre de fer....) se lançaient dans des opérations quasi militaires, soit pour assurer la protection des membres de leurs tribus leurs de l'attaque, soit même pour attaquer la ou les tribus rivales. On avaient compté des centaines de blessés dont des dizaines graves, de réelles prises d’otages, des actes de vandalisme et des explosions à la butane. Durant cette longue période de « guerria civil » les autorités adoptaient une surprenante neutralité, malgré les plaintes successives et la peur au ventre des membres issue de ces tribus de circuler librement même au centre de la vile de tinghir. Cette indifférence des forces de l'ordre s'est traduit par la naissances des organisation parallèles encouragées par le gouverneur de tinghir, qui lui même allait manifester son désir d'auto-destruction des tribus et quartiers de la jeune province lors d'une réponse inattendue à des membres de la tribu de ICHMARIN après la deuxième scène de guerre de ramadan 2011. vers le début du mois d'aout, en plein ramadan, la tribu de IMZELIN, motivé par leur masse et l'absence flagrante des forces de l'ordre, attaquaient jusqu'au sein des biens des demeures la petite tribu de ICHMARIN. A l'aune des confrontations précédentes, on avait aussi compté des lourds dégâts humains et matériels. Ainsi, lourdement blessés, massacrés et leurs bien saccagés, les « ichmariens » se sont rendus devant le BACHA premièrement et ensuite devant le gouverneure au siège de la province pour demander l'intervention des autorités à fin de stopper les violences et résoudre le problème pacifiquement, ce dernier leur avait clairement formuler son souhait instinctive de les voir combattre aussi de la même manière qu'ils étaient combattus: «allait vous battre vous aussi pour vous défendre» fut sa fameuse réponse largement répondus entres les habitants de toute la communauté de tinghir. Cette attitude méprisante du gouverneur en vers la population de Tinghir va se traduire par son refus de la construction d'une clinique sur le territoire de la ville de tinghir, et par un autre fait sanglant d'une autre confrontation entre la grande tribu de AIT OFANOR et celles, réunies dans la douleurs, de ILGUANE ET HALLOL. Le directeur et PDJ de la clinique TAFILALT, dont le siège est à ERRACHIDIA, le DR. EL HAFIDI pressentait un dossier solide devant la municipalité de tinghir pour construire, à l'identique, une clinique comme celle qu'il possède sur ERRACHIDIA. Selon une source fiable au sein du service technique de la municipalité et qui constitue lui même le technicien ayant examiner le dossier du DR. EL HAFIDI dont ce dernier, ayant pris la responsabilité du financement du projet et démontré dans son dossier, cet investisseur a juste demander que la ville de tinghir lui fourni un terrain de 800m/2 et de lui délivrer les autorisations de construction. Malheureusement, le président du conseil municipal de tinghir n'a pas donné suite a cette demande et sans motivé son refus catégorique. cette réponse est surprenante pour le président de ce conseil qui lui même en personne a été sollicité plusieurs fois pour fournir ses ambulances et des aides pour transporter les malades, les femmes enceintes arrivant à termes de l accouchement et les accidentés de la route, vers la clinique TAFILLALT ou à l'hôpital MOULAY ALI CHRIF situant tous à ERRACHIDIA à une distance de 160km. Devant ce refus catégorique, l'investisseur se présente devant le gouverneur pour manifester son incompréhension de cette réponse du conseil, municipal qui est sous sa responsabilité aussi, mais il revient de cette démarche très déçu et choqué. LE GOUVERNEUR NE SOUHAITE PAS VOIR CONSTRUIRE AUCUNE CLINIQUE DE CE GENRE SUR LE TERRITOIRE DE TINGHIR VU QU'IL RENTE CHEZ LUI BIENTOT APRES SA RETRAITE!!!!!!!! les délires de ce gouverneur et sa troupe qui l'entour ne s'arrête pas à ce stade et continue de faire opposer les quartiers contre eux et les tribus contre elles, et encore plus loin s'enrichit des économies noirs et parallèles qu'il alimente et protège, voir même orienté en fonction de ses intérêts. Récemment, une société basé sur Casablanca, a fait des investigations sur certains endroits dans le territoire de la ville de Tinghir et a découvert sur les terrains de ILGUANE ET HALOL une terre métallique (ASFOT) servant dans l'industrie des produits sanitaires. Âpres cette découverte, la patronne de cette société Mme BENANI formule aux responsables de ces deux tribus une proposition, appuyaient par le BACHA et le Gouverneur de Tinghir et consiste en son exploitation de cette petite mine contre une somme d'argent. Ces chefs de tribus ont rejeté cette propositions en la jugeant insuffisante. Ainsi, le personnage machiavélique du gouverneur met en scène une stratégie de fausse stratigraphie pour passer au trésor. Il a négocier avec la tribu voisine de AFANOR via son association et sous son soutiens et celui des trafiquants de drogue se trouvant sur le territoire de cette tribu. Il leur a promis son silence et 10 000dh par chargement et envahir le territoire bien situé de leur tribu voisine. Pendant le mois de juin 2011, la tribu de AFANOR, présidait par certains dirigeants de l'association, lance ces trafiquants de drogue et des marginaux pour le conquête de ce territoire promis. Toutes les tribus de la ville de tinghir ont manifesté leur indignations contre ce fait violent et inattendu. Face à cette invasion massive, les responsables des tribu de ILGUANE et HALOL pressentait leur plainte bien fondue devant, premièrement le CAID, ensuite devant le BACHA et en fin devant le gouverneur. Cette démarche n'ayant pas abouti car les forces de l'ordre se sentaient dépassés par les événements successives que connues la ville de tinghir. Ils leur demandaient de reporter cette plainte à une date postérieure aux élections prochaines du 25 novembre 2011. la nuit du 09/11/2011, la jeunesse des tribus ILGUANE et HALOL se rendaient sur cette partie du territoire envahi pour renverser la situation et reprendre leur terre. Une nouvelle confrontation sanglante s'est produite ainsi. Une sorte de guerre civile sans précédente ou les armes et les stratégies sont différentes. Des coalitions tribales se formaient et des armes a feu étaient utilisés. On déploraient plusieurs blessé légers et graves du coté de la tribu de AFANOR(34 blessés graves a OUARZAZAT, deux transportés a MEKNES et 18 blesse légers à l'hôpital de tinghir) et 'autre coté on comptait 13 blessé légers AU DISPENSAIRE de TOUDRA SOUFLA). Des dommages collatéraux sont aussi énormes et touchent directement la vie quotidienne des habitants. Nous notons aussi que le Lycée SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH n'est pas épargné car son administration est incendié, les classe saccagées et tous les vitres de ses fenêtres cassés. Les élevés ne pourront pas se rendre à ce lycée pour une période inconnue. Selon une source fiable des agent de sureté nationale, la police scientifique qui s'est rendue sur place pour des investigation criminelles a retrouve la carte d'identité nationale d'un ressortissant de la tribu d'AFANOR. Ils ont aussi retrouvé les trace de l'âne connu sous l'appellation de l'âne de la marginale FATMA ALI et qui sert de transport des armes et qui appartient aux trafiquant de drogue. Vu cette situation antalgique et sanglante, La tribu de AFANOR se forgeait les liens avec celles de AIT ISSA OBRAHIM et celle de AIT TORTIT, tandis que les tribus de ILGUANE et HALOL négocient la coalition avec les autres tribus de leur coté EST. Le soir de cette confrontation on observe la première apparition des forces de l'ordre sous les ordres du gouverneur se trouvant dans la ville d'ERFOUD pour l'accueil de la visite ROYALE à cette ville. L'intervention était effectué car la tribu de AFANOR est en danger et que l'accord passé avec ce gouverneur doit être maintenu. Vers la tombé de la nuit de cette journée, plusieurs individus formant un barrage sur la route nationale N°10 attaquaient un fourgon transportant les passagers de LA TRIBU DE ait M'HAMD et ont tué par armes blanche, après l'avoir extrait du véhicule, un passager. Cette conclusion est confirmé par le rapport d'autopsie effectué sur la victime. Les forces de l'ordre, au lieu d'interpeler rapidement les assassins, détiennent sur le champ le chauffeur du fourgon et essayaient d'altérer la vérité et les circonstances de cet incident. Devant cette situation délirante les membres de la tribu de AIT M'HAMD encerclaient les locaux de la police et demande le relâchement immédiat du chauffeur, lui même battu par les mêmes assassins avec deux autres passagers qui ont échappé aux carnage par la fuite. Ils demande aussi l'arrestation immédiate des tueurs et refusaient d'enterrer la victime jusqu'à ce que justice soit faite. Leur demandes étaient rejetées et la déception régnait jusqu'à ce que la police libérait, un jour après et suite aux résultats flagrants de l'autopsie. Actuellement, une grande crainte de la monté des commandants des membres de la tribu de AIT M'HAMD pour venger leurs victimes est très constantes. Si un tel incident se produira, on pourrait compter plusieurs morts d'un coté ou de l autre. Par ailleurs, la cour de la province constitue tous les jours le siège des manifestation et l'expression de la colère de la population outragée et soumises. Les tribu de IMIDER et OUAKLIM continuent leur combat et des confrontation avec les forces du gouverneur se multiplient. Récemment, l'intervention est effectue par des hélicoptères et des dommages humains et matériaux sont à déplorés …. En sommes, le gouverneur, ayant fait fortune par la corruption a mener tinghir vers son agonie. Il a souhaité réduire les habitants de tinghir aux milices et au trafiquants de drogue. Les habitants de tinghir doivent combattre le poison qui les endormaient et les livraient à l auto-destruction. J'accuse tous ceux qui n'ont pas conscience de l'agonie de cette perle du sud rattrapé par son passé de « BLED SIBA ». J'ACCUSE LES FORCES POPULAIRES ET LES ACTEURS SOCIAUX QUI MAINTIENENT LE SILENCE DEVANT L'ECOULEMENT DES SANGS DE LEUR COMPATRIOTES. FRERE DU SANG FRERE DE LA TERRE, ENSEMBLE LEVANT NOTRE VOIX CONTRE CELLE DE LA TROUPE DU GOUVENRUER DE NOTRE CHERE VILLE TINGHITR ET DEMANDER LES HAUTES INSTANCES DE L'ETAT DE SOTPER CES MASACRES. Publie par ELG.