thomas dolié - RSB Artists

THOMAS DOLIÉ
Photo © Alix Laveau
BARYTON
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BIOGRAPHIE
Depuis sa récompense aux Victoires de la musique 2008 dans la catégorie « Révélation artiste
lyrique », le baryton Tomas Dolié poursuit un riche parcours artistique mêlant Opéra et
répertoire de concert. Son aisance scénique comme la profondeur du musicien lui permettent
au cours de cette saison 2015-2016 d'aborder tout aussi bien le rôle de Ramiro dans L'Heure
Espagnole de Ravel à Angers Nantes Opéra et le rôle du comte dans Le Nozze di Figaro de
Mozart avec la Coopérative Opera, en tournée dans toute la France, que Persée de Lully avec
le Concert Spirituel au Téâtre des Champs-Elyséese et le Requiem de Fauré à Cologne, sous
la direction de François-Xavier Roth. Ses qualités de récitaliste le mènent également à Venise,
au Palazzetto Bru Zane, pour des Mélodies de Lalo et à Montréal pour un programme
« Schubert ».
Natif de Bordeaux, Tomas Dolié a étudié au Conservatoire national de Région de
Bordeaux, dans la classe d’Irène Jarsky, puis au CNIPAL de Marseille, sous la direction
notamment d’Yvonne Minton.
Il fait ses débuts en concert à Montpellier avec le rôle de Papageno dans Zauberföte, sous la
direction de Marc Minkowski. Il sera par la suite invité par les Opéras de Marseille,
Strasbourg, Nancy, Toulon, Avignon et Bordeaux pour chanter ce rôle sur scène, et sera à
l'afche entre 2010 et 2014 de l'adaptation de Zauberföte par Peter Brook, créée aux
Téâtre des Boufes du Nord et donnée en tournée mondiale (France, Europe, Amérique du
Sud et du Nord, Asie du Sud-Est...).
Il chante les rôles de Guglielmo dans Cosi fan Tutte à l’Opéra national de Bordeaux, et le
rôle-titre de Figaro à l’Opéra de Toulon et à l’Opéra national de Bordeaux. Il se produit
également dans Carmen (Moralès), Madame Butterfy e t Cosi fan Tutte à l’Opéra
d’Avignon, dans l’Enfant et les Sortilèges en tournée notamment à Nantes, Rennes, Lille,
Paris dans une mise en scène de Patrice Caurier et Moshe Leiser, dans Midsummernight’s
dream de Britten à l'Opéra national de Nancy-Lorraine, Fra Diavolo à l’Opéra-Comique et à
l’Opéra Royal de Wallonie, Cosi fan Tutte à Massy, L’Enfance du Christ (Joseph) à Toulon,
La Cenerentola, (Dandini) à l’Opéra de Vichy, Ariadne aus Naxos (Harlekin) et Bohème
(Marcello) à l'Opéra national de Bordeaux, Fortunio (Landry) à l'Opéra de Saint-Etienne,
ainsi que Tristan und Isolde (Melot) au Téâtre du Capitole de Toulouse.
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Il se produit également dans le répertoire baroque, avec Marc Minkowski, qui l’invite à
chanter dans Les Boréades à l'Opéra de Lyon (Apollon), puis à l’Opéra de Zürich (Adamas et
Apollon), rôles qu’il reprend à l’Opéra du Rhin sous la direction d’Emmanuelle Haïm. Il
collabore avec Hervé Niquet sur Sémélé de Marin Marais, pour des concerts à Beaune,
Montpellier et à Paris au Téâtre des Champs-Elysées, et en enregistrement paru chez Glossa,
et chante Aeneas (Dido & Aeneas) à l’Opéra de Bordeaux ainsi qu’au Concertgebouw
d’Amsterdam. Plus récemment, on a pu l'entendre avec Opéra Lafayette dans Le Roi et le
Fermier de Monsigny à New York, Washington et à l'Opéra Royal de Versailles, ainsi que
dans Les Indes Galantes (Toulouse, Bruges, Londres), Les Danaïdes (Vienne, Versailles,
Metz), Platée (Opéra national du Rhin), sous la direction de Christophe Rousset ou
L'Epreuve villageoise de Grétry (New York, Washington).
Dans le répertoire contemporain, Tomas Dolié participe à plusieurs créations, notamment
Slutchaï de Oscar Strasnoy et Christine Dormoy (Opéra de Bordeaux), Lolo Ferrari de
Michel Fourgon (Opéra de Rouen), L’Ode à Mars, D-li de Pascale Jakubowski (Bordeaux et
Radio-France), ou encore Triptyque de Richard Dubugnon avec l’Orchestre national de
France.
En concert, Tomas Dolié se produit à Avignon dans Le Silence de la Mer de Tomasi, en Ilede-France pour des cantates de Mendelssohn avec Laurence Equilbey, à Noirlac dans le
Requiem de Fauré avec Accentus, œuvre qu’il interprète aux Chorégies d’Orange et au
Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique de Paris dans la cadre des Pianissimes.
Marc Minkowski l’invite à chanter Les Nuits d’Été avec les Musiciens du Louvre. Il se
produit également en récital à Nancy, Avignon, Paris (Radio-France, festival Jeunes Talents),
ainsi qu’en Amérique du Sud, en Allemagne (festival Rheinvokal), en Turquie… et interprète
l e Requiem de Brahms à Barcelone avec l'Orquestra simfònica de Barcelona i nacional de
Catalunya. Nous avons pu enfn l'entendre à la Cathédrale Saint-Louis des Invalides, avec
l'Orchestre Prométhée ou encore pour La Société Anonyme des Messieurs Prudents avec
l'Orchestre d'Avignon-Provence, dont il a participé à l'enregistrement.
Juin 2015 - Ce document est régulièrement mis à jour. Merci de nous demander la dernière version
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REVUE DE PRESSE
Les Fêtes de Polymnie – Rameau – CD Glossa :
hrafuaga.com – 05/02/2015
« Mais surtout, nous tenons avec Tomas Dolié une clef de fa à la fois chantante mais dont le « creux » rend
parfaitement les rôles divins et nobles que Rameau confe à cette tessiture. »
classiquenews.com – 26/02/2015 – Benjamin Ballifh
« Au sommet d’une partition qui aurait pu seulement plaire et fatter […] le baryton Thomas Dolié se distingue
nettement. […] la noblesse héroïque de Tomas Dolié, campe le vainqueur sublime Séleucus ; dans sa
somptueuse virilité chantante s’écoule déjà tous les souverains idéalisés par Les Lumières : roi magnanime et
compréhensif, surtout père préoccupé, exemplaire… la richesse du timbre, la simplicité et le naturel de
l’articulation, l’intelligibilité font ici un modèle de chant engagé, précis, d’une rare intelligence dramatique. Puis,
le chanteur touche au sublime pathétique dans la solitude de Zimes au III… souci du verbe, justesse
émotionnelle, simplicité et mesure du style (air : Que deviens je ?)… tant de grâce noble et rafnée fait espérer
demain un superbe Tesée (Hippolyte et Aricie) ou un non moins cœur foudroyé idéal pour le rôle d’Anthénor
dans Dardanus et son fameux air “Monstres afreux”… Que les directeurs n’oublient pas son formidable
potentiel. »
Diapason n°634 – avril 2015 – J.-P. Grosperrin
« Les rôles plus riches de Chassé, déjà créateur de Huascar ou de Tésée, font jouir de la maturation vocale et
dramatique du baryton Tomas Dolié : autorité débonnaire, noblesse et onction (Séleucus), attention aux
nuances (la violence de Zimès, chasseur malgré lui, est superbement morbide). »
Tristan und Isolde – Janvier-Février 2015 – Capitole de Toulouse :
forumopera.com – Tout près des étoiles – 04/02/2015 – M. Salles
« Belle composition, malgré sa brièveté, de Tomas Dolié en Melot, confé ici à un baryton. »
L’Enfance du Christ – Décembre 2014 – Opéra d’Avignon
destimed.fr – On a vu la beauté d'un chef d’œuvre peu joué de Berlioz – 07/12/2014 – M. Egea
« Le Joseph de Tomas Dolié, baryton franc et puissant, fut très présent. »
Fortunio – Novembre 2014 – Opéra de Saint Etienne
ResMusica.com – Un délicieux Fortunio à Saint-Etienne – 01/12/2014 – C. Schoeller
« Tomas Dolié, surdimensionné en Landry, crève la scène. »
forumopera.com – Les chandeliers de Rochefort – 18/11/2014 – Laurent Bury
« Par l’exubérance de son jeu et la vigueur de ses accents, Tomas Dolié est un parfait Landry : il ne fait qu’une
bouchée de ce personnage assez secondaire, et il semble désormais prêt à aborder des emplois plus lourds. »
opera-online.com – 18/11/2014 – Emmanuel Andrieu
« Autour d'eux s'agite une galerie de portraits pleine d'esprit et de savoir-faire, dont nous dégagerons le Landry
plein de santé de Tomas Dolié. »
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odb-opera.com – 21/11/2014 – Gérard Ferrand
« Le rôle épisodique de Landry permet à Tomas Dolié de faire état de toutes ses qualités et de montrer qu’il peut
s’attaquer à des rôles plus conséquents. »
Opéra Magazine – J.-L. Macia
« Tomas Dolié rattrape le coup avec son Landry enjoué, d’une diction parfaite. »
La Bohème – Septembre – Octobre 2014
Le Figaro – C. Merlin
« La distribution en demi-teinte réunie à Bordeaux brille surtout par […] la plénitude du Marcel de Tomas
Dolié. »
Platée – Juin – Juillet 2014 – Opéra national du Rhin
musebaroque.fr – 19/06/2014 – Bruno Maury
« Le timbre charpenté à la belle projection du baryton (formidable narrateur en chemisette à feurs au prologue,
irrésistible Momus au troisième acte, travesti en Amour). »
ResMusica.com – 04/07/2014 – Jean-Luc Clairet
« Tomas Dolié est un acolyte de choix dans les double rôle de Momus et Cithéron (son hilarante Marylin
Monroe de travers à l’Acte IV!). »
Ein deutsches Requiem – Auditorium Barcelone – 21 mars 2014
Revista Musical Catalana – Un Requiem Allemand plein de délicatesses et d'émotions – 24/03/2014 – Lluìs
Trullén
« [...] Per la seva part, la veu majestuosa, potent, d’amplis registres i dúctil de Tomas Dolié va resultar idònia per
afrontar les dues intervencions amb el cor. [...] »
Pour sa part, la voix majestueuse, puissante, ductile et d'amples registres de Tomas Dolié se révèle idéale pour
afronter les deux interventions avec choeur.
Ximo.wordpress.com - Revue In fernem Land – Le Requiem OBC et Brahms – 23/03/2014 – Joaquim
« […] El jove baríton francès Tomas Dolié va cantar amb gran efecte els dos fragments a ell destinat. El cant és
magnífc i la interpretació va ser degudament intensa. […] »
Le jeune baryton français Tomas Dolié a chanté avec grand efet les deux morceaux qui lui sont destinés. Le
chant est magnifque et l'interprétation fut d'une intensité appropriée.
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Les Indes Galantes – mars 2014 – Barbican, London
London Evening Standard – 9/3/2014 - Barry Millington
« […] A fne sextet of soloists covered 17 roles between them. Particularly worthy of mention were Amel BrahimDjelloul, Hélène Le Corre, Benoît Arnould and Tomas Dolie but all six touched the heart with singing of beauty
and stylish assurance. […] »
Les Indes Galantes – février 2014 - Opéra de Bordeaux
Altamusica - Mehdi Mahdavi
« […] Tomas Dolié, qui en Adario donne à l'ensemble du plateau une leçon de projection – des mots,
pénétrants, et du timbre, éclatant. […] »
Les Danaïdes – novembre 2013 – Versailles
ODB-Opéra – 4/12/2013 – Emmanuelle Pesqué
« […] Tomas Dolié, dans un tout petit rôle (bien que déterminant) parvient à remplir celui-ci d'une présence
que ne laisse pas supposer le librettiste. […] »
Diapason – 2/12/2013 – Mehdi Mahdavi
« […] Les solistes sont sans faille. L’insolent métal de Tomas Dolié (Pélagus puis premier et deuxième ofcier, à
peine six répliques à eux trois) est en soit un luxe suprême. […] »
Lolo Ferrari – mars 2013 - Téâtre des Arts, Rouen
ResMusica - 11/03/2013 - Maxime Kaprielian
« [...] Tomas Dolié confrme les espoirs mis depuis quelques années sur ce jeune baryton : la voix comme le jeu
scénique sont solides. [...] ».
Forumopéra - 10/03/2013 - Michel Fourgon
« [...] Un seul duo, trop bref, l’unit à son mari et manager, interprété avec brio par Tomas Dolié, dans un
parcours qui va, là aussi, de l’arrogance à la déchéance. [...] ».
Le Barbier de Séville (Figaro) – Opéra de Bordeaux – septembre-octobre 2012
Opéra magazine – novembre 2012 – Jean-Luc Macia
« [...] Tomas Dolié en Figaro […] la voix est mordante, l'incarnation juste et l'aisance scénique incontestable.
[…] »
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Avant Scène Opéra
« [...] Tomas Dolié possède un sens de la scène, une faconde et un naturel qui donnent à son Figaro une
remarquable présence. [...] »
Hippolyte et Aricie (Tisiphone, 2ème Parque) – Festival de Beaune – juillet 2012
Opéra magazine – septembre 2012
« [...] Tomas Dolié, en Tisiphone, nous ravit par sa décontraction et sa facilité. Son français est inégalable. […] »
Adario dans Les Indes Galantes – Téâtre du Capitole de Toulouse – mai 2012
ResMusica – 11/05/2012 – Les Indes Galantes à Toulouse, du très grand art – Franck Langlois
« [...] Le plateau de chanteurs a été de premier ordre. […] Tous les autres chanteurs ont également séduit et touché
par leur droiture vocale et leur aptitude au jeu théâtral, notamment Judith van Wanroi, Tomas Dolié et Aimery
Lefèvre. [...] »
Le Figaro – 08/05/2012 – Des Indes galantes savoureuses – Christian Merlin
« [...] Le style de Cyril Auvity et Tomas Dolié mérite tous les éloges. [...] »
Rustaud dans Le Roi et le Fermier avec Opéra Lafayette – Washington, New York, Opéra Royal de Versailles
– janvier/février 2012
Muse baroque – février 2012 – La Comédie des erreurs – Pedro-Octavio Diaz
« [...] Dans les rôles secondaires nous saluons la voix et le jeu du magnifque Tomas Dolié qu’on aimerait voir
davantage sur les premiers plans car il unit en lui le charme et le talent des grandes voix. [...] »
Forum Opéra – 07/02/2012 – Rien de révolutionnaire – Laurent Bury
« [...] L’excellent baryon Tomas Dolié a le droit de dire lui-même son texte parlé, et son rôle de comparse
balourd lui ofre même un air en solo. [...] »
Portrait
Diapason – Septembre 2011 – La Relève
« Dans Une Flûte Enchantée , réduction pour piano et jeunes chanteurs de l'ultime opéra de Mozart par Peter
Brook, on n'avait d'yeux et d'oreilles que pour le Papageno de Tomas Dolié. En somme, une évidence […] on
prendra garde de ne pas l'y cantonner. Car ce baryton clair, brillant, aux mots ciselés, Martin peut-être, promet
bien davantage. Et pourquoi pas Pelléas ? »
Opéra de Bordeaux – Arlequin dans Ariane à Naxos – février/mars 2011
Les Echos – 28/02/2011 – Ariane chez les bobos – Philippe Venturini
« [...] Dans cette jeune équipe guidée avec style par Kwamé Ryan, il faut aussi citer l'Arlequin coloré de Tomas
Dolié. [...] »
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Boufes du Nord – Papageno dans Une Flûte Enchantée d'après Mozart – novembre/décembre 2010
La Terrasse – décembre 2010 – Catherine Robert
« [...] Raphaël Brémard et Tomas Dolié savent ofrir à Monostatos et Papageno les couleurs complémentaires de
leurs deux voix, le premier dans l’inquiétante menace du méchant, l’autre dans la folâtre légèreté de l’oiseleur en
quête d’un nid douillet. [...] »
La Lettre du Musicien – décembre 2010 – Une "Flûte" pas trop enchantée aux Boufes-du-Nord – Philippe
Tanh
« [...] Les voix sont vertes, les chanteurs donnent le sentiment de chanter du bout des lèvres et de jouer du bout des
doigts... à l’exception du Papageno de Tomas Dolié, le seul à s’engager vraiment, et du Sarastro prometteur de
Luc Bertin-Hugault. [...] »
Forumopera – 18/11/2010 – Désenchantée – Elisabeth Bouillon
« [...] Nous aimons tout particulièrement le baryton envoûtant de Tomas Dolié, bien projeté, riche en
harmoniques et très personnalisé. Dès qu’il se met à chanter, l’on oublie la trivialité de son Papageno parlé et le
personnage féérique de Mozart-Schikaneder se met à exister. [...] »
Te Independent – 17/11/2010 – Michaël Coveney
« […] Tomas Dolié's enchanting Papageno. [...] »
Le Figaro – 15/11/2010 – « être au plus près de Mozart » – Armelle Heliot
« […] certains, comme le Papageno de Tomas Dolié ou la Reine de la nuit Mala Bendi-Merad, sont déjà armés
pour une belle carrière. [...] »
Opéra de Bordeaux / Papageno dans La Flûte Enchantée - janvier 2010
Forum Opéra – 24/01/2010 – Une fûte au sommet – La Flûte Enchantée à Bordeaux – Christophe Rizoud
« [...] Pas de baisse de régime en revanche pour Tomas Dolié qui du début à la fn de l’opéra impose un
Papageno exemplaire. Le son, le ton, le phrasé, le soufe mais aussi l’allure, le style, le naturel, l’esprit, rien ne
manque à son oiseleur qui, le rideau tombé, l’emporte à l’applaudimètre. [...] »
Opéra de Bordeaux - Roger dans Le Balcon - novembre 2009
Le Figaro – novembre 2009 – Christian Merlin
« [...] Les hommes ne sont pas en reste, à commencer par Tomas Dolié, voix glorieuse et superbement timbrée.
[...] »
Financial Times – novembre 2009 – Francis Carlin
« [...] Best of all in the future-promise stakes is Tomas Dolié as the rebel Roger, a polished baritone who serves
the music rather than the decibel count. [...] »
Forum Opéra – 20/11/2009 – Et si c'était vrai – Christophe Rizoud
« [...] Côté masculin, c'est avant tout le timbre de Tomas Dolié (Roger, le chef des insurgés) qui capte l'oreille.
Une présence, un charisme vocal indéniable. [...] »
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Téâtre des Champs Elysées – Dido & Aeneas - novembre 2009
Forum Opéra – 13/11/2009 – Un joyau rescapé – Brigitte Cormier
« [...] Le baryton Tomas Dolié donne ici toute sa mesure. Avec sa voix profonde, expressive et bien timbrée et
son engagement dramatique — remarquable pour une version de concert — il domine nettement la distribution.
[...] »
Giulio Cesare (Achillas) – Beaune
ResMusica – 14/07/2009 – La découverte d'une Cléopâtre – Hubert Stoecklin
« [...] Tomas Dolié n’a que quelques airs et récitatifs pour donner tout son poids au personnage d’Achillas. Le
timbre est superbe, l’autorité naturelle de la voix et la maîtrise parfaite des vocalises lui permettent d’envisager
d’autres personnages de Haendel. Ce jeune baryton aborde ce rôle avec beaucoup d’aplomb. [...] »
Requiem de Fauré aux Chorégies d'Orange - juillet 2008
Nouvel Obs - 07/08/2008 - Armistice en Avignon - Jacques Julliard
« [...] La plus belle soirée de l'été ? Ce fut pour moi le Requiem de Fauré, dans la cathédrale Notre-Dame
d'Orange qui célébrait ses huit cents ans. Avec deux solistes remarquables, Tomas Dolié (baryton) et Amel
Brahim-Djelloul (soprano), une vraie découverte. Quand elle chante le «Pie Jesu», on a envie de monter tout de
suite au Paradis en sa compagnie. »
L'Humanité - 29/07/2008 - Deux Requiem transcendés à Orange - Philippe Gut
« [...] et les deux solistes dont les voix étaient en totale adéquation avec l'œuvre, celle, cristalline et juvénile, de la
jolie soprano Amel Brahim-Djelloul, et celle, vaillante et vigoureuse, de Tomas Dolié. Les mélomanes présents
dans la cathédrale comble étaient au paradis...».
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