I.2.2 - Les maladies sexuellement transmissibles - DASS-NC
Transcription
I.2.2 - Les maladies sexuellement transmissibles - DASS-NC
* Archipel des Belep H Centres hospitaliers publics C Cliniques privées Structures de santé de compétence provinciale Centres médicaux secondaires ou infirmeries Belep Centres spécialisés Circonscriptions médicales et centres médico-sociaux Ouégoa Poum Bondé CHN P Thavoavianon St-Joseph H Ouloup Hienghène Kaala-Gomen H Dueulu Nathalo Mou Chépénéhé CHN R-D Nébayes Koné Wedrumel Siloam Poindimié Voh Hnaeu Hnacoam Ouvéa Touho Province Nord Province Iles Loyauté Mouli Pouébo Koumac Hmeleck Ponérihouen Wé Houaïlou Népoui Lifou Tiga Kouaoua Poya Rawa Pénélo La Roche Canala Bourail Thio Tadine La Foa Wabao Hnawayatch Province Sud Unia Païta D. Nord Dumbéa V Suzon NOUMEA Yaté Goro Mont Dore Plum Boulari Centre de consultation familiale CHT Gaston Bourret H Centre médical polyvalent CHT Magenta H Centre médico-scolaire CHT Raoul Follereau H Bureau d’éducation sanitaire CHT Col de la Pirogue H Promotion de la santé CHS Albert Bousquet H Ile Ouen Centre médical Province des Iles Centres de protection maternelle et infantile Kaméré Clinique de la Baie des citrons C Montravel Clinique de l’Anse Vata C Saint-Quentin Clinique Magnin C * Les structures et le personnel de santé à la disposition de la population calédonienne sont détaillés dans le chapitre II : Les services de santé. Vao Ile des Pins Maré Les maladies sexuellement transmissibles Source : fiches transmises par les médecins des secteurs publics et privés dans le cadre de la réglementation sur des maladies à déclaration obligatoire. Remarque méthodologique : la représentativité à l’échelle de la Nouvelle-Calédonie des résultats présentés ci-dessous dépend de critères de : - qualité du diagnostic ; au travers de la sensibilisation des médecins à confirmer le diagnostic d’infection génitale au moyen d’examens biologiques, - exhaustivité : parmi les 852 déclarations reçues en 2007, seulement 21 proviennent du secteur libéral et 1 du CHT. Actuellement, la majeure partie des déclarations reçues jusqu’en 2007 provient des circonscriptions médicales provinciales (et centres hospitaliers du Nord) et des dispensaires de la province Sud (centre médical polyvalent, centre de protection maternelle et infantile, centre de conseil familial). Déclarants 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 CM provinciaux* 49,3% 47,5% 47,9% 42,6% 24,7% 42,8% 32,8% 31,6% 22,2% 23,2% PMI CMP CCF 39,1% 41,5% 50,4% 56,3% 71,5% 56% 64% 59,4% 71,4% 74,2% Médecins libéraux 6,9% 6,4% 0,2% 0% 1,0% 0% 1,0% 0,5% 0,8% 2,5% C.H.T. 3,0% 2,9% 1,2% 1,1% 1,6% 1,2% 1,9% 3,4% 1,2% 0,1% Divers: Cafat, Diass… 1,7% 1,7% 0,2% 0% 1,2% 0% 0,4% 5,1% 4,4% 0% Total 843 749 902 744 607 521 469 411 502 852 Le très faible nombre de déclarations des nouveaux cas de maladies sexuellement transmissibles (MST) provenant des médecins libéraux induit donc une surreprésentation du secteur public provincial : circonscriptions médicales, centres hospitaliers du Nord, et centres médicaux spécialisés de la DPASS Sud (par exemple, en 2007, le Centre Médical Polyvalent de Nouméa a déclaré 64% des cas). En raison de cette sous-déclaration, les résultats présentés ci-dessous caractérisent plus la population fréquentant les centres déclarants (centres médicaux provinciaux) que l'ensemble de la Nouvelle-Calédonie. Il est évident que les taux d'incidence réels sont plus élevés et que les caractéristiques des patients sont différentes. Toutefois, comme cette sousdéclaration persiste depuis plusieurs années, on peut cependant évoquer le fait que les évolutions observées dans le secteur public, soient comparables dans le secteur privé. Une autre approche, syndromique, sur des sites représentatifs ou sentinelle, ou des études épidémiologiques spécifiques, seraient à mettre en œuvre et pourraient apporter des compléments d’informations sur l’épidémiologie des MST en Nouvelle-Calédonie. I.2.2.1. Description des nouveaux cas enregistrés en 2007 - le nombre de cas de MST déclarés reste plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81,5%). Durant l'année 2007, le service des actions sanitaires de la DASS-NC a reçu 852 déclarations de nouveaux cas de MST se répartissant ainsi : MST/Sexe Molluscum contagiosum Masc Fém ND Total % 0 0 0 0 0% âge nombre 0-14 ans 15-19 ans 20-24 ans 25-29 ans 30-34 ans 35-39 ans 40-44 ans 45 + ND total 3 234 324 117 75 40 17 37 5 852 2 8 0 10 1,2% Condylomes acuminés 2 20 0 22 2,6% Syphilis 12 24 1 37 4,3% Autres mal. vénériennes 1 59 0 60 7% Candidose uro-génitale 1 74 0 75 8,8% 350 Gonococcies 52 30 0 82 9,6% 300 Infect. gén. à chlamydiae 37 111 0 148 17,4% Trichom. uro-génitales 2 197 0 199 23,4% Infect. à mycoplasmes 48 171 0 219 25,7% 157 694 1 852 100% Total 400 nb de cas Taux /10000* 0,5 110,1 177,3 67,1 38,7 21,6 10,1 6,2 36 200 180 160 140 120 100 80 60 40 20 0 nb de cas taux pour 10 000 250 200 150 100 50 ND 45 + 40-45 ans 35-39 ans 30-34 ans 25-29 ans 20-24 ans 15-19 ans 0 0-14 ans Notons : - les 111 cas d'infections à chlamydiae chez les femmes (13% des cas de MST), - les 171 cas d'infections à mycoplasmes chez les femmes (20,1% des cas de MST), - les 197 cas de trichomonases uro-génitales chez les femmes (23,1% des cas de MST), taux pour 10 000 Herpès génital % 0,4% 27,5% 38% 13,7% 8,8% 4,7% 2% 4,3% 0,6% 100,0% La tranche d'âge la plus concernée est celle des 20-24 ans (36,6% des cas, avec un taux d’incidence de 103,4 pour 10 000 habitants). Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie - 2007 - Les MST I.2.2 page 01 Les maladies sexuellement transmissibles Pour information, les données transmises par l’Institut Pasteur de NC en 2007 sont : - Infections génitales à Chlamydiae : Nb. échantillons traités : 582 - Résultats positifs : - Infections N. gonorrhoeae (Gonococcies) : Nb. échantillons traités : 3135 - Résultats positifs : - Infections T. palladium (Syphilis) : Nb. échantillons traités : 5 010 - Résultats positifs : 171 112 175 I.2.2.2. Caractéristiques des cas déclarés au cours des 10 dernières années (1998 - 2007) MST / Année Pour information : les condylomes acuminés et l'herpès génital sont déclarés depuis 1992 ; les infections à mycoplasmes et les trichomonases uro-génitales sont déclarées depuis 1994. Au cours de la période 1998 - 2007, 6631 MST ont été déclarées. 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Total % Molluscum contagiosum 4 4 4 2 1 2 4 1 4 0 26 0,4% Herpès génital 3 5 2 3 3 5 4 2 3 10 40 0,6% Syphilis 36 17 24 16 11 10 20 16 21 37 208 3,1% Condylomes acuminés 48 26 26 27 28 26 17 3 12 22 235 3,5% Gonococcies 96 54 52 55 49 31 33 35 58 82 545 8,2% Candidose uro-génitale 93 123 137 102 104 25 11 22 30 75 722 10,9% Inf. génitales à chlam. 119 89 94 96 72 86 88 71 96 148 959 14,5% Autres maladies vénér. 156 175 198 121 77 75 55 40 49 60 1006 15,2% Infections à mycopl. 165 121 115 119 107 90 92 108 134 219 1270 19,2% Trichom. uro-génitales 126 140 250 203 156 175 158 115 98 199 1620 24,4% Répartition de l'ensemble des MST par sexe, cumul 1998-2007 Total 846 754 902 744 608 525 482 413 505 852 6631 100,0% Taux d’incidence* (10 000) 41,6 36,4 42,7 34,6 27,7 23,5 21,2 17,8 21,4 35,4 - - MST/Sexe La surreprésentation des femmes fait que l’incidence moyenne est 5,4 fois plus élevée chez les femmes que chez les hommes (tableau ci-contre). La répartition de ces cas groupés montre que 36,2% concernent les 20-24 ans alors que cette tranche d'âge représente en général moins de 8% de la population générale au cours des dernières années, induisant une incidence moyenne largement plus élevée que pour les autres groupes d’âge, comme le montre le tableau ci-dessous : Masc Molluscum contagiosum 9 Herpès génital Syphilis 0/14 15/19 20/24 25/29 29 0 40 85 120 3 208 60 175 0 235 370 175 0 545 Candidose uro-génitale 16 705 1 722 Inf. génitales à chlam. 206 751 2 959 1006 Autres maladies vénér. 57 949 0 Infections à mycopl. 198 1071 1 1270 Trichom. uro-génitales 43 1577 0 1620 Total % 1055 5569 7 6631 15,9% 84,0% 0,1% 100,0% 9,4 51,2 - 30 30/34 35/39 40/44 45+ Ind. Total 3 7 6 2 2 2 1 3 26 0,4% Herpès génital 0 6 18 8 3 2 1 1 1 40 0,6% Syphilis 2 3 45 42 39 22 5 42 8 208 3,1% Condylomes acuminés 1 35 86 44 31 17 9 8 4 235 3,5% Gonococcies 3 106 202 117 70 22 12 5 8 545 8,2% Candidose uro-génitale 2 142 239 149 80 42 26 37 5 722 10,9% Inf. génitales à chlam. 1 226 422 182 69 26 10 8 15 959 14,5% Autres maladies vénér. 5 123 303 222 130 89 50 73 11 1006 15,2% Infections à mycopl. 2 298 520 235 117 47 27 18 6 1270 19,2% Trichom. uro-génitales 6 284 557 327 180 101 55 96 14 1620 24,4% total 22 1226 2399 1332 721 370 197 289 75 6631 100% % 0,3% 18,5% 36,2% 20,1% 10,9% 5,6% 3,0% 4,4% 1,1% 100% - Incidence moyenne pour 10 000 h. * 0,4 62,7 129,2 72,6 40 22,4 13,1 5,4 - 30 - * : Population au 01/01/2003, ISEE Les MST 1.2.2 26 Gonococcies 0 02 Total 11 Molluscum contagiosum Page Ind. 0 Condylomes acuminés Incidence moyenne pour 10 000 h. * MST/Age Fém 17 - Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie - 2007 - Répartition des MST par tranche d'âge et incidence moyenne, 1998-2007 Les maladies sexuellement transmissibles I.2.2.3. Évolution de 1990 à 2007 700 masc 600 Quelles que soient les maladies étudiées, le nombre de cas déclarés a particulièrement diminué depuis 1990, avec une disparition progressive des déclarations des MST par les professionnels de santé du secteur libéral. Ainsi, les taux indiqués ne peuvent représenter que des estimations minimales de la réalité, du fait de leur sous déclaration, confirmée par les données d’activité des laboratoires de bactériologie. 601 400 300 9,3 100 0 6,5 6,1 4,8 4 taux pour 10 000 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000 1999 1998 1997 1996 1995 1994 1993 1,5 1992 52 0-14 ans 15-19 ans 58 34 18 20-24 ans 25-29 ans 30-34 ans 35-39 ans 15 10 19 40-45 ans 20 6 6 45 + ND 20,5 0,89 0,95 0,98 1991 2 0 130 86 4 3,1 3,0 4 1990 119 • Les infections à gonocoques 7 2,9 280 316 200 Les cas d'infections génitales à chlamydiae déclarés ces 18 dernières années concernent surtout les jeunes de 19-24 ans (40,5% de l'ensemble des cas). 10,3 3,2 indét 500 • Le sex-ratio des MST 3,6 fém 15,1 9,4 11,8 8,7 4 5 7,3 4,6 2,6 2,4 2,5 2,4 3,4 2,2 1,4 1,4 1,5 Depuis 1993 le nombre de cas déclarés de MST concernant les femmes reste plus important que celui des hommes. Ceci peut être rapporté au fait que leurs visites chez le médecin sont plus fréquentes au cours de la période d'activité génitale (grossesse, contraception, enfants...), mais aussi, à partir de 1994, grâce à la mise en place des campagnes de dépistage du cancer du col de l'utérus, qui ont aussi permis de dépister des MST, au cours du même acte. taux pour 10 000 25,2 5,8 4,3 4,4 4,4 7,4 6,2 3,2 3,8 3,8 3 4 2006 37 250 200 150 0 7,9 2004 300 310 75 20 205 97 50 10,2 indét 101 16,7 16,9 fém 400 100 19,4 2002 masc 450 nombre de cas 30,9 2000 Evolution annuelle de l'incidence minimale des gonococcies (taux pour 10 000 habitants) 350 • Les infections à chlamydiae 1998 1996 1994 1992 1990 Evolution annuelle du sex-ratio femme/homme 90 12 0-14 ans 8 31 15-19 ans 20-24 ans 25-29 ans 30-34 ans 35-39 ans 3 15 40-45 ans 11 06 45 + 15 ND 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000 1999 1998 1997 1996 1995 1994 1993 1992 1991 1990 Répartition des gonococcies par sexe et tranche d'âge, cumul 1990-2007 Evolution annuelle de l'incidence des infections génitales à chlamydiae (taux pour 10 000 habitants) On note que les cas de gonococcies déclarés ces 18 dernières années concernent surtout les jeunes de 20-24 ans (39,7% des cas). Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie - 2007 - Les MST I.2.2 page 03 Les maladies sexuellement transmissibles A noter que l’incidence a amorcé une baisse dès 1991, bien avant 1996, peut-être attribuée à une diminution réelle de la fréquence de cette maladie. La baisse importante du nombre de déclarations, en particulier depuis 1996, a induit une chute importante de l’incidence, réduite à moins d’un cas pour 10 000 entre 2001 et 2006. Entre 2003 et 2007, l’incidence a tendance à augmenter légèrement, puisqu’elle est passée de 0,4 à 1,5. 16,1 Nombre de cas • La syphilis 15,5 13,7 Taux pour 10000 11,4 10,3 9 Evolution annuelle du nombre de cas et du taux de syphilis récente/ensemble des cas 2006 A noter le taux élevé de syphilis récente. 2007 2005 2003 2001 2004 1,5 1,1 0,7 0,5 0,4 0,9 0,6 0,9 2002 0,8 2000 1998 1,8 1999 1996 2,4 1997 1995 1993 1994 1991 1992 1990 3 Evolution annuelle de l'incidence de la syphilis pour 10 000 habitants âge Total % 0-14 ans 4 0,6% 15-19 ans 51 7,4% 20-24 ans 191 27,8% 25-29 ans 122 17,8% 30-34 ans 78 11,4% 35-39 ans 47 6,8% 40-45 ans 15 2,2% 45 + 71 10,3% Ind. 108 15,7% Total 687 100% Répartition des cas de syphilis récente par sexe et tranche d'âge, cumul 1990-2007 Répartition des syphilis par tranche d'âge, cumul 1990-2007 27,8% des cas de syphilis déclarés ces 18 dernières années ont été diagnostiqués chez les 20-24 ans Type de syphilis / Année Comme pour les autres MST, les cas de syphilis récente déclarés ces 18 dernières années concernent surtout les 20-24 ans (30%). 1990 1995 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Cardio-vasculaire 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Nerveuse 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Congénitale 10 3 0 0 0 0 3 1 1 2 Tardive 5 6 4 2 2 1 1 0 2 3 Autres et sans précision 109 31 5 5 4 2 2 1 1 7 Latente récente 78 33 9 8 2 3 0 8 13 11 Symptomatique récente 74 102 6 1 3 4 14 6 4 14 276 175 24 16 11 10 20 16 21 37 Total Répartition annuelle de la syphilis selon les différentes formes de la maladie Page 04 Les MST 1.2.2 - Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie - 2007 - Les maladies sexuellement transmissibles I.2.2.4. Conclusion On constate une diminution nette depuis plusieurs années du nombre de déclarations des MST, en particulier dans le secteur libéral à partir de l’année 2000. Cette discordance témoigne de la nécessité d'améliorer le dispositif de notifications des cas de MST, afin d'obtenir une meilleure représentativité à l'échelle de la NouvelleCalédonie. Pour ce faire, et comme alternative aux déclarations individuelles à l'aide du carnet à souches, il a été établi un relevé plus pratique pour les praticiens qui diagnostiquent un grand nombre de MST. Sur ce relevé, reproduit sur la page suivante, figure un tableau récapitulatif des maladies sexuellement transmissibles à déclaration obligatoire, avec le code OMS. Toutefois, cette méthode de relevé ne permet pas de résoudre le problème du faible nombre de notifications en particulier dans le secteur libéral, alors que ces déclarations constituent un indicateur de tendance important à exploiter en épidémiologie dans le cadre des programmes de contrôle et de prévention du sida, des MST, ou de la santé maternelle. La mise en place d'un autre système de recueil, informatisé, pourrait représenter une alternative particulièrement intéressante pour résoudre ce problème de sous déclaration, et obtenir des données représentatives de la situation en Nouvelle-Calédonie. Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie - 2007 - Les MST I.2.2 page 05 Page 06 Les MST 1.2.2 initiales du patient âge sexe ethnie commune de résidence ............................................... , le .......................................................... (cachet et signature du médecin) Date du diagnostic diagnostics (en code O.M.S.) - Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie - 2007 - syphilis latente récente (sans signe clinique) syphilis tardive (plus de 2 ans après l'infection) syphilis autres et sans précision infections gonococciques (blennoragie) infections génitales à chlamydiae (urétrite cervicovaginite) lymphogranulomatose vénérienne (maladie de Nicolas Favre) infections à mycoplasmes trichomonase uro-génitale candidose uro-génitale herpès génital molluscum contagiosum condylome acuminé chancre mou (chancrelle) granulome inguinal (donovanose) maladie de Reiter 092 096 097 098 078.9 099.1 041.8 131.0 112.2 054.1 078.0 078.1 099.0 099.2 099.3 099.9 syphilis symptomatique récente (précoce) 091 maladie vénérienne autre et sans précision (agent non identifié : vaginite, urétrite, ulcération génitale, balanite, balano-posthite, autres symptômes) syphilis congénitale Désignations 090 Codes OMS ECLARATION OBLIGATOIRE DES MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES à adresser au Médecin Inspecteur de la Santé, BP N4 - 98851 NOUMEA Relevé du .......................................... au .............................................. Les maladies sexuellement transmissibles