MONSIEUR MALAUSSÈNE AU THÉÂTRE 28 novembre au 22
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MONSIEUR MALAUSSÈNE AU THÉÂTRE 28 novembre au 22
MONSIEUR MALAUSSÈNE AU THÉÂTRE 28 novembre au 22 décembre 2006 Salle Intime du Théâtre Prospéro (Montréal) EXTRAITS DES CRITIQUES « Normal qu’on succombe si facilement au Monsieur Malaussène interprété en solo par Vincent Magnat (…) cet excellent comédien prend tout naturellement la peau de Benjamin Malaussène (…) grâce à l’habile mise en scène de Marc Béland, on se laisse bercer par ce spectacle charmant, qui bénéficie de l’enveloppante musique créée par Charmaine LeBlanc (…) Vincent Magnat est un acteur nerveux qui transmet brillamment la vulnérabilité de Benjamin Malaussène. Dans un genre de pas de deux avec les envoûtantes percussions de Charmaine Leblanc, il capte toute l’attention des spectateurs, sympathiques à ce futur père au bord de la crise de nerfs (…) Sensible et terriblement humain, Monsieur Malaussène est une pièce tout autant contemporaine qu’intemporelle. Dans la salle, les aînés sympathisaient avec le désemparé Benjamin Malaussène. Les plus jeunes, eux, avaient l’air soulagés de se savoir, subitement, moins seuls…» Sylvie St-Jacques – La Presse, 4 décembre 06 «Marc Béland a mis au monde ce monologue avec doigté et intelligence, ménageant des respirations dans le texte. Le spectacle doit beaucoup de son atmosphère à l’environnement sonore, souvent apaisant. Retranchée derrière un rideau, Charmaine Leblanc distille une musique organique (au moyen de pots à fleurs par exemple), évoquant aussi bien les battements de cœur utérins qu’un rythme militaire illustrant le branle-bas de combat que déclenche le réveil du bébé Verdun (une scène savoureuse).» Marie Labrecque – Le Devoir, 6 décembre 06 «Le Théâtre Galiléo, pour sa première production, nous fait un bien beau cadeau avec ce monologue savoureux et brillant sur la paternité, sur la vie et la mort. Monsieur Malaussène au théâtre, c’est la plume lumineuse de Daniel Pennac jumelée à l’habileté du comédien Vincent Magnat, qui porte ce texte avec beaucoup de générosité. Sur scène, il est accompagné efficacement par la musicienne Charmaine Leblanc. Les univers qu’elle crée (en jouant sur des pots de fleurs, c’est étonnant et très joli) évoquent de façon sensible le tourbillon de doutes et de désirs qui assaillent le personnage dans ce monologue vivant et contrasté (…) Un texte limpide, des propos intelligents et sensibles qui posent des questions graves et pertinentes, sans mièvrerie. De quoi nous réconcilier avec notre imparfaite humanité.» Josée Bilodeau – ICI, 7 décembre 2006 «(…) l’acteur passant continuellement du récit à l’évocation et à l’incarnation, arrive, sans surligner et sans avoir recours à des changements de voix extrêmes ou à une gestuelle trop marquée, à ramener sur scène une bonne douzaine de personnages aussi colorés que sympathiques (…) Il s’agit d’un spectacle fort réussi qui lance admirablement la compagnie Galiléo.» Stéphane Despatie – VOIR, 7 décembre 06 MONSIEUR MALAUSSÈNE AU THÉÂTRE 28 novembre au 22 décembre 2006 Salle Intime du Théâtre Prospéro (Montréal) EXTRAITS DES CRITIQUES (suite) «Le choix était vaste hier et j’ai ouvert la bonne porte en allant au Théâtre Prospéro voir cette pièce Monsieur Malaussène (...) Et le deuxième exploit vient du comédien (…) Alors là, la description qu’il fait de Verdun sur fond de tambour militaire, à elle seule c’est une sacrée performance. Et tant d’autres. Alors l’écriture de Pennac, son sens de la formule, sa tendresse, son intransigeance, ses doutes, cet espèce de questionnement sur la paternité, les enfants. Et évidemment, l’écriture de Daniel Pennac trouve en Vincent Magnat un interprète qui exprime tout ça. Tous ces sentiments qui se confondent, qui déboulent aussi à une vitesse foule. 1 heure 15 c’est pas long. Vincent Magnat, il sait être touchant, il sait être en colère. Il sait aussi être révolté, maladroit, tendre. Il va chercher tout le rebondissement, la couleur, la saveur du texte aussi. Et vers la fin, à moins que vous ailliez un cœur de pierre vous allez fondre, arrive ce monologue sur le malheur. C’est vraiment très émouvant de l’entendre (…) Donc à voir pour le texte et bien sûr pour la performance incroyable de Vincent Magnat(…) » Marie-Christine Trottier - Émission Desautels (Radio Canada), 30 novembre 2006 «Hâtez vous de réserver. Ça vaut vraiment le déplacement (…) C’est un monologue qui est joué brillamment par Magnat (…) Il est très drôle. Il est à la fois aussi tragique. Il est doux. Il est tonitruant. C’est une interprétation subtile (…) Les musiques de Charmaine Leblanc (..) ajoutent la touche qu’il faut à l’ensemble. Ça crée une ambiance parfois assez étrange. Ça vient ponctuer les propos de Malaussène (…) Les éclairages d’Étienne Boucher très très beaux aussi (…) C’est une belle réussite.» Jacques Bertrand – Je l’ai vu à la radio (Radio-Canada), 2 décembre 06 «Charmaine LeBlanc m’a vraiment charmée. On est sûr que c’est cette musique-là qu’on entendait dans le ventre de nos mamans. (…) Vincent Magnat m’a complètement conquise (…) C’est un grand acteur (…) C’est un musicien, un jazzman. Il a une façon de ponctuer son texte, d’aller dans des envolées, de revenir, de retomber sur terre, de faire des personnages. C’est exactement comme un musicien de jazz qui improvise sur un thème qui est : je vais être papa (…) On sent la direction d’acteur de Marc Béland (…) Marc Béland dit : « quand je dirige les comédiens, je veux libérer mon comédien. » Et c’est ce qu’il a réussi parfaitement à faire avec Vincent Magnat (...) Faut aller le voir, c’est magnifique» Louise Forestier - Je l’ai vu à la radio (Radio-Canada), 2 décembre 06 «Le comédien Vincent Magnat est formidable. Il a été dirigé de façon remarquable par Marc Béland. C’est du théâtre sans moyens. C’est ce que j’appelle du théâtre pauvre. C’est tout ce que j’aime au théâtre.» Hélène Pedneault – Libre Échange (Télé-Québec), 1er décembre 06 «Je souscrit tout à fait à ce que dit Hélène [Pedneault], pour la mise en scène que je trouve sobre et grande, pour aussi la musique qui est en arrière, pour l’acteur qui joue le rôle.» Dany Laferrière – Libre Échange (Télé-Québec), 1er décembre 06