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CERCLE
Le
L A
N E W S L E T T E R
D E
C R é d i t
N°1
AVRIL 2014
e x p ert
EDITO
Chers partenaires et futurs partenaires,
Vous tenez entre les mains notre première newsletter « Le Cercle » qui vous permettra de découvrir
tous les deux mois les grandes tendances de notre
marché et les actualités de notre réseau Crédit
expert.
Dans ce premier numéro, je vous propose de parcourir un article extrait de la revue « Votre argent »
et les prévisions sur le marché immobilier pour
l’année 2014. Un message d’encouragement,
certes, mais guère d’embellie à l’horizon. Le point
fort de l’actualité économique qui nous intéresse
ce mois-ci, c’est l’arrivée des premières mesures
des nouvelles normes de construction établies par
la ministre Cécile Duflot. Nous vous les détaillerons
dans notre rubrique économique.
Pour finir, nous donnons la parole à notre responsable du cabinet Credit Expert de Nancy, ce qui
permettra à certains de mieux le connaître ou pour
les autres, de le découvrir.
Bonne lecture,
Yannick Flavien
Fondateur
Impressum
Directeur de la publication
Yannick Flavien
Création
Département Communication Crédit Expert
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wwww.creditexpert.fr
Marché immobilier :
Faut-il être inquiet
pour 2014 ?
Un volume de vente en recul et des prix en baisse : tel est le constat
fait sur 2013 par le président de la FNAIM, la fédération des agents
immobiliers. Et les perspectives de l’organisme pour 2014 sont plutôt
sombres. Extrait de VotreArgent.fr
U
n marché immobilier en recul tant au niveau des
volumes que des prix, c’est le constat fait par JeanFrançois Buet président de la FNAIM, la fédération
nationale des agents immobiliers. Pour 2013, le
nombre de ventes est en effet estimé à 668 000 soit
un recul de 5,1 % par rapport à l’année précédente.
Cette baisse doit être nuancée car elle est contrastée selon les régions.
A Paris elle est de -12,8 % mais en Franche-Comté seulement de
-1,6 %. Elle est forte en Champagne-Ardenne (-8,7 %), et en Alsace. Dans le Languedoc-Roussillon (-7,6 %), en Basse-Normandie
(-7,4 %) et en Haute-Normandie (-6,8) elle s’explique notamment par
la mévente des résidences secondaires.
Quant aux prix, ils reculent de 2,9 %. Ce recul est de 3,5 % pour les
appartements et de 2,5 % pour les maisons. Le prix moyen est ainsi
de 3 298 e/m2 pour les appartements et de 2 106 e/m2 pour les
maisons. Les écarts demeurent toujours importants d’une région à
l’autre : 1 628 e/m2 en Franche-Comté la région la moins chère de
France et 5 130 e/m2 en Ile-de-France la région la plus chère.
Attentisme des acheteurs et des vendeurs
Ce contraste reste également criant d’une grande ville à l’autre. Si
à Paris la moyenne des prix est de 8 706 e/m2 (-3,2%) on se loge à
Limoges pour 1 377 e/m2 (-5,7%).
Quant aux perspectives pour 2014 elles sont, estime Jean-François
Buet, difficiles à établir. Un constat toutefois s’impose : l’attentisme
des vendeurs et des acheteurs. Les premiers s’inquiètent de la fiscalité des plus-values immobilières certes devenue plus favorable mais
complexe et donc difficilement compréhensible.
Les seconds hésitent à devenir propriétaire. L’augmentation
constante des charges courantes, la hausse considérable des
impôts locaux (+54,6 % pour la taxe foncière et +58,6% pour la
taxe d’habitation), l’augmentation des droits de mutation et des prix
toujours forts les poussent à s’interroger sur l’intérêt de devenir propriétaire, le statut de locataire présentant bien des avantages. Avantages que la loi Alur en discussion au parlement renforce au point
que les investisseurs désertent le marché des biens locatifs. Ce qui
explique l’échec de la loi Duflot.
Quant au crédit, considérons qu’après un record de taux bas en
2013 (2,90 % sur 20 ans) on devrait assister à une remontée des taux
d’environ 0,20 % en 2014. En tenant compte de tous ces éléments,
la FNAIM parie sur un volume des transactions en légère baisse de
l’ordre de 650 000 sur toute l’année et une baisse des prix qui devrait
continuer. Mais si baisse il y a il ne s’agira pas d’une dégringolade
puisque pour toute la France elle ne devrait pas aller au-delà de 4 %.
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HABITAT
La Block house
Zoom sur une maison lorraine repensée au
travers d’une architecture contemporaine.
Bienvenue dans une maison carrément
rectangulaire !
Texte et photos : Alexis Andrzejewski - Azeki architecture
Comme un pavé dans un tissu urbain hétérogène, la « Bloc House » se veut la projection
d’une architecture contemporaine sur une parcelle typiquement lorraine : étroite et longue
(8,5m en façade sur rue, 5,5 en fond de parcelle sur 100m de long). Dès lors le parti pris a
été de reprendre les canons des fermes lorraines où les pièces étaient en enfilade. Après
avoir franchi l’entrée d’où l’on peut apercevoir le jardin dans une grande perspective, les
pièces de vie se dévoilent en spacieux open-space. Là où autrefois la cuisine, lieu de réunion de la famille était au centre de la maison éclairée par une flamande, nous retrouvons
le salon espace conviviale d’aujourd’hui éclairé par une série de trois puits de lumières. La
terrasse prolonge l’espace de vie à l’extérieur vers le jardin et participe à l’effet d’extérieur/
intérieur. A l’étage, la mezzanine qui accueille un espace de travail sert d’espace tampon
entre la suite parentale et le patio intérieur. Deux passerelles qui mènent vers les chambres
des enfants à travers l’espace cocoon lient l’ensemble.
Si le premier parti pris architectural est la relecture de l’architecture lorraine, un second
sous tend cette maison : une conception bioclimatique. L’orientation du terrain permet de
fermer au maximum la façade sur rue côté nord et d’ouvrir la façade sur jardin côté sud.
ECONOMIE
L’INTERVIEW du collaborateur
Cécile Duflot pose la première
pierre des nouvelles normes
de constructions
Les premières mesures annoncées par la
Ministre du Logement le 18 mars dernier,
s’inspirent des réflexions des professionnels dans
le cadre de la concertation « Objectifs 500 000 ».
Voici les grandes lignes de ces premières mesures, annoncée le 18 mars dernier, visant à simplifier les règles et
normes de construction :
Réguler le flux de règles :
- en créant un conseil supérieur de la construction ;
- en assurant un « service après vote » de la réglementation;
- en mettant en place un dispositif pérenne de retour d’expérience/de remontée de propositions de simplification ou
d’adaptation de la réglementation;
- en évaluant chaque nouvelle réglementation après 3 à 5 ans.
Réguler le flux de normes :
- en réformant l’élaboration des normes de construction par
l’Afnor.
Agir sur le stock :
Près de 50 mesures de simplification de règles et normes existantes qui seront prises sans transiger sur la performance et
la qualité. Elles seront structurées autour de sept grands principes :
- distinguer confort et sécurité;
- privilégier l’exigence de résultat à celle de moyen;
- dépoussiérer la réglementation;
- rendre les règles proportionnelles aux enjeux;
- faire évoluer la réglementation en fonction des retours d’expérience;
- prendre en compte les spécificités des territoires;
- favoriser la mixité entre filières traditionnelles et filières émergentes.
Garantir la qualité des constructions aujourd’hui et demain :
Créer un nouveau label environnemental :
- pour engager le bâtiment dans la transition écologique et définir un label environnemental pour 2015.
Aller vers le bâtiment 2.0 :
- en désignant un référent numérique de haut niveau;
- en créant un signe de qualité/un label pour valoriser les entreprises engagées dans le bâtiment numérique;
- en rendant la maquette numérique obligatoire à compter de
2017 pour les marchés publics d’Etat.
Concrétiser les idées en projets innovants :
- en facilitant l’innovation dans les territoires par la mise en place
de 10 plateformes territoriales CSTB-collectivités en région;
- en regroupant les opérateurs de recherche et développement
de la construction (CSTB et centres techniques industriels)
pour élargir leur champ d’intervention et développer les filières
mixtes comme le bois-béton;
- en demandant à l’Ademe de lancer un appel à projet (PIA) dès
2014 pour soutenir de nouveaux procédés constructifs, respectueux de la qualité architecturale et s’appuyant sur des filières
locales, comme le bois issus des forêts françaises.
Sulivan Ung,
cabinet de Nancy
Après une première expérience dans le domaine bancaire,
pourquoi avoir choisi de rejoindre Crédit expert ?
L’envie d’un nouveau challenge m’a guidé, j’avais acquis une certaine maturité pour me lancer et ne voulais plus subir les règles d’un
grand groupe. En milieu bancaire, j’avais le sentiment d’être bridé,
je ressentais une certaine frustration.
En quoi consistent vos fonctions de responsable du cabinet
de Nancy ?
Implanter la société en mettant en place une stratégie de développement et de communication : telle que la fidélisation d’un réseau
de prescripteur, l’utilisation d’Internet ou encore le renforcement
des liens avec nos partenaires bancaires. Et enfin, le management
d’une équipe.
Quels sont les avantages que Crédit expert Nancy peut proposer à ses partenaires ?
Nous sommes tous des anciens banquiers, nous mettons ainsi à
disposition de nos partenaires notre savoir-faire, notre culture bancaire et notre réseau priviliégiés d’interlocuteurs bancaires.
D’après vous, pourquoi le réseau Crédit expert connaît un tel
succès grandissant ?
Grâce à notre concept, en effet notre expérience d’ancien banquier
rassure les clients et l’absence d’honoraires lève tous les freins.
Les EXPERTS de gauche à droite :
Laurence Welter & Pascal Fosso (agence de Metz), Sulivan Ung (Nancy), Sébastien Barranco, Ludovic Villiers, Eric Junger (Thionville) Yann Gadéa (Luxembourg), Yannick Leclerc (Longwy)

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