Avis du Département Nom du département

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Avis du Département Nom du département
Avis d’intention relatif à la création d’un programme de
CONCENTRATION DE DEUXIÈME CYCLE EN SCIENCES COGNITIVES
Cet avis d’intention doit être complété, puis déposé au décanat de la Faculté concernée et au Vice-rectorat
à la vie académique (via le BEP) de l’UQAM.
Un avis d’intention peut être déposé en tout temps.
Unité(s) ou organisme(s) responsable(s) du projet :
Institut des sciences cognitives
Dates prévues
Pour le dépôt du projet au Vice-rectorat à la vie académique :
Septembre 2010
Pour l’ouverture du programme :
Janvier 2011
Identification de la personne ou des personnes responsables de cet avis d’intention
Nom et fonction
Pierre Poirier, Directeur, Institut des sciences cognitives, professeur département de
philosophie
Nom et fonction
Jimena Terraza, agente de recherche et de planification (jusqu’en décembre 2009)
Nom et fonction
Guillaume Chicoisne, agent de recherche et de planification (à partir de janvier 2010)
Date du dépôt de l’avis d’intention
Au décanat de la Faculté des Sciences Humaines:
Mai 2010
Au Vice-rectorat à la vie académique (via le BEP) :
Mai 2010
BEP/Novembre 2007
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Description sommaire du projet (2-3 pages)
- Décrire sommairement le projet (pertinence scientifique, pertinence socio-économique, pertinence
systémique, pertinence institutionnelle1, objectifs du programme, éléments de structure et prévision
d’effectifs) ;
- Identifier les personnes ou organismes qui devraient être impliqués dans la préparation de ce projet.
(utiliser l’espace nécessaire, sans limite)
Cette concentration s’inscrit dans un projet plus large de développement de la formation en sciences
cognitives, mis de l’avant par l’Institut des sciences cognitives (ISC) depuis son lancement officiel en 2005. Le
premier pas dans ce processus fut la création des concentrations doctorales en sciences cognitives en 2007.
Les sciences cognitives étant un domaine émergeant et en constante évolution, il s’avère que pour que la
formation accompagne le développement de la recherche elle doit couvrir plusieurs cycles.
Dans cet avis, nous proposons la création d’une concentration générique en sciences cognitives au niveau du
second cycle. Des négociations sont en cours avec trois programmes de maîtrises qui composent à la fois les
partenaires privilégiés de l’ISC et les cibles les plus évidentes de la concentration: maîtrises de linguistique
(accord de principe), de philosophie (discussion avancée) et d’informatique (discussions préliminaires). Des
discussions avec le département de psychologie, qui ne dispose pas de programme de maîtrise en tant que
telle mais une sortie maîtrise pour les étudiants qui ne diplôment pas au doctorat, sont également envisagées.
D’autres programmes seront abordés, au sein des facultés de sciences et de sciences humaines ou au sein
d’autres facultés.
Pertinence scientifique
L'émergence des sciences cognitives comme lieu intégré de recherche multidisciplinaire sur la cognition
humaine, animale et artificielle a produit beaucoup d'excitation et de nombreux fruits, tant théoriques et
conceptuels que technologiques. Ce succès s’explique en grande partie parce que ce champ a su offrir un
ensemble de concepts (information, représentation, etc.), de techniques (computation, réseaux neuronaux) et
d'idées (computationalisme, connectionisme, dynamicisme) qui ont brisé l’isolement traditionnel dans lequel les
diverses disciplines intéressées par la cognition s’étaient cantonnées, forgeant entre elles des liens
transdisciplinaires. Les scientifiques de ces diverses disciplines traditionnelles partagent tous aujourd’hui le
principe méthodologique selon lequel les problèmes conceptuels et empiriques de la cognition n'appartiennent
à aucune discipline en isolation, mais à tous collectivement. La valeur heuristique de cette approche
multidisciplinaire a maintenant été démontrée de multiples manières. 1) De nouvelles disciplines et sousdisciplines se joignent encore aux disciplines fondatrices des sciences cognitives. 2) Des universités de toutes
les parties du monde offrent maintenant des programmes gradués en science cognitive. 3) Des centres et
instituts de recherche en sciences cognitives ont été établis autour du monde. 4) Des éditeurs prestigieux ont
établi des séries en sciences cognitives. 5) De nouveaux journaux scientifiques voués à la présentation des
théories et résultats en sciences cognitives sont lancés chaque année. 6) De plus en plus de sociétés savantes
font avancer la cause des sciences cognitives en commanditant des journaux scientifiques et des séries de
conférences annuelles, tant sur le plan international que local. 7) Des compagnies et organismes
commercialisent aujourd’hui les fruits des recherches en sciences cognitives.
Les sciences cognitives ont trouvé au Québec, et à Montréal en particulier, un terreau particulièrement fertile.
À l’échelle du Québec, le FQRNT considère dans son plan triennal 2007-2010 les sciences cognitives comme
l'un des cinq « Domaines scientifiques et technologiques émergents à fort potentiel » aux côtés, entre autres,
de la génomique et des nanotechnologies. À l’échelle de Montréal, toutes les universités ont commencé à
investir le domaine, soit en créant des programmes officiels (mineure en sciences cognitives à l’Université de
Pour une définition des diverses pertinences, on peut consulter l’extrait suivant du Guide de référence sur la création d’un
programme d’études : http://www.bep.uqam.ca/Creation/Guide_creation_analyse_besoins_2_3.pdf
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Montréal et à McGill par exemple), soit par le biais de leur école de médecine. Pour canaliser les énergies et
les talents des différents chercheurs des disciplines composant les sciences cognitives, l’UQAM a, depuis
2001, identifié ce domaine comme étant un pôle de développement prioritaire dans son plan stratégique de
recherche puis, en 2003, fondé un Institut des sciences cognitives qui comprend plus de 70 membres, dont 3
titulaires de chaires de recherche du Canada. Dans son Plan stratégique de la recherche et de la création
(2009-2014) l’UQAM réitère le domaine des sciences cognitives comme étant prioritaire.
Les sciences cognitives sont aussi d’actualité dans le domaine de l’éducation. Les recherches sur
l’apprentissage y prennent de plus en plus d’importance en raison du développement de l’apprentissage
virtuel. Dans un rapport de 2009 du Conseil canadien sur l’apprentissage2, il est signalé que le paradigme
actuel des pays de l’OCDE inclut l’intégration complète des technologies d’apprentissage dans l’éducation et la
formation. Or, au Canada l’adoption des technologies a été plus lente que prévu et le pays ne dispose pas
d’une stratégie complète sur l’apprentissage virtuel. Des recherches sur l’apprentissage (autant traditionnel
que virtuel) sont nécessaires pour mettre en place un cadre commun pour son avancement. Qui plus est,
l’UNESCO (rapport de 2005)3 annonce que désormais il sera nécessaire de « faire rentrer l’apprenance dans
l’agenda des sciences cognitives ». Ici encore, l’UQAM est particulièrement bien positionnée, avec son lien
étroit avec la Téluq et son laboratoire de recherche, le LICEF. Le programme doctoral en Informatique
cognitive est d’ailleurs un programme conjoint UQAM-Teluq.
Pertinence socio-économique
Les étudiants diplômés avec une concentration en sciences cognitives pourront combler un besoin de maind’œuvre qualifiée qui dépendra bien entendu principalement de leur maîtrise. Toutefois, cette concentration
leur donne des atouts particuliers dans divers domaines:
Les industries de la langue
Cette industrie priorise de plus en plus l’utilisation d’outils d’ingénierie4. Ainsi, les employeurs s’attendent à ce
que les diplômés soient totalement à l’aise avec les technologies de l’information et les applications et
ressources de l’ingénierie linguistique standard. Les industries de la langue sont particulièrement développées
à Montréal, et un centre de recherche dédié existe au niveau de l’UQ5.
Les humanités numériques
Il s’agit d’un domaine en essor. Les humanités numériques (« digital humanities ») recouvrent un ensemble de
métiers, pratiques, compétences des personnels des organismes de recherche et d’enseignement qui sont au
contact de l’informatisation des données, de la documentation et de l’édition électronique.
Le développement de logiciels
Les étudiants choisissant cette concentration pourront travailler dans le domaine du développement de
logiciels ainsi que dans les technologies de l’information et des communications (TIC). Bien que sur le marché
de l’emploi, la formation en sciences cognitives ne soit pas identifiée (car elle est nouvelle), les habiletés
acquises dans le programme devraient permettre aux étudiants de s’intégrer rapidement au marché de l’emploi
des industries informatiques et des TICS.
http://www.ccl-cca.ca/CCL/Newsroom/Releases/20090514E-Learning.htm?Language=FR
UNESCO, Vers les sociétés du savoir, ISBN 92-3-204000-X
http://portal.unesco.org/shs/fr/ev.php-URL_ID=8951&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html
4 http://www.tnp3-d.org/focus_groups/industries_and_professions
5 Centre de recherche en technologies langagières : http://www.crtl-ltrc.ca/fr/faq.htm
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Les jeux électroniques
L’industrie du jeu électronique est en pleine croissance au Québec (environ 60 entreprises en juin 2009)6.
Cette industrie présente une vaste gamme de postes à pourvoir (programmeurs, concepteurs, etc.). L’interface
avec les utilisateurs, le comportement des éléments du jeu, ou, à plus haut niveau les rôles de game designer
et level designer bénéficient fortement d’un complément de formation en sciences cognitives.
Les facteurs humains (human factors)
Toutes les industries ayant à travailler sur l’interaction avec les humains et qui se posent des questions en
relation avec l’ergonomie préfèreront, à diplôme égal, un diplômé ayant les connaissances sur le
comportement humain, sur l’ergonomie, etc. que lui apporte une concentration en sciences cognitives.
En plus des débouchés exposés ci-haut, les étudiants ayant cette formation en sciences cognitives peuvent
accéder à des postes de plus haut niveau dans divers domaines d’application des technologies cognitives
(jeux, TIC, etc.).
Pertinence systémique
Au Québec, plusieurs universités offrent des programmes de formation en sciences cognitives de niveau
maîtrise.
L’Université de Montréal offre une maîtrise en psychologie (M.Sc.) en collaboration avec le Centre de
neuropsychologie et de cognition. Cette maîtrise, offrant seulement des cours PSY, s’adresse à des étudiants
qui proviennent de plusieurs programmes en santé (kinésiologie, sciences neurologiques, visuelles…).
L’université propose également un programme de maîtrise en Sciences de l’information (M.S.I.) qui permettrait
d’intégrer les Sciences Cognitives.
À l’École polytechnique de Montréal, un programme de maîtrise en génie industriel qui concerne l’ergonomie
est offert.
L’Université Concordia offre, dans son programme de maîtrise en psychologie, une spécialisation en sciences
cognitives. Cette spécialisation est intégrée dans l’option « recherche ». Les étudiants doivent, en plus
d’orienter leurs recherches en sciences cognitives, suivre des séminaires liés à cette discipline. Cette même
université offre également un programme SIP (« special individualized program ») de niveau maîtrise et
doctorat pour les étudiants dont le champ de spécialisation n’est pas couvert par les autres programmes
offerts. Un des champs de recherche possible correspond aux sciences cognitives. L’université promeut les
sciences cognitives grâce au groupe de chercheurs de différentes disciplines, Cognitive Science Research
Group.
La plupart des universités canadiennes offrent un programme de maîtrise multidisciplinaire en sciences
cognitives (MA. ou M.Sc.). C’est le cas de l’université Guelph qui a créé un nouveau programme de
Neurosciences & Applied cognitive science en mai 2009, de l’Université de Waterloo qui offre un diplôme de
Sciences cognitives récemment approuvé. L’Université Carleton (Ottawa) offrira un programme de maîtrise
multidisciplinaire spécialisé (M.Cog.) qui accueillera les premiers étudiants en septembre 2010.
L’université de Calgary offrira également un nouveau programme en mai 2010 en créant la concentration Brain
& cognitives Sciences. Il va sans dire que la formation en sciences cognitives prend de l’ampleur partout au
Canada.
Concernant les universités américaines, les programmes de deuxième cycle sont offerts sous forme de
spécialisation impliquant plusieurs disciplines à l’exception du MIT & le Rensselaer Polytechnic Institute (New
L’emploi dans l’industrie du jeu électronique au Québec en 2009. Un portrait sommaire de la situation
www.technocompetences.qc.ca/files/etude_jeux.pdf
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York) qui ont un département consacré exclusivement aux sciences cognitives offrant un diplôme dans cette
discipline.
Pertinence institutionnelle
Autant l’UQAM, dans son Plan stratégique de la recherche et de la création (2009-2014), que la Faculté des
sciences humaines, dans le document Thématiques de recherche prioritaires à la Faculté des sciences
humaines ont identifié les sciences cognitives comme une priorité dans leur développement stratégique. Après
la création du doctorat en informatique cognitive et de la concentration en sciences cognitives aux doctorats en
linguistique, psychologie et philosophie, la concentration en sciences cognitives au deuxième cycle vise à
renforcer la formation en sciences cognitives aux cycles supérieurs.
Plusieurs unités de recherche sont déjà impliquées dans la recherche en sciences cognitives, dont l’Institut des
sciences cognitives, le Centre de recherche sur le langage, l’esprit et le cerveau (CRLEC ou CRLMB en
anglais), la Chaire de recherche du Canada en sciences cognitives et celle en théorie de la connaissance, etc.
Dépendamment du programme de maîtrise dans lequel s’intégrera cette concentration, la pertinence
institutionnelle peut se justifier de différentes manières.
Au niveau des programmes de linguistique, d’informatique et de philosophie, les étudiants pourront suivre la
concentration pour ouvrir leur champs de compétences et leur permettre d’accéder plus facilement à des
filières en sciences cognitives s’ils souhaitent continuer leurs études, ou d’accéder plus facilement à des
postes spécialisés (voir pertinence socio-économique) s’ils souhaitent arrêter leurs études. Les étudiants
souhaitant poursuivre au doctorat seront alors particulièrement bien formés pour rejoindre les équipes de
recherche déjà existantes dans ces départements. Par exemple, le département de philosophie compte parmi
ses champs de spécialisation la philosophie de l’esprit et son laboratoire le plus important, le LANCI
(Laboratoire d’analyse cognitive de l’information) qui est composé de quatre équipes de recherche7 toutes
reliées aux sciences cognitives.
Au niveau du département d’informatique, un argument supplémentaire existe : cette maîtrise est extrêmement
pertinente car elle vient renforcer la préparation au doctorat en informatique cognitive. Les cours que nous
proposons comme faisant partie de la concentration donneront la base nécessaire aux étudiants de la maîtrise
en informatique (avec concentration en sciences cognitives) pour être admis, sans préalables au doctorat en
informatique cognitive.
Objectifs du programme
Ce programme vise les objectifs suivants :
1. Initier les étudiants à l’étude multidisciplinaire de la cognition humaine et animale, naturelle et
artificielle ;
2. Favoriser les interactions interdisciplinaires au sein des programmes concernés, et ce tant chez leurs
étudiants que leurs professeurs et chercheurs ;
3. Permettre l’acquisition et l’intégration de l’ensemble des habiletés propres aux différentes disciplines
composant les sciences cognitives : observation et expérimentation (linguistique, psychologie),
simulation (informatique), analyse et intégration conceptuelle (philosophie).
Éléments de structure
La concentration comporte 3 cours :
ISC8000 : cours d’introduction aux sciences cognitives avec des éléments méthodologiques (à créer)
Selon les programmes de maîtrise dans lesquels s’intégrera la concentration :
CLIC (Compétence logique, inférence et cognition), LATAO (Lecture et analyse de textes assistées par ordinateur), DISCO
(Diversité des systèmes cognitifs) et FIASCCO (Fondements de l’intelligence adaptative, sociale, culturelle et cognitive).
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Un cours (ou aucun) dans le programme de maîtrise de l’étudiant;
Un cours (ou les deux) hors du programme de maîtrise de l’étudiant.
Les cours hors programme pourront être choisis à partir de la liste suivante ou, avec l'accord de la direction du
programme de l'étudiant et du responsable de la formation de l'ISC, tout autre cours pertinent dans le domaine
des sciences cognitives:
PHI8180 Philosophie du langage
PHI8190 Philosophie de l'esprit et des sciences cognitives
PSY9113 Séminaire avancé sur les problèmes théoriques en biopsychologie
PSY9114 Séminaire d'analyse critique en biopsychologie
PSY9116 Cerveau et langage
PSY9611 Perception, cognition et intelligence artificielle
LIN8212 Linguistique informatique I
LIN8211 Psycholinguistique I
LINXXX Introduction à la linguistique (à créer)
DIC8001 Analyse, modélisation et conception de systèmes informatiques
DIC9320 Psycholinguistique et traitement des langues naturelles (les cours siglés DIC9XXX
s’adressent autant à des étudiants de maîtrise que de doctorat)
Précisions sur les cours hors programme :
Les cours du doctorat en psychologie s’adressent autant aux étudiants de maîtrise que de doctorat. Pour le
cours LINXXX, il y a une possibilité au département de linguistique qu’un cours d’introduction soit créé pour les
étudiants qui accèdent à la maîtrise et qui ne possèdent pas de formation préalable. Ce cours serait ainsi offert
aux étudiants de la concentration en sciences cognitives de la maîtrise en philosophie et de la maîtrise en
informatique (faculté des sciences).
Les autres activités d’encadrement demeureraient les mêmes pour tous les étudiants de la maîtrise.
Des adaptations mineures à cette structure pourraient être faite selon les programmes de maîtrise intégrant
cette concentration.
Prévision d’effectifs :
Les étudiants de la faculté des sciences humaines composent le cœur de la cible initiale de cette
concentration. En évaluant les intérêts de recherche des étudiants à la maîtrise à travers les titres de leur
mémoire, il ressort que 30 % des mémoires soutenus en didactique des langues et en linguistique et 40 % de
ceux du programme de philosophie ont un lien ou un lien potentiel avec les sciences cognitives. Les maîtrises
de travail social et de sociologie en présentent de leur côté aux alentours de 10 % chacune. Le bassin
d’étudiants potentiellement intéressés n’est donc pas négligeable en première analyse. De plus, une fois créé,
la concentration pourra être offerte dans d’autres programmes ayant des intérêts en sciences cognitives, par
exemple les programmes de communication, de kinantropologie ou de technologies de l’information.
Gestion : Les étudiants inscrits à la concentration demeurant entièrement des étudiants de leur programme de
maîtrise, la gestion courante du cheminement de ces étudiants incombera au sous-comité d’admission et
d’évaluation (SCAE) de ce programme. L’institut des sciences cognitives (son comité de coordination) verra à
l’évaluation des propositions soumises par les équipes de professeurs désirant dispenser le séminaire
ISC8000 et attribuera celui-ci à l’équipe dont la proposition a été jugée le plus favorablement.
Ressources humaines : La mise en place de la concentration ne demandera pas de personnel de secrétariat
supplémentaire.
Ressources matérielles : La concentration n’exigera pas de ressources matérielles spécifiques.
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Personnes ou organismes qui devraient être impliqués dans ce projet.
Pierre Poirier, professeur, département de philosophie; directeur de l’Institut des sciences cognitives
Serge Robert, directeur des programmes de cycles supérieurs, département de philosophie;
responsable de la formation à l’Institut des sciences cognitives
Reine Pinsonneault , directrice des études supérieures du département de linguistique
Peter Scherzer, professeur, département de psychologie
Roger Nkambou, directeur du programme de doctorat en informatique cognitive
Jimena Terraza, agente de recherche et de planification, Institut des sciences cognitives (jusqu’en
décembre 2009)
Guillaume Chicoisne, agent de recherche et de planification, Institut des sciences cognitives (à partir
de janvier 2010)