Livret[1].Moscou 2006 - AFCA-MAE Association Française des

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Livret[1].Moscou 2006 - AFCA-MAE Association Française des
Un livret d’accueil très complet pour Moscou existe.
Il a été réalisé par nos amies de l’Association Moscou accueil et est consultable
au bureau de l’Afca. C’est la première des choses à vous procurer en arrivant à
Moscou.
Les quelques fiches ci-dessous viennent compléter ce guide. Elles apportent en
ligne des éléments utiles pour envisager ou préparer un départ en poste.
1) Scolarité et transport
Site internet du lycée français : www.lfm.ru
Pour les inscriptions, les adresses électroniques sont :
- primaire : [email protected]
- collège et lycée : [email protected]
Moscou est une ville très étendue, construite sur plusieurs anneaux concentriques :
- l’anneau des jardins, le plus ancien, le plus central, qui est une promenade ;
- le sadovoïé caltso qui encercle le centre- ville ;
- le Mkad, qui marque les limites de la ville et au niveau duquel se situent les zones
commerciales (Auchan, Ikéa, Méga).
Le lycée français est assez proche de l’anneau des jardins, au centre de Moscou, entre
Loubianka et Tchistie proudy. L’ambassade se situe au niveau du sadovoïé caltso, métro
Oktiabrskaya, à la périphérie Sud-Ouest du centre-ville.
La première des choses à prendre en compte, avant de chercher un appartement à Moscou, si
l’on a des enfants, est l’emplacement des établissements d’enseignement.
L’école maternelle et certaines classes de l’école primaire sont situées dans l’immeuble de
France, dans le quartier d’Oktiabrskaya, près de l’ambassade de France (12/16
spassonalivkovski pereoulok), alors que le lycée (du CE1 à la terminale) se trouve à
Loubianka (7A, Milioutinski pereoulok).
A la rentrée 2006, le CE1 et le CE2 reviennent à l’ancien site du lycée, à côté de l’ambassade
de France.
Moscou est une ville très embouteillée. Dès 11h du matin, la circulation est telle que, si vous
logez près de l’ambassade et que vos enfants vont au lycée, vous pouvez passer 40 mn à
descendre Bolchaya Yakimanka, la route à 8 voies qui longe l’ambassade, pour aller les
chercher. De nombreux parents font appel à un chauffeur.
Pour que les enfants passent le moins de temps possible dans la voiture pour rentrer chez eux,
il peut être conseillé de choisir son appartement en fonction de l’endroit où seront scolarisés
les enfants. Mais que le papa n’ait pas à prendre la voiture pour rentrer chez lui est aussi très
appréciable.
Le nouveau lycée n’a pas de gymnase. Les activités sportives se déroulent jusqu’à la 5e dans
l’école russe la plus proche du lycée. A partir de la 4e les enfants vont au gymnase de l’ancien
site, à l’immeuble de France. Cela occasionne des déplacements qui ne sont pas assurés par le
lycée. Trois solutions se présentent : soit les enfants prennent le métro, soit les parents les
conduisent, soit ils prévoient un chauffeur.
Je dois aussi préciser que l’école maternelle française n’assure ni le repas de midi, ni la
sieste. Les parents prévoient une collation, donnée à 11h30. Les enfants sortent de l’école
entre 13h et 14h selon les classes, prennent la voiture pour rentrer chez eux et… s’endorment
souvent dans la voiture sans avoir mangé. Ce n’est pas le rythme idéal.
La collation est aussi à prévoir pour les CE1 et CE2.
Les bouteilles Thermos ne se trouvent pas très facilement à Moscou. Equipez- vous avant.
Pour les plus petits, un chauffeur est utile dès que le logement se situe à plus de 10 mn à pied
du lieu de garde de l’enfant. Marcher dans le froid, sous la pluie, sur des trottoirs verglacés, en
mauvais état, envahis de voitures, avec ou sans poussette, est difficile. Un chauffeur russe à
plein temps coûte environ 600 $ ; un chauffeur étranger, par exemple parlant français
(africain, malgache, etc.) peut demander plus, car il a des frais que les Russes n’ont pas (loyer,
carte de séjour).
La mairie de Moscou a pris la décision de ne plus assumer les frais de scolarité des enfants
étrangers inscrits dans les écoles russes. Dans la plupart des « dietski sad », jardins d’enfant
en russe, équivalents des écoles maternelles, le coût est de 6 000 roubles environ (180 euros)
par mois. Dans certains « dietski sad », spécialisés, le coût peut atteindre 13 000 roubles (400
euros) par mois.
A titre d’exemple, mon fils de 4 ans va au « dietski sad » situé en face de l’immeuble de
France, spécialisé dans l’orthopédie. J’ai choisi cet établissement parce qu’il présente
l’avantage de classes peu nombreuses (entre 8 et 12 enfants pour une maîtresse et une
assistante), et qu’il prend les enfants jusqu’à 17h (sieste et trois repas compris). En mars 2006,
le prix est passé du jour au lendemain de 2 300 roubles à 13 000 roubles !
De nombreux enfants français étant concernés, l’ambassade de France est en train d’essayer
d’obtenir la possibilité de payer le tarif russe, bien inférieur.
2) Logement
Moscou est devenue en quelques années une des villes les plus chères du monde. Les loyers
sont très élevés. Voici quelques sites internet d’agence de locations :
www.beatrix.ru
www.blackwood.ru
www.intermark.ru
www.crownrelo.com
www.delight.ru
www.evans.ru
www.realtor.ru
3) Déménagement
- ABX Logistics : www.abxlogistics.com, tél. 739 99 20, fax 739 99 28
- Crown Relocations : www.crownrelo.com, tél. 926 52 44
- Allied Pickfords : www.alliedpickfords.ru, tél. 796 93 25
- Move one Relocations : www.moveonerelo.com, tél. 234 08 73, fax 956 34 11
- ABC Ricard fl www.abcricardfl.com
et Hasen Kamp (correspondant de Ricard à Moscou) : www.hasenkamp.com, tél. 936 26 64,
fax 936 26 16
Et éventuellement pour un déménagement au départ de Moscou vers un pays d’Europe
centrale :
- Voerman (néerlandais, groupe UTS): www.voerman.ru, tél. 937 69 09, fax 240 10 32
NB : Les numéros de tél. et de fax ci-dessus sont moscovites et utiles pour les
déménagements-retours. Les coordonnées en France apparaissent dans les sites internet.
4) La voiture en Russie
Se déplacer à Moscou
A Moscou, le réseau de transport en commun est plutôt bien organisé et pratique. Mais
attention tout de même, la ville est très grande et très embouteillée. Traverser tout Moscou en
transport en commun peut prendre du temps. Le métro passe souvent, ce qui n’est pas toujours
le cas des bus et trolleys bus.
Le système de taxi sauvage est assez répandu aussi. Vous tendez le bras, attendez que
quelqu’un s’arrête et discutez du prix de la course. En général cela ne pose pas de problème.
Mais si vous êtes une femme seule, évitez de monter avec quatre hommes à bord. 100
Roubles est un prix normal pour un petit trajet à l’intérieur du « caltso », le périphérique
central.
On peut se passer de voiture, mais faire les courses en voiture est tellement plus confortable :
les distances sont grandes ; les magasins où trouver certains produits recherchés par les
Français sont loin les uns des autres ; il neige, il y a du vent, il fait froid... Une voiture devient
indispensable si on a des enfants en bas âge.
La voiture
Vous pouvez soit la faire venir de là où vous venez ou bien l’acheter sur place.
Acheter une voiture en Russie
Une voiture neuve
On trouve à Moscou la plupart des marques de voitures vendues en Europe et même plus. En
général, elles sont un petit peu moins chères qu’en France. La négociation sur le prix est
difficile car le vendeur se moque de vendre ou de ne pas vendre.
Avant d’acheter sa voiture se renseigner sur les moyens de paiements acceptés par le
concessionnaire. En général, le moyen le plus couramment utilisé est le cash, en roubles, en
dollars ou en euros. Le taux de conversion est celui de la banque centrale de Russie et il est
donné au jour le jour. Si vous payez en devises les frais bancaires sont plus élevés. Ils vont de
1 % à 3%.
On peut aussi payer par virement mais attention aux frais bancaires qui sont encore plus
élevés.
Une voiture d’occasion
La vente de voitures d’occasion par des professionnels n’est pas répandue en Russie. C’est du
particulier au particulier. Acheter auprès des russes est très risqué (voiture volée, kilométrage
fictif, voiture gravement accidentée, certificat d’immatriculation fantaisiste), mais pas très
cher. Paiement en espèces uniquement.
On peut acheter des voitures d’occasion auprès du personnel de l’ambassade partant, il faut
demander autour de soi et même prévoir un peu à l’avance. En général, les véhicules sont mis
en vente vers le mois de juin pour une disponibilité en juillet-août. Ces véhicules se vendent
vite. Le paiement se fait en accord avec le vendeur.
Immatriculer sa voiture
Dans tous les cas pour les détenteurs de passeports diplomatiques ou de service, c’est très
simple, quelqu’un s’en occupera pour vous à l’ambassade. Environ 1000 roubles pour le
service et moins de 500 roubles de frais d’immatriculation.
Les papiers obligatoires
Le permis de conduire russe de préférence ou bien un permis international de moins de 6 mois
pour les non-résidents, l’assurance au tiers obligatoire, la carte grise.
Le permis de conduire russe est facile à obtenir pour ceux qui travaillent à l’ambassade, le
bureau de liaison s’en occupera.
L’assurance minimum obligatoire est l’assurance au tiers (OSAGO) mais, il est largement
conseillé d’être assuré tous risques. En général la prime d’assurance annuelle équivaut à 1012 % du prix de la voiture. Pour être assuré tous risques, il faut qu’il y ait une alarme installée
dans le véhicule.
Pensez à comparer les prix auprès des compagnies d’assurances locales, les différences de
prix sont sensibles.
La conduite
Dans la mesure où vous êtes en plaque diplomatique, il y a peu de risque d’être contrôlé à
moins de commettre une grosse infraction au code de la route.
Il faut être prudent car les Russes ont l’habitude de vous couper la route au dernier moment,
soit pour tourner, soit pour s’arrêter prendre un piéton qui fait du stop (très courant en
Russie).
Jusqu’à ce que vous connaissiez bien votre route, il vaut mieux avoir un plan de ville avec les
sens des rues, car certains carrefours sont complexes et si on se trompe de route on peut
continuer longtemps avant de pouvoir faire demi- tour. Il est rarement autorisé de tourner à
gauche. Pour pallier à ces inconvénients les Russes ont inventé le « razvarod », il s’agit d’un
demi-tour en plein milieu d’une avenue qui vous permettra, soit de revenir en arrière si vous
vous êtes trompés, soit de prendre la voie de gauche. Les razvarods figurent sur les bonnes
cartes.
Les feux de signalisation fonctionnent à « l’américaine », rouge-orange-vert et puis vert
orange-rouge. Regardez bien la voie dans laquelle vous vous trouvez pour savoir si vous
pouvez avancer ou pas. Si vous êtes dans la file de droite, c’est la flèche verte qui vous
autorise à passer et non le feu vert de la file qui va tout droit. Il n’est pas rare qu’une avenue
comporte cinq ou six files de voitures dans chaque sens. Il vaut mieux ne pas s’y prendre au
dernier moment pour changer de file.
Mis à part le week-end, Moscou est une ville très embouteillée. A certaines heures, il faut
prévoir très large son temps de parcours.
En hiver, des pneus- neige ou clous sont fortement recommandés et indispensables si vous
quittez Moscou.
Le taux d’alcoolémie autorisé en voiture est de 0,00 mg/l de sang. Ca c’est la théorie. En
pratique, on peut toujours s’en tirer si on se fait contrôler (voir corruption).
En Russie, le code de la route est généralement semblable au nôtre, il reste très théorique,
chacun ayant une façon très particulière de l’interpréter.
Au volant, évitez les engueulades, avec les autres automobilistes, car les russes ont plus
l’habitude d’en venir aux mains dès qu’il s’agit de la voiture.
En cas d’accident
Très important, pour un accrochage même minime, il faut appeler la police (militsia) et
surtout ne pas déplacer les véhicules, même s’ils gênent la circulation et créent un
embouteillage interminable.
Le policier procédera aux constatations et aux formalités d’usage (constat, …) à transmettre à
l’assurance.
Corruption
Elle est malheureusement toujours présente. Avoir quelques centaines de roubles peut vous
tirer d’affaire auprès d’un policier cherchant à arrondir ses fins de mois. Là encore, en plaque
diplomatique ou consulaire (rouge), il n’y a pas vraiment de risque. L’agent de police ne peut
pas vous mettre une amende. Il ne peut que faire une note au Mid, le Ministère des affaires
étrangères russes, qui écrira lui- même à l’Ambassade de France pour signaler l’infraction.
Pour le personnel non-diplomatique, la corruption peut causer des soucis, mais aussi vous tirer
d’affaire si vous êtes allés un peu trop loin. Attention, n’allez pas croire que tous les policiers
sont systématiquement corrompus.
5) Les services de santé
Les services de santé pour quoi faire ? Avant toute chose il faut savoir de quel type de service
on a besoin. Un médecin de ville, un pédiatre, un traitement de longue durée ou bien un
service d’urgence.
A part pour une urgence vitale de jour comme de nuit où il est préférable d’aller dans l’hôpital
russe le plus proche, pour les autres domaines, deux établissements sont les rendez-vous des
expatriés, car ils y trouvent des soins très proches de ceux qu’ils connaissent : l’European
Medical Center et l’American Medical Center. La polyclinique diplomatique est réservée aux
agents des ambassades.
European Medical Center
http://www.emcmos.ru/
C’est le rendez-vous des Français pour les soins médicaux, car on y parle français. To us les
médecins ne parlent pas le français, mais au moins l’anglais.
Le centre médical a plus l’allure d’une clinique que d’un hôpital, il est très propre et le
personnel toujours très accueillant. L’ambiance est rassurante.
En général, il est très facile d’obtenir un rendez- vous dans la semaine.
Les prix pour une consultation s’échelonnent entre 80 et 120 euros sans que l’on sache
vraiment pourquoi. En travaillant à l’ambassade, vous et votre famille bénéficiez d’une
substantielle remise de 20 % grâce à une carte de membre.
Les tarifs d’hospitalisation sont semblables à ceux de la France à la seule différence qu’il faut
avancer les frais.
Avec Inter mutuelle assistance, il est possible de ne pas avancer les frais d’hôpitaux, mais
seulement à l’American Medical Center et avec accord préalable bien entendu.
La mutuelle des affaires étrangères étant bien adaptée à l’expatriation, les remboursements ne
posent pas de problème. Il faut seulement penser à demander la feuille de maladie sur place,
car on ne vous la donne pas automatiquement.
La nuit, il y a un ou deux médecins de garde. Ils peuvent aussi vous renseigner par téléphone
ou se déplacer à domicile en cas de besoin.
L’EMC possède une pharmacie où il est préférable de prendre ses médicaments lorsqu’on
vous les prescrits car on est pas toujours sûr de les trouver en ville.
L’American Medical Center
http://www.amcenter.ru/
La polyclinique diplomatique
C’est un établissement russe réservé au personnel diplomatique étranger. Il fonctionne très
différemment de l’EMC.
On peut ou ne pas prendre rendez-vous à l’avance. Il y a en général très peu d’attente.
A l’accueil une personne vous oriente selon les symptômes que vous décrivez. Un enfant qui
tousse sera plutôt dirigé vers un ORL. Mais si vous voulez voir un pédiatre, on ne vous en
empêchera pas. Vous pouvez faire appeler la traductrice dès ce niveau- là pour vous orienter,
ou pour signaler que vous souhaiter la présence d’une traductrice pendant la consultation.
Sinon le médecin pourra l’appeller lui- même au cours de la consultation.
Un examen par un médecin peut en entraîner un autre. Pour un mal de ventre, le pédiatre peut
faire appel au chirurgien, qui demandera un examen sanguin, et une échographie. On fait tous
les examens sur place et sans rendez-vous, dans la journée. Puis retour chez le premier
pédiatre avec les résultats. Tout ça peut être un peu éprouvant.
Les soins sont beaucoup moins chers qu’à l’EMC, mais le nombre d’examens peut amoindrir
la différence.
Les soins proposés sont plus radicaux que chez nous.
Le personnel est agréable, les locaux en bon état, mais on peut se sentir un peu perdu dans des
couloirs où il n’y a pas d’interlocuteur, surtout si l’on ne parle pas russe. Il ne faut pas hésiter
à frapper à la porte du médecin pour faire savoir qu’on est là.
6) Emploi des conjoints
Il n’existe pas de comité consulaire à Moscou. Sa création ne semble pas à l’ordre du jour. Le
consulat a une telle charge de travail qu’il lui est impossible d’assurer le suivi que suppose
l’action du comité.
Si l’on veut travailler, il vaut mieux se soucier de trouver un emploi avant le départ.
Une chose à faire est de prendre rendez-vous auprès de la DRH au MAE. A Moscou, il y a
parfois des possibilités de trouver un emploi au Consulat ou au Centre culturel. Une fois sur
place, le contrat proposé sera un contrat local, financièrement moins intéressant.
Pour travailler dans un autre cadre (cabinets d’avocats, sociétés de recrutement, sociétés
françaises implantées à Moscou), il faut se débrouiller par ses propres moyens, tout en se
faisant connaître auprès du consulat.
Travailler peut éventuellement entraîner la perte du statut diplomatique du conjoint, ce qui est
un inconvénient à Moscou. Le passeport diplomatique permet de ne pas faire la queue à la
douane (l’attente est souvent longue). En voiture, sans plaque d’immatriculation
diplomatique, les contrôles de police sont fréquents et se soldent souvent par une amende
injustifiée.
7) Divers
Air
L’air est très sec à Moscou. Au point d’abîmer les objets en bois. Les meubles se dessèchent,
et peuvent se fendre. Si vous avez de beaux meubles en bois auxquels vous tenez, il est
préférable de ne pas les emporter.
Crèche
La crèche de l’Ambassade a fermé en janvier 2006.
Fournitures scolaires
Les livres et fournitures scolaires français ne se trouvent pas à Moscou. La librairie française
Pangloss peut toutefois commander des ouvrages aux tarifs français. Mais il vaut mieux
consulter les site internet du lycée et acheter livres et fournitures en France avant le départ.
Les feuilles Seyes et les stylos-plumes par exemple sont difficiles à trouver à Moscou. Cela
peut changer, car les choses évoluent très vite.
Librairie française
Pangloss :
Krimski val 3, bat 2
Métro Oktiabrskaya
Tél. 238 07 56
Site www.pangloss.ru
Mél [email protected]
La librairie offre différents services :
- commande de livres à la boutique ou par internet ;
- abonnement à la presse française ;
- livraison à domicile,
aux tarifs français.
Téléphone
Dans les appartements loués sur le marché privé, les notes de téléphone sont déposées dans
les boîtes aux lettres. Ce sont des petits papillons qui passent facilement inaperçus. Alors,
attention ! Il faut ensuite aller payer la note à la banque du quartier (Sberbank).
Racisme
Les agressions de personnes de couleur sont malheureusement régulières à Moscou. Par peur,
il est fréquent que les gens de couleurs ne prennent pas le métro et évitent les stades de foot.

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