FLAMENCO SE ESCRIBE CON JOTA

Transcription

FLAMENCO SE ESCRIBE CON JOTA
FLAMENCO SE ESCRIBE
CON JOTA
MIGUEL ÁNGEL BERNA
ÚRSULA LÓPEZ RAFAEL CAMPALLO
Spectacle pour 3 danseurs, 8 musiciens CRÉATION
FESTIVAL DE JEREZ 2009
arte & movimiento producciones ∙ DANIELA LAZARY ∙ c/ Malpartida 7‐13 Apt 15 ∙ 41003 ‐ Séville (ESPAGNE) Tél. : +34 954 909 776 ∙ fax: +34 954 907 622 www.artemovimiento.es / e‐mail: [email protected] Synopsis
Flamenco se escribe con Jota est la chronique d’une rencontre annoncée, le dialogue naturel de deux expressions artistiques. Fortement liées par leurs profondes racines populaires, Flamenco et Jota sont l’expression vitale de deux peuples dont les histoires se sont écrites au rythme des musiques. Une identité forte qui se manifeste dans les paroles (letras) des chants, les cantes pour le flamenco et les cantas pour la jota. Flamenco et Jota ont en commun le mystère de leurs origines et sont unis par un même miracle : être nés à l’aurore du 19e siècle et en état de perfection. Deux généalogies distinctes qui pourtant ont dû coïncider à un moment de leur archéologie. On peut ainsi saisir dans certains fandangos ou verdiales des échos manifestes de la Jota et vice‐versa. Les noms d’artistes, la plupart du temps de savoureux surnoms teintés d’humour populaire, ou âpres comme leur condition sociale, résonnent souvent d’un même écho : quelque part au firmament du folklore, les voix de Tio Juane et de El Cojo de Malaga, les cantaores flamencos, celles de El Tio Chindibrú et de El Tuerto de la Tenerias, les cantadores de Jota tissent leurs notes dans un mano a mano chargé d’émotion. Trop de coïncidences : flamenco et Jota devaient se retrouver à nouveau. La danseuse (bailaora) Úrsula López et le bailaor Rafael Campallo, flamencos tous les deux, accompagnés du danseur de Jota (bailador) Miguel Angel Berna tressent une rencontre depuis la singularité de chacune des deux expressions artistiques. Danses tout en contrastes où Úrsula López et Rafael Campallo, avec leur flamenco, réaffirment sans cesse leur rapport au sol, à la terre, tandis que l’aérien Miguel Angel Berna, transcendant la Jota folklorique, essaie –et il semble bien qu’il y parvienne‐, de danser en suspension. Une rencontre où depuis l’originalité de chaque artiste on parcourt des chemins qui se croisent pour ensuite s’éloigner et se retrouver jusqu’à atteindre ce noyau primordial où les trois baila(d)ores touchent à un degré d’harmonie absolu. Avec les mots de Carlos Saura, nous disons : « La jota est le père et la mère du flamenco, de la seguiriya manchega, de la sévillane. Il existe comme un lien mystérieux et profond ». Fiche artistique
DANSE Miguel Ángel Berna, Úrsula López, Rafael Campallo CHANTEURS DE FLAMENCO CHANTEURS DE JOTA GUITARES FLAMENCAS GUITARE ESPAGNOLE BANDURRIA PERCUSSION CHOREGRAPHIE MUSIQUE RÉGISSEUR LUMIÈRES SON PRODUCTION EXECUTIVE PRODUCTION DISTRIBUTION Remerciements Javier Rivera, David Lagos Lorena Palacios Jesus Torres – Javier Patino Guillermo Gimeno Alberto Artigas Josué Barres Miguel Ángel Berna, Úrsula López, Rafael Campallo Compagnie Miguel Angel Berna et Jesus Torres Pluto Ada Bonadei Enrique Cruz, David Marco Daniela Lazary Arte y Movimiento Producciones et Centro Aragonés de Danza Arte y Movimiento Producciones www.artemovimiento.es Centro Aragonés de Danza, Gobierno de Aragón. Programa Plurianual de coproducciones del Centro Dramático de Aragón y Gobierno de Aragón Cía de Miguel Angel Berna: Compañía Residente del Ayuntamiento de Zaragoza
Agencia Andaluza para el Desarrollo del Flamenco ... a Marina Saura et a la Fundación archives Antonio Saura de Ginebra... Centro Cultural de la Villa de San José de la Rinconada (Séville) Jean François Carcelen, Manuel Bohórquez, Fundación Cristina Hereen. Copyright pour la reproduction du rideau de Antonio Saura : Copyright Succession Antonio Saura / www.antoniosaura.org / 2009 VEGAP Programme
Durée du spectacle 1h15 sans entracte Desde la Memoria Danse : Miguel Ángel Berna, Rafael Campallo, Úrsula López Tiempo de Dos – Martinete Seguiriya Danse : Miguel Ángel Berna, Rafael Campallo Tierra Solea Danse : Rafael Campallo La Templanza Danse: Miguel Ángel Berna, Úrsula López. Valle del Guadalquivir Danse : Úrsula López Rasmia Danse : Miguel Angel Berna A Mario Maya – Alegrías Danse : Miguel Ángel Berna, Rafael Campallo , Úrsula López Les artistes
MIGUEL ÁNGEL BERNA Miguel Angel Berna est le représentant le plus actuel de la Jota. Il revisite la Jota, la réactualise avec des teintes contemporaines tout en s’approchant du flamenco, comme nous l’a démontré son spectacle Mudéjar. Prix National de la Chorégraphie, il a participé au film Iberia de Carlos Saura, faisant ainsi une de ses incursions dans le monde flamenco. La presse parle de ses créations en affirmant “Flamenco se escribe con Jota” (Flamenco s’écrit avec le J de la Jota). ÚRSULA LÓPEZ Úrsula López est une des plus grandes représentantes de la danse Espagnole avec un registre très large. Elle est autant incroyable lorsqu’elle danse une soléa que sur le bolero de Ravel. Ses grandes qualités lui ont permis de devenir première danseuse de la Compagnie Andalouse de Danse et du Ballet National Espagnol. RAFAEL CAMPALLO Rafael Campallo est un pur flamenco, danseur d’élégance et d’autorité. Il a reçu le prix “El Desplante” du Concours de La Unión. Au cours de sa vaste carrière artistique, il a dansé avec de grands guitaristes comme Vicente Amigo, et depuis plus de 4 ans, il fait de nombreuses tournées avec sa propre compagnie qui porte son nom. L’ambition de ce spectacle est de démontrer à travers la RENCONTRE de toutes les expressions qui appartiennent à la danse espagnole le si bel héritage que nous avons et la nécessité de continuer à créer. Avec pour principal objectif : transmettre nos sentiments les plus profonds avec la danse comme langage, ce langage qui nous appartient comme nul autres, cette manière de nous exprimer qui nous rend si différents et uniques dans le monde. La presse dit...
MIGUEL ÁNGEL BERNA “Miguel Angel Berna, né à Saragosse, a élevé la jota à des hauteurs que certains décrivent comme la “jota flamenca”. Avec ses castagnettes transparentes, il a ébloui le public avec sa combinaison de jota, flamenco et danse contemporaine.” DeFlamenco.com – 27.02.2008 Comme par enchantement “La jota aragonaise n’appartient plus au passé. Miguel Ángel Berna y a mis toute sa perséverance pour qu’il en soit ainsi. Il y a appliqué les éléments de la danse actuelle tout en prenant du flamenco comme inspiration. De son incroyable travail résulte une jota stylisée, à cheval entre tradition et contemporain, entreprise avec une technique scrupuleuse et une expression vibrante. L’élégance, la grâce et le tempérament…” Silvia Calado – www.flamenco‐world.com – 27.02.08 “Avec plus de quinze ans de vie artistique, Miguel Ángel Berna figure parmi les créateurs les plus remarquables de notre pays” www.danza.es 01.03.2007 “L’artiste le plus virtuose avec les castagnettes, Miguel Ángel Berna et sa compagnie fusionnent le flamenco et la jota, créant un spectacle dans lequel lumières, ombres et couleurs se transfigurent grâce à une mise en scène étudiée quasi cinématographique.” www.lukor.com 01.03.2007 “Salué par de grands applaudissements. Vendredi dernier, l’auditoire de La Colina de Sabiñánigo était plein pour assister au nouveau spectacle du danseur aragonais Miguel Ángel Berna”. Diario de Alto Aragón 26.02.2007 “La Jota en état de modernité” ‐ Diana Berges – 20minutos.es – 05.12.2006 “Virtuose de la jota aragonaise, élégant et séducteur dans sa danse solitaire, ce soliste est obstiné par l’articulation du folklore et des nouvelles musiques (…) Miguel Ángel Berna ne se trompe pas non plus en affirmant que, uniquement avec du courage et de la prise de risque, on peut analyser et faire évoluer le processus scénique si complexe qu’est la danse espagnole dans sa globalité.” El País 19.05.2006 Roger Salas “La castagnette de Berna est une luciole nerveuse, provocante, mystérieuse et transparente. (…) Mudejar, ambitieux montage de musique, danse et chant qui absorbe la tradition et la modernité. (…) Un danseur aux facultés extraordinaires, le saragosse Miguel Ángel Berna” El MUNDO – 11.04.04 – Julia Martín “La jota de Miguel Ángel Berna bouscule la tradition” La Dépêche du Midi – 01.03.04 “Une jota électrique, au rythme vertigineux, que Berna exécuta à la perfection, avec un savoir et une assurance dignes d’éloge. Au risque de tomber dans la redondance, les applaudissements élogieux explosèrent de nouveau. (…) Mudéjar (…) est un spectacle d’une heure et demi de sentiments, où profusent le talent de Berna et sa capacité à dépasser ses possibilités physiques. ” El PERIÓDICO – 02.12.03 – Ramón Ruipérez Le dragon aragonais “Parler de Miguel Ángel Berna en Aragón, c’est parler d’art et de fusion.” El Periódico – 02.10.03 Le Paganini des Castagnettes “Sa rapidité est foudroyante, les nuances et les sonorités douces. (…) Miguel Ángel est en même temps un danseur d’une vivacité extraordinaire et un chorégraphe inspiré.” LE FIGARO –11.04.2003– René Sirvin La Jota au scalpel “Avec des costumes sobres, lui et ses trois danseuses proposent donc une danse populaire mais stylisée, qui ne s’offre plus au regard comme une danse de couple, mais comme une chorégraphie à part entière, avec pas glissés, sautés, pirouettes, où il excelle.” LYON FIGARO ‐ 11.04.2003 – Agnès Benoist “Planté sur ses pieds, les bras vibrants dans le vent, Miguel Ángel Berna est une sabina (conifère éradiqué par une déforestation sauvage, dont seul un exemplaire a été conservé dans le désert d’Aragón) sous les étoiles. Dulzaina (sorte de pipeau) sèche et guitare. Deux castagnettes d’argent tombent, deux gouttes à ses mains. Les cordes des mandolines vibrent délicatement. Il pleut déjà. Le danseur se courbe, la musique se déplie et un peu de lumière entre. Maintenant, il plane comme un aigle expatrié cherchant un refuge. Toute la musique semble apporter la joie, jusque dans la gorge de Maria José Hernández: Eaux qui naissent dans les montagnes, fleuves qui rêvent de mer.” El Periódico 8.03.2003 – Briosa tierra del Dragón “Solombra” la danse aragonaise selon Miguel Ángel Berna “...des chorégraphies dans lesquelles l’important n’est pas la pureté du folklore, mais la force expressive des mouvements hérités de celui‐ci...” R.C.L. Heraldo de Aragón 19.11.2002 Miguel Ángel Berna, vers la jota du nouveau millénaire “ “Solombra” n’est pas seulement un spectacle de danse. C’est aussi une expérience musicale, un hommage à la tradition et une tentative pour faire un pas en avant vers le folklore du nouveau millénaire.” Heraldo de Aragón 28.12.2001 Une stylisation magistrale de la jota “Aujourd’hui un autre danseur est digne d’admiration : Miguel Ángel Berna. Pour deux raisons. La première, parce qu’en dansant il est indiscutablement un véritable artifice. La seconde, parce qu’en tant que chorégraphe il en est de même. Et si l’on peut y ajouter une troisième, parce qu’avec les castagnettes il est également magistral. ” ABC 28 de mayo de 2001– Manuel RÍOS RUIZ Une danse rénovatrice et anticonventionnelle “Virtuose de la jota aragonaise, élégant et séducteur dans sa danse solitaire, ce soliste est empeint dans une articulation novatrice du folklore avec les musiques nouvelles. Sa danse est moderne par essence, même s’il évalue et atomise avec talent les codes folkloriques.” “Miguel Ángel Berna n’est pas dans l’erreur en sentant dans son cœur que ce n’est qu’avec risques et courage que l’on peut examiner et avancer dans ce processus scénique si complexe qu’est la danse espagnole dans sa totalité”. Roger SALAS ‐ EL PAÍS, 19.05.1999 Berna conquiert Madrid avec son métissage floklorique “La fusion originale du flamenco et du folklore aragonais… une chorégraphie neuve et fraîche”. Lorena JAVIERRE ‐ EL PERIÓDICO –27.06.2000 Al original compás de castañuelas y zapateados “C’est l’originalité et la force plastique que cherche le danseur de Saragosse qui ose mettre en scène un spectacle plein de courage et de passion.” C.C. DANZA CONTEMPORÁNEA – junio 2000 Rotunda jota “Miguel Ángel Berna ne se présente pas seulement comme un stupéfiant danseur folklorique, mais aussi comme un créateur qui pousse vers l’avant.” Julia MARTÍN DANZA – junio 2000 “Il a envie d’être, de crier, de montrer ce que sa tête crée et ce que son corps dessine, projette, donne forme... C’est un lutteur, il a envie de briser, de partager ses inquiétudes. En se basant sur les plus profondes origines de notre folklore, en les fusionnant avec d’autres arts de la danse, Miguel Ángel crée des spectacles où son corps vomit, expulse par la danse, un large processus d’intériorisation et de travail. ” AZP La danza al son del tambor ‐ “Miguel Ángel utilise les castagnettes comme personne, avec un geste articulier et la façon de les tenir, avec « le cœur ». ” Esther ESTEBAN SAURAS ‐ COMARCA ÚRSULA LÓPEZ “Úrsula López, une danseuse dont le physique et le style sont en totale harmonie avec les créations chorégraphiques conçues pour elle(…). Le Taranto d’Úrsula López est admirable, précédé par Paso a Dos original et de toute beauté.” Rosalía Gómez – Diario de Sevilla – 30.09.2004 “Úrsula López, impressionnante tant sur une scène de type lyrique que dans l’explosion des cadres.” Miguel Vigo “Ce qui est sûr, c’est qu’ils ont dansé beaucoup et bien, formant ainsi un groupe presque compact de danseurs les plus expérimentés, dans lequel (…) Úrsula López a brillé avec son propre style (…). Magnifique, nous l’avons dit, l’allégresse (…) avec une garde‐robe qui comporte la fameuse tenue du pantalon blanc qu’Amaya aimait tant.” Rosalía Gomez – Diario de Sevilla – 12.02.200 “Les Fandangos avec castagnettes d’Úrsula López sont magnifiques de tendresse et d’expressivité ; (…) mais attention, Mesdames et Monsieur, regardez comment Úrsula López danse les Bulerías ! Chapeau bas ! Car ses Alegrías sont d’une impresionante qualité.” Miguel Mora – envoyé spécial à New York – El País – 02.02.2004 “Quelques moments inoubliables (…) le final avec la bata de cola (robe de flamenco avec une longue traînée) qui rappelle les immenses traînées de Carmen, ici une traînée de quatre mètres que Úrsula López manipule dans un numéro extraordinaire.” Marta Carrasco – ABC – 12.02.2003 RAFAEL CAMPALLO Le Metropolitan ouvre pour la première fois ses portes au flamenco. ABC 14.03.2003 Concert de Vicente à Vancouver, Canada. “À la fin du concert de Vicente Amigo, un danseur ‐ Rafael Campallo ‐ est entré sur scène; il fut sur le point de voler la vedette au guitariste avec ses zapateados spectaculaires que le public accueillit avec d’interminables applaudissements”. Latin American Rhythm Magazine ‐ nov.2002 Au concert de Vicente Amigo à Los Angeles. “Ses Alegrías furent électrisantes et le public le comprit ainsi. Ce maître, … a presque volé la vedette au guitariste sous les cris du public… Rafael est éblouissant, son zapateo est si rapide qu’on peut à peine l’apprécier… Campallo sait comment marquer un solo et atteindre différents climax sans laisser retomber l’enthousiasme du public. Il est véritablement incroyable. » West Coast Reviews – nov.2002 “Rafael Campallo danse avec élégance et autorité, en connexion avec ses musiciens et avec le public à travers la subtile complicité de ses mouvements, qui exhorte aussi bien les charmes « payos » et gitans que le feu et l’eau.” The New York Times ‐ 11.01.2002 “Campallo possède, outre un classicisme inégalable, hérité de l’école sévillane, et d’une technique presque virtuose, une grâce et un piquant que l’on rencontre peu sur les scènes d’aujourd’hui.” Diario de Sevilla ‐ sep.2000 “Avec Campallo, on trouvait enfin ce moment de vie nouvelle, pleine de soleil, d’air et de liberté.” El Mundo ‐ 15.09.2000 “Rafael Campallo a démontré « por alegrías » qu’il est l’un des danseurs flamencos les plus complets du moment.” Diario de Sevilla ‐ sep.2000 “Rafael Campallo est la nouvelle génération du flamenco, un danseur qui électrise par son rythme.” Crítica de Danza. Festival de Itálica – 30.07.1999 “Rafael Campallo a obtenu le prix “El Desplante” au meilleur bailaor, lors de la finale du concours du XXXIXe Festival National de Chant de Las Minas de la Unión”. Critica de Danza ‐ 1999 “Une alegría y un taranto lui ont permis de sortir vainqueur du célèbre et prestigieux concours flamenco de chaque été.”. Cultura – 18.08.1999 “La délicatesse expressive de la soléa de Campallo a rempli notre raison de satisfaction mais aussi notre coeur d’excitation.”. El Mundo – 30.07.1999 “Il faut ajouter les mystérieux signes prémonitoires des alegrías, magistralement traduites par le bailaor Rafael Campallo.” El Mundo – 13.07.1999 “Campallo, intense, s’est révélé tel le vigoureux bailaor qu’il est, mis en avant dans les fragments de tangos, avec son style propre.” Cultura ‐ 16.08.1999 “Vicente Amigo a révélé dans son groupe la présence athlétique du bailaor Rafael Campallo, vainqueur brillant du concours de la Únion”. El País – 07.09.1999 PRESSE DE LA PREMIÈRE À JEREZ
“Triomphe de la jota sur les terres de la bulería L'œuvre est impressionnante, grâce à ce que fait Miguel Angel Berna avec la Jota, le corps et les castagnettes. Il est le talent personnifié, la preuve tangible de la technique au service de l'art. ” Manuel Bohórquez – El Correo de Andalucia.es – 13.03.09 “ Musique et danse pour le XXIe siècle ‐ Plus futur que passé Miguel Angel Berna a bouleversé le Théâtre Villamarta avec 'Flamenco se escribe con jota', une œuvre risquée qui mêlent 'folk' et 'arte jondo'. La silhouette stylisée de Miguel Ángel Berna glisse sur scène, se renverse à chaque pas, il occupe toute la scène, il ne marche pas, il lévite. Une énergie pure exprimée avec force par ses castagnettes, au rythme de la voix splendide de Lorena Palacios et la bandurria délicate de Alberto Artigas. Hier soir, nous n’avons pas vu la provocation et la fusion gratuite, mais la musique et la danse du XXIe siècle avec toutes les saveurs des temps anciens et tout l’héritage du siècle dernier.” Francisco Sánchez Múgica – Diario de Jerez.es 10.03.09 L’Alegria des trois danseurs rendit hommage à Mario Maya. Vêtus pour le combat, ils menèrent une bataille émotionnelle, jusqu’à l’éclosion finale de Miguel Angel Berna face à Rafael et Ursula. Antonio Conde ‐ Lavozdigital.es 10.03.2009 “L’honneur de réunir dans une même enceinte deux cultures historiques. Le travail de Berna fut magistral et sa danse un souffle de nouveauté lors de ce festival”. Luis Román – Informaciones de Jerez – 10.03.2009 “Bien installée sur son siège pour apprécier les exploits de Berna, la danse personnelle, sobre et éloquente de Rafael Campallo et la beauté de Ursula Lopez. Berna réalisa d’authentiques exploits avec les castagnettes… Rafael Campallo, un des meilleurs danseurs de sa génération, avec son style si personnel et si flamenco, aux accents anciens si bien accordés à son âge… Úrsula López interpréta un grand Tientos Tangos, mais son meilleur rôle fut d’unifier les deux genres dans un spectacle admirable…” Deflamenco.com – 10.03.2009 “Et le flamenco et la Jota se rencontrent. Chacun dans sa tessiture, mais tous enlacés par la musique… Rafael Campallo, sûr dans son discours, défia le public avec une soléa élégante, aérée, parsemée de détails et tellement complice du chant… Apparaît Ursula Lopez, dont la beauté était rehaussée par un mantón corail, et la falseta de Jesús Torres. Elle est harmonie. Et sa danse explique la profondeur du flamenco, illustrée par la voix cristalline de la chanteuse de Jota, une danse qui dialogue avec Berna… Les cris du public, provoqués principalement par la surprise de la danse de Berna, sa danse en suspension, ses castagnettes fougueuses, la rapidité qui font disparaître ses pieds, les enchaînements des pirouettes, la tension de sa narration. Mais au‐delà de tous ces faits spectaculaires, c’est son acharnement à transcender la musique et la danse” Flamenco‐World.com 10.03.2009 “Deux langues, un langage Deux arts réunis en un dialogue riche et une dialectique positive. Deux langues pour un seul langage : la danse. Le point de rencontre est la danse, ses racines folkloriques, et le regard tourné vers la même volonté. Seulement ainsi se comprend l’Alegria finale, les différentes disciplines composent un tableau intense, vif, d’une belle harmonie.” Fermin Lobaton El Pais 11.03.2009 “Berna part de la jota pour arriver jusqu’au flamenco. Des castagnettes spectaculaires. Le danseur aragonais a laissé bouche‐bée le public du Théâtre Villamarta. » Diario de Jerez – 11.03.2009 

Documents pareils