JEAN-ChristiAN BOUrCArt

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JEAN-ChristiAN BOUrCArt
LA GALERIE
−
JEAN-Christian BOURCART
�ailash
Photographies & Vidéos
−
Black Sheet #1, 2010
EXPOSITION
Du 25 mars au 7 mai 2011 / lundi – samedi, 14 h –19 h
Kailash, qui signifie cristal en sanscrit, est une montagne
sacrée de l’Himalaya. On ne connait aucune tentative
d’escalade la concernant. Il n’est possible que d’en faire
le tour, n’apercevant qu’une de ses facettes à la fois,
parfaite métaphore de ce que l’on nomme le réel.
Jean-Christian Bourcart
Pour sa première exposition à la Galerie VU', JeanChristian Bourcart poursuit son interrogation sur le sens
que prennent les représentations du monde en fonction
des facettes qu'il en perçoit et des formes qu'il leur assigne.
Avec la série Black Sheet, Jean-Christian Bourcart retourne
l’appareil dans sa direction. Il enregistre son reflet (et celui
de ses proches) sur une feuille noire. La surface brille, sa
texture transforme et défonce la réalité qu'elle reflète. Un
monde étrange s'anime, comme une attraction de miroir
déformant dans une fête foraine.
Pour lui, « cette feuille noire est comme notre esprit,
reflétant ce qui se passe autour, mais toute cette activité n'intervient pas sur sa qualité primordiale vide. Les
images sont comme les pensées : elles semblent solides,
importantes mais elle n'ont pas de matérialité. Elles ne
font que passer. »
Dans la série I Shot the Crowd, Jean-Christian Bourcart
parcourt le monde, à l'affut des endroits à forte concentration humaine, et enregistre le flot des gens qui s’écoule
devant lui. Sa seule présence transforme un instant banal
dans lequel tout le monde est égal, en une scène où les
passants anonymes révèlent leurs existences singulières.
D’un pays à l’autre, les différences de morphologies, de
styles vestimentaires et de réactions à la présence du
photographe, proposent un commentaire sur l’altérité à
l’époque de la globalisation.
Dans le cadre de la sortie de l’ouvrage Camden, un volet
de l’exposition sera consacré à la déambulation de JeanChristian Bourcart dans cette ville du New Jersey. Un
témoignage halluciné sur un univers où tout semble différent, sauf ce sentiment d’appartenance à une humanité
au destin commun.
Dans le film Fortune Teller, Jean-Christian Bourcart rencontre des voyantes en caméra cachée. Elles lui racontent
ce qu’il est et ce qu’il deviendra.
La vidéo Bardo interroge la réminiscence du souvenir à
l'instant de notre propre mort. Une multitude d'images
fixes défilent en accéléré et souvent entremêlées, comme
autant de souvenirs précipités avant que la conscience ne
bascule totalement.
Deux nouvelles expériences flirtant avec la pratique de
l'autoportrait par lesquelles l'artiste continue d'interroger
notre présence/absence au monde et à la réalité.
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
3
JEAN-Christian BOURCART
Photographier les gens, leurs activités, leurs traces, est pour moi une
façon adéquate d’être parmi eux tout en variant d’une série à l’autre
les paramètres de la formule de Maurice Merleau-Ponty : « Mon corps
est à la fois voyant et visible ».
Pendant longtemps, il s’agissait de dévoiler des mondes secrets, rejetés
ou trop fugaces pour que l’on y porte attention. Parfois, je bondissais
sur mon sujet, parfois, je le traquais en cachette et lui volais son image.
Il y avait souvent des sentiments de transgression, de clandestinité,
d’obsession, de mouvement. Parfois, le manque primordial, la blessure
narcissique, le désir impossible de l’Autre suintaient.
Maintenant, je suis plutôt fasciné par la nature instable de ce qu’on
appelle réalité. La photographie est un merveilleux outil pour interroger notre présence/absence au monde. Il me semble important de
questionner aujourd’hui nos pratiques, reconnaître la subjectivité de
notre perspective, ainsi que l'aspect spectaculaire des médias auquel
nous participons, et de proposer des formes nouvelles de narration, plus
personnelles, interactives, inclusives, tout en recherchant un équilibre
toujours fragile entre des perspectives poétiques, psychologiques et
politiques.
Les images – ainsi que les sons, les idées… – sont des objets instables
qui se démultiplient, se fractionnent, se transforment et se mélangent
comme dans un immense kaléidoscope que nous appelons réalité. Ce
qui m'intéresse, c'est de proposer des projets qui se déclinent dans une
multitude de réseaux – presse, cinéma, galerie, livre, Internet – et qui
participent à la nouvelle fluidité et au décloisonnement général des
formes de représentation.
Je photographie pour avoir une excuse pour regarder. Je photographie
pour saisir ce qui n’est pas accessible autrement. Je photographie parce
que ça fait moins de dégât que le tir à la mitraillette. Je photographie
pour pouvoir oublier. J’aimerais que mon travail soit comme regarder
à travers une porte entrouverte, où les histoires ne sont pas articulées
ou expliquées, mais restent plutôt secrètes, laissant au spectateur le
soin de discerner, de découvrir et d’imaginer.
Jean-Christian Bourcart
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
Black Sheet
4
New York, 2010-2011
Black Sheet
Je photographie une photographie noire. Rien à voir,
sinon les éléments qui s'y reflètent. En l'occurrence moi,
ma famille, des amis. La surface brille, sa texture informe,
transforme, défonce parfois la réalité qu'elle reflète. Le
monde s'anime étrangement, comme une attraction de
miroir déformant dans une fête foraine.
Je fais là la même chose que d'habitude : regarder dans
les coins sombres et ramener à la lumière ce qui passe
inaperçu. Ici, c'est un excès de lumière qui permet de
faire rendre une image à cette page d'obscurité qui, normalement, absorbe tout.
Et puis je me grime, je fais des sortes de cérémonies,
transes, où je me pare des objets trouvés dans la chambre
de mon fils. Fils de couleur, petites sculptures, pièces de
déguisement ; tout est low-tech, improvisé, intense. Je me
travestis, je me contorsionne, comme une pièce de danse
butho, contemporaine, minimaliste et absurde.
La transformation, dissolution de mon image dans le nonhumain me rappelle les visions et les sensations hallucinées
qui se développent sous l'influence de l'ayahuasca des
chamans péruviens. Ma perception peut être changée à un
tel point, juste en absorbant une gorgée d'une plante naturelle, tout comme mon image qui peut être complètement
transformée par le simple fait d'un miroir non régulier.
Cette feuille noire est comme notre esprit, reflétant ce
qui se passe autour, mais toute cette activité n'intervient
pas sur sa qualité primordiale de feuille de papier couverte
d'une fine couche d'éléments chimiques. Les pensées sont
de la même nature que les images : elles semblent solides,
importantes mais elles ne font que passer.
J-C. B.
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
I Shot the Crowd
5
Paris, New York, Shanghaï, Phom Penh, Dakar 2009-2011
I Shot the Crowd
Des centaines, des milliers de visages qui défilent dans
mon viseur. Je suis au milieu d’un torrent humain. Non,
il n’y a pas d’humanité dans ces ondes déferlantes qui
descendent dans les profondeurs de la terre. Ce n’est pas
que ça soit inhumain, mais plutôt non humain, de l’ordre
de la mécanique des fluides. Je suis au cœur de Shanghai
et ses 20 millions d’habitants, à la station de métro ‘le
carré du peuple’. Je shoote en rafale à l’aveuglette dans
cette masse en mouvement perpétuel. Les flashs de mes
assistants éblouissent, révélant les expressions de surprise
et de désapprobation, mais personne ne s’extrait de la
coulée pour interroger ou exprimer son mécontentement
devant une pratique si ouvertement invasive. Personne ne
me touche, ni même ne m’effleure, comme si, ma position
si déterminée – un affront à l’énergie propre du flot – était
aussi une protection. L’impérativité de mon activité les
tient en respect. Ici, pas de fous errants comme à New
York, pas de pyjamas bariolés surmontés par des casques
intégraux comme à Phnom Penh. La masse des pareils;
comme si le déferlement était une boucle sans fin de la
même scène.
J-C. B.
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
Camden, N. J
6
Camden, New Jersey. 2008-2009
Camden, N. J.
C'est absurde, mais j’ai juste cherché sur le Web la ville la plus dangereuse
des États-Unis. Je voulais retrouver cette étrange énergie qui se dégage des
lieux où les règles et les contraintes sociales sont abolies ou affaiblies. Je
voulais m'assurer qu'il est encore possible d'aller vers les autres, si éloignés,
si étrangers qu'il nous paraissent. En tête de liste, j’ai trouvé Camden, New
Jersey, à deux heures de New York. En y allant, j’ai découvert le visage de la
pauvreté ordinaire cachée derrière les stigmatisations et les stéréotypes. Les
gens sont durs, mais les rires sont sincères, et quand je me suis fait braquer par
une prostituée, elle m’a rendu dix dollars pour ne pas me laisser dans le pétrin.
Au début, je photographiais les junkies dans la rue pour deux dollars la séance.
Et puis j’ai rencontré Suprême, que je paie 20 dollars chaque fois qu’il m’introduit dans une maison. Pendant que je shoote, il baratine les gens, prétendant
être un étudiant en art ou un flic en civil. Je suis intéressé par ce que nous avons
en commun avec les gens de Camden. Mais à la fois, on photographie toujours
une différence et je me demande à quoi ça sert de rajouter du spectacle au
spectacle. Peut-être qu'il s’agit de produire des preuves matérielles au sujet de
la grosse machine économique et sociale qui nous embrasse et nous répudie.
Comment on détermine la vérité - et ce qu'on en fait - est à la base de toutes
les luttes sociales et politiques.
J-C. B.
Publication de l'ouvrage
Camden accompagné d'une
édition de tête (15 exemplaires
accompagnés d'un tirage signé
et numéroté), par les Éditions
Images en Manœuvre et la
Galerie VU'.
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
Vidéos
7
Vidéos
Vidéo, 2' 30'', 2003, Musique de Sébastien Brault
VIDÉO, 6', 2011 - en cours de réalisation
BARDO
Fortune Teller
J’ai tenté de réaliser un film inspiré par le Bardo Todöl,
le livre des morts tibétains qui décrit l'expérience au
moment de la mort.
Cette vidéo que Jean-Christian Bourcat est en train de
réaliser nous fera découvrir, à sa manière, le monde de
la voyance.
Utilisant des images fixes, principalement extraites de
mes archives (photos de famille, de vacances, portraits
d'identités, autoportraits, travaux personnels), il s'agit
d'évoquer le moment où ma conscience s'emballera pour
faire défiler les souvenirs de ma vie finie. Ensuite, alors
que l'esprit quittera le corps, les images deviendront de
plus en plus espacées et incohérentes, fantômes surgissant
de la noirceur, puis de la blancheur absolue.
Devant la révélation de cette intimité racontée, le spectateur est transformé en témoin involontaire d'une histoire
fragmentée, qui interroge les notions de personnalité, de
destinée et de vérité.
J-C. B.
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
Ils ont dit DE LUI
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Ils ont dit DE LUI
I first saw Jean-Christian Bourcart's photos ten years ago
in the home of my former dealer Gilles Dusein, in his little
apartment on rue du Repos overlooking Père Lachaise.
Gilles, whose ashes are now dispersed in the famous cemetery, had just begun to represent Jean-Christian and was
extremely enthusiastic about his work. He had a large
scroll-like c-print from this prostitution series, stuck up
with pins. I was very excited by it: by the subject, close to
my own heart and history, and by the palette of sexy reds
and vivid blues. I felt an instant kinship with him though
our actual photos are so different: here was someone with
his own distinct style, not afraid to transgress all the rules
of documentary photography, where his work could be
compartmentalized but not contained.
Viewing his prints was like looking through a door into
an underlit world where the stories are not explicated
or overtly articulated, but remain secretive, left for the
viewer to discern and to discover. It also seemed to contain a quality rare in contemporary photography: honesty.
« Regardant par le trou de la serrure sociétale, JeanChristian Bourcart promène l’objectif de son appareil
photo dans les zones les plus obscures (parfois sordides
ou sulfureuses) entre évocation, invasion, indécence ou
provocation. (...) Cet aventurier de l’image prône souvent une esthétique crue, celle du choc visuel. (...) Chez
Jean-Christian Bourcart, l’appareil photographique est
tantôt un bouclier, tantôt un fardeau à cacher, nécessaire
à l’accession d’une vérité du visuel, du visible, de la visualité, au regard du voyant, du voyeur, de ce qui est vu. »
Nan Goldin, 2002 (extrait)
—
—
« Les dispositifs de Jean-Christian Bourcart évoquent
toujours, en effet, une posture voyeuriste, « un petit trou
bien calculé ». L'appareil est caché sous le manteau, dans
les clubs échangistes de Paris ou les bordels de Francfort,
muni d'un puissant téléobjectif à un carrefour new-yorkais
pour capturer l'abandon des automobilistes prisonniers
de leur véhicule, ou se tapit dans l'obscurité d'une salle de
cinéma. (...) À chaque fois, une forme de prise de risque
pour le photographe, celle de se retrouver lui-même à
découvert, pour des images qui, au bout du compte, ne
dévoilent que très peu. Fragmentation, flou, évanescence,
l'image fait écran plus qu'elle ne montre. Poussières,
rayures, superpositions produisent des textures opaques
qui occultent l'objet du désir. »
« Il est inclassable et donc libre, comme il le veut vraiment, profondément. Ce qui le rend également disponible à des aventures, des expériences – de la vie comme
de la photographie – qui sont une manière intime (mais
révélée aux autres sans impudeur mais sans censure) de
chercher qui il est, tout en essayant de savoir, chaque jour
un peu plus, ce qu'est cette photographie qu'il utilise et
qui s'est emparée de lui. Il a été photographe pour des
journaux, quotidiens ou magazines, sans mépriser cela,
ni sans le prendre au sérieux ; il a beaucoup voyagé sans
vrai projet précis, au rythme des hasards de la vie et
des rencontres, de la nécessité d'aller voir et de garder
trace, sans en faire un récit, ni vraiment un témoignage,
plutôt une mise en forme d'impressions. Il a questionné
le voyeurisme et le sexe, la drogue et la dérive, la ville
entre déshumanisation, indifférence des humains entre
eux et violence, sourde ou bien réelle. Il n'a pas voulu se
figer dans une esthétique, mais il s'interroge sans cesse
sur le sens que prennent les choses en fonction de la
forme qu’on leur donne. Il convoque les mots et les lie
aux images, dessine des territoires par nécessité plutôt
que de façon délibérée. De l'imprimé au mur des galeries
ou des Musées, il suit simplement son chemin. Sans
certitude. Comme un besoin de continuer à échanger à
défaut de savoir vraiment. »
Muriel Denet, paris-art.com, 2006
Christan Caujolle, 2010 (extrait)
« Bourcart est un photographe extrême, féru de
reportage avant d’aller voir ailleurs. Un photographe
et cinéaste de l’interdit, du voyeurisme, du vol et du
détournement. »
Michel Guerrin, Le Monde, 2000
—
Muriel Berthou Crestey, culturevisuelle.org , 2010
—
« Frappé par la violence des lieux, Bourcart photographie, filme et écrit pour exorciser. »
Armelle Canitrot, La Croix, 2009
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
Biographie
Français. Né en 1960 à Colmar.
Vit et travaille à New York depuis 1997.
Biographie
9
Traffic, Stardust, Galerie VU’, Le Méjan, Arles
2008
Le plus beau jour de la vie, Rencontres Photographiques
d’Arles
Scène Pluridisciplinaire du Séchoir, La Réunion
2007
Prix
Prix Niépce, Paris, 2010
Prix du Jeu de Paume, Paris, 2006
2nd prize, Brooklyn Midnight Run, 2005
Honorable mention, Philadelphia Film Festival, 2000
Prix Gilles Dusein, Paris,1999
Prix d’interprétation masculine, Premiers Plans, Festival de
Belfort,1997
Prix du Jury, Festival d’Annecy 1997
World Press Awards, categorie Art, Amsterdam, 1991
Prix Polaroid, 1984
Stardust, Andrea Meislin Gallery, New York
Jeu de Paume, Paris
Stardust, Chrysler Museum, Norfolk
Si Fest – Savignano Immagini, Italie
Galerie Elaine Levy, Bruxelles
Art Project Room, Lisbonne
2006
Traffic, Fototeca, Monterrey, Mexico
Stardust, Alliance Française, Monterrey, Mexico
Traffic, Museu da Imagem, Braga
2005
Traffic, Alvaro Roquette, Lisbonne
2004
Bourses
2010
Image/mouvement, Centre National de Arts Plastiques,
Ministère de la Culture et de la Communication
2008
Aide à l’édition, Ministère de la Culture et de la Communication
Traffic, Galerie Léo Scheer, Paris
Metamorfoses do real, Encontros da imagem, Braga
2002
Le plus beau jour de la vie, Kagan Martos Gallery, New York
Le plus beau jour de la vie, Terre d’images, Biarritz
2001
Si près, si loin, Galerie Serge Aboukrat, Paris
Forbidden City, Galerie Catherine Bastide, Bruxelles
2001
Villa Médicis (hors les murs), Ministère des Affaires Étrangères
2000
1999
MacDowell Colony, New Hampshire
Forbidden City, Kagan Martos Gallery, New York
Galerie du Jour, Paris
1998
New York State Council of the Arts
Centre National des Arts Plastiques, Ministère de la Culture
et de la Communication
1999
1984
Aide à la première exposition, Polaroid
Forbidden City, Galerie Serge Aboukrat, Paris
Forbidden City, Reflex Gallery, Amsterdam
Expositions collectives
2010
Expositions personnelles depuis 1999
2011
Kailash, Galerie VU', Paris
Galerie Confluence, Nantes
Hôtel Fontfreyde, Clermont Ferrand
2010
Galerie VU’, Paris
Camden, N. J., Museum für Photographie, Braunschweig
Camden, N. J., Andrea Meislin Gallery, New York
10th International photo Exhibition, Shanghai
Traffic, Photaumnales, Beauvais
Camden, N. J., Images'10, Vevey
2009
Camden, N. J., Photo Phnom Penh, Centre Culturel Français
de Phnom Penh
Camden, N. J., Centre Juliobona, Lillebonne
Camden, N.J., Rencontres Photographiques d’Arles
« Somewhere over the rainbow ». Itinéraire d’une collection
particulière, Frac Aquitaine, Bordeaux
The Most Beautiful Day…, Kaunas Photo, Pologne
Made in France, Église Saint Vincent, Mérignac
Immix Gallery, Paris
2009
NKA Gallery, Bruxelles
Gimme more, Elaine Levy Gallery, Bruxelles
Galerie expérimentale, Centre de Création Contemporaine
de Tours
Just Married!, Centre Culturel du Cambodge
Camden, N. J., Académie des Beaux Arts, Paris
Collateral Damage, Powerhouse Arena, Brooklyn
2008
Dentro il Male, Galleria San Fedele, Milano
Love, Love, Love, Martos Gallery, New York
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
2007
Centre Juliobona de Lillebonne, France
Galerie Elaine Levy, Bruxelles
Scope, New York
War, Peace and Extasy, Artissima, Videolounge, Turin
Hans Weiss Newspace Gallery, Manchester, U.S.A.
Galerie du Jour, Paris
2006
Metropolitan Museum of Photography, Tokyo
Fotosintesi, Piacenza
Hypervision, Westport Art Center, Connecticut
Isabelle Huppert, la femme aux portraits, C/O, Berlin
Isabelle Huppert, la femme aux portraits, Couvent des
Cordeliers, Paris
Galerie du Retiro, Real Jardín Botánico de Madrid
2005
Isabelle Huppert, la femme aux portraits, Villa Médicis, Rome
P.S.1, New York
After Hopper, Bonni Benrubi Gallery, New York
New New York Videos, Le Sous-Salon, Paris
Video_dumbo, D.A.C., Brooklyn
Mechanics of Politics, Collaborative Concepts, Beacon
Adieu Venise, Le Sous-Salon, Paris
Rapture, Goliath Visual Space, Brooklyn
Museum of New Art, Pontiac, Michigan
Collection Agnès B, Les Abattoirs - Frac Midi-Pyrénées
Galerie du Jour, Paris
2004
Art triangle, New York, Tokyo, Budapest, Millenaris Park
Collection Agnès B, Galerie du Jour, Paris
Art faces, Kunsthalle Würth, Künzelsau, Allemagne
Musée d’Art et d’Histoire, Fribourg
Darkness of Beauty, Reflex Gallery, Amsterdam
2003
Biographie
Eyes on the Metropolis, Centre d’Histoire de Montréal
Résonances, Ecomusée de Fresnes
1999
Shy, supervisé par Nan Goldin, Artist Space gallery, New York
Video auf Zeit, Kunstmuseum, Bonn
La Vidéothèque Ephémère, Galerie Esca, Nîmes
En temps de femmes, Ecomusée de Fresnes
Orgie, Galerie L’Autre Rive, Paris
Des conflits intérieurs, Saison photographique d’Octeville
FILMOGRAPHIE
2010
Memories of the Days to Come, 35mm, 95', Le Bureau production
2008
Encore une fois, DV, 4min. 30
2007
Stardust, The Film, DV, 1min. 30
2006
Me, My Cell And I, DV, 9 min.
2005
It’s Today, DV, 7 min.
The Decisive Act, DV, 8min. 30
Stories Of Hell, DV, 6min.15
2004
Rapture, DV, 10min.30
Bardo/Autoportrait, DV, 5min.15
2003
Videhole, DV, 2min.30
1999
(de) la fenêtre, vidéo, 26 min, D.A.P, Ministère de la Culture et
de la Communication
Travelling, Centre Photographique d’Ile-de-France, Pontault-
Combault
Prix Gilles Dusein, MEP, Paris
Fables de l’identité, Centre National de la Photographie, Paris
Dubrow International, Kravets Wehby Gallery, New York
Les colères de la Terre, Galerie 14-16 Verneuil, Paris
Pas vu, pas pris, Hôtel de la S.E.I.N., Paris
Inactinique, Confluence, Paris
Galerie du Jour, Paris
Galerie du Jour at the Teabuilding, Londres
2002
Collection Agnès B., Pavillon des Art, Nogent-sur-Marne
La nuit, l’oubli, Musée d’art moderne et contemporain, Genève
2001
Collections d’artistes, Musée Yvon Lambert, Avignon
Peaks, Kagan Martos Gallery, New York
Témoins oculaires, Galerie du Petit Château, Sceaux
Reflex Gallery, Amsterdam
2000
Galerie Edward Mitterrand, Genève
Mois de la photo, Galerie du Jour, Paris
Toys, Kagan Martos Gallery, New York
Galerie Athanor, Marseille
10
BIBLIOGRAPHIE
Sinon la mort te gagnait, Le Point du Jour, 2008
Traffic, Léo Scheer, 2004
Madones Infertiles, TDM, 2002
Forbidden City, Le Point du Jour, 1999
C’était cinq heures du soir, Le Point du Jour, 1998
Galerie VU’
Jean-Christian Bourcart
LIBREs DE DROITs
11
LIBREs DE DROITs
Black Sheet, 2010
Camden, 2008-2009
I Shot the Crowd 2009-2010
Bardo, 2003
Fortune Teller, 2011
www.galerievu.com
[email protected]
T +33 1 53 01 85 81
F +33 1 53 01 85 80
Hôtel Paul Delaroche
58 rue Saint-Lazare 75009 Paris
LA GALERIE
JeanChristian
Bourcart
Président
Xavier SOULE
—
Direction
Vincent MARCILHACY
Tél : 01 53 01 85 03
[email protected]
—
Galeristes
Gilou LE GRUIEC
Tél : 01 53 01 85 81
[email protected]
&
Étienne HATT
Tél : 01 53 01 85 81
[email protected]
—
Project manager
Christophe SOULE
Tél : 01 53 01 85 81
[email protected]
—
Communication
Bernadette SABATHIER
[email protected]
Tél : 01 53 01 05 11
[email protected]
—
Partenaire

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