du d - Elsan
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2009 Jan Janvier 2010 Clini Cli lini n ques ues Inf IInfo nfo o d Gr du Grand G rand an nd d Na Nanc a cy anc C q e Sain Clinique Saint-André/Polyclinique aint-André/Polycliniq que de Gentilly/Clinique lly/Clinique e Ambr Ambroise oise Par Paré é Clinique e Saint-Jean/Clinique Saint-Don S À LA UNE Editorial L’ ambition de Vitalia pour le Grand Nancy est de rester au tout premier plan de l’offre de soins de la région. Le plan cancer a mis en exergue le niveau de qualité de la filière dans nos établissements et notamment sur le Médipôle de Gentilly dans toutes les spécialités médicales et chirurgicales. Les équipes et les plateaux techniques vont servir de base au développement d’un « institut de pathologie cardiovasculaires » indispensable au site du Médipôle, un centre d’urgence dont la fréquentation ne fait qu’augmenter. Un vrai repère pour la population, un vrai centre de recours : c’est l’ambition que nous visons. La clinique Saint André, centre de référence de la chirurgie ambulatoire (75 % de son activité) a été récemment « félicitée » par l’assurance maladie. Le répit n’existe pas pour nos structures si nous voulons rester un acteur du système de soins et un interlocuteur crédible pour nos tutelles. Il nous faut penser la médecine et les projets de demain dès maintenant, avec les médecins et les personnels pour que nos structures se développent et se pérennisent. Dans cet esprit optimiste, je présente à tous ceux qui participent de près ou de loin à cette aventure mes vœux les plus sincères pour 2010. Jacques Delfosse Directeur Régional Est La chirurgie bariatrique toujours en plein essor Longtemps cantonnée aux techniques de restriction pure avec les anneaux de gastroplastie ajustables ou non, la chirurgie bariatrique offre désormais plusieurs possibilités chirurgicales aux patients obèses. L a chirurgie de l’obésité est une chirurgie difficile, encadrée par des recommandations de l’HAS, qui comprend non seulement la connaissance et la pratique des différentes techniques opératoires mais aussi une prise en charge pluridisciplinaire des patients obèses morbides (IMC>40 kg/m2) ou déjà compliqués de comorbidités (IMC>35 kg/m2). Aujourd’hui, un chirurgien de l’obésité doit pouvoir maîtriser les différentes techniques chirurgicales pour répondre aux attentes de l’équipe pluridisciplinaire (gastro-entérologue, endocrinologue, psychiatre, cardiologue…) et proposer le meilleur geste bariatrique aux patients sélectionnés. Les interventions les plus réalisées actuellement en France sont le «bypass» (court-circuit) gastrique, la «sleeve» gastrectomie (en gouttière) et l’anneau ajustable. Ces procédures peuvent toutes être réalisées par voie cœlioscopique. du sommeil…) qu’elle permet. Le diabète de type 2 est corrigé dans 85% des cas après bypass. Les perspectives d’avenir de cette chirurgie «métabolique» pourrait s’étendre dans les années à venir aux patients diabétiques de type 2 avec un IMC < 35 kg/m2 dont certaines études préliminaires ont montré une rémission proche de 100 %. L’extension des indications chez les adolescents obèses reste à évaluer même si elle est pratiquée dans certains pays (USA, Scandinavie) avec des résultats intéressants. Ces nouvelles indications méritent d’être étudiées encore avant d’être validées par l’HAS. Fig 1 : Bypass gastrojéjunal Fig 2 : Sleeve gastrectomie ➋ ❶ Le bypass (Fig 1) est une intervention qui conjugue une action restrictive par la petitesse du néogastre créé (~30cc) et une malabsorption par la dérivation partielle des sels biliopancréatiques dans le tractus grêle. Cette technique permet une perte de poids durable après 15 ans de recul et elle a un impact significatif sur la courbe de survie. La sleeve gastrectomie (Fig 2) est une technique récente et présentant des résultats précoces proches du bypass. Elle permet une restriction par la création d’un estomac en «manchon» mais également par une diminution de la sécrétion de Ghréline, hormone oréxigène, produite par la grande courbure gastrique alors réséquée. Elle peut s’inscrire comme une alternative intéressante au bypass chez les patients « super obèses» (> 50 kg/m2) ou «super super obèses» (> 60 kg/m2) car sa réalisation est plus simple chez ce type de patient et ne coupe pas les ponts à la conversion en bypass après 18 à 24 mois si la perte de poids s’avérait insuffisante. Bien que réalisée depuis de nombreuses années, la chirurgie de l’obésité est toujours en plein essor non seulement en raison d’une explosion démographique des patients obèses mais également de par la correction des comorbidités (diabète, dyslipidémie, HTA, apnée Ancien chef de clinique et assistant des hôpitaux de Nancy, le Dr Rouers a rejoint la société GROSDIDIER-MONTAGNE-GUIBERT pour compléter l’activité de chirurgie générale et digestive avec une compétence en chirurgie bariatrique. Après un internat lui ayant permis de travailler dans plusieurs centres parisiens, nancéiens et liégeois qui lui ont conféré une formation complète en chirurgie viscérale, digestive et cœlioscopique, le Dr Rouers a développé très tôt un intérêt pour la chirurgie de l’obésité. POLYCLINIQUE DE GENTILLY L’hystérectomie cœlioscopique : une technique chirurgicale peu développée… à tort ! La première hystérectomie cœlioscopique a déjà 20 ans ! À ce jour, cette technique chirurgicale ne représente pourtant que 5 % des hystérectomies réalisées dans le monde. Zoom sur une technique efficace et peu coûteuse. Indications des hystérectomies cœlioscopiques Affections bénignes : 3 Fibromes utérins : symptomatiques et invalidants (douleur, saignement, signes de compression), et après échec des traitements médicaux (progestatifs, analogues de la LHRH…). 3 Ménométrorragies : après avoir éliminé une pathologie maligne, et après échec des techniques de résection endométriale par voie hystéroscopique. 3 Prolapsus génitaux : promontofixation (avec ou sans conservation utérine) 3 Endométriose, adénomyose : si syndrome douloureux pelvien résistant à tout autre thérapeutique, et en l’absence de désir de grossesse. Par ailleurs, le matériel standard à toute cœlioscopie reste bien évidemment indispensable: pinces à préhension, coagulation bipolaire et monopolaire, système d’aspiration-lavage, ciseaux cœlioscopiques, dans certaines situations des pinces de suture automatiques cœlioscopiques. Affections préinvasives : 3 Hyperplasie endométriale atypique sur le produit de curetage endo utérin. 3 Carcinome cervical in situ (ou CIN 3) : si conisation non in sano, ou récidive malgré conisation, et absence de désir de grossesse. 3 Adénocarcinome in situ : en l’absence de toute composante invasive. Affections malignes : 3 Cancer du col, de l’endomètre (stades débutants): cœlioscopie faisable. 3 Cancer de l’ovaire et de la trompe : cœlioscopie encore très discutée. Il n’y a que très peu de contre indications d’ordre technique à la pratique de l’hystérectomie cœlioscopique. Préparation préopératoire de la patiente Avant l’intervention, un bilan préopératoire et une consultation anesthésique standard sont effectués. De plus, la patiente doit impérativement faire un régime sans résidu les quatre jours précédant l’intervention ainsi qu’un lavement Normacol® la veille au soir. Au bloc opératoire, une désinfection vaginale et un sondage urinaire sont effectués, un antibioprophylaxie est administré à la patiente, des bas de contentions pour les membres inférieurs et une couverture chauffante sont utilisés. Technique opératoire Toutes les étapes d’une hystérectomie par laparotomie sont reproductibles par cœlioscopie (dissection des uretères, dissection des gros vaisseaux et curages pelviens, suture du vagin en fin d’intervention…). Technologie de pointe Suites de l’intervention Les progrès technologiques considérables récents permettent d’aller toujours plus loin dans le type d’intervention que nous sommes amenés à réaliser. 3 Prévention thrombo embolique : héparinothérapie de bas poids moléculaire environ 10 à 15 jours (dose et durée en fonction âge, poids et terrain). 3 Sondage urinaire : retiré le lendemain de l’intervention. 3 Durée d’hospitalisation : environ 4 jours. 3 Hygiène postopératoire : pendant 1 mois : pas de rapports, pas de bains, pas d’efforts physiques importants, pas de sport. La Polyclinique de Gentilly à Nancy dispose de tout l’équipement nécessaire pour mener à bien ce type de chirurgie, ainsi qu’un chirurgien gynécologue qui la pratique, le Docteur T… Ces moyens tournent autour de quatre technologies : 3 Une colonne vidéo de cœlioscopie HD (Haute définition) avec une excellente qualité d’image. 3 Un insufflateur puissant et rapide permettant de compenser rapidement les différences de pression intra abdominale lors de l’aspiration. 3 Un générateur de «Thermofusion» qui permet une « coagulation-section » optimale, avec l’aide de pinces cœlioscopiques. 3 Un manipulateur utérin (hystérophore). Ce type de chirurgie nécessite des équipes chirurgicales entrainées et formées spécifiquement à la cœliochirurgie ainsi qu’à la cancérologie. Au total, la plupart des études comparant les suites opératoires des différentes techniques d’hystérectomie vont dans le même sens : les voies vaginales et/ou cœlioscopiques connaissent des suites opératoires plus simples, et moins morbides. Les accidents et complications per cœlioscopiques existent (plaie digestive, vasculaire, urinaire…) mais restent toutefois rares. En revanche, le degré de satisfaction de la patiente bénéficiant de ce type d’intervention est très largement supérieur en cas de cœlioscopie, par rapport à la laparotomie (moins de douleurs, reprise du transit plus rapide, retour au travail et à une vie sociale accélérée…). CLINIQUE SAINT-ANDRE La chirurgie oculomotrice à la Clinique Saint André Le Dr Alain Spielmann est ophtalmologiste, spécialisé dans la chirurgie oculomotrice, à la Clinique Saint André. Pour Cliniques Info, il accepte de faire un petit tour d’horizon des différentes pathologies de cette spécialité. En quoi consistent les pathologies oculomotrices ? Dr Alain Spielmann : Pour simplifier, on peut considérer d’une part les problèmes de parallélismes oculaires, c’est à dire les strabismes au sens large, et d’autre part, les problèmes de motilité oculaire qui correspondent à des problèmes malformatifs ou neurologiques. Au delà du versant moteur, il faut bien comprendre que ces pathologies retentissent sur le développement visuel chez l’enfant et peuvent entraîner une perte irréversible de la fonction visuelle. Elles doivent donc être dépistées et traitées précocement. La strabologie est donc une spécialité ophtalmo-pédiatrique ? Dr A.S. : Les strabismes affectent aussi les adultes. Contrairement à une idée reçue, ils peuvent être opérés à tout âge. Les adultes représentent la moitié de mon activité chirurgicale. Outre les strabismes de l’enfance persistant à l’âge adulte, il faut considérer tous les problèmes oculomoteurs acquis tardivement. Cela peut faire suite à des pathologies traumatiques, orbitaires, ou simplement musculaires, comme dans les maladies de Basedow. Dans ma pratique, il y a aussi beaucoup de problèmes oculomoteurs d’origine neurologique. Quels sont les problèmes oculomoteurs d’origine neurologique ? Dr A.S. : Il s’agit essentiellement des paralysies oculomotrices qui touchent les 3ème, 4ème et 6ème paires crâniennes, mais pas uniquement. Il existe de nombreux syndromes oculomoteurs plus ou moins complexes dont l’origine n’est pas l’atteinte des nerfs crâniens : paralysie de l’élévation (syndrome de Parinaud), paralysie du regard latéral, ophtalmoplégie internucléaire… Ces syndromes entraînent une symptomatologie fonctionnelle marquée avec vision double, position anormale de la tête (torticolis), anomalies des saccades et de la poursuite oculaire, perception du monde visuel en mouvement (oscillopsies). En nombre de chirurgie du strabisme, la Clinique Saint-André est de loin la première clinique du quart nord-est de la France. Techniquement, comment se passe une chirurgie oculomotrice ? Dr A.S. : L’opération se passe sous anesthésie locale ou générale, en hospitalisation classique ou ambulatoire. Les deux yeux sont souvent opérés dans le même temps opératoire. On pourrait penser qu’il s’agit simplement de détendre ou de retendre certains muscles. La réalité est bien plus complexe puisqu’il s’agit de faire coopérer les 12 muscles oculomoteurs dans tous les plans de l’espace. Diverses techniques chirurgicales ont été élaborées pour modifier le bras de levier des muscles, changer la direction de la force musculaire, déplacer la position des poulies, restaurer une fonction manquante par des transpositions tendineuses… On utilise aussi des techniques qui permettent d’ajuster la position des yeux au lendemain de l’opération, en jouant sur la tension de la suture musculaire. En quoi la chirurgie des nystagmus représente-t-elle une activité de pointe à la Clinique Saint André ? Dr A.S. : Un nystagmus est un mouvement de va-et-vient incessant et incontrôlable des deux yeux. La plupart des nystagmus sont congénitaux, mais certains sont d’origine neurologique acquise. Le traitement des nystagmus est avant tout chirurgical. Plusieurs milliers de nystagmus ont été opérés à la Clinique SaintAndré, ce qui correspond à la plus grande expérience mondiale, tant pour les nystagmus acquis que congénitaux. Strabisme chez l’enfant. Le port de la correction optique est obligatoire mais il est rare que cela suffise à redresser les yeux. CLINIQUE SAINT-ANDRE Zoom sur la chirurgie mini-invasive de la hanche La chirurgie mini-invasive permet de mettre une prothèse de hanche classique, sans aucun dommage pour les muscles péri articulaires. Cette préservation musculaire rend les suites opératoires moins douloureuses, moins hémorragiques, et la réhabilitation fonctionnelle beaucoup plus rapide. Explications. A près l'effet de mode apparut dans les années 2000, la chirurgie peu invasive se définit désormais selon deux critères : ❶ Une incision cutanée courte dont l'intérêt cosmétique est certain. Cette incision est suivie d'une voie d'abord, la plus respectueuse possible, des muscles périarticulaires tout en étant à distance des vaisseaux et des nerfs (sciatique et crural). L'ensemble des complications peuvent être ainsi pratiquement éliminés : luxations, insuffisances musculaires, complications thrombo-emboliques et infections. ❷ La proposition aux patients souffrant de coxarthrose d’une solution d'arthroplastie prothétique dont le concept a subi favorablement l'épreuve du temps. Ici une tige ESOP (98.8 %) en place. Bons résultats à 10 ans. La voie d'abord Les implants Celle de Hueter répond aux contraintes qui ont été décrites. Elle empreinte l'espace anatomique internerveux et intermusculaire antérieur qui fut décrit au 19ème siècle. C'est donc vers cet abord physiologique que l'évolution technique se fait. Elle permet ainsi une récupération fonctionnelle optimale en ayant respecté l'intégrité de l'appareil musculaire péri-articulaire sans iatrogénie vasculo-nerveuse compte tenu des distances respectées entre les troncs principaux. En dernier lieu, pratiquée sur une table adaptée, elle est réalisée à travers un petit champ opératoire minimisant ainsi de façon optimale le risque infectieux Deux conceptions de fixation prothétique au sein du squelette ont été développées depuis une cinquantaine d'années. qui hypothéquerait le pronostic fonctionnel. Tout d'abord, les prothèses cimentées ont initialement donné les meilleurs résultats dès lors qu'elles furent stabilisées par un ciment à base de méthyl méthacrylate associé à un couple de friction métal polyéthylène. Les prothèses sans ciment ont elles aussi été rapidement attrayantes car certains concepts ont permis d'obtenir des ostéo-intégrations, ce qui correspond à une fixation biologique vivante de l'implant au sein du massif osseux. Brèves La fixation prothétique est malheureusement parfois hypothéquée par les usures prématurées des couples de friction. L'évolution se fait donc vers les couples de friction dits durs, le plus utilisé est le céramiquecéramique, matériau implanté depuis bientôt 40 ans dont la biocompatibilité est parfaitement connue et extrêmement favorable. L'autre est le métal-métal qui génère malheureusement des débris d'usure dont certains composants d'alliage peuvent être à l'origine de tumeurs. D'une façon générale, les techniques chirurgicales évoluent vers un caractère atraumatique, la chirurgie de la hanche n'y échappe pas ! Ces techniques comportent des gestes conservateurs tels que la décompression antérieure par arthroscopie en amincissant le col ou les résections et les repositions toujours arthroscopiques du bourrelet qui nécessitent un équipement spécifique : une table d'opération carbone totalement radio-transparente dont la Clinique Saint André est équipée. Concernant la chirurgie prothétique, la voie d'abord ne semble plus être discutée ainsi que la qualité des résultats obtenus par les couples de frictions céramiques-céramiques. Les discutions sur le scellement ou l'ostéo-intégration des implants restent ouvertes : la sélection par l'âge et la densité osseuse du patient sont les critères les plus rigoureux. Les 5 cliniques du Grand Nancy en chiffres «Devenir l’un des tous premiers pôles hospitaliers privés de France : voilà l’ambition du Groupe Vitalia pour le Médipôle de Gentilly», déclarait à Nancy il y a quelques semaines Jean-Baptiste Mortier, Directeur Général de Vitalia. M. Mortier a souhaité expliquer aux personnels et aux équipes médicales les prochaines de l’évolution du Médipôle. étapes Il a réaffirmé le souhait du Groupe : investir dans les deux prochaines années au sein du Médipôle pour offrir aux Nancéiens un pôle hospitalier de tout premier plan et de très haut niveau médical. À cette occasion, il a demandé aux équipes médicales de la Polyclinique de Gentilly et de la Clinique Ambroise Paré de finaliser un projet médical ambitieux d’ici mars 2010. C’est nouveau au Médipôle : cette étape cruciale se réalisera sous l’égide d’une autorité médicale commune aux établissements du site, composée de médecins représentatifs des différentes spécialités. Clinique Sai Saint-André nt-André 102 av Jean Jaurès J BP B P 13 54500 V Vandoeuvre ando oeuvre les Nancy Tel. T el. : 0 826 30 0 45 45 Fax F ax : 03 83 5 51 1 22 40 www.vitalia-saint-andre-nancy.com www .vitalia-saaint-andre-nancyy.com Clinique A Ambroise m mbroise P Paré aré Rue Ambroise eP Paré aré 54 100 Nancy Tel. T el. : 0 826 66 6 66 56 Fax F ax : 03 83 9 98 75 44 www.vitalia-ambroise-pare-nancy.com www .vitalia-am mbroise-pare-nancy.com q 807 collaborateurs ; q 218 médecins libéraux ; q 614 lits et places ; q Plus de 93000 patients pris en charge par an ; q 89423000€ de chiffre d’affaires. Bienvenue ! Nous souhaitons la bienvenue aux médecins qui ont rejoint récemment les cliniques du Grand Nancy : q Dr Pascal Schang, chirurgien dentiste, diplômé en 2007, installé à Nancy et dentiste au CPN de Laxou à la Clinique Saint André. q Dr Anthony Rouers, chirurgien digestif avec une compétence en chirurgie bariatrique à la Polyclinique Gentilly et à la Clinique Saint André. q Dr Olivier, chirurgien gynécologique et sénologique à la Polyclinique Gentilly. q Drs Bally et Curien, spécialistes de la chirurgie maxillo-faciale à la Polyclinique Gentilly. Polycliniique de Gentilly Polyclinique 2 rue Mar Marie rie Marvingt 54 100 Nancy Tel.: T el.: 0 825 5 12 18 25 Fax: F ax: 03 83 8 93 50 50 www.vitalia-gentilly.com www .vitaliia-gentilly.com Clinique e Saint-Jean 5 place P Provençal rovençal BP B P 6026 60262 2 54005 Nancy Tel. T el. : 03 83 8 17 75 00 Fax F ax : 03 83 8 32 61 73 www.vitalia-saint-jean-nancy.com www .vitaliia-saint-jean-nancy.com Clini Clinique ique Saint-Don 2 rue e Marie Marvingt 5410 54100 00 Nancy Tel. T el. : 0 825 12 18 25 Fax F ax : 03 83 93 50 90 www www.vitalia-saint-don.com .vitalia-saint-don.com C e numéro nnuméro um éro de de de Cliniques cliniques c liniqu e s info infos in foas été a été été Ce imprimé imé à 32500 000exemplaires. exemplaires 2009110198 Le Médipôle de Gentilly : une nouvelle étape vers un projet ambitieux