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Commission n°1 "Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche" Compte-rendu de la 4ème session du 05 mai 2009 Commission n° 1 " Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche " _________ Mardi 05 mai 2009 de 20h à 22h Compte-rendu ________ Etaient présents : Mmes, MM. Denis SOMMER Paul COIZET Jean-Jacques JOLY Vice-président de la Communauté d’agglomération du Pays de Montbéliard Président de la Communauté de communes du Sud Territoire Vice-président de la Communauté de communes du Pays d’Héricourt Vice-président, Communauté de l’agglomération belfortaine Conseiller général du Doubs Conseiller général de Haute-Saône Michel ESTIENNE Jérôme THEVENOT Jean-Louis GUILLET Jean-Pierre LEHEC Anne PONS Bruno VIDALIE Jean-Denis VINCENT Emmanuel BERTRAND Rachel VOSSOT Jean-Louis AMAT Michel STENTA Cédric NISSOU Foudil TEGUIA Johan THIENARD DGA, CG90 DGA, CAPM DGA, CG25 Directeur, CG 90 Directrice, ADUPM Directeur, AUTB Directeur, ADEBT Directeur, SEM Numérica Directrice, MDE 90 DGA, ADUPM Responsable Pôle, ADUPM Chargé de mission, CAB Directeur, SMAU Agent de développement, SMAU Christian RAYOT Jacques ABRY Christian PROUST Excusés : MM. Abdelaziz SEKRI Bernard GARGALLO Michel ROMAND Adjoint au Maire, Montbéliard Directeur, MDE Pays de Montbéliard Directeur adjoint, Institut Pierre Vernier SMAU 1/7 Commission n°1 "Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche" Compte-rendu de la 4ème session du 05 mai 2009 Ordre du jour - Contribution de la CAPM au texte présenté par le Territoire de Belfort ; - Finalisation d’une synthèse en vue du séminaire du 29 mai ________________________ A. Contribution de la CAPM Denis SOMMER ouvre directement la séance avec l’appréciation portée par les responsables de la CAPM sur le texte de synthèse rédigé par Michel ESTIENNE et présenté lors de la séance précédente au nom de la partie belfortaine. Il insiste tout d’abord sur la qualité de la rédaction, sur la fidèle retranscription des discussions qui ont animé la Commission et sur la neutralité de la contribution qui ne peut être par conséquent qualifié de « document du Territoire de Belfort ». Ce texte représente une base solide de discussion, acceptable par la partie Doubs, ce que Christian PROUST souligne par la suite comme étant un point extrêmement positif. Denis SOMMER fait part cependant d’un certain nombre de réserves qui font ensuite l’objet de discussions au cours de la séance. Il relève une expression qui mérite d’être reformulée pour évacuer toute ambiguïté : « Les actions de diversification […] ne pourront rester que marginales ». Denis SOMMER expose différents types de stratégies de diversification dont certaines ne peuvent être exclues ou qualifiée de « marginales », donc négligées dans le projet Aire urbaine : - - - La diversification par la création d’une nouvelle filière sur le territoire favorisée par la disponibilité du foncier, à l’exemple de l’agroalimentaire. Malgré une agriculture encore présente dans le Nord-Est Franche-Comté, ce secteur est très faiblement représenté dans l’économie locale, sans doute à cause de la pression permanente de l’urbanisation et des besoins liés au développement économique. Situation accentuée par l’absence d’un produit porteur. Après les interventions de Jacques ABRY, Christian RAYOT et Christian PROUST, la commission reconnaît que l’agroalimentaire ne fait pas réellement partie des opportunités, sauf à l’exploiter en termes d’images selon Emmanuel BERTAND, avec l’agriculture biologique, la vente directe... La diversification par l’anticipation des évolutions des filières présentes sur le territoire : l’économie de l’automobile va beaucoup changer dans la prochaine décennie et de nouveaux marchés vont apparaître mettant l’accent sur la mobilité durable. Des passerelles vont se créer vers d’autres secteurs, notamment l’énergie, avec les moteurs hybrides et l’électricité. Le Pôle Véhicule du futur vise ou devrait viser cet objectif d’adaptation/anticipation. La diversification en explorant de nouveaux marchés s’appuyant sur des compétences locales, à l’exemple d’un cluster sur la santé (machineries) ou de l’ergonomie du travail. SMAU 2/7 Commission n°1 "Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche" Compte-rendu de la 4ème session du 05 mai 2009 Par ailleurs, Denis SOMMER rappelle que certains projets de diversification existent déjà, au premier rang desquels Numérica, et que cet effort doit être poursuivi. Christian PROUST explique que la phrase incriminée visait à exclure la diversification au sens étroit du terme comme une alternative à l’effondrement des secteurs de l’automobile et de l’énergie, réaffirmant par là l’attachement de l’Aire urbaine à ses caractéristiques industrielles. Elle n’exclue pas en revanche de s’intéresser à de nouvelles filières quand l’opportunité se présente. Une reformulation est donc tout à fait souhaitable. Denis SOMMER et Anne PONS s’interrogent ensuite sur la réalité d’ « un bassin d’emploi qui tend à s’unifier » alors que les déséquilibres persistent en l’absence d’indicateurs favorables à cette intégration. Il s’avère par la suite, chiffres à l’appui1, que les échanges d’actifs entre les bassins d’emplois de Belfort, de Montbéliard, et d’autres externes à l’Aire urbaine, croissent effectivement de manière sensible sur la longue durée (ils ont doublés dans les deux sens depuis 1982 pour le Territoire de Belfort), même s’il faut en relativiser la proportion dans le nombre d’emplois total. De fait, l’Aire urbaine n’est pas à proprement parler un bassin d’emploi multipolarisé et l’on observe une forme de sectorisation résidentielle en fonction du lieu de travail. Cependant, l’ « intégration d’un marché du travail élargi », en tant que processus en cours, ne fait guère de doute, et cela représente une chance en donnant la possibilité aux actifs d’optimiser leurs parcours professionnels, notamment pour les couples. En revanche, les représentants de la CAPM se demandent si cette intégration ne se fait pas à leurs dépends. Il apparaît en effet que le Territoire de Belfort est plus dynamique économiquement sur les dernières années et donc que le solde d’échange des actifs, qui est d’ailleurs encore positif pour le Pays de Montbéliard, se réduit en faveur des belfortains. Ce débat est détaillé au point C. Denis SOMMER demande que le document insiste sur certains constats ou notions déjà évoqués lors des réunions précédentes : - Un « territoire d’expérimentation pour la mobilité », c'est-à-dire non seulement inventer les outils de cette mobilité mais aussi créer les conditions adéquates sur le territoire pour pouvoir les appliquer. - Le besoin d’introduire de l’intelligence sur le territoire, qui passe notamment par le tertiaire supérieur et dont le déficit se traduit par une réactivité des PME/PMI plus faible que la moyenne à la croissance économique. Il est précisé à ce sujet qu’un séminaire sur les fonctions urbaines supérieures pourrait faire l’objet d’une réflexion commune d’ici son organisation en fin d’année 2009. - Le fait que les politiques publiques existantes ne produisent pas tous leurs effets par méconnaissance ou manque d’implication des structures publiques. - La formation comme un palliatif aux soubresauts de l’industrie qui produit de la richesse mais aussi des drames sociaux. Ce qui suppose aussi qu’au-delà des filières technologiques, certes essentielles, le développement des filières sociales devra être davantage encouragé dans les 3 principaux établissements universitaires et plus particulièrement l’UFC. Denis SOMMER demande enfin à ce que le projet s’appuie davantage sur les initiatives déjà engagées et les structures déjà en fonctionnement, par exemple Aire urbaine Investissement, l’Institut Pierre 1 Michel STENTA annonce la publication prochaine d’un Essentiel de l’INSEE sur la question des déplacements domiciletravail. SMAU 3/7 Commission n°1 "Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche" Compte-rendu de la 4ème session du 05 mai 2009 Vernier, le Pôle Véhicule du futur, le Cluster santé,… à quoi pourrait s’ajouter le rapprochement des agences et de certaines SEM. En réaction immédiate, Jacques ABRY : - relève le problème de la main d’œuvre non qualifiée qui risque d’être oublié en mettant l’accent sur le développement des fonctions supérieures, - réaffirme la nécessité de réfléchir en termes d’attractivité du territoire, - rappelle l’urgence de régler la question de la fiscalité. Sur ce dernier point, les participants sont informés que la Commission gouvernance souhaite engager dans les meilleurs délais la réflexion sur un accord de partage fiscal selon les termes évoqués par la présente Commission lors des séances précédentes. Christian RAYOT insiste sur le côté « marginal » du développement attendu de la diversification et ce, au regard du poids, de l’implantation et de la culture industrielle locale. Il s’interroge cependant sur la réelle volonté politique des différentes collectivités à construire l’Aire urbaine en matière économique notamment. Avant de songer à la fusion des outils, il oppose l’absolue nécessité de se mettre d’accord sur le fond. Le débat s’engage alors sur la méthode et sur les freins qui pourraient entraver la mise en place du projet Aire urbaine. B. Pôles d’intérêt Aire urbaine, centralités et espace central Denis SOMMER et Paul COIZET font part du débat interne à la CAPM concernant la définition du site PSA Sochaux comme l’un des 2 pôles majeurs d’intérêt Aire urbaine. Pour une compréhension partagée, il est demandé de prendre en compte un paramètre essentiel à l’analyse globale : l’immobilier n’est pas maîtrisé et la mise en place d’un projet politique pour ce périmètre est une démarche à peine entamée. En parallèle, il est demandé de tenir compte des choix arrêtés par la CAPM, en particulier l’urbanisation des Gros Pierrons comme nouvelle centralité du Pays de Montbéliard. Le Plan de Prévention des Risques d’Inondations (PPRI) contraint également fortement les restructurations autour de PSA. D’une façon générale, les montbéliardais soulignent que la forme urbaine est un des paramètres du développement économique sur lequel il faudra jouer. Sur ce point particulier, Christian PROUST expose la stratégie de l’agglomération belfortaine qui a consisté à concentrer les investissements et les fonctions urbaines sur le centre-ville dans un périmètre réduit d’environ 1 km², quitte à lutter contre le développement d’autres pôles ou zones commerciales périphériques. Il doute qu’il soit possible de créer rapidement une nouvelle centralité unique dans le Pays de Montbéliard avec toutes les « aménités urbaines » caractéristiques d’un centre-ville. Il juge même l’idée problématique par rapport aux cœurs de ville de Montbéliard et Audincourt qui ont déjà fortement souffert d’une dispersion des priorités. Cependant le modèle belfortain n’est applicable ni au Pays de Montbéliard, agglomération polynucléaire, et encore moins à l’ensemble du Nord-Est Franche-Comté. Se pose alors la question du modèle d’agglomération à adopter pour l’Aire urbaine. S’appuyant sur l’étude présentée lors de la séance SMAU 4/7 Commission n°1 "Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche" Compte-rendu de la 4ème session du 05 mai 2009 précédente concernant l’immobilier de bureau, Christian PROUST explique que le propre des métropoles régionales et internationales est justement de disposer de plusieurs points de centralité avec des fonctions différentes au sein même de l’agglomération puisqu’il n’est pas géographiquement possible de concentrer tous les équipements et infrastructures nécessaires dans un périmètre restreint. Il s’ensuit néanmoins un problème de définition du mot « centralité » qui ne recouvre apparemment pas les mêmes notions selon les interlocuteurs. Jean-Pierre LEHEC soutient que l’espace central sera bel et bien une centralité même si ne s’y trouve qu’une gare et des surfaces tertiaires, situation qui, selon Paul COIZET, ferait de cette espace une zone désertée à partir de 17 h et le week-end, alors que la volonté politique est d’en faire une vitrine plus représentative de la vie du territoire. En pratique cependant, cette « centralité », vitale pour l’Aire urbaine, ne présentera pas les mêmes caractéristiques que les cœurs de ville, dont l’intérêt économique sera ardemment défendu par les collectivités concernées. Christian PROUST réitère à ce propos le parti d’aménagement actuel adopté par le Territoire de Belfort qui consiste à ne pas développer dans l’Espace central (au sens étroit) des fonctions autres qu’économiques. Il faudra cependant réfléchir à une politique d’habitat pour le « losange » délimité par Belfort, Montbéliard, Héricourt et Delle pour canaliser une très probable et forte pression urbaine. L’espace central a donc vocation à accueillir les fonctions métropolitaines qui ne peuvent exister qu’à l’échelle de l’Aire urbaine sans prélèvement sur Belfort et Montbéliard. Dans le prolongement, Anne PONS pose le problème de l’accessibilité qui va de pair avec le développement de la centralité « espace central ». A la crainte exprimée par les montbéliardais, Michel ESTIENNE oppose la peur aussi importante selon lui rencontrée chez les belfortains de se voir privés de leurs prérogatives urbaines. Il parle d’une « disjonction » entre les énormes attentes de la population et la menace ressentie par les pôles urbains et les collectivités. C. Le spectre du « rééquilibrage » Denis SOMMER et Paul COIZET font état d’un décalage du Pays de Montbéliard par rapport au Territoire de Belfort en termes de définition d’un projet politique et de dynamisme économique que les nouveaux élus disent avoir l’intention de rattraper. Les Etats généraux du futur doivent donner des orientations dans ce sens. Il faut donc davantage prendre en compte ces différences sous peine de porter un mauvais diagnostic. Christian PROUST rappelle alors le refus des belfortains de s’inscrire dans une logique de « rééquilibrage ». Le Territoire de Belfort n’attendra pas après le Pays de Montbéliard pour réaliser ses projets, auquel cas il remarque que tout le monde serait perdant, puisque les avancées de l’un profitent théoriquement à tous les partenaires et réciproquement. Il n’est pas non plus dans son intention de dicter des choix aux Montbéliardais qui ont la pleine et entière légitimité de déterminer leur stratégie. Ils doivent selon lui « se saisir » de la dimension métropolitaine qui implique de multiples centralités. Par exemple, le développement des Gros Pierrons n’est pas contradictoire avec l’objectif des 4 pôles tertiaires, dont deux restent à définir par la CAPM, et les 50 à 100 000 m² prévus dans les ZAC TGV et Plutons. Il n’en reste pas moins, comme le remarque Denis SOMMER, que le Pays de Montbéliard ne peut plus se permettre de perdre 10 % de sa population entre chaque recensement. Le partenariat avec le Territoire de Belfort ne sera viable que si le rapprochement n’aggrave pas cette tendance et que le SMAU 5/7 Commission n°1 "Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche" Compte-rendu de la 4ème session du 05 mai 2009 Doubs trouve des voies pour rebondir durablement. Dans cette optique, l’apport de l’expérience belfortaine serait fortement appréciable. Christian PROUST ajoute que personne n’a intérêt à affaiblir Montbéliard puisque, selon l’idée admise par la Commission, l’Aire urbaine dans son ensemble en souffrirait. La Commission se demande à quel niveau l’Aire urbaine doit intervenir dans la définition des stratégies des collectivités. Paul COIZET remarque que l’Aire urbaine revient sans cesse dans les ateliers des Etats généraux du futur. Denis SOMMER souhaite que l’Aire urbaine nourrisse les projets des collectivités ; le séminaire du 29 mai étant d’ailleurs bien placé avant la conclusion du projet de la CAPM. Jean-Pierre LEHEC observe de son côté que les collectivités ont besoin du « global » afin de donner une autre dimension à leurs projets d’agglomération. D. La métropolisation Christian PROUST souhaite que l’Aire urbaine se place clairement dans une perspective de métropolisation, ce qui a concrètement comme incidences de devoir s’acquitter d’un certain nombre de critères « nécessaires mais non suffisants », à savoir : - - une bonne accessibilité à l’international, ce qui sera le cas avec l’arrivée du TGV et la proximité de l’EuroAirport. La capacité à organiser des évènements internationaux. En dehors de l’Axone et de l’Atria qui ne sont pas forcément adaptés, il manque un Parc des expositions (PEX). Un pôle de recherche universitaire performant (recherche, relations avec les entreprises, développement à l’international). La situation actuelle est jugée insuffisante par Christian PROUST. Une masse critique d’emplois métropolitains pour attirer de la main d’œuvre et des investisseurs. L’Aire urbaine est clairement en déficit dans ce domaine. Une offre d’immobilier de bureau importante et adéquate. D’où l’idée du développement de 4 nouveaux pôles tertiaires. Jacques ABRY remarque que le projet d’un PEX a été « retoqué » par les élus du SMAU il y a quelques années car le marché était jugé trop restreint pour atteindre la rentabilité. Christian PROUST précise que la métropolisation s’accompagne d’une fiscalité accrue pour financer des investissements d’envergure, d’où sa demande aux agences d’inclure ce critère dans les indicateurs qu’elles utiliseront pour leur présentation lors du séminaire du 29 mai. Négliger la dimension métropolitaine conduirait alors à un repli sur des enjeux locaux peu en rapport avec les ambitions exprimées jusqu’ici. E. Préparation du séminaire Les belfortains demandent que la CAPM reformulent les passages discutés dans la synthèse de Michel ESTIENNE et qu’un aller-retour par l’intermédiaire du SMAU se fasse entre les techniciens référents de chaque collectivité (CCPH et CCST comprises). Le texte finalisé sera validé par les élus de la Commission avant le 29 mai. SMAU 6/7 Commission n°1 "Industrie, développement économique, enseignement supérieur et recherche" Compte-rendu de la 4ème session du 05 mai 2009 Il sera fait de même pour le travail demandé aux agences sur la métropolisation et les agglomérations comparables en taille à l’Aire urbaine au niveau national. Foudil TEGUIA évoque l’organisation du séminaire du 29 mai sur une demi-journée, soit de 9 h à 13 h. Les élus présents s’étonnent de cette décision et protestent contre ce format imposé qui ne respecte pas le travail fourni et l’implication des acteurs sollicités. L’idée d’un grand séminaire, plus approprié, proposé à la rentrée ne peut être discutée dans l’immédiat sans un compromis préalable sur le séminaire du 29 mai prochain. Les élus saisiront officiellement le Président du SMAU à ce sujet. Rappel du calendrier de la Commission n°1: N° Programme des réunions Date 1 Définition de la méthode de travail de la Commission n°1 Débat liminaire relatif aux problématiques traitées par la commission Mardi 31 mars 2009 à 20h 2 Présentation par chacune des 4 composantes de l’Aire urbaine (Doubs et/ou CAPM, Pays d’Héricourt, Territoire de Belfort, Sud-Territoire) d’un diagnostic dynamique : Elaboration d’une vision partagée des territoires. Jeudi 09 avril 2009 à 20h 3 Présentation des réflexions stratégiques des collectivités Mardi 21 avril 2009 à 20h 4 Synthèse / élaboration de la contribution au séminaire du 29 mai 2009 Mardi 05 mai 2009 à 20h SMAU 7/7