Rapport du TP1

PARIS XIII – SUP GALILEE – ILOG 2
WSIA
Rapport du TP1
Nurbanu YAYILKAN - Djem TOKER
14/10/2010
Exercice 1
Le but de cet exercice était de manipuler un texte contenu dans un fichier HTML et de le
formater en utilisant des balises HTML. Ayant déjà fait du HTML nous connaissions, nous savions
déjà comment utiliser les balises. Cependant la chose la plus intéressante pour nous était la mise en
forme de la première lettre.
Exercice 2
Cet exercice avait pour objectif d’apprendre à construire un site professionnel en combinant
du code HTML avec du code CSS. Ayant déjà réalisé plusieurs site web lors d’un projet informatique
en DUT ou encore de pages personnelles nous n’avons pas eu pour cela trop de mal dans la
conception de la page étant donné que les structures de pages reste en général assez redondantes. Il
s'agit la plupart du temps d'un header, menu droit, menu gauche contenu et pas de page. Néanmoins
il est toujours utile de revenir sur ses acquis, cela permet de se remémorer quelques détails qu'on
oublie parfois pour que notre page soit strictement conforme au W3C.
Un autre aspect est que voulant fournir des pages web capables d'afficher d'autres
caractères non latin, il est donc nécessaires d'utiliser de l'UTF8. Travailler en UTF8 avec des feuilles
de styles devant être en ISO 8859 et payer attention à l'encodage et/ou encoder et décoder des
fichiers de l'un vers l'autre format. Pour se faire nous avons utilisé un utilitaire UNIX du nom d’iconv
et avons donc appris à l'utiliser. Il s'agit d'un des aspects auxquels nous n'avions jamais payé
attention et qui pourtant ici s'avérais poser des problèmes.
Nous tenons à préciser que pour des raisons esthétiques, le width de la bannière dépasse les
100px. Pour des raisons également esthétique, le décalage du texte lorsque l'on survole la zone du
menu (Hoover) n'a pas été implémentée. Pour avoir le décalage il suffit juste d’ajouter dans le zone
concerné du css div#menu li :hover la ligne suivante : margin-left :5px. Cette ligne effectue un
décalage du bloc li de 5px vers la gauche lorsqu’on la survole. Nous avons cependant changé la
couleur de fond lorsque la zone est survolée.
Exercice 3 - 4
Nous avons appris à travers cet exercice à utiliser des fichiers XML et DTD. Nous avons appris
par la même occasion à retrouver l’organisation d’une DTD à partir d’un fichier XML.
Pendant l’écriture de la DTD foret, nous avons fait un certain nombre de choix.
Nous avons décidé :
- qu’il devait avoir au moins deux arbres
- qu’un arbre ne peut avoir qu’un seul tronc
- qu’un tronc au moins une branche
- qu’une branche plusieurs feuilles
- les feuilles sont des éléments unaires
Pour valider les fichiers XML, la commande xmllint s’est révélée très utile.
Exercice 5
La difficulté de l’exercice était de déchiffrer ce que représentait la syntaxe. En effet nous
avons pris un certain temps pour comprendre ce que représentaient les abréviations. Une fois
l’énigme résolue, nous avons trouvé que les questions étaient assez simples. Dans l’énoncé il était
demandé d’écrire un fichier XML qui contient TOUS LES MOTS possibles, c’est pourquoi nous avons
commencé le travail en combinant chaque sujet avec chaque verbe et chaque verbe avec chaque
complément. Nous obtenons au final 8 phrases, c’est-à-dire 4 pour le chat et 4 autres pour la souris.
Le sens des phrases n’était pas important, c’est pourquoi on pouvait se retrouver avec des phrases
telles que ‘la souris mange le chat’.
Nous avons crée le fichier XML de sorte à pouvoir accéder aux phrases et ensuite pour une
phrase au sujet et au groupe verbal, et pour un groupe verbal au verbe et au complément.
Pour avoir cet enchainement, nous avons d’abord créé un élément P (phrase) dans lequel on a dans
l’ordre le GN1 (le sujet) et le GVC(le groupe verbal).
Le GN1 est une feuille où les valeurs ‘chat’ ou ‘souris’ sont les deux seules possibilités de l’attribut
sujet.
Le GVC est binaire et compote le verbe qui est soit GM soit GB. Ces derniers sont aussi des feuilles.
Enfin pour finir GVC a une autre feuille qui est GN2 ou GN3. Ces derniers sont liés respectivement
aux choix du verbe.
Etant donné que l'on a considéré les données ‘chat’, ‘souris’, ’lait’ comme des données des
attributs et non des inputs, c’est pourquoi il à été préférable de créer des éléments unaire et non
binaire. De plus la vérification du contenu d’un attribut est possible alors que d’un #PCDATA ne l’est
pas.
Exercice 6
L'exercice 6 consistait à découvrir l'AIML qui est basé sur une structure XML. L'AIML permet
de créer des robots intelligents permettant de répondre de manière intelligente à un vrai utilisateur
lui parlant. Il est donc possible de créer des réponses préenregistrer, mais également de créer des
motifs de question ainsi que de réponse et d'enregistrer des variables que l'utilisateur saisie pour les
réutiliser plus tard. Si nous ajoutons à cela un vocabulaire riche ce robot sera presque capable de
discuter tel qu'un humain le ferait.
Afin de mieux se rendre compte, nous nous somme rendu sur le site
http://alice.pandorabots.com/ ou nous avons pu parler avec ALICE qui est un robot intelligent. J'ai
été plutôt étonné de la complexité et de la richesse des réponses. En effet, ayant déjà utilisé un peu
IRC ainsi que les systèmes de bot, on peut voir ici que cela n'a rien à voir avec les robots classiques.
Afin de manipuler le langage, nous avons cherché et trouver une DTD correspondant au
langage AIML cependant incomplète par rapport à celle que l'on aurait du trouver pour le "vrai
langage". Nous avons cependant pris tout de même cette DTD et créer un fichier XML associé avec
quelques questions, réponses pour voir un peu les possibilités et tester en quelque sorte le langage.
Le regret a été de ne pas avoir trouvé le parseur associé afin de pouvoir tester ce fichier XML
sur un vrai chat tel qu’ALICE.
Exercice 7
Le but de cette exercice était de rendre valide w3c une page comportant énormément
d’erreurs. Nous avons commencé le travail par indenté le code pour faciliter la lisibilité et la
correction d’erreur. Nous avons ensuite décidé de séparer dans une feuille à part le JavaScript que le
XHTML essayait d’interpréter. Par la suite nous avons créé une feuille CSS pour y mettre toutes les
informations de style de la page HTML et ainsi de éviter d’avoir des lignes trop surchargées.
Nous avons rajouté une div globale qui permet d’envelopper toutes les autres div contenant
le guépard. Ensuite pour centrer le guépard il suffit de mettre les deux lignes pour la div global :
Margin : auto ; /*a pour but de centrer la div. c’est le diminutif de margin-left :auto et margin-right : auto*/
Width : 50% ; /*le centrage s’effectue en fonction de la taille de l’objet qui est fixé à 50%.*/