Support d`excursion - Sciences et Géologie Normandes

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Support d`excursion - Sciences et Géologie Normandes
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BUTTE ROUGE ET DU GUÉ PLAT (La Ferrière-aux-Étangs - 61))
Samedi 17 mai 2014
Excursion organisée par l’association Sciences et Géologie Normandes, sous la conduite de
Bernard Langellier et Yves Lepage.
Programme : découverte des anciennes installations d’exploitation du fer et des
affleurements ordoviciens.
Rendez-vous à 10h00 devant le Musée du Patrimoine rural (Musée du fer), place du Musée
à Dompierre (61).
Durée : la journée. Repas tiré du sac.
Équipement adapté (bottes ou bonnes chaussures), sac à dos, vêtement de pluie. Bonne
condition physique.
Fig. 1 : Plan de Dompierre (61). Lieu de regroupement sur la place du Musée, située devant le Musée
du Patrimoine rural (source Géoportail).
-1-
1 – INTRODUCTION
L’extraction du minerai de fer et la métallurgie se pratiquent depuis l’époque gallo-romaine
en Normandie, comme dans tout le Massif armoricain. La toponymie de lieux-dits tels que
Forges, Ferrière, Minières témoigne d’activités passées liées à cette exploitation.
Les forges artisanales commencent à disparaître au milieu du XIXe siècle pour laisser place
à des installations industrielles qui à leur tour finissent par cesser leur activité à partir des
années 60. La dernière mine restant en exploitation est celle de Soumont-Saint-Quentin
dans le Calvados qui arrêtera toute production en 1989 après plus de 80 ans d’histoire.
Fig. 2 : Les fours de grillage
de la Société des
mines de Denain et
Anzin à La Ferrièreaux-Étangs (Orne)
au début du XXe
siècle (carte
postale, coll.
particulière).
L’Association pour la valorisation du patrimoine minier (AVPM) a fusionné avec deux autres
associations en 2003 (Mines et vieux métiers du fer en Halouze et le Musée de Dompierre)
pour prendre l’appellation de Le Savoir et le Fer. L’AVPM est à l’origine de la réalisation d’un
circuit balisé de découverte des vestiges industriels de l’exploitation du minerai de fer dans la
région de La Ferrière-aux-Étangs ; c’est celui-ci que nous allons découvrir.
Le parcours fait une douzaine de kilomètres de longueur mais nous en ferons une partie en
voiture.
Fig. 3 : Situation géographique du parcours situé entre Dompierre, au sud, et La Ferrière-aux-Étangs,
au nord (extrait de carte topographique IGN, source Géoportail).
-2-
2 – UN PEU DE GÉOLOGIE (d’après Jean Plaine, 2003)
Le minerai de fer, d’origine sédimentaire, se dispose en couches de quelques mètres de
puissance localisées dans les schistes de l’Ordovicien moyen. Comme l’ensemble des
terrains paléozoïques armoricains il est plissé et se rencontre dans les principaux synclinaux
paléozoïques du sud de Caen. Seul le gisement de Diélette, dans le Nord-Cotentin, fait
exception ; le minerai y est d’âge dévonien.
Fig. 4 : Carte paléogéographique de la Basse-Normandie à l’Ordovicien avec l’emplacement des
principales mines de fer (Le Gall, 2003, in Plaine, 2003).
L’origine du fer ordovicien se trouve dans l’intense altération des terres émergées à cette
époque suivie de leur lessivage et du transport du fer jusqu’à la mer. Sa formation en milieu
marin est attestée par les fossiles (trilobites notamment) qui ont été trouvés dans les schistes
qui l’encaissent. Le minerai se présente sous forme d’oolites, corpuscules arrondis
millimétriques, constitués d’enveloppes riches en minéraux ferrifères qui enrobent un noyau
de quartz. Parmi ces minéraux figurent l’hématite, le chlorite et la sidérite.
Fig. 5 : Le minerai de fer et les roches locales (granit, grès et schiste) (photo Bernard Langellier).
-3-
Selon la nature des minéraux ferrifères, deux types de minerais sont identifiables : le minerai
chlorito-carbonaté de teinte sombre, gris-verdâtre et le minerai hématitique « oxydé » à la
teinte rouge caractéristique. En bordure sud du continent, dans une zone peu profonde
soumise à l’agitation de l’eau, s’est déposé le minerai hématitique. Plus au large, les zones
protégées et calmes favorisaient la formation des oolites d’argiles ferrifères à l’origine du
minerai sombre chlorito-carbonaté. Enfin, encore plus au large, en milieu profond, faiblement
alimenté par les minéraux ferrifères, se déposaient des grès ferrugineux ou des schistes
noirs.
Fig. 6 : Les deux variétés
de minerai de fer
(photo Jean Plaine).
Le circuit s’inscrit sur deux grands ensembles structuraux aisément identifiables :
L’ensemble le plus ancien appartient au Protérozoïque supérieur de Normandie
(Briovérien) dont l’histoire est à relier à celle de la chaîne cadomienne. Il est constitué
de sédiments silto-gréseux recoupés par des plutons granodioritiques qui
appartiennent au batholite mancellien.
L’ensemble le plus récent correspond au synclinal paléozoïque de la Ferrière-auxÉtangs dont l’histoire est à relier à celle de la chaîne hercynienne. Orienté NordOuest-Sud-Est, seul son flanc sud a été conservé, son flanc nord ayant disparu au
long d’une faille qui le met en contact avec la granodiorite briovérienne de La FertéMacé. Il est constitué de terrains qui plongent faiblement au nord-est d'environ 30°.
Le premier terme sédimentaire correspond à la Formation du Grès armoricain
(Ordovicien inférieur) qui repose directement en discordance, soit sur les sédiments
briovériens soit sur les granites mancelliens. En raison de sa résistance à l’érosion,
elle forme une crête topographique facilement identifiable dans le paysage, au Mont
Brûlé notamment. Au-dessus,
vient la Formation des schistes
du Pissot (Ordovicien inférieur à
moyen), formée d’argilites et de
siltites noires micacées souvent
fossilifères qui admettent des
passées gréseuses et quelques
niveaux conglomératiques à leur
base. C’est dans cette formation
que
se
rencontrent
trois
couches de minerais de fer dont
seule
la
couche
basale,
puissante de 2 à 5 mètres, a été
exploitée.
Au
dessus,
la
sédimentation paléozoïque se
poursuit jusqu’au Silurien par
des alternances de grès et de
schistes.
Fig. 7 : Carte géologique de la région de La
Ferrière-aux-Étangs (61) (d’après
Jean Plaine).
-4-
3 – LE CIRCUIT DU FER (d’après Jean Plaine, 2003)
Pour rejoindre le parcours depuis Dompierre, emprunter la D21 au nord sur 1,5 km environ
jusqu’à la Butte Rouge où nous laisserons quelques véhicules. De là, nous rejoindrons le
Puits Pralon [7] en passant par la cité de la Haie [4], puis nous irons garer les autres voitures
au parc des Minières [1]. Le reste de la matinée sera consacré à la recherche des traces
d’exploitations anciennes des minières et les structures géologiques et le plissement
hercynien seront abordés.
Après avoir pique-niqué, nous irons à pied à la cité du Gué Plat [6 et 5] puis aux fours de la
Haie [4], et enfin nous irons voir les Vieux Fours [3] près de la Butte Rouge.
En fin d’après-midi et en fonction du temps encore disponible, nous pourrons aller admirer le
panorama sur le parcours sud avant de nous rendre à Saint-Clair-de-Halouze où l’on peut
voir le grès armoricain avec pendage et l’un des rares chevalements encore existants.
Fig. 8 : Le Circuit du Fer et les différents arrêts (d’après Jean Plaine).
Arrêt 7 : le Puits Pralon
À la recherche de minerai de fer pour alimenter ses hauts-fourneaux du Nord de la France,
la Société Denain-Anzin entreprit des sondages à partir de 1897. Elle le fit d’ailleurs à partir
des anciennes minières de la Fieffe. Les résultats furent positifs et une demande de
concession fut déposée le 21 décembre 1898. Accordée le 14 avril 1901, la concession de la
Ferrière couvrait alors 1 605 hectares. Elle devait passer à 2 407 hectares en 1947 puis
s'accroître avec celle de Mont-en-Gérôme de 1 490 hectares.
L’exploitation commença par deux galeries foncées à flanc de colline et de sens opposé
(Saint-Robert vers le sud-est et Saint-André vers le nord-ouest). Elles étaient reliées au jour
par un travers-banc de 600 mètres dont on voit encore la sortie derrière les anciens bureaux
de la mine, cité du Gué Plat et qui permettait la sortie des wagonnets de minerai, tirés au
début par des chevaux. Puis on fora les puits n° 1 en 1911 et n° 2, ouvert en 1923, pour
exploiter le minerai en profondeur. C’est en 1933 que débuta le creusement du puits central
Léopold Pralon. Il fut inauguré en 1937 et mis en service après la Seconde Guerre mondiale.
Le puits qui atteignait 250 mètres de profondeur, assurait la remontée au jour de 2 500
tonnes de minerai par jour en 1960. Une cage spéciale permettait la descente des équipes
-5-
de mineurs qui travaillaient durant trois postes de 8 heures. Le minerai était exploité par la
méthode des tailles chassantes avec piliers abandonnés, ce qui nécessitait l’entretien
constant des galeries de passage. Sorti du puits, le minerai était acheminé vers le bâtiment
de criblage. Nettoyé par vibration et trié par grosseur, il partait ensuite vers les fours de
calcination de la Haie par tapis transporteur. Sur le carreau de la mine, se trouvaient aussi
les ateliers, la centrale électrique, la salle des machines, un château d’eau et un vestiairedouches.
Fig. 9 : Le puits Léopold
Pralon à La
Ferrière-auxÉtangs (carte
postale, coll.
particulière).
Après la fermeture de la
mine le 1er avril 1970 le
chevalement du puits
fut démonté. Le terrain
fut vendu à une fabrique
de tournage sur bois. Il est désormais propriété privée. Les galeries sont aujourd'hui
ennoyées. Auparavant l’exhaure assurait le ravitaillement en eau des cités et du bourg de La
Ferrière. Comme signe tangible de cette dernière activité minière, il ne reste plus aujourd’hui
dans le paysage que l’imposant bâtiment de criblage du minerai malheureusement dépouillé
de toutes ses annexes.
Arrêt 1 : parc des minières
Le minerai de fer affleure sur 4 kilomètres depuis le bourg de la Ferrière-aux-Étangs jusqu’à
la Fieffe et a sans doute été exploité très précocement, à l’époque celtique, à ciel ouvert.
Attestée depuis 1353, l'extraction alimentait alors des forges grossières situées sur l’étang
de la Ferrière, appelé d’ailleurs « Étang des Forges », puis le minerai ravitailla les grosses
forges de Varenne (commune de Champsecret) jusqu’à leur fermeture en 1866.
Fig. 10 : Coupe
géologique
schématique
(d’après un
panneau
d’exposition,
La Ferrièreaux-Étangs).
Le minerai de La Ferrière est un carbonate de fer à texture oolitique (sidérite en profondeur,
hématite à l’affleurement). Il est contenu dans un flanc de synclinal entre le grès de May et le
grès armoricain, dans les schistes du Pissot (= Schistes d’Angers). Sa teneur en fer est
d’environ 37 %.
-6-
Un chemin part dans la forêt et
serpente parmi les traces des
anciennes extractions à ciel ouvert
(minières)
aujourd’hui
très
largement recouvertes par la
végétation et longe plus ou moins
la route qu’il rejoint dans un
virage.
Fig. 11 : Ancienne mine à ciel ouvert,
La Ferrière-aux-Étangs
(photo Le Savoir et le Fer).
Arrêt 6 : les statues de Sainte-Barbe, Saint-Éloi et Saint-Laurent
Trois statues ont été regroupées dans un petit reposoir par les anciens mineurs. SainteBarbe est la patronne des mineurs. Avant 1970, cette statue se trouvait au fond de la mine à
l'intersection de deux galeries.
Dans l’église de la Ferrière est visible une autre statue de Sainte-Barbe honorée le 4
décembre lors de la fête des mineurs, ainsi qu’un vitrail offert par la Société Denain-Anzin.
Saint-Éloi, patron des forgerons, se trouvait sur le carreau de la mine. Saint-Laurent, patron
des travailleurs des fours se trouvait aux fours de calcination de la Haie.
Fig. 12 : Statues de Sainte-Barbe, Saint-Éloi et
Saint-Laurent (photo Bernard Dupont).
À proximité des statues, on pourra
s’étonner de trouver une rue des Chinois.
Après la Première Guerre mondiale, et
surtout à partir de 1925, les sociétés
minières vont recruter une main d’œuvre
étrangère abondante. Plus
de
40
nationalités
seront
recensées
parmi
lesquelles, bien sûr, des Polonais mais
aussi, de façon étonnante pour l’époque,
des Chinois. Ceux-ci seront environ 300 à
passer, par petits groupes, quelque temps
à la cité du Gué Plat dans un bâtiment qui
porte à jamais le nom de « Maison des
Chinois » dans la rue du même nom.
La route du Puits mène directement au carreau de la mine.
Peu après avoir laissé sur la droite la route qui rejoint le parc des minières, il est possible de
pénétrer à droite sur un terrain vague où de nombreux blocs de minerai sont accessibles
dans des excavations temporaires.
-7-
Arrêt 5 : l’ancienne cité minière du Gué Plat
Pour loger le personnel minier, la Société Denain-Anzin fut amenée à construire des cités
minières encore très bien identifiables dans le paysage : cités de la Haie, de la Butte Rouge,
du Brûlé, et surtout la cité du Gué Plat édifiée en cinq ans (10 maisons en 1924, 150 en
1929).
Fig. 13 : Cité ouvrière
du Gué Plat,
La Ferrièreaux-Étangs
(carte postale,
coll.
particulière).
Distante de deux kilomètres du vieux bourg historique de la Ferrière-aux-Étangs, cette cité
devint le deuxième noyau d’habitation de la commune, logeant uniquement le personnel de
la mine. Une école et un terrain de jeux pour les enfants complétèrent cet ensemble, ainsi
qu’une salle des fêtes et même une piscine (actuel terrain de tennis) dans l’ancien bassin de
refroidissement de l’usine électrique.
Sans commerce, mis à part une coopérative, la cité était desservie par les commerçants du
bourg qui faisaient des tournées. Une cantine avec 16 chambres avait été construite pour
loger les célibataires. Elle est devenue aujourd'hui une auberge, l’Auberge de la Mine.
En dehors du circuit, sur la route qui mène à La Ferrière, on remarquera les belles maisons
de la direction (Villa des Pins) ainsi que les cités des Castors (1953) et Bellevue (1960).
En 1960 la mine employait 430 ouvriers et employés. 183 étaient logés dans les cités
ouvrières, 62 au bourg de La Ferrière et dans les hameaux. Le reste du personnel habitait
les communes environnantes. Au total la société logeait gratuitement 193 familles, les autres
recevaient une indemnité de logement. En 1970 les maisons des cités furent revendues à
des particuliers.
Arrêt 4 : les nouveaux fours de calcination de la Haie
La construction de ces nouveaux fours de calcination commença en 1935 en remplacement
de ceux de la Butte Rouge. Ils entrèrent en fonctionnement en 1938, en même temps que le
puits central de Pralon situé à 1 500 mètres. Ils étaient reliés au puits par un transporteur
aérien à bennes qui a été remplacé en 1958 par un tapis convoyeur sur roulement de deux
kilomètres de long. Celui-ci apportait le minerai criblé et nettoyé depuis le carreau de la mine
jusqu’au sommet des fours.
Il y avait 8 fours (6 de section ronde, 2 de section carrée), 7 fonctionnant en continu pilotés
par une quarantaine d’ouvriers. La contenance d’un four était de 600 tonnes de minerai
desquelles sortaient 480 tonnes calcinées. La production était de 45 000 tonnes par mois qui
prenaient la même voie que celle utilisée précédemment pour les Vieux Fours. Après la
fermeture de la mine en 1970, les cuves furent démontées et vendues laissant aujourd’hui
vides leur carcasse de soutien en ciment.
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Fig. 14 : Fours de la Haie, La Ferrière-aux-Étangs
(photo Bernard Langellier).
Arrêt 3 : les Vieux fours de la Butte Rouge
Ces deux édifices sont les rescapés d'une batterie
de huit fours (cf. fig. 2) dont les premiers,
construits en 1901, furent les premiers fours de
calcination implantés dans un site minier de
Basse-Normandie.
Le transport du minerai depuis la sortie de la mine
(travers-banc) située à plus d'un kilomètre à l’est,
fut d’abord assuré par des berlines d’une tonne
tractées par une locomotive à vapeur puis
électrique.
Le site a été choisi pour sa configuration
topographique en dénivelés qui a permis
l’installation des trois niveaux nécessaires au
fonctionnement des fours :
Premier niveau
Les wagonnets chargés de minerai brut en provenance de la mine étaient vidés dans des
« tiroirs » situés au bord de la falaise. De là, le minerai mélangé à du charbon était versé
dans la gueule des fours.
Deuxième niveau
Dans les fours, la calcination
durait une trentaine d’heures.
Fig. 15 : Four de la Butte Rouge en
cours de restauration
(photo Bernard Langellier).
Troisième niveau
Le minerai grillé était extrait à la base des fours puis versé dans des wagonnets qui le
transportaient jusqu’aux quais de déchargement. Par la suite, un système de trémies permit
le chargement de wagons de 40 tonnes qui prenaient le raccordement de 4 km pour
rejoindre la gare de Saint-Bômer-les-Forges (ligne Caen-Laval). Le 19 avril 1903, une
première rame de minerai calciné de 200 tonnes partit vers les hauts-fourneaux de DenainAnzin (Nord).
Les fours de la Butte Rouge fonctionnèrent jusqu’à la construction d’autres fours plus
modernes à la Haie en 1938.
La calcination du minerai de fer avait pour but d’élever sa teneur de 37 % à 46 % et donc
d’atténuer le coût de son transport vers les hauts-fourneaux de Denain-Anzin.
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Fig. 16 : Panorama vers le Mont Brûlé, au nord (photo Bernard Langellier).
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BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE
Collectif (1924) – Les Mines de Fer du Calvados, de l’Orne & de la Manche. IVe Région
économique, Chambres de commerce de Caen, Honfleur, Cherbourg, Granville, Flers
et Alençon, Hôtel d’Escoville éd., Caen, 122 p.
LANGELLIER B. (2014) – Sciences et Paysages. La géologie et les paysages de la France
et autres disciplines pour le grand public :
http://bernard.langellier.pagesperso-orange.fr/
LEFÈVRE M.-C. (1999) – Le fer et la Ferrière-aux-Étangs. Éd. Cahiers du Temps, 167 p.
LEFÈVRE M.-C. (2003) – La Ferrière-aux-Étangs des origines à 1937. Éd. Cahiers du
Temps, 134 p.
LEFÈVRE M.-C. (2005) – Le Circuit du fer, Association Le Savoir et le Fer. Éd. Cahiers du
Temps, 24 p.
PLAINE J. (2003) – Au pays des gueules rouges : Le Circuit du Fer de La Ferrière-auxÉtangs et Dompierre, Orne. Société Géologique et Minéralogique de Bretagne :
https://sgmb.univ-rennes1.fr/geotopes/decouvertes/23-decouvertes/68-la-ferriere
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Guide composé par Yves Lepage et Bernard Langellier (Avril 2014).
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