Les Papillons blancs gèrent cinq ESAT en Finistère Le Club était
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Les Papillons blancs gèrent cinq ESAT en Finistère Le Club était
Numéro 42 Bulletin d’information du 04 mars 2014 Les Papillons blancs gèrent cinq ESAT en Finistère Le Club était présent au lancement de la marque Esatéo Les produits et prestations des Papillons blancs du Finistère sont commercialisés sous la marque Esatéo. Les prestations proposées par les Papillons blancs du Finistère ne se résument pas à l’entretien des espaces verts. Ils assurent par exemple l’entretien de l’ensemble du mobilier urbain de la Poste dans le département. Au total, les Papillons blancs du Finistère emploient quelque 600 salariés répartis dans cinq Esat, ce qui représente une vingtaine de métiers pour la réalisation d’une centaine de produits finis et prestations. Reconnaissance. Le jeudi 30 janvier était le lancement officiel de la marque Esatéo. Cette démarche s’accompagne de la création d’un site internet (www.esateo.com) Ainsi tout client, qu’il soit du Sud ou du Nord du département, peut accéder à toutes les productions des Papillons blancs, quel que soit leur lieu de fabrication. Les salariés voient ainsi leur savoir-faire valorisé. Le courrier du Léon 24 janvier 2014 « Les mers sont les plus exposées au dérèglement climatique » Hausse des températures plus marquée, fonte des glaciers, élévation du niveau des mers, érosion accélérée, acidification : les océans accumulent les impacts négatifs liés au réchauffement. Comment réagissent les océans face au réchauffement ? Les mers sont les premières exposées aux dérèglements du climat. Les océans absorbent 90 % de l'énergie produite par le réchauffement et jouent un rôle d'amortisseur sur la hausse de la température de l'air. Mais celle de leurs eaux augmente vite : la Méditerranée a gagné en moyenne 1 degré depuis trente ans. Cela a pour résultat de dilater les mers et de provoquer l'élévation de leur niveau. Celui-ci monte de 3 millimètres par an en moyenne. Ce phénomène, mais pas seulement lui, concourt évidemment à l'érosion accélérée des côtes. Enfin, il ne faut pas oublier que le réchauffement est lié à l'augmentation de la densité de gaz carbonique dans l'atmosphère. Leur absorption par les océans est de plus en plus problématique, entraînant un phénomène d'acidification qui aura des conséquences sur l'évolution de toute la chaîne alimentaire, du zoo plancton aux coquillages et jusqu'aux espèces marines les plus vivaces. Quels sont les impacts économiques et au plan humain ? Les impacts les plus lourds concernent bien sûr les pays de faible altitude. Les cas les plus connus sont le Bangladesh et les petits Etats insulaires en développement du Pacifique, menacés de submersion et où l'on va assister à des mouvements massifs de migration climatique. Dans certaines régions, ce phénomène risque de poser des problèmes diplomatiques et militaires. Les déplacements de population du Bangladesh vers l'Inde n'iront pas de soi. En France aussi, il y aura des réfugiés climatiques, ceux victimes de l'érosion du littoral. Par ailleurs l'acidification des océans est un vrai danger pour les activités aquacoles et conchylicoles. Elle s'attaque aux barrières de corail, derrière lesquelles ces activités s'abritent souvent. Interview Robert Calcagno, Directeur Gal de l’Institut océanographique de Monaco 06/02 Les Echos Les Coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole Quelques échos de l’assemblée générale annuelle, le vendredi 7 février à TAULE Ronan LE BOURHIS, président de la FDCUMA Finistère écrit «Nous croyons en l’aptitude des Cuma de maintenir l’agriculture sur nos territoires. Une agriculture que l’on souhaite la plus rentable, la plus diversifiée, la plus autonome possible. L’actualité politique ne cesse de nous le rappeler. Les Cuma sont incontournables aujourd’hui, elles le seront encore plus demain. Les Cuma c’est une offre de matériels variés et performants, c’est du lien social, c’est de la mutualisation qui rend nos exploitations plus efficaces économiquement, c’est aussi des groupes déjà bien constitués qui auront les moyens de répondre aux nouveaux enjeux que sont : Le maintien de la production sur nos territoires, Une agriculture écologiquement performante, Les coopératives de production La résolution du problème de surcroît de travail des agriculteurs L’indépendance énergétique de nos territoires.» Mieux répondre à la demande en matières premières Ce n’est pas simple de passer d’une logique de déchets à une logique de ressources ni même d’œuvrer dans une logique d’économie circulaire où la notion de proximité, née du besoin de gestion locale pour éviter les transports de déchets, prend une dimension mondiale lorsqu’il s’agit d’exportation de déchets pour valorisation. Le commerce de la matière première de recyclage participe au commerce mondial global qui a doublé en dix ans. Le plus gros poste est la ferraille (43% des flux de déchets à valoriser), puis viennent le papier, le plastique, l’aluminium et le cuivre. La chine importe le quart des volumes échangés. Les Etats-Unis exportent le quart des volumes échangés. La France serait exportatrice nette de déchets (5 % des volumes). «Si cela nous conduit à importer plus de matière première vierge, ce n’est pas bon pour la balance commerciale» a souligné Mathieu Glachant * mais avec la disparition de la sidérurgie, la France n’a quasi plus besoin de ferrailles. Professeur d’Economie à l’Ecole des Mines Paris Tech. Vie des Cuma du Finistère en quelques chiffres : 180 CUMA 3 600 structures adhérentes 5 M d’euros d’investissements en 2013 11 M d’euros de chiffres d’affaires 132 matériels en Cuma 37 salariés dans les Cuma 47 tracteurs en Cuma 19 moissonneuses, ensileuses 8 spéciales légumes 45 hangars propriétaires 2 groupements de Cuma : Kemebel-Kerveny (Plougasnou) et la palud (Plonévez Porzay) 1 création de Cuma : La fourragère du Léon La CUMA « promotrice » d’agriculture durable ! ARENA Bientôt une nouvelle dimension pour le sport et le spectacle à BREST METROPOLE OCEANE ! Dès les premières réflexions la desserte de tram s’imposait, de même la végétalisation de l’espace environnant était vivement souhaitée. L’association « Palais des sports » et « Zénith » en un équipement a amené des contraintes auxquelles les concepteurs ont été très attentifs particulièrement, la sécurité incendie, les contraintes acoustiques intérieures et extérieures, les volumes de rangement de 20 à 30 t de matériel, la répartition des systèmes de ventilation, les cheminées d’éclairage naturel… Sport : Basket Ball national : 5 006 places Handball : 4 063 places Boxe : 5 544 places Spectacle : Jauge assis / debout / 2 788 5 058 places Jauge assis / 1 952 3 817 places Scène : 300 m2 Hauteur : 15 m Une belle performance pour les entreprises parties prenantes du projet !