M - La Dépêche de Kabylie
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De la neige à 700 m QUOTIDIEN D’INFORMATION - VENDREDI 15 - SAMEDI 16 JANVIER 2016 - N°4163 - ALGÉRIE 10 DA - FRANCE 1 EURO / http//:www.depechedekabylie.com M J N Météo Algérie l’a annoncé pour hier soir et aujourd’hui Éducation nationale Benghebrit l’a affirmé avant-hier Le BAC et le BEM avant le Ramadhan Page 4. Situation sécuritaire à Boumerdès N. Aït Hamouda indésirable au RCD Page 2. ISSN 1112-3842 C Polémique à coups de communiqués C M J N Trois casemates démolies près de Timezrit Page 6. M’Chedallah Du lait douteux vendu aux ménages avant-hier Raffour en alerte Page 4. Tizi-Ouzou En visite à travers Qui aurait cru qu’un jour le fils du colonel Amirouche serait exclu du la daïra du chef-lieu de la wilaya parti dont il est un membre fondateur et qu’il a représenté par deux fois à l’APN en tant que député. Page 3. La colère du wali à Tala Athmane Béjaïa Bilan annuel de la Protection Civile Page 5. 57 décès sur les routes en 2015 Page 6. Amizour Clôture de la 2ème semaine culturelle À la prochaine 16e journée de ligue 1 Mobils C M J N Football Page 11. 16e journée de ligue 2 Mobils Le MOB et la JSK pour La JSM Béjaïa tombe repartir sur de bons pieds à domicile Page 24. Page 23. l ’ Év én em en t Le BAC et le BEM avant le Ramadhan 2 Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Éducation nationale Benghebrit l’a annoncé avant-hier « Les épreuves du brevet d’enseignement moyen (BEM) et du baccalauréat, initialement prévus dans l’ordre chronologique, du 7 au 9 juin 2016 et du 12 au 16 juin, se dérouleront cette année avant le mois de ramadhan ». Cette annonce a été faite, avant-hier jeudi, par la ministr e de l’Éducation nationale, Mme Nour ia Benghebr it. Dans une déclar ation à la presse en mar ge de sa rencontre avec les syndicats du secteur, Mme Nour ia Benghebr it a affir mé que « le ministère de l'Éducation nationale a décidé d'introduire des modifications au calendr ier des examens, notamment du baccalaur éat et du br evet d'enseignement moyen (BEM) ». Une décision qui inter vient, affir me la ministre de tutelle, suite aux demandes incessantes en ce sens des candidats au baccalaur éat. De ce fait, la première responsable du secteur a tenu r assurer les élèves que « les examens du BEM et du BAC inter viendront avant le mois de r amadhan ». Le ministère, ajoute Mme Nour ia cour s des deuxième et troisième tr imestres et à l'achèvement des progr ammes à tr aver s tous les établissements ». L'association des parents d'élèves et les syndicats saluent la décision Benghabr it, a souhaité ar r êter les dates de ces examens en coor dination avec les par tenaires sociaux repr ésentés par les syndicats du secteur et les associations de parents d'élèves par la mise en place d'un groupe de tr avail ad hoc opér ationnel, avant-hier. « Les dates des examens du baccalaur éat et du BEM seront annoncées dans une dizaine de jour s », a encore indiqué la ministre de tutelle qui souligne que « les propositions, d'ores et déjà, for mulées en ce sens seront étudiées dans la cadre du groupe de tr avail ». Toutefois, la ministre de l’Éducation nationale a lancé un appel aux enseignants et aux par tenair es sociaux « pour veiller au bon déroulement des Les différents syndicats exer çant dans le secteur de l’éducation ont salué la décision de la ministre de tutelle relative à l’or ganisation des épreuves du BEM et du BAC avant le mois de r amadhan. « C’est intér essant, puisque cette décision ar r ange aussi bien les élèves que les enseignants sur veillants, du moment que nous avons les moyens de le faire », a pr écisé le por te parole du conseil des lycées d’Algér ie (CLA), M. Idir Achour, contacté, hier, au téléphone. « Pour ce qui de la r éalité du ter r ain, nous ne donnons plus de cour s à par tir du mois de mai, alor s pour quoi ne pas or ganiser ces examens avant le mois de r amadhan », a-t-il lancé. À une question de savoir si les élèves auront le temps de bien se pr éparer à leur s examens, notre inter locuteur nous a signifié que « les épreuves du brevet de l’enseignement moyen (BEM) et du baccalaur éat se pr éparent tout au long de l’année scolair e ». Ce syndicaliste a, néanmoins, déplor é le fait que « la tutelle nous a invité mar di prochain, pour débattre sur ce sujet, apr ès que la décision ait été pr ise sans concer - Projet de décision relatif à la gestion des œuvres sociales Amendement de 58 articles L a ministre de l’Education, Nour ia Benghebr it, a fait état, avant-hier, de l’amendement de 58 ar ticles du projet de décision définissant le mode de gestion des œuvres sociales. Cette décision vient selon Mme. Benghebr it suite à la contestation des or ganisations syndicales du secteur qui ont r évélé les dysfonctionnements dans ce mode de gestion. « C’est une décision qui a été pr ise suite à l’installation d’une commission multisector ielle qui a pr is en char ge les pr éoccupations des syndicats et proposé une nouvelle mouture de la décision définissant le mode de gestion des œuvres sociales », a-t-elle dit. Dans ce sillage, la première responsable du secteur de l’éducation a tenu à souligner que sa rencontre avec les syndicats est une occasion pour ces der nier s de for muler leur s propositions qui seront pr ise en considér ation quant à la r évision du mode de gestion des fonds des œuvres sociales. «L’essentiel c’est d’ar r iver à un consensus sur cette question », a insisté Mme. Benghebr it. Et d’ajouter qu’ « à défaut d'une solution consensuelle, le ministère pour suivr a son action et or ganiser a d'autres rencontres pour r égler tous les problèmes liés à ce dossier », a-t-elle pr écisé. De leur côté, les syndicats du secteur ont mis l’accent sur la nécessité de décentr aliser la gestion des fonds des œuvres sociales, et le renforcement du financement des actions sociales. Le secr étaire génér al de la fédér ation nationale des tr availleur s de l' éducation (FNTE), Fer hat Chabekh, a insisté, lor s d'une r éunion avec la ministre de l'Education nationale, sur l'impér atif de consacrer 80% des ressources du fonds des œuvres sociales aux activités de solidar ité. Le por te-parole du conseil des lycées d’Algér ie (CLA), Programme national d’alphabétisation tation avec les par tenaires sociaux ». De son coté, le pr ésident du r éseau de l’infor mation au sein de l’union nationale des per sonnels de l’éducation et de la for mation (UNPEF), M. Messaoud Amr aoui, a salué cette décision, qui inter vient suite à notre demande et celle des élèves et de leur s parents. « Cette décision est une solution provisoire, étant donné qu’à par tir des années prochaines, ces épreuves se dérouleront bel et bien au mois de r amadhan ». Pour sa par t, le pr ésident de l'association nationale des parents d'élèves, M. Khaled Ahmed, s'est dit satisfait de cette décision, qui, selon lui, constitue une r éponse positive à leur s demandes. « Depuis l'annonce des dates de ces épreuves, nous n'avons pas cessé de demander à la ministre de l'Éducation nationale de revoir le calendr ier des examens, car cela peut influer d'une manière négative sur les r ésultats des élèves ». Par contre, cette décision n'a pas été du gout du conseil national autonome des professeur s de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest-élar gi) qui estime que « le calendr ier des examens doit rester tel quel, car si cette année on a opté pour sa modification, comment ferons nous pour l'année prochaine». Le char gé de communication et de l'infor mation de ce syndicat fer a savoir, quant à lui, que si nous changeons les dates des examens, ces épreuves doivent avoir lieu à par tir du 25 ou 27 mai prochain, pour prendre fin le 7 juin 2016. L.O.Challal C M J N C M J N Idir Achour, a plaidé pour la limitation des tâches de la commission nationale, « qui doit prendre en char ge seulement les biens à car actère national », a-t-il dit. Pour le coor dinateur national du syndicat national autonome des professeur s de l’enseignement technique et secondaire (SNAPEST) Meziane Mer iane, il est temps de donner plus de pr érogative à la commission de wilaya, «pour r approcher la gestion ver s les fonctionnaires et gar antir une r épar tition équitable de ce fonds sur les tr availleur s», a suggér é M. Mer iane. Ce der nier a appelé également à l’élimination de cer taines procédures pour économiser plus d’ar gent afin de les or ienter ver s les actions sociales. Samira Saïdj Quelle place pour tamazight et la formation à la citoyenneté ? L ' Algér ie compte officiellement 14 % d'analphabètes, soit pr ès de 6 millions de per sonnes. C'est là un chiffre qui, même s'il invite à l'optimisme par r appor t à la situation des années 60 et 70 du siècle der nier, et même en 2008- où l' on comptait 22 % d' analphabètes-, ne manque pas, cependant, d'inter roger sur le contenu de l'entrepr ise d'alphabétisation qui a pu faire obtenir cette pr ouesse. Autr ement dit, la qualité et le niveau d'alphabétisation per mettent-ils aux citoyens qui en ont bénéficié de s'insérer facilement dans la vie sociale d'aujour d'hui, avec sa fulgur ante avancée sur le plan de l'omnipr ésence de l' écr it (lettr es, gr aphismes, codes,…) et de son évolution r apide sur suppor t numér ique? Assur ément, l'analphabète des années 1960 n'est presque pas compar able à celui du début de 21e siècle, même si le fond du pr oblème demeur e le même. De même, l'on ser ait mal fondé à ne considérer comme analphabète que celui qui n'a pas été scolar isé. Les enfants déscolar isés dès l'école pr imaire, ou même au collège, ser aient-ils à ce point for més qu'ils n'aur aient pas besoin d'alphabétisation? Lor squ'on considère le niveau pédagogique actuel de l'école algér ienne, on prend la mesure des effor ts qui devr aient être four nis pour " mettre à niveau" les enfants qui ont quitté assez tôt l'école, non pour leur donner des qualifications pr ofessionnelles, mais uniquement pour leur per mettre de se " débrouiller " dans leur vie domestique de chaque jour. Sur un autre plan, les cour s d'alphabétisation assur és par les or ganismes publics ou par apublics- à l'image de l'association " Iqr aâ" dir igée par Mme Aïcha Bar kiétaient, jusqu'à l'année der nière, dispensés exclusivement en ar abe littér aire. Une lar ge fr ange de la population, celle amazighophone, était à la mar ge. Elle ne pouvait pas accéder à l'enseignement dans sa langue mater nelle. Le 17 octobre 2015, les classes d'alphabétisation en langue amazighe ont été officialisées lor s d'une r éunion que l'association " Iqr aâ" avait tenue avec le Haut Commissar iat à l'Amazighité (HCA), dans le cadre de la for mation des for mateur s dans le domaine de l' alphabétisation en tamazight. " L'enseignement et la promotion du tamazight cr éeront cer tainement une fusion entre tous les Algér iens, car c'est un facteur d'unité et de cohésion sociale" , avait déclar é à cette occasion Si El Hachemi Assad, secr étair e génér al au HCA. Avec l' officialisation de tamazight, consacr ée par l'avant-projet de la r évision constitutionnelle, la mission d' alphabétisation dans cette langue est censée bénéficier de plus d'attention de la par t des pouvoir s publics: mobilisation de moyens logistiques financier s et humains. Des voix se sont élevées pour s'inter roger sur l'ostr acisme qui fr appe la langue fr ançaise dans les cour s d'alphabétisation, alor s que le fr ançais est pr ésent dans l'environnement quotidien des Algér iens, à tr aver s l'administr ation, le secteur économique, les médias, etc. Factures de téléphone et d'électr icité, notices médicales, car net de santé des enfants et un bon nombre d'autres documents de la vie cour ante sont r édigés dans cette langue. Cela en plus de la possibilité qui devr ait êtr e donnée aux parents d'élèves de suivre la scolar ité de leur s enfants. Indéniablement, l'association Iqr aâ a accumulé une longue expér ience sur le ter r ain. Les cour s d'alphabétisation ont dr ainé des dizaines de millier s de per sonnes, adultes analphabètes, sur tout des femmes, à tr aver s tout le ter r itoire national. L'extension de cette entrepr ise pour qu'elle touche également des r égions où l' on par le tamazight revêt un car actère str atégique pour donner cor ps aux objectifs assignés à cette mission, à savoir soustr air e de jeune adultes, hommes et femmes, des bas-fonds de l' ignor ance. Immanquablement, l' alphabétisation a un double impact dans la vie des gens: impact pr atique- qui leur per met de s'insérer dans la vie quotidienne, domestique et même professionnelle, et impact psychologique qui redonne confiance en soi à tr aver s une socialisation plus r éussie. À tr aver s un r éseau établi presque à l'échelle de tout le ter r itoire natio- nal, l' association Iqr aâ a " contr ibué à alphabétiser 1.681.000 per sonnes, dont 1.543.906 femmes" , en leur donnant accès à la lecture et à l’écr iture, selon les propos de sa pr ésidente. Sur le plan de l'intégr ation professionnelle, et dans le cadre du progr amme intitulé " Alphabétisation, For mation et Intégr ation des femmes" (Afif), elle r évèle que pas moins de 23 000 jeunes femmes, âgées entre 18 et 35 ans, ont été " for mées et autonomisées" ; ce qui, en pr atique, cor respond au r enfor cement des appr entissages de base, notamment la lecture, l’écr iture, le calcul et la qualification professionnelle pour la r éalisation d’activités génér atr ices de revenus. Par la suite, les femmes qui ont bénéficié de ce genre d'actions ont pu " devenir plus indépendantes en bénéficiant de différents dispositifs d’aide à l’inser tion professionnelle ou à la cr éation d’activités à tr aver s l’agence nationale de gestion de microcr édit (Ansej)" , a expliqué Aïcha Bar ki. Outre l'inser tion des adultes dans la vie moder ne, dominée par une complexification de l' envir onnement gr aphique, sémiologique et numér ique, l' alphabétisation des jeunes adultes par ticipe également au processus de for mation à la citoyenneté et à la démocr atie par ticipative. Amar Naït Messaoud C M J N N. Aït Hamouda indésirable au RCD l ’ Év én em en t Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Polémique à coups de communiqués 3 Le dernier militant et fondateur de ce que l’on peut nommer « le RCD – canal historique », Nordine Aït Hamouda, vient d’être déclaré « persona non gratta » dans les structures et bureaux du parti de Mohsen Belabes. «I ndésir able » !! Il fallait la trouver celle-là. Ainsi, Nor dine Aït Hamouda, fils du colonel Amirouche, membre fondateur du RCD, depuis les assises de févr ier 1989, et dont l’image s’est confondue avec celle du par ti, et l’inver se également, est désor mais indésir able et les sections du RCD ont été instr uites de « ne plus jamais accueillir cette per sonne dans les locaux du par ti, ni de lui pr êter assistance dans ses activités ». Le RCD, aussi, par la voix de son bureau r égional, dénie à M. Aït Hamouda de se pr évaloir d’une quelconque qualité de militant; ce que dément la section d’Iboudr ar ène qui r econnaît au fils du colonel Amirouche sa qualité de militant, s’étant acquitté de ses cotisations et possédant sa car te de militant. Le pr étexte de cette exclusion-éjection ser ait que l’intéressé aur ait fait campagne, dur ant les sénator iales, pour le candidat FFS de TiziOuzou. Plus encore, « la commission d’enquête » a conclu à la « tr ahison ». Tout TiziOuzou connaissait les relations pr ivilégiées qu’entretenait Aït Hamouda avec le maire d’Ifer hounène, candidat malheur eux du RCD aux der nières sénator iales. Il est de notor iété publique que le fils du colonel Amirouche a été le mentor et le protecteur de ce der nier dans le RCD, et il finit par le tr aiter de « vieil illettr é ». Qu’est-ce qui a bien pu se passer entre les deux fils de chahid ? D’apr ès le bureau r égional du RCD de Tizi-Ouzou, « le vr ai problème est d’or dre pr ivé, il vaut mieux pour lui (Nor dine Aït Hamouda) que ce candidat ne r évèle pas les vér itables r aisons qui l’ont opposé à lui ». De là à penser que Hocine Haroun honoré par les siens Aït Bouadou Suite à son élection au sénat exceptionnel et des gr andes valeur s. La biogr aphie de M. Har oun fut ensuite déclamer. Rappelons que ce der nier a toujour s été un acteur des plus actifs dans le mouvement associatif et culturel. Il a été élu pr ésident de l’APC d’Aït Bouadou en 1997, puis élu à l’APW de Tizi Ouzou en 2002 et a été chef de cabinet de feu Aissat Rabah. En 2012, il a été élu pr ésident d’APW. Il est aussi L e comité de village, l’association culturelle et les villageois de Tamkadbout ont or ganisé, hier, une gr andiose cér émonie pour rendre hommage à l’enfant prodige du village qui a été élu, le 29 décembr e der nier, sénateur de Tizi-Ouzou. Apr ès l’ouver ture de la cér émonie, différentes pr ises de parole rendant hommage et faisant l’éloge de Hocine Haroun ont eu lieu. Le pr ésident du comité de village, celui de l’association culturelle et de nombreux inter venants se sont accor dés à qualifier, M. Haroun d’homme au parcour s Ils ont dit ar tiste peintr e, dr amatur ge et écr ivain. Des témoignages des villageois, des amis et de ceux qui ont eu à tr availler avec lui, se sont tous entendus pour reconnaitre la sagesse et la disponibilité de l’homme et du r esponsable. Signalons que plein de militants du FFS, des autres par tis, des élus locaux, des membres de l’APW, des députés ont fait le déplacement ver s Tamkadbout pour par - dans pas tr ès longtemps nous allons assister à des déballages sur les mœur s des uns et des autres, le pas va être sûrement fr anchi. Cer tains soutiennent mor dicus qu’apr ès l’exclusion de Nor dine Aït Hamouda, le prochain n’est autre que… Saïd Sadi. Chérif A ticiper à l’hommage rendu à l’ex P/APW. Pour sa par t Mr Haroun, dir a avec modestie : « Cela m’honore et me fait plaisir. J e n’aime pas tr op les hommages mais quand ça vient des villageois pour par tager un couscous r assembleur, cela ne peut être refusé. J e remercie tous ceux qui ont fait le déplacement jusqu’au pied de la montagne et un gr and merci à l’ensemble des or ganisateur s et à Ils ont dit Karim Khemmou, membre de la Mouhafadha FLN de Draâ El-Mizan « Hocine Haroun mérite son statut de sénateur » «M .Haroun est un homme respectable et respectueux. Il mér ite son statut de sénateur, le tr avail qu’il a accompli au sein de l’assemblée populaire de la wilaya depuis 2012 l’illustre par fai- tement. Nous souhaitons qu’il fasse davantage maintenant qu’il est sénateur. Nous lui souhaitons bonne chance et beaucoup de cour age ». Bouaziz Slimane, président de l’association Tamkadbout « Un homme au parcours exceptionnel » «D da El Hocine est un gr and monsieur qui a beaucoup donné à son village, à sa commune et à sa wilaya. C’est un homme qui a un parcour s exceptionnel. Il est de la trompe des gr ands de ce pays. Nous lui souhaitons beaucoup de cour age pour mener à bien, comme il nous a habitués, sa nouvelle mission. Aujour d’hui, son vil- lage est fier de lui. Rien qu’à voir tout ce beau monde qui a fait le déplacement, nous compr enons que Tamkadbout a enfanté un gr and monsieur ». tous nos villageois qui se sont mobilisés pour r éussir cette cér émonie. J e fer ai de mon mieux afin d’être à la hauteur de la mission qui m’est confiée ». Signalons qu’en fin de cér émonie, M. Haroun a été gr atifié d’un diplôme de reconnaissance. Un couscous tr aditionnel a été ensuite offer t à tous les invités et à tous les villageois. Hocine T. Ils ont dit Saïd Lakhdari, vice-président à l’APN et Mouhafedh FLN de Tizi-Ouzou « Hocine Haroun est un militant très sage » «J e suis vr aiment content pour M. Haroun, qui est un gr and homme et un militant tr ès sage. Il a toutes les qualités requises pour être sénateur. Nous ne pouvons que le reconnaitre et lui souhaiter bon cour age et beaucoup de succès ». Propos recueillis par H T Nat i o n al e 4 Fait tout à fait inédit : le wali qui inspectait jeudi dernier deux chantiers à Aïn Bessem, un lycée 800/200 et un hôpital de 120 lits, a été obligé, pour atteindre les quatre communes situées dans les monts de Zbarbar, en l’occurrence Guerrouma, Maala, Boukram et Bouderbala, de traverser une bonne partie de la wilaya de Médéa que Bouira touche par l’ouest. A ussi, la jour née quoi que pr intanière et for t dépaysante par les sites tour istiques qu’elle per mettait de découvr ir, chemin faisant, fut longue et har assante. En effet, commencée ver s 9h30, la visite ne s’est achevée que ver s 20 heures ! La nuit était tout à fait venue lor sque le premier responsable a quitté Bouder balla où il a visité une polyclinique pour Lakhdair a où il lui restait deux points à inspecter. À la pér iphér ie de la ville, côté nor d, où se constr uit un lycée de 800 places pédagogiques et 200 r ations et où le taux d’avancement des tr avaux est à 65% , le wali a insisté sur la qualité et la nécessité de constr uire un stade de pr oximité et de r evêtir les deux routes adjacentes. Un peu plus loin où se constr uit un hôpital de 120 lits, un projet lancé en 2012, et qui ne pour r ait être livr é avant juin 2017, étant seulement à 19% de son lancement, le wali a exigé que les délais soient r accourcis et que la str ucture soit pr ête en avr il 2016. Ar r ivé à Guer rouma ver s midi par Ghor afa, une route qui relie cette localité à Tablat à tr aver s des paysages à couper le souffle au propre comme au figur é, le wali a pr is d’abor d acte des tr avaux de r épar a- tion d’un tronçon que les der nières intempér ies avaient for tement dégr adé. Des engins y activaient, tandis que le cor tège a dû cahoter sur plusieur s km avant d’atteindre la deuxième étape de cette visite. La localité au flanc de la montagne semblait à peine sor tie de son sommeil. La seule activité visible était ces deux chantier s : la constr uction d’un CEM dont les tr avaux étaient lancés pour un délai de 20 mois et où les retar ds accumulés sont dus à l’approvisionnement en ciment, un matér iau que l’entr epr ise faisait venir de si loin. Mais c’est devant la future polyclinique qui connaît un taux d’avancement appr éciable que le wali s’est heur té à une foule compacte venue lui expr imer son calvaire. Alor s que le bar r age de Koudiet Acer doune lèche de ses eaux tur quoises le rocher au flanc duquel le village s’accroche, l’eau manque ici. Une cinquantaine de foyer s en sont pr ivés. Il y a aussi ce chemin de wilaya, le CW93, dont l’état est déplor able et qu’il faudr a r éparer. Le wali a donné des instr uctions pour que l’eau ar r ive dans tous les foyer s et pour que la route soit r épar ée par tronçons afin de pouvoir amor tir facilement le coût. Pour ce qui est du r accor dement au Raffour en alerte Le wali dans les monts de Zbarbar Bouira Pour visiter les chantiers des communes limitrophes gaz, il a pu mesurer les progr ès r éalisés en la matière. Le progr amme quinquennal 2010-2015 a profité à 1 670 foyer s. Alor s que l’inter net MSAN per mettant 288 accès a bénéficié à 136 abonnés d’Aïn Baïda, chef-lieu de commune, selon le directeur d’Algér ie Télécom. A Maala, les doléances étaient por tées par deux vieilles qui demandaient un logement décent, alor s que le lycée de même type que celui de Aïn Bessem, lancé en 2013 pour un délai de 15 mois, est en bonne voie. Le r accor dement au gaz pour le der nier pr ogr amme quinquennal va concer ner 419 foyer s. Le wali s’est encor e montr é intr ansigeant au sujet des délais : pas question que le gaz ar r ive dans ces deux communes en 2017, mais en avr il 2016. Un connaisseur des lieux r appelait combien cette commune a souffer t « des affr es du ter r or isme ». Aujour d’hui, la paix et le progr ès étaient visibles. La preuve, même une commune comme Boukhr am à laquelle on n’a pu accéder qu’en passant par Lakhdar ia, ce qui a semblé r allonger notre pér iple (on assur ait qu’il y a une autre route, mais elle était plus longue encore), a bénéficié des mêmes avantages : un lycée lancé en 2013 avec un délai de 20 mois et qui est presque achevé et du gaz pour 782 foyer s qui ar r iver a en 2016 si le délai fixé par le wali tiendr a. La br ume se levait dans la vallée sur notre droite, tandis que nous cinglions ver s le lieu-dit Ouled Tatar, sur les hauteur s, à mi-chemin de Boukr am et de Bouder bala. Làhaut où « la vue est imprenable », selon l’expression du wali qui, tout pr éoccupé de sa mission, n’a pu se défendre d’un mouvement de l’âme devant tant de beauté et de majesté des lieux. Revenu à son sujet, ce der nier a pr is connaissance des tr avaux de r éalisation de deux r éser voir s d’eau de 500m3 chacun pour Boukr am. Le taux est à 80% . Il est aussi question de r accor der au SP3 et SP4 les localités d’Aroub et de Ouled Tatar, où les tr avaux de génie civil sont à 62% de leur taux d’achèvement. À ce niveau, au lieudit Tamar kenit, le projet se heur te à des oppositions. Le wali a choisi dimanche, début de semaine, pour contacter les opposants au projet en vue de négocier le passage de la conduite, car il s’est fixé 2016 comme délai afin que l’eau ar r ive dans les robinets dans ces localités voisines du bar r age de Koudiet Acer doune. La lumière commençait à s’éteindre sur les sommets lor sque le cor tège amorce la descente ver s Bouder bala, où il a inspecté différents ser vices. Il faisait tout à fait nuit lor squ’il est ar r ivé à Lakhdar ia. Apr ès la visite des tr avaux d’aménagement de la voie B et la pr ésentation des projets d’aménagement de la ville dans des condi- M’Chedallah Du lait douteux vendu aux ménages avant-hier C ’était l’aler te, avant-hier matin, à Raffour, la plus impor tante agglomér ation de la commune de M’Chedallah, lor sque des mères de famille ce sont aper çues que le lait fr ais ser vi de bonne heure par les épicer ies, les gr andes sur faces et les magasins d’alimentation génér ale était caillé. En le mettant sur le feu, le lait s’est solidifié au contact de la chaleur. Aussitôt, ces br aves mères de familles s’aver tissent entre elles et invitent à ne pas consommer le lait suspecté pér imé. Ces femmes ont restitué les sachets et, en même temps, aler té les commer çants qui ont, à leur tour, ar r êté sa vente et ont r appelé le distr ibuteur. Ce der nier, entour é d’une foule, explique la tr ansfor mation du lait par la r upture de la chaîne du froid en dehor s de l’usine, disculpant du coup l’unité de production et de conditionnement, d’autant plus que les dates de validité du produit sur l’emballage indiquent qu’il n’est pas ar r ivé à ter mes. Aler tés par les citoyens, les ser vices d’hygiène de la commune ce sont déplacés sur les lieux pour procéder aux pr élèvements d’usage, aux fins d’analyses en labor atoire, une simple procédure de routine pour calmer et r assurer la foule qui affichait une apparente inquiétude, d’autant plus que cette localité a vécu, à plusieur s repr ises, des épidémies de MTH apr ès un mélange des eaux usées à l’eau potable. Le r esponsable local des ser vices du commer ce conver ge dans le même sens, apr ès avoir vér ifié l’un de ces sachets et se fait r assur ant à son tour. Toujour s est-il, la r éaction de ces mères de famille, qui affichent une admir able vigilance, est à saluer. Notons, enfin, que le livreur a refait le tour des magasins d’alimentation génér ale pour r écupérer les caisses du lait caillé pour les remplacer plus tar d par celle du même produit fr ais. Signalons pour conclure qu’apr ès vér ification au niveau du pavillon des ur gences de l’hôpital de M’Chedallah aux environs de 16 h, le chef du ser vice nous apprendr a qu’aucun cas d’intoxication venant de Raffour n’a été enregistr é de toute la jour née du jeudi. Oulaid Soualah Les revendications soumises à la direction n’ont toujours pas reçu d’aval Des travailleurs de l’ADE de Tizi-Ouzou menacent d’une grève D es tr availleur s de l’Algér ienne des eaux (ADE), unité de TiziOuzou, menacent d’entrer dans un mouvement de gr ève, dès mar di prochain, dans le but de faire aboutir leur s revendications socioprofessionnelles qui n’ont toujour s pas obtenu la r econnaissance de la tutelle. Le pr éavis de gr ève des tr availleur s a été décidé, le 7 janvier der nier, suite à une r éunion ayant regroupé les tr availleur s protestataires de la section syndicale de l’unité de Tizi-Ouzou de l’ADE, affiliée à l’Union génér ale des tr availleur s algér iens (UGTA). Ainsi et dans le cas où les revendications des tr availleur s ne trouvent pas échos au niveau de la direction, destinataire du pr éavis, une gr ève ser a automatiquement enclenchée au ter me du pr éavis de huit jour s. La gr ève dont on ne pr écise, cependant, pas la dur ée, est ainsi pr évue pour mar di. Dans la platefor me mise à notre disposition par la section syndicale, on énumèr e une dizaine de revendications socioprofessionnelles ayant motivé à décider d’une éventuelle gr ève. Les tr availleur s r éclament ainsi l’établissement des décisions de promotion et les mises à niveau dans les délais r églementair es confor mément au tr avail des commissions, la r égular isation des doléances soumises par l’ensemble des tr availleur s, ainsi que la r égular isation des tr availleur s qui occupent des postes de responsabilités sans décision, et ce avec effet r étroactif. Le document de la section syndicale UGTA de l’unité ADE de Tizi-Ouzou exige aussi de la direction l’établissement de l’or ganigr amme des centres et la définition des tâches de chaque tr availleur ainsi que les pr érogatives des responsables des str uctures et établissement des fiches de poste, comme souligné dans le document. Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Toujour s dans le cadre des revendications br andies par les tr availleur s, on retrouve la dotation des str uctures en documents r églementaires et affichage du r èglement intér ieur ainsi que de la convention collective en vigueur. Autres points mis en avant, celui relatif à l’étude des cumuls des congés, où les tr availleur s exigent de tr aiter et d’assainir toutes les situations. D’autre par t, apr ès les congés, on par le aussi de la pr ise en char ge des tr availleur s victimes d’accidents de tr avail, du respect de toutes les décisions pr ises par les différentes commissions, ainsi que de l’accessibilité de la for mation pour tout le per sonnel équitablement et en toute tr ansparence. La section syndicale, qui relève tous les manques au sein de l’institution, r éclame aussi « la diffusion et la vulgar isation de l’infor mation au sein de l’entrepr ise, tout en infor mant la section syndicale par écr it de la gestion des conflits, afin d’éviter les abus et les sanctions ar bitr aires », ajoute la platefor me de r evendications. «La pr ise en char ge et la gestion de l’évolution des car r ièr es des tr availleur s, et assurer la protection des dossier s des tr availleur s au sein de la str ucture ressources humaine» est un autre point relevé par le document en plus de la r éhabilitation des tr availleur s sanctionnés ar bitr air ement ou licenciés par abus. Des r evendications tr ansmises à la direction dans un cour r ier datant du 3 janvier der nier, sans pour autant être suivies de r éponse favor able à l’égar d des tr availleur s. Le pr éavis de gr ève, qui expire lundi confor mément à la loi, ser a ainsi suivi par la gr ève annoncée, sauf si la direction se r ésigne à prendre en char ge les doléances expr imées. Tassadit Ch. tions difficiles, vu que cela se passait dans la nuit, le wali s’est enfin rendu à l’hôpital Ouamr ane où se r éalise un projet UMC et un équipement du bloc opér atoire pour les six salles. L’entretien technique avec les médecins spécialistes s’est prolongé assez longtemps dans l’une de ces salles où le système de climatisation jouait à fond. La visite de la r éhabilitation de la clinique, der nièr e étape de cette méga-visite, a été annulée vu l’heure tar dive. Azzi Bey Météo Algérie l’a annoncé pour hier soir et aujourd’hui De la neige à 700 m A près un retard inquiétant, l’hiver semble arriver enfin. C’est du mois ce qu’annoncent les services de météo Algérie qui émettent deux bulletins météorologiques spéciaux (BMS) annonçant des chutes de pluie, mais aussi de neige sur les reliefs des wilayas de l’Est et du Centre du pays, dont Tizi-Ouzou. Les BMS en question ont été émis jeudi dernier. Ainsi et selon le résumé du premier bulletin qui concerne les chutes de pluie, on parle de «fréquentes averses de pluie et/ou de grêle». «Des averses qui seront parfois accompagnées par des rafales de vent», souligne le BMS où les services de météo Algérie soulignent que les régions qui vont être touchées par ces perturbations, annoncées pour hier à 18 heures jusqu’à aujourd’hui à 15 heures, sont les wilayas côtières et proches côtières du centre et de l’est, à l’image de Chlef, Aïn Defla, Tipaza, Alger, Boumerdès, Blida, Médéa, Bouira et Tizi-Ouzou. Dans une seconde partie des averses, c’est les wilayas de Béjaïa, Jijel, Skikda, Annaba, El Taref, Souk Ahras, Guelma, Oum El Bouagui, Constantine, Mila, Sétif et Bordj Bou Arreridj qui sont concernées, et ceci du vendredi 15 janvier à 18h (hier ndlr) au dimanche 17 janvier à 9h, selon le document. Les températures vont, elles aussi, subir une baisse considérable pour atteindre les degrés de saison, contrairement à celles enregistrées depuis quelques semaines déjà. D’autre part et à travers le deuxième BMS émis par les mêmes services, on annonce des chutes de neige considérables sur les hauteurs et reliefs. Le bulletin précise que les reliefs du Centre et de l’Est du pays dépassant les 700 mètres d’altitude vont profiter des flocons de neige, à l’image des wilayas de Blida, Médéa, Boumerdès, Bouira, Tizi-Ouzou, Béjaïa, Bordj Bou Arreridj, Sétif, Jijel, Skikda, El-Tarf, Annaba, Mila, Constantine, Guelma, Batna, Tebessa, Souk Ahras, Oum ElBouaghi et Khenchella. Le BMS annonçant les chutes de neige souligne que cette perturbation attendue, pour hier vendredi 15 janvier à compter de 21 heures, devra s’étaler sur les même régions jusqu’à dimanche 17 janvier à 09 heures du matin. L’hiver qui n’a pas pointé le bout de son nez, laissant place à des journées printanières et des températures très souvent agréables, semble ainsi bien parti pour s’installer enfin. Tassadit Ch. Nat i o n al e La colère du wali à Tala Athmane Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Tizi-Ouzou En visite à travers la daïra du chef-lieu de la wilaya « Je suis ravi de me retrouver au sein d’unités faites dans la difficulté par des pionniers qui ont cru en l’investissement, en la valeur ajoutée et en la création de richesses. C ’est malheur eux de se retrouver dans des zones d’activités qui n’ont que le nom. Des lots attr ibués mais non exploités. Cette situation ne peut durer encore davantage. J ’agir ai en conséquence apr ès mon diagnostic et un état des lieux. Nous ciblerons les vér itables cr éateur s de r ichesses. Nous sommes là pour encour ager l’investissement et non pour le bloquer. Les zones d’activités doivent être assainies et ne doivent plus être des lieux de débauche comme c’est le cas ici à Tala Athmane, comme vous pouvez le constater de vous-même. Le foncier également a besoin d’être assaini. Le ter r ain non exploité ser a r écupér é et r éaffecté à celui qui voudr ait le tr availler. Les extensions sont aussi à encour ager. Nous tr availlerons avec toutes les bonnes volontés. Nous œuvrerons afin que notre wilaya ait 16 PME pour 1 000 habitants. Il faut r établir les équilibres ! », tels sont les propos du wali, qui a eu du mal à cacher sa colère à par tir de Tala Athmane. Le wali de Tizi-Ouzou, M. Br ahim Mer r ad, s’est déplacé à tr aver s la daïr a de Tizi-Ouzou (pour sa 2ème visite) ce mercredi 13 janvier 2016, en compagnie du chef de daïr a, du P/APW, du P/APC et des élus locaux et par lementaires. La délégation s’est rendue au village Bétrouna où il y a eu une pr ésentation du projet de gaz naturel concer nant cinq localités dudit village, soit 32 250 foyer s. Sur 1 960 br anchements pr évus, 511 ont été r éalisés. Les consistances financières s’élèvent à 228,657 millions de DA. Il est à r appeler que la par ticipation de l’Etat est de 75 % ; celle de la Sonelgaz de 25 % ; le citoyen contr ibuer a avec une somme de 10 000 DA. Le taux de pénétr ation dans la commune de Tizi-Ouzou est 91,19 % et ser a relevé à 99,38 % apr ès les tr avaux en cour s. Au CEM (base 5) Aïn Meziab, le wali s’est r endu dans une classe à l’heure du cour s de Tamazigh. Le deuxième point est le village Hasnaoua où le wali a eu à visiter le chantier d’une salle de spor t à Azib Ahmed dont les tr avaux ont démar r é le 10 septembr e 2015 pour un délai de 12 mois. Le montant du marché est 39 846 120,21 DA. Le wali a demandé au DJ S et à l’entr epr ise r éalisatr ice d’accélérer les tr avaux. Le projet de r éalisation de la r ésidence univer sitaire de 2 500 lits sur les 10 500 pr évus à Rehahlia pose problème. Le projet accuse un retar d que l’entrepr ise (Sar l Er gosots – Bouir a) incombe à la gr ève des tr availleur s du tr ésor. Le DLEP ne l’entend pas de cette oreille. On se renvoie la balle : qui a r aison ? Qui a tor d ? Dans tout cela, ce sont les étudiants qui en sont les premières victimes, eux qui attendent toujour s leur s lits et suivent leur s cur sus univer sitaire dans de bonnes conditions. Mais ce n’est pas le cas pour le moment et les 2500 lits ne seront pas livr és dans les délais d’autant plus qu’il y eut une pr olongation de délais. À Timizar t Loghbar, le wali a visité la salle de spor t. Le comité du village a saisi cette occasion pour r emettr e une plate-for me de revendications au wali. Le délégué par le de l’eau potable qui ar r ive aux robinets et qui a un goût de rouille. Il faut revoir la conduite et le diamètre du r éseau. Il évoquer a aussi l’impér atif d’un stade pour les jeunes. Des propositions que le wali a retenues et une étude ser a faite en pr ésence du P/APC. Ensuite, le wali s’est rendu à Tala Athmane où il a visité trois unités : OSMOS, br iqueter ie Ir atni et Tizi-Plast. La pr emièr e : SPA groupe Osmose, complexe industr iel des déter gents. La br iqueter ie Amr aoui est opér ationnelle depuis juin 2015. Elle produit 400 tonnes/jour et emploie une centaine d’ouvr ier s. À l’unité Tizi-Plast, spécialisée dans la fabr ication de films polyéthylènes destinés aux secteur s de l’hygiène, l’industr ie ou l’agro-alimentaire. Dans son inter vention, M. Medjkouh Méziane de la dir ection de la chambre de commerce de TiziOuzou a relevé « les effor ts des pouvoir s publics qui ont accompagné ces investisseur s. Nous avons reçu les assur ances gouver nemen- tales pour relancer le secteur de la production. Le PIB était de 25 % en 1980, il est aujour d’hui à moins de 5 % . Il est ur gent de relancer ce secteur et les investisseur s ne demandent pas plus ». Le P/APW insiste de son côté à ce que les lots non exploités soient r écupér és et redistr ibués à ceux qui cr éeront des emplois et des r ichesses. La visite du wali s’est ter minée au projet 1001 logements et 36 villas promotion Hassen Malik. Le chef de l’exécutif a écouté avec attention les r esponsables du pr ojet Echo quar tier qui assurent la r éalisation de ces logements. « Nous irons vers la modernisation de la wilaya de Tizi-Ouzou » Le wali de Tizi-Ouzou a effectué, dans la matinée d’avant-hier J eudi, plusieur s visites de tr avail et d’inspection à tr aver s les chantier s de la commune du chef-lieu. En effet, lor s de son passage (le wali) au centre de désintoxicationen chantier-, le Pr. Zir i, en pr ésentant ce der nier comme l’unique dans la r égion, même s’il date de 2006, (un r etar d d’une dizaine d’années ne peut se r attr aper ), dir a que « l’implantation du centre de désintoxication au sein même du CHU, Nedir Mohamed, de Tizi-Ouzou n’est pas un pur hasar d. Nous aurons besoin d’équipes plur idisciplinair es, de matér iel adéquat et d’un per sonnel qualifié : r éanimateur s et car diologues ». C’est un centre de 40 lits pour une AP de 137 000 000,00 DA (apr ès deux r éévaluations dont la seconde date du 29 Mai 2013), les tr avaux ont débuté le 02 Mar s 2010. Une enveloppe de 20 millions de DA est pr évue pour les équipements. Il y aur a des consultations, des hospitalisations et des for mations pour 60 places pédagogiques. Un espace thér apeutique y est pr évu. Le DG du CHU nous r appelle l’enquête qu’il avait dir igée, lui-même, touchant 1 100 étudiants au niveau de l’univer sité : « la toxicomanie est en évolution dangereuse dans notre société. Il y a plus de consommation de cocaïne et d’héroïne. Dans les lycées, l’enquête n’est pas faite mais, elle est envisageable. Les r ésultats de l’enquête seront connus dans les prochains jour s ». Ce centre ser a également un centre d’études, de recherches et de pr évention en associant toutes les couches de la société. Il est d’impact national apr ès Blida et Or an. La délégation s’est rendue, par la suite, au nouveau siège de la DPTIC r éalisé pour un montant de 70 millions de DA, où les tr avaux sont à 95 % . Là, le wali a profité de l’occasion pour dire aux responsables des PTT qu’« Il y a un manque flagr ant en ter me de couver ture dans les PTT. J e donne des exemples : des gens n’ont pas de téléphone y compr is les zones industr ielles que j’ai visitées, hier, à Tala Athmane. En 2016, il n’est pas nor mal que les établissements scolair es ne soient pas dotés de r éseaux téléphoniques et de la fibre optique. Toutes les communes doivent être r accor dées et tous les bureaux de poste fer més dur ant une cer taine pér iode doivent êtr e r ouver ts». Pour le P/APW, c’est un retar d considér able qu’il faut combler progressivement. Le directeur qui vient d’être installé se défend : « il y a envir on une vingtaine de bureaux de poste proposés à la r éouver tur e. Les autr es sont subor donnés à l’accor d de sécur ité de daïr a ! ». La visite s’est pour suivie dans d’autr es chantier s; à l’INSFP (CFPA) qui est un joyau d’environ 165 million de DA, r éalisé à 95 % et qui ser a livr é incessamment avec 500 postes, selon le dir ecteur Abdennacer Ar ab. Le directeur de l’hydr aulique, Hameg Rachid, de son côté, pr ésente le projet de r éhabilitation du r éseau d’AEP pour la ville 5 de Tizi-Ouzou, où des tr avaux sont déjà lancés au niveau de Har rouza : « notre secteur centr alisé a inscr it de gr andes opér ations concer nant onze villes pour la r éhabilitation du r éseau d’AEP pour un montant global de 27,5 milliar ds de DA, par mi ces villes, il y a Tizi-Ouzou où il faut r éhabiliter 36 km de canalisations, 2 000 br anchements, quatre stations de pompage à r éhabiliter, sept r éser voir s à r éhabiliter et un à r éaliser (3000 m3) ». En ce qui concer ne le parc citadin de Har rouza, celui-ci, pose un gr and problème. Le projet de la liaison sor tie Est de TiziOuzou (Redjaouna-Boukhalfa) n’est pas approuvé par les autor ités locales. « Avec ce tr acé, la for êt Har rouza qui est le poumon de Tizi-Ouzou va dispar aîtr e. Chose que je refuse », dir a le P/APC. Devant les différ entes positions des uns et des autres, cer tains ont approuvé le projet, et d’autres l’ont refusé, tel que le maire et ses élus, et à ce effet, une r éunion ser a progr ammée au siège de la wilaya, avec le wali, une manière de calmer les espr its. Une solution ser a trouvée en pr ésence de tous. Par ailleur s, le nouveau CFPA, à la r ue des fr èr es Belhoucine, qui est en voie de r éalisation par la direction de la for mation pr ofessionnelle pour un montant de 278 528 467,46 DA, et qui ser a livr é en 2017, a fait aussi l’objet de visite du wali. Non loin, ce der nier a inspecté le chantier de r éalisation d’une salle OMS de 500 places pour 145 millions de DA environ, où le taux d’avancement des tr avaux est de 25 % . Cette visite de tr avail s’est achevée au siège de l’APC de TiziOuzou où l’une des responsables a pr ésenté, à la délégation, la commune de Tizi-Ouzou sur un datashow : ser vices, per sonnels et infr astr uctures implantées (tous secteur s confondus). Au cour s de son inter vention, le wali se dit : « r avi des effor ts consentis par l’équipe dir igeante, à sa tête le P/APC, M. Aït Menguellet Ouahab. Et nous mettrons à la disposition de l’APC tous les moyens nécessaires pour satisfaire les citoyens. J ’appr écie cette manière de faire, nous irons ver s la moder nisation de la wilaya de Tizi-Ouzou ». Le wali, accompagné de la délégation, fait une tour née à tr aver s les nouveaux ser vices et bureaux. « Un ser vice d’état civil refait à neuf et des bur eaux pour les documents biométr iques qui seront ouver ts dès r éception du matér iel nécessaire », dir a le chef de daïr a, M. Doumi Djilali. À l’issue de la visite, nous avons demandé ses impressions au P/APC : « C’est la repr ise des pr érogatives des élus et le contact dir ect avec les citoyens ». Ce der nier revient sur la for êt de Har rouza : « je suis contre le projet du parc. Il y a une loi qui protège l’environnement, alor s, appliquons-la à tous les niveaux ! ». Arous Touil Nat i o n al e Trois casemates démolies près de Timezrit 6 Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Situation sécuritaire à Boumerdès Situé dans la vaste zone montagneuse de Sidi Ali Bounab, au Sud-est de Boumerdès, le piémont de Timezrit a fait l'objet, mercredi dernier, d'une opération de ratissage d'un détachement des forces de l'ANP. U n r écent communiqué du ministèr e de la Défense nationale, insistant par ticulièrement sur de nouveaux coups de boutoir spectaculaires assénés, le même jour, aux commanditaires de l'islamisme ar mé à l'extr ême sud du pays avec r écupér ation d' impor tants ar senaux de guer re, a affir mé que « dans le même contexte, un autre détachement relevant du sec- teur opér ationnel de Boumer dès (1ère r égion militaire) a découver t et détr uit trois (03) refuges pour ter ror istes, pr ès de la commune de Timezr it. Cette seconde infor mation est concise, mais cela ne diminue en r ien son impor tance, d'autant plus qu'elle fait état de la pres- sion militair e qui s' exer ce continuellement sur les ser r iates islamistes locales ir r éductibles et leur s relais. La destr uction des trois casemates sus mentionnées a eu lieu, d'ailleur s, l'avant-veille du weekend der nier, dans un massif proche du village d' Aït Ben Tafat, où 57 décès sur les routes en 2015 Béjaïa Bilan annuel de la Protection Civile L a Protection civile (PC) de Béjaïa a enregistr é, dur ant l’année 2015, pas moins de 1 708 accidents de circulation ayant entr aîné le décès de 57 per sonnes et fait 2 314 blessés, a-t-on appr is de la cellule de communication de la PC. Le mois de mai a été le plus meur tr ier avec 09 décès recensés, contre 07 au mois d’avr il, alor s que 06 victimes ont été déplor ées dur ant les mois d’août, septembre et novembre, a souligné notre source. Si le nombre d’accidents a diminué compar ativement à l’année 2014, où l’on a enregistr é 1 778 accidents, celui des décès a augmenté de trois victimes, a-t-on constaté. Par ailleur s, les éléments de la protection civile de Béjaïa sont inter venus, l’année der nière, 29 870 fois, dont 5 503 dur ant la campagne de sur veillance des plages. Le bilan de la PC fait état de 17 noyés, 3 028 per sonnes sauvées d’une noyade cer taine, 2 107 soignées sur place et 343 évacuées ver s des centres de soins, dur ant la der nière saison estiva- le. Le nombre de baigneur s recensés sur les 33 plages sur veillées de la wilaya, dur ant l’été 2015, s’élève à 6 366 740 estivants, a-t-on affir mé. Le nombre de noyés enregistr és l’été der nier est en baisse compar ativement à 2014, où le bilan de la PC avait signalé 26 victimes, relève-t-on encore. En ce qui concer ne la campagne de lutte contre les feux de for êts et de r écolte, le bilan de la protection civile de Béjaïa fait état de 624 incendies recensés, lesquels ont r avagé 497, 80 hectares de végétation et 3 956 ar bres fr uitier s, 10 r uches, 2 463 bottes de foin/paille et 1 ser re. Ces statistiques couvr ent la pér iode allant de juin à octobre, a-t-on noté. Ce bilan est moins sombre par r appor t à celui constaté dur ant l’année 2014. En effet, le nombre d’incendies enregistr és en 2014 s’élevait à 1 327, lesquels ont détr uit 2 256, 2 hectares de végétation (entre broussaille et for êts), 11 051 ar bres fr uitier s, 89 Ruches, 4 442 bottes de foin/paille, alor s que 11 maisons ont été l'ar mée s'était redéployée il y a un mois dur ant quelques jour s. Tout r atissage suivi de la localisation d’abr is suspects ne peut être, a-t-on constaté, que le pr élude à des opér ations imminentes décisives, comme ce fut le cas dans d'autres coins du pays tout entier. léchées par les flammes, a-t-on pr écisé. Dans un autre chapitre, et dans le cadre du progr amme initié par la direction génér ale de la Protection Civile et la direction de la pr évention, sur les pr épar atifs liés à la saison hiver nale, notamment sur les r isques domestiques en génér al et le r isque de l’intoxication par le monoxyde de car bone en par ticulier, un progr amme de sensibilisation a été tr acé dans ce sens, a indiqué notre source. Il durer a tout le long de l’hiver et ser a exécuté en collabor ation avec la direction de l’éducation, at-on expliqué. En plus des établissements scolaires du cycle moyen, les unités opér ationnelles de la protection civile sont char gées de sensibiliser les populations locales, pour toucher le maximum de citoyens à tr aver s les localités éloignées, et ce, en collabor ation avec la SDE, a souligné la cellule de communication de la Protection Civile de Béjaïa. B.S. Bilan annuel de 2015 des activités de la sûreté de wilaya (SW) 7 586 retraits de permis de conduire P as moins de 27 per sonnes ont pér i dans 487 accidents de routes, enregistr és par la sûreté de wilaya (SW) de Béjaïa, au cour ant de l’année 2015, a-t-on appr is de la cellule de communication et des relations publiques de la SW. Ces accidents de circulation ont fait 655 blessés plus ou moins gr aves, sans compter les dégâts matér iels qui se chiffrent à des dizaines de millions dinar s, a-t-on souligné. Par ailleur s, les ser vices de la sécur ité routière, Sour El-Ghozlane relevant de ce cor ps de sécur ité, ont procédé, dur ant la même pér iode, au contr ôle de 162 337 véhicules. Cette opér ation de contr ôle s’est soldée par le retr ait de per mis de conduir e à 7 586 automobilistes maladroits et la mise à la four r ière de 171 véhicules pour diver ses infr actions au code de la route et de circulation, a déclar é la même sour ce. En outre, le nombre d’amendes for faitaires établies à l’encontre de conducteur s sanctionnés s’élève à 26 848, a-t-on pr écisé. L’excès de vitesse, les dépassements dangereux, le non respect du stop, la conduite en état d’ivresse et l’utilisation du téléphone au volant sont, entre autres, les r aisons pr incipales ayant provoqué ces accidents de routes. En ce qui concer ne les accidents de circulation impliquant des motocycles, le bilan annuel de la SW fait état de l’établissement de 2 034 amendes financièr es for faitaires à l’encontre de motocyclistes malveillants, l’ar r estation de 115 motar ds et la mise à la four r ière de 23 deux-roues, a indiqué notre sour ce. L’excès de vitesse reste la pr incipale r aison des accidents provoqués par les motocyclistes, a-t-on soutenu. Les décès et la gr avité des blessures sont dus à la non utilisation du casque de protection, a affir mé la cellule de communication de la SW. B. S. Un mort et deux blessés dans une explosion de gaz U n gar çon de 15 ans est décédé et deux autres per sonnes ont été légèrement blessées, dans la soir ée du mercredi der nier, suite à une explosion de gaz dans un domicile au quar tier du « 17 octobre » du centre-ville de Sour El-Ghozlane à une trentaine de kilomètres au Sud du chef-lieu de wilaya de Bouir a. En effet, d’apr ès des sources locales, une fuite de gaz à l'intér ieur de la cuisine de ladite maison ser ait à l’or igine de ce dr ame. Comme ce combustible domestique est volatile, invisible et expansible, il avait gagné l'ensemble des compar timents du r éfr igér ateur, douteusement her métique, pour bien s'emmagasiner, accentuant ainsi la pression. Et c'est en ouvr ant le fr igo, faisant déjà un cour t-circuit, que la déflagr ation s'est produite causant sur son sillage l'écroulement d’une par tie de la maison et la mor t du malheureux gar çon, ainsi que la blessure de sa mère et sa gr ande sœur. Une enquête a été ouver te par les ser vices de police pour déter miner les causes exactes de ce dr ame. O.K. Rappelant, dans ce contexte, la destr uction d'une vingtaine de casemates en plus de l'élimination d'une quinzaines de ter ror istes en moins de deux mois en Kabylie, nos sources intègrent à juste titre tout action militaire, aussi simple par aîtelle, dans la str atégie des forces de l'Ar mée Nationale qui n'accor dent aucun r épit aux hor des sanguinaires. Secondés par d'autres str uctures annexes de sécur ité, les détachements locaux de l'ANP prennent les dispositions nécessair es pour empêcher la mobilité des ter r or istes, agissant en gr oupes ou comme électrons libres. L'objectif est d’avoir ces sanguinaires mor ts ou vifs, mais, le cas échéant, leur s incur sions seront déjouées. Et c'est gr âce à une telle pr ésence per manente que les anciennes phalanges islamistes locales, à l'instar de celle d'El Ansar, a été empêchée de se revigorer par le biais du renflouement de son tr ésor de guer re à tr aver s le r acket, par allèlement à l'enr ôlement, souvent de force, de nouvelles recr ues. La multiplication des opér ations de r atissage dur ant ces trois der nières années, à l'Est de Boumer dès, avec leur prolongement jusqu'aux confins d'Adekkar, s'était justement soldée par la destr uction en sér ie des sanctuaires des hor des sanguinair es. Et en l' absence de refuges, celles-ci sont déjà vir tuellement vaincues. D' autant que d'autres actions menées en aval par les ser vices spéciaux de l'ANP et de la police judiciaire locale avaient per mis le démantèlement d' au moins quatre r éseaux de soutien au ter ror isme, et ce depuis mar s 2015. L' on peut soutenir que d' autr es coups de gr âce, comme celui magistr alement administr é à une trentaine de r ésidus de l'ex-gspc au Nor douest de Bouir a en mai 2015, apr ès découver te des nouvelles casemates, sonner a à tr ès cour t ter me le glas de l'islamisme ar mé. C'est ce que ressentent, en tout cas, les populations dans les contr ées de la Kabylie ou du pays tout entier qui se déplacent, déjà, sans cr ainte, à toute heure, ver s les différ entes destinations, sur tout depuis les cinq der nières années. Salim Haddou Bouira Un jeune commerçant retrouvé pendu dans son magasin U n jeune commer çant or iginaire de la localité de TiziGheniff, dans la wilaya de TiziOuzou, a été retrouvé, avant-hier jeudi, sans vie, pendu à l'intér ieur de son commerce situé au quar tier des 338 logements du centre-ville de Bouir a, a-t-on appr is de sources locales. Selon les infor mations recueillies aupr ès de cer tains voisins, celui-ci ne souffr ait d'aucun trouble psychique, et les r aisons de ce suicide ne sont pas encore connues. Le cor ps de la victime a été déposé à la mor gue de l’EPH Mohammed Boudiaf de Bouir a et une enquête a été ouver te par les ser vices de sécur ité. Il est à noter qu'il s'agit du premier cas de suicide enregistr é à Bouir a pour cette nouvelle année 2016. O.K. M’Chedallah L’hôpital Kaci Yahia renforcé Retour progressif des réfugiés subsahariens Page 10 Vendr edi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Béjaïa Après une éclipse de quelques semaines Les migrants subsahariens se réinstallent dans la capitale des Hammadites. Dans les rues, sous les ponts, en bas des immeubles…des familles avec enfants sont vues quotidiennement mentmendiant pour avoir de quoi se nourrir. D es cas désespér és qui indiquent pr obablement que ces Afr icains de l’Ouest n’ont pas d’autre choix que d’occuper des espaces publics, et ce, au vu et au su des autor ités locales. Fuyants les conflits qui minent leur s pays, des millier s de migr ants Subsahar iens ar pentent désespér ément la pr incipale ville de Béjaïa ainsi que les localités limitr ophes. Phénomène r écur rent, faut-il le dire, même si la migr ation subsahar ienne ver s l’Algér ie est un problème, relativement, r écent. Alor s que la migr ation inter r égionale est constante depuis les années 1970, pr incipalement entre l’Algér ie, le Mali, le Niger et la Maur itanie, la migr ation en pr ovenance de l’Afr ique de l’Ouest n’a, r éellement, pr is de l’ampleur qu’au début des années 2000. Les conflits locaux ont amplement favor isé la migr ation des contingents de r éfugiés ver s les pays voi- sins. Les autor ités nationales ont longtemps occulté la r éalité de la migr ation subsahar ienne ver s l’Algér ie, considér ant que les populations migr antes ne faisaient que tr ansiter à tr aver s le pays pour r ejoindr e l’Eur ope. Mais force est de constater que ce phé- Journées d’information sur la formation professionnelle Mekla L’initiative regroupe trois CFPA L a Maison de jeunes «Les fr èr es Sar aoui» abr iter a, demain, des jour nées d’infor mation sur la for mation professionnelle. La manifestation, destinée à la sensibilisation sur les différentes offres de for mation existante, devr a s’étaler sur deux jour s. C’est en pr évision de la rentr ée de la session de févr ier prochain que les centr es de for mation pr ofessionnelle et d’apprentissage de Tizi-Rached, en collabor ation avec celui de Djemâa Sahar idj dans la commune de Mekla, ainsi que celui de Tala Allam, ont pr évu des jour nées d’infor mation destinées au public. La manifestation est pr évue à compter de demain au niveau de la Maison de jeunes «Les Fr ères Sar aoui» de Mekla. L’objectif tr acé pour cette initiative est celui d’infor mer le lar ge public sur les différentes per spectives de for mation. Ceci, bien évidement, en mettant en avant les offres de for mation et les spécialités disponibles au niveau des CFPA qui par ticipent à ces jour nées por tes-ouver tes. Ainsi et comme on a l’habitude de le constater lor s de ce genre d’initiative, les visiteur s sont attendus en nombre au niveau de la Maison de jeunes de Mekla. Ceci, étant donné que le monde de la for mation en dehor s du système éducatif intéresse plus d’un et pas uniquement ceux n’ayant pas eu la chance d’aller loin justement dans leur s études. On compte, de ce fait, sensibiliser les Tizi-Gheniff Tazmalt femmes au foyer disposant d’un savoir faire dans la couture, la pâtisser ie et les gâteaux, ou encore la broder ie pour ne citer que ces quelques métier s, sans pour autant pouvoir l’exploiter pour en faire un tr avail à plein temps. Puisque exer cer, exige d’elles d’avoir des qualifications et diplômes, chose que leur offrent les centres de for mation, tout en leur pr oposant une multitude d’autres choix de for mation. Il est à noter que les jour nées d’infor mation inscr ites sous le slogan «La for mation professionnelle à l’écoute des jeunes», sont pr évues à compter de demain et ce jusqu’à lundi. Tassadit Ch. Bouira L’association D’Hous L’informel investit attend une suite aux l’autoroute promesses obtenues Une gare routière en projet un jour La Kabylie jeunes, d’une par t, mais aussi leur s parents sur tous les avantages dont on peut disposer avec une inscr iption dans des for mations par apprentissage et les for mations r ésidentielles qui sont sans condition d’âge. Un autre moyen de s’assurer un avenir dans le domaine du tr avail, notamment en cas d’échec scolaire. L’autre volet qui ser a mis en avant lor s de ces jour nées, c’est celui de la for mation de la femme au foyer. Car, et faut-t-il le souligner, il s’agit là aussi d’un moyen de sensibiliser cette fr ange de la société sur les offres d’emplois qui leur sont ouver tes à elles aussi, que ce soit au niveau des CFPA par ticipant ou encore ailleur s, étant donné que nombr euses sont les nomène tend à prendre des propor tions alar mantes au gr and désar r oi et des r éfugiés et des populations locales. À l’entr ée de la ville de Béjaïa, à Bir Esselem, des dizaines de familles de r éfugiés s’entassent sous le pont pour se protéger un tant soit peu du froid et de la pluie. Cependant, la mendicité est devenue un quotidien amer auquel les r éfugiés s’adonnent à longueur de jour née pour des bouchées, souvent affamées. Visiblement, les pouvoir s publics semblent êtr e dépassés par les événements, car tout indique que le r etour des migr ants Subsahar iens se fait progressivement et par gr appes de familles où génér alement un ou deux enfants les accompagnent. Pour tant, le ministère des Affaires étr angères avait affir mé que l’émigr ation clandestine ne ser ait plus tolér ée sauf dans les cas humanitaires où cer taines zones fr ontalièr es sont livr ées à des conflits de guer re. Pour l’instant, les habitants sont astr eints de s’accommoder avec ce phénomène qui ne doit en aucun cas rester à la mar ge, d’autant plus que le r isque d’épidémie est plausible au vu de l’insalubr ité r égnant en maîtr e des céans dans les espaces occupés par les r éfugiés. Bachir Djaider Page 08 Page 09 Page 10 8 BÉJAIA 06 BÉJAIA La conduite principale bientôt remplacée Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Seddouk Alimentation du village à partir de la source d’Ighzer Netsrégoua Relevant du douar d’Amdoun n’Seddouk, le village Seddouk Ouadda a bénéficié, dans le cadre du budget primitif 2016, d’un projet pour le remplacement par une tuyauterie neuve de la conduite principale de transfert de l’eau potable du bassin de captage d’eau de la source d’Ighzer Netsrégoua au deuxième château d’eau situé à Tabakith. C e projet a été demandé par les notables du village depuis belle lurette suite au nombr e de fuites r épar ées que r ecèle cette conduite, lesquelles causent un désagr ément aux habitants de par les pannes r écur rentes qu’elle engendre. Il faut dire aussi que cette conduite faite de tuyaux en fonte a été r éalisée en l’an 2000 au même titre que le bassin de captage d’eau. À cette époque, une pénur ie d’eau sans pr écédent a fr appé le village et les villageois ont effectué moult démarches aupr ès de l’APC de l’époque qui leur a tour né le dos en ne voulant pas leur solutionner le problème. Et c’est suite à cela que les villageois avaient décidé de mettr e en valeur les sour ces d’Ighzer Netsr égoua en mettant en place un projet gr andiose dont le montant avoisinait les trois millions de dinar s, avec les effor ts conjugués de la communauté émigr ée de Fr ance qui a par ticipé avec une somme d’ar gent de l’or dre de deux millions de dinar s et les villageois qui ont donné leur for ce de tr avail et de l’ar gent aussi. La par ticipation des pouvoir s publics fut la constr uction d’un château d’eau en 2006/2007. Le village Seddouk Ouadda a toujour s donné l’exemple en matière de solidar ité entre ses membres en r éalisant des projets gr andioses en mettant la main à la poche. Trois gr ands projets ont été financés des caisses du village. Le premier a été r éalisé en 1966 et concer ne l’assai- aux villageois n’est autre que le vieux pont de Thikentar th situé à l’entr ée du village et datant de 1962. Comme il est usé, une demande a été faite à l’APC où il a été demandé le bitumage de la route pr incipale desser vant le village, laquelle se trouve dans un état piteux, et la constr uction d’un nouveau pont. La jeunesse quand à elle semble être fr ustr ée du fait que le village ne possède pas de stade aménagé. C’est une parcelle de ter re située à deux kilomètres du village, appar tenant à un attr ibutaire de la r évolution agr aire, qu’ils ont tr ansfor mée en aire de jeux depuis les années 1980. Le génér eux pr opr iétair e ne l’a jamais r éclamée. L. Beddar nissement des eaux usées touchant l’ensemble des quar tier s du village. Pour rentrer pleinement dans la vie citadine, les villageois ont r éalisé aussi en 1969 un projet de br anchement d’eau dans les foyer s. Dur ant les années 90, c’est l’association Azar fr aichement cr éée qui a repr is le flambeau gr âce à des jeunes volontaires qui ont r éalisé un projet impor tant. Il s’agit du bétonnage de toutes les r uelles du village. Ladite association n’a jamais fléchi du fait que, depuis, elle n’a pas cessé de r éali- ser des actions louables dont un mar iage collectif or ganisé pour cinq jeunes du village, la constr uction d’une maison pour un jeune or phelin du village qu’elle a aidé aussi en lui finançant une fête de mar iage. Tout r écemment, elle a cr éé dans le village la première bibliothèque de la commune qu’elle a dotée d’un millier de livres. Elle est sur la piste d’un projet de constr uction d’un foyer de jeunes avec l’aide de l’APC qui l’a inscr it dans le cadre du FCCL 2015. Le projet qui tient à cœur Tifra Nombreuses sont les activités abritées par la bibliothèque municipale d’Ikedjane Les responsables de l’établissement redoublent d’ingéniosité S ituée sur les hauteur s d’Ikedjane et ayant ouver t ses por tes il y a juste quelques années, la bibliothèque municipale de Tifr a fait déjà par ler d’elle. Les r aisons de ce succès r ésident tout simplement dans la volonté sans limite de la jeune équipe dir igeante, conduite par un amoureux de l’univer s culturel, en l’occur r ence Azzedine Yamouni, qui r edouble d’ingéniosité pour aller de l’avant en élar gissant les hor izons aux adhérents qui fr équentent ce lieu de culture et de savoir. En effet, malgr é le manque de moyens dont dispose cette str ucture et depuis que la nouvelle équipe ait pr is ses r ênes il y a une année, un net changement s’est fait sentir et cela de l’avis de beaucoup de gens de la r égion. Cour s de soutien en langue fr ançaise, philosophie et comptabilité pour les élèves des classes d’examens, notamment ceux des cycles moyen et secondaire, initiation à l’infor matique, atelier de lecture pour les élèves du pr imaire, cour s d’alphabétisation pour les adultes, dessin, chor ale, théâtre, danse kabyle, club ver t, tous le monde trouve son compte dans cet antre de la culture. S’y ajoute la célébr ation de toutes les dates impor tantes qui marquent notre calendr ier, à l’image du jour de l’an ber bère Yennayer. Dans sa volonté d’aller chaque jour de l’avant en appor tant du nouveau tout en amélior ant l’existant, la jeune équipe fait un par i presque impossible en lançant le café littér air e d’Ikedjane. Apr ès quelques mois seulement, le par i semble déjà gagné puisque d’illustres noms de la culture algér ienne, à l’image de Br aham Tazaghar t, Younes Adli, Amar Maouchi, l’ar tiste peintre Zizete, pour ne citer que ces ànoms, ont déjà fait leur passage dans cet espace culturel, en attendant pour les prochains jour s Nour dine Boukr ouh, Nadia Sebkhi, Mohand Akli Haddadou et d’autres encore. Pour cette nouvelle année 2016, les responsables de cette bibliothèque ont tr acé un r iche pr ogr amme qui compr endr a, entr e autres, un concour s sur la poésie ber bère, pr ix Yennayer 2966, des olympiades pédagogiques aux élèves du pr imaire et moyen ainsi qu’un colloque avec comme thème « Tamazight, moder nité et per spective ». N’empêche que les moyens matér iels doivent impér ativement suivre pour per mettre aux dir igeants de cette bibliothèque de four nir davantage d’effor ts et leur per mettre de r épondre aux besoins des citoyens de la r égion dans le domaine culturel. Arezki Toufouti Chemini Il a ouvert ses portes à la population il y a quelques jours Le nouveau siège d’état civil enfin opérationnel A pr ès plusieur s mois de tr avaux et une longue attente, la commune de Chemini vient de se doter d’un nouveau siège d’état civil qui a ouver t ses por tes aux usager s il y a quelques jour s. Inaugur ée par les autor ités locales, cette nouvelle infr astr ucture administr ative a été r éalisée au cœur du chef-lieu communal jouxtant le siège de la municipalité éponyme. Parce qu’il repr ésente un espace for tement fr équenté par la population de la commune, le ser vice de l’état civil situé au sein de la mair ie s’est offer t un siège flambant neuf. Cette r éalisation qui est à mettre à l’actif de l’exécutif communal, vient alléger et fluidifier les contingents d’administr és qui s’y rendent au quotidien, notamment avec l’installation de nouveaux ser vices pour la délivr ance des car tes d’identités nationales et des car tes gr ises. Cette nouvelle str ucture offre un cadre agr éable aux citoyens en r aison de son plan architectur al moder ne implanté en un endroit adéquat pour les fonctionnaires, notamment pour les pr éposés aux guichets, lor s de l’établissement de différents documents administr atifs. L’intér ieur du nouveau siège est accueillant et chaleureux à la fois, d’autant plus que les administr és se sentiront forcément plus à l’aise dans cet espace aér é et épur é. L’espace inter ne y est aménagé de telle sor te à r épondre aux nor mes d’une administr ation digne de ce nom ; celles-ci mettr ont sans doute fin aux innombr ables files d’attente, par ticulièrement lor s de la rentr ée sociale. Ainsi, depuis l’inaugur ation dudit siège, aussi bien les fonctionnair es que les demandeur s de documents administr atifs jouissent des meilleures conditions de tr avail pour les premier s et d’un meilleur accueil pour les seconds. La salle d'attente est spacieuse. Il y a suffisamment de guichets pour mettre dans de meilleures conditions et les pr éposés aux guichets et les usager s. Bachir Djaider Tazmalt Elle sera implantée au niveau de la localité de Tiouririne Une gare routière en projet L a commune de Tazmalt vient de bénéficier de l’inscr iption d’un projet d’équipement public, en relation avec la constr uction d’une gare routière. D’apr ès le premier magistr at de la commune qui nous a donné l’infor mation, l’implantation de cette infr astr ucture est projetée au niveau de la localité Tiour ir ine, à la pér iphér ie du chef-lieu communal, où une assiette de ter r ain a été dégagée à cet effet. « C’est le premier projet de cette enver gure, au niveau de toute la vallée de la Soummam. Il est d’une impor tance cr uciale pour notre r égion », souligne le P/APC, pr écisant que la r éalisation de cette gare routière ser a pr ise en char ge par un investisseur pr ivé. Les tr anspor teur s desser vant Tazmalt ont plutôt bien accueilli l’inscr iption de ce projet, même si cer tains ont émis des r éser ves quant à sa concr étisation effective, du moins dans des délais r aisonnables. « Nous sommes la cinquième roue de la car rosse. Bénéficier enfin de l’intér êt des pouvoir s publicsne peut que nous r éconfor ter », dir a un tr anspor teur de voyageur s assur ant la ligne Tazmalt-M’Chedallah. Moins euphor ique, un autre opér ateur de la cor por ation concède qu’« une gare routière est, bien entendu, vivement souhaitable et souhaitée, mais sa concr étisation n’est cer tainement pas pour demain ». Un citoyen d’Ath M’likèche exer çant dans l’administr ation à Tazmalt estime pour sa par t que « les voyageur s seront les premier s bénéficiaires de cette infr astr ucture annoncée. Ils seront au moins sûr s d’avoir le minimum, à savoir des bancs et des abr is pour se protéger du mauvais temps ». N. M. Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 TIZI OUZOU 15 TIZI OUZOU Le problème pris en charge 9 Aït Yahia Moussa La population souffrait du manque d’eau potable Depuis maintenant quelques semaines, la situation a commencé à se stabiliser. “J e peux vous dire que les villages r eçoivent pr atiquement de l'eau de manière r égulière”, nous r épondr a le maire, M. Said Bougheda, que nous avons contacté à ce sujet. Inter rogé si cela est dû à la concr étisation du projet de r éalisation de la conduite à par tir de l'Oued Bougdour a jusqu'au r éser voir d'Ighil Mouhou, il nous appr endr a que, c' est par ce que, toutes les grosses fuites de l'ancienne conduite étaient pr atiquement toutes r épar ées. « Nous avons mis tous les moyens existants », nous confier a-t-il. Concer nant, justement, la r éalisation de cette conduite, il constater a que les tr avaux ont pr is la cadence voulue depuis que les responsables de l'hydr aulique et les ser vices de l'APC étaient sor tis sur le ter r ain. « L'entrepr ise a renforcé ses chantier s. Nous souhaitons que les tr a- vaux soient menés à bon par t avec la même cadence. Si cela était le cas, les délais qui lui ont été accor dés, ser aient respectés. Et je crois que le pr oblème ser a r églé de manièr e définitive au sujet de l'alimentation de l'eau potable dans ce ver sant qui a tant souffer t », enchaîner a le maire. Néanmoins, il juger a que le chef-lieu communal est la par tie la plus délaissée en matière d'AEP. « Le chef-lieu est alimenté à par tir du seul puits r éalisé à la fin des années 70. J 'ai même étalé ce problème der nièrement devant le wali lor s de sa visite dans la r égion. Il est temps que le chef-lieu bénéficie d'un autre projet à même d'atténuer la cr ise, car le nombre d'habitants ne fait qu'augmenter », nous expliquer a-til. Ceci étant, le problème se pose du côté dit ver sant Est. Là aussi, les villages sont alimentés à par tir des for ages de Kantidja qui ne r épondent plus aux besoins des populations ni en quantité ni en qualité. « Der nièrement, l'alimentation a été suspendue dans notre village parce que la mar gine ser ait infiltr ée dans les for ages. Et puis, l'eau que nous recevons pr ésente par fois un ar r ière-goût. D'ailleur s, nombreux sont les citoyens qui recourent à l'achat de l'eau minér ale. Mais, est-ce que tout le monde a les moyens de se faire payer ce luxe? », s'inter roger a un citoyen d'Iâllalen. Ainsi, il est à souligner que le pr oblème d' eau potable r ester a posé dans cette municipalité, d'autant plus que les nappes d' eau souvent alimentées par les eaux pluviales sont à sec en r aison de la sécheresse. La solution définitive n' inter viendr a que lor sque le bar r age d'Assif N'Tletta ser a opér ationnel. Mais, cela n'est pas pour demain parce que même ce projet n'avance pas comme il se doit en r aison notamment des oppositions successives depuis son lancement. Amar Ouramdane Tizi-Gheniff Ayant exposé ses revendications lors d’une réunion avec les autorités locales L'association D'Hous attend une suite aux promesses obtenues D ans un écr it, datant du mois de décembre der nier, signé par le pr ésident de l'association D'Hous destiné au maire et dont une copie a été adressée au chef de daïr a, on peut lire que les repr ésentants de ladite association demandent dans les plus brefs délais audience au premier responsable de l'APC afin d'appor ter des éclaircissements quant à cette attitude dér isoire et indigne qui por te atteinte aux valeur s de leur association en dépit d'au moins dix cor r espondances r estées lettr es mor tes entre le 25 févr ier de l'an der nier jusqu' au 11 novembr e de la même année. Finalement, le six janvier passé, le maire a tenu une r éunion de tr avail avec le pr ésident de ladite association et ses membres où pas moins de 10 points ont été inscr its à l'or dre du jour. Point par point, cette plate-for me a été discutée et des solutions par fois peu convaincantes leur ont été données. À commencer par une station d'épur ation demandée à plusieur s repr ises parce que toutes les eaux usées de la ville sont déver sées dans l'oued qui tr aver se ce village. À ce sujet, le maire a r épondu que l'étude était en cour s et que l'APC ne pouvait r ien décider avant sa finalisation. Par r appor t aux r accor dements anarchiques et illicites effectués par des habitants au r éseau d'AEP, le P/APC a décidé de le convoquer et procéder ensuite à la coupure. Concer nant l'éclair age public, l'APC le renforcer a dans les prochains jour s. Dans le même procès-ver bal signé par les deux par ties, on croit savoir que le chauffeur de bus ser a instr uit afin de tr anspor ter les écolier s du village ver s leur s établissements scolaires respectifs. Par r appor t aux foyer s non encore électr ifiés, le maire a cer tifié que la liste des concer nés était déposée au niveau de la DMI. Pour satisfaire ce village en matièr e de bacs à or dur es, le P/APC a infor mé ses inter locuteur s qu'ils seront renforcés dès la finalisation de la procédure d'achat. Ce qui a été encore débattu est le problème du chemin communal tr aver sant leur village jusqu’à la RN68. À ce sujet, les repr é- sentants de D'Hous ont entendu de la par t du premier magistr at de la commune qu'une fiche technique pour son inscr iption dans le prochain budget a été établie. Enfin, à propos du r accor dement du village au r éseau d'assainissement, de l'aménagement et du dallage des pistes et des r épar ations des fuites d'eau, le maire s'est engagé à se déplacer sur les lieux avec les ser vices concer nés. En tout cas, pour le moment, r ien n'est encore r églé au sein de ce village à l'exception des r éponses auxquelles les repr ésentants du village ont eu doit. A. O. Des chiens errants menacent la sécurité des riverains C er tes, les autor ités locales ont déjà, plusieur s fois, mené des opér ations d'abattage de chiens et de chats er r ants, mais cela ne dure pas longtemps. « À la fin du mois d'août, l'association des chasseur s " Ouarchène Djur djur a" a abattu pas moins d' une quar antaine de bêtes en ville et dans la pér iphér ie. Nous ne savons pas quoi fair e devant ce phénomène qui prend de l'ampleur », nous confier a une sour ce proche de ces opér ations. En effet, en dépit de cela, pas moins de vingt chiens tr aver sent tr anquillement toutes les ar tères de la ville. Ce qui fait peur aux passants, notamment les écolier s et les jeunes lycéennes. D'ailleur s, pas loin avant qu'avant-hier, l'une d'elles a failli s'évanouir quand cette meute de canidés s'est lancée der r ière elle. Même avec l'inter vention d'autres passants, ces animaux n' ont pas hésité à cour ir der r ière les filles. Devant ces situations qui se r épètent au quotidien, les par ents d' élèves inter pellent les r esponsables locaux à pr ogr ammer en ur gence une campagne d'abattage. « Non seulement, les passants r isquent d'être mor dus, mais aussi, il faut savoir que ces bêtes sont des vecteur s de tr ansmission de mala- dies. Même si on ne par le pas encore de r age, il faudr ait prendre les pr écautions nécessaires avant que des cas ne se produisent », estimer a de son côté un parent qui accompagnait sa petite fille à l'école de filles. « C'est encore l'hiver. Le soleil ne se lève qu'à huit heures du matin. On ne peut laisser ces petits enfants se r endr e seuls à l' école. Vr aiment, cela devient de plus en plus inquiétant. Chaque jour, ces meutes de chiens grossissent. Il y en a dans tous les quar tier s de la ville. Peut être, ce qui par ticipe à leur prolifér ation sont ces déchar ges improvisées ici et là. Ces bêtes y cherchent Aïn El Hammam Célébration du nouvel an amazigh Aït Sellan marque l’occasion A ït Sellan, dans la commune d’Akbil, fait par tie des r ares villages qui ont célébr é la fête du premier jour de l’an amazigh 2966, coïncidant avec le mar di 12 janvier, en cour s. Le club spor tif amateur local, de cr éation r écente, n’a pas r até cette occasion pour r épondre aux attentes de la jeunesse de la r égion assoiffée de manifestations spor tives et culturelles. Ainsi, par allèlement aux exhibitions des spor ts de combats qui se sont accapar és une bonne place dans le progr amme de la jour née, deux conférences sur le thème du jour étaient à l’affiche des activités pr évues à l’école pr imaire d’Aït Sellan qui a connu, en la circonstance, une animation par ticulière. Monsieur M’Hanna Boudinar, inspecteur en thamazight, a été invité à animer une première conférence sous le thème « yennayer : histor ique et impor tance coutumière » au cour s de laquelle, il a tr aité de la lutte militante et de l’enseignement de la langue amazighe. L’or ateur n’a, par ailleur s, pas été avare en infor mations sur le sujet du jour, et en recommandations pour la pr éser vation de la langue ancestr ale. Monsieur Boudinar n’a pas manqué de mettre en valeur le r ôle de la femme et des per sonnes âgées dans la sauvegar de de ce prestigieux patr imoine. Le second invité des leur nour r iture », ajouter a le même parent. « Ce sont des chiens qui n'ont pas de propr iétaires. Ils sont livr és à eux mêmes. C'est presque incontr ôlable. On ne peut pas faire face si des contr aventions ne sont pas dressées à l'encontre de ceux qui ne les gar dent pas en laisse. Ce n'est pas propre à Tizi-Gheniff, on en voit dans toutes les villes d'Algér ie. Ce n'est plus le temps lor sque cet animal est maintenu au domicile de son propr iétaire. C'est un laisser-aller total », nous expliquer a une source proche de l'APC qui fait ce constat depuis des années. Et de pour suivre: « génér a- Aït Sellan, monsieur Naït Chabane Takfar inas, professeur en thamazight à l’univer sité Mouloud Mammer i de Tizi-Ouzou, succèder a à Boudinar dans une autre communication dur ant laquelle, il entretiendr a l’auditoire sur la genèse de yennayer et le calendr ier agr aire, plusieur s fois millénaire, dont il r appeller a également les volets histor iques et sociologiques, depuis l’intr onisation de Chachnaq à la royauté en Egypte, n’oubliant pas de faire allusion, au passage, à la r iche épopée des r ois amazighes. Les festivités, entamées à par tir de dix heures, ont été clôtur ées par une exhibition de spor ts de combat lement, on progr amme jusqu'à trois à quatre opér ations par an. C'est beaucoup d'ar gent, quand même. Et puis, il y a beaucoup de dispositions à prendre avant chaque opér ation ». Tout le monde s'accor de à dire que cette mission n'est pas du ressor t exclusif des APC, mais aussi, il faudr ait que le citoyen fasse preuve d'un minimum de civisme en restant responsable de son ami de compagnie qui, jadis, on sur nommait " l'ami fidèle de l'homme" . A. O. (aikido) qui a dur é pr ès d’une heure avant que les hôtes du village ne soient invités à par tager le couscous et les sucrer ies pr épar és pour la fête. Abdelaziz, un conseiller pédagogique en retr aite, ne tar it pas d’éloges « pour ces jeunes qui mér itent nos encour agements pour tout ce qu’ils font pour animer la r égion d’une tr ès belle manière ». S’adressant à nous, il nous demander a de « les encour ager, nous aussi, en r appor tant leur s activités ». Disons leur br avo. A.O.T. 10 BOUIRA 10 BOUIRA L’hôpital Kaci Yahia renforcé Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 M’Chedallah La structure a bénéficié de nouveaux moyens humains et matériels L’établissement public hospitalier (EPH), Kaci Yahia, de M’Chedallah vient de bénéficier d’un renforcement en spécialistes. En effet, un nouveau gynécologue y a été affecté, lundi dernier, pour rejoindre ses deux confrères déjà en poste, et un pédiatre est venu en renforcement aux trois existants. C ela sur le volet humain, concer nant les moyens matér iels notamment le parc roulant, cette institution de la santé vient de bénéficier d’une ambulance médicalisée qui fait cr uellement défaut pour l’évacuation des victimes des accidents gr aves ou de gr ands malades ver s des centr es spécialisés. Un manque handicapant qui a été signalé a plusieur s repr ises dans ces mêmes colonnes et qui a fini par faire r éagir le ministre qui vient enfin de pallier à cette carence des équipements et du per sonnel spécialisé au gr and bonheur des malades et citoyens de la r égion. Ces der nier s ont accueilli la nouvelle avec un gr and soulagement. Il convient de signaler que de Bouir a et sa tutelle, d’autant plus que cet énor me retar d commence à faire des gor ges chaudes par mi les citoyens de la r égion. Oulaid Soualah Bouira La marchandise étalée gêne sérieusement la circulation L’informel investit l’autoroute le ser vice gynécologie qui abr ite, aussi, la mater nité, est doté de trois tables d’accouchement et de deux salles d’hospitalisation d’un nombr e global de 08 lits. Ce pavillon aménagé au pr emier étage est de surcroît mitoyen du ser vice pédiatr ique d’une capacité d’accueil de 14 lits et de 04 couveuses. Ces deux ser vices qui se complètent sont suffisamment équipés. Nous apprenons, malheureusement, sur les lieux que le ser vice mater nité se plaint d’un autre manque en sages femmes, bien que pas moins de 11 sages femmes sont comptabilisées dans l’effectif officiel, mais plus de la moitié sont en congé de maladies. Une instabilité de ces par amédicaux qui se r épercute sensiblement et négativement sur ce ser vice des plus névr algiques lequel fonctionne H24, avec une moyenne de 25 patientes reçues quotidiennement pour accouchement, dont la plupar t sont pr atiqués par césar iennes, ajouté à de fausses couches et autr es maladies de femmes qui nécessitent une pr ise en char ge au niveau de ce pavillon. Rappelons que cet hôpital qui date de l’ère coloniale a bénéficié d’une opér ation de r énovation complète en 2013, en par allèle à sa dotation d’un équi- pement médical moder ne et d’une liter ie neuve, ce qui l’aligne dans la liste des or ganismes moder nisés. Reste à souhaiter que le chantier qui inter vient sur le nouvel hôpital de 120 lits à Vouaklane, en pér iphér ie de la nouvelle ville de M’Chedallah, soit renforcé en moyens humains et matér iels, sachant que le délai de r éalisation de 24 mois est presque consommé et que le taux d’avancement des tr avaux n’excède guère les 20% . Une autre carence relevée, toujour s, dans ces mêmes colonnes sur laquelle doit se pencher le maîtr e de l’ouvr age qui est la direction de la santé de la wilaya Vallée du Sahel Elle fait courir un réel danger aux cueilleurs Olivaison risquée à la lisière des routes L a cueillette des olives bat encore son plein dans la vallée du Sahel, r égion située à l'Est de la wilaya de Bouir a, laquelle englobe les communes issues des daïr a de M'Chedallah et de Bechloul. Effectivement, la r écolte des olives n' est pas encore achevée dans cette r égion, constituée d'un parc oléicole impressionnant. Cela dénote que la fr uctification des olivier s a été tr ès abondante, cette année, en dépit de la sécheresse, qui continue de sévir, et ce, en pleine saison hiver nale, contre le cour s des choses! Même si l'olivaison s'effectue dans de bonnes conditions, il n'en demeure pas moins qu'elle est loin d'être une sinécure, car beaucoup d'accidents et de chutes du haut des olivier s ont été signalés, ici et là, depuis le début de la campagne oléicole dans ces contr ées. For t heureusement, nous n' avons enregistr é aucun cas de décès, et c'est le plus impor tant! Toutefois, il existe des endroits où le r amassage des olives devient une vér itable mission casse-cou, en ce sens que les olivier s sont situés dans des endroits tr ès dangereux, où les cueilleur s pour r aient même y laisser la vie au moindre faux pas! En effet, exception faite des ter r ains pentus et r avinés, où la cueillette des olives demande des pr écautions plus accr ues pour que les cueilleur s ne finissent pas au fond des pr écipices, il y a ces oliver aies vr aiment mal situées et qui n'inspirent guère la sûreté à leur s propr iétaires! Il s'agit des oliver aies qui longent les routes nationales et les chemins communaux, où la circulation automobile est dense. Pour constater cela, il suffit de parcour ir, pour l'exemple, les RN 26, 15 et 5 pour s'en convaincre. Là, l'obser vateur constater a que l'olivaison s'effectue dans des conditions difficiles et souvent dangereuses à la lisière de ces routes où le tr afic est impressionnant. Ils sont des dizaines de cueilleur s qui étalent les filets à l'or ée des routes afin de r écolter les olives dans le vacar me et le boucan des moteur s des véhicules qui passent à vive allure. De temps à autre, ces ouvr ier s débor dent sur la chaussée en r amassant des olives, et ce, non sans se r isquer la vie, car les véhicules, sur tout ceux de gros tonnage, manquent à les renver ser, n'était leur vigilance. Ces cueilleur s donnent vr aiment des sueur s froides aux automobilistes, car au moindre moment d'inattention, il se pour r ait que l'un d'eux soit fauché par une voiture! La r écolte des olives dans ces endr oits, longeant les routes, reste toujour s problématique. Dans ce cas de figure, seule la vigilance constitue un rempar t contre d'éventuels accidents que l'on ne souhaite pas d'ailleur s. Y Samir. L es travaux de réfection du tronçon de l’autoroute Estouest, allant de Aïn Chriki jusqu’à Lakhdaria, ne cessent de causer de sérieuses perturbations de la circulation. La circulation peut s’arrêter dans les deux sens et les files d’usagers de cette autoroute peuvent s’étendre parfois sur des kilomètres, au moindre simple accident. Quand la circulation est libérée, le risque est d’autant plus grand. Pour cause, tout au long dudit tronçon, des dizaines de vendeurs de fruits étalent leurs marchandises à même la chaussée. Assurément, « exploiter » tranquillement une bande d’urgence dans une autoroute pour vendre des oranges, voire proposer des grillades de cailles, est une première dans le monde. C’est le « only in Algeria » ! En effet, des étals en bois, des cajous et toute autre chose pouvant servir de support à exposer, notamment des fraises, des oranges, des figues sèches et de l’huile d’olive y sont présents tout au long de la journée. Il fut un temps, ces vendeurs hors du commun sont traqués par la gendarmerie, curieusement, depuis belle lurette, on les laisse faire, simplement ! Quand des usagers stationnent, achètent quoique ce soit et manœuvrent pour repartir dans de pareilles circonstances, cela ne manque pas de présenter tout genre de risques. Alors, ces commerçants proposent souvent des fruits, certains d’entre eux proposent une restauration rapide, des cailles grillées…etc. Des véhicules et autres camions s’arrêtent et forment une file. On y prend du temps à savourer son repas, surtout quand on est en famille. Ces « points » de vente sont fixes, même quand leurs « propriétaires » n’y sont pas, leurs étals y demeurent. Un brusque d’un usager sur la bande d’urgence, pourrait faucher d’éventuels vendeurs et clients, où une simple panne tournerait en un accident. Si des gens semblent, malheureusement, habitués à prendre des risques certains, à savoir s’arrêter en plein chaussée pour acheter un kilo d’oranges, les autorités, qui par ce laisser-faire, encouragent cette anarchie aux conséquences fatales. L M. Cu l t u r e À la prochaine Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 11 Amizour Clôture de la 2ème semaine culturelle Les activités de la 2ème semaine culturelle d’Amizour ont pris fin, avant-hier, avec au menu un gala animé par de jeunes talents de la région. L es initiateur s de cette semaine culturelle, ayant débuté le 10 du mois en cour s, l’ont voulu un hommage au défunt Aït Ahmed et une occasion de célébrer Yennayer. Et comme ce fut le cas lor s de la semaine culturelle or ganisée le mois de décembr e der nier, des stands r éser vés à l’exposition de produits de ter roir s et ar tisanaux ont attir é du monde, histoire sur tout de cr éer une animation de la cité qui vécu au r ythme de ces activités. Deux semaines dédiées à l’histoire et au patr imoine, deux thèmes passés au peigne fin par les animateur s de confér ences au sommair e de ces jour nées cultur elles et économiques. «Vr aiment nous avons découver t des choses per tinentes de notre histoire et des événements ayant marqué la vie de nos ancêtres, et sur tout leur par ticipation combien impor tante mais méconnue pour la civilisation et le bien de l’humanité», r ésuma d’emblée un citoyen qui dit n’avoir manqué aucune conférence, car il trouve ça intéressant sur - tout avec les séances de débats qui y suivent. Côté stands, c’est une ambiance, puisqu’aux alentour s du centr e cultur el Malek Bouguer mouh, des chapiteaux ont été placés où sont étalés des produits de ter roir s, comme le miel, l’huile, la figue sèche, des habits tr aditionnels du Mzab et Kabyles, des ar ticles ar tisanaux et sur tout des produits naturels de tr ansfor mation. Comme ce fut le cas du Prévu ce soir à la salle Atlas à l’initiative de l’Onda stand d’un par ticipant de Béni Maouche ayant exposé des lotions et vinaigres extr aits de produits alimentaires locaux, avec comme produit nouveau le vinaigre de la figue sèche. «Ce pr oduit est unique et nouveau à l’échelle mondiale. Il est sur tout indiqué pour les r égimes et la per te du poids et aussi pour les problèmes de digestion», souligner a-t-il. Un exploit, à vr ai dire et une aubaine pour l’économie locale et l’industr ie de l’agro-alimentaire de pouvoir expor ter ce produit, étant que le monde souffre de ce syndrome d’obésité et de maladies métaboliques. Et c’était ça le but de ces semaines culturelles à l’effet d’assurer le temps et l’espace à des ar tisans cultivateur s et fabr icants bien de chez nous. Pour les deux autres semaines à venir, pr évues pour févr ier et mar s prochains, ces expositions feront par tie du décor de ces activités et jour nées qui ser ont r éser vées au volet scientifique avec des thèmes chocs. «Apr ès avoir tr aité des sujets d’histoire et tout ce qui est du ressor t du patr imoine, place maintenant à la science et la technologie, car nous voulons à tr aver s ces semaines culturelles de notre Hommage à Chikh El Hasnaoui L ’Office national des droits d’auteur et droits voisins (ONDA) a pr évu, aujour d’hui à la salle Atlas, un hommage national à une gr ande figure de la chanson algér ienne en génér ale et Kabyle en par ticulier, Cheikh El Hasnaoui en l’occur rence. La manifestation ser a marquée par la sor tie d’un coffret compor tant l’ensemble du r éper toire musical de l’ar tiste. C’est en soir ée, à compter de 18 heures, que l’hommage est pr évu à la salle Atlas de Bab El Oued. L’Office national des droits d’auteur et droits voisins (ONDA) a voulu, à tr aver s l’initiation de la manifestation, saluer un des maîtres incontour nables de la chanson kabyle en par ticulier, « un pilier de la chanson algér ienne ». Cheikh El Hasnaoui qui n’est sans doute plus à pr ésenter, a marqué l’univer s de la musique en tant que musicien et bien plus en étant auteurcompositeur-inter pr ète à la fois. Et c’est à la hauteur de ce qu’a légué l’ar tiste qu’un progr amme a été concocté afin de marquer la soir ée. En effet et comme annoncé par l’ONDA, une pléiade d’ar tistes sont attendus pour rehausser de leur pr ésence l’hommage. Des vétér ans de la scène musicale, mais aussi d’autres plus jeunes sont, de ce fait, invités à inter pr éter les titres ayant fait les années d’or d’El Hasnaoui et mar qué sa car r ière toute en s’imposant à tr aver s les génér ations. Pour ne citer que ces titres là, qui n’a jamais fredonné «La maison blanche» ou encore «Noujoum ellil», «Fadhma», «intas mad yas» et une dizaine d’autres œuvres musicales du Chikh. Pour revenir au progr amme de l’hommage, les invités auront droit à l’inter pr étation de Abdelkader Chaou, Hamidou, Hasnaoui Amechtouh, ainsi que de Nassima Chaabane, Koceila, Nour ia et d’autres ar tistes algér iens. Et pour marquer l’hommage, un r éper toire musical regroupant tous les titres de Chikh El Hasnaoui ver r a sa sor tie. Il a été 5e Festival du film africain de Louxor édité par l’Onda qui en annonce le lancement. De son vr ai nom, Mohamed Khelouati, il est né le 23 juillet 1910 à Taâzibt, au aâr ch Ihassenaouen à Tizi-Ouzou. C’est, d’ailleur s, de là que lui vint l’inspir ation de son nom de scène, Chikh El Hasnaoui en l’occur rence. J eune et or phelin, il par t à Alger où il côtoie le gr and «L’Hadj M’hamed ElÂnka» qui for ge ses débuts, puisque El Hasnaoui s’impr ègne du tr avail de ce der nier. Sa première chanson fut «A yema yema», composée à Alger en 1936. Un an apr ès, il quitte l’Algér ie pour s’exiler en Fr ance à Par is, dans le 15ème ar rondissement. Il produit 44 œuvres, 29 en kabyle et 17 en ar abe Algér ien, toutes à succès et toujour s d’actualité, puisque l’ar tiste chantait des textes évoquant la douleur sentimentale et l’exil qui marquer a un nombre impor tant de ses chansons. En plus de l’illustr e «La maison blanche», d’autres titres ont marqué sont parcour s. On citer a ainsi «Ruh abu tabbani», «El-ghor va», «athihdayine», «Ma tebhid iyinek bghigh», «A yath oukel aver kane», «Ma tevghit enrouh» et «Bnat essehba». Cheikh El Hasnaoui est décédé, le 6 juillet 2002, à l’île de la Réunion, où il est d’ailleur s enter r é. Il laisse der r ière lui un r éper toire r iche et unique en son genre, qui fer a par tie du capital culturel Algér ien. Tassadit Ch Deux œuvres cinématographiques algériennes en lice L es films algér iens " Rêver ies de l'acteur solitaire" et " Fi r assi r ond-point" (Dans ma tête un rond-point) prendront par t à la compétition officielle du 5e Festival du film afr icain de Louxor qui se tiendr a du 17 au 23 mar s pr ochain, a-t-on appr is aupr ès des or ganisateur s. En lice pour le " Gr and pr ix du Nil" , " Rêver ies de l'acteur solitaire" , nouvelle œuvr e de Hamid Benamr a pr oduite par " Nunfilm" , se focalise sur les pr éoccupations d' un acteur, ses r êves, ses ambitions et sa philoso- phie en suivant l'acteur Mohamed Adar, per sonnage pr incipal du film, lor s du montage d'une pièce de théâtre. Le film concour r a dans la catégor ie long-métr age de fiction aux côtés de cinq autr es œuvr es comme " Affamer votr e chien" du Mar ocain Hichem Lasr i, " Sans regret" de l'Ivoir ien J acques Tr abi ou encor e " L'ombre de la folie" du Malien Boubacar Gakou. En lice pour le Gr and pr ix du long-métr age documentair e, " Fi r assi r ondpoint" de Hassen Fer hani est une immer sion dans l'univer s décalé des abattoir s d' Alger, des lieux mor bides, de mor t et de dur labeur tr ansfor més minutieusement par le r éalisateur en un espace empreint de musique, de poésie, d'amour et même de philosophie. Sor ti en juillet der nier, " Fi r assi rond-point" a déjà été pr imé dans des festivals de cinéma à Mar seille, Amster dam et Tur in avant de recevoir r écemment deux Tanit d' Or lor s des 26ème J our nées cinématogr aphiques de Car thage (J cc) et le Gr and pr ix du documentair e du 6e Festival national du cinéma d'Alger (Fica). commune toucher à toutes les facettes du développement et du savoir. D’ailleur s, c’est cela notre objectif capital», nous indiqua M. Bouzidi, P/APC d’Amizour à l’issue de la cér émonie de clôture. Des thèmes retenus pour les prochaines jour nées, donc, vont intéresser la santé, l’éducation et l’enseignement en génér al, l’hydr aulique et l’investissement mais aussi l’emploi et le tr avail, avec le concour s des or ganismes de l’emploi et l’univer sité de Béjaïa. Le tout va déboucher sur un événement de taille, le colloque inter national pr évu pour fin mar s, ver r a la par ticipation d’exper ts de l’UE et de plusieur s per sonnalités économiques et culturelles de notre pays. L’heure est déjà aux pr épar atifs à Amizour pour être pr êt à ce rendez-vous à la fois économique et culturel et que ses initiateur s le veulent un espace d’échanges tous azimuts, afin de donner l’essor au développement local et à l’investissement. Une altér ative pour sor tir de la dépendance de l’économie du pétrole, étant que les potentialités et les oppor tunités ne manquent pas. Nadir Touati Dans cette catégor ie, 12 autres films ont été sélectionnés à l'instar de " Les 4 saisons" du r éalisateur Mohamed Zr an (Tunisie), " Le chemin du pain" de Hicham Elladaqi (Mar oc), " Devoir de mémoir e" de Mamadou Cissé (Mali) et " La sir ène de Faso Fani" de Michel Zongo (Bur kina Faso), entre autres. Cette 5e édition du festival de Louxor qui accueille la Côte d'Ivoire comme invité d'honneur, à l'occasion du cinquantenaire de la première production cinématogr aphique ivoir ienne, rendr a également hommage à la gr ande star égyptienne Omar Shar if, dispar u en juillet 2015, au cr itique marocain Mustapha El Mesnaoui, dispar u en novembre 2015, ainsi qu'au pionnier du cinéma ivoir ien Henr y Duparc dispar u en 2006. Fondé par l'auteur égyptien Sayed Fouad en 2012, le Festival afr icain du film de Louxor vise à décentr aliser les manifestations cultur elles en Egypte et à soutenir le cinéma afr icain en encour ageant la coopér ation et la coproduction. Mag azi n e 12 Fondants à la maïzena Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Le secret pour faire baisser votre pression artérielle S à limiter les glucides et les aliments r iches en fr uctose, jusqu’à ce que votr e tension ar tér ielle devienne stable. ouvent considér ée comme un « tueur silencieux », l’hyper tension ar tér ielle est une maladie qui est asymptomatique jusqu’à ce qu’un ou plusieur s or ganes vitaux deviennent inopér ants ou endommagés. Pour pr évenir ou tr aiter cette maladie, voici des astuces pour r éduire votr e pr ession ar tér ielle en moins de 15 minutes. Contrôler votre stress est crucial L’hypertension artérielle : qu’estce que c’est ? I ngrédients 250 gr de beur re mou 110 gr de sucre glace 15 gr de sucre vanillé (2 sachets) 1 oeuf + 1 jaune d’oeuf 75 gr de Maïzena 1/2 sachet de levure chimique (5 gr ) 320 à 350 gr de far ine P réparation 1 bonne pincée de sel Noisettes ou amandes entières tor r éfiées 100 gr de pr alinoise + 100 gr de chocolat noir (ou 200 g de chocolat au lait) Sucre glace pour saupoudrer Dans le bol du robot hachoir ou pâtissier ou juste dans une gr ande jatte, commencer à tr availler le beur re, le sucre et le sucre vanillé, jusqu’à obtenir une cr ème pommade. Ajouter l’oeuf et le jaune d’oeuf tout en continuant à mélanger. Quand ils sont bien incor por és, ajouter la Maïzena. Puis, petit à petit ajouter la levure, la pincée de sel et la far ine. Vous devez obtenir une pâte bien homogène et tr ès souple, pas collante puis la couvr ir et la mettre au fr ais pour 10 à 15 minutes le temps de débar r asser le plan de tr avail et de pr échauffer le four à 170°C. Sor tir la pâte sablée du fr igo, for mer des boules bien r égulières de la taille d’une noix. Poser-les sur la plaque du four recouver te de papier sulfur isé. A l’aide de l’aur iculaire faire un trou au centre de chaque boule en enfonçant profondément le doigt dans le biscuit. Enfour ner pour environ 15 minutes. Les biscuits doivent à peine être dor és. ils vont durcir en refroidissant. Les laisser donc refroidir sur la plaque du four. Une fois froids, saupoudrez-les de sucre glace. Faire fondre le chocolat au bain-mar ie ou au micro-onde puis remplir les trous de biscuits avec. Laisser un peu prendre puis ajouter une noisette tor r éfiée dessus.Une fois le chocolat figé mettre ces biscuits dans une boite en métal si possible ils se conser vent tr ès bien assez longtemps . Ser vir ces petits biscuits gour mands avec une bonne tasse de café au lait ou de thé . L’hyper tension ar tér ielle cor respond à une pression anor malement for te du sang sur la paroi des ar tères et pr ésente un r isque accr u de maladies car diovasculair es. En effet, une hyper tension ar tér ielle incontr ôlée augmente les r isques de maladies telles que : AVC (Accident Vasculaire Cér ébr al), r upture d’anévr isme, insuffisance car diaque, lésions r énales, etc. Le cor ps humain possède ses propres mécanismes pour maintenir la pression sanguine dans un état homéostatique, mais il existe des facteur s qui peuvent altér er cet équilibr e comme l’âge, le mode de vie, le tabagisme, la sédentar ité, la consommation de drogues, le climat, le r égime alimentaire, etc. En effet, le sur poids et l’obésité augmentent le r isque de développer l’hyper tension ar tér ielle car plus votre poids augmente, plus votre tension ar tér ielle s’élève aussi. Selon une étude scientifique de l’Univer sité de Sydney en Austr alie, le lien entre l’âge et l’hyper tension ne se vér ifie pas pour toutes les populations humaines. Les cher cheur s ont fait une étude compar ative entre la population londonienne et une population kényane qui vivait de cueillette… Et il s’avère que même les sujets les plus âgés par mi les Kenyans n’avaient jamais souffer t d’hyper tension ar tér ielle. Il s’agissait d’une maladie totalement inconnue pour eux ! Le dicton « vous êtes ce que vous mangez » est tr ès r évélateur … Ce que vous mangez a un impact direct sur votre santé et en fonction des aliments, vous multipliez les r isques de développer les maladies citées ou d’avoir une pression ar tér ielle élevée. Seul un r égime alimentaire sain va per mettre de r éduire le r isque de développer cette maladie et/ou r éduire une pression ar tér ielle trop élevée. Voici quelques conseils pour faire baisser la pression artérielle : Diminuez votre apport calorique Si vous êtes en sur poids, vous augmentez les r isques de souffr ir d’hyper tension ar tér ielle. Vous devez adopter une alimentation faible en gr as et pr ivilégier des sauces légères pour assaisonner vos salades. Lisez bien les étiquettes des aliments achetés afin de comparer les quantités de gr aisse pr ésentes, mieux pr épar ez des vinaigr ettes allégées en mettant moitié eau moitié huile d’olive. Optez toujour s pour des pr oduits laitier s pauvr es en lipides afin de r éduir e l’appor t global de gr aisses ingér ées. Pour per dre du poids, vous devez veiller à limiter la consomma- tion d’aliments qui contiennent beaucoup de sucr es ajoutés tels que les tar tes, les yaour ts aromatisés, les fr iandises, les glaces, les sor bets et les boissons sucr ées. Et si une envie de gr ignoter vous prenait, misez sur les fr uits, les bâtonnets de légumes, le popcor n non salé, les gressins. Pour maigr ir, il suffit de r éduire pr ogr essivement les por tions que vous mangez et vous allez r apidement constater une nette différence sur votre balance. Pour accompagner ces effor ts, pensez à vous hydr ater en buvant beaucoup d’eau pour éliminer efficacement les toxines. Dites NON au sel ! Pour une alimentation saine et minimiser les r isques d’hyper tension ar tér ielle, il est impor tant de choisir des aliments faibles en sodium. Les aliments tr ansfor més sont génér alement r iches en sel. Les légumes en conser ve, les soupes industr ielles, les plats congelés, les viandes séchées, les charcuter ies, les cér éales, les chips… sont à bannir ! Réduisez votre consommation de sucre Pour limiter l’hyper tension ar tér ielle, vous devez aussi diminuer votr e consommation de sucre. Faites attention Des scientifiques reconstituent un étrange ancêtre de la girafe, avec ses quatre cornes sur la tête la Royal Society br itannique, mercredi 13 janvier. De son petit nom, Sivather ium, la dr ôle de bête vivait il y a plus d'un million d'années en Afr ique et en Asie. Ses restes ont été découver ts en Inde dans les années 1830, mais les paléontologues ont pensé à l'époque être tombés sur des fossiles d'élans (mais qui aur aient eu la taille d'un éléphant). Et depuis, on en était resté là. A u premier coup d'oeil, l'air de famille ne saute pas tout de suite aux yeux. Le vieil ancêtre de la gir afe avait des pattes cour tes et tr apues, un cou presque cour t et des sor tes de bois aplatis en éventail sur la tête, selon une étude (en anglais) publiée dans la revue Biology Letter s de Le plus grand ruminant de tous les temps ? Des chercheur s du Royal Veter inar y College de Her tfor dshire et de l' univer sité de Liver pool (Royaume-Uni) ont finalement fait une reconstr uction 3D du squelette du Sivather ium et ont estimé son poids et sa taille. " Nous avons reconstitué le squelette en utilisant 26 os fossiles de Sivather iums, ce qui nous a per mis de reconsti- tuer la tête, le cou et les jambes, explique Chr istopher Basu, du Royal Veter inar y College, l'AFP. Il nous manque les côtes, le dos et le bassin." En r éalité, non seulement le Sivather ium n'avait pas la taille d'un éléphant mais il était cer tainement de la famille des gir affidés. Peut-être même était-il le plus gr and mammifère r uminant de tous les temps, avec " 1,8 mètre à l'épaule" sur l' animal r econstitué. " Nous pensons que les mâles adultes étaient plus gr ands, sans savoir à quel point" , pr écise Chr istopher Basu. Des cornes d'au moins 70 centimètres Le Sivather ium était " un animal lour d avec des jambes épaisses et quatre cor nes sur la tête" , selon la descr iption du scientifique. Le stress n’est pas à l’or igine d’une pr ession ar tér ielle élevée mais il constitue un facteur aggr avant, d’où l’impor tance de limiter le stress et/ou trouver des moyens de l’évacuer pour une meilleure pr ise en char ge de votr e hyper tension. Essayez de tr ouver des moyens qui vous aident à décompr esser comme la méditation, le yoga, la natation, etc. Évitez de consommer de l’alcool Une consommation excessive d’alcool augmente la pression ar tér ielle, d’où la nécessité d’éviter les soir ées tr op ar rosées et de pr ivilégier un style de vie sain. En effet, l’alcool endommage le foie, le cer veau et le cœur. En dehor s de l’hyper tension ar tér ielle, l’alcool augmente aussi le r isque de contr acter d’autres maladies… Bougez votre corps ! Nous ne le r épèterons jamais assez : une activité physique r égulière combinée à une alimentation équilibr ée possède des bienfaits inestimables sur la santé et c’est aussi l’un des meilleur s remèdes pour pr évenir /baisser l’hyper tension ar tér ielle. Essayez de pr atiquer un spor t quotidien pendant 30 minutes pour en mesurer les ver tus tous les jour s. Soyez heureux En dehor s de l’hyper tension ar tér ielle, l’anxiété et les situations de stress sont des facteur s de r isque pour tout un tas de maladies : spasmophilie, cr ises de tachycar die, ver tiges, dépression, etc. En effet, le str ess chr onique expose votre or ganisme à une montée d’adr énaline et de cor tisol. Si un changement de style de vie n’est pas suffisant pour faire baisser votre pression ar tér ielle, vous aur ez besoin de prendre des médicaments, et pour suivre un tr aitement adapté, vous devez demander l’avis d’un médecin. En génér al, les médicaments pr escr its sont des diur étiques, des bêta-bloquants, des inhibiteur s de l’ECA (enzyme de conver sion de l’angiotensine), des inhibiteur s calciques (alpha et/ou bêta-bloquants) et des vasodilatateur s. Lor sque vous démar rez un tr aitement, vous devez faire un suivi r égulier de votre santé aupr ès de votre médecin pour atteindre le bon dosage avec le bon médicament. Si vous constatez le moindr e effet secondair e, vous devez le signaler le plus r apidement possible pour ajuster le médicament en fonction de vos besoins. Sp o r t Liverpool frustre Arsenal, Leicester reprend les commandes Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Angleterre Premier League 21e journée Les deux buts d'Olivier Giroud n'ont pas permis à Arsenal de l'emporter à Anfield (3-3). M anchester City n' a pas r éussi à battre Ever ton à la maison (0-0) pendant que Leicester a dû attendre la fin de r encontr e pour vaincr e Tottenham. Giroud a encore brillé! C’était le match de la soir ée, et il n’a pas déçu. Liver pool et Ar senal se sont quittés sur un match nul passionnant, avec des buts à foison (3-3). Les Reds ont démar r é sur les chapeaux de roue. Fir mino, pr éfér é à Benteke ce soir, a donné l’avantage aux locaux avec une belle fr appe du gauche face à laquelle Cech n’a r ien pu faire. Mais les Gunner s ont vite r éagi. Bien ser vi par Campbell, Ramsey a cr ucifié Mignolet pour signer l’égalisation (14e). La joie des Londoniens n’aur a pas dur é longtemps, puisque Fir mino s’est offer t un doublé avec une fr appe sublime qui est venue se loger dans la lucar ne de Cech (19e). Et dans la foulée, nouveau coup de théâtr e, puisque Gir oud, qui a devancé Sakho sur un cor ner tir é par Mesut Ozil, a mis le pied pour envoyer le ballon dans les cages des Reds. 2-2 apr ès 25 minutes de jeu ! L’attaquant fr ançais a ensuite remis les Londoniens devant (55e), s’offr ant son 18e but de la saison en Premier League ! Et en toute fin de match, c’est J oe Allen qui est venu remettre les compteur s à zéro, marquant le but du 3-3 (90e) ! Une mauvaise opér ation en somme, même si Ar senal reste en tête, d’autant plus que deux des pr incipaux concur rents des Gunner s pour le titre n’ont pas pu l’empor ter ! Les Londoniens n’ont pas pu profiter des échecs des Citizens ou des Spur s. Ainsi, Manchester City n’a France Coupe de la Ligue pu faire mieux qu’un 0-0 sur sa propre pelouse face à une équipe d’Ever ton pas spécialement en for me der nièrement ! La for mation entr aînée par Manuel Pellegr ini reste donc troisième, à 3 points des Gunner s ! De son côté, Tottenham a per du face à Leicester (0-1) apr ès un but de Huth en fin de match (83e). Les Foxes mettent ainsi fin à une mauvaise sér ie de 3 matchs sans gagner et reviennent à hauteur de l’équipe d’Ar sène Wenger avec 43 points en 21 rencontres ! Nouveaux faux pas de Chelsea Chelsea n’a pas r éussi à battre West Br omwich Albion à Stamfor d Br idge (2-2). Les Blues P ar is r etr ouver a Toulouse au Par c des Pr inces alor s que Lille accueiller a Bor deaux au Stade Pier re-Mauroy. Ces deux demi-finales auront lieu les 26 et 27 janvier prochains. A la fin du mois de janvier, le PSG et Toulouse vont se connaitre sur le bout des doigts. Les deux for mations vont se croiser à trois repr ises dans ce mois de janvier. Dans les sept prochains jour s, Toulousains et Par isiens avaient déjà deux rendez-vous progr ammés à leur calendr ier : la Ligue 1 ce samedi et le 16e de finale de la Coupe de Fr ance mar di prochain. Le tir age au sor t des demi-finales de la Coupe de la Ligue leur a offer t un troisième rendez-vous, le 26 ou le 27 janvier. Ce ser a au Parc des Pr inces. Et la tâche ser a compliquée pour des Toulousains qui r estent sur 12 Victorieux de Lyon, le PSG complète le dernier carré Alor s que Lyon lui tenait tête et était revenu au score, mercredi au Parc des Pr inces, le PSG a fini par s'imposer gr âce à Lucas, entr é en seconde pér iode (2-1). Par is est qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue, apr ès Bor deaux, Toulouse et Lille. Le match : 2-1 Contr airement à sa pr écédente venue au Parc des Pr inces, qui s’était soldée par une lour de défaite en Championnat (1-5), l’OL a été, mercredi, beaucoup plus entreprenant face au PSG. Les joueur s de Br uno Genesio ont refusé de subir et ont essayé de jouer plus haut que leur s adver saires. Une str atégie qui a fonctionné, puisqu’ils n’ont quasiment pas ont ouver t le score via Azpilicueta (20e), avant que Gar dner ne vienne remettre les siens dans le bain (39e). En deuxième pér iode, un but contre son camp de Gareth McAuley à un quar t d’heure de la fin a remis les troupes de Guus Hiddink devant. La victoire semblait être assur ée, mais c’était sans compter sur l’égalisation de J ames McClean à la 86e minute ! Les coéquipier s d’Eden Hazar d stagnent à la 14e position. Dans les autr es matchs de la soir ée, Southampton a battu Watfor d à la maison (2-0), pendant que Sunder land s’est imposé 4-2 chez Swansea avec un tr iplé de J er maine Defoe. On noter a aussi le but d’Andr é Ayew côté gallois. Stoke City est venu à bout de Nor wich sans soucis majeur s (31). Les Potter s gr impent à la 7e marche du classement et ne sont qu’à 4 points de la 4e position ! Les résultats de la soirée : Chelsea 2 – 2 West Bromwich Albion : Azpilicueta (20e), Gareth McAuley CSC (73e) pour Chelsea, Cr aig Gar dner (33e), J ames McClean (86e) pour WBA Southampton 2 – 0 Watford : Shane Long (16e), Dusan Tadic (74e) pour Southampton Swansea City 2 – 4 Sunderland : Sigur dsson (21e), Ayew (40e) pour Swansea, J er maine Defoe (3e, 61e, 86e), van Aanholt (49e) pour Sunder land Manchester City 0 – 0 Everton Stoke City 3 – 1 Norwich City : J onathan Walter s (49e), J oselu (67e), Ryan Bennett CSC (80e) pour Stoke, Howson (57e) pour Nor wich Liverpool 3 – 3 Arsenal : Fir mino (9e, 19e), J oe Allen (90e) pour Liver pool, Ramsey (14e), Giroud (25e, 55e) pour Ar senal Tottenham 0 - 1 Leicester : Rober t Huth (83e) pour Leicester PSG - Toulouse et Lille - Bordeaux en demi-finales défaites et un petit nul lor s de leur s 13 der nier s matches face aux Par isiens. Double tenant du titre, le PSG aur a à cœur de retrouver le Stade de Fr ance. L'autre demi-finale s'annonce plus ouver te. Bor deaux va se déplacer au Stade Pier re-Mauroy pour défier Lille. Et nouvel hasar d du calendr ier : ce ser a aussi un remake de la 21e jour née de L1 puisque les deux clubs se retrouvent ce samedi en championnat. 21 concédé d’occasion en première pér iode, si ce n’est une fr appe non-cadr ée d’Ezequiel Lavezzi (6e). Les Lyonnais ont encaissé un but à la 17e, mais il n’aur ait jamais dû être accor dé… Les Par isiens ont voulu gérer cet avantage, jouant à la passe à dix, mais ils se sont logiquement fait rejoindre au score avant la mi-temps (44e). Esseulé au deuxième poteau sur un cor ner, Corentin Toolisso a eu tout le temps pour aligner Salvatore Sir igu. Apr ès un début de deuxième pér iode équilibr é, les Par isiens ont pr is la mesure de leur s adver saires à l’heure de jeu, monopolisant le ballon et squattant aux abor ds de leur sur face. Ils se sont procur é pléthore d’occasions (Kur zawa à la 62e, Stambouli à la 64e, Cavani puis Di Mar ia à la 68e), la plupar t ar r êtées par Gor gelin, avant que Lucas ne double la mise (73e) apr ès une remontée de balle super be d’Angel Di Mar ia. Deux joueur s entr és en jeu quelques minutes plus tôt (65e)… Cinq minutes apr ès son but, à la 78e, le Br ésilien s'est retrouvé face à Gor gelin pour inscr ire celui du break, mais il n'a pas cadr é. Br uno Genesio a tenté son va-tout en faisant rentrer Alexandre Lacazette pour les dix der nières minutes, mais l’attaquant n’a jamais été dangereux. Le joueur : Sirigu a le Parc dans la poche Comme ce fut le cas le mois der nier en huitièmes de finale contre l’AS Saint-Etienne (10), Salvatore Sir igu a été ovationné par le public du Parc des Pr inces à son entr ée sur la pelouse. Les suppor ter s ont applaudi chacune de ses inter ventions, mêmes les plus faciles (31e, 52e, 85e), et ont scandé son nom pendant la r encontr e. L’inter national italien s’est davantage mis en avant lor squ’il a rempor té un face-à-face avec Claudio Beauvue (23e) et a détour né une fr appe puissante d’Ar nold Mvuemba (72e), mais il n’est pas exempt de reproches sur l’égalisation lyonnaise, Tolisso tir ant en force sur lui. Le fait : Le but de Rabiot n'aurait pas dû être accordé Adr ien Rabiot a inscr it son deuxième but de la saison, toutes compétitions confondues, mais il n’aur ait jamais dû être accor dé. Alor s qu’il était hor s-jeu au dépar t de la fr appe de Lavezzi, le milieu a remis un ballon en jeu qui était sor ti. L’ar bitre de touche ne l’a pas vu et il a pu tromper Mathieu Gor gelin, auteur de deux autres ar r êts avant de s’incliner. J eanMichel Aulas n’a pas manqué de le signaler aux ar bitres à la mi-temps, en leur montr ant les images. Sp o r t L’US Béni Douala pour la confirmation et la JS Azazga pour le rachat 22 Vendredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Inter Régions Groupe Centre-Est 14e journée L’US Béni Douala, qui a renoué avec la victoire en battant le CRB Ouled Djellal la semaine passée 2 à 0, tentera de confirmer cet après-midi à Msila face au NR Ouled Derradj. L es gar s d’Ath Douala se pr ésenteront sur le ter r ain avec la fer me intention de s’imposer, pour rester en contact avec le leader, l’ES Ben Aknoun, qui devait affronter hier Ain Djasser. Les camar ades de Medjbour n’ont pas droit à l’er reur et sont décidés à r afler la mise et à pr éparer le der nier match de la phase aller face au voisin, la J S Azazga, dans de meilleures conditions. Le club cher au boss Hocine Ammam qui croît dur comme fer à l’accession, ne per d pas espoir de rejoindre en tête du classement le leader. Les capés de Hamici et Hamcha ne comptent pas lâcher le leader et veulent d’ailleur s la victoire face au NR Ouled Der r adj pour gar der leur s chances intactes pour l’accession. La balle est dans le camp des joueur s, seuls acteur s sur le ter r ain et ils doivent faire preuve de plus de r igueur tactique et de Honneur Tizi-Ouzou 15e et dernière journée de la phase aller Le champion d’hiver veut prendre le large L e champion d’hiver de la division honneur de Tizi-Ouzou, l’US Azazga, qui a pr is le lar ge avec six points d’écar t sur le deuxième, compte prendre l’envol lor s de cette der nière jour née de la phase aller en tentant de s’imposer face à la lanter ne rouge, le LC Ifflissen. Une mission facile pour les Unionistes d’Azazga mais la vigilance doit être de mise pour éviter une mauvaise sur pr ise des Pir ates. Le dauphin, l’ES Dr aâ ElMizan, jouer a à huis clos face à l’ASC Ouaguenoun et la mission des Sudistes s’annonce en leur avantage et les trois points ne peuvent leur échapper pour gar der le contact avec le lea- der. C’est le cas pour l’O Tizi Gheniff qui tenter a de confir mer sa montée en force en allant cher cher la victoir e à Tizi-Ouzou face aux Banlieusar ds de Boukhalfa. Pour s sa par t, le DC Boghni chercher a la victoire en déplacement face à la J SE Moulediouane mais ce ser a difficile. Quant aux Oiseaux de Moulediouane, ces der nier s rendront visite à la J SC Ouacifs dans le but de s’imposer, mais ce ne ser a pas facile devant une équipe qui est à la recherche d’un regain de for me. Le FC Ouadhias donner a la r éplique à l’ES Tigzir t, tandis que le FC Yakouren aur a une mission difficile devant l’OC Azazga qui veut r ebondir. Enfin, le KC Taguemount Azzouz accueiller a son homologue de l’Etoile Dr aâ ElMizan. Kaci M. ES Dr aâ El- Mizan-ASC Ouaguenoun J S Boukhalfa- O Tizi Gheniff J SE Moulediouane- DC Boghni US Azazga- LC Ifflissen FC Ouadhias- ES Tigzir t FC Yakouren- OC Azazga KC Taguemount- E Dr aâ El-Mizan J SC Ouacifs- OS Moulediouane FC Tadmaït-AS Imezgharen, un match à six points L des pr onostics, sachant qu’ils bénéficieront de l’appor t du public et de l’avantage du ter r ain. Un match que les camar ades d’Ali Oukal ne veulent, en aucun cas, r ater pour gar der leur place de dauphin et sur tout r ester en contact avec le champion d’hiver, le MS Aït Abdelmoumène, qui devait jouer hier face à l’AC Aïn Zaouia. Le seul mot d’or dre chez Frikat Stade d’Aït Sidi Maâmar les Benalia, Oukal, Belkaid, Mezioudène est la victoire et r ien que la victoire. Mais les gar s de Fr ikat ne les entendent pas de cette oreille. Les capés de Rachid Maâtki se pr ésenteront sur le ter r ain d’Ahcène Aiboud, avec la fer me intention de s’imposer ou à défaut de revenir à la maison avec au moins un point. Une mission qui s’annonce tr ès difficile pour les gar s d’Imezghar en face à un adver saire difficile à manier sur son ter r ain et devant ses suppor ter s. Trois autres matchs sont pr évus et il s’agit de l’IRB Souk El Tenine-J S Aït Yahia Moussa, AS Kantidja-AT Mechtr as et ES Assi Youcef-O M’Kir a. Kaci M. À quand le lancement des travaux de réaménagement ? L e village d'Aït Sidi Maâmar de la commune de Fr ikat dispose d'une aire de jeu qui a été r éalisée par l'APC le mois de septembre de l'année 2015. Une louable initiative pr ise par les responsables locaux. Mais le projet n'a pas été achevé comme il se doit et beaucoup de tr avaux restent à faire. Les jeunes spor tifs de ce village espèrent que les responsables locaux puissent prendre en char ge cette enceinte spor - tive en lançant des tr avaux de r éaménagement, avec la pose de tuf, la r éalisation de vestiaires et d'une clôture afin de leur per mettre de pr atiquer leur spor t pr éfér é, à savoir le football. " C'est difficile de jouer sur un ter r ain pareil plein de cailloux et qui met en danger la santé des joueur s" , nous déclare Hichem Kebaili, un jeune athlète qui a déjà joué la saison passée avec l'AS Imezgharen. Et de conclure : " on Régionale 2 CRB Tizi-Ouzou Il succède à Rachid Boukhelif Chabane Meftah, nouvel entraîneur Programme : Pré-Honneur Tizi-Ouzou Groupe A Dernière journée de la phase aller es yeux ser ont br aqués, cet apr ès-midi, au stade Ahcène Aiboud qui abr iter a le choc de la 13e et der nière jour née de la phase aller de la division pr é-honneur de Tizi-Ouzou, dans le groupe A. Une rencontre qui mettr a aux pr ises les deux pr étendants à l’accession, le FC Tadmaït et l’AS Imezgharen. Les Tadmaïtis, dr ivés par Rachid Meziane, par tent avec les faveur s concentr ation dur ant toute la par tie pour espérer revenir à la maison avec la victoire. D’ailleur s, les Azazguis qui ont laissé des plumes la semaine der nière en s’inclinant 2 à 0 face à l’IRB Ber houm, croiseront le fer à la for mation du FC Bir El Arch. Un match qui s’annonce d’ores et déjà difficile pour les Rouge et Noir qui doivent faire tr ès attention de cette cor iace équipe. Les Azazguis qui joueront au stade Tir sathine, doivent s’imposer pour pr éparer le der by face à l’US Béni Douala avec un mor al au beau fixe. Les Rouge et Noir qui restent sur une défaite, veulent rebondir et retrouver le sour ire en battant cette équipe de Bir El Arch. Pour les autres matchs de cette 14e et avant-der nière jour née de la phase aller du championnat d’inter-r égions groupe Centre-est, ils ont eu lieu hier vendredi. Massi Boufatis lance un appel en direction du maire de la commune de venir en aide à ces jeunes et de prendre en char ge ce stade en achevant les tr avaux, afin qu'on puisse jouer dans de bonnes conditions" . Un appel adressé aux autor ités locales dans l’espoir d’avoir un écho favor able. Kaci M. L a direction du CRB Tizi Ouzou, club de la r égionale deux, vient de nommer Chabane Meftah comme nouvel entr aîneur de l’équipe fanion. Meftah qui assure aussi cette fonction avec le DC Boghni, vient de succéder à Rachid Boukhelif qui s’est sépar é, à l’amiable, avec les dir igeants du CRBTO. Chabane Meftah qui connait bien la maison, a déjà entamé son tr avail. Il a pr is ses fonctions mercredi passé. Une bonne nouvelle pour les Communar ds r éjouis du retour de Meftah à la bar re technique. Il ser a épaulé dans sa mission par Said Meziani. L’objectif du club reste l’accession en r égionale une. Pour r appel, le CRB Tizi Ouzou a ter miné la phase aller du championnat de la r égionale deux à la deuxième place aux côtés de l’USM Dr aâ Ben Khedda avec 29 points dans son compte et à deux longueur s du champion d’hiver, l’ES Timezr it, qui totalise 31 unités à son actif. M.B. M N M N Sp o r t La JSM Béjaïa tombe à domicile Vnedredi 15 - Samedi 16 janvier 2016 Ligue II 16 journée 23 Les Béjaouis qui ont terminé la phase aller à la deuxième place entament la phase retour par une défaite et de surcroit à domicile devant la surprenante équipe de la JSM Skikda. nouveau dauphin P our tant les poulains de Said Hammouche aur aient pu mar quer en pr emièr e mitemps vu leur domination ter r itor iale et les occasions r atées par les Zeghni et compagnie. Ces occasions r atées ont donc couté cher aux joueur s de la J SMB qui ont été sur pr is en seconde pér iode. C’est l’ancien attaquant de la J SMB, Rafik Boulaincer qui ouvre la marque à la 67’. Et ce n’est pas fini puisque tr ois minutes plus tar d, les Skikdis reviennent à la char ge et doublent la mise par Cheniguer. Les 20 der nières minutes de la par tie ont été en faveur des gar s de Yemma Gour aya qui se sont r ués en attaque et assiègent le camp de J SMS, mais sans qu’ils ne par viennent à trouver la faille. Les Skikdis bien en place ont annihilé toutes les tentatives des Bensaha, Dehouche, Zeghni et Ait Yahia. Une défaite qui a sur pr is plus d’un et les suppor ter s Béjaouis sont sor tis du stade de l’unité maghr ébine tr ès en colère et ne comprennent en r ien cette mauvaise pr estation et cette sor tie r atée à domicile. Les joueur s de la J SMB sont r esponsables de ce rever s et doivent se r acheter dès la prochaine jour née, pour ne pas laisser le doute s’installer et revivre le scénar io du début de saison. Les dir igeants et le staff technique doivent remobiliser le Hocine Aït Moussa de retour au bercail Division National Amateur USO Amizour A pr ès le dépar t de Samir Saci à l’AS Boussaâda, la direction du club a dû le remplacer, en s’attachant des ser vices de l’ex-attaquant de la J SMB, Hocine Aït Moussa. Ce der nier, pétr i de qualités techniques remarquables, d’une vision de jeu lucide, appor ter a cer tainement le plus nécessaire à l’équipe, notamment pour la ligne offensive des unionistes qui demeure le maillon faible de cet équipe d’Amizour cette saison et l’entr aîneur Boussekine aur a un joueur capable de faire la différence dans les moments difficiles. Ainsi, Aït Moussa, élève de l’école de l’ES Timezr it, fait donc son come back chez les Rouge et Noir qu’il avait quitté l’été der nier pour rejoindre la J SMB. Mais apr ès une br ève appar ition sous le maillot ver t et rouge, ne En hommage à Bachir Belkacem groupe, afin de lui per mettre de r enouer avec la victoir e, et de refaire sur face le plus vite possible. La balle est dans le camp de toute la famille spor tive de la J SMB qui vise un retour en ligue 1 Mobilis dès cette saison. Le leader accroché, l’O Médéa r entr ant pas dans les plans du nouvel entr aîneur des Ver t et Rouge, il vient d’être libér é lor s de ce mercato hiver nal. Pour le choix de l’USOA, il a pr éfér é être tout pr ès de son domicile familial à Timezr it. «J ’ai eu quelques contacts que j’ai décliné, mais je pr éfère rester à côté de ma famille. J ’ai trouvé un accor d avec les dir igeants et je suis tr ès content de revenir au sein d’un Pour les autres matchs de cette 16e jour née de ligue deux mobilis, le leader l’USM Bel Abbes n’a pas pu faire mieux qu’un match nul négatif à domicile et devant ses suppor ter s, face à la cor iace équipe de Par adou AC en faisant 0 à 0. C’est le cas aussi pour l’un des pr étendants à l’accession le CA Batna qui a été accroché par le voisin l’US Chaouia dans le der by des Aur ès. L’Olympique Médéa en profite de cette 16e jour née, en battant l’USMM Hadjout dans les der nier s instants de la par tie en s’imposant dans la difficulté deux buts à un. Le CAB Bor dj Bou Ar rer idj n’a pas r até l’occasion pour ar r acher une pr écieuse victoire 1 à 0 devant l’A Boussada et c’est le même cas pour le MC Saida qui s’est imposé 1 à 0 face au MC El Eulma. L’AS Khroub a fr appé for t en écr asant l’OM Ar zew 4 à 1. Pour le der nier match de cette 16e jour née de ligue deux mobilis, l’ASO Chlef accueiller a aujour d’hui le CRB Ain Fekroun. A.M. Les résultats : CA Bordj Bou Arreridj 1-A Boussada 0 CA Batna 0-US Chaouia 0 MC Saida 1-MC El Eulma 0 USM Bel Abbes 0-Paradou AC 0 AS Khroub 4-OM Arzew 1 club où je connais tout le monde. J e suis là afin de donner le meilleur de moi-même et contr ibuer à la r éussite du club», dir a le joueur. Ce der nier a signé sa demande de licence, mercredi der nier, soit juste la veille du déplacement des poulains de Samy Boussekine à El Khemis pour affronter le leader, l’IRBKEK. Samy H. 32e challenge international de Cross Country Cherdioui Said, aujourd’hui à Fréha E t c’est repar ti pour le challenge inter national de Cr oss Countr y Cher dioui Said. Cette manifestation spor tive aur a lieu DIRECTEUR DE LA QUOTIDIEN D’INFORMATION PUBLICATION édité par SARL La Dépêche de Kabylie IDIR BENYOUNES au capital de 300.000 DA Siège social : DIRECTEUR DE Rue Abane Ramdane cité 60 LA REDACTION Lgts Bt A. TIZI-OUZOU CB BNA ROUIBA MOHAND OUAMAR N° 641-0300-300-149-11 BEN MOKHTAR comme d’habitude à Fr éha sur un parcour s plat, et le coup de star ter est pr évu aujour d’hui. C’est la 32e édition et elle ser a cette fois-ci dédiée à la mémoire du défunt Bachir Belkacem. Pour r appel, ce challenge a vu le jour en 1978 et por te le nom de celui qu’on appelle à Tizi Ouzou « Ammi Said » et qui est considér é à l’unanimité comme « cet homme honor able qui est le père de l’athlétisme et le pionnier du spor t populaire dans notre r égion ». L’accueil des délégations a eu lieu hier, vendredi, à par tir de 13h, au niveau du stade Tir stahine d’Azazga et les retr aits RÉDACTION-ADMINISTRATION DE LA PRESSE TAHARDJAOUT 01, RUE B ACHIR ATTAR - A LGER E-MAIL : MAISON [email protected] Tél. : 021 66.38.05 Fax : 021 66.37.87 PUBLICITÉ Tél : 021 66.38.02 de dossar ds se sont effectués le même jour. Pour les retar dataires, ils devront valider leur engagement ce matin à 8h15 sur le par cour s de ce 32e challenge inter national de Cross Countr y. Pour ce qui est des athlètes qui vont par ticiper à cette manifestation, tout athlète licencié en cour s de saison a le droit d’y prendre par t. Il y a aussi les cour ses pour les écoles filles et gar çons de la wilaya de Tizi-Ouzou. Les clubs de la r égion Centre-est sont appelés aussi à pr endr e par t aux cour ses r éser vées aux benjamins et minimes (filles et gar çons). Pour BUREAU DE TIZI OUZOU Rue Abane Ramdane cité 60 Lgts Bt A Rédaction : Tél : (026). 12. 26. 77 Fax : (026). 12. 26. 48 PUBLICITÉ : Tél- Fax- (026). 12. 26. 70 BUREAU DE B GAYET Route des Aurès, bt A Tél. : 034 16.10.45 Fax : 034 16.10. 46 ce qui est des cadets, junior s et senior s, ils vont s’adapter au r èglement du challenge national. Le coup d’envoi de ce 32e chalenge est pr évu ce matin à par tir de 8h45. Les or ganisateur s de cet évènement spor tif qui veillent au gr ain, n’ont r ien laissé au hasar d, ils comptent per pétuer la tr adition d’être aux petits soins avec les par ticipants. Des coupes ser ont remises à la fin de ce chalenge inter national de Cross Countr y de Fr éha aux trois premières équipes de chaque catégor ie. A.M. B OUi RA Gare routière de Bouira Lot n°1 - 2e étage BUREAU DE IMPRESSION SIMPRAL DISTRIBUTION D.D.K. PUBLICITÉ ANEP Tel. : 026 94. 39. 06 L A DÉPÊCHE Fax : 026 94. 39. 11 DE K ABYLIE LES DOCUMENTS, MANUSCRITS OU AUTRES ET LES LETTRES QUI PARVIENNENT AU JOURNAL NE PEUVENT FAIRE L’OBJET D’UNE QUELCONQUE RÉCLAMATION La Météo du Jour Alger SP RTS Tizi-Ouzou Bouira Béjaïa Les Canaris veulent leur revanche QUOTIDIEN D’INFORMATION VENDREDI 16 - SAMEDI 16 J ANVIER 2016 N°4163 Max: 12 Min : 03 Max : 11 Min : 05 Ligue 1 Mobilis 16e journée CSC-JSK, aujourd’hui à 16h Le CSC recevra la JSK, cet après-midi à 16h au stade Hamlaoui, pour le compte de la 16ème journée du championnat de ligue une mobilis. Départ à Constantine hier me que son équipe viser a le gain de la confrontation. «Ce match face au CSC ser a un r endez-vous tr ès impor tant pour nous. On affronter a une équipe qui occupe la même position que nous et qui fer a tout pour nous battre sur son ter r ain et devant ses suppor ter s. Cependant, c’est clair qu’on jouer a pour gagner les trois points de la confrontation. On doit sor tir le gr and jeu pour MOB – RCA, cet après-midi à 16h gagner la par tie et entamer ainsi cette phase avec la meilleure manière possible. Notre objectif est de viser une position confor table, ce qui passe par un bon r ésultat aujour d’hui», a déclar é le coach Bijotat à propos de la rencontre. Côté effectif, plusieur s joueur s kabyles ne seront pas concer nés par le match d’aujour d’hui pour différentes r aisons. En effet, les Aiboud, Rial et Doukha sont aux soins, et l’attaquant Banou Diawar a est suspendu. Même la nouvelle recr ue Hocine Har rouche n’a pas fait le déplacement avec ses équipier s hier. Le joueur est en mi-for me et le coach Bijotat a décidé de ne pas le convoquer pour le match d’aujour d’hui. Cependant, les trois autres nouvelles recr ues, à savoir le gar dien Boultif, l’ar r ièr e gauche Entamer la phase retour par une victoire L Max : 04 Min : 00 Houar i Fer hani et l’attaquant Mebar ki joueront cet apr ès-midi. Le staff technique kabyle souhaite que les nouveaux éléments appor teront un plus à l’équipe. Les kabyles veulent entamer cette seconde manche du championnat par une victoire, afin de satisfaire leur s fans. C’est le souhait de ces der nier s qui veulent que leur équipe revienne en force et ter mine la saison dans une position confor table. L e moins que l’on puisse dire, c’est que ce match ser a d’une extr ême impor tance pour les deux for mations. Occupant des positions peu confor tables au classement génér al, les deux équipes sont condamnées à gagner pour améliorer leur s positions au classement génér al. Côté kabyle, la J SK jouer a ce match avec la fer me intention de battre le CSC. Les poulains du coach Dominique Bijotat visent la victoire, cet apr ès-midi, qui ser a la première à l’extér ieur cette saison. Battus lor s de la phase aller au stade du 1er novembre un but à zéro par le même adver saire, les Canar is veulent prendre leur r evanche aujour d’hui. Tout en avouant que le match soit difficile face au CSC, le coach Bijotat affir - Max : 07 Min : 08 es Ver t et Noir renoueront avec le championnat cet apr ès-midi avec la r éception du RC Ar baa pour le compte de la première jour née de la phase retour. En effet et apr ès la tr êve qu’avait obser vé le championnat en ce mercato hiver nal et le déroulement des 16èmes de finale de la coupe d’Algér ie, le championnat reprend ses droits ce week-end et les Ver t et Noir auront comme premier adver saire la lanter ne rouge du championnat, le RC Ar baa, une for mation qui ne semble pas abdiquer pour autant avec le recr utement de trois nouveaux joueur s, à savoir Djeghbala, Boumechr a et Yachir, ce qui dénote de la volonté des « vikings » à jouer leur s chances de maintien jusqu’au bout ou du moins faire bonne impression en ce début de la deuxième manche, histoire de rebondir et de continuer à y croire. « C’est un match piège par excellence. Ce genre de matchs est difficile à jouer de cr ainte de voir mes joueur s prendre cette rencontre à la légère, du fait que notre adver saire est un mal-classé. J ’ai mis en gar de mes joueur s contre un éventuel relâchement mais il faut toujour s rester pr udents », dir a l’entr aîneur Amr ani. Autrement dit, l’entr aîneur des Cr abes a toujour s en tête la piètre prestation de ses poulains le week-end der nier face à la J S Djijel en coupe où les camar ades de N’doye étaient contr aints d’aller jusqu’à la sér ie de tir s au but pour ar r acher leur billet qualificatif au pr ochain tour. Le coach Béjaoui qui a piqué une vive colère à la fin du match a savonné ses athlètes en les exhor tant à monter un meilleur visage à l’avenir, à commencer par la prestation de cet apr ès-midi face à l’Ar baa. Les cama- Matchs avancés de la 16e journée de la Ligue 1 r ades de Zer dab qui ont ter miné la phase aller avec 23 points, misent sur un r ésultat cet apr ès-midi pour rester sur la lancée. Amine Kaci Hamzaoui et Lakhdari out… L e coach Béjaoui devr a composer face au RCA sans son attaquant Hamzaoui et son défenseur Lakhdar i qui sont convalescents. Hamzaoui qui a ressenti de vives douleur s au niveau de sa cheville, a été dans l’obligation de poser une botte de plâtre. En revanche, Lakhdar i a été victime d’une déchir ure musculaire au niveau de la cuisse. Outre ces deux absents, il y a celle de Bouker ia qui est suspendu. …Mebarakou de retour C ’est le gr and retour du défenseur centr al Mebar akou par mi l’effectif des Ver t et Noir. Absent des ter r ains pendant plus de six mois en r aison d’une opér ation chir ur gicale au niveau du genou, Mebar akou qui a r éintégr é le groupe depuis pr ès d’un mois et qui a même pr is par t aux deux der nier s matchs amicaux de son équipe, est convoqué pour ce match par son entr aîneur. Il fait donc par tie des 18 retenus. Reste à savoir maintenant si Amr ani va l’associer à Messaoudi dans l’axe dès le dépar t où va-t-il pr éférer titular iser Mouhli. A.K. L’USMA et le NAHD se neutralisent L e stade olympique du 5 J uillet a abr ité avant-hier le match avancé de la 16e jour née de ligue 1 Mobilis. Un der by algérois qui a mis aux pr ises, les Rouge et Noir de Soustar a et les Sang et Or du Nasr Hussein Dey. Le NAHD de Youcef Bouzidi a encore une fois prouvé qu’il est la bête noire de l’USM Alger qui a ter miné la phase aller comme champion d’hiver. Les Usmistes ont été obligés cette fois au par tage des points, par les camar ades de Gasmi, en faisant match nul, un but par tout. Les poulains de Miloud Hamdi qui étaient menés au score par les Nahdistes, sur un penalty signé par l’attaquant Gasmi à la Par ailleur s, le club kabyle a r allié la ville de Constantine, dans la jour née d’hier, en pr évision du match d’aujour d’hui face aux Sanafir s. Les J aune et Ver t devaient effectuer une légère séance sur les lieux pour se débar r asser de la fatigue du voyage. Le staff technique des Canar is a fait tout pour assurer la meilleure concentr ation possible aux équipier s de Ziti, en pr évision de ce match tr ès impor tant. Ces der nier s doivent r éussir un bon r ésultat aujour d’hui pour pr éparer le der by face au MOB avec un bon mor al. Les Canar is devaient r allier la ville de TiziOuzou à l’issue de cette rencontre. M. L. 14’ ont r éussi à égaliser deux minutes plus tar d, en signant l’égalisation par Nadji. A l'issue de cette rencontre l'USMA reste en tête du classement avec 37 points alor s que le NAHD (20 pts) occupe seul la 8e place. Les autres matchs de la jour née ont eu lieu hier et d’autres sont pr évus aujour d’hui. Le DRB Tadjenant frappe fort Hier le DRB Tadjenant est revenu de son déplacement à Relizane avec les trois points de la victoire, en s’imposant lar - gement sur le scor e fleuve de 3 à 0. Les poulains de Bougher ar a ont ouver t la marque à la 52’ par Nezouani, avant que son équipier le rentr ant Sayoud ne double la mise à la 75’. Les Tadjenantis ont r éussi à tr ipler la mise à la der nière minute par l’attaquant Youcef Chibane.Une lar ge victoire qui confir me les intentions du DRBT de jouer à fond leur s chances pour une place sur le podium ; Quant aux Relizanais ça reprend mal pour cette phase retour. A.M