Histoire d`une vie

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Histoire d`une vie
Histoire d’une vie
De Aharon Appelfeld
Mise en scène de Bernard Levy
Adaptation de Bernard Levy et Jean-Luc Vincent
Avec Thierry Bosc
théâtre
I DOSSIER DE PRESSE
création
Création le 4 novembre 2014
Scène nationale de Sénart
Durée estimée : 1h15
- mardi 4 novembre
- mercredi 5 novembre
- jeudi 6 novembre
20h30
19h30
19h30
Tournée jusqu’en mars 2015
Contact presse
Agence Plan Bey
Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias
01 48 06 52 27 / [email protected]
Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Tournée 2014/2015
du mardi 4 au jeudi 6 novembre 2014
Le 4 à 20h30, les 5 et 6 à 19h30
Scène nationale de Sénart
www.scenenationale-senart.com / 01 60 34 53 60
du jeudi 13 au samedi 15 novembre 2014 à 20h30
Théâtre de l’Ouest Parisien, Boulogne-Billancourt
www.top-bb.fr / 01 46 03 60 44
les mardi 18 et mercredi 19 novembre 2014 à 20h30
La Passerelle, Scène nationale de Saint-Brieuc
www.lapasserelle.info / 02 96 68 18 40
du mercredi 26 au samedi 29 novembre 2014
Les 26 et 27 à 20h, les 28 et 29 à 20h30
Théâtre Garonne, Toulouse
www.theatregaronne.com / 05 62 48 54 77
les jeudi 4 et vendredi 5 décembre 2014 à 20h
Le Granit, Scène nationale de Belfort
www.legranit.org / 03 84 58 67 67
les mardi 9 et mercredi 10 décembre 2014 à 20h30
Scène nationale d’Albi
www.sn-albi.fr / 05 63 38 55 56
les jeudi 15 et vendredi 16 janvier 2015 à 20h
L’espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône
www.espace-des-arts.com / 03 85 42 52 12
du mardi 27 au samedi 31 janvier 2015
Les 27 et 30 à 20h30, les 28, 29 et 31 à 19h30
MC2 : Grenoble, Scène nationale
www.mc2grenoble.fr / 04 76 00 79 00
les mardi 3 et mercredi 4 février 2015
Le 3 à 19h, le 4 à 20h30
Théâtre de l’Archipel, Scène nationale de Perpignan
www.theatredelarchipel.org / 04 68 62 62 00
du mardi 10 au jeudi 19 mars 2015
Les mardi, vendredi à 20h30, les mercredi, jeudi, samedi à 19h30 et le dimanche à 16h
Théâtre 71, Scène nationale Malakoff
www.theatre71.com / 01 55 48 91 00
Scène nationale de Sénart - Dossier de presse - 18 septembre 2014
Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Distribution
Production
d’après le livre éponyme
d’Aharon Appelfeld
Prix Médicis étranger 2004
traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti
paru aux Editions de l’Olivier et Points
Production déléguée
Scène nationale de Sénart
Adaptation
Jean-Luc Vincent
Bernard Levy
Mise en scène
Bernard Levy
Assisté de
Jean-Luc Vincent
Avec
Thierry Bosc
Coproduction
Compagnie Lire aux éclats
MC2 : Grenoble L’Espace des arts, Scène nationale
de Chalon-sur-Saône
Scène nationale d’Albi
La Passerelle Scène nationale, Saint-Brieuc
Scène nationale de Sénart
La Compagnie Lire aux éclats est
subventionnée par la DRAC Île de France.
Scénographie
Giulio Lichtner
Lumières
Christian Pinaud
Vidéo
Romain Vuillet
Son
Xavier Jacquot
Costumes
Séverine Thiebault
Scène nationale de Sénart - Dossier de presse - 18 septembre 2014
Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Note d’intention
par Bernard Levy, avril 2014
Ce sont différents lieux de vie qui se sont enchaînés les uns aux autres dans la mémoire,
et convulsent encore. Une grande part est perdue, une autre a été dévorée par l’oubli. Ce
qui restait semblait n’être rien, sur le moment, et pourtant, fragment après fragment, j’ai
senti que ce n’étaient pas seulement les années qui les unissaient, mais aussi une forme de
sens.
J’ai découvert l’œuvre d’Aharon Appelfeld il y a plus de 10 ans. La complexité de son univers
fictionnel, la simplicité de sa langue et la sensibilité de ses interrogations me touchent à chaque
nouveau livre que je lis. En 2004, paraissait Histoire d’une vie (Prix Médicis étranger), son premier
livre explicitement autobiographique. Je fus frappé par la force du combat qu’il y décrit : son combat pour devenir écrivain en acceptant ce qu’il est et d’où il vient. C’est ce parcours que je désire
aujourd’hui mettre sur scène. Je ressens une proximité unique avec cet écrivain. Ce qu’il écrit fait
sans doute écho à ma propre vie, non dans les faits bien sûr, mais dans cette volonté farouche
de s’arracher à tout déterminisme en écrivant sa propre histoire. Lui par la littérature, moi par le
théâtre.
Le parcours d’Aharon Appelfeld est unique : orphelin à 8 ans, il va s’échapper d’un camp ukrainien et errer seul dans les forêts jusqu’à la fin de la guerre. À 13 ans, il débarque en Israël. Commence alors la lente et douloureuse prise de conscience de sa vocation littéraire. Il est aujourd’hui
l’un des plus grands écrivains israéliens vivants. Il a 80 ans et vit à Jérusalem. Cette trajectoire est
pour moi celle d’un véritable héros.
Histoire d’une vie, c’est le récit à la première personne d’une lutte. Une lutte pour reconstituer sa
mémoire, pour accepter de trouver le silence qui l’a entouré pendant la guerre et le faire revenir
vers lui, car « dans ce silence était cachée mon âme ». Une lutte pour ne pas perdre sa langue
maternelle tout en acceptant d’en faire sienne une autre, l’Hébreu. Un combat permanent entre le
présent, celui de l’homme nouveau israélien, et le passé, celui de l’enfant juif rescapé des camps.
L’écriture est simple, économe. Elle mêle fragments de mémoire et réflexions sur la langue, la
mémoire et l’identité, avec une grande finesse et une grande émotion. J’ai le sentiment que le
théâtre peut naître de cette parole, de ce drame constitué par la lutte d’un homme pour devenir lui-même. À travers la voix d’un acteur, la musique, si présente dans l’œuvre d’Appelfeld, le
mélange des sons et des langues, on pourra faire entendre et amplifier cette écriture unique et
donner à voir le combat d’un homme traversé par des forces contradictoires. Paradoxalement, du
récit d’une vie si singulière se dégage l’universalité de la quête menée par tout homme : la quête
d’une histoire individuelle et personnelle que l’on construit à la fois avec et contre les déterminismes historiques et culturels.
Scène nationale de Sénart - Dossier de presse - 18 septembre 2014
Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Note de mise en scène
par Bernard Levy, Jean-Luc Vincent, septembre 2014
L’adaptation d’Histoire d’une vie pour la scène s’est faite simplement : un acteur seul en scène
incarne un personnage/auteur et prend ainsi en charge le texte original écrit à la première personne, dans lequel il raconte son destin en s’interrogeant aujourd’hui sur son histoire, son identité,
son écriture. Il n’y a donc pas de mise en dialogue, de réécriture, de travail d’adaptation au sens
où on l’entend généralement. En revanche, il y a bien théâtre car une parole, qui mêle réflexion
et récit, est dite au présent devant nous. La véritable difficulté consistait en fait à réduire le texte
d’origine sans perdre sa richesse et sa complexité. Nous avons fait le choix de préserver le fil
rouge de la mémoire et de l’interrogation permanente sur les questions d’identité et d’écriture,
quitte à laisser de côté nombre de passages magnifiques (notamment tous les récits de la première partie du livre qui racontent le destin d’autres enfants pendant la guerre). Mais porter un livre
à la scène, c’est aussi donner envie aux spectateurs d’aller le lire dans son intégralité.
Ce travail d’adaptation a immédiatement posé deux questions scéniques centrales : celle de
l’incarnation et celle de la scénographie. Autrement dit : qui parle et où parle-t-il ? Il semblait
important de trouver un acteur qui serait très loin d’Aharon Appelfeld lui-même mais qui, par sa
présence et sa nature, aurait l’épaisseur nécessaire pour rendre crédible ce regard posé par un
homme sur sa vie et son destin d’exception. Dès lors, l’acteur Thierry Bosc s’est très vite imposé :
le concret mêlé de poésie de sa présence scénique et de son rapport au langage, son talent pour
raconter des histoires, son humour mêlé de gravité, étaient indispensables au projet. Après avoir
été notre Hamm dans Fin de partie, puis notre Estragon dans En attendant Godot, il serait notre
Aharon.
Pour concevoir l’espace, nous avons fait appel à notre scénographe et complice Giulio Lichtner.
Il fallait, comme souvent dans nos spectacles, mêler réalisme et abstraction. En nous inspirant de
notre travail sur l’opéra Didon et Énée, nous avons imaginé une boîte qui puisse aussi bien être le
lieu concret de l’écriture (la fameuse « chambre » de l’écrivain, comme l’appelait Virginia Woolf) que
le lieu mental de la mémoire en action. Grâce à la lumière de Christian Pinaud et au travail vidéo
de Romain Vuillet, l’espace scénique pourrait être tout cela à la fois. Imperceptiblement, le bureau
de l’écrivain où les rayons du soleil de Jérusalem passent à travers les stores évoque la forêt
ukrainienne ou la maison des grands-parents.
Scène nationale de Sénart - Dossier de presse - 18 septembre 2014
Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Extrait
« Je me souviens très peu des six années de guerre, comme si ces six années-là n’avaient pas
été consécutives. Il est exact que parfois, des profondeurs du brouillard épais, émergent un corps
sombre, une main noircie, une chaussure dont il ne reste que des lambeaux. Ces images, parfois
aussi violentes qu’un coup de feu, disparaissent aussitôt, comme si elles refusaient d’être révélées, et
c’est de nouveau le tunnel noir qu’on appelle la guerre. Ceci concerne le domaine du conscient, mais
les paumes des mains, le dos et les genoux se souviennent plus que la mémoire. Si je savais y puiser,
je serais submergé de visions. J’ai réussi quelquefois à écouter mon corps et j’ai écrit ainsi quelques
chapitres, mais eux aussi ne sont que les fragments d’une réalité trouble enfouie en moi à jamais.
Pendant de longues années, je fus plongé dans un sommeil amnésique. Ma vie s’écoulait en surface.
Je m’étais habitué aux caves enfouies et humides. Cependant, je redoutais toujours l’éruption. Il me
semblait, non sans raison, que les forces ténébreuses qui grouillaient en moi s’accroissaient et qu’un
jour, lorsque la place leur manquerait, elles jailliraient. Ces éruptions se produisirent quelquefois, mais
les forces du refoulement les engloutirent, et les caves furent placées sous scellés.
Le tiraillement entre ici et là-bas, en haut et en bas, dura plusieurs années. Les pages qui suivent
éclairent l’histoire de cette lutte, laquelle s’étend sur un front très large : la mémoire et l’oubli, la sensation d’être désarmé et démuni, d’une part, et l’aspiration à une vie ayant un sens, d’autre part. Ce
n’est pas un livre qui pose des questions et y répond. Ces pages sont la description d’une lutte, pour
reprendre le mot de Kafka, une lutte dans laquelle toutes les composantes de mon âme prennent
part : le souvenir de la maison, les parents, le paysage pastoral des Carpates, les grands-parents et les
multiples lumières qui abreuvaient alors mon âme. Après eux vient la guerre, tout ce qu’elle a détruit,
et les cicatrices qu’elle a laissées. Enfin les longues années en Israël : le travail de la terre, la langue, les
tourments de l’adolescence, l’université et l’écriture.
Ce livre n’est pas un résumé, mais plutôt une tentative, un effort désespéré pour relier les différentes
strates de ma vie à leur racine. Que le lecteur ne cherche pas dans ces pages l’histoire structurée
et précise d’une vie. Ce sont différents lieux de vie qui se sont enchaînés les uns aux autres dans la
mémoire, et convulsent encore. Une grande part est perdue, une autre a été dévorée par l’oubli. Ce
qui restait semblait n’être rien, sur le moment, et pourtant, fragment après fragment, j’ai senti que ce
n’étaient pas seulement les années qui les unissaient, mais aussi une forme de sens.
À un très jeune âge, avant de savoir que mon destin m’amènerait vers la littérature, l’instinct me murmura que, sans une connaissance intime de la langue, ma vie serait plate et insipide.
Dans ces années-là, l’approche de la langue était par principe mécanique : « Acquiers des mots et
tu auras acquis une langue », disait-on. Cette approche mécanique qui exigeait de s’arracher à son
monde pour se transporter dans un monde sur lequel on n’avait guère prise, cette approche, donc, il
faut le reconnaître, s’imposa, mais à quel prix : celui de l’anéantissement de la mémoire et de l’aplatissement de l’âme. »
Scène nationale de Sénart - Dossier de presse - 18 septembre 2014
Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Biographies
Aharon Appelfeld
Aharon Appelfeld est né en 1932 à Czernowitz en Bucovine. Ses parents, des juifs assimilés
influents, parlaient l’allemand, le ruthène, le français et le roumain. Quand la guerre éclate, sa
famille est envoyée dans un ghetto. En 1940 sa mère est tuée, son père et lui sont séparés
et déportés. À l’automne 1942, Aharon Appelfeld s’évade du camp de Transnistrie. Il a dix
ans. Recueilli en 1945 par l’Armée rouge, il traverse l’Europe pendant des mois avec un
groupe d’adolescents orphelins, arrive en Italie et, grâce à une association juive, s’embarque
clandestinement pour la Palestine où il arrive en 1946. C’est le début d’un long apprentissage.
Pris en charge par l’Alyat Hanoar, il doit se former à la vie des kibboutzim et apprendre l’hébreu.
Suivent l’armée (en 1949) et l’université (1952-1956) où il choisit d’étudier les littératures yiddish
et hébraïque, ainsi que la mystique juive. Ses professeurs sont Martin Buber, Gershom Scholem,
Ernest Simon, Yehezkiel Kaufman. Comme lui, ils ont une double culture, mais c’est sa rencontre
avec Shaï Agnon qui le convainc que « le passé, même le plus dur, n’est pas une tare ou une
honte mais une mine de vie ». À la fin des années 1950, il décide de se tourner vers la littérature
et se met à écrire, en hébreu, sa « langue maternelle adoptive ». À la fin des années 1980, Philip
Roth découvre son œuvre avec émerveillement et fait de lui l’un des personnages de son roman,
Opération Shylock. Un demi-siècle plus tard, Aharon Appelfeld, devenu l’un des plus grands
écrivains juifs de notre temps, a publié une trentaine de livres, principalement des recueils de
nouvelles et des romans.
Histoire d’une vie récit, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti, prix Médicis étranger 2004, Éditions de l’Olivier, 2004
L’Amour, soudain roman, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti, Éditions de l’Olivier, 2004
Floraison sauvage roman, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti, Éditions de l’Olivier, 2005
L’Héritage nu essai, traduit de l’anglais par Michel Gribinski, Éditions de l’Olivier, 2006
Badenheim 1939 roman, traduit de l’hébreu par Arlette Pierrot, Éditions de l’Olivier, 2007
La Chambre de Mariana roman, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti, Éditions de l’Olivier, 2008
Et la fureur ne s’est pas encore tue roman, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti, Éditions de l’Olivier, 2009
Le Garçon qui voulait dormir roman, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti, Éditions de l’Olivier, 2011
Scène nationale de Sénart - Dossier de presse - 18 septembre 2014
Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Bernard Levy — Adaptation et mise en scène
Formé à l’EDA puis au Conservatoire national entre 1985 et 1988, Bernard Levy est metteur en
scène et travaille comme comédien pour le théâtre et le cinéma. En 1994, il crée la compagnie
Lire aux éclats, avec laquelle il met en scène Entre chien et loup, la véritable histoire de Ah Q de
Christoph Hein, Saleté de Robert Schneider et L’Échange de Paul Claudel.
Il participe, avec d’autres metteurs en scène, à deux créations collectives pour la Scène nationale
de Sénart : en 1999, Histoires courtes, mais vraies, et en 2000, Donnez-nous des nouvelles du
monde.
Il est l’assistant à la mise en scène aux côtés de Georges Lavaudant pour L’Orestie, Fanfares et
Un Fil à la patte.
Après Un cœur attaché sous la lune (2002) de Serge Valetti, Juste la fin du monde de Jean-Luc
Lagarce (2003), Bérénice de Racine (2006), il crée : Fin de partie de Beckett en 2006 à l’Athénée,
Théâtre Louis Jouvet, Le Neveu de Wittgenstein de Thomas Bernhard en 2007 au Théâtre
national de Chaillot, En attendant Godot de Samuel Beckett en 2009 à l’Athénée, Théâtre Louis
Jouvet, et L’Échange, nouvelle création de Paul Claudel en 2011 à l’Athénée, Théâtre Louis
Jouvet.
En 2011, il crée Didon et Énée de Henry Purcell, sa première mise en scène pour l’opéra.
Jean-Luc Vincent — Adaptation et assistant à la mise en scène
Ancien élève de l’École normale supérieure et agrégé de Lettres classiques, il travaille comme
dramaturge avec Mickaël Serre ou Vincent Macaigne. Il est également comédien dans le collectif
des Chiens de Navarre dirigé par Jean-Christophe Meurisse.
Il est assistant et dramaturge de Bernard Lévy sur Bérénice, Fin de partie, Le Neveu de
Wittgenstein et L’Échange.
Au cinéma, il a travaillé avec Orest Romero Morales et plus récemment avec Bruno Dumont dans
Camille Claudel 1915 aux côtés de Juliette Binoche.
Thierry Bosc— Comédien
Thierry Bosc participe au début des années 70 à l’effervescence artistique et politique de son époque.
Membre actif du projet collectif du Théâtre de l’Aquarium, qui s’installe en 1973 à la Cartoucherie
de Vincennes, il joue alors dans les spectacles mis en scène par Jacques Nichet, Didier Bezace,
Jean-Louis Benoît ou Jean-Louis Hourdin. Il reste fidèle à ces metteurs en scène tout en travaillant
à partir des années 2000 avec une nouvelle génération comme Dan Jemmett et Guillaume
Delaveau.
En 2006, il interprète le rôle de Hamm dans Fin de partie de Samuel Beckett, mis en scène
par Bernard Levy, qu’il retrouvera en 2009 pour jouer Estragon dans En attendant Godot.
Dernièrement, il interprète le rôle du Prince dans la pièce Perturbation de Thomas Bernhard mise
en scène par Krystian Lupa.
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Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Infos pratiques
Scène nationale de Sénart
La Coupole
Rue Jean-François Millet
77385 Combs-la-Ville Cedex
www.scenenationale-senart.com
Représentations
> mardi 4 novembre à 20h30
> mercredi 5 novembre à 19h30
> jeudi 6 novembre à 19h30
Autour des spectacles
Rencontre avec Bernard Levy à l’issue de la représentation
> mercredi 5 novembre
Tarifs
> Tarif normal : 20 €
> Tarif réduit : 17 €
> Tarif - 26 ans : 13 €
Accueil, réservations
Tél. 01 60 34 53 60
[email protected]
Billetterie en ligne www.scenenationale-senart.com
Contact presse
Agence Plan Bey
Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias
01 48 06 52 27 / [email protected]
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Histoire d’une vie
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
Accès
Scène nationale de Sénart
La Coupole
Rue Jean-François Millet
77385 Combs-la-Ville Cedex
Adm. 01 60 34 53 70
Résas 01 60 34 53 60
www.scenenationale-senart.com
Par la route
Par le RER D via Combs-la-Ville
Depuis Paris, suivre l’autoroute A6 jusqu’à
Évry (25 km) ou suivre l’autoroute A4 jusqu’à
Lognes (20 km) puis prendre la Francilienne
(N104) et sortir à Combs-la-Ville sortie 24.
• arrêt Combs-la-Ville – Quincy
• puis bus MI-DO arrêt La Coupole.
Depuis Melun, suivre l’autoroute A5a direction
Paris puis prendre la Francilienne (N104) et
sortir à Combs-la-Ville sortie 24.
puis
•p
rendre à droite vers Combs-la-Ville,
•u
ne fois dans Combs-la-Ville, au rond-point
suivre les flèches « La Coupole ».
Paris
Sénart
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À savoir : Les plans d’accès des différents lieux
sont téléchargeables sur notre site Internet.