Préambule du président

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Préambule du président
Assemblée générale Danse Suisse
28.4.2013, Cinématte Berne
Préambule du président
«Divers dossiers ont marqué l’année 2012 pour Danse Suisse : la question de la formation, la formation continue des enseignant‐e‐s de danse, la reconversion des danseuses et danseurs interprètes, la recherche de fonds. Par ailleurs, comme si cela allait de soi, les manifestations d’encouragement de la relève ont aussi eu lieu : les journées d’orientation professionnelle et d’information, le Concours de danse classique de Soleure, la semaine de séminaire intensif « Summerdance » à Saignelégier, la classe d’encouragement à Berne et l’offre de médiation « Justdance ». En avril, nous avons pu présenter à Mâcolin le projet d’une filière commune de bachelor en danse contemporaine mené par la Manufacture à Lausanne et la Haute école de arts de Zurich en partenariat avec codarts à Rotterdam , P.A.R.T.S à Bruxelles ainsi que l’Université de Berne. Ce projet a été bien accueilli, mais il a pris un peu de retard. La demande pourra cependant être déposée en été 2013 auprès du Secrétariat d’Etat à la formation, à la recherche et à l’innovation SEFRI. Une autre demande y est déjà déposée par la coopérative zurichoise de la Migros pour une haute école spécialisée en danse contemporaine et urbaine. Deux nouvelles formations au niveau tertiaire, cela semble nécessiter une coordination. En tant que fédération professionnelle, Danse Suisse a assumé cette tâche. Eu égard à sa mission, Danse Suisse s'est engagée en faveur du premier examen de fin d'apprentissage (procédure de qualification) à la Tanzakademie Zürich (TAZ), d’une formation professionnelle initiale CFC supplémentaire en orientation classique à Bâle, du développement de la formation professionnelle initiale en orientation contemporaine à Genève ainsi que de l’offre complémentaire d’une maturité professionnelle à la TAZ. L’une des tâches premières de notre organisation, que personne d’autre n’assume, est de garantir et d’accroître la qualité de l’enseignement de la danse. Pour ce faire, Danse Suisse suit les offres de formation continue, les publie et les fait connaître. En collaboration avec l’Office fédéral du sport, nous offrons aux membres du registre professionnel de Danse Suisse une formation abrégée de moniteur Jeunesse+Sport. Les enseignant‐e‐s de danse disposant d’un diplôme de moniteur J+S peuvent solliciter à travers Danse Suisse un soutien financier direct auprès de l’Office fédéral du sport pour leurs périodes d’enseignement de ballet et de danse. Par ailleurs, Martin Puttke, ancien directeur de l’Ecole nationale de ballet de Berlin, a enseigné son nouveau système de mouvement Danamos® dans le cadre de « Summerdance ». La carrière de danseur/danseuse interprète prend fin vers l’âge de 35 ans pour l’orientation classique, souvent plus tard dans la danse contemporaine. Plus l’aspect d’une reconversion inévitable est intégré précocement dans la formation, meilleures sont les chances de réussite d’une intégration dans une nouvelle profession après une carrière de danse. Il est donc extrêmement important de garantir aux danseuses et danseurs un accès libre aux programmes de reconversion. En partenariat avec l’Association pour la reconversion des danseurs professionnels (RDP) et la Schweizerische Stiftung für die Umschulung von Bühnenkünstlern (SSUB), Danse Suisse élabore actuellement un modèle national de reconversion des danseuses/danseurs professionnel‐le‐s qui devrait être mis en œuvre graduellement dès 2014. Tout cela nécessite un investissement en temps et donc en ressources financières. En 2012, Danse Suisse a consacré beaucoup de temps à la recherche de fonds et peut se réjouir de deux succès. D’une part, la contribution de l’Office fédéral de la culture est augmentée pour les années 2013‐2015 à CHF 280 000 (CHF 20 000 de plus que jusqu’en 2012), tout en restant bien en deçà de la subvention que nous avons sollicitée et justifiée. D’autre part, la Fondation Ernst Göhner à Zoug soutient nos activités d’encouragement de la relève 2012‐2014 par un montant annuel de CHF 50 000 ; nous la remercions chaleureusement de cette aide très généreuse. Il reste toutefois beaucoup à faire. D’autres discussions et demandes sont en cours, notamment auprès du SEFRI. Les danseuses et danseurs, les enseignant‐e‐s de danse, les chorégraphes et toutes les autres personnes engagées dans la danse comptent sur »
notre travail et le récompensent très régulièrement par leur engagement. Christoph Reichenau, Président Mitgliederversammlung Danse Suisse,
28.4.2013, Cinématte Bern
Grusswort des Präsidenten
«Viererlei prägte das Jahr 2012 von Danse Suisse: Die Bildungsfrage, die Weiterbildung von Tanzpädagoginnen und –pädagogen, die Umschulung von Bühnentänzerinnen und –tänzern, die Mittelbeschaffung. Zudem „liefen“, wie wenn es selbstverständlich wäre, die Anlässe zur Nachwuchsförderung: die Berufsberatungs‐ und Informations‐tage, der internationale Ballettwettbewerb in Solothurn, das wöchige Intensivseminar „Summerdance“ in Saignelégier, die Förderklasse in Bern und das Vermittlungsangebot „Justdance“. Im April konnten wir in Magglingen das Projekt eines gemeinsamen Bachelorstudiums in zeitgenössischem Tanz vorstellen, das die Manufacture Lausanne und die Zürcher Hochschule der Künste mit den Partnern Codarts Rotterdam, PARTS Brüssel sowie der Universität Bern planen. Es fand gute Aufnahme, geriet dann allerdings in Verzug. Nun soll das Gesuch Mitte 2013 beim Staatssekretariat für Bildung, Forschung und Innovation SBFI eingereicht werden. Dort liegt schon das Gesuch für eine Höhere Fachschule in zeitgenössischem und urbanem Tanz der Migros Genossenschaft Zürich. Zwei neue Ausbildungen auf Tertiärstufe, das verlangt nach Koordination. Danse Suisse hat als Berufsverband diese Aufgabe übernommen. Als Organisation der Arbeitswelt engagierte sich Danse Suisse für die erste Lehrabschlussprüfung (Qualifikationsverfahren) an der Tanzakademie Zürich (TAZ), für eine zusätzliche beruflichen Grundbildung EFZ in klassischer Richtung in Basel, für den Aufbau der beruflichen Grundbildung in zeitgenössischer Richtung in Genf sowie für das Zusatzangebot einer Berufsmaturität an der TAZ. Die Qualität der Tanzpädagoginnen und Tanzpädagogen zu sichern und zu steigern, ist eine ureigene Aufgabe des Berufsverbands, die niemand sonst erfüllt. Zu dem Zweck sichtet Danse Suisse die Weiterbildungsangebote, publiziert sie und wirbt so dafür. In Zusammenarbeit mit dem Bundesamt für Sport bieten wir für die Mitglieder des Berufsregisters Danse Suisse eine verkürzte Ausbildung zum Jugend+Sport‐Leiter. Tanzpädagoginnen und –
pädagogen mit Leiterdiplom J+S können für die von ihnen unterrichteten Ballett‐ und Tanzstunden über Danse Suisse direkte finanzielle Unterstützung vom Bundesamt für Sport beantragen. Und im Rahmen von „Summerdance“ unterrichtete Prof. Martin Puttke, ehem. Direktor der Staatlichen Ballettschule Berlin, sein neu entwickeltes Bewegungssystem Danamos®. Im Bühnentanz klassischer Richtung endet die Berufskarriere um das 35. Altersjahr, im zeitgenössischen Tanz später. Je früher der Aspekt der unweigerlichen Umschulung in die Ausbildung integriert wird, desto besser stehen die Chancen auf eine erfolgreiche Integration in einen neuen Beruf nach Abschluss der Bühnenkarriere. Dem freien Zugang zu Umschulungsprogrammen für Tänzerinnen und Tänzer kommt deshalb höchste Bedeutung zu. Danse Suisse arbeitet mit der Association pour la reconversion des danseurs professionnels (RDP) und der Schweizerischen Stiftung für die Umschulung von Bühnenkünstlern (SSUB) an einem gesamtschweizerischen Modell für die Umschulung von Berufstänzerinnen und Berufstänzern, das ab 2014 schrittweise umgesetzt werden soll. Dies alles kostet Zeit und somit Geld. Für das Geld hat Danse Suisse 2012 viel Zeit eingesetzt. Zweimal mit Erfolg: Der Beitrag des Bundesamts für Kultur steigt in den Jahren 2013‐2015 auf CHF 280‘000 (CHF 20‘000 mehr als bis und mit 2012), liegt aber deutlich unter der Subvention, die wir begründet haben. Die Ernst Göhner‐Stiftung Zug unterstützt unsere Aktivitäten in der Nachwuchsförderung 2012‐2014 mit je CHF 50‘000 pro Jahr; für diese sehr grosszügige Hilfe danken wir herzlich. Trotzdem sind wir nicht über den Berg. Weitere Gespräche und Gesuche – unter anderem beim SBFI – laufen. Die Tänzerinnern und Tänzer, die Tanzpädagoginnen und Tanzpädagogen, die Choreografinnen und Choreografen und alle anderen im Tanz engagierten Personen erwarten unseren Einsatz und entschädigen ihn immer neu mit ihren Leistungen.
» Christoph Reichenau, Präsident