Carrière sportive en tant

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Carrière sportive en tant
MEDIA GUIDE
SEVENS WORLD SERIES, round 7
Tokyo, le 4 et 5 avril 2015
LES JOUEURS
FRANCE 7
La liste des joueurs
AICARDI Jérémy (FFR)
BARRY Steeve (FFR)
BOUHRAOUA Terry (FFR)
CANDELON Julien (FFR)
DALL’ IGNA Manoël (FFR)
INIGO Vincent (FFR)
LAKAFIA Pierre-Gilles (FFR)
LAUGEL Jonathan (FFR)
MAZOUE Jean-Baptiste (FFR)
PAREZ Stephen (FFR)
VAKATAWA Virimi (FFR)
VALLEAU Sacha (Stade Toulousain, pôle France 2014/2015)
Jérémy AICARDI
26/11/1988
Ouvreur (5)
1M 78 – 83kg
Surnom : Bacard’
En contrat FFR depuis :
28/05/2014
Clubs successifs: Stade Laurentin Rugby (club formateur), RC Cannes Mandelieu,
CS Bourgoin Jallieu, US Montmelianaise, US Oyonnax, Sporting Nazairien Rugby, FFR
Quel est l’objectif de la saison : S’engager pour gagner
Mon tournoi IRB Sevens préféré: Gold Coast, car c’était mon premier !
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : Marquer des essais
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : Ne pas jouer
Que représentent les JO pour moi : Un événement unique à vivre
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : Les victoires d’Usain BOLT
Aicardi, le néo-converti
Jérémy Aicardi ou comment le 7 peut faire l’effet d’une révélation. « Si on m’avait dit il y a trois ans, lorsque j’évoluais à Oyonnax en
Pro D2, que je serais un jour international à 7, je n’y aurais jamais cru. » Et pourtant, aujourd’hui c’est très clair dans son esprit : « Je
ne veux plus entendre parler du XV. Il y a moins d’espace, tu touches très peu de ballons. » A l’inverse, lorsqu’il évoque le 7, son
débit s’emballe : « Il n’y a pas mieux. Déjà, physiquement, tu es préparé comme une machine sinon tu exploses direct. Et puis tu
touches trois fois plus de ballons. » La révélation a été progressive chez l’ancien Berjallien et Oyonnaxien, passé en 2013-2014 par
les joutes de la Fédérale 1 à Nevers, faute d’opportunité à l’échelon supérieur. Après avoir disputé quelques tournois à 7 amateurs
puis avec France développement, il est appelé en octobre 2013 par l’équipe de France pour disputer le tournoi IRB de Gold Coast en
Australie. Le virus le prend sans tarder et le petit gars de Saint-Laurent-du-Var, titulaire d’une formation en soudure, décide que son
salut dans le rugby passera par le 7. Bonne pioche puisqu’il signe au printemps 2014 un contrat pro avec la FFR. Son sens des duels
et sa capacité à casser les plaquages font des ravages dans les défenses adverses. Pour sa première saison chez les Bleus, ce
grand amateur de pêche s’est fixé pour objectif « d’avoir du temps de jeu. C’est la seule manière de progresser. Il faut jouer, jouer,
jouer. »
Steeve BARRY
Clubs successifs: Ruffec AC (club formateur), SC Angoulême, Stade Rochelais, FFR
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : Grâce au championnat de France de rugby à 7 des clubs (Espoirs Pro)
Mon tournoi Sevens préféré: Wellington pour l’ambiance et le niveau
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : Le jeu, la liberté et les espaces
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : Rien
18/04/1991
Que représentent les JO pour moi: C’est la plus grande et importante compétition au Monde
Centre (6)
1 M 81– 87 kg
En contrat FFR depuis :
07/2012
Steeve Barry, le puncheur
Ne vous fiez surtout pas aux apparences. Steeve Barry, avec son mètre 81, ses 87 kg, et son air timide de premier de la classe,
n’est sans doute pas le joueur le plus impressionnant de France 7. Il est pourtant l’un des plus explosifs. Ballon en main, le centre
des Bleus, avec sa vitesse, son solide raffut et ses appuis électriques, est capable de déchirer toutes les défenses adverses. Un vrai
puncheur. « Un joueur hyper puissant qui égale aujourd’hui les meilleurs du circuit, qui emporte son défenseur avec lui s’il ne le fait
pas tomber tout de suite », atteste l’entraîneur Frédéric Pomarel, qui en a fait un élément incontournable de sa ligne d’attaque.
Surtout depuis que Steeve gère mieux ses efforts. « Au début, il avait pris l’habitude de lever la main après trois ou quatre minutes
pour demander un remplacement, poursuit Pomarel. Ce n’est plus le cas, il est meilleur dans la connaissance de son effort. Il prend
de la bouteille au fur et à mesure qu’il enchaîne les tournois. »
Le Charentais d’origine, passé par Angoulême et La Rochelle, s’épanouit pleinement à 7 depuis qu’il a signé son contrat
professionnel avec la FFR en juillet 2012. Pour le jeu, bien sûr. « C’est un sport où je prends beaucoup de plaisir, il y a davantage
d’espaces et je touche plus de ballons qu’à XV. Physiquement, j’ai perdu 6 kg. Je sens que je peux courir plus rapidement, plus
longtemps. » Mais aussi pour tout ce que l’expérience du 7 lui apporte sur le plan humain. « On voyage, on visite beaucoup de pays,
c’est bien plus passionnant que le XV. J’ai eu l’opportunité de jouer une Coupe du monde (à Moscou en 2013).
Peut-être les Jeux olympiques. Ce sont les émotions les plus fortes que je n’ai jamais ressenties. »
Terry BOUHRAOUA
Clubs successifs: CA Brive Correze (club formateur), Stade Français Paris, AS Béziers, FFR
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : Avec les sélections en championnat d’Europe et
championnats régionaux
29/08/1987
Demi de mêlée (4)
Mon tournoi Sevens préféré: Dubaï, pour le décalage entre la folie que génère le tournoi et
les coutumes du pays
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : La place à l’improvisation, l’adaptation dans son jeu si
fluide… et la folie des joueurs
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : … les défaites …
1 M 69 – 65 kg
Que représentent les JO pour moi: L’objectif d’une vie
En contrat FFR depuis :
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : Les JO de Londres et les émotions des
2010
athlètes vainqueurs ou perdants
Terry Bouhraoua, le funambule
S’il fallait résumer ce dont Terry Bouhraoua est capable sur un terrain de rugby à 7, il faudrait jeter un œil, encore et encore, à son
essai contre l’Australie (17-17) lors de la Coupe du monde 2013 à Moscou. Ou quand la folie vire au génie. Acculé dans ses 22 mètres,
sous pression, le plus petit joueur du circuit mondial (1,69m, 65 kg) décide de relancer là où tout le monde, ou presque, aurait paré au
plus pressé en dégageant en touche. Il virevolte, crochète, fait perdre la tête à toute la défense australienne pour inscrire un essai en
solitaire de 80 mètres qui qualifie les Bleus pour les quarts de finale. « J’ai ce côté instinctif en moi et le rugby à 7 m’offre la chance de
l’exprimer davantage qu’à XV. »
Terry Bouhraoua n’en fait pas mystère. Le XV et son cadre plus restrictif avaient fini par l’étouffer un peu. « A XV, c’est plus compliqué
de retrouver ça, surtout quand tu joues demi de mêlée. Il faut faire le moins d’erreurs possibles et, malheureusement, faire le moins
d’erreurs possibles, c’est souvent prendre le moins de risques possibles. Ça ne me correspond pas trop. »
Dès lors, l’ancien joueur du Stade Français, qui compte une trentaine de matches en Top 14, n’a pas hésité une seconde à l’été 2010 à
rejoindre l’équipe de France à 7, dont il fut l’un des quatre premiers joueurs sous contrat. « Mon passage à 7 a sonné comme une
évidence, pour l’état d’esprit que véhicule ce sport et pour ce que ce jeu laisse comme liberté.
En tant que demi de mêlée, j’essaie d’être maître du cadre collectif et, de temps en temps, de trouver l’échappatoire pour laisser
exprimer mon instinct naturel le temps d’une action. » Pour le plus grand bonheur des Bleus.
Julien CANDELON
Clubs successifs: Tournon d’agenais (club formateur), Villeneuve sur Lot, SU Agen, Stade
Toulousain, RC Narbonne, USA Perpignan, FFR
08/07/1980
Ailier (7)
1 M 70 – 80 kg
Surnom : Candel
En contrat FFR depuis
07/2012
Comment j’ai découvert le rugby à 7 :
En 2006, lorsque j’ai été sélectionné par Thierry JANECZEK (Circuit IRB)
Mon tournoi Sevens préféré : Gold Coast…
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : L’intensité des efforts et l’ambiance qui règne dans le 7
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : Rien
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : Les performances de Usain BOLT ainsi
que celles de l’équipe masculine de Handball aux JO de Pékin (2008) et Londres (2012)
:
Que représentent les JO pour moi : Les vraies valeurs du sport et de la fraternité
Julien Candelon, le match winner
Julien Candelon est un intrus. Pourquoi ? Car il est le seul membre de France 7 à avoir déjà été sélectionné en équipe de France à XV.
Ses deux sélections remontent à 2005 en Afrique du Sud et en Australie. Deux sélections pour… deux essais ! Une manière de rappeler
les redoutables qualités de finisseur que Julien Candelon a mises à profit successivement de Narbonne (2003-2007), Perpignan (20072012) et depuis juillet 2012, de l’équipe de France à 7.
Une équipe au contact de laquelle « Candel », doyen des Bleus, dit avoir pris « un coup de fraicheur ». « Physiquement, je me sens
rajeuni parce que j’ai retrouvé un niveau de performance, notamment en termes de vitesse, que j’avais perdu sur la fin de ma carrière à
XV », dit-il, revanchard. « Cela prouve qu’il faut juger les joueurs en fonction de la performance et non pas de l’âge. C’est un mal très
français. »
S’il court après le temps, Candelon, qui avait eu un avant goût « très positif » du 7 en disputant ses deux premiers tournois IRB en 2006,
court aussi après les essais. Depuis son retour en 2012, il s’est imposé comme l’un des marqueurs les plus redoutables du circuit
mondial, tirant à plusieurs reprises les Bleus de mauvais pas en inscrivant des essais décisifs. A tel point qu’il est devenu aujourd’hui
l’un des éléments incontournables de cette équipe, que ce soit à l’aile, mais aussi à la mêlée où il exprime sa polyvalence.
Avec, toujours dans un coin de la tête, les Jeux de Rio. « C’est ce qui m’a fait venir. Je veux finir ma carrière sur les JO. C’est mon
ultime objectif »
Manoël DALL’IGNA
Clubs successifs: Sporting Club Royannais (club formateur), US Romanaise et Péageoise ,
Montpellier HRC , Atlantique Stade Rochelais, FFR
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : En catégorie Espoirs
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : L’adrénaline que procurent les grands espaces
12/03/1985
Pilier / Talonneur(1,2,3)
1 M 83 – 92 kg
Surnom : Chicken
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : La frustration de ne pas pouvoir donner plus
quand la fatigue est là
Que représentent les JO pour moi: L’événement sportif le plus important au Monde
En contrat FFR depuis : Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : La domination de Teddy Riner aux
JO de Londres (2012)
08/2011
Manoël Dall’Igna, le Monsieur Propre
Manoël Dall’Igna est un humble. Ascendant modeste. « Je n’ai pas de gros points forts », dit-il. Avant de préciser. « Je n’ai pas de gros
points faibles. » Et c’est justement là son point fort. Manoël Dall’Igna, surnommé « Chicken » par ses partenaires pour son style de
course inimitable et sa capacité à se déplacer aux quatre coins du terrain, est l’homme à tout bien faire de France 7. Celui que son
coach, Frédéric Pomarel, a baptisé « Monsieur 95% », comme le pourcentage de ses interventions positives sur le terrain.
Ancien centre ou ailier à 15, passé notamment par Montpellier et La Rochelle, Manoël Dall’Igna est le talonneur (poste 2) des Bleus, un
poste où il peut faire valoir son registre de joueur à la fois « puissant et mobile, fort dans les rucks ». De lui, n’attendez pas de
fulgurances de 80m. « Je suis plutôt du genre à jouer la sécurité plutôt qu’à prendre des risques. » En revanche assurez-vous de son
goût du travail bien fait. « Je déteste mal faire les choses. » Et de son don de soi permanent. « A 7, contrairement à 15, je suis utile à
tous les instants, c’est ce qui me motive. Je mets toute mon énergie pour venir en aide à mon équipe quand elle est en difficulté. »
Passionné de préparation physique depuis l’adolescence – « c’est d’ailleurs ce qui m’a permis d’optimiser mon potentiel sans avoir de
grand talent » – Manoël est tourné à 100% vers l’objectif Rio 2016.
« Ma vie ne tourne qu’autour de ça. Je me lève en pensant à ça et je me couche en pensant à ça. Je me demande en permanence
comment me préparer et comment aider l’équipe pour y être. »
Vincent INIGO
Clubs successifs: Aviron Bayonnais (club formateur), Castres Olympique, FFR
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : Il y a 6 ans, au tournoi de Dubaï
Mon tournoi Sevens préféré: Hong Kong pour la ferveur et l’engouement
10/02/1983
Demi de mêlée ou
centre (4,6)
1 M 75 – 80 kg
Surnoms : Vinc / Pipo
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : L’esprit d’équipe, jouer dans des stades bondés et le
jeu en lui –même car il y a beaucoup d’espaces
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : Être dans le rouge en moins de 2 minutes
Que représentent les JO pour moi: Représenter son pays est un aboutissement de
toute une carrière sportive
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : L’or français 4 x 100 mètres nage
libre et Usain Bolt en 100 mètres à Londres (2012)
En contrat FFR depuis :
08/2012
Vincent Inigo, le polyvalent
Vincent Inigo, c’est un peu le couteau suisse des Bleus. Le joueur indispensable qui peut dépanner à tous les postes derrière,
l’archétype du joueur polyvalent. « Poly-vaillant », rectifie-t-il en rigolant pour souligner ses qualités de combattant. « Tant que je ne joue
pas devant, ça me va. »
Celui que ses partenaires surnomment « Pipo », pour sa ressemblance toute relative avec le footballeur italien Pipo Inzaghi, a rejoint
France 7 à l’été 2012 après sept saisons de Top 14 à Bayonne puis Castres. Non conservé par le club tarnais et « un peu frustré » de
son expérience à XV, Vincent Inigo tombe alors par hasard sur une petite annonce de France 7 dans le Midi Olympique. Deux coups de
fil plus tard et un test concluant lors d’un tournoi qualificatif pour la Coupe du monde à Faro (Portugal) en juillet 2012 et voilà Vincent
embarqué dans l’aventure. « C’est un jeu qui me correspond. J’ai un petit gabarit, je suis un joueur d’appuis. »
Surtout, Inigo est loin d’être un novice. Champion du monde universitaire à 7, à Rome en 2006, sous la houlette de Frédéric Pomarel, il
avait déjà disputé plusieurs tournois IRB en 2006 et 2009. « J’avais eu un super feeling, je m’étais régalé dès le premier tournoi. »
Impression confirmée depuis. « On joue dans des stades avec une ambiance extraordinaire. Même en Top 14, tu ne vois pas ça. Ça me
file des frissons, à chaque fois je suis transporté. »
Comme tous ses partenaires, il rêve des Jeux de Rio en 2016. « Quand c’est dur à l’entraînement, on se le dit entre nous pour se
motiver : « Pense aux JO ». Tu fais alors le petit effort supplémentaire pour te surpasser. »
Pierre – Gilles LAKAFIA
Clubs successifs: Tours (club formateur) , ASM Clermont Auvergne, Grenoble, Albi, Toulouse,
Castres, FFR
Pôle France : promotion 2005/2006
12/03/1987
Pilier ou Arrière
(1, 3, 7)
1 M 86 - 95 KG
Surnom : PG, Lakaf’
En contrat FFR :
09/2014
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : Quand j’étais joueur au Stade Toulousain, je
manquais de temps de jeu, alors Guy Noves m’a permis de participer à la tournée du Sevens
Series à Hong Kong et Adelaïde
Mon tournoi Sevens préféré: Hong Kong parce que c’est le tournoi de référence à 7 , pour
tous les grands joueurs qui y ont participé, l’ambiance, le stade
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : Le jeu, l'ambiance, l'état d'esprit
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : L’endurance qu’il faut constamment travailler
tant c’est un paramètre incontournable de ce sport
Que représentent les JO pour moi: Faire comme mon père qui a fait les Jeux Olympiques
de Los Angeles comme lanceur de javelot pour la France
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : Aucun en particulier, le simple fait de
relier les JO à mon père rend l’événement particulier pour moi
Lakafia, l’héritier
Des 18 joueurs sous contrat avec la Fédération, qui espèrent tous disputer les Jeux de Rio en 2016, Pierre-Gilles Lakafia est le seul à
pouvoir se targuer d’être le descendant d’un athlète olympique. Oui, Jean-Paul Lakafia, son père, a disputé les Jeux de 1984 à Los
Angeles en tant que lanceur de javelot. « La petite histoire veut que mon père aurait dû être médaillé. Son premier jet valait une place
sur le podium mais il a été annulé par un juge car le javelot est tombé à plat. Les vidéos montrent pourtant qu’il était valable. » Lorsqu’on
lui suggère qu’il pourrait venger son père en 2016 en montant sur le podium avec les Bleus, il dévoile un grand sourire : « Mouais,
encore faut-il se qualifier ! » Passé par Albi, Toulouse et Castres, où il regrette que « (s)es efforts n’aient pas toujours été
récompensés », Pierre-Gilles Lakafia, en manque de temps de jeu à XV, a fait le choix du 7 à l’été 2014. « C’est la notion de plaisir et
d’épanouissement qui l’a emporté. C’était un peu un saut dans l’inconnu mais aujourd’hui, c’est un grand bol d’air frais. J’ai le sentiment
de réapprendre le rugby. » Nouveau venu chez les Bleus, Lakafia, dont le frère Raphaël est international à XV, s’est fixé pour objectif de
« (s)’imposer dans cette équipe et d’en devenir un joueur clé. » Il peut, pour cela, compter sur ses qualités d’explosivité, de vitesse et de
puissance musculaire ainsi que sur sa polyvalence qui lui permet de jouer aussi bien aux postes de pilier (1, 3) que d’ailier (7).
Jonathan LAUGEL
Clubs successifs : Olympique Groslay Enghien Montmorency (OGEM – club formateur) , Racing Metro
92, FFR
Pôle France : promotion 2011/2012
30/01/1993
Pilier (1)
1 M 94– 100 kg
Surnom : Rabbi
En contrat FFR :
01/07/2013
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : Avec le pôle espoir de rugby à Lakanal et avec la sélection
Ile de France lors du championnat de France à 7 en 2011 (Espoirs Pro)
Mon tournoi Sevens préféré : Wellington. Il y a une ferveur autour de cette étape, une ambiance
électrique. On y ressent toute la passion du pays pour le rugby
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : Les victoires à l’arrachée qui soudent le groupe
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : Rater des coups « immanquables »
Que représentent les JO pour moi: Un melting-pot des nations et des années d’entrainement
pour quelques jours de compétition
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : La Marseillaise des athlètes français
médaillés d’or
Jonathan Laugel, le perfectionniste
Cet homme-là ne laisse rien au hasard. La performance est chez lui la conséquence d’un processus bien élaboré. « Je suis quelqu’un
de réfléchi, qui essaie d’intellectualiser certaines choses, de se poser, d’analyser. » Avec en tête l’idée de progresser, toujours. « Je
suis sans cesse à la recherche de ces 10% supplémentaires qui font que tu es imprenable sur le terrain. » Cela passe chez Jonathan
Laugel par une multitude de détails, qui vont de la nutrition à l’analyse vidéo en passant par de nombreuses lectures dans lesquelles il
puise son inspiration pour, dit-il, « progresser, positiver et accéder à l’intégralité de mes ressources ».
Etudiant à la Paris Business School, ce qui est un élément indispensable à « (s)on équilibre », l’ancien Racingman est aussi calme
dans la vie qu’il peut être « hargneux » sur le terrain, sans doute un héritage de son passé de judoka. La transformation s’effectue dans
les vestiaires selon un rite bien huilé. « Je ferme les yeux, je me masse les tempes pour me détendre et chasser les flux négatifs. Je
suis alors entièrement dédié à mon match. »
L’ancien troisième ligne à XV, passé par le Pôle France dans la même génération que Gaël Fickou ou Christopher Tolofua et par
toutes les sélections de jeunes, a rapidement été identifié par l’encadrement comme un « septiste » en devenir. Dès 2011, il participe à
son premier tournoi FIRA-AER en Roumanie. En février 2012, direction Wellington pour son premier tournoi IRB. « On avait joué un
quart de Cup, devant 40000 personnes, perdu contre la Nouvelle-Zélande (22-7). C’était un truc de fou, j’avais éprouvé des sensations
de malade. »
Jean-Baptiste MAZOUE
Clubs successifs: GS Figeac (club formateur), CA Brive, FFR
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : Lors du championnat de France espoirs avec le CA Brive
Mon tournoi Sevens préféré : Wellington, pour la beauté de la ville et l’atmosphère qui règne
dans le stade
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : Le jeu spectaculaire, l’état d’esprit. Chaque joueur est
18/05/1991
important pour l’équipe
Pilier (3)
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : Perdre …
Que représentent les JO pour moi : Le plus grand événement auquel un sportif puisse
1 M 90 – 103 kg
Surnom : Maz ou Mazou participer
En contrat FFR depuis :Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : Les sprints d’Usain Bolt, la natation
française et Michael Phelps…
08/2011
Jean-Baptiste Mazoué, le voyageur
Figeac, Ussel, Brive… Le rayon d’action de Jean-Baptiste Mazoué s’est longtemps cantonné à une centaine de kilomètres. Pas
vraiment l’âme du bourlingueur. Et puis est arrivé le rugby à 7, qu’il a découvert lors de la saison 2010-2011 où il participe à tous les
tournois IRB : Hong Kong, Wellington, Dubaï, Las Vegas… C’est la révélation. « Les voyages ça aide vachement à accrocher avec le 7.
Je ne suis pas du genre à rester chez papa-maman. »
Le virus le tient. Et va faire pencher la balance en faveur du 7 lorsque, à l’été 2011, il reçoit deux propositions de contrat : celle de la
FFR et celle du CA Brive. « J’ai voulu tenter une nouvelle aventure. Je ne savais pas trop si j’avais ma place dans une équipe
professionnelle comme Brive qui recrutait beaucoup . Plutôt que de jouer en espoirs ou de cirer le banc en première, je me suis dit que
c’était mieux de jouer au plus haut niveau à 7 et de représenter la France. »
Ce qu’il fait avec toute l’ardeur du joueur de devoir. « Mon rôle, ce n’est pas de mettre les cannes et de faire des crochets pour marquer
des essais, c’est certain. J’essaie d’être utile dans la continuité du jeu, dans la conservation du ballon. Quand il faut aller déblayer un
ruck, si je n’y arrive pas, ça va me tracasser parce que c’est mon rôle. C’est peut-être un peu moins fun pour le grand public mais c’est
là que je trouve mon plaisir. » Même s’il dit ne pas avoir bâti de plan de carrière à long terme, Mazoué se voit mal retourner à XV.
« Après avoir tant voyagé à travers le monde, je trouverais bizarre de retourner dans une petite ville de campagne en Fédérale 1 ou en
Pro D2. ». L’âme du bourlingueur…
Stephen PAREZ
Clubs successifs: Paris Université Club (PUC- club formateur), FFR
Pôle France : promotion 2012/2013
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : A Lakanal, avec le pôle espoir de rugby et avec la
sélection Ile- de – France lors du championnat de France à 7
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : J’aime tous les espaces et donc tous les duels que
01/08/1994
ça engendre ! Les matchs qui peuvent basculer à n’importe quel moment
Demi de mêlée (4)
1M74 - 75 KG
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : Le fait de se re - échauffer
Surnom : U 17
Que représentent les JO pour moi : L’histoire du Sport en général, mais aussi une
En contrat FFR depuis : compétition hors norme et magique
01/07/2013
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur :
Le 100m d’Usain Bolt en 2008 à Beijing et les 8 médailles d’or de Michael PHELPS
Stéphane Parez, l’espoir
Stéphane Parez, benjamin des Bleus, symbolise à merveille le projet fédéral. Ou comment utiliser la pratique du 7 pour atteindre le
plus haut niveau international, que ce soit à 7 ou à XV. « Le 7, je le vois comme un moyen de parfaire ma formation de joueur de
rugby, un peu comme le font les Néo-Zélandais ou les Australiens. Dans le 7, il y a une exigence de précision dans chaque geste et
j’en tire des bénéfices aussi à XV, que ce soit dans la passe, dans la gestion des espaces en attaque comme en défense ou dans les
duels en un contre un. »
Parisien pur sucre passé par la filière traditionnelle, formé au PUC puis au sport études Lakanal avant de rejoindre le Racing,
Stephen Parez a signé son premier contrat pro à 7 à l’été 2013 avec l’idée de poursuivre sa carrière à XV avec l’équipe de France
des moins de 20 ans.
Dès ses premiers tournois IRB à 7, le garçon a convaincu l’encadrement par ses qualités d’explosivité, sa vista et, malgré un petit
gabarit, sa capacité à rester debout au contact. Comme sur cette action incroyable, en demi-finale de Cup du tournoi de Tokyo en
2013, où, à seulement 18 ans, il inscrivit un essai de 100 mètres face aux Sud-Africains avec pas de l’oie, double accélération, raffut.
S’il vous plait
Des qualités indéniables qui pourraient bien l’amener aux Jeux de Rio si la France se qualifie. « Un rêve, dit-il. On y pense quand on
va à l’entraînement ou quand on a un coup de moins bien, c’est une grande source de motivation. Représenter mon pays là-bas, ce
serait un honneur. »
Virimi VAKATAWA
Clubs successifs : Racing Metro 92 (Club formateur), FFR
Ce que je préfère dans le rugby à 7 :Il y a toujours beaucoup d’espaces pour jouer, c’est
un jeu très rapide
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : Les victoires d’Usain BOLT
01/05/1992
Ailier (7)
1M 85 – 87kg
En contrat FFR depuis :
28/05/2014
Vakatawa, le facteur X
Les Anglais désignent ces joueurs d’instinct, capables de faire basculer le sort d’une rencontre d’une inspiration géniale, par cette
expression : « Facteur X ». Elle s’applique à merveille à Virimi Vakatawa. Le Fidjien d’origine, arrivé en France en 2010 par l’entremise
de Sireli Bobo et Simon Rawalui, a frappé les esprits d’entrée lorsqu’il a rejoint, au printemps 2014, l’équipe de France à 7. Sa vitesse,
ses crochets déroutants et son raffut surpuissant ont vite eu raison des meilleures défenses au monde. Et ont fini de convaincre le staff
des Bleus qu’il tenait en lui un diamant à polir. Le contrat fédéral n’a donc pas tardé. « Offensivement, Viri est hors du commun »,
clame l’entraîneur Frédéric Pomarel, qui souligne toutefois quelques lacunes à gommer au niveau défensif. L’ancien Racingman,
naturalisé français, en convient. « C’est vrai que je dois encore progresser défensivement et aussi au niveau de la forme physique car
je suis un peu lourd et les efforts sont très différents du XV. » Même s’il avoue que le XV lui manque un peu, Virimi Vakatawa se dit
« très heureux et très fier de représenter la France à 7 » et s’est fixé pour unique objectif de « qualifier les Bleus pour Rio ». Lorsqu’on
évoque un défi plus personnel, comme finir par exemple meilleur marqueur d’essais de l’équipe de France, il esquisse un sourire
timide. « Non, je n’y pense pas. L’important est de donner le meilleur de moi-même pour aider l’équipe de France à être
performante. »
Sacha VALLEAU
Club actuel : stade Toulousain
Club Formateur : Stade Toulousain
Pôle France : promotion 2014/2015
08/10/1996
pilier ou talonneur
(1,2)
Mon parcours sportif : J’ai commencé par jouer au football à l'âge de 6 ans suivant les traces
de mon père ancien footballeur professionnel, puis je suis passé au tennis avant de faire les
détections au Stade Toulousain à l'âge de 12 ans ce qui m’a permis de commencer mon
apprentissage du rugby avant de rentrer au Pôle espoirs de Toulouse pour 3 ans et d'accéder
cette année au pôle France de rugby
98 KG -1M92
Surnom : Vava
Comment j’ai découvert le rugby à 7 : Au sein de mon Pôle espoirs à Toulouse et chaque
année en début de saison un cycle de rugby à 7 était au programme pour parfaire la condition
physique et travailler techniquement.
Ton objectif sur le tournoi de Hong-Kong : Mon objectif est d’accumuler le plus de temps de jeu possible en donnant le
meilleur de moi-même sur le terrain, ce qui me permettra de goûter à l'exigence du très haut niveau à 7 tout en profitant de la
chance qui m’est donnée de participer à ce tournoi
Ce que je préfère dans le rugby à 7 : Le dépassement de soi …
Le fait de finir épuisé à la fin de chaque match et l'ambiance incroyable dans les stades.
Ce que j’aime le moins dans le rugby à 7 : La vitesse hors-norme de certains adversaires en face de moi
Que représentent les JO pour moi : C’est le mélange de cultures, de religions, de nationalités, mais surtout la même envie de
victoire présente dans chacun des participants
Meilleur souvenir de JO en tant que spectateur : l'émotion et la hargne de chaque sportif récompensé par une médaille
L’ENCADREMENT
FRANCE 7
MANAGER
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Jean-Claude SKRELA
Né le : 01/10/1949
Année d’entrée à la tête de
la DTN : 2004
Carrière sportive en tant
que Joueur:
L'Isle-Jourdain, FC Auch,
Stade toulousain, XV de
France (3ème ligne)
Carrière sportive en tant qu’
entraineur:
Stade Toulousain, US
Colomiers, XV de France
ENTRAINEUR
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Frédéric POMAREL
Né le : 19/05/1972
Année prise de fonction
actuelle : 2010
Année d’entrée à la DTN :
2005
Carrière sportive en tant
que Joueur:
Souillac, Nice, Antony,
Lanzac (demi de mêlée)
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Carrière sportive en tant qu’
entraineur:
France 7 féminines (20052010)
PREPARATEUR
PHYSIQUE
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Julien ROBINEAU
Né le : 30/12/1985
Année prise de fonction
actuelle : 2012
Année d’entrée à la DTN :
2009
KINESITHERAPEUTE
OSTHEOPATHE
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Olivier MAISETTI
Né le : 20 /01/1972
Année prise de fonction
actuelle : 2012
Année d’entrée à la DTN :
2012
Carrière sportive en tant
que préparateur physique :
Pôle France (2009-2010)
France – 20 ans (2010-2011)
INFORMATIONS
SEVENS WORLD SERIES
Saison 2014 - 2015
Sevens World Series
Étape 7 – Tokyo, le 4 et 5 avril 2015
LE PROGRAMME FRANCE 7
Poule D : Samoa, Argentine, France et Japon
Samedi 4 avril :
Samoa / France à 12H12 (5H12, heure française)
Argentine / France à 15H52 (8H52, heure française)
Japon / France à 20H04 (13H04, heure française)
LES FINALES
Dimanche 5 avril : Finale de la Shield à 16H06 (9H06, heure française)
Finale de la Bowl à 16H35 (9H35, heure française)
Finale de la Plate à 17H04 (10H04, heure française)
Finale de la Cup à 18H00 (11H00, heure française)
Statistiques des rencontres de France 7 *
SAMOA - FRANCE
Dernière rencontre : Wellington, le 07/02/15 - La France l’emporte 26 à 19
Dernière victoire des Samoa : Dubaï, 06/12/2014 – 31 à 21
ARGENTINE - FRANCE
Dernière rencontre : Hong-Kong, le 28/03/15 - l’Argentine l’emporte 26 à 5
Dernière victoire de la France : Wellington, 07/02/15 – 29 à 5
Matches joués : 35
Matches gagnés par la France : 6
Matches perdus par la France : 28
Match nul : 1
Points pour la France : 481
Points contre la France : 846
Score moyen : 24 à 14 pour les Samoa
Matches joués : 46
Matches gagnés par la France : 20
Matches perdus par la France : 26
Points pour la France : 624
Points contre la France : 749
Score moyen : 16 à 14 pour l’Argentine
Plus haut score de la France : 38 à 5 à Hong Kong, le 30/03/2014 (15ème SWS)
Plus haut score des Samoa : 44 à 5 à Londres, le 07/06/2003 (4ème SWS)
Plus haut score de la France : 31 – 14 à Gold Coast, le 25/11/2011 (13ème SWS)
Plus haut score de l’Argentine : 33 -21 à Wellington, le 06/02/2009 (10ème SWS)
FRANCE – JAPON
Dernière rencontre : Hong - Kong, le 27/03/15 - La France l’emporte 24 à 7
Dernière victoire du Japon : Adélaïde, 20/03/2010 – 21 à 15
Matches joués : 17
Matches gagnés par la France : 13
Matches perdus par la France : 4
Points pour la France : 433
Points contre la France : 195
Score moyen : 25 à 11 pour la France
Plus haut score de la France : 47 à 5 à Paris, le 27/05/2000 (1er SWS)
Plus haut score du Japon : 21 à 15 à Adelaïde , le 20/03/2010 (11ème SWS)
* Source : World Rugby
Statistiques la poule C *
SAMOA
134ème tournoi
(1ère participation à Dubaï– 1er Sevens Word Series 1999/00)
Nombre de matchs joués : 728
Nombre de matchs gagnés : 459
Nombre de matchs perdus : 246
Nombre de matchs nuls : 23
(Tokyo, 1er
Plus haut score: 75 à 0 face à la Malaisie
WS 1999/00)
Plus large défaite : 5 à 64 face aux Fidji (Singapour, 3ème WS 2001/02)
ARGENTINE
131ème tournoi
(1ère participation à Stellenbosch– 1er Sevens Word Series 1999/00)
Nombre de matchs joués : 710
Nombre de matchs gagnés : 382
Nombre de matchs perdus : 315
Nombre de matchs nuls : 13
Plus haut score : 73 à 7 face aux EAU (Dubaï, 13ème WS 2011/12)
Plus large défaite : 7 à 54 face aux Samoa (Beijing, 3ème WS 2001/02)
FRANCE
128ème tournoi
(1ère participation à Dubaï– 1er Sevens Word Series 1999/00)
Nombre de matchs joués : 691
Nombre de matchs gagnés : 309
Nombre de matchs perdus : 370
Nombre de matchs nuls : 12
JAPON
56ème tournoi
(1ère participation à Dubaï– 1er Sevens Word Series 1999/00)
Nombre de matchs joués : 287
Nombre de matchs gagnés : 77
Nombre de matchs perdus : 206
Nombre de matchs nuls : 4
Plus haut score : 63 à 12 face au Tapeï Chinois (Hong-Kong, 11ème WS 2009/10)
Plus large défaite : 0 à 66 face à la Nouvelle-Zélande (Glasgow, 13ème WS 2011/12)
Plus haut score : 54 à 0 face à Singapour (Singapour, 7ème WS 2005/06)
Plus large défaite : 0 à 61 face aux Fidji (Singapour, 1er WS 1999/00)
Sevens World Series – Tokyo, diffusé en direct
Suivez FRANCE 7 sur RUGBY +
RUGBY + retransmettra les 2 journées du tournoi de Tokyo et tous les meilleurs
moments du tournoi seront diffusés sur Canal + Sport.
Le tournoi sera commenté en direct et en intégralité sur RUGBY + :
Ø samedi 4 avril, de 2h50 à 13h30
Ø dimanche 5 avril, de 2h45 à 11h45
Retrouvez aussi, chaque jour, les meilleurs moments du tournoi sur Canal +
Sport :
Ø samedi 4 avril, de 22h09 à 23h39
Ø dimanche 5 avril, de 22h29 à 23h59
Quelques statistiques de la France sur le SWS
et le Tokyo 7’s *
Ø C’est la 6e fois que le Japon accueille une manche des Sevens World Series, les Fidji étant la
seule équipe ayant remporté la finale de la Cup à Tokyo plus d’une fois (2000 et 2014)
Ø La France a remporté la finale de la Bowl à Tokyo, en 2012 après avoir battu les Etats-Unis (1712)
Ø Ce sera la 1ère fois cette saison en Sevens World Series que la France va affronter l’hôte d’un
tournoi
Ø A Hong Kong le week-end dernier, seuls 2 joueurs ont marqué plus d’essais que le Français
Virimi Vakatawa (5), qui, avec ses 24 essais au total, se situe en 4ème position au classement
des essais du SWS 2014/15.
Ø Terry Bouhraoua est également à la 4ème place du nombre de points marqués cette saison, avec
ses 174 points et n’est qu’à 8 points du 2nd
*source : Opta
Sevens World Series 2014-2015
16ème circuit Sevens Word Series
Les étapes :
1/ Australie, Gold Coast : 11-12 octobre 2014
Ø
La France s’incline en finale de Bowl face aux USA et termine à la 10ème place
2/ Émirats arabes unis, Dubaï : 5-6 décembre 2014
Ø
La France s’incline en finale de Bowl face aux Samoa et termine à la 10ème place
3/ Afrique du Sud, Port Elizabeth : 13-14 décembre 2014
Ø La France s’incline en demi finale de Bowl face au Kenya et termine à la 12ème place
4/ Nouvelle-Zélande, Wellington : 6-7 février 2015
Ø
La France s’impose en finale de Bowl face à l’Argentine et termine à la 9ème place
5/ Etats-Unis, Las Vegas : 13-15 février 2015
Ø La France s’incline en demi - finale de Plate face à l’Angleterre et termine à la 7ème place
6/ Hong- Kong : 27-29 mars 2015
Ø La France s’incline en finale de Bowl face aux Samoa et termine à la 10ème place
7/ Japon, Tokyo : 4-5 avril 2015
Ø La France s’incline en finale de Bowl face à l’Ecosse et termine à la 10ème place
8/ Ecosse, Glasgow : 9-10 mai 2015
9/ Angleterre, Londres : 16-17 mai 2015
CONTACT PRESSE :
Alixia GAIDOZ – [email protected] – 01 69 63 67 14
crédit photos : I.PICAREL / FFR
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