Gestion des ressources humaines
Transcription
Gestion des ressources humaines
Jean-Marie Peretti 20e É D I T I O N Gestion des ressources humaines Plus de 60 000 EXEMPL A IRES VENDUS Synthétique et opérationnel L’essentiel des connaissances Tous les outils indispensables Tous les indicateurs incontournables ! Chapitre 1 Le management des ressources humaines Parler de ressources humaines, ce n’est pas considérer que les hommes sont des ressources, mais que les hommes ont des ressources. La mission du management des ressources humaines est de développer et mobiliser les compétences des salariés. Intégrer la dimension ressources humaines dans la stratégie de l’entreprise est une nécessité reconnue. Les structures et les hommes donnent un avantage compétitif à leur organisation. Les organisations doivent avoir une stratégie de développement humain et social en harmonie avec leur stratégie économique et leur responsabilité sociale. Elles attendent de la fonction ressources humaines une forte valeur ajoutée. Le DRH est un « partenaire d’affaires ». Il aide l’entreprise à relever tous les défis, à s’adapter à son environnement, à devenir agile et compétitive. Il veille à développer et mobiliser les compétences des salariés en ligne avec la stratégie de l’entreprise. Il accompagne les changements et les transformations. Le DRH est un « partenaire humain ». Il veille à la motivation, l’implication et l’engagement des salariés. Il est la cheville ouvrière du développement durable et le garant du contrat social entre les salariés et l’organisation. Ce chapitre présente l’évolution de la gestion des ressources humaines (I) et les grands domaines qu’elle recouvre (II). I. Le renouvellement de la gestion des ressources humaines Il n’y a pas de pratiques universelles en matière de gestion des ressources humaines (GRH). Les pratiques performantes sont celles qui, adaptées au contexte, permettent de répondre aux défis qu’une entreprise doit affronter. La DRH doit prendre en compte l’ensemble des 1 Gestion des ressources humaines données, internes et externes, actuelles et prévisionnelles, du contexte pour identitifer les défis à affronter et adopter les pratiques appropriées. Ces pratiques mettent en œuvre des logiques de réponse. Ces logiques, induites par les contraintes internes et externes, imprègnent les pratiques RH dans les divers contextes nationaux. Une approche contingente de la GRH s’impose. A. L’approche contingente de la GRH Le schéma 1.1 propose un modèle contingentiel de la GRH, faisant ressortir la liaison Défis V Logiques V Pratiques. L’entreprise est confrontée à des défis fondamentaux. Pour y répondre, elle doit s’appuyer sur de nouvelles logiques, de nouvelles pratiques de GRH et une reconfiguration de la fonction. DÉFIS Mutations technologiques Pressions sociétales Digitalisation Mondialisation et concurrence Mutations économiques Mutations sociologiques Évolution démographique Contexte social et syndical Évolution réglementaire LOGIQUES Recrutement, intégration et non-discrimination Personnalisation Agilité Mobilisation Partage Anticipation Investisseurs et parties prenantes socialement responsables Relations avec les parties prenantes Gestion à court terme de l’emploi et des temps Dialogue social Gestion de la rémunération globale Gestion à moyen terme des emplois et des compétences Information et communication Conduite du changement Management de la santé, de la sécurité et du bien-être au travail PRATIQUES Investissement formation et développement des compétences Schéma 1.1 - Le modèle contingentiel de la GRH 2 Le management des ressources humaines B. Les grands défis B.1. Les mutations technologiques, la transformation numérique et la conduite du changement Les mutations technologiques et la révolution digitale concernent toutes les branches d’activité et les fonctions de l’entreprise. Les conséquences en matière d’emploi, de compétences, de conditions de travail et d’aménagement des temps, de formation, de motivation et de rémunération sont considérables. Maintenir en permanence une adéquation qualitative et quantitative de l’emploi implique une approche dynamique, une veille technologique, un suivi de l’employabilité de chacun, une gestion préventive, un effort permanent de qualification et de requalification du personnel en place, le développement de la mobilité et de nouveaux recrutements dans le cadre d’une gestion proactive des compétences. Quatre impacts des mutations technologiques dominent : . La transformation des organisations. Les nouvelles technologies de l’information modifient l’organisation du travail et bouleversent les structures. L’entreprise devient tourbillonnante. La fonction RH doit accompagner le changement et participer activement aux choix organisationnels. Elle intègre la fonction transformation. . L’accroissement de la productivité. Il favorise la croissance mais il peut entraı̂ner des sureffectifs dans certaines fonctions ou établissements et nécessiter des réductions d’effectif. La veille technologique doit comprendre un volet productivité. . La modification des compétences requises. L’évolution technologique crée, modifie, remet en cause et fait disparaı̂tre des emplois. Chaque technologie nouvelle transforme les métiers et les compétences requises. Pour anticiper, un observatoire des métiers est nécessaire ainsi qu’une connaissance des compétences actuelles et des potentiels d’évolution de chaque salarié. L’adaptation de chaque salarié requiert un investissement formation dont le préalable est le bilan de compétences. L’évolution des qualifications fait vieillir très vite les grilles de classification et de rémunération. Elle nécessite une actualisation constante des descriptions de poste faisant ressortir les invariants (missions stables). Elle modifie les critères et les cibles de recrutement. . Le renchérissement du coût des équipements. La durée de vie des équipements diminue pour cause d’obsolescence rapide. Cela nécessite un accroissement de la durée d’utilisation des équipements (DUE) par 3 Gestion des ressources humaines l’adoption de diverses formes d’aménagement du temps de travail, pour amortir les investissements sur des périodes plus courtes. B.2. L’accentuation de la concurrence au niveau mondial La période actuelle est marquée par l’accentuation et l’internationalisation de la concurrence. Pour conserver sa compétitivité dans un contexte où les innovations franchissent sans délai les frontières, la rigueur et la rapidité sont indispensables. L’entreprise doit éliminer surcoûts et gaspillages. Elle doit aller vite pour innover, découvrir les créneaux porteurs, les industrialiser, les faire connaı̂tre, les améliorer, les adapter. Ceci implique la mobilisation de tout le potentiel des hommes : leur professionnalisme, leur imagination, leur motivation, leur autonomie, leur responsabilité, leur capacité d’évoluer. L’implication des salariés est perçue comme un avantage compétitif. La capacité des entreprises à créer, à innover, à inventer devient la première source de croissance. L’internationalisation de la concurrence impose aux entreprises une vigilance sans frontière. Elles doivent disposer de référentiels internationaux et anticiper leur évolution. Les disparités tant au niveau mondial qu’européen sont amenées à se réduire dans le cadre d’une convergence accrue. B.3. Les mutations économiques Dans un contexte de concurrence, les entreprises doivent veiller à limiter leur ratio frais de personnel/valeur ajoutée à un niveau inférieur ou égal à celui de leurs principaux concurrents nationaux ou internationaux. La survie devient hypothétique pour l’entreprise dont le ratio frais de personnel/valeur ajoutée dépasse durablement et significativement celui de ses concurrents. Faute de moyens pour investir et innover, elle devient une proie. L’entreprise doit répondre aux attentes de ses actionnaires dans un contexte économique cahoteux et chaotique. Les cahots deviennent plus brutaux avec des variations fortes de l’activité ; l’entreprise doit pouvoir s’adapter très rapidement à des variations de large amplitude. Le chaos, c’est-à-dire la difficulté à élaborer des prévisions fiables et le manque de visibilité à court et à moyen terme, concerne un nombre accru d’activités. L’entreprise doit devenir agile. 4 Le management des ressources humaines B.4. Les évolutions démographiques L’analyse de la pyramide des âges fait ressortir dans de nombreuses entreprises des perspectives de vieillissement accentué. La génération du baby-boom de l’après-guerre (1946-1955), grossit les rangs des sexagénaires depuis 2006. Les entreprises doivent apprendre à gérer des populations plus âgées avec une approche cohérente en termes de carrière, de rémunération, de conditions de travail, de mobilité et de formation pour éviter les effets pervers du sentiment de fin de vie professionnelle. Elles doivent aussi maı̂triser leur rajeunissement et avoir une politique cohérente de gestion des âges et de la diversité. La population active française a connu une croissance d’environ 150 000 personnes par an dans les années 2000. La croissance s’est ralentie dans les années 2010. La population active « occupée » est de 25,8 millions d’actifs en 2014. En 2013, le taux d’emploi en France est de 64,1 % pour les 15-64 ans. Il atteint 80,8 % pour les 25-49 ans mais seulement 28,4 % pour les 15-24 ans et 57,6 % pour les 50-64 ans. Entre 2000 et 2013, le taux d’emploi des 60-64 ans est passé de 10,2 % à 21,7 %. La moyenne pour l’Europe des 27 progressait dans la même période de 23 % à 30,5 % et en Suède de 46 % à 61 %. Améliorer le taux d’emploi des jeunes et des seniors est une priorité pour les DRH. B.5. Les mutations sociologiques et la diversité Les enquêtes montrent une perte d’évidences individuelles (notamment concernant le travail et l’argent) et de cohérences collectives accélérée par l’explosion actuelle des nouvelles technologies. De plus, l’entreprise regroupe des salariés aux aspirations multiples : la diversité des âges, des formations initiales, des parcours professionnels et des qualifications se traduit par de grandes différences d’attentes. L’entreprise doit connaı̂tre et reconnaı̂tre la diversité de ceux qui la composent. Chaque génération apparaı̂t différente de celle qui l’a précédé et l’entreprise doit absorber ces différences. La génération Y (20-34) succède à la génération X (35-49) avec ses spécificités. Le besoin de reconnaissance est l’une des attentes fortes des salariés d’aujourd’hui et en particulier de la génération Y. B.6. Les partenaires sociaux De 1958 à 1974, les effectifs syndicaux avaient connu une croissance régulière. Depuis 1974, ils sont globalement en recul. À partir de 1980, 5 Gestion des ressources humaines la diminution du nombre des conflits du travail a été spectaculaire tant en France que dans l’ensemble des pays industrialisés. En 2012, le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) est de 60 pour 1 000 salariés (DARES). Depuis 1982, la négociation d’entreprise et d’établissement progresse à un rythme rapide : 4 900 accords en 1985 et 54 000 en 2012. La négociation d’entreprise devient un élément déterminant de la mise en place des politiques de RH. B.7. Le cadre législatif et réglementaire La législation sociale a connu depuis l’après-guerre un développement important, renforçant les obligations de l’entreprise dans plusieurs domaines. Aujourd’hui le cadre réglementaire applicable est très riche en France. Il n’a cessé de se développer tout au long du XXe siècle et au début du XXIe dans tous les domaines de la gestion des ressources humaines, avec quelques périodes particulièrement fortes : premier après-guerre, 1936-1937, second après-guerre, années 1968-1973 (extension des droits syndicaux, formation professionnelle, amélioration des conditions de travail), 1982 (lois et ordonnances Auroux dans de nombreux domaines). Les années 1982-2014 ont connu une évolution réglementaire forte. Les lois de 2001 à 2014 sur la discrimination et la modernisation sociale, le temps de travail et les retraites, la formation et le dialogue social, la cohésion sociale et l’égalité des chances, l’emploi des personnes handicapées, les seniors, l’épargne salariale, la sécurisation de l’emploi, la modernisation du marché du travail ont un impact fort sur les pratiques RH. Les directeurs des ressources humaines (DRH) doivent s’adapter à ces modifications qui, de plus en plus, s’inscrivent dans le cadre d’une convergence européenne et de l’harmonisation de l’espace social européen. B.8. L’investissement socialement responsable Le développement des ISR (investisseurs socialement responsables) et de la notation extrafinancière permet d’orienter les achats d’action vers les entreprises socialement responsables, imposant aux entreprises de rendre compte de leurs engagements sociaux et sociétaux. Le reporting social, sociétal et environnemental devient essentiel. 6 Table des matières Le management des ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 I. Le renouvellement de la gestion des ressources humaines . . . . . . . . . . . . . 1 2 3 CHAPITRE 1. A. L’approche contingente de la GRH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Les grands défis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Les mutations technologiques, la transformation numérique et la conduite du changement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. L’accentuation de la concurrence au niveau mondial. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. Les mutations économiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. Les évolutions démographiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.5. Les mutations sociologiques et la diversité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.6. Les partenaires sociaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.7. Le cadre législatif et réglementaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.8. L’investissement socialement responsable. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Les logiques de réponse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. La personnalisation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. L’agilité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. La mobilisation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. L’anticipation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.5. Le partage : « tous DRH ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . II. Les missions de la fonction ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. Le DRH et ses clients internes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Les attentes des salariés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Les attentes de l’encadrement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. Les attentes des partenaires sociaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.4. Les attentes de la direction générale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Le champ du social. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Les politiques de ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III. L’audit social et de responsabilité sociétale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Les étapes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Les référentiels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Les types de référentiels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. Les principaux référentiels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. Les normes ISO. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 4 4 5 5 5 6 6 7 7 7 8 8 9 11 11 11 14 16 16 17 18 19 20 21 21 21 22 22 23 277 Gestion des ressources humaines Les emplois et les compétences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 I. Les hommes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 25 26 26 27 27 29 29 29 29 30 30 30 30 32 32 32 33 33 38 CHAPITRE 2. A. Les effectifs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Les règles de décompte des effectifs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. L’effectif inscrit, l’effectif permanent et l’effectif fiscal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. La structure. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. La pyramide des âges. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. La répartition par genre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. La pyramide des anciennetés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. La répartition selon la nationalité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.5. La structure de qualification. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.6. Le croisement des caractéristiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.7. Les autres caractéristiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Mouvements et évolutions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Les recrutements. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Les départs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. L’évolution du niveau d’emploi. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. La mobilité du personnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.5. Les indicateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.6. L’évolution des emplois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. L’emploi dans le bilan social. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . II. La gestion de l’emploi et des compétences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. La diversité des statuts. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Le contrat à durée indéterminée (CDI). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Le contrat à durée déterminée (CDD). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. Le travail à temps partiel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.4. Le travail intermittent (temps partiel annualisé). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.5. Le travail à domicile et le télétravail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.6. Le travail temporaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.7. La sous-traitance interne (externalisation). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.8. La sous-traitance externe (extériorisation). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.9. L’emploi aidé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.10. Les stages. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.11. Le multi-salariat. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.12. Le groupements d’employeurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.13. Le travail illégal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. L’équilibre quantitatif et qualitatif hommes-emplois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Les risques des déséquilibres. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Le diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. La recherche de l’équilibre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. L’adaptation à court terme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Les variations saisonnières d’activité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Les pointes d’activité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. Les réductions d’activité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 278 38 38 39 39 42 43 44 45 47 47 47 48 48 48 49 49 50 50 51 51 52 54 55 Table des matières D. La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC). . . . . . . . D.1. L’évolution démographique de la population actuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. Les promotions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. La projection à cinq ans. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.4. L’évaluation des besoins. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.5. Les comparaisons. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Les accords GPEC. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. Les enjeux de la diversité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.1. La gestion des âges et les actions à l’égard des seniors. . . . . . . . . . . . . . . . . . F.2. L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. . . . . . . . . . . . . . . F.3. L’intégration de personnes en situation de handicap. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.4. L’achat et l’externalisation responsables. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.5. Le management de la diversité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III. Le recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. Le processus de recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Du recrutement à l’e-recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. La stratégie de recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. La préparation du recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. La recherche des candidatures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. La sélection des candidatures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.5. L’accueil et l’intégration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La définition du besoin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. La demande de recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. La décision de recruter. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. La définition de l’emploi. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. La définition du profil. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. La recherche des candidats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. La prospection interne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. La recherche des candidatures externes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. La sélection des candidats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.1. Le tri des candidatures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.2. Le questionnaire (ou dossier de candidature maison) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.3. L’entretien de recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.4. Les tests de recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. La concrétisation, l’accueil et l’intégration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.1. La décision. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.2. La négociation d’engagement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.3. La signature du contrat. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.4. L’accueil. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.5. L’intégration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . G. L’audit de recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . G.1. Le coût du recrutement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . G.2. L’audit de non-discrimination. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 59 60 60 61 61 63 64 64 65 65 65 65 66 66 66 68 68 68 68 69 69 69 69 69 70 71 71 72 75 75 75 76 77 79 79 79 79 80 80 81 81 82 279 Gestion des ressources humaines IV. Mobilité, carrière et parcours professionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. Les systèmes d’appréciation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Les objectifs : piloter la performance, accompagner l’évolution professionnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Les modalités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. La détection du potentiel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.4. Le cadre juridique des grilles d’appréciation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.5. L’évaluation 360o. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. La gestion des carrières. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Le responsable de la gestion des carrières. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. La revue de personnel et les comités de carrière. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. L’entretien professionnel et le bilan de parcours professionnel . . . . . . . . B.4. Le conseil en évolution professionnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.5. Mobilité horizontale et mobilité verticale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Le bilan de compétences et le bilan de carrière. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Le risque de l’inemployabilité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Le bilan de compétences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. Le bilan de carrière ou bilan professionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. La politique de mobilité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. La mobilité au coup par coup. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. La mobilité organisée et les plans de succession. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. La recherche de l’égalité professionnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Les plateaux de carrière. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. Le management des talents. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.1. L’identification des talents. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.2. Le management des expatriés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.3. Le management des talents à l’ère du Web 2.0. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . V. Le départ. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. La force majeure. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. La démission. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. L’entretien de départ. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Le préavis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. Le suivi des démissions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La retraite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. La mise à la retraite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Le départ à la retraite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. La retraite progressive. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. Le départ anticipé à la retraite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.5. Les autres formes de cessation anticipée d’activité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Le licenciement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. Le licenciement pour motif non économique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. Le licenciement économique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. La rupture conventionnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. La fin du contrat de travail à durée déterminée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . G. Le taux de sortie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . H. Le coût d’un départ. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 280 82 83 83 84 86 88 89 89 89 90 90 91 91 92 92 93 93 94 94 94 94 95 95 96 96 97 97 98 98 98 99 99 99 99 100 100 101 102 103 103 104 106 107 107 107 Table des matières CHAPITRE 3. Les rémunérations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109 I. La rémunération globale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109 A. La fixation de la rémunération. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Le SMIC. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Les rémunérations minimales conventionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. L’interdiction des discriminations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.4. L’interdiction de l’indexation non spécifique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.5. L’obligation de négocier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Les composantes de la rémunération globale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. La pyramide des rémunérations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Le salaire de base. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. Les compléments ou accessoires de salaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. Le partage des profits. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.5. Les avantages sociaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Le paiement du salaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Le bulletin de paie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. La déclaration sociale nominative (DSN). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Les charges sociales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. Les cotisations de Sécurité sociale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. Les cotisations d’accident du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. Les régimes complémentaires de retraite de santé et de prévoyance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.4. L’assurance chômage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.5. Les charges fiscales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.6. Le crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110 110 111 112 113 113 114 115 116 116 116 116 117 117 119 119 122 122 122 123 123 124 II. Le salaire de qualification. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124 A. L’opération de qualification. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. L’échelle des salaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La compétitivité externe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125 127 128 III. L’individualisation de la rémunération. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 A. La recherche de l’équité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Le variable individuel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Les primes individuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Les primes collectives. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La modulation personnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Les autres composantes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. Les primes d’ancienneté. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. Les avantages particuliers (le hors-salaire). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. Les stock-options et la distribution d’actions gratuites. . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 129 129 130 130 132 132 133 134 IV. Intéressement, participation et épargne salariale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135 A. Le cadre réglementaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Historique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. La mise en œuvre de la participation et de l’intéressement. . . . . . . . . . . . 136 136 137 281 Gestion des ressources humaines B. L’intéressement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Le développement de l’intéressement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. L’accord d’intéressement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. Les critères d’intéressement : l’intéressement « vert ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. Le régime fiscal et social. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.5. Exemple – Accord d’intéressement Tapis Saint-Maclou : « Partageons notre réussite ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La participation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Le contenu de l’accord. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Le calcul des droits des salariés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. L’information des salariés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. Le bilan. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. L’épargne salariale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. Le plan d’épargne d’entreprise (PEE). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. L’actionnariat. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. Les options de souscription. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.4. La distribution d’actions gratuites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.5. Les mécanismes de l’épargne salariale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.6. L’actionnariat salarié au niveau international. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137 137 138 138 139 139 140 140 141 141 142 142 142 145 146 146 146 146 V. La maı̂trise de la masse salariale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148 A. L’évolution des rémunérations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Les augmentations générales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Les augmentations individuelles (AI). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. L’ancienneté. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.4. Les promotions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. L’évolution en masse et en niveau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. L’évolution en niveau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. L’évolution en masse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. L’effet de report. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La gestion de la masse salariale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Les simulations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148 148 149 149 149 150 150 151 152 152 155 VI. La politique de rémunération. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156 A. Les grands choix d’une politique salariale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Les arbitrages. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Les choix. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. L’audit de la rétribution globale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. L’audit de conformité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. L’audit d’efficacité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. L’audit stratégique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. L’audit du système de reconnaissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156 156 158 159 159 160 161 163 VII. La fonction rémunérations et avantages sociaux : les C&B. . . . . . . . . . . . . . 163 A. La fonction C&B : enjeux et évolutions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Les enjeux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Les évolutions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282 164 164 164 Table des matières B. Finalité et missions de la fonction C&B. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Finalité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Principales missions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. Nouveaux défis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CHAPITRE 4. 165 165 166 167 Le développement humain, social et sociétal. . . . . . . . . . . . . . 169 I. Formation et développement des compétences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169 A. Le cadre réglementaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. Le congé individuel de formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. Le bilan de compétences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. Le financement de la formation et les obligations de l’entreprise A.4. Les OPCA, le FPSPP et les OPACIF. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.5. La validation des acquis de l’expérience (VAE). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.6. Le compte personnel de formation (CPF). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.7. L’entretien professionnel et le conseil en évolution professionnelle (CEP). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.8. L’entretien professionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.9. La concertation dans l’entreprise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Le plan de formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. L’analyse des besoins. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Les choix de la politique de formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. L’investissement formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Les enjeux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Les inégalités d’accès à la formation professionnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. L’organisation et le suivi de la formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Les nouvelles pratiques de formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E . 1 . C o m m u n a u t é s d ’a p p r e n t i s s a g e , a t e l i e r s p a rt i c i p a t i f s et de codéveloppement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.2. Les jeux sérieux (serious games). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.3. La formation à distance et la formation mobile (mobile learning) E.4. Les réseaux sociaux d’entreprise (RSE) et le partage de compétences E.5. Le tutorat, le tutorat inversé et le tutorat réciproque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. La formation dans le bilan social. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . G. L’audit de la formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170 170 170 171 171 172 172 173 173 173 174 174 175 176 176 177 178 179 179 180 180 180 180 181 183 II. Santé, sécurité et bien-être au travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184 A. L’analyse ergonomique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. L’organisation du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. La rotation et la polyvalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. L’élargissement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. L’enrichissement des tâches et le groupe de production. . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. L’empowerment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.5. Les innovations organisationnelles et l’intensification du travail. . . . . . B.6. Bilan. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184 185 185 186 186 186 186 187 283 Gestion des ressources humaines C. La sécurité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. La réglementation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Les enjeux financiers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. Les politiques de sécurité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. L’emploi des personnes en situation de handicap. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. Les bénéficiaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. Les autres possibilités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. Les aides financières. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.4. Un bilan des politiques d’emploi des personnes handicapées . . . . . . . . . E. La santé au travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.1. Le Plan santé au travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.2. Les risques psychosociaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. Le bien-être décent. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.1. Les indicateurs du bien-être au travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.2. Les comportements hostiles au travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187 188 189 190 192 193 193 194 195 195 195 196 196 197 197 III. L’aménagement du temps de travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198 A. La durée de la vie active. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. L’entrée dans la vie active. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. La retraite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. Les interruptions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. La durée annuelle du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Le cadre réglementaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Les comparaisons internationales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. La répartition annuelle de la durée du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Le cadre hebdomadaire et quotidien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. La durée hebdomadaire du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. La durée journalière du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. Les horaires individualisés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. Le repos hebdomadaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.5. Le temps partiel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.6. Le travail intermittent. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.7. L’équilibre vie professionnelle / vie personnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.8. La durée de travail des salariés à temps complet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Les horaires atypiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. Le travail de nuit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. Le travail par équipes successives. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. Les équipes de suppléance de fin de semaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.4. Avantages et inconvénients. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Le compte épargne temps. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.1. L’alimentation du CET. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E.2. L’utilisation du CET. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. Les politiques d’aménagement des temps. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284 198 199 199 200 201 201 202 203 204 204 205 205 205 206 207 207 207 208 208 208 209 210 210 210 210 211 Table des matières IV. L’information et la communication. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212 A. Les outils d’information et de communication. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. L’information descendante. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. L’information ascendante. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. Les structures collaboratives 213 213 216 B. La politique de communication. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. La définition de la politique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. La mise en œuvre de la politique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218 218 219 220 220 220 220 221 221 221 C. Le rôle de la hiérarchie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Faire descendre l’information. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Faire remonter l’information. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. Faire circuler l’information. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. Faire entrer l’information dans l’entreprise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.5. Représenter l’entreprise à l’extérieur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.6. De nouveaux impératifs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . V. Le dialogue social. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221 A. Le système de représentation du personnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Les délégués du personnel et la fonction de réclamation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Les comités d’entreprise (CE) et l’expression collective. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Les moyens. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. Le domaine socioprofessionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. Les activités sociales et culturelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. La présence syndicale et les négociations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. La section syndicale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. La négociation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. Pouvoir syndical et conflits. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.4. Les conflits. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.5. Le poids des confédérations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Les accords d’entreprise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F. Les accords de branche. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222 224 225 225 230 230 230 231 231 233 234 234 235 235 VI. La responsabilité sociétale et le développement durable. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236 A. La responsabilité sociétale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Le rôle des DRH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. La norme ISO 26000. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Fonction RH (FRH) et transformation RSE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.1. La FRH et la responsabilité sociale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.2. La FRH et la responsabilité environnementale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.3. La FRH et la responsabilité sociétale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D.4. L’impact de la RSE sur les pratiques RH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Le reporting sociétal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236 236 237 237 237 238 239 241 241 285 Gestion des ressources humaines CHAPITRE 5. La fonction ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243 I. La fonction ressources humaines (FRH). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243 A. Le développement de la fonction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.1. 1830-1990. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.2. 1990 à aujourd’hui. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A.3. La fonction RH demain. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Le H de DRH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Les appellations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Les cadres RH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Formation et documentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. La formation initiale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. La formation permanente. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. La documentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. Les associations et les réseaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244 244 244 245 247 247 248 248 248 249 250 251 II. Le système d’information ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251 A. L’informatisation de la fonction ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. L’essor des SIRH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Les centres de service partagés (CSP). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Libre-service et portail ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.3. La démarche e-RH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.4. Le SIRH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Les réseaux sociaux numériques internes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Informatique et libertés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Le DRH et le big data. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252 252 253 253 254 254 254 255 256 III. L’organisation de la DRH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 256 A. La DRH dans l’organigramme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. L’organigramme de la DRH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.1. Le niveau local. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B.2. Le niveau central. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. L’externalisation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.1. Les consultants. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.2. La sous-traitance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.3. La paie et la gestion administrative du personnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C.4. Les limites de l’externalisation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D. Les conditions d’une fonction RH performante. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 256 259 259 260 261 261 262 262 262 263 Bibliographie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 265 Index. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 269 Gestion des ressources humaines 20e É D I T I O N Une boîte à outils composée de définitions, d’indicateurs, de bonnes pratiques et d’exemples concrets pour appréhender la GRH et ses différents domaines. Sommaire 1. Le management des ressources humaines. 2. Les emplois et les compétences. 3. Les rémunérations. 4. Le développement humain, social et sociétal. 5. La fonction ressources humaines. Étudiants des écoles de management et des universités Cadres des services RH Managers et responsables opérationnels Stagiaires de la formation continue Auteur Professeur à l’Essec Business School et à l’université de Corte, Jean-Marie Peretti dispose d’une longue expérience en tant que praticien, chercheur, enseignant et consultant, aussi bien en France qu’à l’international. Auteur de nombreux ouvrages et articles scientifiques, il est notamment président de l’Institut international de l’audit social (IAS) et président d’honneur de l’Association francophone de gestion des ressources humaines (AGRH). ISBN : 978-2-311-40201-8 www. .frr Illustration de couverture : © Odilon Dimier/PhotoAlto/Corbis Public