Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
L’album double enregistré en
spectacle disponible le 3 décembre
Montréal – novembre 2013 – Les 23 titres de Men at
Work, disponible le 3 décembre prochain reflètent un
désir d’essentiel, dans toute l’étendue de son registre
expressif. Ici, on retrouve Gianmaria Testa dans l’élan
collectif des concerts qui ont suivi la sortie de son
album Vitamia (2011). De cet équipage soudé et attentif
dans lequel brillent Giancarlo Bianchietti (guitares),
Nicola Negrini (contrebasse) et Philippe Garcia (batterie),
Gianmaria Testa refuse d’être le capitaine autocratique,
imprimant seul la direction à suivre. Comme ses partenaires,
il se laisse guider par les bonnes vibrations de l’écoute
mutuelle, du partage des sensations, de l’improvisation
à fines touches.
« J’aime que chacun apporte sa pierre, je suis toujours
curieux de cela. J’ai été sensibilisé par le fait de jouer
souvent avec des musiciens de jazz, qui n’ont pas
envie de répéter sempiternellement la même chose.
J’apprécie et approuve d’autant plus la liberté de mes
complices qu’elle reste dans l’esprit des textes que je
chante. » raconte Gianmaria
GIANMARIA TESTA
Men At Work Siteweb www.gianmariatesta.com
Gianmaria présente Men At Work
Source :
Chant du Monde/harmonia mundi
Informations : Simon Fauteux
SIX media marketing inc.
514 544-7013
[email protected]
70, rue Molière suite 201, Montréal
(Québec) H2R 1N8
514.544.7013
www.sixmedia.ca
Les chansons de Men At Work ont été enregistrées
pendant une tournée en Allemagne, en Autriche et au
Luxembourg. Au cours de ce périple, fleurissant partout
au bord des routes, le panneau Men At Work s’est
imposé aux yeux et à l’esprit des musiciens du quartet
telle une image récurrente, un symbole caché peut-être...
De fait, on peut imaginer ce que cette expression, Men
at Work, a pu éveiller dans la conscience de ces quatre
hommes ricochant de date en date, scène en scène,
d’hôtel en hôtel. On peut aussi l’entendre comme une
forme de rappel, léger et profond, de ce qui forge la
condition des hommes qui, comme Gianmaria Testa,
s’attachent à retranscrire ce qui fonde le métier de vivre
– on pourrait dire « le chantier de vivre ».
Car c’est un labeur, oui, dérisoire mais précieux, illusoire
mais grandiose, que de consigner et faire palpiter dans
des chansons ce qui, d’ordinaire, s’évanouit dans la
beauté cruelle de l’instant ou dans les rouages instables
de la mémoire. Comment faire durer la fulgurance d’un
éclair zébrant la peau humide d’un trottoir ? La grâce
songeuse d’un regard qui se perd dans la lecture d’un
ciel de traîne ? Les vapeurs d’une ville qui s’allume au
couchant ? L’ombre d’un visage aimé qui s’éloigne ? Le
souvenir brûlant d’un combat qui menace de s’éteindre ?
Ce sont ces questions-là que Gianmaria Testa se pose
inlassablement...

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