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Théâtre d’ombres et de figures
Le retour de Garance
Aurélie Morin
Durée : 50 mn
à partir de 5 ans
Catégorie c
Contact secteur éducatif : Maud Cavalca / 03 84 58 67 56 / [email protected]
Réservations : 03 84 58 67 67 / [email protected]
mercredi 8 et vendredi 10 avril à 19h
scolaires :
mercredi 8 à 9h30, jeudi 9 à 9h30 et 14h, vendredi 10 à 9h30
à La Coopérative
Sommaire
Distribution .............................................................................................................................................. 3
Présentation ............................................................................................................................................ 4
« Sous la peau des murs » : Un corps habité....................................................................................... 4
Processus de création.......................................................................................................................... 5
Sur la mise en scène ............................................................................................................................ 6
Projet scénographique ........................................................................................................................ 6
Activités préparatoires ............................................................................................................................ 7
La technique du théâtre d’ombres et de figures ................................................................................. 7
Après la représentation ........................................................................................................................... 8
Remémorations et impressions........................................................................................................... 8
Garance ............................................................................................................................................... 8
Repères biographiques .......................................................................................................................... 10
Aurélie Morin, direction artistique.................................................................................................... 10
Le Théâtre de nuit, une équipe de création associée ....................................................................... 10
Bibliographie.......................................................................................................................................... 11
Distribution
Conception artistique, ombres et figures
Aurélie Morin
Marionnettiste
Carine Gualdaroni
Assistante chorégraphique
Chloé Attou
Assistante scénographe
Elise Gascoin
Objets marionnettiques
Elise Gascoin
Réalisations plastiques
Valentine Canto-Martinez et Suzy Vergez
Constructeur castelet
Pascal Jean-Fulcrand et Rita Tataï
Compositeurs
David Morin, Aurélien Beylier
Création lumière
Aurélien Beylier
Costumes
Hélène Duclons (conception), Clara Ognibene,
Noémie Edel
Régisseur général
Aurélien Beylier
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Présentation
« Quelques traits d’un seul élan font des lignes droites et les droites font naturellement des maisons »
Henri Michaux, dessins d’enfants
« Sous la peau des murs » : Un corps habité.
Est-ce une maison qui habite ce corps ? Restitution d’espaces chargés de mémoire.
Après une longue période d’absence et de silence, une femme ethnobotaniste, Garance, mère, grandmère et arrière-grand-mère de 117 enfants, construit sa dernière maison…
Sous leurs yeux ébahis, elle évoque la maison de son enfance, ses voyages à travers la planète à la
découverte de curiosités végétales et d’elle-même, les lieux qu’elle a habités, la guerre et la maladie, la
séparation d’avec ses enfants, la guérison, le retour parmi les êtres aimés.
Rencontre passionnante entre une femme à la fois très âgée et sans âge et de jeunes âmes en quête de
sens.
L’histoire de Garance se lit dans les plis de ses yeux, les mouvements gracieux de ses mains, la lenteur de
son souffle. Elle nous met en contact avec des temps très anciens, mythiques. C’est là sa danse.
Garance a 103 ans.
Garance s’éloigne peu à peu d’une narration classique pour être au plus près de l’émotion, de l’imaginaire
des personnages. Les mots accompagnent les mouvements comme une musique et donnent un
prolongement à d’autres interprétations possibles de l’image. Garance remonte le temps.
Elle a 64 ans.
Ainsi se tisse la demeure de Garance : la trame d’un castelet se remplit d’images, d’ombres et de figures
furtives ou douces. Réfléchissent-elles l’espace mental du personnage ?
Le castelet s’ouvre, se déplie et se replie. Il se métamorphose comme une figurine d’origami, prolonge ses
branches pour embrasser, imperceptiblement, l’espace du public. Il abrite les souvenirs passés et ceux à
venir de Garance. L’âme de Garance déteint alors sur les espaces environnants comme une pensée
déteint sur une action. Elle remonte le temps.
Elle a 37 ans.
Le rouge Garance, ici, est le rouge de la vie qui circule et palpite au centre de l’être.
Du point de vue de Garance, son absence fut un voyage, une profusion de couleurs irréelles et de
paysages chaotiques. Du point de vue de ses enfants, son absence fut sécheresse, manque et absence de
couleur.
Les murs du castelet ont été recouverts de matières fluides, translucides ou organiques. Ils se révèlent au
fil de l’histoire, sont dénudés et dévoilent ce qui se cache mystérieusement sous leur peau, et
symboliquement sous la peau de Garance.
Un lourd secret se révèle aussi : une maladie a laissé des traces dans la mémoire de ses tissus ; reconnue
comme incurable, celle-ci s’est pourtant transformée : aujourd’hui, Garance revient guérie.
On lit dans les articulations du castelet les correspondances entre les organes du corps et ceux de la
maison. Le végétal présent d’une manière singulière dans chaque lieu traversé, s’imprime sur ce castelet
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mouvant et s’impose comme un véritable cordon ombilical entre le microcosme intime et domestique et
le macrocosme naturel. Garance remonte le temps.
Elle a 17 ans.
Le castelet devient alors symbole du monde sensible, de la quête continuelle de l’Homme pour se
protéger et aller à la découverte du monde qui l’entoure dans une fusion presque païenne avec la nature
sauvage.
Les maisons traversées ou habitées sont toutes dans le petit castelet. Elles reflètent des «états», des
moments de vie ou des moments de transition, comme autant d’abris pour l’expression visuelle et sonore
de nos mouvements intérieurs.
Finalement, le castelet devient la dernière maison, celle de l’apaisement et du repos, un berceau pour le
dernier voyage.
Garance a 103 ans, c’est une petite enfant.
Le retour de Garance (sous la peau des murs), se compose comme une ode à la vie, un retour exalté à
l’unité perdue…
Processus de création
Les premières attentions se portent sur l’apparition d’images et de sensations intérieures
apparemment chaotiques. L’écriture de l’histoire et la naissance des personnages doivent en premier
lieu passer par là. Les thématiques émergent d’intuitions qui se répondent et trouvent ainsi leur
propre logique. Le retour de Garance est écrit comme un long et lointain souvenir. La pièce met en
lumière la traversée de la vie d’une femme sur un peu plus d’un siècle : de 1910 à 2013.
Pour évoquer cette traversée, nous prenons appui sur les différents lieux qu’elle a habités et leurs
liens avec l’environnement végétal. Garance est ethnobotaniste. Le jour où la maison et le jardin de
son enfance sont détruits pour y voir à la place un parking, sa famille part en voyage.
L’histoire raconte l’attachement et les symboles reliant les Hommes à leur maison.
En parallèle, elle pose la question de l’aménagement urbain réalisé ou non en complicité avec
l’environnement naturel et végétal.
Garance revient pour construire sa dernière maison ; elle remonte le temps et se souvient : une
hutte perchée sur les hautes montagnes de Colombie, un appartement donnant sur les toits de NewYork, une maison collée à d’autres maisons dans une rue de Fribourg, une maison sur l’île d’Okinawa,
non loin de Nagasaki, une caravane sur les routes qui séparent le Vercors de Bali, un petit pavillon de
banlieue parisienne. Autant de lieux motivants la création d’un dernier habitat « idéal »…
Le retour de Garance est une pièce inspirée par la symbolique du nombre d’or : jusqu’où l’être
humain doit-il aller pour trouver son propre centre de gravité, le fil rouge tissant la trame de son
existence ?
Nul ne sait le dire avec les mots et Garance oscille entre intérieur et extérieur, entre vie sédentaire et
vie nomade, entre ville palpitante et quiétude de la nature, entre monde humain et monde végétal,
entre sa propre maison et celle des autres…
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Sur la mise en scène
Les mouvements des silhouettes et des corps sont chorégraphiés et se composent comme des
tableaux.
Ceux-ci traduisent une fluidité de sensations et de pensées telles qu’elles nous investissent en rêve,
dans la mémoire ou en « pensée visuelle », de manière ni cloisonnée ni linéaire.
Une image vient raconter un pan entier de l’histoire tandis qu’un seul mouvement est un événement
qui fait naître de nouvelles émotions, nous rapprochant un peu plus de Garance.
Le texte, lisible sur plusieurs niveaux sera donné au « compte-goutte » ; cependant il soutiendra
activement l’évolution des tableaux et l’interaction du personnage principal, Garance, avec le public
et les figures manipulées.
L’atmosphère de la pièce rejoint celle des mythes, car bien qu’inspirée de sources contemporaines, le
langage qui en émerge s’apparente à un langage archaïque difficilement qualifiable. Il s’agit plutôt de
s’approcher de la tension spirituelle d’un rituel. Un rituel contemporain qui s’inspirerait de cultures
anciennes.
C’est pourquoi l’art brut ou l’art des outsiders nous parle directement. Il est surtout question de
nécessité, d’énergie émotionnelle reliée à l’état d’enfance. Cependant, les sages immortels
retrouvent spontanément ces états et Garance, dans ses multiples traversées, nous livre un peu de
tout cela.
Le personnage de Garance est porté par la marionnettiste masquée. Tous les personnages, tableaux,
figures et lumières sont manipulés dans le castelet ou à vue mais toujours en lien avec le castelet.
Lorsque Garance danse, elle fait aussi danser les figures et le castelet, même à distance.
Projet scénographique
« L’enfant en ses dessins évoque la maison, la pense pour y aller, pour y retourner quand il faudra,
répète son plaisir d’y revenir, établit ses repères ». Henri Michaux, dessins d’enfants
Le castelet, tout l’environnement plastique ainsi que l’installation du public participent à
l’élaboration de la scénographie.
Pour créer les différents tableaux, nous collectons des souvenirs propres, des mémoires corporelles
jeunes ou anciennes, intimes ou universelles.
Nous partons d’intuitions fortes pour ensuite laisser des brèches ouvertes aux influences
extérieures : l’architecture contemporaine des « refuges » et des cabanes à travers le monde, la
diversité des habitats en échos aux différents modes de vie, les études d’urbanistes contemporains
sur la « fertilité » ou « l’inactivité » des rues, l’impact de la bombe atomique et de l’énergie nucléaire
sur l’environnement, l’ethnobotanique comme moyen d’équilibre entre les aspirations les plus
contradictoires des Hommes et des Femmes.
Le castelet est un pliage de matières translucides, opaques ou transparentes agencées autour d’une
structure métallique qui se déploie et se transforme au fil de l’histoire.
Au début du spectacle, le castelet est une petite maison portée par la marionnettiste comme s’il
s’agissait d’un vêtement aux contours rigides ou souples.
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Des installations d’ombres donnent la couleur, la lumière, les personnages et transforment les
matières du castelet en paysages habités, en maisons, en rues, en végétaux, en figures…
Activités préparatoires
La technique du théâtre d’ombres et de figures
Le théâtre d’ombres fait partie de la famille du théâtre de marionnettes. Aurélie Morin a la
particularité de travailler avec des objets de grandes tailles qu’elle projette et met en scène.
La technique du théâtre d'ombres est très simple. On fabrique un cadre en bois et on tend dessus
une feuille de papier ou un drap. On projettera sur cet écran des ombres à l'aide d'acteurs (ombres
humaines), de silhouettes découpées (ombres chinoises), de jeux de mains (ombromanie)... Il suffit
de chercher « ombres chinoises » dans la catégorie « vidéos » sur un moteur de recherche pour en
trouver des exemples. Autour de l'écran, surtout dessous et sur les côtés, on placera des caches pour
dissimuler les manipulants des spectateurs.
Le théâtre pourra être de petites dimensions et éclairé par une lampe de poche... ou beaucoup plus
grand. Comme pour les marionnettes, le théâtre est appelé castelet.
Le cadre pourra être rudimentaire, assemblé à l'aide de serre-joints ; les poteaux verticaux pourront
être maintenus droits à l'aide de supports de parasols... On cachera le tout sous du tissu, du papier
crépon, voire des décors divers.
Un castelet pourra présenter plusieurs écrans de manière à situer des lieux différents de l'histoire.
Les ombres sont de simples silhouettes, articulées ou non, montées sur baquettes pour qu'on puisse
les projeter sur l'écran.
Pour la source lumineuse, on fixera un projecteur en hauteur derrière le castelet (sur un escabeau,
par exemple). On le mettra plus haut que les manipulants afin que ceux-ci puissent travailler debout,
la lumière les surplombant. On pourra faire des essais avec des projecteurs de couleur (qui nuisent
toujours à la netteté des ombres), des variateurs d'intensité qui permettent de simuler la tombée
de la nuit ou le lever du jour...
On peut aussi réaliser de petits objets en papiers découpés posés sur la vitre d’un rétro-projecteur.
Dans le cas de nombreux manipulants -un groupe d'enfants, par exemple- on prévoira un chemin
tournant derrière le castelet : l'enfant prend une ombre, attend son tour, joue sur l'écran, repose son
ombre, en reprend une autre, reprend sa place dans la file d'attente... Les décors sont également un
élément important de la représentation.
(Source : http://ombres-et-silhouettes.wifeo.com/technique-du-theatre-dombres.php)
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Réaliser avec les élèves des figures simples à découper, penser à évider certaines parties afin de
laisser passer la lumière.
Essayer de réaliser de petites saynètes en théâtre d’ombres. Vous pourrez également utiliser
d’autres techniques (ombromanie, ombres humaines, ombres à partir d’objets…)
Après la représentation
Après avoir vu le spectacle, il est utile d’en parler avec les enfants afin de découvrir leurs
expériences.
Remémorations et impressions
Recueillir les premières impressions des élèves sur le spectacle en leur demandant de recenser les
moments qui leur ont semblé les plus réussis. Cet exercice a pour objectif de faire réfléchir les élèves
sur la mémoire collective du spectacle. Quels sont les moments qui ont le plus marqué les
mémoires ? Pourquoi certains passages leur ont-ils semblé particulièrement réussis. Qu’ont-ils vu ?
Qu’est-ce qui s’est passé ? Y avait-il des moments qui les rendaient plutôt joyeux, plutôt tristes ?
Demander à chaque élève de faire un dessin (ou écrire un texte court pour les plus grands) qui
représente son passage préféré, ce qu’il retient du spectacle
Garance
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La garance, ou garance des teinturiers, est une plante de la famille des Rubiacées dont les racines
sont utilisées pour leur capacité à teindre les textiles en rouge vif. La garance voyageuse (Rubia
peregrina) est une plante apparentée à la précédente.
Garance est, par extension, la teinture et la couleur tirées de cette plante.
Demander aux élèves s’ils ont repéré cette couleur sur la scène lors du spectacle ? Si oui, sur quels
éléments ?
Vous pourrez traiter cette couleur et ses dégradés en peinture.
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Repères biographiques
Aurélie Morin, direction artistique
Aurélie Morin se forme à la danse classique, à la danse contemporaine, au solfège, au piano, au
chant et à l’histoire de la musique et de la danse depuis son plus jeune âge dans le cadre d’une classe
à horaires aménagées en lien avec le conservatoire de Caen. Puis elle est admise sur concours à
l’école de danse P.A.R.T.S (Bruxelles), dirigée par Anne Teresa de Keersmaeker. Elle y rencontre
Fernand Shirren, percussionniste, compositeur, accompagnateur de films muets, écrivain et maître
de rythme, qui lui enseignera ses notions de durée, de rythme, d’équilibre, de centre, de présence
« suspendue »… Elle participe ainsi à la recréation de Rythmes pour bouches, pièce pour quatre voix
de Fernand Shirren, qui sera présentée à l’Opéra de La Monnaie à Bruxelles.
Aurélie Morin poursuit sa formation en danse auprès d’Elsa Wolliaston, Marion Ballester, Masaki
Iwana et Will Swanson, au CND à Paris puis intègre l’ESNAM (Ecole supérieure nationale des arts de
la marionnette) à Charleville Mézières. Elle sera marquée par les rencontres avec Peter Schumann et
Arne Hogsander.
Elle y rencontre également Fabriccio Montecchi (teatro Gioco vita-Piacenza) et Jean Pierre Lescot
(compagnie les Phosphènes-Fontenay-sousbois), tous deux reconnus pour leurs spectacles de théâtre
d’ombres. Ces rencontres sont révélatrices et dès lors, Aurélie se spécialise dans les techniques
traditionnelles et contemporaines du théâtre d’ombres.
Diplômée de l’ESNAM (2002, 5 promotion), elle enseigne le théâtre d’ombres au Théâtre du Fust où
elle rencontre Emilie Valantin qui lui propose de coproduire une première création en partenariat
avec le Théâtre de la Marionnette à Paris.
ème
En 2012 Renaud Herbin, nouveau directeur du TJP CDN d’Alsace et de Strasbourg, lui propose
d’intégrer le noyau artistique du TJP dans le cadre du développement d’un projet de pôle européen
de création artistique pour les arts de la marionnette.
Le retour de Garance est sa septième création.
Le Théâtre de nuit, une équipe de création associée
Fondé en 2004 sous l’impulsion d’Aurélie Morin, le Théâtre de Nuit allie théâtre d’ombres, éléments
naturels, arts plastiques et figures dansées et animées. Il propose un théâtre poétique des «sens», de
l’intime, entre douceur et jaillissement.
Là, le temps du rêve a toute sa place et rend sa liberté à la réalité, au quotidien. La compagnie crée
des spectacles vivants pour les enfants et les adultes. Elle propose aussi des ateliers de fabrication et
d’apparitions d’ombres.
Aurélie Morin, en étroite complicité avec les artistes de la compagnie, explore les différents langages
que portent l’ombre, le corps, la lumière et la figure. Leurs métamorphoses sont l’écho des
profondeurs de l’âme, des émotions premières, des rituels perdus ou retrouvés. Ici, elles sont
traversées par la danse, les matières brutes ou travaillées, la musique et les sons, les mouvements
dansés, les voix ; autant de fragments d’une expression qui donne plusieurs visages à la narration.
Cette expression s’inspire de techniques traditionnelles et contemporaines, puis s’en éloigne pour
mieux, hors du temps, se mouvoir.
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Bibliographie
-
Rock the shack-the architectures of cabins, cocoons and hide-outs. Éditions Gestalten
-
Expériences constructives, Marc Grodwohl. Edité par l’écomusée d’Alsace.
-
Grandes idées, XS extrême, petites structures. Éditions Thames and Hudson.
-
La demeure, la souche-appartements de l’artiste, Georges Didi-Huberman. Éditions de
minuit.
-
Reconquérir les rues-exemples à-travers le monde et pistes d’actions,-Nicolas Soulier.Éditions Ulmer.
-
Farming the city-food as a tool for today’s urbanisation. Éditions Cities transcity valiz
-
Les révoltés du merveilleux, Charles Soubeyran, Robert Doisneau, Gilles Ehrmann. Éditions le
temps qu’il fait.
-
Les utopies du masque sur les scènes européennes du XX° siècle, Guy Freixe. Éditions de
l’entretemps.
-
L’énergie qui danse- Dictionnaire d’anthropologie théâtrale, Eugenio Barba, Nicola Savarese.
Éditions L’entretemps.
-
Les plantes sauvages, Vincent Delbecque. Éditions Savoirs de Terroirs.
-
Les causes et les remèdes, Hildegarde de Bingen. Éditions J.Millon.
-
L’Herbier boisé-histoires et légandes des arbres et arbustes, Bernard Bertand. Éditions plume
de carotte
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