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QUOTIDIEN D’INFORMATION - JEUDI 9 JUIN 2016 - N°4287 - ALGÉRIE 10 DA - FRANCE 1 EURO / http//:www.depechedekabylie.com C Les soirées artistiques démarrent aujourd’hui à la Maison de la culture de Tizi-Ouzou M J Guerbas, Asma, Nouara, Yahiatène, Ahres, Kheloui... N Page 11. EPSP de Ouacif ISSN 1112-3842 Le DSP est déjà sous pression Le conflit risque de reprendre avec intensité, après le nouveau préavis Page 2. de grève lancé par l’UGTA. SNTF Ligne ferroviaire Thenia - Tizi-Ouzou Inauguration projetée pour le 5 juillet C Le directeur général de la SNTF, M. Yacine Benabdallah, qui en a fait le rappel hier, a indiqué également que la société qu’il dirige prévoit d’acquérir 17% du marché du transport de marchandises d'ici 2020, contre 2% actuellement. Page 3. M J N Béjaïa C M J N Les habitants de la cité 232 logements interpellent le wali Page 4. Accidents de la circulation 17 morts et plus de 100 blessés depuis le début du Ramadhan Page 4. Bouira L’ADE détient 141 millions de DA de créances impayées chez les ménages Page 5. La Météo du Jour TS R P S QUOTIDIEN D’INFORMATION J EUDI 9 J UIN 2016 N°4287 Alger Tizi-Ouzou Bouira Béjaïa Max: 31 Min : 17 Max : 36 Min : 17 Max : 33 Min :18 Max : 29 Min : 16 JS Kabylie Il a signé pour deux saisons avant-hier Djerrarr 5ee recruee kabyle Le milieu de terrain Adel Djerrar a officialisé sa venue à la JSK, avant-hier soir, vers 22 heures au siège du club à la nouvelle ville de Tizi-Ouzou. yant r encontr é les dir igeants kabyles, le joueur n’a pas tar dé à tr ouver un ter r ain d’entente et d’appor ter sa signature pour officialiser sa venue à la J SK. Ainsi, Djer r ar défendr a les couleur s J aune et Ver t à par tir du prochain exercice. Il ser a la cinquième recr ue kabyle pour ce mer cato estival apr ès Asselah, Yetto, Benkablia et Har bache qui ont déjà par aphé leur s contr ats pr écédemment. Le joueur pr étend à r éaliser beaucoup de belles choses avec le club kabyle à par tir du prochain exercice. Son objectif est de marquer son passage à la J SK et pourquoi ne pas gagner des titres avec le club kabyle. J oint par nos soins hier matin, Djer r ar a bien voulu r épondre à toutes nos questions. Tout en affichant sa gr ande joie de rejoindre le club kabyle, il promet de tout faire pour appor ter un plus à la J SK. Il affir me que son objectif est de gagner des titres et de satisfaire aussi les fans kabyles qui attendent beaucoup de leur club au cour s du prochain exercice. A “Je veux progresser” Le CSC et le MOB vous voulaient aussi mais vous avez opté pour la JSK, pourquoi ce choix ? Il y a plusieur s choses qui m’ont motivé à Des joueurs émigrés proposés a direction du MOB a passé à la vitesse supérieure en ce qui concerne le renforcement de l’effectif en prévision de la saison prochaine. En effet, après avoir engagé d’une manière officielle l’entraîneur Sendjak à la barre technique pour la saison prochaine, voilà que les dirigeants béjaouis viennent de s’assurer leur première recrue estivale. Il s’agit de l’exjoueur de la JSK, Kamel Yesli, qui a paraphé un contrat de deux saisons au profit du MOB en fin d’après-midi de mardi dernier. Soit le début de cette opération de recrutement, puisque d’autres joueurs sont attendus dans les prochains jours, notamment des émigrés, puisque Sendjak a proposé certains noms à la direction mobiste. Cela dit, le nouvel entraîneur du MOB, en l’occurrence Sendjak, devrait prendre ses fonctions d’une manière officielle aujourd’hui, après avoir signé son contrat dans la soirée d’hier. Il aura comme mission urgente la préparation de l’échéance africaine avec la coupe de la CAF avec une première rencontre prévue face aux Young Africans qui aura lieu à Béjaïa entre le 17 et le 19 juin en cours. En attendant, c’est l’entraîneur Laâbni qui assure actuellement les préparatifs de l’équipe avec le programme mis en place, pour assurer une meilleure préparation possible, et ce, avec une joute amicale prévue pour dimanche prochain face à l’ES Sétif. Une rencontre qui sera une belle opportunité pour procéder aux correctifs qui s’imposent et trouver la meilleure formule pour réussir une bonne entame de la coupe de l.a CAF. Concernant les cadres, ils sont attendus pour aujourd’hui, jeudi, pour négocier avec le président Attia qui est rentré hier de France. Amine Kaci L JSM Béjaïa La Dépêche de Kabylie : Vous avez paraphé un contrat de deux saisons avec la JSK, quel est votre sentiment ? Adel Djerrar : J e suis tr ès heureux de rejoindre la J SK qui est un gr and club. C’est un honneur pour moi de défendre les couleur s d’un club prestigieux comme la J SK. J e n’ai pas tar dé à trouver un ter r ain d’entente avec le pr ésident Hannachi et j’ai signé mon contr at de deux saisons au profit du club kabyle. J e fer ai tout pour être à la hauteur de la confiance placée en moi par les responsables kabyles. Les dirigeants kabyles vous voulaient déjà lors du mercato hivernal avant de vous recruter cet été, n’est-ce pas ? Effectivement, la J SK voulait m’enr ôler lor s du mer cato hiver nal, toutefois je n’avais pas le destin entre mes mains. J ’étais lié avec le RCR et mes dir igeants ne voulaient pas me libérer. Cependant, les responsables kabyles ont repr is attache avec moi lor s de ce mercato estival et me voilà kabyle pour les deux prochaines saisons. Le destin a voulu que je signe cet été et je suis content d’être Canar i. J e fer ai tout pour marquer mon passage à la J SK en appor tant un plus à l’équipe inchallah. MO Béjaïa Alors que Yesli a signé pour deux saisons Un jeudi décisif pour les Vert et Rouge L choisir la J SK. En plus du challenge spor tif qui est tr ès impor tant, à la J SK je suis per suadé que je progresser ai d’avantage. Les membres de ma famille et mes amis m’ont motivés aussi à choisir la J SK. J e suis per suadé que j’ai fait le bon choix. Vous jouerez milieu défensif et milieu offensif également, dans quel poste vous sentez-vous le mieux? J e n’ai pas une pr éférence pr écise et je joue ou le club a besoin de mes ser vices. Ce qui est sûr c’est que je ne lésine jamais sur les effor ts afin d’accomplir, à chaque fois, ma tache convenablement. J e fer ai tout pour r éussir mon passage à la J SK inchallah. Quels sont vos objectifs avec le club kabyle ? La J SK est un gr and club habitué à jouer les pr emier s r ôles dans les différ entes compétitions et je pr étends à gagner des titres avec ma nouvelle équipe. J ’ai hâte aussi de jouer la coupe de la CAF et inchallah on r éaliser a un bon parcour s dans cette compétition. J e suis un joueur ambitieux et avec la J SK, je pr étends à pr ogr esser d’avantage. J ’espère que nous r éaliserons une gr ande saison pour procurer de la joie aux suppor ter s. Un mot pour les supporters kabyles qui attendent beaucoup de vous… J e sais que les fans de la J SK aiment beaucoup leur club et ils attendent beaucoup de leur équipe. Avec un bon recr utement et une bonne pr épar ation, le club r éaliser a une gr ande saison. On va tout faire pour r éaliser les meilleur s r ésultats possibles afin de procurer de la joie aux fans de la J SK. Propos recueillis par Mustapha Larfi es contacts entrepris depuis quelques jours par la commission de recrutement que préside le boss Boualem Tiab avec des joueurs susceptibles de renforcer les rangs de la JSMB cet été pourraient bien déboucher aujourd’hui, jeudi, sur quelque chose de concret. C’est du moins ce que nous apprenons d’une source fiable proche de la direction béjaouie qui nous confiera que des éléments évoluant en ligue 1 Mobilis notamment sont attendus aujourd’hui à Béjaïa pour officialiser leur venue à la JSMB. « Tout se déroule comme souhaité depuis la mise en place de la commission de recrutement il y a une dizaine de jours », ajoute-t-on encore de même source, sans révéler toutefois les noms de ces éléments visés. Cependant, l’on sait que le coach, El Hadi Khezzar, qui est associé à l’opération recrutement, aurait déjà proposé le trio du CABBA, Boufelih, Bouafia et Amar Djabou pour les engager cet été après avoir discuté préalablement avec eux et même arraché leur accord de principe. Une chose est certaine, le boss Tiab, qui a déjà promis de bâtir une équipe solide pour la saison prochaine, est attendu au tournant par les sociétaires du club qui lui accordent toute leur confiance. Ceux-ci croient dur comme fer que leur président, qui a promis aussi de faire le ménage dans l’effectif actuel, pourra ramener des joueurs de valeur à même d’aider leur équipe favorite à faire face à la forte adversité des autres concurrents pour l’accession en ligue 1. B Ouar i 2 La situation conflictuelle qui prévaut à l’EPSP de Ouacif est loin d’être réglée, malgré la nomination du DSP de wilaya, M. Bouda, à la tête de l’établissement, le 31 mai dernier, par la commission ministérielle qui s’est déplacée sur les lieux. a coor dination de la santé de la wilaya de Tizi-Ouzou, affiliée à l’Union génér ale des tr availleur s algér iens, vient de décider de reprendre le mouvement de protestation. Elle a d’ores et déjà retenu « un pr éavis de gr ève de dix jour s, à compter du 02 juin. Apr ès expir ation du pr éavis, les tr availleur s de la santé de la wilaya entameront des gr èves cycliques de 03 jour s par semaine et en cas de non-satisfaction des revendications, la gr ève ser a prolongée d’une jour née par semaine », est-il écr it sur la déclar ation de la coor dination rendue publique ces der nier s jour s. « Tout le dossier de la santé » à tr aver s la wilaya de Tizi-Ouzou a été passé en revue et il a été constaté, selon toujour s la même déclar ation, ce qui suit : « Les r ésultats sont négatifs : Manque de volonté de la par t de la tutelle de prendre en char ge les points soulevés dans la platefor me et per sistance de la situation explosive qui pr évaut aux EPSP d’Ouacif et d’Ouaguenoun ». « La décision de reprendre la pr otestation fut donc pr ise. » Rappelons que le secteur de la santé dans la wilaya de TiziOuzou est en ébullition depuis plusieur s mois. L’EPSP de Ouacif a été bloqué pendant des mois. L’affaire qui a fait débor der le vase est sans nul doute la découver te du lot de médicaments non déclar é à la polyclinique des Ouadhias. L’affaire a défr ayé la chronique et fait couler beaucoup d’encre. Les décisions pr ises par l’ancien dir ecteur local de la santé, M. Amar khodja Naceredine, n’ont pas fait l’unanimité. Les tr availleur s se divisèrent alor s en deux groupes, l’un affilié à l’UGTA, l’autre affilié au SAP et au SNPSP. Les gr èves se succédèrent. Le DSP loin de trouver des solutions n’a fait que r éagir timidement à la protestation. L’ancien directeur fut limogé, puis r établi, puis re-limogé. Un nouveau directeur a été alor s désigné mais il a été contesté par une par tie des tr availleur s. Pir e encor e, les tr availleur s non syndiqués s’invitent sur le ter r ain de la protestation pour dire qu’ils sont « surexploités l ’ Év én em en t Jeudi 9 juin 2016 EPSP Ouacif Un nouveau préavis de grève lancé depuis le 2 juin Lee DSPP souss pression n’avance pas. Nous avons l’impression de nous adresser à un mur. Nous n’avons pas le choix, on nous contr aint à revenir à la protestation ». Sellal avait été interpellé sur le sujet par les comités de villages et le P/APW L et non payés depuis de nombreux mois. » L’administr ation de l’EPSP, les polycliniques et les unités de soins r épar ties sur trois impor tantes daïr a (Ouadhias, Ouacif et Ath Yenni) sont par alysées. Rien ne va plus ! La coordination UGTA de Tizi-Ouzou soulève une plateforme de revendications Il est bon de revenir sur la genèse du mouvement qui a mis à mal toute la cor por ation de la santé publique à Tizi-Ouzou. Car, en plus des cas des EPSP de Ouaguenoun et de Ouacif, constamment bloqués à cause de problèmes inter nes entre syndicats d’une par t et entre les syndicats et la direction d’autre par t, les actions de protestation se sont multipliées sans que la situation n’évolue d’un iota. Les seuls per dants dans toute cette affaire ce sont les malades. Pour en revenir aux r evendications des tr availleur s, notamment ceux affiliés à l’UGTA, elles sont au nombre de 28 et, selon la déclar ation de l’UGTA, toujour s non satisfaites. La première revendication est la per manisation de tous les tr availleur s vacatair es. Ils demandent également la génér alisation de la pr ime de contagion à l’ensemble des tr availleur s en plus de l’intégr ation des tr availleur s du pr é emploi. La coor dination, en plus des problèmes liés à l’avancement des car r ières, la promotion, l’intégr ation et la r égular isation, exige la pr ise en char ge totale du per sonnel 24/24 (chambr e de gar de + repas). Les points soulevés sont nombreux et visent à améliorer le cadre de vie dans les str uctures de santé et le cadre de vie des tr availleur s de la santé publique. Le secr étaire génér al de l’UGTA de Tizi-Ouzou que nous avons joint par téléphone nous confier a : « La situation du secteur n’a pas bougé, hélas. Apr ès sept rencontres et r éunions avec l’ensemble des r esponsables concer nés à tous les niveaux, r ien n’a été fait. Apr ès plusieur s actions de protestation, marches, sit-in et déclar ations, la situation Les comités de villages avaient inter pellé le ministr e concer né pour inter venir en vue de mettre un ter me à cette situation de blocage. Le pr ésident de l’assemblée populaire de la wilaya de TiziOuzou, M. Mohamed Klalèche, a également inter pellé le Pr emier ministr e, Abdelmalek Sellal, en pr ésence du ministre de la Santé, M. Boudiaf, lor s de leur der nière visite à Tizi-Ouzou. Une commission ministér ielle de haut niveau a été dépêchée, le mar di 1er juin, et décision a été pr ise de confier la gestion de l’EPSP au DSP, M. Bouda. L’on s’attendait alor s à un retour au calme, mais hélas ce ne fut pas le cas puisque le syndicat UGTA vient de lancer un pr éavis de gr ève, en attendant la décision des autres syndicats qui devront se r éunir lundi pr ochain. Un médecin de l’EPSP Ouacif, que nous avons eu au téléphone, pester a : « Le DSP a commencé par installer ceux qui lui sont proches et notre syndicat n’a pas été invité à la r éunion de la commission ministér ielle. Il était tout à fait clair que nous allions reprendre la protestation. La situation de blocage semble même s’accentuer ». Et c’est le nouveau directeur de cette EPSP…M Bouda, en l’occur rence, et non moins DSP, qui se r etr ouve déjà sur la sellette, à moins qu’il ne r éussisse la prouesse de faire revenir tout le monde à la r aison. Hocine T. Entretien avec M. Bouda Abdennacer, DSP de Tizi-Ouzou « Le dialogue et la concertation pour débloquer la situation » À ce titre, nous venons déjà de ver ser le salaire du mois de mar s. Le dialogue se pour suivr a pour r amener tout le monde à la r aison et à accepter la r églementation. Une fois le climat apaisé et la confiance installée, nous procéderons à l’installation d’un nouveau directeur qui r épondr a aux cr itères de compétences et qui ser a adopté par tous les tr availleur s. Le directeur de la santé publique de la wilaya de Tizi-Ouzou, M. Bouda Abdennacer, a été nommé, tout recemment, directeur de l’EPSP Ouacif, par une commission dépêchée par le ministère de la Santé et de la Population. Il s’exprime sur ce conflit qu’il devra désormais gérer. La dépêche de Kabylie : En plus de votre fonction de DSP, vous venez d’être désigné directeur de l’EPSP Ouacif, qu’allez vous faire pour remettre de l’ordre après un blocage de plusieurs mois ? M. Bouda Abdennacer : J e vais, tout simplement, essayer de faire un consensus entre les différents acteur s de l’EPSP Ouacif. La situation de blocage a trop dur é, nous devons tous conjuguer nos effor ts pour trouver un ter r ain d’entente et débloquer la situation. Tout le monde ser a concer né sans exception aucune. Nous appelons au dialogue et à la concer tation pour trouver des solutions à tous les problèmes. Tout cela, dans l’optique de per mettre à la population de jouir de son droit aux soins mais aussi pour mettre tous les tr availleur s à l’aise et prendre en char ge leur pr éoccupation. La coordination de la santé UGTA de la wilaya de Tizi-Ouzou vient de déposer un préavis de grève, qu’en dites-vous ? Fr anchement, cela tombe mal. Mais nous essayerons de prendre attache avec nos amis de l’UGTA pour engager un vér itable dialogue et discuter tous les points soulevés. Les doléances seront discutées et concer tées sereinement. Ce qui est de notre ressor t ser a fait, et même la tutelle fer a de son mieux pour satisfaire les revendications des tr availleur s. De toutes les manières, notre direction est ouver te aux tr availleur s et restons disposés au dialogue. Nous finirons toujour s par trouver des solutions. L’objectif est d’aller de l’avant mais dans la sér énité, la responsabilité et le respect de la r églementation. Propos recueillis par Hocine T. 3 l ’ Év én em en t Jeudi 9 juin 2016 C M J N SNTF Ligne ferroviaire Thenia - Tizi-Ouzou Inauguration n projetéee des pourrSuper lee 5 juillet L’ancien sélectionneur Eagles, Stephen Keshi, n’est plus La société nationale des transports ferroviaires (SNTF) prévoit d’acquérir 17% du marché du transport de marchandises d'ici 2020, contre 2% actuellement. ’est ce qu’a affir mé, hier matin, le directeur génér al de la SNTF, M. Yacine Benabdallah, lor s de son passage à l’émission « l’invité de la r édaction » de la chaîne III de la r adio nationale. Le DG de la SNTF a fait savoir que « la r éception r écente de 10 locomotives, que viendront renforcer 20 autres machines du même type, va per mettre à son entrepr ise de r écupérer une bonne par t du fer tr anspor té, jusqu’alor s, par voie routière ». La SNTF, a-t-il indiqué, « ambitionne de diver sifier ses activités ». M. Benabdallah a souligné, en outre, que la SNTF projette, à cour s ter me, d’assur er le convoyage annuel de 160 millions de tonnes de marchandises et d’aller progressivement au-delà, en mettant en avant des pr ix compétitifs ajoutés à une r apidité de livr aison. Sur ce der nier registre, l’invité de la r adio algér ienne a tenu à expli- C C M quer que la connexion du r éseau fer roviaire avec les platefor mes por tuaires ajouté au tr anspor t de produits minier s (phosphate et fer en par ticulier ) ouvre à la SNTF des per spectives prometteuses lui per mettant d’être optimiste. De gros efforts sont entrepris pour améliorer le confort des passagers Par ailleur s, et en ce qui concer ne le tr anspor t de voyageur s, le DG de la SNTF a noté que « de gros effor ts sont entrepr is pour améliorer substantiellement le confor t des passager s, notamment en inter venant sur les systèmes de climatisation des compar timents ». Pour illustrer ses propos, le DG de la SNTF dir a que l’entr ée en ser vice de 17 autor ails, dont la r éception est pr évue le 1er janvier 2017, ajoutée à l’introduction de nor mes de ponctualité et de r apidité, per - Confortement de la falaise d’Aokas La fin des travaux retardée or s d’une conférence de presse convoquée à cet effet, le wali et son directeur des tr avaux publics avaient déclar é que les tr avaux de confor tement de la falaise d’Aokas seront achevés avant l’ouver ture de la saison estivale, et que le tronçon de route qui a été bloqué ser a rouver t à la circulation dès la fin du mois de mai, soit, justement, la veille de l’ouver ture officielle de la saison estivale. Or, une semaine apr ès ces délais, hor mis les filets métalliques qui ont été installés depuis belle lurette, il n’y a ni mur mer lon ni r éouver ture de ce tronçon de la route nationale n° 9, empr untée quotidiennement par des millier s de véhicules. Il est vr ai que des centaines de char ges de rocher s ont été acheminées ver s ce site depuis plusieur s mois, pour ser vir à l’enrochement de la base d’un mur mer lon qui ser a r éalisé sur une distance de 600 mètres linéaires et haut d’une dizaine de mètres. Mais, les tr avaux de ce der nier n’ont L C M été entamés que depuis quelques jour s comme s’il y avait une contr ainte qui aur ait retar dé ce chantier. Entre-temps, le car refour de Tala Khaled est devenu un vér itable goulot d’étr anglement pour aller ver s Aokas, où se for ment des chaînes de véhicules suite à la fer meture du tronçon de route sur lequel a atter r i le pan de montagne qui s’est détaché, en févr ier de l’année der nière, suite à la chute de gros rocs à par tir de la cime. Malheureusement, sept per sonnes y avaient per du la vie et une quinzaine d’autres ont été blessées. Au lendemain de cette catastrophe, le ministre a donné des instr uctions pour que la voie soit r ouver te dans les meilleur s délais. Il déclarer a, par ailleur s, que des exper ts feront le point sur l’état du site montagneux et son activité, sur les causes à l’or igine de l’éboulement, et décider des premières mesures à prendre pour le confor ter. Une année plus tar d, apr ès une opér ation de déroctage, un hélicoptère de la compagnie anglaise EasyJ et, a été dépêché à par tir de la ville fr ançaise de Lyon pour installer, en usant de câbles et en opér ant en vol stationnaire, des écr ans pare-pier res, une sor te de filets métalliques en quatre étages. Cette première opér ation ter minée, il a fallu attendre longtemps avant de voir ces fameux tr avaux de r éalisation du mur mer lon débuter. Il est utile de r appeler que cette par tie de la route nationale n° 9 avait enregistr é, il y a une douzaine d’années, un phénomène natur el similair e qui n’avait pas fait, à l’époque, de victimes. En plus de ces deux catastrophes, la route est confrontée, à chaque saison hiver nale, à des chutes épisodiques de pier res de petit calibre. La protection de la route et de ses usager s doit être une pr ior ité même si, comme l’avait déclar é le directeur des tr avaux publics lor s de ladite conférence de presse, le r isque zéro n’existe pas. A. Gana mettr a d’améliorer dans une lar ge par t les pr estations de ser vice offer tes par la société à sa clientèle. L’inter venant de la r adio nationale a fait savoir que les lignes de tr anspor ts de mar chandises seront reliées aux por ts et aux zones industr ielles. « La SNTF est actuellement reliée à au por t de Béjaïa, afin d'assurer l'expor tation de marchandises à tr aver s des conteneur s qui seront tr anspor tés par tr ain ver s la capitale, Skikda et Annaba et Or an prochainement ». Le DG de la SNTF a, par ailleur s, annoncé l' inaugur ation attendue à moindre délais de la ligne fer roviaire joignant la ville de Thenia à Tizi-Ouzou. Celui-ci a évoqué également l’entr ée en ser vice, dans le cour ant de cette année, de la ligne reliant Bir touta à Zér alda, dont il pr écise que les tr ains rouleront à 160 km/h. Il y a lieu de r appeler que le ministre des Tr anspor ts, Boudjema Talai, avait annoncé la mise en ser vice de la ligne fer roviaire Thenia-Tizi- Ouzou dur ant le mois en cour s. Pour sa par t, le wali de TiziOuzou, Br ahim Mer ad avait r assur é la population que cette voie fer r ée, reliant Thenia (wilaya de Boumer dès) à Tizi-Ouzou et son électr ification jusqu’à Oued Aïssi, ser a livr ée dur ant les mois qui viennent. Rappelons toutefois que le tronçon Thenia-Bor dj Ménaïel (wilaya de Boumer dès) a été livr é au mois d’avr il de l’année passée, alor s que le tronçon Dr aâ Ben Khedda - Tizi-Ouzou, quant à lui, « ser a mis en exploitation en juillet 2016 », avait affir mé le ministre de tutelle. De son côté, le dir ecteur local des tr anspor ts, Nait Youcef Samir, avait indiqué aupar avant que la ligne fer roviaire électr ifiée Thenia-Tizi Ouzou, dans sa par tie Bor dj Ménaïel (Boumer dès)-Oued Aïssi (TiziOuzou), ser a mise en ser vice le 5 juillet 2016. L.O. Challal Affaire El-Khabar Le verdict sera prononcé mercredi prochain e ver dict de l'affaire du r achat des actions du groupe média par Ness-Prod, une filiale du groupe Cevital, ser a prononcé, mercredi prochain, a annoncé le juge Mohamed Dahmane, pr ésident du tr ibunal administr atif de Bir Mour ad Rais. Apr ès avoir entendu les plaidoir ies des deux par ties, El Khabar et le ministère de la Communication, le juge a annoncé que l'affaire a été mise en délibér é et le ver dict ser a rendu mercredi. Le juge Mohamed Dahmane, pr ésident du tr ibunal de Bir Mour ad Rais, a décidé de donner la parole aux avocats des deux par ties El-Khabar et Ness-prod dans l'apr ès-midi d’hier pour leur s plaidoir ies, avant d'annoncer par la suite la date du jugement. L'affaire du r achat des actions du groupe média par Ness-Prod, une filiale du groupe Cevital, avait été repor tée à quatre repr ises. Le ministère de la Communication avait introduit une action en r éfér é aupr ès du tr ibunal de Bir Mour ad Raïs sur la confor mité du r achat du groupe de presse El-Khabar par le groupe agroalimentaire. L Nat i o n al e 4 Jeudi 9 juin 2016 Thenia Il faisait du chantage à son ex-épouse via internet Éducation nationale Examen du bac 2016 partiellement refait Un cybercriminel arrêté par la police judiciaire S Less candidatss replongentt danss l'angoissee dess révisionss uite à des investigations minutieuses, la police judiciaire locale a pu, au début de la semaine passée, arrêter un cybercriminel au centre urbain de Thenia, à 8 kms à l'Est de Boumerdès. Selon un communiqué de la sûreté de wilaya transmis, hier, aux correspondants locaux de presse, il s'agit d'un repris de justice de 34 ans, répondant aux initiales K.H.A. et originaire de la commune précitée. En effet, les éléments d'une brigade spéciale de la police judiciaire avaient enclenché leur enquête, il y a quelques semaines sur la base d’une plainte d'une femme de 33 ans, Z. D. J. contre le mis en cause, qui n'était autre que son e-époux. La victime a formellement accusé celui-ci d'avoir usurpé son identité afin d'ouvrir en son nom un compte facebook et diffuser ses photos personnelles. Selon le contenu de la même plainte, son ex-époux, voulant se venger d'elle, notamment après son remariage, ne cessait pas de la menacer de représailles et lui faisait du chantage par le biais de la toile. Exploitant les indications de la victime, les policiers ont très vite interpellé le mis en cause, qui a nié en bloc les accusations qui lui sont reprochés. Mais, celles-ci ont été confirmées grâce à l’utilisation des techniques modernes de la lutte contre la cybercriminalité. Le prévenu ayant dûment signé au préalable un procès verbal au niveau du commissariat de la circonscription, sera déféré incessamment devant le parquet pour les chefs d'inculpation d'usurpation d'identité, de menace et de chantage exercée sur Autrui. Salim Haddou Accidents de la circulation routière 17 morts et plus de 100 blessés depuis le début du Ramadhan elon le bilan de la gendarmerie nationale, 17 personnes ont trouvé la mort et plus de 100 autres ont été blessées suite aux différents accidents de la circulation routière survenus durant les deux premiers jours du mois de Ramadhan. « Durant la journée du 07 juin 2016, 26 accidents de la circulation routière, dont cinq mortels et 21 corporels, ont été constatés par les unités de la gendarmerie nationale à travers 15 wilayas du pays », liton dans le communiqué rendu public, hier, par la cellule de communication de la gendarmerie nationale. « Ces drames ont engendré le décès de sept personnes, des blessures à 64 autres et des dégâts matériels importants à 38 moyens de locomotion impliqués », a encore ajouté le même document. L'accident le plus grave a été enregistré à 18 heures 25 minutes sur la route reliant Ghardaïa à Adrar. « Cet accident a occasionné des blessures diverses à 10 passagers dudit moyen de transport qui ont été évacués sur l’établissement sanitaire de Timimoune à Adrar, où ils ont été gardés en observation médicale, tandis qu'un parmi eux a été transféré sur l’hôpital d’El-Menia (Ghardaïa) », a précisé la même source. Durant le premier jour de ce mois sacré, les mêmes services ont enregistré 17 accidents de la circulation routière, dont huit mortels et neuf corporels, à travers 14 wilayas du pays. En effet, 10 personnes, dont trois ressortissants nigériens, ont trouvé la mort et 81 autres, dont 37 ressortissants nigériens, ont été blessées. « Ces accidents ont occasionné des dégâts matériels importants à 31 moyens de locomotion impliqués », a indiqué le bilan de la gendarmerie nationale. Samir a Saïdj S 38% environ de l’effectif initial des candidats au Bac-2016 sont concernés, entre le 19 et le 23 juin, par le réexamen dans certaines disciplines, dont les sujets ont fuité. l s'agit des filières des sciences de la nature et de la vie, mathématiques, physique, anglais, fr ançais, histoire-géogr aphie et philosophie pour les scientifiques, alor s que les quatre der nières disciplines sont par tagées avec ceux des sér ies de mathématiques et de gestion. Tous ces candidats s’appr êtent, de toute évidence, à retirer leur convocation, comme pr évu, à par tir du 13 du mois cour ant. Mais détromponsnous, leur s avis sont mitigés concer nant l'avantage qu'ils peuvent en tirer d'un tel r éexamen. ''Est-il logique, tout d'abor d, de qualifier celui-ci de nouvelle chance ou de deuxième session, alor s que les épreuves pr écédentes ayant constitué l'essentiel de notre Bac-2016 ont été annulés'', s’inter rogent avec malice des scientifiques du lycée des fr èr es Dr aoui du centr e-ville de Boumer dès. Comme bien d'autres, ils disent clairement qu'il s’agit plutôt, en pareil cas, d'une for me de punition collective alor s que beaucoup de candidats, selon eux, n'avaient point profité de la dite fr aude massive. Sans tar der, cependant, ils planchent de nouveau pour décrocher ce sésame indispensable pour la pour suite des études supér ieures. Omar, candidat au bac âgé de 19 ans, reconnait néanmoins qu'il revit déjà cette angois- I se pr écédent tout examen et à laquelle presque per sonne, quel que soit sa compétence, « ne pour r ait échapper », dir a-t-il. « Une angoisse qui s'accentue encore en ces jour s de car ême, où l'on trouve des difficultés de choix des moments de r évision », ajouter a sa camar ade Fatima. Pensant différemment, cer tains candidats au Bac des sér ies mathématiques des établissements de Thenia noteront, d'un air amusant, qu'ils disposent d'une prolongation leur per mettant d' optimiser leur chance d'obtenir le Bac avec une mention. Et pour un tel objectif, for ts appar emment de l'expér ience d'il y a peu, ils ne négligeront aucune matièr e puisque toute note est comptabilisée quel que soit son coefficient. « En cour s d'année, j’avais inscr it ma fille, candidate au Bac gestion, aux cour s de soutien de langues ar abe et anglais et maintenant je dois lui trouver un pr écepteur de philosophie », nous fer a savoir une dame du même centre ur bain, enseignante elle-même dans un collège. L'on nous signale, à contr ar io, d'autres candidats, pas du tout satisfaits, apr ès l'annonce officielle d'une autre session de l'examen. Cela ne peut les ar r anger, dit-on, car chaque fois qu'un sujet du Bac fuitait, ils r épétaient avec exultation ''voici encore un home-wor k''. Les retar dataires lor s des pr écédentes épreuves, désor mais acceptés pour ce r éexamen, à l’exemple de Nabil, élève de gestion au lycée de d' El Ker ma, affichent bien sûr leur contentement et peaufinent encore, eux sur tout, leur s r évisions en relevant en gros qu'ils ont été r établis dans leur droit. Les littér aires, eux, non concer nés par ce r éexamen, semblent vivre maintenant l’angoisse de l'attente des r ésultats du Bac 2016, qui ser a marqué d' une pier re noire comme celui de 1992. Salim Haddou Béjaïa Les habitants interpellent le wali Un chantier qui n’en finit pas à la cité 232 logements C ’est un calvaire quotidien que vivent les habitants de la cité 232 logements, types pr omotionnels, r éalisés au chef-lieu de wilaya, à cause de l’inachèvement des tr avaux de cette cité, lesquels ont été pour tant lancés en 2001. Dans une déclar ation r endue publique, les bénéficiair es desdits logements, str uctur és en association, pointent du doigt l’entrepr ise r éalisatr ice du projet, qu’ils accusent de ne pas avoir effectué les tr avaux de viabilisation des r éseaux diver s, tels que l’assainissement et la voir ie. Pire encore, quelques immeubles, déplor ent ces habitants en colèr e, ont été r éceptionnés sans r accor dement ni à l’électr icité ni au gaz. En outre, ils soulignent que cinq autr es blocs sont toujour s en cour s de r éalisation. Ils disent être exaspér és de vivre dans un « éter nel chantier ». « Les tr avaux n’en finissent pas. Il est dépour vu des conditions minimales pour une vie décente, telles que l’accessibilité, un r éseau d’assainissement, l’éclair age public et l’aménagement de la cour qui s’inonde à la moindre goûte de pluie », dénonce l’association de la cité 232 logements. Devant cette situation déplor able et la défaillance de l’entr epr ise char gée de r éaliser ce projet, ces habitants ont été contr aints d’investir leur propre ar gent pour améliorer leur cadre de vie. En effet, c’est eux qui ont payé le br anchement à l’électr icité, et cer tains ont même dû acheter des matér iaux de constr uction pour finaliser quelques tr avaux de maçonner ie. Soulignons que le projet de r éalisation de cette cité a été confié à l’ex-EPBTP (Entrepr ise publique de bâtiment et des tr avaux publics), r attachée, à l’époque, au groupe Gétic Sétif. Le PDG de cette entrepr ise avait avancé l’ar gument de la faillite financièr e pour justifier « sa débâcle ». Un ar gument rejeté par l’association des 232 loge- ments, qui souligne que cette entr epr ise avait bénéficié d’une aide financière de l’Etat qui a aussi procédé au recouvrement de la totalité de ses dettes. Ces habitants disent avoir inter pellé, der nièr ement, le wali de Béjaïa, sur leur situation déplor able et attendent avec impatience son inter vention pour mettre fin à leur calvaire. « Il nous a promis de dépêcher sur les lieux une commission pour constater les conditions dans lesquelles nous vivons. Nous attendons toujour s cette commission », affir ment-ils. Boualem S. 5 Nat i o n al e Jeudi 9 juin 2016 Bouira Plus de 441 millions de DA de créances impayées pour l’ADE La Colombie se qualifie, Les ménages, ces mauvais payeurs les États-Unis cartonnent Les créances de la société de l’Algérienne des eaux (ADE) de la wilaya de Bouira sont estimées à plus de 441 millions de dinars, où la catégorie des ménages détient plus de 280 millions, nous a assuré, hier, M. Fellahi Rachid, chef du département commercial de l’ADE de Bouira. e der nier pr écise qu’une telle factur e per tur be le pr ogr amme d’investissement, hypothéquant ainsi les objectifs de l’entrepr ise. En effet et malgr é toutes les facilités accor dées aux abonnés pour per mettr e le r ecouvr ement des cr éances détenues par ces der nier s, l’Algér iennes des eaux (ADE) n’ar r ive, toujour s, pas à atteindre ses objectifs. D’ailleur s, même les cr éances des administr ations publiques s’élèvent à 99 millions de dinar s et celles des communes sont estimées à plus de 06 millions de DA. Les cr éances de la vente en gros s’élèvent à pr ès de 05 millions de DA et le total des cr éances relevant du chapitre des prestations et tr avaux est estimé à plus 45 millions. Toujour s d’apr ès le même responsable, ces cr éances se trouvent, pour la plupar t, au C niveau des communes nouvellement r accor dées par l’ADE : « dur ant de l’année 2016, l’ADE de Bouir a a repr is la gestion d’au moins 06 communes à l’échelle de la wilaya. Au niveau des ces communes, nous avons procédé à l’installation au pr éalable des équipements et des compteur s avant le payement, et ce, afin d’accélérer le r accor dement. Les citoyens devr ont, donc, s’acquitter des fr ais d’installation dès que possible ». Selon M. Fellahi, les dettes des APC et des établissements publics au niveau de la wilaya ont sensiblement baissé, et ce, suite à l’inter vention du wali de Bouir a. « Aujour d’hui, on peut dire qu’on a r églé presque la totalité des dettes qu’accumulaient les APC à l’échelle de la wilaya, il nous reste qu’un maigre pourcentage. Cela a été fait gr âce, notamment à l’inter vention des ser vices de la wilaya, qui chapeautent des r éunions pér iodiques pour suivre la situation de nos cr éances enver s les APC et les administr ations publiques », a-t-il pr écisé. À ce titre, le même responsable a lancé un appel à l’endroit des clients qui continuent d’ignorer leur s obligations, celles de r égular iser la consommation de l’eau potable, « nous invitons nos clients pour qu’ils se r approchent des différentes agences commerciales où ils trouveront toutes les facilités pour r égular iser leur s factures en leur accor dant un échéancier de paiement. Nos clients peuvent, également, r égler leur s factur es au niveau des bureaux de poste, sur - Aux premiers jours du mois de Ramadhan La demande en fruits et légumes a augmenté de 30% S elon le pr ésident de l’association nationale des commer çants et ar tisans, El Hadj Tahar Boulenouar, depuis le début du mois de Ramadhan, la demande des fr uits et légumes a augmenté de 30% . En dépit des campagnes de sensibilisation qui sont or ganisées, à la veille de chaque mois de Ramadhan, au profit des consommateur s sur les conséquences négatives de la culture de stockage des denr ées alimentaires, mais en vain. En effet, dur ant les premier s jour s de mois sacr é, les marchés des fr uits et légumes ont connu une gr ande affluence. C’est du moins ce qu’on a constaté dans plusieur s marchés de la capitale. C’est ce qui a causé, par la suite, une hausse ver tigineuse des pr ix fr uits et légumes, selon, M. Boulenouar. « Depuis le début du mois de Ramadhan, les pr ix de la major ité des fr uits et légumes ont augmenté et ce, suite à la hausse de la demande de la par t des consommateur s qui est estimée à 30% », a affir mé, hier, M. Boulenouar. Ce der nier a tenu à pr éciser que la différence entre le pr ix du détail et celui du gros est de plus de 60% . Inter rogé sur la moyenne des pr ix de ces produits au niveau des marchés du détail, M. Boulenour a dir a que la pomme de ter re est cédée à 40 Da, la tomate à 100 Da, l’oignon à 30 Da, le poivre à 110 Da, les har icots ver ts à 140 Da, la salade à 100 Da, la cour gette à 130 Da, les auber gines à 110 Da, l’abr icot à 100 Da, la pastèque à 80 Da et les bananes à 200 Da. En revanche, il a fait savoir que le pr ix de la pomme de ter re, qui est un produit de lar ge consommation, a baissé de 10 Da. L’inter locuteur a tenu à souligner qu’à par tir de la semaine prochaine, les pr ix de tous les produits alimentaires, notamment les fr uits et légumes, vont baisser « en r aison de la baisse de la demande », a-t-il r assur é. Par ailleur s, il est utile de souligner que le ministère du Commerce, en collabor ation avec les associations des consommateur s, a lancé, depuis le début du mois cour ant, plusieur s campagnes de sensibilisation sur le gaspillage des produits alimentaires, notamment le pain. Samira Saïdj tout au niveau des r égions de la wilaya où nous n’avons pas d’agences commer ciales ». Concer nant les br anchements illicites, le même r esponsable a assur é que pas moins de 75 cas ont été enregistr és dur ant le mois der nier dans la wilaya de Bouir a. Le volume d’eau factur é pour ces cas est estimé à plus de 11 300 m3. Au moins 30 cas ont été r églés avec un montant de redressement encaissé de plus de 548 millions de centimes. 27 autres sont en voie r ègle- ment ou en justice. Il est utile de r appeler que l’eau subventionnée par l’Etat, avec un pr ix r éel du mètre cube d’eau potable four ni par la station de dessalement de l’eau de mer, est calculée sur la base de 54 DA, alor s que le client ne débour se que 6 DA/m3. La différ ence est suppor tée par le progr amme de l’Etat via le Tr ésor public. O.K. Amalou Elle lui coûte 24 millions de DA de dettes envers la SDE L’APC ne veut plus gérer le réseau AEP L a commune d’Amalou est redevable de 24 millions de dinar s à la SDE, nous confie le P/APC, M. Azzoug. Ce montant repr ésente la valeur nominale des factures d’éner gie électr ique impayées par la collectivité locale. « Ces dettes sont essentiellement dues à la chaîne de refoulement de la station de tr ansfer t de l’eau du bar r age Tichy Haf », explique le premier responsable de l’APC. « Outre son r éseau AEP, Amalou gère aussi celui desser vant Bouhamza. Une commune déficitaire qui contr ibue à la gestion d’une autre commune déficitaire, c’est une chose inédite », dir a, inter loqué, le maire. À entendre le P/APC, la situation confine à la quadr ature du cercle. Au boulet de la dette, la commune suppor te les char ges inhérentes à l’entretien du r éseau et le far deau des salaires de ses employés. « Nous avons expr imé nos doléances au wali, lui demandant d’inter venir aupr ès du ministère de l’Intér ieur et des collectivités locales pour nous octroyer une subvention spéciale, à l’effet de prendre en char ge cette ar doise », déclare M. Azzoug, en pr éconisant dans la foulée « le tr ansfer t dans l’immédiat de la gestion du r éseau AEP pour le compte de l’ADE ». Il est à signaler que depuis la mise en ser vice par tielle, il y a une année, de la nouvelle chaîne AEP à par tir du bar r age Tichy Haf, la desser te en eau potable dans la commune d’Amalou a enregistr é une amélior ation tangible. D’apr ès le P/APC, l’eau est distr ibuée à r aison d’un jour sur deux. Cependant, cer tains quar tier s, mieux lotis, « reçoivent le liquide quotidiennement », souligne le premier responsable de l’APC. Le premier magistr at de la commune nous infor me, par ailleur s, que le projet d’alimentation du village Gr ibou à par tir de la chaîne de Tichy Haf est en phase de tr avaux. « L’adduction ser a r éalisée sur un linéaire de 6 km. Il est aussi question de la r éhabilitation des conduites dégr adées par le chantier de la pénétr ante autoroutière et dont les tr avaux sont également en cour s », dir a le maire. N. Maouche Rep o r t ag e 6 Jeudi 9 juin 2016 Jeûne, couacs administratifs, emplettes, sorties nocturnes… Tizi-Ouzouu auu rythmee du Ramadhan Jusque-là, autrement dit après trois jours de carême, une légère hausse des prix des fruits et légumes a été observée au niveau des marchés. gades, qui vont sillonner le ter r itoire de la wilaya, « afin de veiller au respect des bonnes pr atiques commerciales et des nor mes d’hygiène », a souligné le directeur du commerce. De toutes les façons, si le Ramadhan r ime avec boustifailles dès l’appel du muezzin à la r upture du jeûne jusqu’au s’hor, ce der nier n’a en r ien dérogé à la r ègle. Des consommateur s, de plus en plus nombreux, se restaurent, apr ès avoir rompu le jeûne chez eux, dans les fast-foods. C’est pourquoi on leur a cr éé une «Salle familiale» dans le square du 1e novembre, rebaptisé pour l’occasion, où ils pour ront trouver de quoi se sustenter en brochettes, en limonades et autres victuailles. Ce square, place qui faisait jadis la fier té de Tizi-Ouzou, est aujour d’hui, par fatalité, par négligence ou par je-m’en-foutisme, apr ès être devenu un repaire de voyous, tr ansfor mé, contre toute attente, en un espace commercial pour le mois de Ramadhan. Mais qui gar anti qu’apr ès le mois sacr é, ces gér ants rendront les clés à qui de droit ? Qu’à cela ne tienne, TiziOuzou en a vu d’autres. Après les tracas de la journée, animation culturelle et artistique la nuit a mercur iale a été un tant soit peu génér euse mais qu’à cela ne tienne, les habitudes n’ont pas changé. La même boulimie, on a les yeux plus gr ands que le ventre. Dès le début de la jour née, c’est la r uée sur les boucher s, pâtissier s, boulanger s et autres épicier s et marchands de fr uits et légumes. L’affluence des acheteur s demeure plutôt celle des jour s or dinaires, lor sque la plupar t des familles ont fait leur s achats à l’avance pr évoyant cette L flambée des pr ix. « La r uée sur les produits de lar ge consommation a été à l’or igine de la légère hausse enregistr ée et qui est causée par un déséquilibre entre l’offre et la demande, suite au stockage de marchandises par des consommateur s qui ont acheté, à l’avance, de gr andes quantités de produits », a indiqué le directeur local du commer ce, M. Doghmane Akacha. " Un retour à la nor male des pr ix est attendu dans deux jour s avec la stabilisation de l’offre et de la demande, d’autant plus que les produits agr icoles sont disponibles étant en pleine saison de production" , a ajouté ce même responsable qui a également r assur é le citoyen quant à la disponibilité des produits de lar ge consommation. Ramadhan a toujours rimé avec couffin et boustifailles ! Par ailleur s et dans l’optique de mettre à la disposition du consommateur des produits à des pr ix abor dables, un mar ché spécial Ramadhan ser a ouver t, aujour d’hui, au niveau du site de l’ancienne gar e r outièr e de TiziOuzou. " Ce mar ché jouer a un r ôle de r égulateur des pr ix au niveau de la wilaya dur ant ce mois sacr é" , a souligné M. Doghmane. Sur un autre volet, la direction du commerce a renforcé son dispositif de contr ôle, en mobilisant plus de 200 agents r épar tis sur 103 br i- Rupture du jeûne Dans un resto Iftar à Bechloul ar di, 19h55, la RN05 est déser te. A l’entr ée de la ville de Bechloul, de nombreux véhicules sont gar és à proximité de la mosquée. L’heure de la r upture du jeûne est proche et les automobilistes tiennent à effectuer la pr ière du maghreb pour r ait-on penser. Oui cer tes, mais le resto Iftar situé à quelques mètres de cette mosquée est également pr is d’assaut par les jeûneur s. Des jeûneur s de la r égion pour cer tains, mais également des maçons et des manœuvres tr availlant sur les chantier s de la localité dont le domicile est trop éloigné pour rompre le jeûne en famille. Plusieur s 404 bâchées immatr iculées dans la wilaya de Bor dj Bou Ar rer idj sont stationnées à proximité de cet établissement pr ivé proposant des repas chauds. Les propr iétaires de ces véhicules utilitaires sillonnent la r égion en achetant des objets en fer, en plastique et autres matières aux fins de les recycler. L’heure de l’adhan étant proche, ils choisis- M sent une table ensemble en saluant les per sonnes pr ésentes. 20h02, l’appel à la pr ière met fin à une longue jour née de pr ivation. Quatre bénévoles commencent le ser vice à l’intér ieur de ce gr and local improvisé en restaur ant Iftar. Le propr iétaire des lieux est également mobilisé pour ser vir les mar mites de chor ba sur toutes les tables. D’autres automobilistes retar dataires ar r ivent, il faut dire qu’un panneau indiquant la pr ésence de ce restaur ant est installé bien en évidence sur la RN05. Un groupe de jeunes de Sétif entrent dans le restaur ant en saluant l’assemblée, ils disent avoir bien fait d’avoir choisi de quitter l’autoroute pour empr unter la RN05, et pour cause, sur l’autoroute Est-Ouest, aucun endroit pour rompre le jeûne. Les fidèles sor tent de la mosquée et quelques-uns viennent prendre un bon bol de soupe. Les bénévoles sont au petit soin pour la soixantaine de convives attablés. Cor beilles de pain, bou- teilles d’eau minér ale et de limonade sont proposées au fur et à mesure du repas. Un menu assez copieux composé de soupe avec viande, plat de r ésistance et de zlabias. L'ambiance est conviviale et aide à oublier le poids d'une jour née har assante. Selon le patron de cet établissement, il est impér atif de satisfaire toutes les per sonnes qui se pr ésenteront au cour s du mois de Ramadan dans son restaur ant et déclare être décidé à boucler le mois de la bienfaisance et de la solidar ité avec le même r ythme et le même entr ain. Signalons que pas moins d’une vingtaine de restaur ants Iftar ont ouver t en ce début de Ramadhan à tr aver s la wilaya de Bouir a, selon les ser vices de la DAS qui affir ment que l’ensemble de ces établissements de bienfaisance four nissent un quota de 4 000 repas/jour au profit des per sonnes défavor isées. Bachouche Idir Les espaces r éser vés à cet effet sont multiples : il y a la cinémathèque pour les films, la Maison de la culture pour les chanteur s et le Théâtre r égional Kateb Yacine pour le 4e ar t. Pour les galas ar tistiques, ils commencent aujour d’hui, alor s que le théâtre a commencé hier par un hommage à Houche Abder ahmane et la pr ésentation de la pièce qu’il a monté, intitulée «Yennayi Djeddi» (mon gr and pèr e m’a dit). D’autr es espaces de loisir s, de détente et non moins de culture, telle la place de l’olivier, pr évoient aussi des galas musicaux, des sketchs et des soir ées de diver tissement. Sur le plan de la qualité des spectacles, nous n’avons r ien à dire. Mais pour le compor tement social, il y a un changement r adical dans la conduite des gens. Ir r itabilité, ner vosité, agressivité... À tous les niveaux, où vous abor dez les hommes et les femmes, attendezvous à être r abroués comme un malpr opr e. L’administr ation revenez apr ès le Ramadhan, non seulement vous ne r isquez de trouver la per sonne que vous cher chez, mais vous r isquez gros en insistant. Apr ès la r uptur e du jeûne, c’est un changement du tout au tout. On est plus affable, plus ser ein, plus calme. Ne devr ait-on pas tr availler le soir plutôt que le jour ? À la bonne heure… S.A.H Horaires Tizi-Ouzou 20:05 Bouira 20:02 Béjaïa 20:01 de l’iftar et de l’imsak 03:24 03:24 03:30 J eudi 9 juin 2016 Tirmitine Demande d’aides au logement Lee mairee avouee l’incapacité dee l’APCC d’yy fairee face Le manque d’assiettes foncières représente un grand handicap pour la politique du logement dans la commune de Tirmitine. l’instar de bien d’autr es r égions de la wilaya de Tiziouzou, ce problème entr ave gr andement l’implantation de str uctures sensées r ésor ber un tant soit peu la cr ise du logement qui touche de plein fouet la commune. Ce qui ne laisse aucune autre initiative à par t le recour s au segment de l’habitat r ur al. C’est ainsi que la A demande dans ce der nier cadre est de plus en pus for te pour atteindre les 380 dossier s de demandes, pour la seule pér iode allant de mai 2015 à mai 2016. « Ces demandes r épar ties sur 4 listes ont été validées et contr ôlées par la commission de daïr a et passées par le fichier national , en attendant leur pr ise en char ge par la wilaya. », nous explique M ;Senaoui, le P-APC de la localité, qui ,au passage, ne cache Tizi-Gheniff Ihatalène fête l’achèvement de sa piste agricole e comité de village d’Ihatalène, situé dans la zone montagneuse au Nor d du chef-lieu de commune de Tizi-Gheniff, a tenu, à la veille du mois de Ramadhan, à fêter l’achèvement des tr avaux d’ouver tur e de sa piste agr icole. À cet effet, une sympathique r éception a été or ganisée au village, en pr ésence des membres de l’exécutif communal, à leur tête le P/APC, M. Saïd Mansour, des r esponsables des ser vices des for êts et des responsables et ouvr ier s de l’entrepr ise r éalisatr ice dudit pr ojet. Ainsi, dans sa pr ise de parole, le pr ésident dudit comité, M. Rabah un jour La Kabylie L Lakehal en l’occur rence, a souhaité la bienvenue à tous les pr ésents, comme il a remercié tous les responsables, qui ont contr ibué d’une manière concr ète et efficace à l’achèvement de cette piste d’une longueur de 5,2 kilomètres, r éalisée dans le cadre du projet de proximité de développement r ur al intégr é (PPDRI). Quant à M. Saïd Mansour, ce der nier a tenu à rendre un vibr ant hommage au comité de village d’Ihatalène, qui a donné l’exemple de cohésion et de solidar ité entre ses membres. Et de lui emboiter le pas le responsable des ser vices des for êts, « tous les villageois d’Ihatalène mér itent la palme d’or pour leur civisme et leur sens de responsabilisé. Ils nous ont aidés dur ant toute cette pér iode et ils n’ont à aucun moment tenté de nous r alentir ». Il est à souligner que, selon le pr ésident dudit comité, les tr avaux d’ouver ture de cette piste agr icole ont été lancés au début du mois de mai 2015 et aucune opposition n’a été for mée, mais ce retar d, si on peut l’appeler ainsi, r ésulte des fr équents déplacements de l’engin de ter r assement ver s d’autres endroits, ainsi que du mauvais temps et, bien évidemment, des pannes mécaniques. Essaid Mouas pas l’incapacité de l’APC de venir , même de manière relative, en aide à toutes les familles en quête d’un logement au niveau de sa localité. Aux 380 demandeur s recensés dans le cadre de l’habitat r ur al , se sont r ajoutés 22 autres cas qui ont per du leur s habitations , suite aux expropr iations effectuées pour les besoins de la r éalisation du bar r age Souk N’tletta. « Ceux-ci seront nor malement pr ior itairement pr is en char ge. Nous avons eu la promesse », r assure au moins sur ce point M.Senaoui. Dans les autr es for mules , notre source nous apprendr a que les seules acquisitions à l’actif de toute la r égion se r ésument à deux quotas, l’un de 20 unités dans le cadre social et l’autre de 50 autres dans la r ésor ption de l’habitat pr éciare( RHP), implantés pour le pr emier à Azemour Oumer iem et à Idhazen pour le second. Mais là encore, la demande, faite sur la base d’un recensement, est tellement for te que cette offre ne pour r ait venir à bout. Pour parer à cet état de fait, notre inter locuteur souhaite que les demandeur s de sa commune, puissent bénéficier d’un quota dans les projets de logements inscr its à l’indicatif de la wilaya. « Au moins pour r épondre aux cas les plus pressants et les plus démunis, on peut nous accor der un quota par exemple dans le site Oued Falli qui n’est pas tr ès loin de la commune et où sont pr évus 1200 logements. », ar gumente le P-APC en question. Pour r appel, r ien que dans le cadre de l’habitat r ur al, l’APC a pu r épondr e favor ablement depuis 2005 à 1823 demandes, sans que cela viennent définitivement à mettre fin au problème du logement dans la commune. Said A. Solidarité Ramadhan 1 200 couffins distribués par l’APC ous avons appr is aupr ès des élus de l’APC de Tir mitine que 1200 couffins alimentaires seront distr ibués aux nécessiteux de la commune, recensés par le ser vice social. Le financement de cette opér ation a été rendu possible gr âce à l’aide octroyée par la direction de l’action sociale (DAS) de l’or dre de 54 millions de centimes, et le puisement dans les caisses de la commune. Le lancement de la procédure ayant lieu avant le début du Ramadhan et le choix du four nisseur étant déjà fait, l’opér ation est pr évue pour ce tout début de ce mois sacr é. Par ailleur s, il est à signaler que ces aides tombent à pic pour ces familles dans le besoin, étant donné que la mercur iale, notamment pour les fr uits et légumes, a connu une hausse sensible à quelques jour s du moi de jeûne. Les pr ix affichés sur les étals, lesquels ont doublé voire même tr iplé en l’espace de peu de temps, sont inabor dables pour la major ité des ménages. Pour l’exemple, la tomate est cédée à 120 DA le kilo, soit à plus du double de son pr ix d’il y a une semaine, les har icots ver ts à 150 DA,la cour gette à 110 DA, la carotte à 80 DA, la pastèque entre 75 ou 80 DA et la pomme de moyenne qualité à…400 DA. Said A N Amalou Draâ El-Mizan Tronçon Saharidj - M’Chedallah Le maire annonce un taux de 52% de raccordement au gaz Les 24 logements LSP sans électricité depuis huit ans Le tableau d’une horreur écologique Page 08 Page 09 Page 10 8 BÉJAIA 06 Jeudi 9 juin 2016 BÉJAIA Tamokra Confrontés au problème du transport Less villageoiss contraintss à laa débrouille Tamokra, une petite circonscription rurale nichée dans un massif montagneux, sur la rive droite de la Soummam, est aux prises avec d’inextricables problèmes de transport. es villageois nous disent éprouver toutes les peines du monde à se déplacer pour vaquer à leur s occupations quotidiennes. Tous les villages, nous confie-t-on, sont peu ou proue, touchés par ce problème qui semble s’inscr ir e dans la dur ée. « En dehor s du chef-lieu communal, lequel est r égulièrement desser vi par les four gons de tr anspor t, toutes les autres localités font face à ce sér ieux problème qui les pénalise lour dement », relève un citoyen de Bicher, l’un des villages les plus densément peuplés de la commune. « Nous sommes pr ivilégiés, car nous disposons d’une unité de soins et d’un bureau de poste. D’autres villages ont moins de chance et leur s habitants sont obligés de se déplacer sur de longues distances pour retirer un cour r ier ou bénéfi- L cier d’un soin infir mier », ajoutet-il. Cer tains villages, par mi les plus excentr és de Tamokr a, à l’image de Bouker dous, Tizi Aidel ou encore Boutouab, subissent de plein fouet les affres de l’enclavement. « En dépit des effor ts tangibles des pouvoir s publics, notamment en matière de r éhabilitation des chemins vicinaux, aucun tr anspor teur n’a manifesté le moindre intér êt pour assurer Amalou Travaux de raccordement au gaz Le maire annonce un taux de 52% es travaux de raccordement de la commune d’Amalou au réseau du gaz naturel vont bon train. Le premier coup de pioche de ce projet d’envergure a été donné en mars 2015, rappelle-t-on. « Jusqu’au jour d’aujourd’hui, le projet affiche un taux d’avancement de 52% », nous fait savoir M. Azzoug, le maire d’Amalou, informant que les postes de détente et de piquage ont été déjà réalisés. Il en est de même, assure l’édile, de la conduite transport, dont les travaux ont été également achevés. Longue de 11 km, cette conduite, qui va desservir aussi la commune limitrophe de Bouhamza, a été soumise eux essais d’usage, apprend-on. Pas moins de 7 entreprises sont engagées sur le terrain pour exécuter les travaux. À l’issue de ce projet structurant, lequel verra la pose de 142 km linéaires de réseau de distribution, le gaz sera acheminé vers tous les villages et localités de la commune d’Amalou. Un total de 2500 foyers sera ainsi raccordé au réseau, et goutera pour la première fois, aux bienfaits de ce combustible moderne. Sur la foi d’une déclaration du wali, le P/APC souligne que d’ici au mois d’août prochain, le gaz sera mis en service au profit de 1 250 foyers, soit 50% des foyers concernés. Par ailleurs, le maire souligne que tous les dégâts occasionnés par le projet ont été indemnisés. « Il ne reste plus que 12 personnes, dont la procédure d’indemnisation a atteint 90%. Quant aux projets des postes de détente et de piquage, le wali a pris en charge l’indemnisation des concernés et ce, après leur expropriation », affirme le premier responsable de l’APC. S’agissant, enfin, de la remise en état des voies délabrées par les travaux du gaz : « la réhabilitation et la remise en état se feront au cours des prochains exercices », assure le P/APC, en exhortant la population à faire preuve de patience. La patience ? Certains villageois semblent en avoir à revendre, à l’image de cet habitant du village Tighermine, qui déclare, « durant plusieurs décennies, nous avons cohabité avec le dénuement. Maintenant que le gaz est une réalité, on devrait se préparer à faire la fête, car le jour de sa mise en service sera une date historique ». N. Maouche L ces lignes, à vr ai dire, tr ès peu rentables », fait remarquer Ahcène, un retr aité du village Tizi Aidel, mais installé depuis des décennies à Akbou. « Dans ces contr ées déshér itées, c’est le royaume de la débrouille. Posséder une monture à quatre pattes est indispensable pour les tr avaux champêtres et le tr anspor t des char ges. Pour le reste… », dir a le vague à l’âme, un vieillar d du village Boutouab, qui compte par mi la poignée campagnar ds à continuer de s’accrocher, vaille que vaille, à leur patelin. Pour les autres, témoigne-t-on, les sir ènes de l’exode sont si for tes qu’ils ont tous fini par y succomber un jour. Abandonner son clocher pour des cieux pas forcement plus clément. Telle est la doulour euse équation à laquelle sont confrontés les villageois. N Maouche. Akbou Le boulevard de l'ancienne ville dans le noir a ville d'Akbou, sise à 60 kms de Béjaïa, connait des manques et déficits flagr ants, sur tout sur le volet aménagement ur bain. Ceci, malgr é la cagnotte far amineuse de plus de 600 milliar ds de centimes qui « somnole », depuis des années, dans les caisses de la municipalité, sans ser vir les collectivités. En effet, aussi incongr u que cela puisse par aître, le boulevar d pr incipal de l'ancienne ville est dépour vu... d'éclair age public! Pire encore, il fait presque noir aux alentour s du siège de l'APC et de la place publique colonel Amirouche laquelle fait face à cette institution sujette à des troubles, ces der nier s jour s, avec cette valse de fer metures, actions menées par les citoyens en fur ie de cette commune. Les lampadaires au niveau de ce boulevar d ne fonctionnent pas dur ant la nuit, plongeant en conséquent cette par tie de l'an- L cienne ville dans le noir. Seuls les lumières des magasins et celle des voitures qui passent " illuminent" un tant soit peu les lieux! Les soir ées Ramadhanesques, qui commencent déjà, n'ont aucun attr ait et char me dans ce boulevar d en proie à l'obscur ité. C'est à peine si les passants distinguaient les alentour s. « C'est vr aiment atter r ant ! Une commune aussi r iche comme la nôtre ne possède même pas d'éclair age public, entre autres ! Comment peut-on passer des soir ées de Ramadhan avec toute cette obscur ité ? N'en par lons pas du volet sécur itaire. Les vols et les agressions peuvent être per pétr és en toute impunité. J e suis vr aiment à cour t de mots! », tempête un habitant de l'ancienne ville d'Akbou. Comme l'a si bien dit notre inter locuteur, la ville d'Akbou ne mér ite cer tainement pas ce tr iste sor t. Syphax Y. Seddouk Solidarité Ramadhan L’APC débloque 600 000 DA a commission des œuvr es sociales de l’assemblée populaire communale de Seddouk que pr éside Madame Chelgou Taous, s’est r éunie pour discuter du tr avail pr épar atoire devant déboucher sur l’établissement de la liste des nécessiteux ainsi que le nombre de couffins à distr ibuer. « Chaque année, à l’approche du mois sacr é de Ramadhan, la commission sociale se r éunit pour regrouper les listes des familles nécessiteuses par venant des villages afin de dresser une liste globale reprenant toutes les familles L démunies de la commune. Pour cela, nous avons ar r êté, suivant des cr itères définis par la commission, une liste de 200 per sonnes. Toujour s est-il, cette liste est loin d’être exhaustive du fait que nous r ecevons encor e des demandes que nous étudions au fur et à mesure », a déclar é ladite pr ésidente, qui nous a reçus dans son bureau et qui, en continuant dans le même or dre d’idées, nous infor mer a sur le nombre de couffins dégagés et les provenances des dons. « L’APC a dégagé un montant de 600.000,00 dinar s. Nous avons lancé un avis d’appel d’offres pour sélectionner un commer çant, qui nous offr ir a de meilleur s avantages. Chose faite du fait que nous avons pu dégager 222 couffins auxquels s’ajoutent 90 autres offer ts par un par ticulier et 30 provenant de la direction des affair es sociales de Béjaïa. Nous avons donc en tout 342 couffins. Nous venons d’entamer l’opér ation de distr ibution », a ajouté Madame la pr ésidente de la commission sociale de l’APC. L Beddar. Jeudi 9 juin 2016 TIZI OUZOU 15 9 TIZI OUZOU Aïn Zaouïa L’APC les prévoit pour la prochaine Fête de l’indépendance Septt baptisationss auu programme Dans cette commune, cela fait maintenant des années qu’il n'y a, pratiquement, pas eu de baptisations d’édifices publics. ette fois-ci, l'APC, en collabor ation avec les Moudjahidine, a décidé de placer des noms sur pas moins de sept établissements étatiques. « Lor s de notr e der nièr e r éunion tenue à la daïr a, nous avons proposé la bibliothèque communale, la cr èche communale, l'école pr imaire Aïn Zaouia-village, tr ois foyer s pour jeunes et les locaux commer ciaux. Il faudr a attendre les décisions pour passer à leur baptisation », nous confier a le mair e, M. Mer zouk Haddadi. Celui-ci nous dir a que ces édifices prendront les C noms des mar tyr s de la commune. « C'est une occasion non seulement pour per pétuer l' histoir e de ces hommes, mais aussi, de placer ces noms sur ces établissements afin que les citoyens les localisent avec facilité », nous expliquer a-t-il. Cer tainement, cela inter viendr a le cinq juillet prochain à l'occasion de la célébr ation du 54° anniver saire de la fête de l'indépendance. Dans cet or dre d'idées, signalons, aussi, que la stèle qui ser a ér igée en hommage à tous les mar tyr s de la municipalité, déjà en cour s, pour r ait être, elle aussi, r éceptionnée au plus tar d le premier novembre prochain. « C'est un projet qui a quelque peu Draâ El-Mizan Les 24 logements LSP sans électricité depuis huit ans ela fait maintenant huit ans que nous fr appons à toutes les por tes, en vain" , telles sont les premières paroles d'un membre du collectif des acquéreur s des 24 logements LSP, sis en face du parc communal. Pour tant, il nous a été donné de remarquer qu'une niche qui devr ait, en pr incipe, r ecevoir les équipements pour alimenter cette cité en éner gie électr ique, est bel et bien r éalisée dans ce site depuis plus de deux ans. " Lor sque nous avions vu une entr epr ise cr euser une tr anchée et acheminer un câble électr ique souter r ain ver s cette niche, nous avions vr aiment cr u que notre calvaire allait cesser une fois pour toutes" , s'élèver a une autre voix de ce groupe qui pr épar ait une autre démarche pour revendiquer cette commodité. " Notre sur pr ise fut gr ande quand l'entrepreneur nous r épondit qu'il s'agissait de la haute tension et qu'il fallait attendre encore des années parce qu'il "C nous fallait la moyenne tension" , ajouter a le deuxième inter venant. Nos inter locuteur s commenceront alor s à nous évoquer toutes les démarches qu'ils avaient entrepr ises depuis qu'ils eurent occupé ces logements. " Nous avons fait plus de quinze écr its sans compter nos déplacements ver s les responsables à tous les niveaux. Nous n'eûmes droit qu'à des promesses" , nous expliquer a le premier inter locuteur. Et à un autr e de nous r aconter cette anecdote: " une fois, l'exchef de daïr a qui nous accueillait dans son bureau me demanda de m'asseoir et à cela je lui r épondis que je l'invitai à se lever. Lor squ'il s'est levé, je lui ai montr é notre cité visible de son bureau " . Et de pour suivre: " Monsieur le chef de daïr a, les logements que vous voyez là-bas sont dépour vus d'électr icité. Pour tant, ils sont situés au centr e-ville. Voyez-vous cela nor mal? " . Ce r ésident ajouter a que l'ex- chef de daïr a resta bouche bée dur ant un long moment et il r épondr a que tout allait être fait pour que notre cité bénéficie de cette commodité. Depuis, nous entendons à chaque fois d'autres ver sions. " La der nière est lor sque nous avions eu comme r éponse que nous devr ions attendre que le poste maçonné r éalisé à proximité du CEM fr ères Harchaoui soit opér ationnel. En somme donc, peut-être des années encore" , s'ar r êter a notre inter locuteur de relater ce long épisode vécu par ces r ésidents qui, pour tant, ont actuellement leur s actes de propr iété parce que l'entrepr ise r éalisatr ice de ce projet a eu son cer tificat de confor mité. Le groupe d'habitants venu à notre rencontre inter pelle vivement le wali à instr uire les ser vices concer nés afin de r ésoudre cette situation qui n' a que tr op tar dé. " Huit ans, Bar akat!" , cr ieront-ils à l'unanimité. A. O. Les prix ne semblent pas baisser Virée au marché des fruits et légumes u troisième jour du mois de Ramdhan, la mercur iale ne semble pas baisser. En effet, dans une vir ée au mar ché des fr uits et légumes, nous avons relevé que cer tains produits ont doublé de pr ix alor s que d' autr es ont car r ément dispar u des étals. C'est le cas de la pastèque. Ce fr uit, dont le pr ix oscillait, peu avant le mois de car ême, entre 40 et 50 dinar s le kilo, a, par enchantement, dispar u. Pour cause, nous expliquer a un marchand détaillant au Sud du pays d'où ar r ivaient les incessants char gements, tout a été épuisé alor s que celle dite de l'Ouest n'était pas pr ête. « Au marché du gros, à la veille du mois, A déjà, son pr ix a gr impé jusqu'à cent dix dinar s le kilo, voir e plus. Alor s, combien allons-nous la r evendr e? », nous inter roger a notre inter locuteur. par ailleur s, la carotte est fixée entre soixante et quatre vingt dinar s alor s que samedi der nier, elle ne dépassait pas les cinquante dinar s. L'autre légume, qui connaît une hausse sensible, est la cour gette. Celle-ci est affichée à cent quar ante dinar s le kilo. En clair, son pr ix a doublé, compar ativement, à la veille du mois sacr é. Par ailleur s, c'est le citron qui reste inabor dable. Il est à deux cents cinquante dinar s le kilo. Si nous évoquons ces exemples, cela ne veut pas dire que les autres pr oduits sont vendus à des pr ix r aisonnables. Le pr ix de la tomate var ie entre quatre vingt et cent vingt dinar s. En tout cas, les pr ix des autres fr uits, tel le melon, les pêches, les pommes et la banane restent encore élevés. Pour de nombreux habitués des mar chés de gros, la situation changer a dès le début de la deuxième semaine du mois. « C'est devenu une habitude pour tous. Les mandatair es des marchés de gros sont toujour s à l' or igine de ces flambées. Mais, dès que les pr oduits abondent ou encore ne se vendent plus en gr ande quantité, ils revoient les pr ix à la baisse », estimer a ce mar chand détaillant. Ce qui reste encore abor dable sont les viandes blanches. Le poulet vif est toujour s affiché à tr ois cents dinar s le kilo. Par contre, nous avons remarqué qu'il n'y avait aucune file devant les boucher ies, par ce que les viandes r ouges coûtent encor e cher. L'autre fait marquant de ce mois de car ême, est le manque de consommateur s dans ce mar ché, pour tant, qui grouillait de monde dans de pareilles occasions. Y aur ait-il une pr ise de conscience de leur par t ou seulement parce que l' ar gent manquait dans les poches? A. O. tar dé parce que le ter r ain choisi a été squatté dur ant des années. J 'ai affronté presque tout seul le problème. Mais, avec l'aide de Dieu, j'ai pu le r égler et le r écupér er. Et aujour d'hui, comme vous voyez, le projet est mené à la cadence souhaitée. Espér ons qu' il ser a pr êt pour l' une des dates histor iques pr ochaines », ajouter a le mair e. Inter rogé sur la baptisation du lycée du chef-lieu, inaugur é en septembre der nier, il nous r épondr a que ce genr e d' établissements dépendait d'une commission de wilaya. Pour le moment, aucun nom n'est encore dévoilé. Disons, enfin, que le cinq juillet prochain, nombreux seront les noms de nos valeureux chouhadas qui seront donnés à de nombreux édifices publics des quatre communes de la daïr a de Dr aâ ElMizan, à savoir Dr aâ El-Mizan, Aït Yahia Moussa, Aïn Zaouia et Fr ikat. C'est dire que ce 54° anniver saire ser a marqué par de nombreuses cér émonies de baptisations. Amar Ouramdane Ouadhias Quartier Abderrahmane Mira entre nantis et lésés Pour une ancienne histoire de découpage administratif… l’heure où la technologie connaît une vraie révolution, plusieurs foyers du quartier Abderrahmane Mira ne sont pas encore, au jour d’aujourd’hui, raccordés aux réseaux de la téléphonie fixe et internet. Il faut dire que ce n’est pas la première fois que ce quartier se retrouve à la traîne des nouvelles commodités. Déjà, pour le gaz naturel, ce n’est que l’hiver dernier que ces foyers, une quarantaine environ, ont été raccordés, alors que l’autre partie du quartier profite des bienfaits de ce « luxe » depuis fort longtemps. Il faut préciser que cette opération de branchement en faveurs de cette partie des habitants ne s’est concrétisée qu’après d’incessantes réclamations formulées à qui de droit, allant même jusqu'à solliciter l’intervention de la direction des mines. «C’est inadmissible qu’en 2016, nos foyers ne soient pas encore raccordés ni au téléphone ni à internet, deux outils devenus indispensables dans la vie de tous les jours. Quand nous nous sommes rendus à la mairie pour réclamer le gaz, on nous avait expliqué que le retard dans le raccordement était dû à la non-mise à jour du plan de la commune, car auparavant, cette partie du quartier relevait administrativement de la localité d’Agouni Gueghrane et non de celle des Ouadhias (selon le découpage administratif de 1987). Donc, l’entreprise ayant réalisé le projet s’est arrêtée à michemin, à savoir au niveau de l’ancienne usine de rechapage, comme indiqué sur l’ancien plan. Mais maintenant que c’est réglé, pourquoi l’APC ne songe-t-elle pas à nous inscrire une opération de raccordement au réseau téléphonique, tant réclamée pourtant, avant de procéder au branchement des habitations qui en disposent déjà au réseau de la fibre optique ? », s’interroge Kamal B., résident dudit quartier. Et d’ajouter : « certes, Algérie Télécom nous a procurés des modems de la 4G LTE, mais ces derniers ne captent pas bien chez nous vu que les antennes « Msan » ne sont pas encore toutes installées. Pour surfer sur la toile, je dois marcher plus d’un kilomètre et aller jusqu’au centre-ville pour me rendre dans un cybercafé, ce qui n’est pas pratique surtout en hiver». Lycia A. À 10 BOUIRA 10 BOUIRA Jeudi 9 juin 2016 Saharidj - M’Chedallah Déversements sauvages d'ordures Lee tableauu d’unee horreurr écologiquee Un nouveau point noir constitué d’amas d'ordures ménagères et de débris de matériaux de construction est en train de prendre d’effroyables proportions en bordure du chemin communal qui relie Saharidj à M'Chedallah via Ath Yevrahim, le long de son itinéraire de 05 kms qui traverse la colline d'Achaivou. ' est par char gements entier s que sont déver sées en plein natur e toutes sor tes de déchets, polluant des for êts vier ges qui sont de vér itables pépinières de pins d'Alep, de chênes ver ts et de toutes espèces de buissons touffus dénommés sous-bois, avec une concentr ation sur un endr oit dénommé Takidunt (la tente), à C proximité du tombeau de l'officier Turc Wawdla FEN. Un site histor ique qui renfer me un pan entier de la mémoire collective. Des r iver ains affir ment que ce sont cer tains citoyens du centre ur bain de Sahar idj, sans foi ni loi, qui sont der r ière cette catastrophe écologique ! Sur un autre volet, cette r oute str atégique sur plusieur s volets, qui a bénéficié d'une opé- r ation de r evêtement en béton bitumineux en 2010, est complètement abandonnée, notamment ce tr onçon qui tr aver se la for êt, lequel se dégr ade à vue d’œil faute d’entr etien. Une r oute qu' em- M'Chedallah Virée au marché hebdomadaire Flambée des prix des fruits L a flambée génér ale des produits de première nécessité tant cr ainte par les ménages n'a pas eu lieu en ce début du mois de Ramadhan, du moins pour le moment. En tout cas, notre vir ée au marché hebdomadaire de M'Chedallah, qui se tient chaque mar di, nous a renseignés sur cet état de fait. En gros, les pr ix des produits alimentaires n'ont pas connu tous d'augmentations. À vr ai dire, ce sont presque les mêmes pr ix pr atiqués par les marchands de pr imeur s avant l'ar r ivée du Ramadhan. La mercur iale, exception faite de la pomme de ter re qui coûtait entre 28 et 30 DA, de l’échalote qui était affichée à 20 DA/kg et la baisse palpable des pr ix des har icots ver ts qui passèrent de la fourchette 180-200 à 100-120 DA/kg, les autres légumes ont connu plus ou moins une hausse des pr ix. À titre illustr atif, les poivrons sont cédés à 100 DA/kg, la carotte à 70 DA/kg, les petits pois (stationnaires) entre 100 et 150 DA/kg. En revanche, la flambée des pr ix est constatée du côté des fr uits, à l'exemple de la pêche qui a atteint le coût astronomique de 250 DA/kg! Le melon, quant à lui, est cédé à pas moins de 100 DA/kg et la banane, toujour s chère, car acole à 230 DA/kg. Seuls les abr icots sont accessibles aux moyennes et petites bour ses avec des pr ix r aisonnables oscillant entre 100 et 120 DA/kg. Si l'on r écapitule, la flambée des pr ix de la mercur iale n'a pas vr aiment eu lieu en ce début de Ramadhan, car la plupar t des pr ix affichés sont " hér ités" de la pér iode d'avant Ramadhan. Par ailleur s, d'autres denr ées alimentaires qui connaissent une demande accr ue en ce mois de car ême ont connu une hausse ver tigineuse de leur s pr ix, à l'image des r aisins secs cédés entre 600 et 650 DA/kg dans ce même marché. Le blé concassé, appelé communément " Fr ik" , demeure tr ès cher avec 250 DA/kg. Le poulet vivant a connu, lui aussi, une hausse de pr ix avec ce tar if de 210 DA/kg, alor s qu'il coûtait il y a quelques jour s entre 170 et 180 DA/kg. S'agissant des épices qui entrent dans la confection des plats comme la chor ba pour relever le goût, ceux-ci demeurent cher s avec des tar ifs allant entre 200 et 300 DA le ver re. A la lumière de ce constat, il est loisible d’avancer que malgr é la hausse relative des pr ix de cer tains produits de première nécessité, les ménages peuvent passer, si les choses en restaient là, un Ramadhan pas trop " saignant" pour leur s bour ses. Y. Samir pr untent la plupar t des tr anspor teur s de voyageur s de la commune de Sahar idj mais dont la lar geur de la chaussée se r étr écie comme une peau de chagr in. Ce qui est beaucoup plus gr ave et inquiétant, ce sont les hautes her bes sauvages qui ont poussé sur les fossés de dr ainage, devenus complètement obstr ués. Ces her bes longeant la chaussée et qui commencent à s’assécher, peuvent être à l’or igine de dépar ts d'incendies, où il suffir ait d'une cigarette mal éteinte ou d'un tesson de bouteille pour ce faire, d'autant plus que les sur faces forestières sont en major ité composées de pins d'Alep dont la r ésine est une matière hautement inflammable. Un dépar t de feu sur ces sur faces est difficilement maîtr isable sachant que les deux communes M'Chedallah et Sahar idj se par tagent ces sur faces à par ts entières. Toutefois, il ne faut pas nier que la responsabilité des ser vices de for êts dans ce cas est aussi engagée. Il y a lieu d'agir vite avant l'ar r ivée des gr andes chaleur s pour r éduir e ces r isques d' incendies qui seront catastrophiques pour les par adisiaques for êts d' Achaivou. Oulaid Soualah Taghzouth À l’occasion du mois de Ramadhan Le village Merkalla renoue avec Timechret enouant avec les traditions ancestrales et à l’occasion du mois de Ramadhan 2016, les habitants du village « Merkalla » de la commune de Taghzouth, à une dizaine de kilomètres au Nord de la wilaya de Bouira, ont organisé, samedi dernier, une « Timechret », un rite et une tradition de solidarité qui refait surface ces dernières années, particulièrement à Bouira. Ainsi, quatre veaux ont été sacrifiés et pas moins de 400 parts de viande distribuées au profit des R familles concernées, mais aussi au profit d’autres familles démunies du village. « En organisant cette action, notre objectif est de ressusciter la tradition ancestrale et les valeurs humaines, telles la solidarité, la fraternité ; traditions qui prévalaient jadis dans notre village. Il s’agit aussi d’une action de solidarité avec les familles et les ménages démunis de notre village, surtout à l’approche du mois de carême et avec cette flambée des prix de produits de première nécessité », nous dira Mohand, l’un des organisateurs de cet évènement. Aujourd’hui et plus que jamais, la dégradation du pouvoir d’achat et la cherté de la vie poussent les gens à recourir, le plus souvent, à des actions de solidarité et à l’union pour se soustraire aux relents de la dégradation des conditions de vie, particulièrement durant ce mois de Ramadhan. O. K. Cu l t u r e Jeudi 9 juin 2016 11 Maison de la culture de Tizi-Ouzou Les soirées artistiques commencent ce week-end Comme chaque Ramadhan et dans le cadre de ses différentes activités culturelles et artistiques, la Maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou a concocté tout un programme qui débutera dès aujourd’hui, avec un premier gala qui sera animé par Lyes, Azedine Tareb et Ouahmed. emain vendredi, ce ser a au tour de Ramy, Hacène Boutour a et Cher if Douzène d’enflammer la scène. Samedi, ce sont Loualia Boussad, Rachid Zedek et Kar im Becha qui seront à l’affiche. À noter que le progr amme s’étaler a sur tout le long de ce mois au niveau des str uctures que compte la ville de Tizi-Ouzou, à savoir la salle de spectacle de la maison de la culture Mouloud Mammer i, l’annexe de la maison de la culture d’Azazga, le théâtre r égional Kateb Yacine et, enfin, la cinémathèque de la ville de Tizi-Ouzou. Ces animations noctur nes, qui viennent à point nommé, vont, sûrement, donner un autr e souffle aux nuits r amadhanesques de la ville de TiziOuzou, laquelle accueille quotidiennement, apr ès la r upture de jeûne, un nombre tr ès impor tant de villageois qui fuient la monotonie et la routine de leur s localités. Cette ville est, également, la destination par excellence de la major ité des jeunes qui ne demandent qu’à se diver tir, un tant soit peu, et oublier les aléas et contr aintes de la vie quotidienne. Par ailleur s, ces activités ar tistiques et culturelles qui se produisent dans les salles de spectacles des str uctures suscitées et, souvent, à guichets fer més dur ant le mois de Ramadhan, sont les favor ites de la Guerbas, Asma, Nouara, Yahiatène, Ahres, Kheloui... D population de la r égion qui sait appr écier et savour er les beaux spectacles et autres chefs-d’œuvre. Il est à pr éciser qu’avec sa longue expér ience d’or ganisation et de progr ammation dans le domaine cultu- rel en génér al et le domaine ar tistique en par ticulier, la direction de la maison de la culture a mis tout son savoir-fair e pour r éussir cet événement et satisfair e les doléances et les goûts des citoyens en proposant de célèbres chanteur s, des pièces de théâtre et du cinéma d’animation, comme têtes d’affiches. Pour la salle de spectacles de la maison de la culture, une pléiade d’ar tistes est au progr amme. On peut citer le passage de Taleb Tahar et Ouzayed pour la soir ée du 12 juin, Lani Rabah le 17, Saïd Youcef le 19 en compagnie de Mayles, Kar im Khelfaoui et Kar im Addar le 20 du même mois, Akli Yahiatène le 22 juin, le duo Youcef Guer bas et Ramdane Mechache le jeudi 23, Rabah Asma pour le 29, Nouar a pour le 21, Yasmina pour le 25, quant à Ali Amr ane, il est attendu pour le 28 et Malika Domr ane, le 30 juin, entre autres. C’est Ali Fer hati qui devr ait clôturer le cycle le lundi 4 juillet. Ces spectacles se produiront à par tir de 22h. En ce qui concer ne l’annexe de la maison de la culture d’Azazga, un cocktail de chants et de théâtre est au rendezvous. D’ailleur s, le chanteur Kheloui Lounes se produir a le 16 juin, Moh Oubelaid le 24 et Amour Abdennour le 02 juillet. Quant à la cinémathèque de la ville de TiziOuzou, elle propose beaucoup plus du cinéma d’animation, comme « Les huit salopar ds », « Aster ix », « Le domaine des Dieux », « Tintin et le lac aux requins », « Hassen Ter ro », entr e autr es. Enfin, pour les amoureux du théâtre, ils auront le choix entre des pièces théâtr ales, des spectacles de magie et humor istiques, comme ‘’Homme au foyer ’’ de TRTO, «Azuzen», «Sinistr i», «Muhend Ucaban yecca taxsayt », etc. H. Moula Tizi-Ouzou À l’occasion de la célébration de la Journée nationale de l’artiste Le syndicat des artistes interpelle a J our née nationale de l’ar tiste, coïncidant avec le 8 juin, est une occasion pour le syndicat national de l’ar tiste, bureau de wilaya de Tizi-Ouzou pr ésidé par Rabah Oufer hat, de souhaiter bonne fête à la famille ar tistique locale. Dans son communiqué rendu public à la veille de la célébr ation de cette jour née, le syndicat des ar tistes de la wilaya, affilié à l’UGTA, souligne : « La bataille gagnée pour l’instaur ation du statut L La chanteuse Yasmina nous a rendu visite, hier La célèbre chanteuse adulée des Kabyles Yasmina, nous a rendu, hier au siège de notre bureau de Tizi-Ouzou, une visite. Elle a beaucoup échangé avec des jour nalistes qu’elle a trouvés sur place dans la bonne humeur et la cour toisie. À ses fans et à nos lecteur s, un entretien sans concession à lire dans une de nos prochaines éditions. de l’ar tiste et la r éor ganisation de la profession sont un gr and acquis ». Mais le bureau syndical de Tizi-Ouzou appor te une pr écision : « Il reste beaucoup à faire dans le suivi, jusqu’à l’application dans son ensemble ». L’autre point, non des moindres, soulevé par le bureau syndical est celui de « r appeler au conseil des ar ts et des lettres de prendre en char ge le r égime des retr aites à 60 ans ». Le bureau de wilaya insiste sur l’accélér a- tion de la procédure de délivr ance de la car te professionnelle, car pour le bureau syndical de wilaya, de nombreux ar tistes attendent toujour s leur s car tes. L’autre élément du communiqué du bureau de wilaya est de r appeler au conseil national des ar tistes « de r appeler à la CNAS à ce qu’elle facilite à nos ar tistes leur affiliation pour une assur ance maladie », conclut le communiqué. Arous Touil Commémoration du 18ème anniversaire de son assassinat Un concert en hommage à Matoub P our commémorer le dix-huitième anniversaire de la disparition de Matoub Lounes, les associations culturelles « Amusnaw », « Tarwa n Gaya », « Taddart Inazuren » en partenariat avec l’APC de Tizi-Ouzou, préparent un grand événement pour l’occasion. En effet, un grand concert de chant sera organisé le 24 juin prochain au niveau de la placette Mebarek Ait Menguellet, jouxtant l’ex gare routière. Plusieurs noms de chanteurs sont cités pour animer ce concert, dont Ali Idhefalwen et Karim Beccha. Les organisateurs tablent sur au moins une dizaine de chanteurs, tous de la chanson engagée, en attendant que la liste soit finalisée demain vendredi. Matoub Lounes, chanteur, musicien et auteur-compositeur-interprète d'expression kabyle, était un militant de la cause identitaire amazighe qui a apporté sa contribution dans la popularisation de la culture amazighe et dans le combat pour la démocratie. Il a été assassiné le 25 juin 1998 par un groupe armé à Thala Bounane sur la route menant de Tizi-Ouzou à Béni Douala, à quelques kilomètres de son village natal. Les conditions de ce meurtre n'ont jamais été élucidées et la famille du Rebelle réclame toujours le procès de Matoub N. Rahab 12 Mag azi n e Jeudi 9 juin 2016 Diabète et Ramadhan : comment gérer le jeûne ? Sfirya Ingrédients Pour la sauce - Des morceaux de poulet ou 500 gr de morceaux de viande - 1 poignée de pois chiches trompés la veille dans de l’eau - Sel, poivre noir, cannelle - 1 c à s de smen - 3 c à s d’huile Pour le croquettes de pain - 2 baguettes de pain r assies - 250 gr de chapelure - 200 gr d’emmental r âpé - 1 bol de poudre d’amandes - 2 œufs - 1 c à s d’eau de fleur d’or anger (J e n’en mets jamais) - Poivre, cannelle - Une pincée de levure chimique - L’huile pour la fr iture réparation - Faites revenir la viande dans l’huile et le smen avec un oignon r âpé. Salez et poivrez puis ajoutez la cannelle. Mouillez avec un peu d’eau jusqu’à ce que la viande se couvre, ajoutez les pois chiches. Laissez cuire à feu modér é jusqu’à la cuisson du poulet ou de la viande Entre temps, pr éparez les croquettes. - Coupez les baguettes de pain r assies, mouillez-les légèrement avec l’eau et égouttez-les bien. Mettre dans un saladier, ajouter la chapelure, le fromage, la pincée de levure, saler, poivrer, ajouter la cannelle, l’eau de fleur d’or anger et la poudre d’amandes. Mélangez le tout, incor porez les œufs un par un et mélangez bien. (Vous pouvez mélanger avec le batteur électr ique). Laissez reposer. Faites chauffer l’huile. Entre-temps, façonnez des boulettes (vous pouvez gr aisser vos mains pour que les boulettes soient plus lisses). Plongez vos boulettes dans l’huile à feu moyen et faites-les cuire de tous les côtés jusqu’à ce qu’elles prennent une belle couleur. Dressez les morceaux de poulet ou de viande dans un plat et gar nissez de boulettes de sfir iya (croquettes). Servir chaud. Les diabétiques qui décident de faire le jeûne du Ramadhan doivent en parler au préalable à leur médecin afin de gérer en toute sécurité cette période particulière impliquant des modifications du régime alimentaire et du mode de vie. En effet, jeûner toute la journée, du lever au coucher du soleil, puis manger la nuit peut comporter des risques en cas de diabète de type 2. Quelques conseils pour jeûner dans de bonnes conditions. Un diabétique peut-il jeûner ? Pour le patient diabétique, faire le Ramadan est un choix per sonnel qui dépend de son état de santé et de l’évolution de son diabète. En effet, le Cor an pr évoit des exceptions au jeûne pour les per sonnes malades. C’est notamment le cas des diabétiques avec hypoglycémie sévère dans les 3 mois pr écédant le Ramadan, épisodes d’hypoglycémie fr équents, non-reconnaissance des épisodes d’hypoglycémie, contr ôle insuffisant de la glycémie, maladies ou infections associées, et pour lesquels le jeûne prolongé est associé à des r isques de complications. En pr atique, un diabète déséquilibr é ou un tr aitement compliqué à modi- fier sont des contre-indications au Ramadan. Idéalement, le patient diabétique qui décide de faire le Ramadan doit consulter son médecin un à deux mois avant le début du Ramadan afin de limiter les r isques du jeûne en adaptant le contr ôle de la glycémie et le tr aitement. Quels sont les risques du Ramadhan pour le diabétique? Le pr incipal r isque est l’hypoglycémie la jour née puisque toute pr ise d’aliment et de liquide est inter dite du lever au coucher du soleil. Ensuite, la surchar ge alimentaire la nuit peut entr aîner une Plaques s d'immatriculation n: des s numéros s quii valentt de e l'or n Émir ati a payé 4,9 millions de dollar s pour une plaque aux Émir ats ar abes unis, où les numéros de plaque les plus recher chés voient leur cote s'envoler. Il en r êvait depuis des années. « Mon ambition a été toujour s d'être le numéro 1 », confie l'Émir ati Ar if Ahmad Al-Zarouni. Cette tocade pour ce chiffre fétiche lui aur a coûté la bagatelle de 4,9 millions de dollar s. Le pr ix à payer pour voir figurer ce numéro sur sa plaque d'immatr iculation. Mises en vente aux enchères à Shar jah, l'un des plus petits États membres des Émir ats ar abes unis, du 2 au 4 juin der nier s, les plaques d'immatr iculation por tant des numéros recherchés, auxquels les amateur s de numérologie pr êtent des ver tus par ticulières, ont vu leur cote s'envoler... La plaque por tant le chiffre 1 avait été mise à pr ix à un million de dir hams (272 000 dollar s). Elle a U finalement atteint les 18 millions de dir hams (4,9 millions de dollar s). Si le numéro 1 était le plus convoité, les chiffres 12, 22, 50, 100, 333, 777, 1000, 2016, 2020 et 99999 ont également rempor té un gr and succès lor s de ces ventes. Les exemplaires por tant les numéros 12 et 22 ont été adjugés, de leur côté, à 2,07 millions et 2,08 millions de dir hams, soit plus de 560 000 dollar s chacune. Les plaques comme valeurs refuges ? Au total, cette vente de 60 plaques à numéros spéciaux a r appor té plus de 50 millions de dir hams (13,6 millions de dollar s), selon le jour nal. « Avec 1340 par ticipants, cette vente aux enchères est considér ée comme la plus gr ande aux Émir ats ar abes unis », a indiqué Abdulla Al Mannai Matar, directeur exécutif de Emir ates Auction, le cabinet d'enchères qui a procédé à cette vente. Plusieur s ventes aux enchèr es ont été or ganisées ces der nièr es années à Dubai, mais aussi à Abu Dhabi, où un recor d a été enregistr é en févr ier 2008 lor squ'une plaque por tant également le chiffre 1 a été adjugée à 52,2 millions de dir hams (14,2 millions de dollar s). «Les acquér eur s des numéros de plaque d'immatr iculation peuvent les enregistrer en leur nom ou les tr ansférer à une autre per sonne, apr ès avoir effectué les démar ches administr atives spécifiques pour immatr iculer les véhicules, a pour suivi le r esponsable de la maison de ventes aux enchères. À quand les plaques d'immatr iculation comme cadeaux d' anniver sair e ? Et pourquoi comme placement financier ? La plaque d' immatr iculation ne peut-elle pas devenir une valeur refuge comme l'or ? hyper glycémie pouvant aboutir à un état d’acidocétose, complication gr ave du diabète. Les signes de l’hypoglycémie Confusion, ner vosité, ir r itabilité, tr anspir ation, faiblesse, ver tige, maux de tête, faim, somnolence, accélér ation du r ythme car diaque… En l’absence de tr aitement d’ur gence, l’hypoglycémie peut entr aîner une per te de connaissance, des convulsions, des cr ises d’épilepsie. Les signes de l’hyperglycémie Soif intense, maux de tête, fatigue, difficultés de concentr ation, per te de poids, envie fr équente d’ur iner … L’hyper glycémie prolongée peut entr aîner une per te de connaissance, voire un coma. La déshydratation L’autre r isque du jeûne prolongé chez le diabétique est la déshydr atation se manifestant par une sècheresse buccale, des cr ampes musculaires, des nausées, des vomissements, des palpitations car diaques… La déshydr atation augmente aussi le r isque d’acidocétose et de thrombose (œdème, douleur, ér uption cutanée, démangeaisons et sensation de chaleur à l’endroit où se for me le caillot sanguin). Il est possible de pr évenir ces r isques en adaptant son tr aitement en concer tation avec son médecin et son mode de vie. Renforcer l’autosurveillance de la glycémie Au minimum, une mesure de la glycémie s’impose avant chaque repas et deux mesures pendant le jeûne. En cas de glycémie infér ieure à 0,70 g/l, il faut rompre le jeûne et se re-sucrer immédiatement, même en l’absence de symptôme d’hypoglycémie. Et chez les patients qui habituellement ressentent peu les hypoglycémies, la sur veillance glycémique doit être renforcée. 21 Sp o r t Jeudi 9 juin 2016 Copa America 2016 La fille La aua mColombie anteau veert se eet aqualifie, ux yeux g, ris less États-Uniss cartonnentt La Colombie a obtenu, avant-hier face au Paraguay (2-1), son billet pour les quarts de finale de la Copa America 2016, tandis que les États-Unis se sont relancés en étrillant le Costa Rica (4-0). pr ès sa démonstr ation contre les Etats-Unis lor s du match d’ouver ture (20), la Colombie de J ames Rodr iguez a montr é deux visages face au Par aguay: ir r ésistible en première pér iode et besogneuse apr ès la pause. L’attaquant-vedette du Real Madr id, incer tain apr ès s’être blessé à une épaule vendredi, a tenu sa place pour le plus gr and bonheur des 44.766 spectateur s du Rose Bowl de Pasadena (Califor nie). Il a été à l’or igine de seconde pér iode et a bien failli laisser échapper la victoire. Les changements r éalisés apr ès la première pér iode par le sélectionneur par aguayen Ramon Diaz ont modifié complètement la physionomie de la r encontr e et ses hommes ont pr is l’ascendant et logiquement r éduit le score par Victor Ayala (71e min). Sans, dans les buts colombiens, un David Ospina impér ial - et sauvé une fois par sa tr ansver sale -, le Par aguay, pour tant r éduit à dix apr ès l’exclusion d’Oscar Romer o (81e), aur ait pu égaliser, voir e viser mieux. «Mon analyse de ce match est simple: nous avons fait une super be première pér iode, ils ont fait une super be seconde pér iode», a r ésumé J ose Peker man, le sélectionneur de la Colombie. A Un miracle pour Haïti face au Brésil ? l’ouver ture du score dès la 12e minute par Car los Bacca, puis a doublé la marque à la 30e minute, son deuxième but dans le tour noi. Mais Rodr iguez, comme ses coéquipier s, a baissé d’un ton en Les «Cafeter os» peuvent se contenter d’un match nul contre le Costa Rica pour ter miner à la première place du groupe A, ce qui leur per mettr ait d’éviter le Br ésil en quar ts de finale si la Seleçao devait ter miner, comme lar gement anticipé, à la 1re place du groupe B. Le Par aguay, 3e avec un point, devr a battre les Etats-Unis qui ont repr is du poil de la bête face au Costa Rica. Clint Dempsey, avec son 50e but en sélection, J er maine J ones et Bobby Wood ont balayé en première pér iode les doutes nés de la piteuse entr ée en matière contre la Colombie (0-2). Les Etats-Unis ont été un peu plus bousculés en seconde pér iode mais Gr aham Zusi a ajouté un quatr ième but à trois minutes de la fin du temps r églementaire. «C’était globalement un match tr ès plaisant», a appr écié J ür gen Klinsmann, le sélectionneur allemand des EtatsUnis qui joue sans doute son avenir sur ce tour noi. «Il confir me l’état d’espr it de ce groupe, ils se battent les uns pour les autres (...) On a à nouveau notre destin en mains», s’est-il félicité. A pr ogr amme de mer cr edi, le Pér ou affronte l’Equateur et peut, en cas de succès, décrocher l’un des deux billets du gr oupe B pour les quar ts, tandis que le Br ésil ser a opposé à Haïti. «Si nous gagnons ce match, ce ser a l’un des plus gr ands mir acles de l’histoire du football», a admis le milieu haïtien J ean-Marc Alexandre. À 24h du coup d’envoi de l’Euro 2016 Les Bleus assument leur statut de favoris Cette confiance, qui est la mar que de fabr ique des Bleus depuis les semaines qui ont pr écédé le Mondial 2014, on la retrouve aussi dans le discour s du défenseur centr al Laur ent Koscielny. Or iginair e de Tulle, dont Fr ançois Hollande a été député-maire dur ant des années, il montre la même sér énité que celle affichée par le pr ésident lor s de sa visite aux joueur s dimanche 5 au soir, au lendemain du 3-0 infligé à des Écossais il est vr ai bien faibles. « On ne va pas se laisser débor der par la pression pesant souvent sur le pays or ganisateur, on est des pros, on est tous habitués à jouer des gr ands matchs. Les deux der nières compétitions or ganisées en Fr ance en 1984 (l’Euro déjà) et en 1998 (la Coupe du monde), on les a gagnées, et nous, on est dans le même élan », pour suit Laurent Koscielny. Confiance réaffirmée pour Adil Rami aur ent Koscielny et Andr é-Pier r e Gignac, por te-parole désignés des Bleus devant la presse avant-hier, sont longuement revenus sur le statut de favor i que leur confèrent de plus en plus d’obser vateur s. Ils assument volontier s ce r ôle et disent s’accommoder sans difficulté de la pression qu’il induit. La Fr ance est l’équipe qui a le plus de chances de rempor ter l’Euro-2016 de football. Ce n’est pas Didier Deschamps qui le dit, ni les jour nalistes spor tifs, encore moins la r umeur populaire, plus circonspecte. « J ’ai vu ça », a indiqué Andr é-Pier re Gignac avant-hier, avec un petit sour ire qui en dit long sur la confiance r égnant sur le L groupe Fr ance depuis l’euphor ique 3-0 de samedi devant l’Écosse. « Les chiffres c’est bien, la vér ité du ter r ain c’est mieux », a-til pr is soin de cor r iger avant d’ajouter un commentaire de son cr u. « En fonction des r ésultats de ses matchs, la Fr ance par t favor ite, on a eu 13 victoires sur 14 matchs avec 3 buts marqués sur les der nier s matchs. Cet Euro, on veut le gagner et on a les moyens d’y par venir ». La France a gagné l’Euro 84 et le Mondial 98, qu’elle a organisés Le joueur d’Ar senal est pour tant en première ligne pour par ler du pr incipal point d’inquiétude de cette équipe, son axe centr al défensif, dont il fait figure de titulaire r escapé apr ès les for faits de Raphaël Var ane, Mamadou Sakho ou J ér émy Mathieu. Et il affiche une gr ande confiance enver s son compère dans l’axe, Adil Rami, le défenseur de Séville r appelé en catastrophe et qui n’a guère convaincu lor s des deux matchs amicaux, contre le Cameroun et l’Écosse. « Ça faisait tr ès longtemps qu’il n’était pas venu en équipe de Fr ance, le match du Cameroun, il était un peu stressé, a-t-il plaidé, Adil a fait une gr ande saison avec Séville, c’est juste une question de calme, de rester positif. On est là pour l’aider. J ’ai confiance en lui ». Inter rogé lui aussi sur les supposées faiblesses défensives des Bleus, l’attaquant Andr é-Pier re Gignac a appelé à plus de sér énité. « Les premier s défenseur s, c’est nous les attaquants et puis nos défenseur s sont tr ès for ts, en jeu de tête, en relance dans les duels, croyez-moi ça se voit à l’entr aînement et mes chevilles s’en souviennent ». Viktor Kassai arbitrera France-Roumanie pr ès avoir été quatr ième ar bitre lor s de la der nière finale de la Ligue des champions, le Hongrois Viktor Kassai a été désigné mar di ar bitre pr incipal du match d'ouver ture de l'Euro 2016 qui opposer a demain la Fr ance à la Roumanie (21h00). Le Néer landais Björ n Kuiper s occuper a le r ôle de quatr ième ar bitre. A 22 Sp o r t Jeudi 9 juin 2016 Pré honneur Tizi-Ouzou Salah Ali Ahmed, entraîneur du CRB Mekla «Jee dédie cette e accession Le eDSP sous pression n à toutee laa régionn dee Mekla» S'il y a un homme heureux au sein de la formation du CRB Mekla, après l'accession de l'équipe en division Honneur Tizi-Ouzou, c'est certainement l'inamovible Salah Ali Ahmed. Technicien, il a été présent et a affronté toutes les péripéties vécues par le club. ette accession n' est autre que l’aboutissement de la patience et le fr uit de la ténacité de l'homme qui a donné un autre statut à cette for mation qui constitue un vér itable r éser voir de jeunes talents. C «Je savais que ça allait être très difficile pour nous !» « Nous savions que cette saison allait être difficile pour nous. Nous avons souffer t tout au long de la saison, mais aujour d’hui, nous sommes par venus à atteindr e notr e objectif haut la main et avant même la fin de cet exercice. Vr aiment, c’est fabuleux, nos club soit à la hauteur. Il n’oublier a pas non plus les suppor ter s du CRB Mekla, pour leur soutien tout au long de la saison, ainsi que tous les gents qui ont contr ibué de loin ou de pr ès à cette accession. « J e tiens à dédier cette accession à toute la population de la r égion de Mekla », dir a-t-il encore. effor ts four nis dur ant la saison ne furent pas vains ». « Je suis ému et comblé » « Nous avons décroché une accession. Qu’est-ce que je peux dire, à par t que je suis ému, tr ès content et un homme comblé ? Ce qui donne plus de saveur à ce sacre, c’est qu’il a été ar r aché dans la douleur, avec de l’abnégation et beaucoup de tr avail, malgr é toutes les difficultés que nous rencontr ions au quotidien » « Je dédie cette consécration à tous ceux qui ont contribué au succès du club » Tournoi de vétérans inter quartiers de Draâ Ben Khedda Le vainqueur sera connu demain Le technicien Salah Ali Ahmed ne tar it pas de reconnaissance enver s tous les dir igeants qui ont effectué un bon tr avail et qui ont mobilisé tous les moyens nécessaires, matér iels ou financier s, pour que le « Un grand merci à nos supporters » « J e tiens à remercier les suppor ter s pour tout ce qu'ils ont fait pour le club. Nous devons conjuguer encore davantage nos effor ts afin de donner une plus gr ande dimension à ce club qui a enfanté de gr ands joueur s et dont cer tains sont en tr ain de faire le bonheur des gr andes équipes de l'élite du football national. Les potentialités et la pâte existent, et pour peu qu'il y ait une pr ise en char ge, nous serons capables de faire face aux plus gr ands défis ». Propos recueillis par Kaci. M. MS Abdelmoumène Assemblée générale ordinaire demain ’équipe du MS Abdelmoumène a raté de peu son accession en honneur la saison qui vient de s’écouler. Et pour préparer l’exercice prochain, la population du village Abdelmoumène a été informée de cette assemblée générale ordinaire qui aura lieu demain vendredi, à 17h00, au siège du club sis à Anar Tegmut. En effet, les dirigeants du MSA sont appelés à présenter L les deux bilans moral et financier, mettre en conformité les nouveaux statuts des CSA et préparer l’assemblée générale extraordinaire pour le nouveau mandat olympique 2016/2019. A cet effet, les responsables de cette équipe d’Abdelmoumène, à sa tête le président Taleb, ont convoqué tous les membres fondateurs, anciens joueurs ainsi que les athlètes de karaté. K.M. Il était l’un des membres fondateurs du MB Bouira Tournoi de football à la mémoire de Hacène Sidhoum e tournoi inter quartiers de vétérans, organisé durant tout le mois de mai dans la ville de Draâ Ben Khedda, par une association d’anciens joueurs de la ville et présidée par Ali Hameg, va, enfin, connaître son épilogue, demain, avec une finale qui va certainement drainer une foule encore plus impressionnante que d’habitude. Le clap de fin mettra aux prises l’équipe des vétérans de Wazar à son homologue du quartier, Combattants. Les deux équipes, seules restées debout en fin de parcours, ont dominé la compétition sans partage avec des succès très nets. Cela promet une belle empoignade, de l’avis même des organisateurs qui ont misé sur cette manifestation pour rompre la monotonie ambiante de la ville favorisée par la fin des championnats, auxquels ont pris part les équipes phares, telles que l’USMDBK ou l’OS Mouldiouane qui monopolisent d’habitude toute l’attention des férus de foot Débékois. Avec un engouement sans cesse grandissant, cette manifestation a aussi englobé une version réservée à des équipes de jeunes sportifs amateurs de tous les quartiers de la ville. Les spectateurs se font, chaque jour, plus nombreux. Certains agglutinés autour du grillage cintrant le mini stade au cœur du quartier Wazar, qui va abriter cette finale ainsi que tous les autres matchs passés, d’autres, beaucoup plus nombreux préfèrent suivre les rencontres depuis le trottoir de l’ancienne route d’Alger surplombant ledit stade et offrant une vue plongeante, depuis une hauteur de plus de cinq mètres. Le gabarit des deux prétendants promet, enfin, une finale à la hauteur, et présage à ne pas douter du beau spectacle pour le week-end. Massi Boufatis L idèle à son engagement, l’AASM, (Association de anciens spor tifs d’El Mouloudia de Bouir a), pr ésidée par Yahia Kadi, a or ganisé, samedi der nier au niveau du stade communal Bour ouba Said, un tour noi de football à la mémoire de Hacène Sidhoum, un des membres fondateur s de Mouloudia, Club de Bouir a, actuel MB Bouir a cr éé en 1947. Cependant, cette fois-ci, ladite association s’est contentée de deux joutes amicales entres les anciens joueur s d’El Mouloudia, ceux ayant 60 ans et plus et les F moins de 55 ans, ainsi qu’une équipe composée des membres de l’exécutif de wilaya invités à l’occasion, contr airement à l’an der nier où ils étaient tous là, à commencer par son petit-fils, le docteur Liamine Sidhoum, ses amis, ses ex coéquipier s et autr es joueur s qui ont por té le maillot d’El Mouloudia dans ses différentes époques, à l’instar de Aït Kar a Tahar, Zadi Tahar, Aït Benamar Rachid, Aït Benamar Rezki, Kada Rezig, Nour ine Said, Mustapha Oussadi, Tabouni Hacène, Bouzir Mohamed, Amar Tabouni, entre autres. Toutefois, le challenge des jeunes, qui devait r egr ouper pas moins de 12 équipes des U 12 ans, a été annulé faute de moyens. « On voulait or ganiser ce mémor ial en impliquant tout le monde, comme ce fut le cas l’année der nière, malheur eusement nos sollicitations enver s les pouvoir s publics, autor ités et la DJ S de Bouir a étaient vaines », nous dir a le pr ésident de l’AASM. Les or ganisateur s se sont limités dans la progr ammation d’une rencontre en ouver ture entre des footballeuses en her bes et des jeunes gar çons des U 12 non str uctur és dans des clubs. Malgr é cela, les « anciens » ce sont donnés à cœur joie sur la pelouse du mythique stade « Bourouba Said », nom de l’un des anciens joueur s d’El Mouloudia et mar tyr s de la r évolution, en exhibant quelques belles facettes de jeu. Ceci-dit, les deux rencontres se sont déroulées dans de bonnes conditions, au ter me desquelles des trophées ont été attr ibués aux vainqueur s. A.M’hena 23 Sp o r t Jeudi 9 juin 2016 C M J Nigeria Il est décédé hier à l’âge de 54 ans N L’ancienn sélectionneurr dess Super Eagles,, Stephenn Keshi,, n’estt plus C M J N Un autre sportif vient de nous quitter pour l’autre monde. Après le boxeur légende Mohamed Ali, hier, l’ancien sélectionneur national du Nigeria, Stephen Keshi, a rendu son dernier souffle à l’âge de 54 ans, vraisemblablement suite à une crise cardiaque, a annoncé la Fédération nigériane de football. e pr ésident de la NFF, Amaju Pinnick sur le compte Twitter de la fédér ation a r éagi apr ès l’annonce de L Ligue de diamant Oslo Il sera en lice aujourd’hui Makhloufi engagé sur le mile 'athlète algérien, champion olympique en titre du 1500m, Taoufik Makhloufi, sera en lice aujourd’hui sur le mile du Meeting IAAF Diamond League d'Oslo, a annoncé, avant-hier, la fédération algérienne d'athlétisme. Makhloufi, qui en sera à sa seconde sortie cette saison, est à la recherche de son rythme sur le 800 m et le 1500 m. Sur cette épreuve, l’Algérien cherchera des réglages de sa vitesse et des repères de courses en prévision des championnats d’Afrique de Durban en Afrique du Sud et les Jeux Olympiques de Rio. Alors que la saison athlétique bas son plein, Makhloufi se fait plus discret, puisqu’il n’a couru que le Mile d’Eugène (Etats-Unis) lors duquel il avait occupé la 5e place avec un temps de 3.52.95. La 1ère place était revenue au Kenyan Asbel Kiprop en 3.51.52 devant le Marocain Iguider (3.51.96). L cette tr iste nouvelle en déclar ant ce qui suit : « Keshi était un super héros. Son décès est une gr ande per te pour la nation du Niger ia, pas seulement pour son football ». Stephen Keshi, était le capitaine emblématique des Super Eagles au début des années 1990, avec lesquels il a été sacr é champion d’Afr ique des nations en 1994, avant de devenir leur sélectionneur et de rempor ter une 2e CAN avec eux, en 2013. Le « Big Boss » comme on l’aime l’appeler au Nigér ia, et ce, pour son char isme et ses qualités de meneur d’homme, a r éussi avec la sélection du Nigér ia d’atteindre les 8es de finale du Mondial qui s’est déroulé au pays de la Samba le Br ésil. Il a aussi marqué de son empreinte ses passages chez les sélections du Mali et du Togo qu’il a qualifié pour le Mondial2006 qui a eu lieu en Allemagne. Stéphen Keshi ce défenseur centr al de char me a por té les cou- leur s joué Str asbour g (19911993) en ligue une fr ançaise et en Côte d’Ivoire au Stade Abidjan (1985) et Afr ica Spor ts (1986). Auteur de 9 buts en 64 sélections, Stéphen Keshi a joué avec les Super Eagles le Mondial1994 aux Etats-Unis. Un autre monument du spor t afr icain et mondial nous quitte. Tout le Nigér ia est en deuil, apr ès l’annonce du décès de l’ex-dr iver des Super Eagles Stephen Keshi. A.M. Tennis Wimbledon 2016 "juniors" Inès Ibbou en liste d'attente Discipline Suspension de Chaouchi pour dix matchs Incorrigible, le héros d'Omdurman refait des siennes e gar dien de but du MC Alger (Ligue 1 algér ienne) Faouzi Chaouchi, s'est distingué par un écar t disciplinaire condamnable qui lui a valu dix matchs de suspension par la Ligue de football professionnel (LFP), lui qui n'est pas à la première bour de de sa car r ière. L'enfant ter r ible de Bor dj Ménaïl s'est rendu coupable d'une agression sur le L C M J N QUOTIDIEN D’INFORMATION édité par SARL La Dépêche de Kabylie au capital de 300.000 DA Siège social : Rue Abane Ramdane cité 60 Lgts Bt A. TIZI-OUZOU CB BNA ROUIBA N° 641-0300-300-149-11 por tier de l'ES Sétif Abder aouf Belhani à l' issue du match ayant opposé les deux équipes le vendredi 27 mai der nier au stade Omar-Hamadi dans le cadre de la 30e et der nière jour née du championnat. Chaouchi a causé à Belhani une blessure nécessitant un ar r êt de tr avail de " 90 jour s" . Vér itable héros le soir du 18 novembre 2009 lor s du fameux match d' appui entre l' Algér ie et l'Egypte (1-0) qualificatif au Mondial-2010 en Afr ique du Sud, Chaouchi s'est for gé ensuite la r éputation d'un por tier " rebelle" qui laisse libre cour t à ses sautes d'humeur sur et en dehor s du ter r ain. Ayant rejoint le MCA en 2011 en provenance de l'ES Sétif, Chaouchi (31 ans) n'est pas à son premier écar t disciplinaire qui lui a valu une suspension de dix matchs quelques mois apr ès avoir rejoint le Doyen. En octobre 2011, Chaouchi a été sanctionné pour " cr achat enver s adver saire" et " gestes obscènes enver s le public" , lor s de son expulsion face à la J SM Béjaïa en match comptant pour la 5e jour née du championnat. Deux ans plus tar d, le por tier mouloudéen a écopé de deux années de suspension pour " outr age, atteinte à l'honneur DIRECTEUR DE LA PUBLICATION IDIR BENYOUNES DIRECTEUR DE LA REDACTION DJAFFAR CHILAB RÉDACTION-ADMINISTRATION DE LA PRESSE TAHARDJAOUT 01, RUE B ACHIR ATTAR - A LGER E-MAIL : [email protected] MAISON Tél. : 021 66.38.05 Fax : 021 66.37.88 PUBLICITÉ Tél : 021 66.38.02 et pr opos diffamatoir es enver s officiels" , suite à l'affaire du boycott de la cér émonie de remise des médailles de la finale de la Coupe d'Algér ie face à l'USM Alger (défaite 1-0) le 1er mai 2013. Une année plus tar d, la Fédér ation algér ienne de football (FAF) a décidé de lever la suspension, ce qui avait per mis au gar dien de but de signer un nouveau contr at de deux saisons avec le MCA. La levée de cette suspension inter venait à la veille de la finale de la Coupe d'Algér ie 2014 entre le MC Alger et la J S Kabylie, rempor tée par le club algérois (1-1, aux t.a.b. 54). Les déboires de Chaouchi ne se sont pas ar r êtés en club, puisqu'avec l'équipe nationale, il s'est tr istement rendu coupable d'écar ts disciplinaires qui lui ont valu des mises à l'écar t sous la coupe de l'ancien sélectionneur Rabah Saâdane. Avec cette nouvelle suspension de dix matchs, l' avenir de Chaouchi, en fin de contr at avec le MCA, est plus qu' incer tain, au moment où le Mouloudia vient de r écupérer le jeune por tier inter national olympique Far id Chaâl, pr êté la saison der nière à l'USM Har r ach. BUREAU DE TIZI OUZOU Rue Abane Ramdane cité 60 Lgts Bt A Rédaction : Tél : (026). 12. 26. 77 Fax : (026). 12. 26. 48 PUBLICITÉ : Tél- Fax- (026). 12. 26. 70 BUREAU DE B GAYET Route des Aurès, bt A Tél. : 034 16.10.45 Fax : 034 16.10. 46 a joueuse de tennis algérienne Inès Ibbou est en liste d'attente pour participer au tournoi de Wimbledon "junior" prévu du 2 au 10 juillet en Angleterre, a appris l'APS avant-hier auprès de son entourage. Un autre grand chelem qui, comme Roland Garros il y'a une semaine, se déroulera simultanément pour les "juniors" et les "seniors". La jeune Algérienne de 17 ans, qui attend donc une confirmation pour sa participation à Wimbledon était présente en effet à Roland Garros, où elle a atteint le 2e tour du tableau final, en "simple", et les quarts de finale en "double". Juste avant Roland Garros "juniors", organisé du 29 mai au 5 juin à Paris, la sociétaire de l'Académie de Valence (Espagne) avait participé à la 52e édition de l'Astrid Bowl, en Belgique. Ibbou avait, là encore, réussi un bon parcours, en parvenant au 3e tour du tableau simple, et aux demi-finales en double. L B OUi RA Gare routière de Bouira Lot n°1 - 2e étage BUREAU DE IMPRESSION SIMPRAL DISTRIBUTION D.D.K. PUBLICITÉ ANEP Tel. : 026 94. 39. 06 L A DÉPÊCHE Fax : 026 94. 39. 11 DE K ABYLIE LES DOCUMENTS, MANUSCRITS OU AUTRES ET LES LETTRES QUI PARVIENNENT AU JOURNAL NE PEUVENT FAIRE L’OBJET D’UNE QUELCONQUE RÉCLAMATION