Compte-rendu de la réunion campagne ski 2003
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Compte-rendu de la réunion campagne ski 2003
Compte-rendu de la réunion campagne ski 2003-2004 Vendredi 20 juin de 14h30 à 17h00 – Siège de MdeM - Chambéry Personnes présentes : CPAM 73 – Président : Daniel JACQUIER T. 04 79 96 42 00 – [email protected] CPAM 73 – Service Prévention : David XARDEL (pour Mme MINIGGIO) david.xardel@[email protected] T. 04 79 96 81 18 – [email protected] MdeM : Virginie PIDOU, Dr Marc-Hervé BINET, Dr Jean-Dominique LAPORTE T. 04 79 96 43 50 – [email protected] / [email protected] / [email protected] Salomon SA – Responsable normalisation : Jacques THOLIN T. 04 50 65 41 62 – [email protected] Salomon SA – Responsable qualité : Jean-François MERINO T. 04 50 65 46 08 – [email protected] Par téléphone : INPES – Chargée de communication des accidents de la vie courante : Alice de MAXIMY T. 01 41 33 30 83 – [email protected] FPS – Chargé de mission : André-Pierre DOUCET T. 01 44 70 77 90 – [email protected] Excusés : CNAMTS – Service prévention : Véronique BELOT T. 01 42 79 31 08 – [email protected] CRAM RA - Service prévention des risques : Christian MARRILLET T. 04 79 70 05 27 – [email protected] CPAM 74 – Animateur en éducation de la santé : Patrice MARIANI T. 04 50 88 60 87 – [email protected] CPAM 05 : Chantal LIPATOFF [email protected] L’ensemble des personnes ci-dessus sont destinataires du compte-rendu de cette réunion. 1/6 Réflexions et propositions des partenaires autour de la mise en oeuvre de la campagne ski 2003-04 Présentation par Médecins de Montagne du projet d’opération « Juste assez serré » : voir annexe n°1 (ci-dessous) Rappel Ce projet avait déjà été présenté au moment de la présentation des résultats de l’évaluation de la campagne fixations 2001-2002. Ce projet n’était pas inscrit dans le cahier des charges de la campagne 2002-2003, il n’avait donc pas pu voir le jour et était reporté pour la saison à venir. Par contre, en partenariat avec quelques fabricants et la FPS, nous avons pu éditer une brochure de 8 pages très complète sur le réglage des fixations (l’importance et les conséquences du réglage, les normes, l’explication du FD AFNOR, en pratique comment régler, réponse aux questions les plus fréquentes…). Elle a été diffusée au cours de la saison 2002-2003 aux adhérents de la FPS, aux fabricants partenaires et lors de salons professionnels tels que le SIG1. Nous regrettons que, par manque de moyens, cette opération n’ai pas pu être évaluée. Avis de la FPS Lors de la récente réunion de la « commission montagne » de la FPS fin mai 2003 qui rassemble les responsables des réseaux de magasins de stations et les élus de la FPS, AP DOUCET rapporte que l’ensemble des participants est partant pour prendre part à cette opération. L’accord des réseaux d’enseignes est déjà acquis : Intersport, Sport 2000, Techniciens du Sport, Twinner et Skiset. AP DOUCET insiste sur l’importance de la communication de l’action tant auprès des adhérents de la FPS qu’auprès du grand public. La prochaine réunion de cette commission aura lieu le 24 juillet, AP DOUCET souhaiterait pouvoir présenter le projet avec davantage de précisions. MdeM propose de faire une intervention lors de cette réunion. Intervention de l’INPES A de MAXIMY rappelle le changement de statut de l’INPES. A présent, l’INPES dépend directement de la DGS (Direction Générale de la Santé) et n’est plus mandatée par la CNAMTS2. Salon International de la Glisse La CNAMTS continue ses actions de préventions pour les accidents de la vie courante. Pour le ski, elle passe via le réseau des CPAM (sous réserve de validation de Mme BELOT). 1 2 2/6 Ce changement de statut et les dates des appels d’offres font que l’INPES ne peut pas engager les modifications de la campagne 2003-2004 qui étaient prévues (= Nouveau spot TV mettant en avant le rôle des professionnels – Projet « juste assez serrés » - Document de présentation de la norme – Incitation des usagers des pistes à une préparation physique en amont – Evaluation des outils par MdeM). Cependant l’INPES dispose de budget pour imprimer ou ré-imprimer des documents (avec un cahier des charges précis : taille – quantité…), diffuser des document et acheter de l’espace publicitaire (radio – TV, sans contraintes de date). Pour les autres actions, type évaluation, création graphique… A de MAXIMY suggère de faire une demande de subvention auprès de Philippe AMOUREUX à l’INPES. Inutile il n’y a pas de fonds - A de MAXIMY le 1 juillet NB : Signatures obligatoires sur les documents pour l’INPES : logo INPES + logo du Ministère de la Santé Implication de la CPAM 73 D JACQUIER propose de relayer la campagne « juste assez serré » avec les CPAM 38 et 74 en mettant en place une diffusion aux péages / aires d’autoroute, aux aéroports et via des associations de consommateurs. Réflexions et interrogations autour de l’opération « juste assez serré » Propositions de MdeM (soumises à validation des partenaires) • Diffusion : o Associer les assureurs via l’APS (Assureur Prévention Santé) et la MAÏF (diffusion d’informations sur l’opération dans « MAIF Infos » : à priori OUI / diffusion des bons de réglage en délégation : à confirmer / proposition de téléchargement du bon sur le site MAIF – Isabelle COUTHOUIS – Prévention MAIF le 2 juillet par mail suite à la réunion au Ministère de sports le 25 juin) à ce projet pour la diffusion ou autre. o Diffuser ces documents via les fichiers magasins des fabricants – avec leur accord. o Diffuser cette opération via les outils de communications de l’INPES, de la CNAMTS et des CPAM (bulletins…). • Autres propositions de diffusion : o Avec l’achat d’un forfait / séjour neige (tours operators) 3/6 o Via les catalogues Décathlon • Evaluation : o Mettre en œuvre l’évaluation de cette opération (sous réserve d’acception d’une subvention de la part de l’INPES). • Création des documents : • S’occuper de la création graphique des documents en collaboration avec les partenaires de l’opération (sous réserve d’acception d’une subvention de la part de l’INPES). L’INPES va tenter de débloquer un budget exceptionnel pour une « collaboration exceptionnelle » avec MdeM - en principe réponse avant le 15 juillet. Dans ce cas c’est l’INPES qui se charge de création et du suivi - A de MAXIMY le 1 juillet Questions en suspens • Quels moyens de communication auprès des détaillants ? Et auprès du grand public ? • Quel est le plan de diffusion ? Quel est l’implication de chaque partenaire dans la diffusion ? Questions pour la FPS • Combien reste-t-il de livret de réglage à la FPS ? • Quel type de document (dimensions) serait le plus adapté pour montrer l’appartenance du magasin à l’opération ? • Pouvez-vous prendre en charge la diffusion des documents auprès de vos adhérents ? Questions pour l’INPES • Est-il envisageable de faire un communiqué de presse (Hélène MONARD – INPES) sur cette opération ? • Comment réaliser l’évaluation de cette opération ? Difficile à mettre en oeuvre - A de MAXIMY le 1 juillet • Est-il possible de re-diffuser le spot TV avant les vacances de Noël et avant celles de février ? OUI pour la rediffusion mais pas plus de précision pour l’instant (date & nombre de passages) - A de MAXIMY le 1 juillet / NON définitif • Est-il possible d’ajouter un texte, un visuel ou une voix à la fin du spot TV existant qui annonce l’opération « juste assez serré » ? OUI mais il faut les visuels très rapidement A de MAXIMY le 1 juillet • Dans quel délai aurons-nous la certitude de l’accord de l’INPES pour l’impression et la diffusion des documents cités en Annexe 1 ? Ok pour bon de réglage, affichette + rediffusion de l’affiche avec les tableaux de réglage orange mais importante réserve 4/6 sur l’autocollant (les propriétaires des skis ne seront jamais d’accord, on ne peut pas l’imposer : Anne RAMON) - A de MAXIMY le 1 juillet Propositions de l’INPES - A de MAXIMY le 1 juillet Si l’autocollant n’est pas retenu, ne pourrait-on pas mettre à l’entrée des remontées mécaniques une affiche : « Avez-vous fait régler vos fixations » avec le rappel de l’opération. Ceci implique un partenariat avec le SNTF… Présentation du projet de CD sur la norme ISO 13 993 J THOLIN, chairman à la commission AFNOR S 52T, expose le projet européen initié par Veit SENNER en Autriche. C’est un programme vidéo d'aide à l'usage de la norme ISO 139933 comme discuté à l'ISSS4. Les fabricants de matériel ski et de machines de test sont déjà engagés dans le financement de ce projet. Chaque pays a ensuite pour mission de faire connaître l’opération auprès des organismes nationaux de prévention des accidents de sports d’hiver. Médecins de Montagne s’est engagé comme « co-operation partner » avec le souhait que le CD rappelle les notions principales pour un réglage conforme aux normes et qu'un résumé papier accompagne ce document informatique. NB : Le dossier de ce projet (en anglais) est disponible auprès de Virginie PIDOU ou de Jacques THOLIN (voir coordonnées en 1ère page). = norme internationale qui définit une méthode uniforme d’échantillonnage et de contrôle des ensembles ski – fixations – chaussures pour skis alpins complets ou incomplets dans le cadre de la location. 4 International Society for Skiing Safety 3 5/6 ANNEXE 1 PRESENTATION DE L’OPERATION « JUSTE ASSEZ SERRE » Objet : Editer et distribuer un « bon de réglage des fixations gratuit » pour les magasins qui suivent l’opération « juste assez serré » (pour rebondir sur « pas assez serré » / « trop serré »). Les propriétaires de matériel se rendront, munis du bon de réglage gratuit, chez les professionnels participants à l’opération, pour faire régler leurs fixations selon les normes en vigueur. A l’issue du réglage, le skiman collera un autocollant « juste assez serré 2004 » sur un des deux ski en guise de « contrôle technique ». Les magasins participants à l’opération devront équiper leurs parcs de skis de l’autocollant « juste assez serré 2004 » afin que la campagne ait une visibilité maximale sur les pistes. Justification de l’opération • Moins de 5% des professionnels connaissent parfaitement les critères de réglage aux normes en vigueur. • Depuis 2000, on observe déjà une légère cassure de la courbe des entorses du genou. • Le public est sensibilisé, mais pas encore demandeur. Avantages • Intérêt pour le public : vérification gratuite et personnalisée • Le travail des professionnels est valorisé, de plus, ils démontrent, en participant à cette opération, leur intérêt pour la sécurité et la prévention. Documents à éditer et à diffuser • 1.000 dossiers ou courriers de présentation et de sensibilisation à l’opération avec fiche de participation à retourner (fichiers magasins des fabricants + routage FPS ) • 500.000 (quantité maximum) bon de réglage des fixations gratuit et personnalisé (format carte de visite : 85x55). • 1.000 affichettes (format à définir) pour les magasins participants à l’opération. • 500.000 (quantité maximum) autocollants « juste assez serré 2004 » pour le parc de location des magasins participants à l’opération. Il faudra faire attention à la qualité des autocollants pour ne pas abîmer les skis. (format : 60x60 – en carré) 6/6 CR de la réunion du mardi 15 février 2003 De 10 à 12 H à l’Espace Gazier (Paris) Objet = réunion d’un groupe d’experts chargés de travailler sur le cahier des charges (73 pages) de l’appel d’offres sur les actions de communication lancé dans le cadre du programme national sur les accidents de la vie courantes. Etaient présents : INPES : Anne RAMON ; Stéphane DELAUNAY et sa future remplaçante (dans 2 semaines) Centre européen de prévention des risques Groupement d’industriel pour des appareils de prévention des incendies domestiques Sapeurs pompiers de Paris CSC : Guy le Goff Ministère de la jeunesse et des sports (MJS) : Josette PINON et une de ses collaboratrice Ministère de l’Intérieur (MI) : Catherine MARTINEZ-RANDE INVS : Betrand THELOT Montain Wilderness MdeM : Virginie Infos préalables : de grands changements 1. La CNAMTS (Véronique BELOT) n’était pas présente. Elle ne serait plus habilitée à travailler dans ce type de réunion et se contenterait de relayer les actions de l’INPES à d’autres niveaux, tout en gardant ses propres actions de prévention, si j’ai bien compris. Toutes ces décisions sont très récentes et les contours à l’INPES comme à la CNAMTS semblent très flous. 2. Stéphane DELAUNAY ne travaille plus, depuis 2 mois, à la communication des actions de la vie courante. Il s’occupe maintenant des actions de prévention liées au SIDA. Il était cependant présent car il n’y a actuellement personne pour assurer le poste. Sa future remplaçante, qui ne sera officiellement embauchée que dans 2 semaines, était quand même présente. 3. Les ministères et la CSC étaient là !! Ils désirent être intégrés aux actions de l’INPES (pour financer leurs campagnes) à condition de conserver leur méthode de multipartenariat !! L’INPES, très cordialement, a tenu à préciser qu’il n’y avait jamais eu de volonté de concurrence avec les autres actions menées, c’est pourquoi ils sont ouverts à cette démarche. Vues les tensions du discours sur certains sujets comme les campagnes ski, l’ambiance était électrique… et l’INPES, en fin de réunion, a pris peur de son engagement envers les ministères. Pour l’instant personne ne sait de quelle manière les actions de communication vont être dorénavant pilotées. L’INPES a bien précisé que les décisions finales appartiennent au directeur général de le DGS, dont l’INPES dépend à présent totalement. 4. La CSC aimerait se désengager du pilotage de la campagne hiver (le remplaçant de Joëlle semble beaucoup moins motivé et assidu qu’elle, certains experts lui ont déjà fait comprendre !). Il trouve que sa Présidente (M VEDRINE) a beaucoup plus de poids médiatique pour faire le lancement de ce type de campagne. Il souhaiterait trouver un arrangement avec l’INPES sur ce sujet. Sujets abordés Prévention : des noyades des incendies domestiques des chutes des personnes âgées vélo : incitation au port du casque roller Stratégies de communication 2003-2006 pour le ski Inciter les pratiquants à faire régler leurs fixations auprès des professionnels et les professionnels à appliquer la norme : Mise en avant du rôle des professionnels auprès du grand public avec un nouveau spot TV qui insiste sur leur rôle de technicien. Un jeu-concours en partenariat avec la FPS avec une mise en place de bons de réglages gratuits pour, encore une fois, sur place inciter les usagers à aller faire régler leurs fixations et permettre aux professionnels de s’engager dans l’application de la norme. CD-Rom de présentation de la norme (réalisé à partir du livret édité cette année par MdeM, la FPS et un fabricant) destiné aux organismes qui forment ou réunissent les professionnels du ski (pas seulement les magasins). Pas pour 2003. Un document avec le tableau de réglage et son utilisation sera envoyé aux professionnels Inciter les usagers des pistes à une préparation physique en amont de la saison. Pour cela, des partenariat avec la SNCF ou des tours operator (au moment de la vente de séjours) + météo des neige sont envisagés. Faire une évaluation de tous ces outils en partenariat avec MdeM !! Promouvoir le casque pour les enfant Action pour sensibiliser les parents à l’importance du port du casque. Par oral, à la demande de l’INPES, j’ai remis un document sur un thème de prévention pour les snowboarders aux participants concernés (INVS, MJS et MI) : incitation à la prévention des fractures de poignets. J’ai bien insisté sur le fait que c’était la pathologie représentative du surf, surtout chez les ados, comme le genou pour le ski. A suivre… L’INPES a demandé à la CSC si elle souhaitait poursuivre sa campagne mémento sécurité pour l’hiver prochain… et là les MJS et MI ont bondi pour dire que c’était LEUR ministère qui finançait la majorité de ces campagnes et non la CSC. C’est à ce moment que la CSC leur a sèchement proposé de piloter les réunions. Ils ont ensuite tous ressorti leur couplet sur l’importance du multipartenariat, j’ai fait l’écho de MdeM en soulignant la dérive de ce genre pratique (simplement à cause de la mauvaise volonté de quelques partenaires). Ils ont finalement annoncé que c’était l’ensemble des partenaires de la campagne qui déciderait de l’avenir de cette campagne, en fonction du résultat du posttest et de leur « bonne volonté ». J’ai appris que certains partenaires s’étaient engagés sur des sommes et ne les ont pas versées en totalité en raison des mauvais résultats de la campagne ou simplement car ils avaient changé d’avis !! A priori, M VEDRINE serait contre la poursuite d’une campagne ski sous cette forme. L’INPES semblait désemparé… A suivre… Conclusion A part pour le ski (sans vouloir nous jeter des fleurs), j’ai l’impression que les autres partenaires (et surtout les ministères) n’avait pas lu le document et les propositions avancées par l’INPES sur les différents sujets. Ils n’ont fait que se demander comment faire sans discuter autour des propositions clairement formulées dans le document. CR Réunion sur le devenir de la campagne de prévention des accidents en montagne pour l’hiver 2003-2004 Ministère des Sports (MS) – Paris Mardi 24 juin 2003 de 10h30 à 13 heures Etaient présents • MS (C Brault et J Pinon) • MI (R Hergat) • AMFSHE (Pascale GANIVET) • Prévention MAÏF (Isabelle COUTHOUIS) • CRS de montagne • CAF • Médecin conseil de la DGS (Direction Générale de la Santé) • MdeM (MH Binet et Virginie) • Secrétaire général du CSSM (Conseil supérieur des sports de montagne : A Grollier) Ö Ce qui fait très peu de monde par rapport aux invitations qui ont été lancées. A priori elles sont arrivée la veille chez certains (comme le SNTF par exemple). Ö Le MS se propose d’être le relais de la CSC dans le pilotage de la campagne hiver 2003-2004. Intervention de l’AMFSHE (Pascale GANIVET) • Regrette la manière dont la CSC s’est retirée du pilotage de cette campagne, alors qu’à la demande de la CSC l’AMFSHE s’était énormément investie au niveau local. • L’apport financier de la CSC étant annulé, cela fera un grand « trou dans le futur budget». • Déplore que les diffusions du film et du spot radio de l’année dernière n’aient pas eu lieu. • S’étonne que les 150 000 F de l’AMFSHE, attribués à la campagne de l’an dernier n’ait jamais été déboursés. • Est favorable à la reconduite de la campagne. • Ne se prononce pas sur sa participation financière puisqu’elle ne sait ce qui s’est passé avec la somme de l’année précédente. La CSC n’a jamais répondu à la demande de budget. MI (R Hergat) • Souhaite resserrer les liens entre les différents ministères concernés par cette campagne. • Désire qu’il y ait un leader expérimenté en matière de communication. • Insiste sur le fait qu’il faut se battre sur 1 seul thème fédérateur. • Que le rôle du SNOSM n’est pas impliqué (il n’y a pas de proposition de la part du SNOSM) dans le choix des axes de communication, car ces résultats ne le permettent peut-être pas. Médecin conseil de la DGS (Direction Générale de la Santé) • Demande pourquoi le MS ne s’associerait pas avec l’INPES ? MdeM (MH Binet et Virginie) • Explique le projet de campagne « juste assez serré » avec l’INPES pour que les choses soient claires. • Met en avant l’importante incidence du risque chez le snowboarder débutant. Les chiffres du réseau appuient ce choix, cela permet d’avoir une cible bien précise et bien définie plutôt que d’essayer de toucher tout le monde à la fois dans tous les domaines. • Propose des solutions de communication à moindre coût et performantes : les documents édités dans les OT (envoi sur CD du visuel dans plusieurs formats) et les radios locales (envoi d’un CD avec un message de 30’’). • Est ravi que les partenaires aient enfin compris qu’il ne faut travailler que sur 1 seul thème. Secrétaire général du CSSM (Conseil supérieur des sports de montagne : A Grollier) • Pense qu’il faut travailler autour des 3 thèmes suivants : collisions, préparation physique et comportement à décliner sur plusieurs supports. MS (C Brault et J Pinon) • Souligne l’efficacité des affiches relayant la campagne sur les pylônes des remontées mécaniques des stations d’Isère suite à l’analyse d’impact qui a été réalisée par la DDJS de l’Isère. (document disponible au siège). En fin de séance : propositions de 2 axes pour la prochaine campagne : 1. Débuter en snowboard 2. Priorité au skieur aval A suivre… • En principe un compte-rendu du MS doit être envoyé par mail à tous les partenaires concernés afin qu’ils puissent donner leur avis sur les propositions. 1 ou 2 messages seront alors adoptés en fonction de l’avis de la majorité. Délai de réponse : 14 juillet. • La prochaine réunion est fixée au 16 septembre à 10H30 au MS pour auditionner les agences. • La prochaine CIS est fixée au 4 novembre. SYNTHESE DU POST-TEST de la campagne hiver 2002-2003 MEMENTO SECURITE NB : Le document global est disponible sur demande au siège de MdeM (70 pages) I . APPROCHE QUANTITATIVE 618 entretiens réalisés dans 10 stations pré-déterminées par les commanditaires (Alpe d’huez ; Chamonix ; La Clusaz ; La Plagne ; Megève ; Méribel Alpina ; Praloup ; Serre-Chevalier ; Val Cenis et Val Thorens). Profil des interviewés 53% d’hommes / 47% de femmes 75% de – de 25 ans (comme prévu dans le CC) 40% de 12-17 ans / 35% de 18-24 ans / 25% de + de 25 ans Pratique par type de sport Ski : 61% Snow : 17% Les 2 : 15% Miniski : 6% Autre : 1% Niveau de pratique Débutant : 11% Moyen : 33% Bon : 41% Très bon : 15% Cadre de pratique : en groupe (famille : 46% / amis : 40%) Pratique du HP : 69% jamais / 21% occasionnellement (-4/an) Vérification assurance : oui à 76%, avec une note d’intérêt de 3 sur 4. Info météo : oui à 68%, avec une note d’intérêt de 2,9 sur 4. Vérification des fixations : oui à 72%, avec une note d’intérêt de 2,9 sur 4. « Les fixations sont vérifiées par 72% des répondants, alors qu’ils sont 81% à déclarer cette vérification importante (dont 50% de très importante). Ces 9% supplémentaires peuvent notamment s’expliquer par le fait qu’une majorité de personne loue ses skis et fait confiance à son loueur pour ce réglage. Soulignons que 19% des répondants jugent cette vérification peu ou pas importante. » Port de protections (casque, poignets…) : oui à 12% avec un note d’intérêt de 2,2 sur 4 « 61% des personnes qui n’en portent pas jugent que c’est peu important. 39% jugent que c’est important, soit 28% de plsu que ceux qui déclarent porter des protections. (surtout pour le casque chez les enfants) » Port de lunettes de soleil : oui à 95%, avec une note d’intérêt de 3,6 sur 4. « 8% estiment que cette protection n’est pas importante » Utilisation d’un crème solaire : oui à 79%, avec une note d’intérêt de 3,1 sur 4. « 25% jugent cette utilisation peu ou pas importante » Connaissance des règles de sécurité : oui à 77% dont : 1 sur 2 = priorité au skieur aval 1 sur 3 = maîtrise de la vitesse 1 sur 4 = respect d’autrui 1 sur 5 = stationnement visible sur le côté ou respect signalisation 22% ont entendu parlé d’une campagne sur la sécurité, dont : Ö 36,5% HP, avalanche… Ö 15,3% mémento sécurité Ö 15,3% réglage fixations Ö 13,9% port du casque Ö 3% ont entendu parlé du mémento sécurité (je rajoute : dans les stations qui ont été choisi pour avoir bien diffusé le document !) Ont été informés d’une campagne sur la sécurité, par : Ö 56,2% TV Ö 19% radio Ö 14% affcihes Ö 10% dépliants Ö 6% presse écrite Reconnaissance du mémento Après présentation du mémento, 17% le reconnaissent, soit 5 fois plus qu’en citation spontanée => faible impact mémoriel de la brochure. Parmi ces 17% : Ö 67% l’ont pris Ö 44% l’ont lu Ö 19% en ont parlé à d’autres Ö 51% l’ont conservé « (…) très peu vu par l’ensemble des répondants. (…) affiche un taux de prise en main et de conversation satisfaisant => attraction du sujet relativement forte. (…) contenu peu jugé comme sujet à partager avec d’autres. » Lieux de procuration du mémento Ö 31,4% caisses des RM Ö 19% lieu d’hébergement Ö 19% autres Ö 14,3% OT Ö 9,5% ESF Ö 2,9% distribution Enseignements / Conclusions Mémento jugé facile et utile par 93% des répondant. Il permet d’apprendre des règles à 81% des répondants. Impact faible sur le comportement : 47% de pas ou peu d’impact. Il faut réaliser un travail spécifique auprès des 12-17 ans ainsi que des pratiquants HP. II . APPROCHE QUALITATIVE 1. Entretiens face à face auprès de 22 professionnels A l’origine du danger L’inconscience (manque de préparation, recherche de vitesse) Une faible culture « montagne » alors que tout est fait (évolution du matériel, entretien des pistes…) pour faciliter la pratique des sports d’hiver. Un univers sans contrainte : du « sport de glisse » au « loisir de glisse » L’affluence sur les pistes présentée comme un facteur de collision La cohabitation surfeur / skieur Le HP : une pratique à risque valorisée par les médias Profils des pratiquants et facteurs de risques Les jeunes qui skient en groupe, perçus comme des « inconscients » Les personnes plus âgées sont plus prudent, mais il faut les informer des régles Les snowboarders « irrespectueux » L’origine géographique : les locaux sont mieux informés des risques et des règles, notamment pour la pratique du free-ride Degré de connaissance des règles de sécurité Manque d’intérêt des pratiquants à l’égard de la sécurité, car ce n’est qu’un « loisir de glisse » Répression trop faible Un phénomène social : culture de transgression actuelle des jeunes Un dialogue est toujours possible avec les jeunes, mais ce n’est pas eux qui font la démarche d’information Solutions proposées auprès des jeunes + d’infos vers les jeunes, à travers des campagnes ciblées (à l’école, aux caisses…) + de répression certains déplorent le manque d’adaptation des ESF Initiative du Mémento Tous s’accordent à dire qu’il faut parler de sécurité, mais les avis sur la campagne divergent. Inadapté à l’état d’esprit des gens qui viennent en vacances Regret des 10 règles de sécurité sous forme de BD, car + humoristique La campagne doit s’adresser à tout le monde Choix du support critiqué, sauf si on les met dans les mains des gens Mode de diffusion remis en cause Implication dans la campagne Les répondants se considèrent comme des relais de l’information mais ne souhaitent pas s’investir davantage. Remarques La campagne est lancée trop tardivement (novembre), la sensibilisation doit venir bien en amont : agences de voyages, compagnies hôtelières… Il faut utiliser d’autres médias : affichage, TV… Manque de suivi de diffusion de la brochure Manque de coordination entre les différents intervenants Faible visibilité de la campagne : plan des pistes, dos des forfaits, signalétique des pistes. 2. 3 focus groupes « jeunes » 3 groupes de 8 à 10 jeunes (12-18 ans / 18-25 ans et 25-30 ans) recrutés dans les stations. = tables rondes autour d’un guide d’animation Univers des vacances d’hiver à la montagne Loisir, plaisir et convivialité Liberté et pureté Effort physique et sensations fortes Dimension technique omniprésente Sécurité : une réalité pour les skieurs Danger = les autres et dépend de la fréquentation des pistes Règles peu formalisées Contenu du mémento Le comble un manque d’information, comme s’échauffer avnt de partir par exemple. La forme est bien perçue, sauf pour le splus jeunes qui souhiateraient plus de dessins Souhait d’une démarche plus volontariste afin qu’il soit davantage vu, lu Prospositions : dos du forfaits, barres de télésièges, sets de tables des restos, informations audiovisiuelles dans les œufs, dans les files d’attentes des RM, affiches sur le spylônes. CR de la réunion du vendredi 31 janvier 2003 De 15 à 18 heures à la CSC (Paris) Objet = Audition d’agences pour l’évaluation de la campagne « mémento sécurité – Pour que le montagne reste un plaisir » Etaient présents : CSC : Joëlle PULLINX, Pierre LE GUERINEL et un nouveau : Guy LE GOFF SNTF : Serge RIVEIL et JC SIMIAND SEATM : Monsieur DENARIER Météo France : un représentant Ministère de l’Intérieur : Catherine MARTINEZ-RANDE (Bureau des risques pour le public) MdeM : Virginie Infos préalables Joëlle PULLINX quitte la CSC le soir de la réunion (excellente galette + champagne !). Elle est remplacée par Guy LE GOFF. Il semble y avoir des tentions importantes avec la Présidente. P LE GUERINEL vient et va au cours de la réunion, il ne semble pas concerné par le sujet. La diffusion des documents semble encore une fois ne pas avoir été extrêmes bien suivie, malgré les partenariat mis en œuvre avec le SNTF. Le SNTF est contre une évaluation, car il estime que c’est de « l’argent foutu en l’air » Budget pour l’évaluation : 25 000 € TTC Cette année seul 1 cabinet a demandé à diffuser ces livrets, il faudrait trouver un moyen d’en envoyer plusieurs exemplaires systématiquement aux membres de MdeM (réflexion personnelle qu n’entre pas le débat de la réunion). Il y a des K7 vidéo, mais nous ne les avons toujours pas reçues. La CSC a volontairement limité le lieu des enquêtes aux Alpes. Période d’enquête : 17 au 23 février 2003 3 agences ont été auditionnées Déroulement : 3 agences présentent en 10 min. leurs méthodes et leurs propositions, les partenaires doivent ensuite faire un choix. Les propositions des agences seront revues avec les partenaires pour les adapter au mieux à leurs besoins spécifiques. Points commun aux 3 agences : Elles pré-définissent leur cible, il n’y a pas de notion de hasard. C’est X % de femmes, X % de 12/25 ans ou de snowboarders… Elles missionnent 4 à 5 enquêteurs pas station Elles prévoient 1 à 2 jour d’enquête par station Elle fournissent les résultats en mars 1. ETRIE International= cabinet d’étude Propose une enquête quantitative : post-test de l’impact de l’action sur un échantillon de 3000 personnes avec un noyau, pour des enquêtes plus longues, de 300 personnes dans 10 à 12 stations (6 grandes et 6 moyennes). Temps moyen pour un questionnaire : 12 min. 2. IE (Informations et Entreprises) en partenariat avec une agence d’Annecy : Infusion C’est l’agence retenue : elle propose une enquête quantitative et une autre qualitative. L’enquête quantitative étudiera via un échantillon de 600 personnes avec un cœur de cible 12-35 ans dans 10 stations (choix par les partenaires) : Le degré de compréhension des messages Le degré d’appropriation du document La pertinence des supports choisis Le circuit de distribution Le questionnaire ne comportera que des questions fermées. Durée d’administration : comprise entre 5 et 10 min. (maxi). Lieu d’administration : demande auprès des professionnels de chaque station. L’enquête qualitative se divise en 2 actions : 1. Etude de quelques « focus-group » pendant ¾ d’heure = groupe de 8 à 10 personnes de même âge ou exerçant les sports d’hiver de la même manière. Cette étude se fait en station. 2. Entretien plus long en face à face avec une quinzaine de personnes à Paris. Pour info, ils facturent le chapitre « analyse des résultats et recommandations » : 4000 €. 3. IOD = Institut d’Observation et de Décisions, partenaire habituel des campagnes institutionnelles Trop sur de lui, le représentant de cette agence a fait un flop ! Discussion C’est l’agence N°2 qui a été choisie, presque unanimement, car : Pour le même prix que les autres, elle apporte un volet qualitatif, qui permet d’avoir des éléments plus précis pour construire les prochaines campagnes. Avec un partenaire proche du terrain (Annecy), elle semble mieux correspondre aux attentes des partenaires. Le contenu du questionnaire sera envoyé à quelques partenaires pour validation. Il reste du budget, comment l’insuffler dans la campagne ? Guy LE GOFF a fait faire un devis pour rediffuser les spots radio de l’année dernière sur NRJ en station. Je fais remarquer que les jeunes n’écoutent pas la radio en station et qu’il vaut mieux diffuser les spots justes avant les vacances à Paris et dans les grandes villes. Dans tous les cas ils ont un problème de délai pour que les spots soient intégrés aux grilles publicitaires des radios dans un temps aussi court. Certains font remarquer que ces spots ne sont pas adaptés aux « jeunes », mais là encore pour des raisons évidentes de temps et de budget, il est impossible de faire autrement. Je propose une diffusion via des tour operator comme Pierre et Vacances, le Club, l’UCPA, les Maeva… puisque dans la discussion il s’averre que le moyen le plus efficace est que chaque « client » puisse avoir dans sa chambre ou dans son appartement le dépliant à sa disposition. Sur les pistes (aux remontées mécaniques) : ce n’est pas pratique, à l’office du tourisme : ils sont noyés au milieu des autres informations. Un partenariat est déjà en place avec les UCPA et le Club Med les a lâché. Mme MARTINEZ (pas celle de Fabrice) propose une diffusion aux péages des autoroutes (c’est une fervente de cette solution – déjà pour la campagne été !). Mais cette solution est coûteuse (0,60 cts de Francs par document). Ils souhaitent cependant essayer pour le péage de l’Ilse d’Abeau sur 1 ou 2 week-end de février. Le SNTF propose de contacter dès lundi les personnes qu’ils connaissent à l’AREA, mais ne veulent pas de distribution dans les sachets. Mme MARTINEZ essaie de voir avec le MJS si un tel partenariat est financièrement envisageable. Finalement c’est plutôt l’AREA qui semble l’emporter, mais aucune décision n’est clairement annoncée.