Le Colonel Jean Besson, grand naturaliste varois

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Sci. Rep. Port-Cros natl Park, 27 : 83-89 (2013)
Le Colonel Jean Besson,
grand naturaliste varois
Philippe ORSINI1* et Frank DHERMAIN2
1
2
1000 route des Selves, 83210 Solliès-Ville, France
GECEM, 13 Bd Redon, Chloris A, 13009 Marseille, France
*Contact : [email protected]
Jean Besson
Prenant la suite des grands ornithologues provençaux historiques
(Polydore Roux, Jean-Baptiste Jaubert, Christophe-Jérôme BarthelemyLapommeraye, Jean Crespon, Paul Madon), le Colonel Besson se situe
nettement, par son action, à une période charnière. En effet, c’est à cette
époque, la seconde moitié du 20ème siècle, que des ornithologues comme
Luc Hoffmann ou André Rivoire, n’ont plus été des simples
systématiciens, collecteurs d’oiseaux, mais se sont impliqués non
seulement dans la protection des espèces mais surtout dans la
préservation des espaces naturels.
On peut dire que, pour le département du Var, le Colonel Besson a été
le premier des ornithologues « modernes ».
Le parcours de vie de cet homme hors du commun mérite d’être
connu, d’abord pour honorer sa mémoire, bien sûr, mais aussi pour
donner exemple aux ornithologues contemporains et à ceux à venir, de
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ce que doit être l’ornithologie de terrain et le dévouement à la cause de la
protection de la Nature.
Jean Besson est né le 6 mars 1913 à Rambvillers, dans les Vosges, où
son père, officier des chasseurs à pied était en garnison. Son père ayant
été tué en 1914, dès le début des hostilités, c’est sa mère qui va s’occuper
de son éducation.
Après des études classiques, et l’obtention de son bac en 1931, Jean
Besson entre à l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr. Sa première
affectation à Tarascon, en 1934, lui fera découvrir la Provence, pour
laquelle il s’est par la suite tant dévoué.
De cette carrière militaire, il parlait peu. Une fois seulement il nous a
cependant raconté par le détail ses durs combats menés dans le désert,
en 1943 contre Rommel et l’Afrikacorps. Il préférait de loin nous conter
des anecdotes naturaliste, foisonnantes de détails et toujours empreintes
d’une portée pédagogique. Ce sont les dernières panthères mangeuses
d’hommes du Moyen Atlas, ses ascensions de montagnes, en solitaire,
aux confins du Sahara, ou encore les lions observés près de la piste peu
avant d’arriver à Saint Louis, au Sénégal. Un jour, traversant le désert en
convoi, il dut abattre lui-même l’une des dernières autruches d’Afrique du
Nord, pour récupérer dans son jabot plus d’un kilo de pousses vertes et
tendres, afin de sauver l’un de ses hommes atteint du scorbut. Ce fut le
seul acte de chasse du colonel Besson…
De 1947 à 1962 ses affectations le partagent entre l’Afrique du Nord
et la Provence. C’est pour rester dans cette région, qu’à l’âge de 49 ans
il quitte l’armée et prend sa retraite avec le grade de Lieutenant Colonel.
Il va alors se consacrer avec fougue à la découverte et à la protection
de la Nature en Provence. Presque tout est à faire mais il va prospecter
plus particulièrement les marais de la presqu’île de Giens, les Iles
d’Hyères, le massif de la Sainte Baume, les Gorges du Verdon, le massif
du Mercantour, les montagnes autour de Valberg (où il possédait un chalet)
et le plateau de Canjuers. Ses publications sur ces sites constituent une
manne précieuse qui nous permet de mieux comprendre l’évolution de
l’avifaune au cours du dernier demi-siècle. Ce qui est très regrettable c’est
de ne pas avoir eu accès à ses carnets de terrain, car ils lui servaient
également de journal personnel. Mais, conscient de leur importance, il a
toujours été disponible pour aller y rechercher ses notes et ses croquis
de terrain et rédiger une brève synthèse manuscrite afin de nous indiquer
ce qu’il fallait aller vérifier dans tel ou tel secteur que nous allions
prospecter. Les ornithologues de terrain étaient alors très rares (Laurent
Yeatman, André Rafanel et le Colonel Besson pour le département du Var)
et l’heure était souvent au plus grand pessimisme.
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La déprise agricole battait son plein et la vigne (57 000 hectares) avait
pris le pas sur les cultures traditionnelles. L’emploi massif de pesticides,
commencé dans les années 1950, faisait d’énormes ravages dans
l’avifaune (il ne restait plus qu’un seul couple de faucon pèlerin dans le
Var, sur l’île de Port-Cros). La faible exploitation de la forêt,
l’embroussaillement des cultures laissées à l’abandon et les débuts du
tourisme estival de masse étaient souvent la cause d’incendies
catastrophiques. La formidable augmentation des pistes forestières, dans
le but justement de défendre la forêt contre les incendies, donnait un
accès rapide à la quasi-totalité des massifs forestiers. Le nombre de
chasseurs avait atteint son maximum et les tirs sur les rapaces (encore
souvent considérés comme nuisibles) étaient fréquents. Enfin, les grands
projets immobiliers et autoroutiers commençaient à voir le jour : Port-Grimaud
à l’embouchure de la Giscle, projets de Marinas sur la commune d’Hyères,
création de la Route du Sel sur la branche occidentale du Tombolo de
Giens avec destruction des derniers cordons dunaires, comblement des
marais de l’Esparre par un gigantesque dépôt d’ordures, projets
autoroutiers entre Toulon et Nice. C’est aussi le moment où se met en
place sur le plateau de Canjuers, le plus grand camp militaire d’Europe
(34 000 hectares). C’est dans ce climat de pessimisme chronique que le
colonel rédige en 1968 son « Aperçu sur l’avifaune du Var » qu’il
commence en ces termes : très faible densité d’oiseaux et distribution
des espèces très localisée. Il décrit seulement 84 espèces nicheuses et il
s’empresse d’ajouter « plus de 35 espèces ne sont représentées que par
quelques dizaines d’individus et certaines même par quelques unités ».
Le Colonel Besson, ne voulant pas rester passif devant ces menaces,
a donc rejoint tout naturellement l’ARPON (Association Régionale pour la
protection des Oiseaux et de la Nature) qui avait vu le jour en 1963. Il y
occupera rapidement le rôle très engagé de conseiller scientifique.
Reconnu pour ses compétences, il fut nommé Conseiller biologiste du
Département du Var, auprès de M. le Préfet et dès 1970 il intégra le
Conseil scientifique du Parc national de Port-Cros dont il fit partie jusqu’en
1992. Les premières connaissances naturalistes sur les vertébrés
terrestres du Parc national lui doivent beaucoup comme en témoignent
les publications suivantes : Mammifères des Iles de Port-Cros/ Bilan des
connaissances actuelles sur l’avifaune de Port-Cros/La réintroduction de la
Tortue d’Herman à Port-Cros/Première observation d’oiseaux nouveaux à
Port-Cros/Rapaces nocturnes à Port-Cros/Le Faucon d’Eléonore aux Iles
d’Hyères/Hivernage d’un Aigle botté dans l’île de Port-Cros/Séjours de
Faucons d’Eléonore aux Iles d’Hyères/Le statut de l’archipel des Iles d’Hyères
et la conservation des sites de nidification des oiseaux marins. Il faut dire
qu’habitant la Ville d’Hyères, les marais et les îles alentours étaient son
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principal terrain d’investigation. Il s’est également passionné, dans les
années 1970, pour l’étude des Cétacés et a créé à Hyères une cellule
d’intervention sur les échouages, un modèle du genre, qui a apporté une
contribution déterminante à l’étude des Cétacés des côtes de France,
lancée par le Centre National d’Etudes des Mammifères Marins du Pr Duguy.
Il a ainsi parcouru en avion, en bateau et en hélicoptère, les côtes du
Languedoc et la Provence apportant une contribution inestimable à la
connaissance des Cétacés mais aussi des Oiseaux marins.
Il savait utiliser les journaux, principaux médias de l’époque, pour
dénoncer avec force, compétence et preuves à l’appui, toutes les
violations à la protection de la Nature : scandales immobiliers,
dérangements de rapaces nicheurs par des voies d’escalade, tirs
d’espèces protégées, destructions des puffins dans des filets de pêche,
survols des lieux de nidification des rapaces par les hélicoptères de
l’Armée, chasses d’oiseaux affaiblis lors d’une vague de froid, manœuvres
sans raison supérieures dans le Camp de Canjuers, destruction de
rapaces en Afrique par des scientifiques de renom, afin d’étudier leur
régime alimentaire, etc. On peut dire que l’ancien militaire était sur tous
les fronts.
Toutes ses actions de protection s’appuyaient sur des connaissances
solides, essentiellement acquises sur le terrain. Sa bibliothèque naturaliste
était pourtant très classique et uniquement francophone : les revues
Alauda, L’Oiseau et la Revue française d’Ornithologie et la revue suisse Nos
Oiseaux, dont il possédait tous les numéros, venaient compléter les guides
de base en langue française sur les Mammifères, les Oiseaux et les
Reptiles-Amphibiens. Les 91 publications scientifiques qu’il a rédigées
l’ont placé pendant longtemps au premier rang des auteurs ayant le plus
écrit sur la nature en Provence. Il encourageait les ornithologues à faire
de même et à écrire dans des revues sérieuses, afin de laisser des traces
pérennes de leurs observations.
Jean Besson était donc un naturaliste de très haut niveau et un ardent
protecteur de la nature. Pour ceux qui l’ont connu il était plus que cela
encore : un homme bon, un être truculent, plein d’humour et de sagesse,
malgré les drames personnels qui l’ont frappé au soir de sa vie. Il a tenté
un ultime voyage au Maroc, pays qu’il chérissait, mais ce ne fut pas un
succès. Avec l’âge, ses ennuis de santé prirent de l’importance, troubles
de la vision et insomnies. C’est dommage car il avait des jambes et un
moral d’acier et peu d’entre nous pouvaient le suivre sans tirer la langue,
sur les crêtes de la Sainte Baume, à la recherche des pluviers guignards
ou des accenteurs alpins.
Pilier scientifique de l’ARPON, il était normal qu’il prît une importance
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capitale dans la création du CROP (Centre de Recherches Ornithologiques
de Provence) qui devint par la suite le CEEP (Conservatoire Etudes des
Ecosystèmes de Provence/Alpes du Sud). Il sut transmettre, à tous ceux
qui l’ont connu, ses méthodes, sa rigueur, ses savoirs et sa passion de la
conservation de la nature. Il fut souvent notre guide et sa parfaite
connaissance de la Provence, fruit de trente années de prospections de
terrain, fut un élément majeur pour l’élaboration des périmètres et du
contenu des premières ZNIEFF dans les années 1980.
Quand il s’est éteint, le 31 juillet 1995, dans son chalet de Valberg, la
Nature provençale a perdu avec lui l’un de ses plus ardents défenseurs.
Réintroduction de la Tortue d'Herman
à Port-Cros. Le colonel Besson, au
centre, en chemise à petits carreaux
Gilles Cheylan à l'extême gauche.
(photo Marc Cheylan).
Références
ORSINI Philippe et DHERMAIN Frank (1995).- In memoriam Colonel Jean Besson (1913-1995).
Faune de Provence 16: 130-133.
Biblographie personnelle de Jean BESSON
BESSON J., 1958 a.- Colonies d'Echasses et d'Avocettes dans la région d'Hyères (Var). Alauda 26: 67-68.
BESSON J., 1959 a.- Observations faites dans les marais salants d'Hyères (Var) au cours du printemps 1959 (du
1 mars au 17 mai). Alauda 27 (4) : 309-312.
BESSON J., 1963 a.- Le Coucou-geai (Clamator glandatius) sur le littoral varois (Hyères). Alauda 31: 149-150
BESSON J., 1963 b.- Les Becs-croisés (Loxia curvirostra) dans les Alpes-Maritimes. Alauda 31 (2): 150-151.
BESSON J., 1963 c.- Hivernage du Tichodrome échelette Tichodroma murada et de l'Accenteur alpin Prunella
collaris dans les Bouches-du-Rhône et le Var. Alauda 31 (4) : 307-309.
BESSON J., 1964 a.- L'Aigle royal Aquila chrysaetos dans les Alpes du sud. Alauda 32 (1): 45-50.
BESSON J., 1964 b.- Le Guépier d'Europe Merops apiaster dans le Var en 1964. Alauda 32 (4): 297-303.
BESSON J., 1964 c.- Observations d'automne dans les Alpes du sud. Alauda 32 (4): 307-311.
BESSON J., 1966 a.- Observations sur un hivernage de Jaseurs Bombycilla garrulus dans les Alpes du sud.
Alauda 34 (1): 70-72.
BESSON J., 1966 b.- Dortoirs urbains d'Etourneaux sur le littoral méditerranéen. Nos Oiseaux 28 (7) [30 179.
BESSON J., 1967 e.- Notes sur la reproduction de 4 couples d'Aigles royaux dans les Alpes-Maritimes en 1966.
Alauda 35 : 49-61.
BESSON J., 1967 b.- Le Guêpier d'Europe Merops apiaster dans le Var en 1965. Alauda 35 (4) : 298-302.
BESSON J., 1967 c.- Portraits d'oiseaux varois : la Fauvette pitchou (Sylvia undata). Nos amis les oiseaux, bull.
AVPO 1 - 1967- : 8.
BESSON J., 1967 d.- Opération "Aigle Jean le blanc" dans le Var. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO 2 -1967- :
8-10.
BESSON J., 1967 e.- Guêpiers et Rapaces dans le Var. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO 2 -1967- : 13-14.
BESSON J., 1967 f.- Portraits d'oiseaux varois : la Fauvette à tête noire (Sylvia atncapilla). Nos amis les oiseaux,
bull. AVPO 2 : 19-20
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BESSON J., 1968 a.- Contribution à l'étude de l'avifaune des marais salants et des marais résiduels de la région
d'Hyères. Ann.Soc.Sc.Nat.Toulon : 20 : 129-153
BESSON J., 1968 b.- Données complémentaires sur la Chouette de Tengmalm dans les Alpes-Maritimes. Alauda
36 (4) : 290-292.
BESSON J., 1968 c.- Une nidification de jeunes Becs-croisés Loxia curvirostra dans les Alpes-Maritimes. Alauda
36 (4) : 292-293.
BESSON J., 1968 d.- Quelques observations sur la Chouette de Tengmalm Aegolius funereus dans les AlpesMaritimes. Alauda 36 (3) : 208-209
BESSON J., 1968 e.- Portraits d'oiseaux varois le Hibou Petit- duc. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO [1968] : 21-22.
BESSON J., 1968 f.- Aperçu sur l'avifaune du Var. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO 4 : 3-5.
BESSON J., 1968 g.- Ailes de flamme sur les salins d'Hyères. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO 4 : 9-10.
BESSON J., 1968 h.- Portraits d'oiseaux varois : le Rossignol philomèle. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO 4 : 15-16.
BESSON J., 1968 i.- Toulon, ville dortoir d'Etourneaux en hiver. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO 4 : 23-24.
BESSON J., 1968 j.- Un bel exemple de solidarité pour sauver un Flamant blessé d'un coup de fusil. Nos amis les
oiseaux, bull. AVPO 3 : 21-22.
BESSON J., 1969 a.- Hivernage de Sternes caugeks Sterna sandvicensis dans le golfe de St Tropez (Var). Alauda
37 : 255.
BESSON J., 1969 b.- Les Puffins dans le Var. Alauda 37 : 256-258.
BESSON J., 1969 c.- Un curieux mode de pêche de la Sterne naine Sterna albifrons. Alauda 37 (3) : 258.
BESSON J., 1969 d.- Un Aigle royal Aquila chrysaetos de la variante barthelemyi dans les Basses-Alpes. Alauda
37 (3) : 258-260.
BESSON J., 1969 e.- Avifaune du parc national du Mercantour. doc. ronéotypé, parc du Mercantour 6 p.
BESSON J., 1969 f.- Menu d'une Chouette hulotte dans le Var, ou pourquoi nous devons protéger les rapaces
nocturnes. Nos amis les oiseaux, bull. AVPO 5 [1969] : 7-8.
BESSON J., 1969 g.- Portraits d'oiseaux varois : le Goéland argenté (Larus argentatus). Nos amis les oiseaux,
bull. AVPO 5 [1969] : 12-14.
BESSON J., 1969 h.- Portraits d'oiseaux varois : le Guêpier d'Europe (Merops apiaster). Nos amis les oiseaux,
bull. AVPO 6: 17.19.
BESSON J., 1969 i.- Un Engoulevent victime d'une abeille. Nos Oiseaux 322 (30/1) : 22-23.
BESSON J., 1969 j.- Migration de Bergeronnettes printanières Motacilla flava à très haute altitude. Nos Oiseaux
322 (30/1) : 23.
BESSON J., 1969 k.- Passage de limicoles et de quelques autres espèces en moyenne et haute montagne dans
les Alpes du Sud. Nos Oiseaux 325 (30/4) : 103-105.
BESSON J., 1969 I.- Observations de Niverolles dans le Var. Nos Oiseaux 30 (2/3) : 70.
BESSON J., 1970 a.- Nouvelles observations sur la Chouette de Tengmalm dans les Alpes-Maritimes et le Queyras
(Hautes- Alpes). Nos Oiseaux 30 (8/9) : 235-236.
BESSON J., 1970 b.- Le Puffin cendré nicheur aux îles d'Hyères (Var). Alauda 38 : 157-159.
BESSON J., 1970 c.- Un Pétrel tempête Hydrobates pelagicus dans une rue de Saint-Tropez (Var). Nos Oiseaux
30 (10) [331] : 263.
BESSON J., 1970 d.- Bécasseau falcinelle Limicole falcinellus hivernant près d'Hyères, Var. Alauda 38 : 159.
BESSON J., 1970 e.- Ce qui n'a pas été dit sur les incendies de forêt. Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 8: 8-10.
BESSON J., 1970 f.- La migration des Bondrées apivores dans le sud-est. Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 8:
23-24.
BESSON J., 1970 g.- Observations d'oiseaux de mer sur le littoral varois en 1969. Nos amis les oiseaux, buil:
AVPON 7: 9-11.
BESSON J., 1970 h.- Un demi succés pour le camp militaire de Canjuers. Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 7: 12
BESSON J., 1970 i.- Un projet de parc national dans le sud-est : le Parc National du Mercantour. Nos amis les
oiseaux, bull. AVPON 7: 17-19.
BESSON J., 1970 j.- Un jeune Aigle royal à Cavalière (Var). Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 7: 20.
BESSON J., 1970 k.- Les Flamants en 1969. Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 7: 20.
BESSON J., 1970 I.- La taxidermie et la protection de la faune. Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 8: 18-21.
BESSON J., 1971 a.- Deux nouveaux sites de nidification du Choucas des tours Corvus monedula dans le sudest_ Alauda 39 : 249-250.
BESSON J., 1971 b.- Chasse en vol du Chocard Pyrrhocorax graculus et du Crave Pyrrhocorax pyrrhocorax.
Alauda 39 (3) : 250.
BESSON J., 1971 c.- Un Petit Pingouin dans le port de Sainte- Maxime. Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 9: 16-17.
BESSON J., 1971 d.- Les jeunes et la nature [Gilles et Marc Cheylan] Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 9: 20-21.
BESSON J., 1971 e.- Une nidification de Guêpier dans le Haut- Var Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 9: 22.
BESSON J., 1971 f.- Le Coucou-geai dans le Var en 1971. Nos amis les oiseaux, bull. AVPON 10: 13.
BESSON J., 1972 a.- Attachement d'un Merle bleu (Monticola sofitaniis) à son gîte nocturne. Alauda 40 : 101.
BESSON J., 1972 b.- Chasses statiques de longue durée chez l'Aigle royal et le Circaète Jean-le-blanc. Alauda
40 (1) : 100-101.
BESSON J., 1972 c.- Nos derniers grands rapaces du Var sont tous menacés par les vols à basse altitude des
hélicoptères militaires. Nos amis les oiseaux, bull. ARPON 11: 13-16.
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BESSON J., 1972 d.- Rapaces migrateurs de passage dans le sud-est. Années 1971 et 1972. Nos amis les
oiseaux, bull. ARPON 12: 27-29.
BESSON J., 1972 e.- Les Flamants sur la Côte d'Azur en 1972. Nos amis les oiseaux, bull. ARPON 12: 31-32.
BESSON J., 1973 a.- Mammifères des îles de Port-Cros. Rev. inf. URVN 7: 60.
BESSON J., 1973 b.- Remarques sur la mort accidentelle de Puffins yelkouans. Alauda 41 : 165-167.
BESSON J., 1973 c.- Nidification du Faucon hobereau Falco subbuteo en montagne Alauda 41 (1-2) : 167-168.
BESSON J., 1973 d.- La pollution marine et les échouages de cétacés sur le littoral méditerranéen français. Nos
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BESSON J., 1974 a.- Quelques observations d'espèces peu communes [dans le Var]. Nos amis les oiseaux, bull.
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16: 27-28.
BESSON J., 1974 c.- Massacre de Flamants et de Mouettes. Nos amis les oiseaux, bull. ARPON 15: 21-22.
BESSON J., 1974 d.- Une migration printanière par mauvais temps en Méditerranée. Nos Oiseaux 32 (11/356) :
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